Voici les archives de l’Hebdo-Campus du 16 avril 2009 au 20 septembre 2018
La Collation des grades d’automne aura lieu le 17 octobre
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La Collation des grades d’automne aura lieu le 17 octobre La communauté universitaire est invitée à assister à la collation des grades
d’automne de l’Université de Moncton qui aura lieu le vendredi 17 octobre à 13 h 30
dans le stade du Ceps Louis-J. Robichaud au campus de Moncton.
À cette occasion, quelque 160 diplômes seront délivrés alors que 57 finissantes et
finissants assisteront à la cérémonie en compagnie de leur famille et leurs amis.
De plus, l’Université de Moncton accordera un doctorat honorifique ainsi que deux
éméritats lors de la cérémonie. Un doctorat honoris causa en littérature
française sera accordé à Jean-Marie Klinkenberg, un éméritat en littérature
française sera accordé à Raoul Boudreau et Léonard Goguen deviendra professeur
émérite en sciences de l’éducation.
Luc Bourgeois, diplômé du Baccalauréat ès sciences sociales avec spécialisation en
science politique et étudiant de première année à la Faculté de droit de
l’Université de Moncton, prononcera le discours d’adieu au nom des finissantes et
finissants.
| Luc Bourgeois prononcera le discours d’adieu au nom des finissantes et des finissants
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Luc Bourgeois prononcera le discours d’adieu au nom des finissantes et des finissants Luc Bourgeois, de Memramcook, a été choisi pour prononcer le discours au nom de ses
pairs lors de la cérémonie de collation des grades qui aura lieu le vendredi 17 octobre
au Ceps Louis-J.-Robichaud. Finissant au Baccalauréat ès sciences sociales avec
spécialisation en science politique, M. Bourgeois est maintenant en première année à
la Faculté de droit.
Tout au long de ses études, Luc Bourgeois a fait preuve d’excellence académique.
Grâce à son parcours universitaire exceptionnel, il a reçu la bourse Claude-F.-Savoie,
décernée annuellement à une étudiante ou à un étudiant qui se distingue par son
engagement dans la vie étudiante et qui possède un excellent rendement académique.
Très actif à l’Université de Moncton, il a été président de l’Association des
étudiantes et étudiants de la Faculté des arts et des sciences sociales, agent de
projet au sein du conseil étudiant de sa faculté, président des élections de
l’Association des étudiantes et étudiants de la Faculté des arts et des sciences
sociales et bénévole au sein du groupe Symbiose de l’Université de Moncton. Il
a d’ailleurs décroché, en 2012, le Prix du bénévole de l’année au sein de sa
faculté.
M. Bourgeois s’est aussi illustré grâce à son engagement dans la communauté,
notamment en politique. Il est aussi membre du groupe Memramcook-Action depuis
2011.
Sur le plan international, il a participé à un voyage humanitaire avec l’organisme «
Volunteer Eco Students Abroad» en Équateur, en 2013, ainsi qu’à un voyage humanitaire
en Haïti avec l’Université de Moncton, en 2012. Puis, en mai 2014, il a fait un
séjour d’études en France et en Belgique avec dix autres étudiantes et étudiants du
programme de science politique de l’Université de Moncton.
| Les travaux du chercheur Nicolas Lecomte sont repris dans un article du New York Times
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Les travaux du chercheur Nicolas Lecomte sont repris dans un article du New York Times Nicolas Lecomte, professeur au Département de biologie de la Faculté des sciences de
l’Université de Moncton et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en écologie
polaire et boréale, a accordé une entrevue au prestigieux journal The New York
Times au sujet du lemming, un petit rongeur habitant les zones non arborées du Nord
canadien.
Ses propos ont été repris dans un article du 22 septembre 2014 s’intitulant « On
the Cusp of Climate Change », traitant des espèces animales et végétales pouvant
être affectées par le réchauffement climatique.
Le lemming est une espèce connue pour ses cycles de hausses et de baisses de population.
M. Lecomte souligne que, contrairement au mythe populaire, le lemming ne se suicide pas en
masse. Par contre, son déclin et la disparition des cycles d’abondance dans de nombreux
secteurs arctiques posent de nombreuses questions de conservation.
Comme le mentionne le chercheur, les lemmings sont une source importante de nourriture
pour les prédateurs de ces écosystèmes pauvres, surtout lorsque les lemmings sont en
grande abondance, tous les trois à cinq ans (on parle de pic régulier d’abondance).
Les prédateurs des lemmings sont principalement les renards arctiques, les harfangs des
neiges, les labbes et les hermines. Lorsque les lemmings sont absents, ces prédateurs
doivent trouver une nouvelle source de nourriture, par exemple, les oiseaux migrateurs.
Les lemmings peuvent ainsi affecter indirectement la distribution et l'abondance de
nombreuses autres espèces animales présentes au menu des prédateurs de l'Arctique.
Cet article du New York Times est en lien direct avec une publication scientifique
dans la prestigieuse revue Nature Climate Change par une équipe internationale
dont fait partie M. Lecomte. Cette étude montre que la température a une importance
capitale sur la structure même de la chaine alimentaire permettant de prédire comment
les changements climatiques pourraient affecter l’ensemble de la dynamique de
l’écosystème dans l’avenir. La température agit directement sur les espèces
présentes dans le Grand Nord et conditionne indirectement les interactions entre les
prédateurs et leurs proies.
Dans le cadre de la Chaire de recherche du Canada en écologie polaire et boréale,
Nicolas Lecomte cherche à détecter les changements clés qui se produisent dans les
écosystèmes polaires et boréaux en menant des études à court et à long termes ainsi
que des études à grande échelle spatiale dans plusieurs stations situées un peu
partout dans l’Arctique.
L’article « On the Cusp of Climate Change » du New York Times est
disponible à l’adresse http://www.nytimes.com/interactive/2014/09/22/science/on-the-cusp-of-climate-change.html?_r=3
L’article scientifique est disponible à l’adresse http://www.nature.com/nclimate/journal/v4/n5/full/nclimate2168.html?WT.ec_id=NCLIMATE-201405
| La campagne annuelle Centraide est en cours au campus de Moncton
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La campagne annuelle Centraide est en cours au campus de Moncton La campagne annuelle Centraide se poursuit jusqu’au 31 octobre auprès des membres du
personnel du campus de Moncton.
Plusieurs agences et œuvres de bienfaisance bénéficient du financement de Centraide.
Tous les ans, la générosité des membres du personnel de l’Université aide plus de 60
000 de nos concitoyennes et concitoyens dans les comtés de Westmorland, Kent et Albert à
devenir plus actifs.
Au campus de Moncton, l’objectif cette année est de faire une contribution de 27 000 $.
Pour ce faire, des formulaires de souscription ont été envoyés à chaque
service/secteur du campus. Les formulaires doivent être retournés dûment remplis au
Service des ressources humaines.
À toutes celles et à tous ceux qui ne donnent pas encore à Centraide, l’invitation
vous est lancée à participer à cet élan de solidarité. Votre contribution peut être
prélevée à la source à chaque paie, ce qui est le mode de paiement le plus facile.
Vous pouvez également faire parvenir un don en argent comptant ou encore un chèque au
Service des ressources humaines au pavillon Léopold-Taillon.
Pour les membres du personnel qui y participent déjà, vous n’avez pas à remplir le
formulaire à moins que vous désiriez changer le montant de votre don.
Pour votre information, cette année, la Banque Royale du Canada (RBC section régionale)
égalisera, jusqu’à une somme de 72 000 $, les dons offerts par de nouvelles donatrices
et nouveaux donateurs de notre région dans le cadre de cette campagne.
À noter que l’Agence de revenu du Canada vous invite à profiter d’un crédit
d’impôt pour un premier don de bienfaisance ( http://www.cra-arc.gc.ca/nwsrm/txtps/2013/tt131216-fra.html).
Pour inciter les membres du personnel à participer à la campagne, quelques prix seront
offerts en tirage à la fin de la campagne. Il y aura deux permis de stationnement
annuels, un coffret cadeau d’une valeur de 200 $ en sorties culturelles du Service des
loisirs socioculturels et trois abonnements de trois mois au CEPS Louis-J.-Robichaud. De
plus, parmi les nouvelles contributrices et nouveaux contributeurs, ainsi que parmi celles
et ceux qui augmentent leur contribution, deux chèques-cadeaux de 25 $ pour la Librairie
acadienne et un chèque-cadeau de 25 $ du resto lounge Le 63 seront offerts en tirage.
| L’Éducation permanente et le Département d’administration publique ont offert un atelier sur la sensibilisation à l’offre active de services de santé
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir les participantes et participants à l’atelier, de gauche à droite, dans la première rangée, Pier Bouchard, Marie-Josée Laforge, Christine Paré, Lucie LeBouthillier, Nancy Dugas, Danny Cormier, Monique Langis, Lise L’Anglais et Manon Cormier. Deuxième rangée, Mai Savoie, Sylvain Vézina, Michel Arsenault, Suzanne Dupuis-Blanchard, Pauline Gallant, France Talbot, Pascal Marchand, Jacinthe Clavet, Brigitte Lepage et Jacinthe Beauchamp.
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L’Éducation permanente et le Département d’administration publique ont offert un atelier sur la sensibilisation à l’offre active de services de santé Dans le cadre des activités de perfectionnement professionnel de l’Éducation
permanente, une équipe du Département d’administration publique (DAP) de
l’Université de Moncton a offert récemment un atelier de sensibilisation à l’offre
active de services de santé.
Cette formation d’une journée a rassemblé près d’une vingtaine de participantes et
de participants, dont des professeures et professeurs de diverses disciplines de la santé
de l’Université de Moncton, des enseignantes et enseignants collégiaux ainsi que
plusieurs représentantes et représentants du milieu de la santé, notamment des deux
régies de la santé, Horizon et Vitalité, de la Société santé et mieux-être en
français du Nouveau-Brunswick (SSMEFNB), du Conseil de la santé du Nouveau-Brunswick
(CSNB), du Consortium national de formation en santé (CNFS) rattachés à l’Université
de Moncton, au CCNB-Dieppe et au Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick
(CFMNB) ainsi que du Secrétariat national du CNFS.
Cet atelier visait à stimuler la réflexion et la sensibilisation des formatrices et
formateurs des programmes de santé à l’importance d’intégrer des contenus relatifs
à l’offre active de services de santé dans la langue officielle au choix du
bénéficiaire dans la formation des futurs professionnelles et professionnels de la
santé. Il a permis non seulement d’échanger autour des enjeux de l’offre active,
mais a également offert l’occasion de se familiariser avec un outil de formation en
ligne, soit la Boîte à outils pour l’offre active ( http://www.offreactive.com).
Mise en ligne depuis environ un an, cette ressource propose un condensé des écrits sur
le sujet, donne des pistes d’action aux professionnelles et professionnels de la santé
pour réussir l’offre active, et propose une gamme d’activités pouvant être
intégrées à la formation, notamment des études de cas et des questions de réflexion.
On y retrouve également de nombreux clips vidéo présentant la perspective des acteurs
du milieu de la santé. En effet, des chercheuses, des chercheurs, des gestionnaires, des
professionnelles, professionnels de la santé, des étudiantes, des étudiants en santé
ainsi que des patientes et patients ont été interviewés et y livrent leur témoignage
et points de vue relativement aux défis et réalités vécus sur le terrain lors de la
livraison de services de santé dans les deux langues officielles.
Comme l’indique Manon Cormier, agente de recherche et formatrice à cet atelier,
«l’intégration des notions d’offre active de services de santé dans la formation
est essentielle si l’on souhaite sensibiliser et outiller nos finissantes et finissants
en matière de services de santé équitables, de qualité et sécuritaires dans les deux
langues officielles». Pour ce faire, «la mobilisation des professeurs et autres acteurs
du milieu est indispensable», ajoute Pier Bouchard, l’une des chercheurs au sein de
l’équipe.
L’équipe du DAP, qui se penche sur la question de l’offre active depuis 2008,
envisage de poursuivre les démarches d’intégration de l’offre active au sein de
l’Université au cours de la prochaine année. D’ailleurs, un deuxième atelier,
toujours en collaboration avec l’Éducation permanente, aura lieu le 23 octobre
prochain. Pour plus de détails ou pour s’inscrire, visitez le site http://www.umoncton.ca/edperm/offre_active_2
Renseignements : manon.cormier@umoncton.ca
| Retour des stagiaires des programmes d’administration publique et de gestion des services de santé
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, assises, de gauche à droite, Mélissa LeBreton, Nancy Desjardins, Karianne Bellefleur et Émilie Chamberlain Boucher. Debout, dans la première rangée, on voit Pier Bouchard, professeure et responsable académique des stages 2013-2014 ; les stagiaires Mélanie Caissie ; Danika Léger ; Marie-Josée Landry ; Christine Plourde ; Marie-Hélène Dorion ; Natalie Surette ; Danielle Thériault ; et Jenny Robinson, coordonnatrice des stages au Département d’administration publique. Deuxième rangée : Alice Mukasekuru ; Rita Daisy Mouyabi Badiane ; Saïkou Amadou Junior Diallo ; Julie Bryar ; Alain Patrice Minkanda Mezo’o ; David Cormier ; Valery Martial Tankou Kamela ; Julia Emery ; Christine C. Paulin, professeure au Département d’administration publique ; et Sylvain Vézina, directeur et professeur au Département d’administration publique. |
Retour des stagiaires des programmes d’administration publique et de gestion des services de santé Une vingtaine d’étudiantes et étudiants du Département d’administration publique de
l’Université de Moncton ont participé, le 29 septembre dernier, au séminaire de
retour des stagiaires.
Rappelons que le stage en administration publique ou en gestion des services de santé
permet d’acquérir une expérience pratique dans un organisme public ou parapublic. Au
cours des dernières années, les stages se sont déroulés dans divers secteurs
d’activités, notamment en éducation, en santé, en politique sociale et en droits des
enfants et ce, dans des organismes de la province, du pays et de l’international. Les
stagiaires ont travaillé, par exemple, à l’organisation de colloques et de
conférences, à la recherche sur l’évolution du marché du travail, à
l’établissement de partenariats, à la rédaction d’ententes et à l’élaboration
d’un plan de communication ou de stratégies en ressources humaines.
Les stages permettent aux stagiaires d’améliorer leur compréhension des processus en
matière de politiques publiques, de mieux saisir la complexité de la gestion publique et
de mettre en application leurs connaissances académiques dans le milieu de travail. En
plus de permettre une meilleure connaissance du milieu, le stage favorise l’acquisition
de compétences essentielles en gestion, soit en leadership, en gestion du changement, au
niveau du travail d’équipe, en communication, en relations interpersonnelles, en
gestion du temps, en innovation et en réseautage.
Pour plus de renseignements sur les programmes du Département d’administration
publique, prière de communiquer avec le directeur, Sylvain Vézina, à sylvain.vezina@umoncton.ca (858-4286) ou avec
Jenny Robinson, coordonnatrice de projets et de stages, à jenny.robinson@umoncton.ca (858-4520), ou
encore visitez le site Web http://www.umoncton.ca/umcm-fass-administrationpublique/
| Une équipe de la Faculté d’ingénierie participe aux compétitions Shell Eco-Marathon et SAE Supermileage
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Agrandir l'imageLa photo nous montre les membres de l’équipe de la Faculté d’ingénierie, de gauche à droite, Philippe-Antoine Roy-Babin, Guillaume Demers, Philippe Richard, Julien LeBlanc, Jonathan Arsenault, Benoit Fournier et Pascale Chiasson. |
Une équipe de la Faculté d’ingénierie participe aux compétitions Shell Eco-Marathon et SAE Supermileage La Faculté d’ingénierie de l’Université de Moncton était représentée lors de
deux compétitions cette année, soit le Shell Eco-Marathon, tenu à Houston au Texas, en
avril, et le SAE Supermileage, à Marshall, au Michigan, en juin dernier.
Le but de ces compétitions est de concevoir et construire une voiture qui se déplace
grâce à un moteur qui consomme le moins d’essence possible. Ces rencontres permettent
aux étudiantes et étudiants de non seulement mesurer leurs habiletés techniques, mais
aussi d’échanger avec les autres groupes en provenance de nombreuses autres
universités nord-américaines.
À l’aide des modifications à leur moteur Brigg and Stratton, l’équipe de
l’Université de Moncton a réussi à surpasser son record à deux reprises. L’équipe
a réussi à atteindre 424 miles au gallon au Shell Eco-Marathon et 456 miles au gallon au
SAE Supermileage. C'est l'équivalent d'un voyage Moncton-Québec au coût de 7.50 $ en
essence. L’équipe s’est classée 22e lors de la première compétition et 11e lors de
la deuxième.
Le doyen de la Faculté d’ingénierie, Paul A. Chiasson, rappelle que l’équipe de
Moncton a relevé le défi d’une forte compétition, faisant face à des équipes
provenant de partout en Amérique du Nord. « Compte tenu de ce fait, le rendement de
l’équipe de Moncton est excellent, dit-il. De plus, c’est grâce à des expériences
comme celles-ci que nos étudiantes et nos étudiants peuvent mettre en pratique les
connaissances et compétences acquises au cours de leurs études. Bravo à l’équipe de
l’Université de Moncton. »
| Un symposium pour souligner le 50e anniversaire de l’enseignement de l’allemand à l’U de M
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Eva Ledwig, directrice adjointe au Goethe Institut de Montréal; Michel Mallet, professeur d'allemand à l'Université de Moncton; Elisabeth Tutschek, doctorante à l'Université de la Sarre; Fabien Théofilakis, professeur invité du DAAD au Centre canadien d'études allemandes et européennes (Université de Montréal); et Sarah MacNeil, étudiante en traduction à l'Université de Moncton. |
Un symposium pour souligner le 50e anniversaire de l’enseignement de l’allemand à l’U de M Une symposium a eu lieu récemment afin de souligner le 50e anniversaire de
l’enseignement de l’allemand à l’Université de Moncton.
À cette occasion, une conférence intitulée «Histoire de la langue et langue de
l’histoire : l’allemand, pratiques et usages» a été prononcée par Fabien
Théofilakis, professeur invité du Deutscher Akademischer Austausch Dienst (DAAD)
au Centre canadien d'études allemandes et européenne (CCEAE) à l'Université de
Montréal et chercheur associé à l'Institut d'histoire du temps présent (Paris,
CNRS).
Une table ronde ayant pour thème « La langue allemande à l’ère de la mondialisation
» a suivi avec les invités Eva Ledwig, directrice du Département de langues au Goethe
Institut de Montréal; Elisabeth Tutschek, doctorante à l’Université de la Sarre, et
Sarah McNeil, étudiante à l’Université de Moncton.
Cette table ronde portait sur le rôle qu’occupent les universités et les pays
germanophones sur la scène académique et internationale, de même que sur le rôle que
continue de jouer la langue allemande en cette ère de la mondialisation. Elle dressera
aussi un portrait des échanges bilatéraux qui unissent les institutions académiques de
la francophonie canadienne à celles des pays germanophones.
| Le CRDE tiendra une causerie-midi le 15 octobre
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Le CRDE tiendra une causerie-midi le 15 octobre Le Centre de recherche et de développement en éducation (CRDE) invite les membres de la
communauté universitaire à assister à sa prochaine causerie-midi intitulée Qu’en
est-il des attitudes d’étudiantes et d’étudiants francophones de l’Acadie à
l’endroit de personnes venant d’autres provinces du Canada ou des États-Unis
d’Amérique pour s’installer au Nouveau-Brunswick, ou en Acadie du
Nouveau-Brunswick? La causerie aura lieu le mercredi 15 octobre, de midi à 13 heures,
dans le local B-118 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.
L’animation sera faite par Réal Allard, professeur associé à la Faculté des sciences
de l’éducation de l’Université de Moncton; Richard Bourhis, professeur titulaire de
psychologie à l’Université du Québec à Montréal, et Rana Sioufi, doctorante en
psychologie à l’Université du Québec à Montréal.
L’immigration présente de nombreux défis tant pour les immigrants que pour les
communautés hôtes. La psychologie sociale s’intéresse depuis plusieurs décennies aux
attitudes de membres de pays hôtes qui reçoivent des immigrants venant d’autres pays
ainsi qu’à l’adaptation de ces immigrants dans ces pays. Les écrits de John Berry
sur les stratégies d’acculturation, de Richard Bourhis sur le modèle d’acculturation
interactif (MAI) et de Carmel Camilleri sur les stratégies identitaires, en sont
quelques exemples éminents.
Mais, qu’en est-il des attitudes de membres d’une région ou province d’un pays à
l’endroit de migrants d’autres provinces du même pays qui viennent s’installer dans
leur région ou province? Peut-on prétendre que les migrations internes à l'intérieur
d'un même pays sont entièrement à l’abri de certains défis rencontrés par les
immigrants venant d’autres pays? Il s’agit là d’une piste de recherche relativement
inexplorée et originale.
Le but de cette causerie est de présenter les résultats d’une recherche dont une
composante porte sur les attitudes d’Acadiennes et d’Acadiens francophones envers des
francophones et des anglophones qui viendraient de l’Ontario, du Québec ou des
États-Unis d’Amérique pour s’installer au Nouveau-Brunswick ou en Acadie. Les
animateurs présenteront, dans un premier temps, un aperçu du modèle d’acculturation
interactif qui a servi pour l'élaboration d’une partie importante du questionnaire
d’enquête. Ceci servira de toile de fond pour la présentation des résultats de
l’étude sur les attitudes d’un échantillon de 227 étudiantes et étudiants
francophones de l’Université de Moncton. Enfin, ils présenteront, à des fins de
comparaison et de discussion, les résultats d’étudiantes et d’étudiants
francophones de l’Ontario et du Québec.
Pour plus de renseignements, visitez le site Web http://www.umoncton.ca/crde/node/19.
| Le professeur Jean-Marie Klinkenberg prononcera une conférence sur les littératures francophones minoritaires le 15 octobre
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Le professeur Jean-Marie Klinkenberg prononcera une conférence sur les littératures francophones minoritaires le 15 octobre La Chaire de recherche du Canada en études acadiennes et milieux minoritaires invite la
communauté universitaire à une conférence publique de Jean-Marie Klinkenberg, membre de
l’Académie royale de Belgique et professeur émérite de l’Université de Liège, en
Belgique. Intitulée « Les littératures francophones minoritaires : Essai de
systématique », la conférence aura lieu le mercredi 15 octobre à 10 heures dans le
local A210 du pavillon Jeanne-de-Valois.
Les planètes s’ignorent mutuellement. Elles sont pourtant soumises au dynamisme d’un
ensemble systémique qui les englobe. Il en va de même des littératures francophones.
Si on les envisage autrement que comme une collection de jolis bibelots - comme le
voudrait l’idéologie qui domine trop souvent le discours sur les lettres - et si
s’interdit de se satisfaire d’une histoire purement évènementielle, on ne comprendra
leur fonctionnement qu’en les situant toutes dans une structure institutionnelle qui
oriente les pratiques de leurs acteurs. C’est bien cette structure qui explique les
constantes et les convergences qu’on peut observer dans leur histoire. À côté de ce
facteur général, que l’on peut qualifier d’exogène, les contextes sociaux dans
lesquels chacune d’elles se développe constituent autant de facteurs endogènes.
C’est cet ensemble de forces que la conférence décrira, en faisant porter la focale
sur les littératures francophones de l’hémisphère Nord, et particulièrement sur la
littérature francophone de Belgique.
Professeur émérite de l'Université de Liège en Belgique, Jean-Marie Klinkenberg est un
linguiste et sémioticien de renommée internationale. Ses activités se sont orientées
dans deux directions. Celle de la linguistique et de la sémiotique d'un côté, celle des
cultures francophones de l'autre. Dans ses domaines de recherche, il a publié plus de 500
travaux traduits en une quinzaine de langues. Il a publié des ouvrages qui sont devenus
des classiques et qui ont servi à former plusieurs générations d'étudiantes et
d'étudiants universitaires, qu'il s'agisse de Rhétorique générale, La langue et le
citoyen, Traité du signe visuel, Pour une rhétorique de l'image ou encore Précis
de sémiotique générale. Dans le domaine des études littéraires, La
littérature belge, est considéré aujourd'hui comme un ouvrage de référence.
Mentionnons également que le professeur Klinkenberg recevra un doctorat honorifique en
littérature française de l’Université de Moncton lors de la collation d’automne qui
aura lieu le vendredi 17 octobre au Ceps Louis-J.-Robichaud.
Renseignements : benoit.doyon-gosselin@umoncton.ca,
858-4412.
| Conférence du CRLA ayant pour thème Accès au travail et (il)légitimité langagière
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Conférence du CRLA ayant pour thème Accès au travail et (il)légitimité langagière Le Centre de recherche en linguistique appliquée (CRLA) invite la communauté
universitaire à une conférence publique d’Alexandre Duchêne, professeur de sociologie
du langage à l’Université de Fribourg et membre de la direction de l’Institut de
plurilinguisme de l’Université/HEP de Fribourg. Ayant pour thème Accès au travail
et (il)légitimité langagière, la conférence sera présentée le mardi 14 octobre,
à 16 h 30, dans le local 206A du pavillon des Arts au campus de Moncton.
Nous évoluons dans des sociétés qui attribuent aux compétences langagières une
certaine valeur économique laissant alors présager que ces compétences seraient de
facto une forme de capital convertible en termes d’accès au marché du travail.
L’objectif de cette conférence est de s’interroger sur les mécanismes
institutionnels et sociaux d’acquisition de capital linguistique et de questionner les
processus de conversion du capital linguistique en capital économique. Le conférencier
cherchera à démontrer que ces processus sont loin d’être linéaires, au contraire,
ils font l’objet d’une grande variabilité. D’une part, il faut admettre que chaque
langue n’a pas la même valeur. D’autre part, l’accès au capital linguistique est
fondamentalement inégal et sujet à des contraintes institutionnelles et sociales. En
analysant des données issues d’un terrain ethnographique sur les agences étatiques de
contrôle et de placement des chômeurs en Suisse, il montrera que l’investissement
individuel des chômeurs dans les processus d’appropriation des langues se confronte à
des mécanismes institutionnels où l’incitation à suivre des cours de langues, ou la
privation de l’accès à ces cours, est liée à une logique de retour sur
investissement. En documentant les processus de décision d’allocation des mesures
d’accès au marché du travail, il montrera alors que l’investissement dans les
langues est reconfiguré en termes d’ employabilité. Ce glissement permet de
maintenir certains chômeurs dans une position de subalternité en les privant de
l’accès aux ressources langagières qu’ils souhaiteraient investir, les empêchant
ainsi d’espérer une mobilité professionnelle et en institutionnalisant la construction
idéologique de déficit linguistique. Il contribue également à créer l’illusion que
l’investissement dans la langue serait de facto convertible économiquement. Ces
analyses amèneront le conférencier à argumenter que ce qui compte comme capital et les
conditions de son acquisition restent fortement dépendants des processus sociaux de
hiérarchisation sociale.
Les recherches d’Alexandre Duchêne portent sur les liens entre langage et inégalités
sociales, sur les enjeux politiques liés aux minorités linguistiques, ou encore sur le
plurilinguisme dans la nouvelle économie globalisée. Parmi ses publications, mentionnons
les ouvrages suivants : Ideologies across Nations (2008, Mouton de Gruyter),
Discourses of Endangerment (avec Monica Heller, 2007, Continuum), Langage, genre
et sexualité (avec Claudine Moïse, 2010, Nota Bene), Language in Late Capitalism
: Pride and Profit (avec Monica Heller, Routledge) et Language, Migration and
Social Inequalities (avec Melissa Moyer et Celia Robert, 2013, Multilingual Matters).
Renseignements : 858-4057, crla@umoncton.ca
| Le professeur Michel Cardin fait connaître le luth et la musique ancienne aux Territoires du Nord-Ouest
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir le professeur Michel Cardin donnant un atelier sur le luth dans une salle de classe des Territoires du Nord-Ouest. |
Le professeur Michel Cardin fait connaître le luth et la musique ancienne aux Territoires du Nord-Ouest Professeur au Département de musique de l'Université de Moncton, Michel Cardin a
participé, du 25 au 28 septembre dernier, au 8e Festival international de luth des
Territoires du Nord-Ouest (T. N.-O.). Il est lui-même membre fondateur et codirecteur
artistique de ce festival.
Comme les années précédentes, des concerts ont été présentés dans trois villes des
T. N.-O., soit Yellowknife, Hay River et Fort Smith. Le programme comprenait des pièces
solos au luth et au théorbe et des œuvres avec voix. Michel Cardin a joué entre autres
des extraits du Stabat Mater de Vivaldi avec haute-contre ainsi que l'air Caro Bella tiré
de l'opéra Jules César de Haendel pour soprano, haute-contre et continuo.
Le succès grandissant de ce festival de musique ancienne rappelle celui du Festival de
musique baroque de Lamèque au Nouveau-Brunswick, où le public a répondu chaque année
avec enthousiasme à une occasion artistique unique et originale. L'Université de Moncton
a plusieurs fois appuyé le festival de luth tes T. N.-O. à titre de coproducteur. En
plus de donner des concerts, Michel Cardin a aussi ajouté un aspect pédagogique à son
séjour dans les T. N.-O. en donnant des ateliers de musique dans les écoles de
l’endroit.
| Conférence publique portant sur le français en Louisiane présentée le 15 octobre
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Conférence publique portant sur le français en Louisiane présentée le 15 octobre Le Centre de recherche en linguistique appliquée (CRLA) invite la communauté
universitaire à une conférence publique qui sera prononcée par Thomas Klingler,
professeur de français et de linguistique à l’Université Tulane, en
Nouvelle-Orléans, aux États-Unis. Ayant pour titre «Trois siècles de français en
Louisiane», la conférence aura lieu le mercredi 15 octobre à 16 h 30 dans le local 206A
du pavillon des Arts.
Lors de sa fondation comme colonie française en 1699, la Louisiane faisait partie d’un
vaste empire nord-américain qui s’étendait du Golfe du Mexique jusqu’à la côte
atlantique, en passant par les Grands Lacs et la vallée du Saint-Laurent. Aujourd’hui,
l’état américain de Louisiane recouvre une infime partie de la superficie de la
colonie originale et ne compte plus, parmi ses 4,6 millions d’habitantes et habitants,
que 115 000 qui parlent français au foyer. Pourtant la situation linguistique de cette
population modeste vivant sur une aire géographique réduite est étonnamment complexe.
Qui sont ces francophones louisianais et quelles variétés de français parlent-ils ?
Comment vivent-ils leur statut de minorité linguistique dans un pays massivement
anglophone, et quels efforts entreprennent-ils pour préserver leur héritage linguistique
? Voilà quelques-unes des questions qui seront abordées dans ce survol du développement
historique et de la situation actuelle de la Louisiane francophone.
Thomas Klingler est co-auteur du Dictionary of Louisiana Creole (Valdman et al.
1998) et du Dictionary of Louisiana French as Spoken in Cajun, Creole, and American
Indian Communities (Valdman et al. 2009), et il assure, avec Amanda LaFleur, la
composante louisianaise de la Base de données lexicographiques panfrancophone
(BDLP). Il a également publié le livre ‘ If I Could Turn my Tongue Like That’ :
The Creole Language of Pointe Coupee Parish, Louisiana (2003), ainsi que des articles
sur divers aspects de la Louisiane francophone. Ses recherches portent principalement sur
le français et le créole en Louisiane sur lesquels il a fait des études descriptives
aussi bien que sociolinguistiques.
Renseignements : 858-4057, crla@umoncton.ca
| Le Salon carrière d’automne a connu un franc succès
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Agrandir l'imageLe Salon carrière d’automne a eu lieu le 24 septembre au Ceps Louis-J.-Robichaud. |
Le Salon carrière d’automne a connu un franc succès Tenu le 24 septembre au Ceps Louis-J.-Robichaud du campus de Moncton, le Salon carrière a
accueilli plus de 500 étudiantes et étudiants provenant de diverses facultés. Plusieurs
d’entre eux y ont pris part dans l’espoir de dénicher un emploi à la fin de leurs
études ou un stage d’été alors que d’autres cherchaient des renseignements au sujet
de leur domaine d’études et des possibilités d’emploi.
Dans le cadre d’un sondage effectué à la sortie du Salon carrière, quelque 91 % des
étudiantes et des étudiants se sont dits satisfaits de l’événement. Ce sondage a
aussi permis de constater que 35 % des visiteuses et visiteurs provenaient de la Faculté
d’administration et que 15 % étaient inscrits en sciences ou en génie. De plus, la
majeure partie de la clientèle était en fin de baccalauréat.
Aux dires des employeurs présents, les étudiantes et les étudiants se sont montrés
enthousiastes face aux possibilités d’emploi et habiles à communiquer dans les deux
langues officielles.
Parmi les stands les plus populaires, mentionnons ceux de la Fédération des Caisses
populaires acadiennes et de la Banque Royale du Canada qui étaient les commanditaires
platine et argent du Salon carrière d’automne. Les stands d’Irving et d’Exxon Mobil
ont aussi figuré parmi les plus visités.
Enfin, le succès du Salon carrière est dû en grande partie à la contribution des
quelque 20 bénévoles qui ont passé la journée au Ceps Louis-J.-Robichaud afin de
soutenir les exposants et de répondre aux questions des étudiantes et étudiants
visiteurs.
| Prix Vo-Van de la meilleure thèse de l’année
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Prix Vo-Van de la meilleure thèse de l’année Chaque année, le prix de la meilleure thèse de recherche ainsi qu’un certificat de
reconnaissance sont décernés à une étudiante ou à un étudiant de l’Université de
Moncton grâce à un fonds de dotation créé à partir d’un don de 20 000 $ fait en
septembre 2003 par My-Lien et Truong Vo-Van. Le montant attribué est déterminé par les
intérêts générés selon le rendement du fonds de dotation.
Toute étudiante ou tout étudiant de l’Université de Moncton dont la thèse (de type
recherche) de maîtrise ou de doctorat a été complétée entre le 1er septembre 2013 et
le 31 août 2014 est admissible à ce prix et tous les domaines d’études sont
considérés.
Un jury pluridisciplinaire composé de chercheuses et chercheurs, y compris une étudiante
ou un étudiant de cycle supérieur nommé par le Conseil de la Faculté des études
supérieures et de la recherche (FESR) fera l’étude des candidatures soumises. Les
critères d’attribution du prix sont la qualité globale du travail, la rigueur
scientifique et l’originalité.
Le Prix Vo-Van sera décerné lors des Journées des études supérieures et de la
recherche (JESR) en mars prochain lors d’une séance publique avec une présentation du
travail de recherche par la personne lauréate.
Le Prix Vo-Van ne sera pas décerné si le Conseil de la FESR juge qu’aucune des
candidatures soumises n’est méritante. Chaque faculté peut recommander une seule
candidature par l’entremise de sa doyenne ou de son doyen.
Cette année, les dates limites pour présenter une candidature sont le lundi 3 novembre
pour la lettre d’intention, et le lundi 15 décembre pour le dossier complet.
| Le CRSNG offre des bourses de recherche en milieu industriel
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Le CRSNG offre des bourses de recherche en milieu industriel Le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) offre des
bourses de recherche en milieu industriel à deux niveaux, soit pour les étudiantes et
les étudiants du premier cycle et pour celles et ceux des cycles supérieurs. Ces deux
concours sont ouverts en permanence; il n’y a pas de date d’échéance. Le CRSNG
reçoit les demandes en tout temps.
La bourse de recherche de premier cycle en milieu industriel offre 4 500 $, venant du
CRSNG, et au moins 1 125 $ de l’organisme partenaire. Le travail de recherche
s’écoule sur une période de 16 semaines normalement consécutives. Il faut avoir au
minimum une moyenne cumulative de B- et être citoyenne, citoyen canadien ou résidente,
résident permanent pour être admissible à cette bourse. Pour trouver les formulaires
d’inscription, il faut se rendre au site Web http://www.nserc-crsng.gc.ca/Students-Etudiants/UG-PC/USRAI-BRPCI_fra.asp
Quant à la bourse de recherche pour un projet de recherche au niveau de la maîtrise ou
du doctorat en milieu industriel, elle est ouverte aux étudiantes et aux étudiants
étrangers qualifiés de même qu’aux étudiantes et aux étudiants canadiens ou aux
résidentes, résidents permanents. Pour être admissible au concours, il faut avoir une
moyenne académique de A- ou plus sur les deux dernières années d’études à temps
complet. La valeur de la bourse s’élève à 15 000 $, du CRSNG, et à plus de 6 000 $
de l’organisme partenaire. Les boursières et les boursiers doivent consacrer 20 pour
cent de leur temps (50 jours par an) à une recherche réalisée dans les locaux de
l’organisme partenaire.
On peut obtenir des renseignements au sujet de cette bourse à http://www.nserc-crsng.gc.ca/Students-Etudiants/PG-CS/IPS-BESII_fra.asp.
Ces bourses exigent que les étudiantes et les étudiants définissent un projet de
recherche impliquant un partenaire industriel. La bourse de premier cycle est
considérée comme un travail. Un professeur ou une professeure servira de contact et les
boursières et les boursiers devront se trouver un superviseur au sein de la compagnie.
Dans le cas des bourses d’études supérieures à incidence industrielle, la thèse
relève de l’université. Le superviseur sera la directrice ou le directeur de thèse.
Dans tous ces cas, il faut prévoir des démarches supplémentaires aux démarches
habituelles pour obtenir une bourse d’études.
Pour obtenir plus de renseignements, prière de communiquer avec l’un des membres du
Bureau de soutien à l’innovation de la Faculté des études supérieures et de la
recherche au 858-4307. Il est aussi possible de communiquer avec Pierre Cormier, agent de
liaison pour les bourses du CRSNG à l’Université de Moncton, au 858-4516, ( pierre.cormier@umoncton.ca).
| Atelier de communication à l’intention des femmes professionnelles du milieu universitaire et collégial
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Atelier de communication à l’intention des femmes professionnelles du milieu universitaire et collégial Dans le cadre du projet Femmes et médias en Acadie, une initiative du Regroupement
féministe du Nouveau-Brunswick, un atelier intitulé Intervention médiatique et
développement de compétences sera présenté à Edmundston, le 27 octobre, à
Shippagan, le 29 octobre, et à Moncton, le 31 octobre.
Animé par Pascale Paulin, consultante en communications, l’atelier conçu spécialement
pour les femmes du milieu universitaire et collégial permettra d’en apprendre davantage
sur le développement du message médiatique, la préparation aux entrevues médiatiques
et la rédaction de communiqués de presse et de plans de communication.
En prenant part à cet atelier, les participantes auront la chance de perfectionner leurs
talents de communicatrices et contribueront à améliorer l’apport des femmes dans les
médias.
Pour obtenir plus de renseignements ou pour s’inscrire à l’atelier, prière de
communiquer avec Joëlle Martin à l’adresse joelle.martin@rfnb.ca.
| Portes ouvertes pour les élèves des écoles secondaires francophones
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Portes ouvertes pour les élèves des écoles secondaires francophones Les 21 et 23 octobre, le Bureau du recrutement étudiant du campus de Moncton organise les
journées portes ouvertes. Près de 800 élèves des écoles secondaires francophones des
Maritimes seront au campus et participeront à des activités organisées par les
facultés et écoles en plus d’assister à des cours.
Voici les écoles participantes :
Journée du 21 octobre
Cité des jeunes-A.-M.-Sormany, Centre La fontaine, École acadienne de Pomquet, École
Beau-Port, Carrefour Beausoleil, Clément-Cormier, École Évangéline, École
François-Buote, École Grande-Rivière, École La-Belle-Cloche, Mathieu-Martin, École
N.D.A., École Rose-des-Vents, École secondaire de Clare, Louis-Mailloux,
Mgr-M.-F.-Richard, Thomas-Albert, École régionale Baie-Sainte-Anne, Secondaire
Assomption et École secondaire Népisiguit.
Journée du 23 octobre
CCNB – Dieppe, Centre scolaire Samuel-de-Champlain, École Aux quatre vents,
L’Odyssée, Louis-J.-Robichaud, École Sainte-Anne, Roland-Pépin et W.-A.-Losier.
Renseignements : 858-4443
| Tournoi de golf au profit des activités du 50e anniversaire de l’École de science infirmière
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir les bénévoles, de gauche à droite, Jamie Boudreau, monitrice clinique; Julie Renaud, membre du comité organisateur du tournoi de golf et chargée d’enseignement clinique; Lise Goyer, chargée d’enseignement clinique; Marie-Ève Laforest, chargée d’enseignement clinique; Monica Boudreau, membre du comité organisateur et chargée d’enseignement clinique; Suzanne Harrison, professeure; Sylvie LeBlanc, membre du comité organisateur et chargée d’enseignement clinique; et Monique LeBlanc, mère de Sylvie LeBlanc. Les bénévoles Ronald Blanchard, coordonnateur de laboratoire et de formation simulée; Pierre Godbout, directeur de l’École de science infirmière, et Julie Boudreau, chargée d’enseignement clinique, étaient absents au moment où la photo fut prise. |
Tournoi de golf au profit des activités du 50e anniversaire de l’École de science infirmière Le premier tournoi de golf de l’École de science infirmière de l’Université de
Moncton, qui a eu lieu le samedi 20 septembre, a connu un franc succès avec la
participation de 16 équipes, incluant des membres de l’équipe masculine de hockey des
Aigles Bleus. Le comité d’organisation remercie toutes les participantes, tous les
participants, les bénévoles ainsi que les commanditaires pour leur contribution à cet
événement et les convie à la deuxième édition qui aura lieu l’an prochain.
Cette année, les profits serviront à financer les activités entourant le 50e
anniversaire de l’École de science infirmière. De plus, un don sera remis à
l’organisme Little Wishes Charity.
| Célébrations entourant le 150e anniversaire du Collège Saint-Joseph
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Célébrations entourant le 150e anniversaire du Collège Saint-Joseph Dans le cadre des activités entourant le 150e anniversaire de fondation du Collège
Saint-Joseph, l’oratorio La vallée des possibles : l’œuvre de Camille
Lefebvre sera présenté du 9 au 12 octobre au Monument-Lefebvre de Memramcook.
Une pléiade d’artistes de renom fera partie de cette création musicale originale,
produite par La société culturelle de la Vallée de Memramcook, dont Danny Boudreau,
Lina Boudreau, Selby Evans, Christian Kit Goguen, Monette Gould, Justin Guignard, Mélanie
LeBlanc, Ulric LeBlanc et Denis Richard qui donneront voix aux différents personnages de
ce grand spectacle musical pour chœur, solistes et orchestre. Ils seront accompagnés de
Symphonie Nouveau-Brunswick sous la direction du chef d’orchestre Michael Newnham. La
mise en scène de La vallée des possibles : l’œuvre de Camille Lefebvre a été
confiée à René Cormier. Les billets sont en vente au coût de 30 $.
Le samedi 11 octobre, à compter de 15 heures, le grand retour des anciens du Collège
aura lieu en l’Église Saint-Thomas et un buffet sera servi à la Chapelle de l’ancien
Collège Saint-Joseph. Les billets pour cette activité sont en vente au coût de 45 $.
À l’occasion de l’Action de grâce, le dimanche 12 octobre, à 11 heures, une messe
commémorative animée par le Choeur Neil-Michaud sera célébrée en l’Église
Saint-Thomas. Une réception offerte par la municipalité de Memramcook suivra.
Pour obtenir plus de détails au sujet des activités du 150e anniversaire du Collège
Saint-Joseph, visitez le site Web http://www.150csj.ca ou composez le 758-4056. On peut aussi se
procurer des billets pour les activités en composant le 758-9808.
| Coup de cœur francophone : Louis-Jean Cormier et Caroline Savoie à Moncton le 16 octobre
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Coup de cœur francophone : Louis-Jean Cormier et Caroline Savoie à Moncton le 16 octobre Dans le cadre du Coup de cœur francophone 2014, Louis-Jean Cormier et Caroline Savoie
montent sur scène le jeudi 16 octobre à 21 heures au resto-lounge Le 63 au campus de
Moncton. Caroline Savoie assurera la première partie du spectacle et Louis-Jean Cormier
présentera ensuite des compositions de son tout récent album solo intitulé Le
treizième étage. Le bar sera ouvert pour l'occasion.
Les billets sont en vente au coût de 15 $ pour les étudiantes et les étudiants et de 25
$ pour les autres personnes. Le spectacle est une présentation de la radio étudiante
CKUM et du journal étudiant Le Front en collaboration avec le Service des loisirs
socioculturels de l'Université de Moncton, campus de Moncton.
Parmi les autres activités à venir en octobre, mentionnons les Grands explorateurs
(L’Espagne, Andalousie), le 17 octobre, et l’Entrepôt du rire avec Luc LeBlanc et ses
invités, le 22 octobre.
La billetterie du Service des loisirs socioculturels est située dans le Centre étudiant
au campus de Moncton. Ses heures d’ouverture sont du lundi au vendredi de 9 heures à 16
heures. On peut aussi se procurer des billets en composant le 858-4554 ou le
1-800-363-8336.
| La série Les Grands explorateurs propose un voyage en Espagne
Article complet
La série Les Grands explorateurs propose un voyage en Espagne Dans le cadre de la série Les Grands explorateurs, le Service des loisirs
socioculturels présente le documentaire Exaltante Andalouise, du cinéaste Patrick
Bureau, le vendredi 17 octobre à 20 heures dans la salle de spectacle du pavillon
Jeanne-de-Valois, au campus de Moncton.
Le public sera guidé par le réalisateur et conférencier qui partagera ses souvenirs de
l’Andalousie. « Le film est ma façon personnelle de vous faire ressentir le caractère
racé de ces lieux uniques, comme si vous y étiez, explique le cinéaste. Durant de
longs mois, j’ai vécu au rythme andalou pour extraire l’essence de ces terres chaudes
et colorées. Je vous transporte avec moi au cœur de Séville, Cordoue et Grenade. Vivez
le pèlerinage du Rocio et l’épopée de Christophe Colomb, voyez les cultures sous
serres d’El Ejido et les caves Troglodytes de Guadix. »
En tant que cinéaste indépendant, M. Bureau a réalisé de nombreux documentaires sur la
Laponie, le Kenya, le Mexique, la Thaïlande, entre autres. Sa passion de l'image et du
voyage l'a conduit à rejoindre la tribune des Grands Explorateurs pour y
présenter ses derniers reportages sur l'Autriche et la Grèce Continentale.
L’entrée est de 10 $ pour les étudiantes et les étudiants et de 18 $ pour les autres
personnes. La billetterie du Service des loisirs socioculturels est située au Centre
étudiant. Ses heures d’ouverture sont du lundi au vendredi de 9 heures à 16 heures. On
peut aussi se procurer des billets en composant le 858-4554 ou le 1-800-363-8336.
Renseignements : http://www.umoncton.ca/umcm-sls/spectacles.
| Cette semaine au Ciné-Campus : Bunker avec Martin Dubreuil et Patrice Robitaille
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Cette semaine au Ciné-Campus : Bunker avec Martin Dubreuil et Patrice Robitaille Réalisé par Patrick Boivin et Olivier Roberge, le drame psychologique Bunker,
avec les comédiens Martin Dubreuil et Patrice Robitaille, prend l’affiche du
Ciné-Campus le jeudi 9 et le vendredi 10 octobre, à 20 heures.
Synopsis : Les soldats Tremblay et Gagnon relèvent leurs collègues et se
préparent pour une mission de six mois dans un bunker isolé. Leur tâche consiste à
appuyer sur un bouton si jamais une alarme se fait entendre. Même si la Guerre froide est
terminée depuis longtemps, ils croient que leur tâche déclencherait une riposte
nucléaire. Tremblay n'hésite pas à boire ou à sortir du bunker pour patiner ou
pêcher. Gagnon, lui, demeure à son poste. Un jour, l'alarme retentit.
Les projections du Ciné-Campus ont lieu tous les jeudis et les vendredis à 20 heures
dans l’amphithéâtre du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton. Les billets
sont en vente à l’entrée au coût de 5 $ pour les étudiantes et les étudiants et de
7 $ pour les autres personnes.
| Kamylle Frenette et Pier-Antoine Dion sont les athlètes de la semaine
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Kamylle Frenette et Pier-Antoine Dion sont les athlètes de la semaine La coureuse Kamylle Frenette, de Dieppe, et le joueur de hockey Pier-Antoine Dion, de
Saint-Christophe-d’Arthabaska, au Québec, sont les athlètes de la semaine
Physiothérapie Sportmed pour la période du 29 septembre au 5 octobre à l'Université de
Moncton.
Kamylle Frenette est une recrue au sein de l’équipe de cross-country. Elle a terminé
16e lors de la 32e Classique de cross-country de l’Université de Moncton tenue samedi
et elle était l’une des premières recrues à traverser la ligne d’arrivée. Elle est
étudiante au Diplôme des sciences de la santé (DSS).
L’attaquant Pier-Antoine Dion a réussi un but et a fait une passe dans la défaite de 6
à 4 des Aigles Bleus face aux Huskies de Saint Mary’s University, samedi à Cap-Pelé,
dans un match préparatoire de hockey masculin. Il a également excellé lors des
désavantages numériques. Il est étudiant au Baccalauréat en administration des
affaires avec spécialisation en marketing (régime coopératif).
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