Le lancement d'un livret proposé par la professeure Marianne Cormier, intitulé « Favoriser la réussite : une affaire d’école », a eu lieu le 26 avril à la Faculté des sciences de l’éducation du campus de Moncton.

Un projet de la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants, ce livret s’adresse au personnel enseignant des écoles secondaires de langue française qui œuvre en milieu minoritaire. Il propose un cadre théorique qui guide l'action pédagogique en construction identitaire et des outils pour mieux se connaître et mieux connaître ses élèves. Enfin, une section de ce document propose des pistes d’action et des stratégies qui sont en lien avec des situations qui se présentent dans les écoles secondaires en contexte minoritaire.

« C’est un outil pédagogique, concret et pratique, estime Mme Cormier. Il a pour but de vous aider à accompagner vos élèves du secondaire vers la réussite éducative à l’école de langue française. »

À l’ère de la net gen, cette génération qui est née et qui vit constamment en contact avec les technologies, et à l’ère de la mondialisation et du grand pouvoir d’attraction sociale de l’anglais, comment arriver à donner une raison d’être à l’école de langue française pour nos adolescents et adolescentes ?

« Évidemment, nous voulons transmettre la langue et la culture françaises, mais le projet est plus large et s’étend bien au-delà d’un projet linguistique, mentionne la professeure Cormier. Pour les ados d’aujourd’hui, cette transmission de la langue et de la culture soulève des questions fondamentales : Qui suis-je ? Pourquoi ? Le projet devient alors axé sur le succès tant personnel et social que scolaire de l’adolescente et de l’adolescent. »

Cette réflexion sur la réussite éducative des adolescents et adolescentes en milieu francophone minoritaire est un projet collectif. Mme Cormier rappelle que les neuf enseignants et enseignantes du groupe de travail, venus des quatre coins du Canada, ont verbalisé leurs défis quotidiens, exprimé le besoin de disposer d’un outil pratique et grandement contribué à la conception du présent document. « La collaboration de la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants et, en particulier, l’appui de Ronald Boudreau ont fait en sorte que ce projet a vu le jour et a pu être mené à terme, ajoute-t-elle. Je témoigne toute ma reconnaissance à ces personnes. »

Depuis le symposium « À bord ou à dos nos ados » que la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants a organisé au printemps 2008, le président du Comité consultatif français langue première, 2009-2010, Benoit Mercier, rappelle que « la question de l’adolescence est demeurée une préoccupation importante et oriente plusieurs de nos actions. Le livret « Favoriser la réussite : une affaire d’école » s’inscrit dans cette démarche. Nous tenons à remercier Marianne Cormier et le comité pancanadien d’enseignantes et d’enseignants qui ont réalisé le document. Il s’agit d’une contribution importante qui permet de mieux définir la pédagogie propre aux écoles de langue française en situation minoritaire. ».

Chaque contexte linguistique minoritaire est unique. Ce document se veut donc flexible afin que vous puissiez l’adapter selon vos besoins et les réalités de votre milieu. Il comporte quatre sections.

Dans la section « Par où commencer », vous trouverez des affirmations que vous exprimez probablement souvent en tant qu’enseignant ou enseignante, par exemple : « Je veux aider mes élèves à réussir ». Ces affirmations s’accompagneront de quelques pistes d’action générales pour concrétiser le projet pédagogique. Chaque axe d’intervention résumera des repères importants pour vous aider à concrétiser les affirmations.

La section « Qui suis-je ? Qui sommes-nous ? » vous offre des outils pour vous aider à connaître vos élèves et à comprendre leur réalité et les vécus qui conjuguent les multiples facettes de leur identité.

La section « Comment s’y prendre ? » vous propose des pistes tangibles d’action et de réaction aux différentes situations qui peuvent se présenter dans les écoles secondaires en contexte minoritaire. Ces pistes concrètes renvoient aux axes d’intervention de la section « Par où commencer ? » et les illustrent de façon concrète.

Enfin, la section « Boîte à outils » regroupe différents outils et documents qui peuvent vous appuyer dans votre travail.

Renseignements : 858-4400.

Quatorze étudiantes et étudiants ont appris et tenu des rôles de membres de la famille de «Julie» lors de la démonstration d’une concertation familiale préparée et animée par trois coordonnatrices provinciales dans le cadre de la 10e édition des Journées d’échange, organisée par le Comité de partenariat de l’École de travail social de l’Université de Moncton et le ministère provincial du Développement social.

Sur un total global de quatre subventions stratégiques d’une valeur de 20 000 $ chacune, trois ont été accordées à des professeurs de l’Université de Moncton dans le cadre du concours annuel de recherche du Centre Métropolis atlantique.

Aïcha Benimmas, professeure à la Faculté des sciences de l'éducation, a reçu un financement pour un projet s’intéressant à l’étude de la dynamique collaborative qui pourrait exister entre les programmes des organismes non gouvernementaux, des associations multiculturelles chargées de l’accueil des familles immigrantes et des stratégies d’accueil et d’intégration des élèves immigrants dans les écoles francophones en milieu minoritaire.

Marie-Andrée Pelland, professeure au Département de sociologie, en collaboration avec Saïd Bergheul, de l’École de psychologie, et Wilkie Darismé, de l’École de travail social, a obtenu une subvention stratégique pour mener une étude des trajectoires sociojudiciaires d’immigrants et d’immigrantes et/ou de Canadiennes et de Canadiens nés de parents immigrants. Cette recherche a pour but de comprendre les circonstances, les interactions, les évènements, les tournants qui marquent l’engagement, la poursuite et le désistement de la conduite délinquante chez les immigrants au Nouveau-Brunswick.

Chedly Belkhodja, professeur au Département de science politique, se joint à Pauline Barber-Gairdner, du Département d’anthropologie et sociologie de Dalhousie University à Halifax. Leur recherche s’intéresse aux trajectoires et aux expériences des étudiants internationaux dans les quatre provinces de l’Atlantique lorsque vient le temps de considérer un projet d’immigration.

Renseignements : Chedly Belkhodja, au 858-3749.

C’est avec enthousiasme que les diplômés et diplômées de la région de la capitale provinciale ont assisté à la rencontre annuelle organisée par l’Association des anciens, anciennes et amis de l’Université de Moncton. Plus de 130 personnes se sont retrouvées au nouveau Centre des congrès de Fredericton. Parmi les invités d’honneur, il y avait le premier ministre David Alward et le sénateur Percy Mockler qui ont échangé avec les anciens et les anciennes. Plusieurs ministres et députés de l’opposition y ont pris part également, certains d’entre eux avec encore plus de plaisir puisqu’ils sont des diplômés de notre institution. Le recteur, Yvon Fontaine, a profité de l’occasion pour saluer ceux et celles qui s’étaient déplacés en leur rappelant que cette fidélité à leur alma mater était non seulement très appréciée et aussi essentielle au rayonnement de notre Université puisqu’ils sont pour nous de formidables ambassadeurs tant en Acadie qu’ailleurs au Canada et dans le monde. Et le vice-président de l’AAAUM, campus de Moncton, Michel Rivard, a renchéri en rappelant l’importance de ce rôle pour assurer la pérennité de l’Université de Moncton pour la communauté acadienne.

Le choeur des Aboiteaux, une chorale mixte d’une soixantaine de voix sous la direction de Paula Hébert, professeure au Département de musique, vous invite à assister à son concert du printemps, le dimanche 15 mai à 14 h 30 dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois.

Ce concert fera le bonheur des amateurs de musique classique puisque le programme comprend des pièces de Bach, Mozart, Vivaldi, Pachelbel, Rameau, Fauré, Schubert, Brahms, Dvorak, Sibelius, Offenbach et Verdi.

Il y aura de la musique sacrée en latin, des extraits d’opéra en italien et en français, des pièces en allemand et de jolis chants populaires français du 16e siècle.

Les billets sont en vente auprès des choristes au coût de 10 $ ou 12 $ à l’entrée. Le concert est sans frais pour les enfants de 12 ans et moins. Renseignements : 859-0402.

La photo nous fait voir les bénéficiaires de bourses Henri et Jeannette-Marcotte d’une valeur de 1000 $ chacune octroyées à des étudiants et étudiantes inscrits en musique à l’Université de Moncton.

Le Réseau de recherche sur les politiques sociales du Nouveau-Brunswick (RRPS) vous invite à assister à une session d’information et de dialogue, qui aura lieu le mardi 10 mai à 13 heures dans la salle Richelieu (cafétéria du pavillon Léopold-Taillon).

Le RRPS vous invite à venir échanger sur les possibilités de partenariats avec les chercheurs, les organismes communautaires et le gouvernement du Nouveau-Brunswick dans le domaine des politiques sociales. Jeune réseau de personnes engagées dans des activités qui contribuent à l'élaboration de politiques publiques fondées sur des données probantes, il regroupe des chercheurs, des universitaires, des experts du secteur, des praticiens ainsi que des citoyens informés.

Le Réseau fournit aux responsables de l'élaboration de politiques gouvernementales un mécanisme qui leur permet d'être en contact avec des chercheurs et des communautés informées en vue de créer des politiques ancrées dans des données factuelles issues de la recherche, offrant ainsi aux personnes expertes la possibilité de mener des travaux qui présentent un intérêt pour l'élaboration de politiques sociales. Il s'agit d'un instrument permettant aux idées et aux analyses de recherche d'éclairer l'élaboration de politiques.

Le Réseau cherche aussi à mettre en lien ceux et celles qui développent les politiques publiques, les chercheurs et le milieu communautaire. Venez échanger et partager afin de vous familiariser avec les chantiers de recherche et les études en cours au sein des quatre universités néo-brunswickoises dans le domaine des politiques sociales; les projets de recherche et les besoins en ce qui concerne les données et renseignements des organismes communautaires qui œuvrent dans le domaine des politiques sociales; et les initiatives des décideurs gouvernementaux afin de mieux connaître les projets et leurs intentions en ce qui a trait aux politiques sociales au Nouveau-Brunswick, tout en les informant aussi des besoins de la société civile.

Un léger goûter sera servi.

Renseignements : Gino LeBlanc, au 858-4799, http://www.rrps-nb-sprn.ca/site/welcome?&lang=fr

Présentée à l'Université Laval, la thèse de doctorat de Julien Massicotte, professeur d’histoire au campus d’Edmundston, s’intitule « L'Acadie du progrès et du désenchantement, 1960-1994 ».

Cette thèse porte sur l'un des moments où la collectivité acadienne du Nouveau-Brunswick transforme sa conception d'elle-même, celui de la modernisation institutionnelle s'amorçant dans les années 1960 allant jusqu'au Congrès mondial de 1994.

Sa recherche montre que les transformations référentielles connues par la société acadienne du Nouveau-Brunswick pendant cette période sont importantes, sinon majeures; elles marquent la transition d'une communauté dont la principale institution est l'Église catholique et dont l'influence sociale et culturelle est dominante, à une communauté minoritaire se définissant par son État provincial et par les règles du droit.

Dans sa thèse, le professeur Massicotte tente ainsi de saisir, de façon chronologique, la mise en place, l'évolution et les transformations d'une référence modernisatrice en Acadie du Nouveau-Brunswick.

La Faculté d’ingénierie de l’Université de Moncton souligne l’excellence académique de 95 de ses étudiants et étudiantes de premier cycle en leur remettant un certificat de mérite et en ajoutant leurs noms au Tableau d’honneur pour la session d’automne 2010.

Voici la liste :

École du Carrefour (Dartmouth, N.-É.)
Jasmin Boisvert, 3e année en génie civil.

Cité des Jeunes A.-M.-Sormany (Edmundston)
Jean-François Daigle, 5e année en génie civil; Mathieu Godbout, 4e année en génie électrique; et Emanuel Hébert, 2e année en génie électrique - régime coopératif.

Grande Rivière (Gatineau, Québec)
Dominick Tardif, 3e année en génie électrique.

N.D.A. (Chéticamp, N.-É.)
Joël LeFort, 4e année en génie électrique.

L’Odyssée (Moncton)
Marc Allain, 4e année en génie civil; François Côté, 2e année en génie civil - régime coopératif; Catherine LeBlanc, 4e année en génie civil; Renée LeBlanc, 1re année en génie civil; Sylvie LeBlanc, 1re année en génie civil; Joël Vallée, 3e année en génie civil - régime coopératif; et Mathew Ward, 4e année en génie civil.

Aux-Quatre-Vents (Dalhousie)
Cloé Doucet, 3e année en génie civil - régime coopératif; Pierre-Luc Pelletier, 4e année en génie civil; et Rémi Valdron, 4e année en génie mécanique - régime coopératif.

Clément-Cormier (Bouctouche)
Jérémie Boucher, 2e année en génie civil; Émilie Pellerin, 3e année en génie civil; et Jérémie Richard, 5e année en génie civil.

Louis-J.-Robichaud (Shediac)
Marcel Boudreau, 2e année en génie électrique; Natalie Cormier, 5e année en génie électrique; Stéphane Girouard, 3e année en génie mécanique; Benoît LeBlanc, 4e année en génie mécanique; Luc LeBlanc, 5e année en génie mécanique; et Timothy Pidgeon, 2e année en génie électrique.

Louis-Mailloux (Caraquet)
Jean-Luc Cormier, 1re année en génie mécanique; Alexandre Gionet, 4e année en génie civil; et Guillaume Landry, 1re année en génie civil.

Marie-Esther (Shippagan)
Frédérik Jones, 1re année en génie civil; et Francis Kenny, 1re année, génie mécanique.

Mathieu-Martin (Dieppe)
Gabriel Boudreau, 1re année en génie civil; Jean-Marc Boudreau, 4e année en génie électrique; Alexandre Cormier, 3e année en génie mécanique - régime coopératif; Pierre Gautreau, 1re année en génie mécanique; Sébastien Girouard, 1re année en génie civil; Jacques-Michel Haché, 5e année en génie mécanique; Éric Landry, 3e année en génie civil; Benoît LeBlanc, 1re année en génie mécanique; Jason LeBlanc, 2e année en génie civil; Julien LeBlanc, 2e année en génie civil - régime coopératif; Justin LeBlanc, 2e année en génie mécanique - régime coopératif; Nathalie LeBlanc, 1re année en génie civil; Simon LeBlanc, 1re année en génie mécanique; Simonne LeBlanc, 4e année en génie mécanique; Jérémie Léger, 3e année en génie mécanique - régime coopératif; Chhaya Ponn, 2e année en génie électrique - régime coopératif; Marc Richard, 4e année en génie civil; Jean-Philippe Roy, 5e année en génie mécanique; et Francis Thériault, 1re année en génie électrique.

Mgr-M.-F.-Richard (Saint-Louis-de-Kent)
Samuel Finnigan, 1re année en génie mécanique; Philippe Richard, 2e année en génie mécanique - régime coopératif; et Étienne Robichaud, 5e année en génie civil.

Roland-Pépin (Campbellton)
André Boissonnault, 5e année en génie civil; et Frédéric Duclos, 4e année en génie mécanique.

Thomas-Albert (Grand-Sault)
Charles Chiasson, 5e année en génie électrique - régime coopératif; et Michaël Dubé, 3e année en génie mécanique.

W.-Arthur-Losier (Tracadie-Sheila)
Andrew Hall, 3e année en génie civil; Dominic Paulin, 4e année en génie civil; et Jonathan Robichaud, 2e année en génie civil - régime coopératif.

Samuel-de-Champlain (Saint-Jean)
Simon Léger, 1re année en génie civil.

Assomption (Rogersville)
Shawn Arseneault, 3e année en génie civil; et Marc-André Lanteigne, 5e année en génie civil.

Secondaire de Clare (Petit Ruisseau, N.-É.)
Lucien Deveau, 1re année en génie mécanique.

Népisiguit (Bathurst)
Alain Fournier, 2e année en génie civil; Benoit Fournier, 2e année en génie mécanique - régime coopératif; Jean-Pierre Fournier, 2e année en génie civil - régime coopératif; Jacques Levesque, 4e année en génie civil; Chris Morrison, 2e année en génie mécanique; Ricky Noël, 2e année en génie mécanique; Jérémie Luc Poirier, 5e année en génie civil - régime coopératif; Jonathan Roy, 4e année en génie civil; Karine Roy, 2e année en génie civil; et Maxime Thériault, 1re année en génie électrique.

Par-en-Bas (Yarmouth, N.-É.)
François d’Entremont, 4e année en génie civil.

Écoles secondaires de l’extérieur du Canada
Andréa Bakala Nkaya Lembe, 2e année en génie électrique; Chadrack Bantubabo Tshinkobo, 4e année en génie civil; Zineb Belkhaouda, 5e année en génie civil - régime coopératif; Islam Salem Boubaker, 5e année en génie civil; Bilel Cherif, 2e année en génie civil; Sylvain Diedhiou, 1re année en génie mécanique; Ahamada Doucoure, 3e année en génie électrique; Zihewo Anicette Gbegbe, 2e année en génie électrique - régime coopératif; Raoul Irakoze, 3e année en génie électrique - régime coopératif; Mehdi Jemli, 3e année en génie électrique - régime coopératif; Alex Habib Kere, 3e année en génie civil; Aminata Kourouma, 4e année en génie civil - régime coopératif; Fritz Mathurin, 3e année en génie mécanique; Marc Mrad, 1re année en génie civil; Hermann Anicette Ngandjui Sindjui, 2e année en génie électrique - régime coopératif; Stéphanie Rakotovololona, 4e année en génie électrique - régime coopératif; Mamar Saidou Sanda, 4e année en génie civil; Mawaba Sangam, 1re année en génie électrique; Damien Sawadogo, 2e année en génie électrique; Abdou Coumba Tall, 3e année en génie électrique.

Harrison Trimble High
Sigourney Stott, 2e année en génie mécanique.

Patrick Lavoie, de la communauté rurale de Saint-André, assume depuis le 1er mai la présidence de l’Association générale des étudiantes et étudiants du campus d’Edmundston (AGÉÉUMCE) pour un mandat d’un an. L’étudiant de 19 ans vient de compléter sa deuxième année au baccalauréat ès arts multidisciplinaire, avec des concentrations en philosophie, en psychologie et en sociologie.

Il présidera un nouveau bureau de direction dont les membres ont tous été élus sans opposition lors du scrutin du 28 mars. Il aura le soutien de Dominique Babineau, de Saint-Joseph-de-Madawaska, vice-présidente aux affaires externes; Marie-Pier Delange, de Saint-Quentin, vice-présidente aux affaires internes; et Shawn Beaulieu, de Sainte-Anne-de-Madawaska, vice-président aux affaires exécutives. Catherine Hébert, d’Edmundston, s’est jointe au bureau de direction en tant que vice-présidente aux finances. Outre les membres du bureau de direction, le conseil d’administration est composé d’Émilie Plourde, d’Edmundston, ombudsman; Dominic Duval, d’Edmundston, représentant de l’AENB; Karine Pelletier, d’Edmundston, secrétaire; et Kelly Quimper, de Saint-Jacques, conseillère aux affaires internes. Les postes de représentant des étudiants de première année et de représentant des étudiants internationaux seront pourvus en septembre.

Patrick Lavoie estime que de tous les défis que devront relever les dirigeants de l’AGÉÉUMCE, la cohabitation avec les nouveaux collégiens du CCNB en septembre trône certes au sommet des priorités. « Ce sera une année historique, dit-il. L’établissement des liens avec le CCNB sera sans doute le fait marquant en 2011-2012. Il faudra notamment définir ce que nous ferons ensemble dans cette nouvelle cohabitation. Les décisions que nous prendrons auront un impact déterminant pour les bureaux de direction des deux associations qui prendront la relève au cours des prochaines années. »
L’intégration des étudiants internationaux à la vie étudiante au campus est également un dossier qui intéresse le nouveau président et il l’a maintes fois évoquée lors de sa campagne. « Et cela doit se faire dans les deux sens, tant chez les étudiants internationaux que de la communauté universitaire d’accueil », ajoute-t-il.

Le nouvel élu entend mettre à profit la contribution de tous ses collègues du bureau de direction et n’hésitera pas à faire appel aux Services aux étudiants du campus dans l’élaboration des projets. « Nous ne miserons pas sur les succès individuels. Ensemble, nous formons une équipe qui sera à votre service. »

Patrick Lavoie souhaite entreprendre des études en droit plus tard. Il se décrit comme un grand sportif studieux, intéressé par la politique et la cause des minorités. Lors de son mandat, il désire ardemment faire progresser la vie étudiante au campus d’Edmundston tout en prenant soin de ne pas sauter d’étapes.

Depuis plusieurs années, le Service culturel du Consulat général de France dans les provinces atlantiques remet le Prix spécial de l’ambassadeur de France au Canada à l’étudiant ou étudiante qui s’est particulièrement distingué par ses résultats académiques et son engagement au cours de son baccalauréat spécialisé en traduction à l’Université de Moncton. Cette année, c’est l’étudiante Véronique Duguay qui s’est vu décerner le prix, remis lors de la cérémonie de remise des Pascal.

Le Conseil des arts du Nouveau Brunswick a annoncé les résultats de ses concours du 1er février. Un total global de 120 500 $ en bourses et en subventions a été attribué pour les programmes suivants : Bourses d'études en arts et Artiste en résidence.

Vingt six étudiants et étudiantes recevront une aide financière pour poursuivre des études en arts. Ce programme encourage les étudiants en arts qui ont démontré un potentiel exceptionnel et qui entendent poursuivre une carrière dans les arts. Les bourses sont de 2 500 $ chacune pour les études à temps complet et de 1 000 $ pour les études à temps partiel et à court terme.

Neuf demandes au programme Artiste en résidence ont également été approuvées. Ce programme donne la chance aux organismes du Nouveau Brunswick d'accueillir des artistes pour une durée d'un an.
Un jury multidisciplinaire composé d'artistes professionnels du Nouveau Brunswick a évalué les demandes.

Les étudiants suivants ont reçu une bourse d'études de 2 500 $ en musique classique : Jillian Bonner, de Saint-Jean; Simon Bourget, de Dieppe; James Fogarty, de Moncton; Alain Gaudet, de Val d'Amour; Carol Léger, de Moncton; Michael MacMillian, de Sussex; et Jeremy Van Slyke, de Fredericton.

Parmi les bénéficiaires en arts littéraires, il y a Miriam Farhloul, de Dieppe (2 500 $) et Isabelle Claude Lévesque Martin, de Saint Ignace (2 500 $). En musique non classique, mentionnons notamment Marc Gautreau, de Dieppe (2 500 $) et Joseph Richard, de Miramichi (2 500 $). En théâtre, il y a notamment Frédéric Melanson, de Bouctouche (2 500 $).

Parmi les bénéficiaires du programme Artistes en résidence en musique classique, il y a Julie Duguay, de Bathurst (5 000 $). En théâtre, deux bénéficiaires dont le Théâtre populaire d'Acadie, de Caraquet (9 000 $).

Enfin, en arts visuels, l’une des bénéficiaires est la Galerie d'art Louise et Reuben-Cohen du campus de Moncton de l’Université de Moncton (4 850 $).

Nicolas Landry, professeur d'histoire au campus de Shippagan, vient tout juste de publier un article arbitré dans la revue French Colonial History (vol. 12, 2011, p. 9-30).

Cette recherche, intitulée « Les défis procéduriers d'un commerçant de La Rochelle en Acadie : Nicolas Denys, 1636-1684 », s'attarde à trois problématiques caractérisant les déboires et les défis associés aux activités commerciales dans le golfe du Saint-Laurent au 17e siècle.

Dans un premier temps, il est question des attaques et des déboires dont Nicolas Denys est victime de la part de ses compétiteurs. Dans un deuxième temps, l'article examine les conséquences des nombreux procès dans lesquels il est impliqué. En troisième lieu, ce travail aborde les incohérences françaises qui contribuent également à la faillite de Denys.

L'article revisite certains constats de l'historiographie acadienne en démontrant qu'en dépit de ses moyens fort limités, Nicolas Denys n'accepte pas d'être une victime passive de ses malchances, mais se révèle plutôt comme un homme d'affaires au fait des droits et des moyens juridiques à sa disposition.

Les membres de la communauté sont invités à assister à la cérémonie de collation des diplômes du campus de Moncton, qui aura lieu le samedi 21 mai à compter de 13 heures au Ceps Louis-J.-Robichaud.

Les personnes qui ne peuvent s’y rendre pourront visionner la cérémonie en cliquant sur le lien ci-dessous à compter de midi.

On compte plus de 800 finissants et finissantes ce printemps dont quelque 500 sont attendus à la cérémonie qui sera présidée par le chancelier, Louis R. Comeau.

C’est au cours du Salon international du livre de Québec que le Prix Champlain 2010, catégorie Ouvrage de fiction, a été remis à Hélène Harbec pour le récit « Chambre 503 », paru aux éditions David.

Ce récit, à la fois bouleversant et sobre, s’est imposé d’emblée aux membres du jury. Le lecteur assiste au huis-clos d’une fin de vie et accompagne l’auteure, jour après jour, au chevet d’un père qui disparaît peu à peu, physiquement et mentalement. Grâce à une prose parfaitement rythmée par un dépouillement et un minimalisme qui s’élèvent jusqu’au recueillement, Hélène Harbec réussit le tour de force d’éviter le phatos : avec des touches de poésie et d’humour, notamment dans des dialogues qui sont pleins de sel et de tendresse, elle montre, non sans mélancolie, la vie qui continue, malgré tout.

Attentive aux moindres changements physiques et psychologiques du mourant, l’auteure note tout aussi scrupuleusement les rituels de l’hospice – visites, toilettes, repas, sommeils – le bruit de fond des autres malades et le passage des saisons. En bout de parcours, elle réussit à donner vie, profondeur et esprit à ce père mourant dont on saura peu de choses.

Le jury était composé de James de Finney, professeur à la retraite au Département d’études françaises de l’Université de Moncton; Charles Leblanc, poète, résidant de Saint-Boniface (Manitoba); et David Décarie, professeur adjoint du Département d’études françaises de l’Université de Moncton.

Le Prix Champlain a été créé en 1956 pour encourager la production littéraire chez les francophones vivant à l’extérieur du Québec, en Amérique du Nord. Ce prix a aussi pour objet de susciter chez les Québécois un intérêt pour les francophones d’Amérique vivant en milieu minoritaire.

Les amateurs de hockey de l’Université de Moncton sont invités à la toute première Classique de golf Aigles Bleus qui se déroulera le jeudi 23 juin au Club de golf Royal Oaks de Moncton.

C’est un nouveau départ pour ce tournoi, organisé afin de réunir la grande famille des Aigles Bleus dans le but d’amasser des fonds pour le programme de hockey masculin de l’Université de Moncton. Les gens auront la chance de rencontrer les anciens joueurs des Aigles, tout en côtoyant des membres de l’équipe actuelle.

La Classique de golf Aigles Bleus est organisée par un comité d’anciens qui s’est donné comme objectif de réunir des équipes d’anciens joueurs, de gens d’affaires et des amis des Aigles Bleus. Déjà au-delà d’une soixantaine d’anciens joueurs sont inscrits. Le comité lance une invitation au grand public de s’inscrire et de former des équipes de quatre joueurs pour y prendre part. Le départ se fera à 12 h 30 et la ronde de golf sera suivie d’un souper avec musiciens. Un maximum de 144 joueurs sera accepté. Le tournoi est un évènement parrainé par la compagnie Molson Canadian.

Les gens peuvent joindre Phil Lavoie par courriel à lavoie_phil @lilly.com ou Gilles Maltais au 506-866-8693 pour obtenir de plus amples renseignements et s’inscrire. Le coût est de 150 $ par joueur, ce qui comprend la voiturette, le repas, le golf et un prix unique au tournoi. Il y aura des concours intéressants tout au long du parcours.

La Classique de golf est une collecte de fonds annuelle afin d’aider à financer des activités du programme de hockey masculin à l’Université de Moncton. Les participants et participantes ont la chance de remporter divers prix tout en ayant du plaisir entre amis. Au plaisir de s’y retrouver.

Cyndie Poirier fera la soutenance d’une thèse de maîtrise en psychologie, intitulée «L’influence de la présence d’un animal domestique sur l’empathie, la dynamique familiale et l’estime de soi de l’enfant », le mercredi 11 mai à 10 heures dans la salle Gérard-Cormier (504) du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton. La directrice de la thèse est la professeure Joane Normandeau.

Bienvenue à tous et à toutes. Renseignements : 858-4209.

Les membres du Club Right To Play de l’Université de Moncton se sont envolés le 30 avril pour un troisième voyage humanitaire en Haïti.

Pendant ce voyage de 12 jours, les 36 étudiants et étudiantes offriront à plus de 4 000 enfants haïtiens des ateliers de jeux éducatifs afin de combattre la pauvreté, la maladie et promouvoir la résolution de conflit. L’équivalent de 5000 livres d’équipement sera distribué entre dix écoles, orphelinats et hôpitaux.

Le club parraine également un tournoi de soccer, une partie amicale entre femmes, et l’équipe nationale de soccer des amputés du séisme du 12 janvier 2010 qui fera la tournée avec les membres du club. Les jeunes termineront également la construction d’une bibliothèque scolaire comme projet microéconomique dans la communauté de Terrier Rouge dans la région nord d’Haïti, en partenariat avec Sr. Reine Godbout, une personnalité bien connue au Nouveau-Brunswick.

Dès le retour du groupe, il y aura une soirée témoignage destinée au public, le vendredi 20 mai à 19 heures dans la salle multifonctionnelle du Centre étudiant. Un diaporama du voyage sera également présenté.

Le Club Right To Play de l’Université de Moncton tient à remercier les nombreux donateurs pour leurs généreuses contributions tant monétaires qu’en produits et services d’une valeur de plus de 125 000 $.
Renseignements : 858-4967, roger.g.leblanc@umoncton.ca >

La Direction générale de l’Éducation permanente a annoncé la nomination de Sophie LeBlanc au poste d’agente de vente et de recrutement. Elle a entrepris ses nouvelles fonctions le 11 avril.

Diplômée de l’école secondaire Mathieu-Martin de Dieppe, Sophie a fait ses études à l’Université de Moncton où elle a obtenu en 2009 le baccalauréat ès sciences en nutrition – régime coop. Passionnée par les affaires et les voyages, elle a aussi obtenu la maîtrise en administration des affaires (M.B.A. trilatérale) de l’Université de Moncton l’année suivante.

Pendant ses études postsecondaires, elle a bénéficié de plusieurs bourses pour les programmes coop et le mentorat étudiant.

Dynamique, Sophie espère transmettre son enthousiasme à l’équipe pour la formation continue à l’Université de Moncton.

Renseignements : www.umoncton.ca/edperm

Vous êtes intéressés à participer à une étude portant sur la mémoire?
Le Laboratoire de recherche en psychologie cognitive de l’Université de Moncton est présentement à la recherche de participants et de participantes pour des études réalisées par Katherine Guérard, professeure à l’École de psychologie. Les tâches à effectuer sont simples et nécessitent environ 40 minutes (une seule séance).

Une compensation monétaire de 5 $ est fournie aux personnes participantes pour leur implication dans l’étude.

Pour participer ou obtenir de plus amples renseignements, appelez au 858-4501 ou encore envoyez un courriel à l’adresse labcognition.udem@gmail.com.

Votre participation est grandement appréciée.