|
|
Voici les archives de l’Hebdo-Campus du 16 avril 2009 au 20 septembre 2018
Richard Saillant est nommé directeur général de l’ICRPAP
Article complet
Richard Saillant est nommé directeur général de l’ICRPAP Le recteur et vice-chancelier, Raymond Théberge, et le président du Conseil et directeur
général par intérim de l’Institut canadien de recherche en politiques et
administration publiques (ICRPAP), Donald Savoie, ont annoncé la nomination de Richard
Saillant à titre de directeur général de l’Institut. Sa nomination entrera en vigueur
le 1er juillet prochain.
M. Saillant est l’actuel vice-recteur à l’administration et aux ressources humaines
de l’Université de Moncton, poste qu’il occupe depuis juillet 2011.
La carrière de M. Saillant au sein du gouvernement fédéral lui a permis d’occuper des
postes de responsabilité dans divers domaines, y compris au niveau de l’analyse,
l’élaboration et l’administration de politiques publiques. Avant de joindre
l’Équipe de direction de l’Université de Moncton, il occupait le poste de directeur
général à l’examen des investissements et à la planification stratégique au sein
d’Industrie Canada. À l’emploi de la fonction publique fédérale depuis 1997, il
avait entre autres été directeur de la politique ferroviaire chez Transports Canada et
économiste au Bureau du Conseil privé du Canada.
« M. Saillant possède une vaste expérience en matière de politiques et administration
publiques, a déclaré Donald Savoie. Son parcours au sein de la fonction publique
fédérale l’a bien préparé pour le rôle de directeur général de l’ICRPAP. »
M. Théberge a souligné pour sa part l’excellent travail du vice-recteur depuis près
de deux ans. « M. Saillant s’acquitte de ses fonctions de vice-recteur avec brio et sa
contribution à l’Équipe de direction de l’Université est bien appréciée.
Heureusement pour nous, il demeurera rattaché à son alma mater dans ces nouvelles
fonctions. »
Originaire de Val-Comeau, M. Saillant possède le baccalauréat ès arts avec double
majeure en économie et en science politique de l’Université de Moncton, la maîtrise
en sciences économiques de l’Université de Montréal et la maîtrise en administration
des affaires de l’Université McGill.
Le concours visant à combler le poste de vice-rectorat à l’administration et aux
ressources humaines de l’Université de Moncton sera lancé au cours des prochains mois.
| Lancement d’un premier titre de la collection « Bibliothèque acadienne » de l’Institut d'études acadiennes
Article complet
Lancement d’un premier titre de la collection « Bibliothèque acadienne » de l’Institut d'études acadiennes Raymond Théberge, recteur et vice-chancelier, Isabelle McKee-Allain, directrice de
l’Institut d’études acadiennes, et le Groupe de recherche en édition critique de
l’Université de Moncton vous invitent à assister au lancement de l’édition critique
du livre « Sans jamais parler du vent : roman de crainte et d’espoir que la mort arrive
à temps », de France Daigle, le jeudi 7 février à 16 heures dans le local 136 du
pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.
Premier titre de la collection « Bibliothèque acadienne » de l’Institut d’études
acadiennes et du Groupe de recherche en édition critique, cette édition critique a été
établie par la professeure Monika Boehringer, de Mount Allison University. Cette
collection réunit en éditions critiques les textes fondamentaux de la littérature
acadienne.
Pour l’occasion, le président et vice-chancelier de Mount Allison University, Robert
Campbell, sera présent ainsi que l’auteure France Daigle.
Ce lancement s’inscrit dans le cadre des activités entourant le 50e anniversaire de
fondation de l’Université de Moncton.
Prière de confirmer votre présence au plus tard le lundi 4 février en communiquant avec
Gisèle Brun, au 858-4883, ou par courriel à l’adresse
relationsuniversitaires@umoncton.ca
Un léger goûter sera servi. Bienvenue à tous et à toutes.
Renseignements : 506-858-4883.
| Thérèse Saulnier recevra la Médaille du jubilé de diamant de la reine Elizabeth II
Article complet
Agrandir l'imageThérèse Saulnier, chargée de cours à l’École de kinésiologie et de récréologie. |
Thérèse Saulnier recevra la Médaille du jubilé de diamant de la reine Elizabeth II L’Association canadienne des entraîneurs a laissé savoir que 49 personnes qui ont
joué un rôle de premier plan dans l’élaboration et la prestation du Programme
national de certification des entraîneurs (PNCE) au cours des quatre dernières
décennies recevront la Médaille du jubilé de diamant de la reine Elizabeth II.
Thérèse Saulnier, chargée de cours à l’École de kinésiologie et de récréologie
de la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires de l’Université
de Moncton, est la seule néo-brunswickoise à recevoir la médaille dans cette
discipline.
Cette médaille est présentée à un individu qui est une personne ressource, formateur
de personnes ressources, évaluateur ou formateur d’évaluateur et/ou qui a participé
à l’élaboration de composantes du Programme national de certification des
entraîneurs. Il a apporté pendant une période de cinq ans ou plus et dans le cadre du
PNCE une contribution significative au développement de l’entraînement dans un sport,
une province, un territoire, une région ou une collectivité du Canada.
Thérèse Saulnier donne des cours du Programme national de certification des entraîneurs
depuis le début des années 1980. D’abord entraîneuse de badminton, elle est devenue
une personne ressource pour la composante technique de ce sport. Elle est présentement
formatrice de personnes ressources pour le module Habiletés liées aux fondements du
mouvement, et personne ressource avancée et formatrice de personnes ressources pour le
module Compétition-développement multisports.
Elle est aussi mentor pour les personnes ressources au Nouveau-Brunswick, non seulement
pour le composant multisports mais aussi pour des sports particuliers. Mme Saulnier était
présidente du Centre de formation des entraîneurs du Nouveau-Brunswick (aujourd’hui
nommée Entraîneur NB) lors de sa création en 1998 et a occupé le poste jusqu’en
2005.
Professeure d’éducation physique à la retraite, elle enseigne présentement au
Département de kinésiologie de l’Université de Moncton. Elle a proposé son expertise
non seulement au Nouveau-Brunswick mais aussi ailleurs au Canada atlantique et dans le
cadre des Jeux du Canada. Elle est une personne ressource inestimable et une personne
exceptionnelle qui croit à la formation des entraîneurs.
« Votre amour pour le sport et votre contribution au développement de l’entraînement
sportif dans notre province et au Canada sont remarquables, a laissé savoir le directeur
de l’École de kinésiologie et de récréologie, Horia-Daniel Iancu. Vous méritez sans
doute ce prix. Vous faites partie du groupe de collaborateurs de notre École et je suis
heureux de constater que nos étudiants et étudiantes sont très chanceux de vous avoir
en tant que professeure. »
Le président, Randy Smith, attribue à Mme Saulnier et aux personnes dont elle s'est
entourée dans son rôle de présidente l'établissement d’assises solides sur
lesquelles repose Entraîneur NB aujourd'hui. Un prix spécial lui sera présenté pour
souligner ses réalisations.
Renseignements : 506-444-3888 / manon.ouellette@gnb.ca
| Séminaire portant sur les déterminants de l’innovation au Canada en compagnie de l’économiste Dany Brouillette
Article complet
Séminaire portant sur les déterminants de l’innovation au Canada en compagnie de l’économiste Dany Brouillette Dany Brouillette, économiste à Industrie Canada, prononcera une conférence, intitulée
« Déterminants de l’innovation, complémentarité de l’innovation et performance des
entreprises au Canada », le jeudi 31 janvier de 15 heures à 16 h 30 dans le local 205 du
pavillon Jean-Cadieux au campus de Moncton.
Un nouvel environnement de données est utilisé pour illustrer la complexité du
processus d'innovation, identifier les intrants à l'innovation les plus importants et
déterminer la relation entre l'innovation et la productivité du travail au Canada.
Les principaux résultats provenant d'un modèle de type Crépon-Duguet-Mairesse peuvent
se résumer comme suit : les données soutiennent la conclusion que l'innovation est un
processus complexe qui impliquent plusieurs types d'intrants; l'innovation passée est
l'intrant le plus important pour l'innovation présente; une classification de
l'innovation procédé/organisationnelle et produit/marketing décrit bien la relation
entre les types d'innovation; l'effet marginal de l'innovation de procédé sur la
croissance de la productivité du travail est positif; et les relations de
complémentarité et substitution entre l'innovation et la croissance de la productivité
concernent principalement l'innovation organisationnelle et de procédé.
Cette conférence proposée à titre gracieux s’adresse à tous et elle sera suivie
d’une séance de réseautage pour les personnes participantes. Eau, café et biscuits
seront servis.
Possédant le doctorat en sciences économiques de l'Université Laval, Dany Brouillette
est spécialisé en économie du travail, en évaluation de programmes et en économétrie
appliquée. Depuis 2007, il travaille à la direction générale de la recherche
économique et de l'analyse de politique à Industrie Canada. Dans le cadre de son
travail, il participe à l'élaboration et à l'analyse des données provenant des
enquêtes sur l'innovation et les stratégies d'entreprises (2009, 2012) et coordonne des
relations avec Statistique Canada.
Ses principaux thèmes de recherche touchent l'innovation, incluant la recherche et
développement, les pratiques de gestion et la propriété intellectuelle, ainsi que la
mesure des impacts des différents aspects de l'innovation sur la performance des
entreprises au Canada.
Pour assurer que la salle dispose d’un nombre suffisant de places, veuillez confirmer
votre présence avec Céline Basque, adjointe administrative de l’Institut canadien de
recherche en politiques et administration publiques, par courriel à
celine.h.basque@umoncton.ca ou par téléphone au 858-4506.
| Le pianiste Julien LeBlanc présente un récital au campus de Moncton
Article complet
Le pianiste Julien LeBlanc présente un récital au campus de Moncton Le pianiste Julien LeBlanc présentera un récital, le vendredi 1er février à 19 heures
dans la salle Neil-Michaud du pavillon des Beaux-arts au campus de Moncton.
Pour ce retour au récital solo, Julien LeBlanc a choisi d’interpréter deux grands
piliers du répertoire pour piano, les romantiques Kreisleriana Op.16, de Robert Schumann,
et la contemporaine Sonate, d’Henri Dutilleux. Grand compositeur français du 20e
siècle, né
en 1916, Henri Dutilleux est toujours en activité créatrice. M. LeBlanc interprétera
également des Sonates de Domenico Scarlatti et des oeuvres de Maurice Ravel.
Virtuose à l'enthousiasme contagieux, le pianiste Julien LeBlanc est reconnu pour sa
grande sensibilité musicale et ses dons de communicateur. Basé à Montréal, il est
très actif sur la scène musicale canadienne comme soliste, chambriste et
accompagnateur.
En 2002, la Fondation des arts du Nouveau-Brunswick lui a décerné le prix « Artiste en
début de carrière de l'année ». Après ses débuts au Centre national des arts à
Ottawa en 2003, il enchaîne concerts et tournées, dont plusieurs partout au Canada avec
le violoniste Marc Djokic pour la série Début Atlantique et les Jeunesses musicales
du
Canada.
Il s'est produit comme soliste avec Atlantic Sinfonia et le Quatuor à cordes de
Saint-Jean. Ses concerts sont diffusés régulièrement sur les ondes d'Espace Musique et
de CBC. Il a été maintes fois boursier du Conseil des arts du Canada et de celui du
Nouveau-Brunswick. Depuis 2012, il partage la direction artistique de l’Été musical de
l’Église historique de Barachois.
Au cours des prochains mois, M. LeBlanc est invité à Moscou pour donner un récital de
musique canadienne avec la soprano Caroline Bleau et le baryton Marc-Antoine D’Aragon.
Il sera également en récital à la Chapelle historique du Bon-Pasteur à Montréal avec
la soprano Nathalie Paulin dans un programme d’oeuvres de Francis Poulenc.
Les billets pour ce récital seront disponibles à l’entrée au coût de 15 $ pour les
adultes et 10$ pour les étudiants.
Renseignements : 514-781-2917 / julienleblanc.piano@gmail.com
| Campagne Centraide : l’objectif a été atteint au campus de Moncton
Article complet
Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Dora Léger, Roger Boulay, Josette Mallet, Julien Chiasson, président de la campagne; Ginette Caissie; Roger Boudreau; Lucille Allen, Lewis St-Onge et Monette Saulnier. |
Campagne Centraide : l’objectif a été atteint au campus de Moncton La campagne Centraide au campus de Moncton est maintenant terminée et ensemble, nous
avons pu offrir plus de 29 500 $ à cet organisme si important que nous soutenons depuis
de nombreuses années. Malgré l’incertitude économique qui prévaut actuellement,
nous avons répondu à l’appel et nous vous en sommes très reconnaissants. C’est un
indicatif de la très grande générosité du personnel et de nos personnes
retraitées.
Tel que mentionné pendant la campagne, il y avait des prix de participation. Voici la
liste de ceux et celles dont le nom a été tiré au hasard : Gisèle McIntyre-Thériault,
carte cadeau de 20 $ de la Librairie acadienne; Mikaël Doucet, carte cadeau de 20 $ de la
Librairie acadienne; Jean-François Thibault, carte cadeau de 20 $ de la Librairie
acadienne; Rose-Mai Landry, carte cadeau de 20 $ de la Librairie acadienne; Yoland
Bordeleau, carte cadeau de 20 $ de la Librairie acadienne; Lise Dubois, carte de membre de
trois mois du Ceps Louis-J.-Robichaud; Richard Saillant, carte de membre de trois mois du
Ceps Louis-J.-Robichaud; Isabelle McKee-Allain, carte cadeau de 25 $ de Sodexho; Bernard
de Dormale, carte cadeau de 25 $ de Sodexho; Nathalie Maillet, permis de stationnement
d’un an; et Victoria Volkanova, permis de stationnement d’un an.
Le recteur, Raymond Théberge, et le président de la campagne Centraide au campus de
Moncton, le professeur Julien Chiasson, remercient chaleureusement toutes les personnes
bénévoles qui ont apporté leur soutien lors de cette campagne de financement. C’est
une participation qui est toujours très appréciée. Merci également à chacun et
chacune d’entre vous pour votre générosité.
| La recherche automatique d’images par la méthode statistique dite « Mean-Shift » en compagnie du professeur Éric Hervet
Article complet
La recherche automatique d’images par la méthode statistique dite « Mean-Shift » en compagnie du professeur Éric Hervet Éric Hervet, professeur au Département d’informatique de l’Université de Moncton,
prononcera une conférence, intitulée « Recherche automatique d’images par la méthode
statistique dite « Mean-Shift » basée sur des histogrammes de couleurs », le jeudi 31
janvier à 13 h 30 dans le local A-102 du pavillon Rémi-Rossignol au campus de
Moncton.
Cette conférence s’inscrit dans le cadre des célébrations entourant l’Année
internationale de la statistique et est organisée par le Département de mathématiques
et de statistique.
Internet est notamment une gigantesque base d’images numériques. Une question se pose
alors : Comment y recherche-t-on automatiquement, c’est-à-dire sans mots-clés, des
images possédant des caractéristiques visuelles particulières ?
Une solution consiste par exemple à rechercher des images qui se « ressemblent ». Pour
ce faire, on procède d’une part à une analyse des distributions de couleurs de
plusieurs images pour y détecter les couleurs dominantes, puis on mesure la similarité
entre images à partir de cette analyse de couleurs. Techniquement, on utilise une
méthode d’analyse statistique appelée Mean-Shift pour la première étape en faisant
quelques hypothèses sur les distributions de couleurs, et une mesure statistique basée
sur le coefficient de Bhattacharyya pour la deuxième étape.
Le professeur Hervet expliquera quel est l’avantage d’utiliser les couleurs plutôt
que d’autres renseignements et des exemples sur des bases de plusieurs milliers
d’images réelles seront présentés.
Une réception suivra la conférence. Bienvenue à toutes et tous.
Renseignements : 858-4298 / martine.arsenault@umoncton.ca
| Seize bénéficiaires de bourses pour le monitorat étudiant du Centre d’aide en français
Article complet
Agrandir l'imageLa photo fait voir de gauche à droite, 1re rangée : Cynthia Létourneau, responsable du Centre d’aide en français; les boursières Marie LeBlanc de Petit-Rocher, Mylène Arsenault de Saint-Antoine, Monica Maillet de Fredericton, Dominique Poirier de Dartmouth en Nouvelle-Écosse, Janick Rousseau de Shippagan; et Micheline Durepos, professeure du cours « Enseigner pour apprendre »; 2e rangée : Lisa Roy, doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales; les boursiers et boursières Sandra Aubut de Saint-Quentin, Alexa-Maude Mallais de Duguayville, Solange Saulnier de Rivière-du-Portage, Pierre Boudreau de Laplante Sud, Jessica Guignard Mallet de Bathurst, et Rock Poirier de Saint-Quentin.
Les bénéficiaires Vanessa Doucet de Balmoral, Mindy Gagné de Grand-Sault, Frédéric Landry de Caraquet, Cindy Lee Sonier de Tracadie-Sheila, et Karine Verdon de Robertville étaient absents au moment de la prise de photo. |
Seize bénéficiaires de bourses pour le monitorat étudiant du Centre d’aide en français Le Centre d’aide en français (CAF) a pour mission d’offrir un encadrement aux membres
de la communauté universitaire de l’Université de Moncton qui souhaitent régler
certaines difficultés liées à la langue française écrite.
Parmi les divers services proposés par le CAF figure notamment le monitorat étudiant,
une pratique qui repose sur le principe voulant que l’enseignement par les pairs
constitue un complément utile à celui du professeur ou de la professeure.
Afin de former les moniteurs et les monitrices de français, l’Université de Moncton
offre le cours FRAN/ÉDUC 3010 - Enseigner pour apprendre chaque semestre d’automne. Les
étudiants et les étudiantes qui se démarquent par l’excellence de leur rendement
peuvent être par la suite sélectionnés pour recevoir une bourse de travail leur
permettant de revivre une expérience de monitorat au Centre d’aide en français.
Chaque bénéficiaire obtient ainsi la chance d’explorer le monde de l’enseignement en
aidant deux personnes à améliorer leurs compétences en français écrit.
Renseignements : 858-4319.
| Les défis associés au multiculturalisme au Canada et en Europe seront discutés lors d’un atelier international
Article complet
Les défis associés au multiculturalisme au Canada et en Europe seront discutés lors d’un atelier international Le Centre Métropolis, la Faculté des arts et des sciences sociales et le Groupe de
recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact organisent un atelier
international, intitulé « Les horizons dépassés du multiculturalisme ? », le jeudi 7
février à 16 h 30 dans le local 106 de l’édifice des arts au campus de Moncton.
Les professeurs Jean-François Caron, du Département de science politique de
l’Université de Moncton, Matteo Gianni, du Département de science politique de
l’Université de Genève, et la professeure Elke Winter, du Département de sociologie
de l’Université d’Ottawa, viendront livrer leurs réflexions sur le sujet.
Auteure de nombreux articles scientifiques, Elke Winter s’est fait remarquer en 2011
avec la publication de son livre, intitulé « Us, Them, and Others : Pluralism and
National Identity in Diverse Societies », aux Presses de l’Université de Toronto. Pour
sa part, Matteo Gianni a écrit plusieurs articles autour de la Suisse et de
l’intégration de sa minorité musulmane, et il s’intéresse notamment aux théories
de la citoyenneté ainsi qu’aux politiques publiques en matière d’immigration et
d’intégration.
Les conférenciers en profiteront pour discuter des défis associés au multiculturalisme
au Canada et en Europe, du bien-fondé des critiques contre la diversité ethnoculturelle
mais aussi des manières à notre disposition pour repenser un vivre-ensemble en contexte
de pluralisme identitaire.
Cet événement s’inscrit dans une série d’activités qui culmineront par
l’organisation d’un colloque le 7 mai prochain à l’Université Laval dans le cadre
du 81e congrès de l’Association francophone pour le savoir (ACFAS).
Renseignements : Chedly Belkhodja, au 858-3749
| Alain Patoine présente une partie de ses travaux portant sur la santé des rivières côtières du nord-est du Nouveau-Brunswick
Article complet
Agrandir l'imageAlain Patoine, professeur en gestion intégrée des zones côtières, sur le terrain. |
Alain Patoine présente une partie de ses travaux portant sur la santé des rivières côtières du nord-est du Nouveau-Brunswick Comme chaque début d'année, la Société canadienne de limnologie (SCL) et la Canadian
Conference for Fisheries Research tiennent leur congrès annuel rassemblant environ 300
chercheurs des milieux universitaires et gouvernementaux qui œuvrent dans les sciences
aquatiques partout au Canada et aux États-Unis. Cette année, il a eu lieu du à Windsor,
en Ontario, à proximité du lac Érié.
Les conférences plénières ont souligné l'importance grandissante d'une approche
intégrée et multidisciplinaire à l'étude des écosystèmes. Ce qui veut dire que les
projets de recherche ne doivent plus seulement aborder des questions de sciences
naturelles, mais doivent aussi aborder des aspects des sciences sociales et économiques
afin de mieux contribuer au dynamisme des sociétés. Communiquer les résultats des
travaux de recherche ou recourir à la participation du public est également nécessaire.
En effet, c'est souvent grâce aux citoyens que les résultats de la recherche peuvent
avoir le plus grand impact sur la société. Ces constatations renforcent la pertinence de
l'approche préconisée en gestion intégrée des zones côtières (GIZC).
Alain Patoine, professeur-chercheur au baccalauréat en gestion intégrée des zones
côtières au campus de Shippagan, y a présenté une partie de ses travaux portant sur la
santé des rivières côtières du nord-est du Nouveau-Brunswick. Les résultats
présentés sont en partie le fruit de la thèse de Wilcken Destravil, étudiant à la
maîtrise en études de l'environnement à l'Université de Moncton.
Il ressort que la qualité des eaux et la productivité biologique des rivières Caraquet,
Pokemouche, Petite Tracadie et Tabusintac dépendent autant des conditions naturelles que
des activités humaines de transformation du territoire. Par exemple, la couleur et la
turbidité des eaux augmentent après une pluie et sont plus élevées dans les rivières
drainant de grandes surfaces de territoire, comme c'est le cas pour la rivière Caraquet
dont le bassin versant est environ 300 fois plus grand que la rivière elle-même. La
pluie et la surface de bassin versant sont des conditions que l'on peut difficilement
gérer. À l'opposé, la proportion de terres humides s'avère une caractéristique du
bassin versant que l'on peut gérer et qui influence aussi la qualité des eaux des
rivières la Péninsule acadienne. Il semble en effet que la limpidité des eaux et la
production biologique primaire sont plus faibles là où la proportion de terres humides
est plus élevée.
À terme, ces travaux visent à identifier les caractéristiques territoriales gérables
qui nous aideraient à maintenir des rivières qui fournissent une variété de biens et
services à la société, comme les pêcheries commerciales et sportives, la baignade, le
tourisme, la conservation, et l'éducation.
Renseignements : http://professeur.umoncton.ca/umcs-patoine_alain/node/8
| SHA : colloque portant sur l’Acadie, l’histoire et l’éducation
Article complet
SHA : colloque portant sur l’Acadie, l’histoire et l’éducation La Société historique acadienne (SHA) organise un colloque, intitulé « L’Acadie,
l’histoire et l’éducation », le samedi 16 février de 8 h 30 à 16 h 30 au pavillon
Adrien-J.-Cormier au campus de Moncton.
Ce colloque, qui s’inscrit dans le cadre des activités entourant le 50e anniversaire de
fondation de l’Université de Moncton, s’adresse aux membres de la Société
historique, aux étudiants et étudiantes, aux membres du corps professoral et à ceux du
corps enseignant des écoles publiques ainsi qu’à tous ceux et celles qui
s’intéressent à l’histoire de l’Acadie. Présenté dans le cadre de la Semaine
nationale du patrimoine qui se tient du 11 au 18 février, il permettra aussi de faire
connaître au public la contribution de l’Université de Moncton et de la Société
historique acadienne au progrès de l’histoire et du patrimoine acadiens.
Au programme, on prévoit une conférence de Sylvie Lebel, du ministère provincial de
l’Éducation, portant sur le contenu et les modalités d’enseignement de l’histoire
dans les écoles francophones de la province. De plus, Jeanne Mance Cormier, conservatrice
au Musée acadien de l’Université de Moncton, prononcera une conférence portant sur la
transmission du savoir par les musées et les moyens utilisés pour faire connaître au
public les collections d’objets historiques et les documents d’archives. Sylvie
Ladouceur, de l’Institut d’études acadiennes, parlera ensuite des carnavals comme
phénomène social et, plus précisément, des différentes formes de représentation
historique, littéraire, ethnique et occupationnelle lors des carnavals d’hiver au
sud-est du Nouveau-Brunswick.
Par la suite, les étudiantes et l’étudiant en histoire Laura Huet, Carolynn McNally et
François LeBlanc présenteront leurs travaux de recherche, tandis que les historiens
Maurice Basque et Gregory Kennedy proposeront un exposé portant sur l’historiographie
et les tendances récentes en histoire acadienne. Une table ronde portant sur
l’évolution de l’histoire de l’Acadie clôturera la partie formelle du colloque.
Les personnes participantes seront ensuite invitées à visiter les sites à valeur
historique ou patrimoniale logés à l’Université de Moncton, soit le bureau de la
Société historique acadienne, le Centre d’études acadiennes Anselme-Chiasson et le
Musée acadien.
Les personnes intéressées à participer à ce colloque peuvent obtenir le programme
détaillé et d’autres renseignements utiles en écrivant à Société historique
acadienne, case postale 632, Moncton, N.-B., E1C 8M7, ou par courriel à societehistoriqueacadienne@gmail.com
ou encore en téléphonant au secrétariat de la SHA, au 858-4798.
| Une exposition de dessins, peintures et films de Natalie Morin est présentée à la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen
Article complet
Une exposition de dessins, peintures et films de Natalie Morin est présentée à la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen La Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen présente « Lollipops and Rainbows : dessins
peintures et films de Natalie Morin », une exposition d’oeuvres récentes réalisées
dans le cadre d’une résidence d’artiste de quatre mois à l’été et à l’automne
2012. L’exposition sera présentée jusqu’au 28 mars.
Le vernissage aura lieu le mercredi 30 janvier à 17 heures avec une performance à 17 h
30. Il sera suivi d’une soirée artistique avec vin et fromage présentée dans le
cadre de la Semaine des arts par les étudiantes et étudiants des départements
d’anglais, de musique et des arts visuels commençant à 18 heures à la Galerie le
Triangle du Département des arts visuels.
Formée en danse, Natalie Morin réalise aussi des dessins, des peintures et des films
super 8 qui s’imbriquent dans sa pratique performative. Dotée d’un plus grand espace,
la résidence lui a permis de travailler en grand format, réalisant une série
d’oeuvres monumentales sur toile et sur papier. Ses oeuvres sont issues de
l’observation et de la documentation de son quotidien qui est peuplé de personnages
colorés et d’environnements enchantés. « Lollipops and Rainbows » regroupe aussi une
série d’oeuvres de nature théâtrale qui sont inspirées des répertoires classiques,
dont la Divine comédie de Dante et les Ballets modernes de Stravinsky.
Natalie Morin est née à Kinston, en Ontario. Elle a reçu sa formation en danse à
l'Atelier de danse moderne de Montréal. De 1986 à 1992, elle a dansé avec la compagnie
O'Vertigo un peu partout dans le monde, notamment au Centre national des arts à Ottawa,
au Centre Harbourfront à Toronto, au Lincoln Center à New York et au Centre Pompidou à
Paris, tout en passant par Londres, Madrid et Grenade. Installée à Moncton depuis 2000,
elle collabore avec de nombreux artistes et a présenté des projets de performance
indépendants à Moncton, New York, Montréal et Terre Neuve. Depuis 2005, elle a
participé à diverses expositions en solo ou de groupe. Au cours de sa carrière, elle a
reçu de nombreuses bourses de création, notamment du Conseil des arts et des lettres du
Québec et du Conseil des arts du Canada.
La Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen est située au pavillon Clément-Cormier au
campus de Moncton. Les visites sont libres et la galerie est ouverte de 13 heures à 16 h
30 du mardi au vendredi et de 13 heures à 16 heures le samedi et le dimanche.
Renseignements : 858-4088 / galrc@umoncton.ca/
www.umoncton.ca/umcm-ga.
| Le conteur burkinabé Kientega Pingdéwindé Gérard sera en spectacle à Moncton le 14 février
Article complet
Le conteur burkinabé Kientega Pingdéwindé Gérard sera en spectacle à Moncton le 14 février Le Centre d’accueil et d’accompagnement francophone des immigrants du sud-est du
Nouveau-Brunswick (CAFi) vous invite à célébrer avec lui le 35e anniversaire du Mois de
l’histoire des Noirs, lors d’un spectacle qui aura lieu le jeudi 14 février à 19
heures dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton. Ce
sera le premier d’une tournée de dix spectacles du conteur présentée au Nouveau
Brunswick.
En partenariat avec le Service des loisirs socioculturels dans le cadre de la Semaine
internationale de l’Université de Moncton et la Ville de Moncton, le CAFi invite le
célèbre conteur burkinabé Kientega Pingdéwindé Gérard pour nous raconter des contes
qui abordent les thèmes de l’environnement, de la condition de vie des enfants, de la
mort, de la politique, de la culture des Mossi et plus particulièrement, celle de la
caste des forgerons burkinabés.
Kientega Pingdéwindé Gérard, communément appelé KPG, est issu de la caste des
forgerons et de père orateur. Il a commencé sa carrière en 1997 et s’est donné à
l’art théâtral et au conte. Il a travaillé avec les plus grandes compagnies de
théâtre burkinabées dont l’Atelier Théâtre Burkinabè et le théâtre du Roseau en
France. Il a aussi tourné dans des films de grands réalisateurs burkinabés comme Issa
Traoré de Brahima et Emmanuel Sanou, ainsi que dans des émissions à la
Radio-Télévision du Burkina, Radio-France internationale, France inter à Canal 3, BF1
ou encore Radio Canada.
L’entrée est libre et le spectacle s’adresse à toute la famille.
| Porte-parole des finissants et des finissantes
Article complet
Porte-parole des finissants et des finissantes La Fédération des étudiants et étudiantes du campus de Moncton a le mandat de choisir
le ou la porte-parole des finissants et finissantes pour la collation des diplômes de mai
prochain.
Chaque étudiante ou étudiant finissant intéressé doit en faire la demande auprès de
la Féécum avant le vendredi 8 février à 16 h 30. Les règlements et les règles de
procédure pour la sélection sont disponibles à la Fédération étudiante ainsi que sur
le site http://etudiants.umoncton.ca/umcm-feecum/documents/porteparole.pdf
Le choix devrait se faire pendant la semaine du 10 mars.
Renseignements : 858-4484 / comfee@umoncton.ca
| Marthe Brideau est nommée bibliothécaire en chef de la Bibliothèque Champlain
Article complet
Marthe Brideau est nommée bibliothécaire en chef de la Bibliothèque Champlain Marthe Brideau a été nommée bibliothécaire en chef de la Bibliothèque Champlain de
l’Université de Moncton, campus de Moncton, pour un mandat ordinaire de cinq ans qui
prendra fin en décembre 2017.
Originaire de Tracadie-Sheila, Mme Brideau est diplômée au baccalauréat ès sciences
avec spécialisation en biologie de l‘Université de Moncton. Elle possède également
la maîtrise en bibliothéconomie de l‘Université de Montréal.
Depuis janvier 1999, elle était directrice de la Bibliothèque des sciences de la santé
de l’Université de Sherbrooke où elle était responsable de la gestion des
opérations, des ressources humaines, des ressources documentaires et des collections, de
même que du budget de la Bibliothèque des sciences de la santé et de la promotion de
ses services.
Auparavant et pendant une quinzaine d’années, Mme Brideau a été coordonnatrice de la
Bibliothèque des sciences de la santé et de la bibliothèque du Centre d’oncologie et
du Service d’éducation médicale de la Corporation hospitalière Beauséjour à Moncton
où elle a notamment été responsable du développement des collections, du service de
référence, de la formation, du catalogage et du prêt entre bibliothèques.
Elle a aussi occupé le poste de bibliothécaire professionnelle à l‘Institut canadien
de l’information scientifique et technique au Conseil national de recherches à Ottawa
et bibliothécaire catalogueur au Centre de documentation de Bell Canada à Montréal.
Membre de la Corporation des bibliothécaires professionnels du Québec, Mme Brideau a
également été présidente de l’Association des bibliothèques de la santé du Canada,
présidente de l’Association des bibliothécaires professionnel(le)s du
Nouveau-Brunswick, et présidente de la Maritime Health Libraries Association.
Renseignements : 858-4073 / Marthe.brideau@umoncton.ca
| Le film « La dette » est à l’affiche des Rendez-vous de l’ONF en Acadie
Article complet
Le film « La dette » est à l’affiche des Rendez-vous de l’ONF en Acadie Le film « La dette », de la réalisatrice Jennifer Baichwal (2011, 86 minutes), prendra
l’affiche des Rendez-vous de l’ONF en Acadie, le lundi 4 février à 19 heures dans la
salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton. L’entrée
est libre.
Inspiré d’un ouvrage à succès de Margaret Atwood, ce long métrage document explore
le concept de la dette sous toutes ses formes et met en scène les réflexions de
personnages fascinants et influents, dont Louise Arbour, Karen Armstrong, Conrad Black,
Raj Patel et Bill Rees.
La dette
Inspiré de l’essai à succès de Margaret Atwood « Comptes et légendes, la dette et
la face cachée de la richesse », ce long métrage documentaire de Jennifer Baichwal
présente la dette sous une perspective fascinante en la décrivant comme une construction
mentale et observe son influence sur les relations, les sociétés, les structures
dirigeantes et sur le sort de la planète.
Le film examine le lien qui s’établit entre débiteur et créancier dans divers
contextes, des montagnes du nord de l’Albanie aux champs de tomates du sud de la
Floride, et amalgame des récits passionnants sur le thème « posséder et être
possédé » aux réflexions de penseurs renommés. Récits et réflexions se fondent
grâce aux observations clairvoyantes et fines de Margaret Atwood, laquelle démontre que
le concept de « dette » se situe au cœur même de l’expérience humaine et que,
puisqu’il s’agit d’une idée, l’angle sous lequel on l’envisage en détermine le
fonctionnement.
« À la fois viscéral et révélateur, le film « La dette » nous incite fortement à
réexaminer les fondements de l’inégalité sociale, ce à quoi nous tenons, et le rôle
essentiel des dettes dans l’organisation de nos vies – un rôle déterminant pour nos
relations, pour la société et pour le sort de la planète. » Caroline Libresco,
Sundance.
La réalisatrice
La dette est la première adaptation cinématographique de la documentariste canadienne
Jennifer Baichwal. Cette cinéaste cependant réalise et produit des documentaires depuis
maintenant 18 ans. Présentés partout dans le monde, ses films ont été récompensés au
pays et à l’étranger. Nous lui devons notamment « Let It Come Down: The Life of Paul
Bowles » (1998), « The Holier It Gets » (1999) et « The True Meaning of Pictures »
(2003). « Paysages fabriqués » (2007), qui porte sur l’oeuvre de l’artiste Edward
Burtynsky, a été projeté en salle dans plus de 15 pays, alors que « Act of God »
(2009) a ouvert le Festival Hot Docs. Jennifer Baichwal travaille en ce moment à la
production d’un film portant sur le thème de l’eau avec Edward Burtynsky, Nick de
Pencier et Daniel Iron.
Bientôt à l’affiche
Le film « Séances » du réalisateur Danic Champoux (2012, 84 minutes), prendra
l’affiche aux Rendez-vous de l’ONF en Acadie pendant la semaine du 10 février Le
cancer peut-il être combattu dans un climat de relative sérénité? Le réalisateur le
démontre dans ce documentaire où il filme les activités d’un centre d’oncologie et
les patients qui s’y retrouvent régulièrement pour leurs traitements de
chimiothérapie. Grâce au partage, à la solidarité et à l’humour, la vie se révèle
souvent rebelle et indomptable.
Renseignements : www.onf.ca
| La 5e édition de la Journée de recherches interdisciplinaires en santé aura lieu le 15 mars
Article complet
La 5e édition de la Journée de recherches interdisciplinaires en santé aura lieu le 15 mars La 5e édition de la Journée de recherches interdisciplinaires en santé (JRIS) à
l’Université de Moncton aura lieu le vendredi 15 mars. La responsable scientifique de
la JRIS, la professeure Sarah Pakzad, vous invite à y participer.
Si vous souhaitez présenter une communication orale pendant cette journée, il faut faire
parvenir par courriel (jris@umoncton.ca) le titre exact de votre communication avant le
jeudi 31 janvier. Votre document Power Point qui accompagne le 15 mars votre présentation
orale doit parvenir au comité organisateur par courriel au plus tard le vendredi 8 mars.
Chaque communication orale sera d’une durée de 10 à 15 minutes maximum.
Ainsi, il est souhaitable de limiter votre présentation à 15 pages Power Point. Si vous
souhaitez présenter une communication affichée, il faut envoyer par courriel le titre
exact de votre affiche avant le jeudi 31 janvier.
Toutes les affiches resteront consultables pendant la journée du 15 mars dans la salle
désignée à cet effet. On vous invite également à encourager vos étudiants et
étudiantes de 2e et 3e cycles à présenter une communication orale ou affichée.
Dans tous les cas, l’un des collaborateurs de Mme Pakzad communiquera avec vous afin de
préciser l’heure et/ou le lieu exact de votre présentation orale ou affichée.
« Au nom du comité organisateur et au nom de la recherche, Mme Pakzad vous remercie
d’avance de votre participation à cette journée scientifique à l’Université de
Moncton. »
Renseignements : Sarah Pakzad, au 858-4245 / jris@umoncton.ca
| Un laboratoire de physique computationnelle et photonique est mis sur pied au campus de Shippagan
Article complet
Agrandir l'imageLa photo nous fait voir les étudiantes en maitrise ès sciences (physique) Karima Guessaf et Salima Hennani, et les professeurs Samira Barmaki et Stéphane Laulan. |
Un laboratoire de physique computationnelle et photonique est mis sur pied au campus de Shippagan Les professeurs Samira Barmaki et Stéphane Laulan ont mis sur pied le Laboratoire de
physique computationnelle et photonique au campus de Shippagan.
Ce laboratoire permet de mener des travaux de recherche en physique fondamentale sur les
processus d’interaction entre la matière (atomes, molécules) et des impulsions lasers
intenses et brèves. Les installations renferment plusieurs ordinateurs et offrent un
environnement de programmation Fortran et C++, des logiciels graphiques et d’analyse de
données, et des accès à distance à deux supercalculateurs informatiques du consortium
Calcul Canada : « ACEnet » (Atlantic Computational Excellence Network) à Saint-Jean et
« Mammouth » du Réseau québécois de calcul de haute performance à Sherbrooke.
Les subventions de recherche du groupe s’élèvent à 214 450 $; elles proviennent
principalement du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada et
de la Fondation de l’innovation du Nouveau-Brunswick avec les programmes « Initiative
de développement de la capacité en innovation » et « Initiative d’assistanat à la
recherche ».
L’une des priorités du groupe de recherche est de former du personnel hautement
compétent. Actuellement, les professeurs Samira Barmaki et Stéphane Laulan encadrent
trois étudiants en maitrise ès sciences (physique) de l’Université de Moncton :
Karima Guessaf, Salima Hennani et Harouna Sileye Ba. Après avoir suivi leurs cours à
Moncton, ils font leurs travaux de recherche à temps complet au campus de Shippagan dans
le laboratoire de physique computationnelle et photonique.
Chaque été, le groupe de recherche reçoit également plusieurs stagiaires de premier
cycle du campus de Shippagan pour leur offrir une expérience de travail dans le monde de
la recherche scientifique.
L’été dernier, pas moins de quatre étudiants de premier cycle ont travaillé dans le
laboratoire pour des stages de huit et 16 semaines : Donna Lanteigne et Jonathan Comeau au
baccalauréat ès sciences (majeure en physique); Claude Duguay au baccalauréat en
ingénierie (génie civil); et Jérémie Haché au baccalauréat ès sciences (majeure en
mathématiques). Ce dernier a notamment obtenu la bourse de recherche de premier cycle du
CRSNG. Tous ont commencé leur stage avec une formation en programmation Fortran, ce qui
leur a permis d’apprendre les techniques de base en informatique pour créer et simuler
des processus physiques. Ils ont ensuite fait partie intégrante du groupe de recherche et
ont travaillé plus particulièrement sur la simulation numérique des processus
d’ionisation et d’excitation d’atomes échantillons en champ laser intense et bref.
| Concours du CRSH : J’ai une histoire à raconter
Article complet
Concours du CRSH : J’ai une histoire à raconter Le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH) lancera la semaine
prochaine un concours, intitulé « La recherche, fondement d’une vie meilleure : j’ai
une histoire à raconter ».
Dans le cadre de ce nouveau défi de communication en recherche, les étudiants et
étudiantes universitaires de tout le Canada pourront soumettre une brève accroche au
sujet d’un projet de recherche financé par le CRSH et mené au sein de leur
établissement, qu’il s’agisse de leur propre projet ou de celui d’un membre du
corps professoral.
Leur accroche devra montrer en quoi le projet de recherche est important et a un impact
sur la vie quotidienne. Les auteurs des 25 meilleures accroches recevront un prix en
argent et une invitation à participer à un atelier de communication spécialisé, qui se
tiendra au Congrès des sciences humaines en juin prochain à Victoria. Cinq d’entre eux
courront aussi la chance de faire une présentation au Forum mondial des sciences
sociales, qui aura lieu en octobre à Montréal.
| Lancement de l’édition critique du livre « Sans jamais parler du vent : roman de crainte et d’espoir que la mort arrive à temps » de France Daigle
Article complet
Lancement de l’édition critique du livre « Sans jamais parler du vent : roman de crainte et d’espoir que la mort arrive à temps » de France Daigle Présenté en marge des activités du 50e anniversaire de fondation de l’Université de
Moncton, le lancement de l’édition critique du livre « Sans jamais parler du vent :
roman de crainte et d’espoir que la mort arrive à temps », de France Daigle, aura lieu
le jeudi 7 février à 16 heures, dans le local 136 du pavillon Léopold-Taillon au Campus
de Moncton. Cette édition critique a été établie par la professeure Monika Boehringer,
de Mount Allison University de Sackville.
Cet ouvrage est le premier titre de la collection « Bibliothèque acadienne » de
l’Institut d’études acadiennes et du Groupe de recherche en édition critique de
l’Université de Moncton qui réunit en éditions critiques les textes fondamentaux de
la littérature acadienne.
Comme on peut le lire en quatrième de couverture : « Dans le contexte de la littérature
franco-canadienne, France Daigle n’a plus à établir sa renommée : son œuvre est
étudiée en Amérique du Nord et en Europe. Elle a une douzaine de romans à son actif
dont plusieurs ont été couronnés par des prix nationaux et internationaux. Son dernier
roman, l’œuvre magistrale « Pour sûr », a notamment remporté le Prix littéraire du
Gouverneur général du Canada en 2012. Or, lors de la parution de son premier roman, «
Sans jamais parler du vent », en 1983, personne ne pouvait encore savoir que Mme Daigle
laisserait une marque indélébile sur la littérature acadienne. »
« Résolument moderne, ce premier roman présente une facture expérimentale devenue
l’une des caractéristiques de l’écriture daiglienne. Depuis longtemps épuisé, il
fallait le rendre de nouveau accessible : chacun pourra ainsi mesurer toute la trajectoire
de l’auteure, de ses débuts jusqu’à l’opus magnum le plus récent. La présente
édition critique de « Sans jamais parler du vent » présente non seulement les
variantes, mais aussi un choix de fragments textuels qui permet d’en retracer la
genèse. Ainsi, on saisira mieux la valeur de ce texte dont la relecture seule fait
ressentir tous ses effets polysémiques. »
« Monika Boehringer est professeure titulaire à Mount Allison University où elle
enseigne des cours sur l’Acadie et l’écriture au féminin, domaines dans lesquels
elle a publié de nombreux articles. Créatrice du site Web « Auteures acadiennes /
Acadian Women’s (Life) Writing » qui répertorie plus de 80 auteures
(www.mta.ca/research/awlw/), elle a codirigé « Entre textes et images : constructions
identitaires en Acadie et au Québec » (2010, Institut d’études acadiennes). Elle
prépare actuellement une anthologie de la poésie des femmes en Acadie. »
Cet ouvrage a bénéficié du soutien financier de l’Université de Moncton et de Mount
Allison University.
Les personnes intéressées pourront se procurer l’édition critique du livre « Sans
jamais parler du vent : roman de crainte et d’espoir que la mort arrive à temps » à
la Librairie acadienne au campus de Moncton ou encore sur le site
www.librairieacadienne.ca. La Librairie acadienne sera aussi présente au lancement pour
assurer la vente des livres au public.
Renseignements : 506-858-4726 / maurice.basque@umoncton.ca
| Le film « L’Appât » est à l’affiche du Ciné-Campus
Article complet
Le film « L’Appât » est à l’affiche du Ciné-Campus La comédie québécoise « L’Appât » (2011, 1 heure 24 minutes), du réalisateur Yves
Simoneau et mettant en vedette Guy A. Lepage et Rachid Badouri, sera à l’affiche du
Ciné-Campus, le jeudi 31 janvier et le vendredi 1er février à 20 heures dans la salle
de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton.
L’Appât
Ventura Choukroune, membre des services spéciaux français, et Prudent Poirier,
lieutenant balourd de la police métropolitaine, sont un jour forcé de faire équipe pour
découvrir qui a assassiné le parrain du crime organisé Guido Carboni. Utilisant, à son
insu, Poirier comme appât, Choukroune mène son enquête, remontant quelques pistes et
risquant sa vie à plusieurs reprises, principalement à cause des bêtises que commet
continuellement son collègue québécois. Malgré leurs différences ethniques et morales
et leur manière diamétralement opposée de travailler, les deux hommes joindront leurs
forces respectives pour capturer les coupables et déjouer leur complot.
L’entrée est de 5 $ pour les étudiants et étudiantes et 7 $ tarif ordinaire.
Programmation du semestre d’hiver
7 et 8 février : Ésimésac
14 et 15 février : Rebelle
21 et 22 février : Camion
23 et 24 février : Festival del Cine
28 février et 1er mars : Et si on vivait tous ensemble
14 et 15 mars : Un bonheur n’arrive jamais seul
21 et 22 mars : De rouille et d’os
Programmation du Ciné-Campus : 858-3738
| Observation astronomique
Article complet
Observation astronomique Il y aura une séance d'observation astronomique, le mardi 12 février de 18 h 30 à 19 h
30 à l’Observatoire de l’Université de Moncton situé sur le toit du pavillon
Léopold-Taillon au campus de Moncton.
La planète Jupiter sera visible.
Cette activité est organisée par le Département de physique et d'astronomie.
L’entrée est libre et venez en grand nombre.
Renseignements : 858-4339.
| Pont payant le 5 février aux trois entrées du campus de Moncton
Article complet
Pont payant le 5 février aux trois entrées du campus de Moncton Il y aura un pont payant aux trois entrées du campus de Moncton, le mardi 5 février de 8
h 40 à 16 h 20 et l’argent amassé sera réparti entre trois groupes : en art
dramatique pour l’organisation du voyage en Roumaine, en information-communication pour
les Jeux de la communication, et à Mondial Solidarité pour le voyage au Cambodge.
Si la température ne le permet pas, le pont payant sera remis au mardi 12 février.
Renseignements : Karine Martel ( ekm2554@umoncton.ca)
| Les Astuces du Grand Maître lors d’un spectacle à Jeanne-de-Valois
Article complet
Les Astuces du Grand Maître lors d’un spectacle à Jeanne-de-Valois De la Côte d’Ivoire en passant par Boston, Le Grand Maître sera dans la région pour
vous offrir un spectacle hilarant. À la manière du « stand-up » américain,
l’humoriste ne manquera pas de vous faire crouler de rire lors d’un spectacle qu’il
donnera le dimanche 17 février à compter de 19 heures dans la salle de spectacle du
pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.
Ce spectacle est présenté par le Conseil étudiant du Département d’économie, en
collaboration avec le Service des loisirs socioculturels de l’Université de Moncton.
Les billets sont présentement en vente à la billetterie du Centre étudiant au coût de
5 $ pour étudiants et 7 $ tarif ordinaire.
Renseignements : 858-4554
| Le groupe Les Hôtesses d’Hilaire présente un spectacle au bar étudiant Le Coude
Article complet
Agrandir l'imageLe groupe Les Hôtesses d’Hilaire présente un spectacle au bar étudiant Le Coude |
Le groupe Les Hôtesses d’Hilaire présente un spectacle au bar étudiant Le Coude Le groupe rock de Moncton, Les Hôtesses d’Hilaire, sera en spectacle ce vendredi 1er
février à 21 heures au bar étudiant Le Coude au campus de Moncton. Ce spectacle est une
présentation du Service des loisirs socioculturels et du Conseil des arts de
l’Université de Moncton dans le cadre de la Semaine de la Faculté des arts.
Les Hôtesses d’Hilaire
Gagnants des prix Artiste émergent et Prix du public Bell Aliant lors du dernier gala de
remises de prix de Musique Nouveau-Brunswick, puis de trois autres prix dans le cadre de
la FrancoFête en Acadie, Les Hôtesses d'Hilaire ont présenté des spectacles de
Yellowknife à Genève en Suisse, en passant par Granby à Caraquet. Un rock solide, des
artistes talentueux, ils se font de plus en plus remarquer pour leur spectacle énergisant
et ponctué de moments de folie.
Selon Louis Doucet, directeur des Loisirs socioculturels de l’Université de Moncton,
Les Hôtesses d’Hilaire font tourner les têtes en ce moment dans l’industrie du
spectacle francophone au pays. « Une vitrine fracassante à la FrancoFête en Acadie en
novembre dernier ainsi qu’une vitrine survoltée au Contact Ontarois à la mi-janvier a
fait beaucoup jaser auprès des diffuseurs présents, rappelle-t-il. Serge et ses
musiciens complices dégagent une énergie qui ne laisse personne indifférent. »
Les frais sont de 5 $ et les billets seront en vente à l’entrée seulement.
| Conférence de Fahim Ashkar dans le cadre de l’Année internationale de la statistique
Article complet
Conférence de Fahim Ashkar dans le cadre de l’Année internationale de la statistique Dans le cadre de l’Année internationale de la statistique, Fahim Ashkar, professeur au
Département de mathématiques et de statistique de l’Université de Moncton, prononcera
une conférence, intitulée «Estimation des événements rares en hydrologie à l'aide de
lois statistiques, le jeudi 7 février à 13 h 30 dans le local A-102 du pavillon
Rémi-Rossignol au campus de Moncton.
Le professeur Ashkar présentera les distributions de probabilité les plus fréquemment
utilisées dans la pratique, surtout dans le domaine de l'hydrologie, pour les ajuster à
des échantillons de données. Ces distributions comprennent la loi normale, log-normale,
exponentielle, Pareto, Weibull, gamma, beta, et bien d'autres.
L'analyse fréquentielle d'événements hydrologiques extrêmes (par exemple, les
inondations, les sécheresses ou les pluies intenses) à l'aide de lois de probabilité
sera utilisée pour illustrer les éléments de la présentation. On expliquera
l'importance de distinguer entre différents types de paramètres d'une loi,
principalement les paramètres de position, d'échelle et de forme.
Les relations mathématiques qui existent entre les différentes lois (les transformations
de variables qui se rapportent d'une loi à l'autre) seront également abordées.
Finalement, on expliquera comment il est parfois très difficile de choisir entre une
paire de lois pour s’ajuster à un échantillon de données, alors que dans d'autres
situations le choix peut être plus facile.
Cette présentation est d’intérêt général. Un léger goûter sera servi. Bienvenue
à toutes et tous.
Renseignements : 858-4298 / martine.arsenault@umoncton.ca
| Naomie Maltais et Samuel Groulx sont les athlètes de la semaine
Article complet
Naomie Maltais et Samuel Groulx sont les athlètes de la semaine Le Service de l’activité physique et sportive du campus de Moncton a choisi la lanceuse
Naomie Maltais, de Val d’Amour, et le défenseur Samuel Groulx, de Gatineau au Québec,
comme athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed pour la période du 21 au 27
janvier à l’Université de Moncton.
Naomie Maltais a établi un record de l’Université de Moncton en fin de semaine au
lancer du marteau avec une distance de 13,54 mètres. Elle a pris le cinquième rang lors
de la compétition par équipe du Défi d’athlétisme de McGill University. Elle a
également terminé au 8e rang au poids avec une distance de 10,44 mètres, une marque
personnelle. Elle est étudiante en kinésiologie.
Samuel Groulx a mené l’offensive des Aigles Bleus samedi soir avec deux buts et trois
passes malgré une défaite de 8 à 7 de son équipe en prolongation. Le point au
classement a permis aux Aigles Bleus de se qualifier pour les séries de fin de saison et
d’éliminer les Tigers de Dalhousie University. Groulx a terminé la partie de vendredi
soir avec +1 dans un gain de 3 à 2 du Bleu et Or. Il a profité de plusieurs minutes de
temps de glace lors de deux parties. Il est étudiant au programme général du
baccalauréat ès arts.
| | | |
|
|
|
Article no 1 : Campus, vol. 8, n o 7 (11 janvier 1978), p. 1
Article no 2 : Campus, vol. 8, n o 15 (18 mars 1978), p. 2
Article no 3 : Campus, vol. 8, n o 15 (18 mars 1978), p. 1
Article no 4 : Campus, vol. 10, n o 5 (7 mars 1980), p. 1
|
Les premières soirées internationales au campus de Moncton
Du 9 au 16 février prochain aura lieu la Semaine internationale du campus de Moncton, qui aura pour thème « Regard sur le monde… à travers les yeux de l’autre ». La 37 e édition de la Soirée internationale aura lieu dans le stade du CEPS, le samedi 16 février. Il s’agit d’un événement socioculturel très attendu et fort couru du calendrier universitaire. Avant la tenue de ces soirées, le campus de Moncton a connu certaines activités présentant un cachet international. Ainsi, une « Soirée vietnamienne » a eu lieu le 7 avril 1976 au 316 du Pavillon Taillon, organisée par les sections régionales des organismes Entraide universitaire mondiale du Canada (EUMC) et Solidarité, Union, Coopération (SUCO). Il est intéressant de noter que les bénéfices de cette soirée ont servi à acheter une polycopieuse destinée à l’Université de Hanoï au Vietnam, deux ans seulement après la guerre sanglante qui déchira ce pays. Avec la création, en 1977, de l’Association des étudiants étrangers de l’Université de Moncton (AEEUM), précurseur de l’ Association des étudiantes et étudiants internationaux de cette institution (AEEIUM), de véritables soirées internationales seront organisées. La première d’entre elles a lieu le 10 mars 1978 au Kacho et connaît un grand succès. Du Kacho, les soirées internationales passeront, quelques années plus tard, à la grande cafétéria de Taillon, puis au stade Vance-Toner du CEPS, témoignage évident d’une popularité qui ne se dément pas. Bravo aux organisatrices et organisateurs de ces soirées internationales!
Institut d’études acadiennes
|
Archives
|
|