Le gouvernement provincial s’est associé à la Fondation de l’innovation du Nouveau-Brunswick pour lancer l’Initiative des chaires de recherche et d’innovation du Nouveau-Brunswick, qui a pour but d’accroître les capacités de recherche appliquée de la province.

Le financement de six millions de dollars permettra de créer jusqu’à six postes de chaires de recherche dans des secteurs de croissance prioritaires, y compris les aliments à valeur ajoutée; le bois à valeur ajoutée; les technologies de l’information et des communications; la fabrication industrielle; les biosciences; et l’aérospatiale et la défense.

« Ces postes de recherche favoriseront une plus grande collaboration entre le secteur privé et le milieu universitaire, grâce à des projets de recherche axés sur des solutions à des enjeux technologiques, a déclaré le ministre de l'Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail, Jody Carr. Cette initiative est un élément important du programme d’innovation de notre gouvernement et elle contribuera à la réalisation des résultats escomptés de Partenaires dans la croissance : Plan d’action de développement économique en vue de rebâtir le Nouveau-Brunswick. »

Chaque chaire de recherche recevra 200 000 $ par année pendant cinq ans pour exécuter des activités de recherche appliquée avec le secteur privé. Ces activités seront exclusivement axées sur des sujets de recherche appliquée qui pourraient aider des entreprises privées à créer de nouveaux produits et services à partir de droits de propriété intellectuelle de ces entreprises ou d’institutions scientifiques, ou encore de nouveaux produits de propriété intellectuelle développés par la chaire de recherche et son équipe.

« Ces chaires de recherche montreront au milieu de la recherche d’ici et de partout au Canada à quel point nous sommes déterminés à instaurer les conditions préalables à la croissance de notre économie basée sur l’innovation, de la recherche appliquée jusqu’au financement du démarrage de nouvelles entreprises qui en résultent, a affirmé le président de la Fondation de l’innovation du Nouveau-Brunswick, Robert Hatheway. Grâce à l’ajout automatique d’un technicien en recherche payé par la fondation et de deux adjoints de recherche diplômés pendant la première année, soit une valeur estimée à 95 000 $, les chaires d’innovation du Nouveau-Brunswick bénéficient dorénavant de conditions comparables à celles du Programme des chaires de recherche du Canada. Nous prévoyons que les chaires d’innovation du Nouveau-Brunswick seront fortement convoitées et que ces nouveaux postes attireront les meilleurs talents au Nouveau-Brunswick. »

« La création de ces chaires de recherche en innovation du Nouveau-Brunswick permettra une plus grande collaboration entre le secteur privé et le secteur académique en ce qui a trait à la recherche, a souligné le recteur et vice-chancelier, Raymond Théberge. Elle aidera les intervenants et intervenantes du monde universitaire à collaborer davantage avec le secteur public et privé pour toutes sortes de projets innovateurs de recherche. »

Les universités, les collèges communautaires et les autres instituts de recherche reconnus peuvent accueillir une chaire de recherche et d’innovation du Nouveau-Brunswick. L’établissement doit s’investir pendant au moins cinq ans et fournir des laboratoires et des espaces de bureaux adéquats ainsi que du soutien administratif au titulaire de la chaire. Les titulaires de chaire pourront également faire des demandes de financement auprès d’autres fondations au titre du Fonds pour l’innovation en recherche, de l'Initiative des techniciens à la recherche et de l'Initiative des assistanats à la recherche.

Une demande de propositions a été lancée et les instituts ont jusqu’au 15 janvier pour envoyer leur lettre d’intention.

Melvin Gallant, auteur et ancien professeur de littérature à l’Université de Moncton, a obtenu le 28 octobre dernier, le Prix du Lieutenant–gouverneur pour l’excellence dans les arts littéraires en français.

Le parcours universitaire de monsieur Gallant est assez chargé. Il a tout d’abord obtenu un Baccalauréat en sciences commerciales de l’Université Saint-Joseph avant de s’envoler vers la France où il obtient alors un diplôme en sciences politiques de l’Université de Paris, puis une Maîtrise en lettres de l’Institut Catholique de Paris.

Par la suite, il revient en Acadie pour enseigner à Bathurst avant de se diriger vers la Suisse pour obtenir un Doctorat en lettres. C’est par la suite qu’il devient professeur en littérature à l’Université de Moncton.

Puisqu’il n’y avait alors aucune structure existante à l’époque pour permettre aux auteurs Acadiens de publier leurs textes, monsieur Gallant crée, en 1972, les Éditons d’Acadie.

Gardant une place toute spéciale dans son cœur pour la littérature, la culture acadienne a toujours occupé une grande place dans la vie de l’auteur. Au début des années 1980, il participe activement à la fondation de l’Association des écrivains acadiens qu’il dirige d’ailleurs pendant quelques années. Monsieur Gallant est l’auteur d’essais, de romans pour adultes, de poésie et de romans jeunesses, tous liés à l’Acadie.

Le Département de science politique de la Faculté des arts et sciences sociales célèbre cette année son 40e anniversaire de fondation. À cette occasion, le Département a tenu une table ronde réunissant des anciennes et anciens de science politique. La discussion avait pour thème « 40 ans de leadership : La contribution du Département de science politique de l’Université de Moncton en Acadie, au Canada et à travers le monde ».

La photo nous fait voir, de gauche à droite, les participantes et participants à la table ronde : Gino LeBlanc, conseiller principal – planification stratégique et relations gouvernementales, à l’Université de Moncton, et modérateur de la table ronde; René Léger, président de la Société nationale de l’Acadie; Marilyne Gauvreau, adjointe à la coordination régionale du Nouveau-Brunswick au Congrès Mondial Acadien de 2014; Louis Léger, président du comité organisateur du 40e; Marie-Linda Lord, vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales; Daniel Allain, sous-ministre de la gestion et de l’administration au Cabinet du premier ministre du Nouveau-Brunswick; Roger Ouellette, directeur du Département de science politique; et Victor Boudreau, député libéral de la circonscription de Shédiac-Cap-Pelé.

Le président du Conseil des gouverneurs de l’Université de Moncton, monsieur Raymond Lanteigne, a le plaisir d’annoncer que trois nouveaux membres se joignent au Conseil.

Les nouveaux membres, nommés pour un mandat de trois ans, sont Adélard Cormier (Sud-Est), Michel Côté (Extérieur des régions) et Neil Vibert (Nord-Est). Le Dr Jean Soucie (Nord-Ouest) a été reconduit pour un deuxième mandat de trois ans.
Ces nominations ont été faites par le lieutenant-gouverneur en conseil, l’honorable Graydon Nicholas, conformément à la Loi sur l’Université de Moncton.

David Landry et Réjean Martin, étudiants au Baccalauréat en administration des affaires à l’Université de Moncton, ont obtenu le 24 octobre dernier, le prix du jeune Entrepreneur régional du Sud-Est de l’année 2013 au Gala de l’entrepreneuriat.

Ce gala a pour but de souligner l’excellence et le succès des entrepreneurs régionaux.

Alors qu’ils voulaient en savoir un peu plus sur le fonctionnement d’une entreprise, David Landry et Réjean Martin ont créé en 2011 The Beach Boys Shuttle Service, un service de navette gratuite dans la ville de Shediac. Souhaitant rendre service aux touristes et aux résidents de la ville, ils offrent un service de transport écologique, propre et confortable.

En partenariat avec Centre-ville Shediac Downtown Inc. et la Ville de Shediac, The Beach Boys Shuttle Service a fourni cette année ses services aux campings et motels de la ville.

L’Université de Moncton s’est engagée depuis quelques mois dans un processus de Planification stratégique ayant pour thème « Planification stratégique 2020 : Osez rêver ».

La communauté universitaire et des partenaires de l’Université de Moncton ont répondu à l’appel des consultations avec ardeur et plus de 600 personnes ont participé à plus de 45 rencontres sur les trois campus pendant ces 180 jours d’écoute.

Pour clôturer les consultations, des journées Dialogue réunissant des leaders provenant de nos trois campus et de leurs communautés environnantes ont eu lieu récemment à Moncton.

Les discussions qui se voulaient une occasion d’échanges franches et stimulantes ont permis de préciser les objectifs qui guideront les orientations de l’Université pour les dix prochaines années.

Le dépôt du rapport se fera au Conseil des gouverneurs comme prévu le 30 novembre 2013.

Dans le cadre des activités du Club de mathématiques de la Faculté des sciences, une conférence intitulée « Apprivoiser l’infini » sera prononcée par le professeur Paul Deguire du Département de mathématiques et de statistique, le vendredi 8 novembre à 13 h 30, dans le local D-002 du pavillon Rémi-Rossignol.

Cette conférence permettra de répondre aux questions suivantes. Qu’est-ce qu’un ensemble infini? Ces affirmations sont-elles vrai ou faux : Il y a autant d’entiers pairs que d’entiers tout court? Il y a autant de nombres entiers que de fractions? Il y a autant de nombres réels entre 0 et 1 qu’il y en a sur toute la droite réelle? Il y a autant de nombres réels entre 0 et 1 que de points dans le plan cartésien? Enfin, vous avez une série infinie qui converge vers 3 (dont la somme est égale à 3). Peut-on réarranger les termes pour que la somme devienne égale à -10?

Bienvenue à toutes et à tous.

Une rencontre amicale a eu lieu récemment afin de souligner le départ à la retraite du professeur Réjean Hall. Au moment de sa retraite, il était directeur du Bureau de soutien à l’innovation et professeur à la Faculté d’ingénierie.

Professeur enthousiaste et passionné, il a contribué de maintes façons à préparer de nombreux ingénieures et ingénieurs à relever le défi du marché du travail. Ingénieur en génie industriel, le professeur Réjean Hall possède le baccalauréat de l’Université de Moncton, la maîtrise de l’Université Purdue dans l’Indiana et le doctorat de la University of New Brunswick.

Alors qu’il était étudiant en génie industriel à l’Université de Moncton, Réjean Hall s’est montré très engagé. Il a été membre du conseil étudiant à deux reprises et président de l’Association des étudiantes et étudiants en génie (AÉGUM). Une fois ses études de baccalauréat terminées, M. Hall a entrepris sa carrière chez Dupont Canada, où il a été, entre autres, concepteur de procédés. Il entrera ensuite au service de la Compagnie minière Québec Cartier comme ingénieur industriel où il voit à la planification, l’évaluation et l’amélioration des processus liés au bon fonctionnement du matériel roulant.

À peine devenu professeur d’ingénierie industriel, Réjean s’inscrit à la Maîtrise à l’Université Purdue. Il mènera de front ses études et assumera ses responsabilités de professeur en continuant à donner une pleine charge de cours. Contre toute attente, il réussit à compléter sa maîtrise dans seulement deux ans et demi.

Sa thèse de maîtrise porte sur l’emploi en industrie d’une innovation importante, le micro-ordinateur. Il se retrouve ainsi baigné dans les premiers balbutiements d’une révolution technologique qui mènera au contrôle et à l’automatisation des industries d’aujourd’hui. Il n’est pas étonnant qu’il joue par la suite un rôle important en ce sens au Nouveau-Brunswick. Il est impliqué dès le début dans le développement et l’implantation de la conception et la fabrication assistée par ordinateur à l’Université de Moncton. Il fait partie de l’équipe qui fondera le centre CADMI, un centre dédié à la conception par ordinateur de produits basés sur la microélectronique. Premier directeur de ce centre, CADMI verra au développement de produits innovateurs et sera un instigateur de plusieurs entreprises prospères comme la multinationale Spielo.

Souhaitant poursuivre des études de doctorat à la University of New Brunswick, il choisira de quitter la direction de CADMI. Comme pour sa maîtrise, il poursuivra et terminera ses études sans arrêter d’assumer ses responsabilités de professeur. Après un retour à la direction de CADMI, le professeur Hall est nommé directeur du Centre d’innovation scientifique et technologique pour l’industrie à l’Université de Moncton, un centre qui deviendra le Bureau de soutien à l’innovation, un bureau qu’il dirigera jusqu’à sa retraite.

Tout au long de sa carrière, les étudiantes et étudiants ainsi que ses pairs ont souligné à maintes reprises la pertinence et la qualité de ses cours. Les étudiantes et étudiants ont apprécié son enthousiasme, son expérience et sa capacité à communiquer l’essentiel. Les collègues de M. Hall l’ont remercié de sa contribution à la formation de nombreux ingénieurs et ingénieures d’ici et de partout dans le monde et pour avoir fait progresser son département, sa faculté et son université.

Dans le cadre de son Programme d’excellence professionnelle (PEP), le Consortium national de formation en santé (CNFS) - Volet Université d’Ottawa présente, en partenariat avec le CNFS - Volet Université de Moncton, une série de conférences qui sont retransmises par vidéo, en direct de l’Hôpital Montfort, à Ottawa.

Ces conférences se veulent une activité de formation continue multidisciplinaire destinée aux professionnels de la santé.

La troisième vidéoconférence de la programmation Automne 2013 aura lieu le jeudi 14 novembre 2013 et sera diffusée gratuitement, en français, de 12 h 30 à 14 heures au local A231, du pavillon Jeanne-de-Valois. La conférence intitulée «L’expérience des étudiants venant d’ailleurs inscrits au baccalauréat en sciences infirmières» sera présentée par Mme Sylvie Larocque, professeure agrégée; Mme Anne Marise Lavoie, professeure titulaire, et M. Kalum Muray, professeur adjoint à l’École des sciences infirmières à l’Université Laurentienne.

Les étudiantes et les étudiants francophones venant d’ailleurs qui étudient au nord de l’Ontario doivent non seulement s’adapter au langage franco-ontarien, mais aussi aux milieux de stages qui se déroulent presque uniquement en anglais. Or pour réussir la première année en sciences infirmières et même les années postérieures, les étudiantes et les étudiants doivent démontrer leurs capacités face à la complexité des cours théoriques, des laboratoires et des stages pour compléter cette première étape avec succès. Malheureusement, ces derniers n’étant pas équipés pour faire face aux obstacles découlant de leur statut d’étudiantes et d’étudiants d’ailleurs, souvent la seule issue semble être l’abandon du programme pour mettre un terme à une accumulation d’échecs.

Étant donné le nombre croissant d’étudiantes et d’étudiants étrangers ou venant d’ailleurs dans nos programmes professionnels, il nous semblait important, par l’entremise de notre recherche, d’identifier les défis que les étudiantes et les étudiants étrangers francophones doivent surmonter au cours de la première année dans un programme de sciences infirmières. Les résultats nous ont permis d’identifier des stratégies efficaces pour aider ces derniers à surmonter leurs difficultés reliées aux études dans un environnement linguistique et culturellement particulier et différent du pays dont ils émergent. Dans une autre mesure, nous espérons pallier à la préoccupation que constitue la rétention de ces étudiantes et étudiants jusqu’à la complétion de leur programme.

Cette conférence sera aussi disponible en diffusion Web-conférence (streaming).

Pour s’inscrire à la vidéoconférence (en présentiel ou en mode Web-conférence) ou pour obtenir plus de renseignements, prière de communiquer avec Melissa Richard ou Rachelle Lanteigne au CNFS - Volet Université de Moncton : cnfs@umoncton.ca / 858.4655. Les places sont limitées.

La programmation complète est disponible en naviguant sur le site Internet http://www.mavieestensante.ca.

Dominic Cardy, chef provincial du Nouveau Parti démocratique, prononcera une conférence ayant comme thème « Favoritisme, système politique bipartite et sous-développement », ce vendredi 8 novembre à 13 heures dans le local 328 du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.

Cette conférence est présentée dans le cadre du 40e anniversaire de fondation du Département de science politique de l’Université de Moncton. À cette occasion, une série de conférences publiques seront présentées tout au cours de l’année universitaire 2013-2014. Des personnalités politiques ont été invitées, tant du Nouveau-Brunswick que de la scène nationale.

Le Groupe de recherche sur les cultures en contact (GRICC) organise un atelier intitulé « Sources et présupposés du constructivisme : positivismes, historicismes et phénoménologies d’hier à aujourd’hui » qui aura lieu ce vendredi 8 novembre de 15 heures à 17 h 30 au local 458 du pavillon Léopold-Taillon.

Cet Atelier s’adresse à tous les membres de la communauté universitaire et particulièrement aux étudiantes et aux étudiants. Il comprendra quatre exposés qui seront suivis d’une discussion.

François Renaud du Département de philosophie de l’Université de Moncton fera un exposé sur « Le débat ancien nature-convention (physis-nomos) : séparation, opposition ou complémentarité ? ». Ibrahim Ouattara, également du Département de philosophie, fera une présentation intitulée « Reprise du débat aux 19e et 20e siècles : Max Weber et Jürgen Habermas ». Pour sa part, Luc Vigneault, professeur de philosophie au Secteur des sciences humaines au Campus d’Edmundston, se penchera sur « L’herméneutique contemporaine et le dépassement du problème méthodologique légué par du romantisme allemand » ; tandis qu’avec Denis Dumas du Département de philosophie de l’Université d’Ottawa, il sera question de « L’Historicisme et philosophie transcendantale : conflit insurmontable ou complémentarité ? Réflexions à partir d’Edmund Husserl et Karl‐Otto Apel ».

Le constructivisme est de nos jours la position (théorique et méthodologique) majoritaire dans les sciences humaines et sociales. Mais ce consensus n’est qu’apparent. Car le vocable « constructivisme » recouvre une grande variété de théories, dont on peut dégager deux grandes variantes, en partie incompatibles : l’une modérée, selon laquelle les facteurs historiques et sociaux forment nos interprétations de la réalité; l’autre radicale, selon laquelle la réalité est une construction, de part en part, de nos théories, pratiques et institutions.

Cet atelier vise à identifier et à discuter les présupposés théoriques fondamentaux du constructivisme dans ses principales variantes au moyen d’une mise en perspective : (a) par la comparaison avec son grand rival, le positivisme (qui connaît lui-même diverses versions) et (b) par l’étude de ses sources, notamment l’historicisme et la phénoménologie. Cet atelier se propose ainsi comme but une meilleure compréhension de l’arrière-plan historique et théorique qui sous-tend les pratiques dans les sciences sociales et humaines actuelles. Parmi les nombreuses questions qui seront abordées, directement ou indirectement, mentionnons les suivantes. Une médiation entre positivisme et historicisme (ou constructivisme) est-elle possible ? Peut-on se libérer du conditionnement social ? Tout discours est-il nécessairement idéologique ? Et, de manière générale, jusqu’où faut-il pousser la position constructiviste ?

Le ministre de l’Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail du Nouveau-Brunswick, l’honorable Jody Carr, a effectué une visite de courtoisie au campus de Moncton de l’Université de Moncton le 31 octobre dernier.

À la Faculté des sciences, il a visité le laboratoire de la Chaire de recherche du Canada en métabolisme cellulaire des lipides dirigé par le professeur Marc Surette et celui de la Chaire de recherche du Canada en photonique dirigé par le professeur Alain Haché.

Le ministre s’est ensuite rendu au Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick où il a rencontré le Dr Aurel Schofield, directeur et doyen associé, son équipe et des étudiantes et des étudiants.

La visite s’est terminée avec une rencontre avec le président de Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM), Kevin Arseneau, et des membres de son équipe.

Les étudiantes et les étudiants des trois campus de l’Université de Moncton ont maintenant accès à un site Web renouvelé du Service des bourses et de l’aide financière.

Le site http://www.umoncton.ca/boursesetaidefinanciere comprend, entre autres, un moteur de recherche pour les bourses, divers renseignements sur la gestion financière pendant les études et un budget interactif http://www.umoncton.ca/budgetetudiant. Afin de promouvoir son nouveau site Web, le Service des bourses et de l’aide financière a invité les étudiantes et étudiants à compléter leur budget en ligne en utilisant le nouvel outil de budget. Les étudiantes et étudiants avaient ainsi la chance de participer au tirage au sort de trois iPad, au Campus de Moncton, et d’un autre aux campus d’Edmundston et de Shippagan.

On peut voir les gagnantes des campus d’Edmundston et de Shippagan en cliquant sur les liens ci-dessous.

Campus d’Edmundston
http://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?page=1&id=13155&campus_selection=all#.UlMPjBCoH8c

Campus de Shippagan
https://fr-ca.facebook.com/photo.php?fbid=10151649177506249&set=a.399964096248.173116.302676541248&type=1&theater

Miguel Rojas, professeur à la Faculté d’administration de l’Université de Moncton, présentera le travail de recherche intitulé « Is corporate social responsibility rewarded by investors? An analysis in the context of Canadian extractive industries» à la Conférence 2013 des réseaux académiques pour l’initiative en investissement responsable. Cette conférence annuelle, organisée par les Nations Unies, se déroulera à Paris du 13 au 15 novembre en collaboration avec le Groupe Caisse des Dépôts de la France.

Portant sur la responsabilité sociale des entreprises (RSE), le travail de recherche a été réalisé en collaboration avec Sébastien Deschênes et Tania Morris, tous deux professeurs à la Faculté d’administration.

L’objectif de cette recherche est d’examiner si les investisseurs récompensent les entreprises socialement responsables en leur attribuant une capitalisation boursière plus élevée. L’étude a été menée en considérant les sociétés canadiennes cotées à la bourse et opérant dans les industries dites extractives (mines, métaux et énergie).

Les résultats de la recherche suggèrent que la valeur marchande des firmes serait en effet liée positivement à un indicateur agrégé de la RSE, tel qu’élaboré par la firme Jantzi Research. L'étude a également révélé une relation positive et statistiquement significative entre la valeur de marché des entreprises et deux dimensions de la RSE, soit les relations avec les communautés et les employés. Les liens ne se sont pas révélés significatifs en ce qui a trait aux dimensions liées à l’environnement, aux droits de la personne et à la gouvernance de l'entreprise.

Pour plus de renseignements, communiquez avec Miguel Rojas au (506) 858-4219.

Dans le cadre du séminaire en information-communication, le 25 octobre dernier, la journaliste et auteure Nathalie Blaquière a témoigné de ses expériences en Afrique.

Elle a notamment souligné l’efficacité du média radio pour la circulation de l’information dans des pays où le taux d’analphabétisme est élevé. Journaliste dans l’une des stations régionales de Radio Okapi, au Congo-Kinshasa, Mme Blaquière a expliqué le succès de cette initiative des Nations Unies par la présence de professionnels du journalisme qui ont assuré le développement du projet et la formation de journalistes du pays. Faisant référence à son passage au Rwanda, elle a également parlé des difficultés éprouvées quotidiennement par les journalistes là où la liberté de presse est bâillonnée.

Journaliste et cinéaste originaire de Shippagan, Nathalie Blaquière a réalisé une quinzaine de films documentaires au Rwanda et dans l’Est de la République démocratique du Congo, en plus d’œuvrer au développement des médias dans la région des Grands Lacs d’Afrique.

Elle vient de publier son tout premier livre, Boules d'ambiance et kalachnikovs. Chronique d’une journaliste au Congo, dans lequel elle raconte son expérience de journaliste dans une radio du Congo-Kinshasa, au milieu de l’un des pires drames humanitaires de notre temps et où les luttes armées ont fait plus de cinq millions de victimes.

D’année en année, les hispanistes de l’Asociación de Hispanistas de las Provincias Atlánticas (AHPA) se réunissent pour partager des projets reliés à l’avancement et à la diffusion de la langue et de la culture hispaniques : des projets de recherche, des œuvres créatives et des publications récentes.

C’est ainsi qu’a eu lieu les 18 et 19 octobre à la Faculté des arts et des sciences sociales de l’Université de Moncton le Simposio anual de l’AHPA, lequel a réuni des professeures, professeurs, étudiantes et étudiants de différentes universités, autant des Provinces maritimes que des États-Unis. Les organisatrices de l’édition 2013 du symposium, la professeure Cynthia Potvin du Département de traduction et des langues, et la professeure Patricia Balcom du Département d’anglais, ainsi que le comité de l’AHPA se disent très satisfaits du symposium qui a eu lieu pour une première fois à l’Université de Moncton.

L’événement a débuté avec une projection publique du dernier film du cinéaste espagnol de renommée internationale, Pedro Almodóvar. Intitulé Los Amantes Pasajeros « Les amants passagers », le dernier film d’Almodóvar est le reflet de la situation économique stagnante en pleine crise que vit présentement l’Espagne. La projection du film a été précédée d’une présentation par la professeure María R. Matz, de la University of Massachussetts à Lowell, aux États-Unis. Au moment clé du symposium, soit la conférence plénière intitulée « La clase de español y el cine de Pedro Almodóvar » de la professeure Matz, s’est greffée une dizaine de communications prononcées par les membres de l’Association sur des thèmes tels la littérature péninsulaire et hispano-américaine, les arts du monde hispanique et l’enseignement de l’espagnol. Le symposium s’est terminé avec un récital et la présentation de trois livres récemment publiés par quatre membres de l’Association.

Les programmes en gestion des services de santé du Département d’administration publique de l’Université de Moncton vous invitent à la conférence de M. David Levine intitulée « Bâtir un leadership » le jeudi 14 novembre de 13 h 30 à 15 heures. La conférence sera prononcée dans l’amphithéâtre du Centre hospitalier universitaire Dr-Georges-L.-Dumont de Moncton et sera diffusée dans quatre sites de la province grâce à la vidéoconférence.

La conférence sera diffusée dans l’amphithéâtre de l’Hôpital régional d’Edmundston; dans l’auditorium de l’Hôpital régional de Campbellton; dans la salle A de l’Hôpital régional Chaleur à Bathurst, et dans la salle Coop de la Baie à l’Hôpital de Tracadie-Sheila.

Le conférencier possède le baccalauréat en Génie civil de l’Université McGill (1970), la maîtrise de philosophie en Génie biomédical de l’Université de Londres (1972) et la maîtrise en administration hospitalière de l’Université de Montréal (1975). David Levine a été président-directeur général de l’Agence de la santé et des services sociaux de Montréal de 2002 à 2012, agence responsable des services de santé et sociaux offerts à plus de 2 millions de personnes par 47 établissements publics et 42 établissements privés. Il a aussi été ministre délégué à la Santé, délégué général du Québec à New-York en 1997 et conseiller au Conseil exécutif pour le ministre d’État au Développement économique de 1977 à 1980. Monsieur Levine est présentement professeur adjoint au département de médecine familiale de l'Université McGill et professeur clinicien au département d'administration des services de santé de l'Université de Montréal. Il est également chargé de cours à la maîtrise en gestion des services de santé au Département d’administration publique de l'Université de Moncton.

Selon le conférencier, personne ne naît leader, on le devient. Si ce n’est pas donné à tous d’être un grand leader, nous pouvons, par contre, tous être des leaders. Devenir un leader est une expérience d'apprentissage. Un leader n'est pas nécessairement un bon gestionnaire. Le contraire est aussi vrai. Diriger un groupe, une équipe, un orchestre, une armée, une organisation ou diriger une classe requiert des compétences de leadership qui peuvent être apprises. La connaissance que l’on acquiert, ajoutée aux traits de personnalité de chacun, crée différents types de leaders. En tant que président et directeur général de l'Agence de la santé et des services sociaux de Montréal, de l'hôpital d'Ottawa et de l'hôpital Notre-Dame à Montréal, M. Levine a appris le leadership dans des organisations complexes de soins de santé. Comme ministre de la Santé au Québec, il a appris le leadership politique et comme délégué général du Québec à New York, il a développé son leadership diplomatique.

La conférence se déroulera en français mais le conférencier répondra aux questions dans les deux langues officielles.

Pour plus de renseignements, prière de communiquer avec Jenny Robinson (jenny.robinson@umoncton.ca) ou au 858-4520.

La Librairie acadienne et le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact (GRICC) de la Faculté des arts et des sciences sociales ont le plaisir de vous inviter à la première de la saison 2013-2014 des Jeudis de la Librairie qui aura lieu le 14 novembre à la Librairie acadienne du campus de Moncton de l’Université de Moncton de 16 h 30 à 18 heures.

Il sera question de l’ouvrage La Cadie, frontière du Canada publié aux Éditions du Septentrion, au Québec et de son auteur Nicolas Landry. Cette activité sera présentée avec la participation de Mourad Ali-Khodja, professeur de sociologie, et de M. Landry, professeur d'histoire à l'Université de Moncton, campus de Shippagan.

Tous les Jeudis de la librairie sont suivis d’une réception.

Pour toute question, prière de vous adresser à Mireille Thériault de la Librairie acadienne au 858-4140.

L’Université de Moncton a organisé des journées portes ouvertes pour les élèves de 12e année des écoles secondaires francophones des Maritimes. S’inscrivant dans le cadre des activités de recrutement, ces journées d’accueil ont eu lieu les 29 et 30 octobre derniers.

À cette occasion, les élèves ont été accueillis dans le gymnase du Ceps Louis-J. Robichaud, en plus d’effectuer une visite du campus et d’assister à des cours fictifs dans la faculté ou l’école de leur choix. La journée s’est terminée par un rassemblement au Centre étudiant (Le Coude) en fin d’après-midi.

Au total, plus de 700 élèves ont visité le campus de Moncton pendant ces journées d’accueil.

Samuel LeBlanc, professeur au Département de philosophie et chargé de cours en économie à l'Université de Moncton, campus de Moncton, est coauteur de l'article « 12. Post neo-liberalism, education, and the principles of democratic learning » avec Emery J. Hyslop-Margison.

Le tout est publié dans la toute récente collection « Philosophy of Education Introductory Readings » de William Hare, John P. Portelli, chez Brush Education, octobre 2013, avec des auteurs notoires tels Nel Noddings, Maxine Greene et Paulo Freire. http://www.brusheducation.ca/books/philosophy-of-education.

Le Bureau des relations internationales, le Département des arts visuels ainsi que le Comité mieux-être universitaire a tenu récemment un concours de création d’épouvantails.

Le jury composé de Camille Bourque du Bureau des relations internationales/SMI, de la professeure Suzanne Harrison du Comité mieux-être et de Jacques Arseneault, directeur du Département des arts visuels, a attribué la première position à l'équipe « Les croque-mitaines » composée d’Alex McLaren, Karine McLaren, Jeanne Maddix et Josette Mallet. Ils ont chacun remporté un sac à dos offert par le Bureau des relations internationales.

C'est le groupe Symbiose composée de Carmen LeBlanc, Elisabelle Hardy et Marianne Bourgeois qui a remporté la deuxième position. Ils ont reçu un chèque-cadeau du magasin d'économies Thrift Store de l'Armée du Salut situé sur la promenade Elmwood.

Un stationnement privé pour sorcières (seulement), une œuvre réalisée par l'équipe d’Émile Maillet et de Romeo Bourgeois du Service d'entretien et de réparation de l'Université de Moncton a terminé au troisième rang. C'est l'originalité de l’œuvre qui a séduit le jury. L’équipe a reçu une pizza du restaurant Pizza Delight et des billets pour le Ciné-Campus.

Jusqu’au 2 février 2014, le Musée acadien de l’Université de Moncton présente l’exposition L’endroit le plus convenable : l’établissement de Louisbourg et l’Île Royale en 1713.

Des cartes anciennes et manuscrits du 18e siècle empruntés de France y sont présentés avec des artefacts et objets historiques de la collection de la Forteresse de Louisbourg.

Il s’agit d’une collaboration multipartenaire entre le Lieu historique national du Canada de la Forteresse-de-Louisbourg, du Beaton Institute de Cape Breton University et les Archives départementales Charente-Maritime de la Rochelle, en France.

Le Musée acadien est situé au 405 avenue de l’Université dans le pavillon Clément-Cormier, sur le campus de l’Université de Moncton.

Pour plus d’information, communiquez avec Jeanne Mance Cormier au (506) 858-4690 ou par courriel à jeanne-mance.cormier@umoncton.ca. On peut réserver une visite guidée en composant le (506) 858-4088.

Les renseignements sur les forfaits de site pour assister à la Coupe du monde féminine U-20 de la FIFA, Canada 2014 ont été dévoilés et seront en vente à compter du 28 novembre 2013. Les acheteurs de ces forfaits profiteront d’importants escomptes et du même siège pour chaque match.

« Ce tournoi de la FIFA en 2014 sera une autre occasion en or pour Moncton de se faire valoir devant un public international, a fait remarquer le maire de Moncton, George LeBlanc. Tout le monde attend avec impatience de voir ces matchs de niveau international ici même à Moncton. Les billets seront mis en vente très bientôt, la Coupe du Monde approche à grands pas! »

À titre de ville hôte officielle, Moncton accueillera huit matchs du tournoi au Stade Moncton 2010 Stadium, dont un match de quart de finale et un de demi-finale. Les forfaits de billets de site, qui seront en vente à compter du 28 novembre 2013, donnent accès à tous les matchs tenus au Stade Moncton 2010 Stadium et coûtent entre 50 $ et 125 $. Les détails sur les billets de match individuels seront annoncés au printemps 2014.

Pour la première étape de la vente de billets, les forfaits de billets de site permettent aux amateurs d’économiser jusqu’à 20 %. Les forfaits pour les groupes et clubs permettent d’économiser jusqu’à 30 %.

La Coupe du monde féminine U-20 de la FIFA, Canada 2014 réunira 16 équipes dans 32 matchs disputés dans quatre villes canadiennes : Edmonton, Toronto, Montréal et Moncton. La compétition se déroulera du 5 au 24 août 2014. Moncton accueillera des matchs de groupes les 6, 9 et 12 août. Le match de quart-de-finale aura lieu le 17 août et le match de demi-finale le 20 août.

Pour de plus amples renseignements, visitez la page officielle au http://fr.FIFA.com/Canada2014

Jenna Steeves, responsable des activités d'accueil et d'intégration, tente d’évaluer la faisabilité d’un projet de jumelage pendant la période des Fêtes avec les étudiantes et étudiants internationaux.

Parmi nos étudiantes et étudiants internationaux, une grande majorité d’entre eux reste à Moncton pendant la période de Fêtes car ils n’ont pas les moyens de retourner dans leur pays d’origine pendant les vacances. L’activité proposée serait de leur permettre de vivre l’expérience d’un souper dans une famille canadienne.

Pour ce faire, on propose de faire le jumelage d’une étudiant ou étudiante de l’international avec la famille d’un membre du personnel. Dépendant de la disponibilité de votre famille, le souper pourrait avoir lieu entre le 24 et le 26 décembre.

Afin de sonder l’intérêt pour un tel projet, Mme Steeves vous prie de lui indiquer si vous souhaitez accueillir une étudiante ou un étudiant de l’international lors d’un souper pendant la période des Fêtes. Vous pouvez lui répondre par courriel à l’adresse Jenna.Steeves@umoncton.ca ou par téléphone au 858-4792 pour plus de renseignements.

Renseignements : http://www.umoncton.ca/umcm-saee/international

La Société Nationale de l'Acadie (SNA) a dévoilé récemment la candidature en lice pour obtenir les clés du Congrès mondial acadien (CMA) de 2019. Des trois régions acadiennes ayant démontré un intérêt en mai dernier, seule la région Sud-est du Nouveau-Brunswick et Île-du-Prince-Édouard a soumis une candidature complète à la date butoir du 25 octobre.

En mai dernier, trois régions avaient manifesté leur intérêt à accueillir le CMA 2019. La région de la Côte acadienne-Yarmouth, en Nouvelle-Écosse, n'a pas déposé de candidature officielle à l'échéance. Quant à la Société acadienne Port-Royal, initiatrice de la candidature Centre-du-Québec-Mauricie, elle affirme vouloir consolider son développement régional et le fait acadien afin d'être mieux préparée à accueillir le Congrès.

Depuis 2001, la SNA a le mandat d'assurer la pérennité du CMA et a développé des outils pour sélectionner la région hôtesse. Son président, René Légère, souligne que le processus de sélection se poursuit malgré le fait qu'une seule candidature ait été reçue. « Le processus d'évaluation s'effectuera au cours des prochains mois et le conseil d'administration de la SNA prendra une décision suite aux recommandations du comité. C'est le comité qui a la tâche d'évaluer si la candidature reçue satisfait aux exigences du cahier de charge. »

Le calendrier adopté par la SNA prévoit la mise en place du comité de sélection en novembre 2013, l'évaluation des dossiers de janvier à mars 2014 et la visite des sites en avril. L'annonce officielle de la région hôte du CMA 2019 aura lieu au mois de juin 2014 lors de l'assemblée générale annuelle de la SNA à Edmundston.

Le 5e Congrès mondial acadien se tiendra dans l'Acadie des terres et forêts du 8 au 24 août 2014. Des activités se tiendront sur trois territoires différents, soit au nord-ouest du Nouveau-Brunswick, au Maine et au Québec.

La Société Nationale de l'Acadie est une fédération à but non lucratif qui regroupe les quatre associations francophones porte-parole des provinces de l'Atlantique ainsi que les quatre associations jeunesse. Son mandat est de représenter le peuple acadien sur les scènes atlantique, nationale et internationale.

Le mois de novembre résonne au son de la musique des Coups de cœur francophones 2013 au Service des loisirs socioculturels de l’Université de Moncton. Une soirée bien relevée avec Le Wesli Band et Oumou Soumarée aura lieu le mercredi 13 novembre au resto-lounge Le 63 du Centre étudiant. Des petits plats à saveur créole seront servis et un service de bar sera également offert au public.

Le 21 novembre, on se laisse emporter par la voix mélodieuse d’Alexandre Désilet avec, en première partie, le son indie-rock de Kevin McIntyre dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois.

Les billets pour les deux spectacles Coup de cœur francophone sont en vente à 8 $ (étudiant) et 15 $ (régulier) à la billetterie du Centre étudiant ou en composant le(506) 858-4554 ou le 1-800-363-8336.

Pour consulter la programmation complète des spectacles de la saison 2013-2014, rendez-vous à : http://www.umoncton.ca/umcm-sls/spectacles

Du côté du Ciné-Campus, La pirogue prendra l’affiche le jeudi 7 et vendredi 8 novembre. Le drame de Moussa Touré sera présenté dans le cadre de la 2e Semaine de l’immigration francophone en Atlantique.

Dans un village de pêcheurs de la banlieue de Dakar, plusieurs personnes rêvent de quitter leur existence malheureuse et payent des fortunes pour pouvoir s'embarquer dans une pirogue en direction de l'Espagne. Le trajet est pourtant long et dangereux et les conditions météorologiques sont loin d'être évidentes. Cela n'empêche pas le capitaine Baye Laye de faire l'impossible pour ramener tout le monde à bon port.

Les projections auront lieu dans l’amphithéâtre du pavillon Jacqueline-Bouchard du campus de l’Université de Moncton et les billets seront en vente à l’entrée au coût de 5 $ (étudiant) et de 7 $ (régulier). Renseignements : (506) 858-3738.

De plus, tous les lundis à 19 heures, les Rendez-vous de l’ONF en Acadie proposent du grand cinéma canadien à l’amphithéâtre du pavillon Jacqueline-Bouchard. Les prochaines séances auront lieu le 11 novembre : Sexe à vendre, et le 18 novembre : De la terre à la bouche. L’entrée est libre.

Pour plus de renseignements, vous pouvez communiquer avec Madeleine Blanchard au (506) 871-3638 ou par courriel à : madonews@gmail.com

La communauté universitaire est invitée à assister au lancement du livre De Parkton à l’éternité, de l’auteur Robert Arsenault. Ce lancement aura lieu entre 17 h et 18 h, le mercredi 13 novembre, au Club d’âge d’or de la paroisse Notre-Dame de Grâce de Parkton. Ce club est situé à l’arrière de l’église, au 5, rue Keillor. Le livre est publié aux Éditions La Grande Marée.

Phyllis LeBlanc, professeure d’histoire à l’Université de Moncton, parlera alors des débuts du quartier de Parkton.

Robert Arsenault est né à Parkton en 1949. Il est le frère du poète Guy Arsenault, l’auteur du recueil Acadie Rock. Robert Arsenault a obtenu, en 1970, le baccalauréat ès arts, avec mentions en sociologie et sciences politiques de l’Université de Moncton. Employé de la Société Radio-Canada à Moncton, il a exercé la fonction de réalisateur de 1983 jusqu’à sa retraite en mars 2013.

Dans son livre De Parkton à l’éternité, l’auteur lève le voile sur les 33 premières années de sa vie. Il raconte avec intelligence, sensibilité et humour, son enfance à Parkton, peuplée à la fois d’interdits et de libertés. Il parle aussi de son désir de devenir prêtre, de sa révolte religieuse, de son rôle dans l’organisation de la manifestation pour le bilinguisme à Moncton en février 1968, de son voyage aventureux au Japon en 1969, de son rôle de fondateur et de premier président du Frolic Acadien, de son séjour à Aix-en-Provence comme boursier France-Acadie, de sa carrière de journaliste à la radio de Radio-Canada, de sa conversion à Dieu et de sa foi après avoir été un athée et marxiste. Robert Arsenault parle de tout ça et bien plus encore…

Le livre a 180 pages et une soixantaine de photos. La couverture est l’œuvre de Maryse Arseneault, la nièce de l’auteur. Elle est diplômée du département des arts visuels de l’Université de Moncton.

Le Rendez-vous de l’ONF en Acadie vous propose Sexe à vendre, un film de Teresa McInnies et Kent Nason. Le documentaire sera présenté à l’amphithéâtre du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton le 11 novembre à 19 heures.

Particulièrement opportun et révélateur, ce documentaire essentiel fait le point sur la législation en matière de prostitution au Canada. Sexe à vendre nous incite à réfléchir aux conséquences du changement social.

Teresa MacInnes et Kent Nason nous présentent les propos de travailleuses du sexe qui soutiennent les modifications apportées à la législation, des survivantes de la prostitution qui en réclament la suppression, de décideurs, d’avocats et même, de « consommateurs ». Si tous s’accordent à souhaiter l’amélioration de la sécurité des femmes, les moyens à prendre pour assurer cette sécurité se heurtent en revanche à des philosophies antagonistes. Pour mieux mettre en lumière les divers aspects de cette question complexe, les cinéastes nous conduisent dans deux pays ayant mené des réformes particulièrement innovatrices : la Suède, qui s’est récemment dotée d’une loi féministe axée sur la tolérance zéro, et la Nouvelle- Zélande, qui a au contraire adopté un modèle de décriminalisation. Le film était de la sélection officielle à Hot Docs 2013 à Toronto.

L’Office national du film du Canada (ONF) crée des œuvres interactives innovantes, des documentaires à caractère social ainsi que des animations d’auteur. L’ONF a réalisé plus de 13 000 productions et remporté au-delà de 5000 récompenses, dont quatre prix Écrans canadiens, sept prix Webby, douze Oscars et plus de 90 prix Génie.

Pour obtenir plus de renseignements, communiquez avec Madeleine Blanchard au (506) 871-3638 ou avec Lily Robert au (506) 283-3838.

Vous pouvez aussi vous rendre sur le site Internet de l’ONF : http://www.ONF.ca

L’entrée est libre.

La mer sous toutes ses formes ornera les mûrs de la Galerie Assomption grâce à Josette Mallet qui y présente son exposition « Réflexions sur la mer », en montre pendant les mois de novembre et décembre.

Ayant grandi au bord de l’eau dans la région de Shippagan, Josette Mallet se dit interpellée par l’énergie et la beauté de la mer. « Je me sens comme un petit grain de sable devant l’immensité et la force de la nature », soutient celle qui passait des heures à regarder le mouvement de la mer pendant son adolescence. C’est d’ailleurs pendant cette période que Josette découvre la peinture. Par la suite, elle fait ses études et enseigne les arts pendant une courte période avant de se tourner vers les arts graphiques, plus précisément dans le monde de l’édition. Les années passées en graphisme influencent le travail de l’artiste qui dit parfois faire place à un travail plus dépouillé dans ses tableaux.

Josette Mallet touche aussi à la photographie et confie qu’elle se nourrit de l’art photographique lorsqu’elle a le pinceau en main. « J’ai toujours eu une fascination pour les négatifs en photo puisque les images placées les unes à la suite des autres racontent des histoires. J’ai voulu créer ce même effet de succession d’images en divisant mes peintures en sections, dévoilant aussi des petites histoires », explique l’artiste qui habite maintenant la région de Moncton.

L’exposition « Réflexions sur la mer » de Josette Mallet est présentée à la Galerie Assomption. La Galerie Assomption expose des tableaux d'art contemporain, moderne ou populaire, à caractère historique ou folklorique, ainsi que des sculptures et des photographies d’artistes professionnels canadiens. Six expositions de deux mois chacune y sont présentées chaque année. La Galerie est située au 770, rue Main à Moncton au rez-de-chaussée de l’édifice Place de l’Assomption et est ouverte du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 16 heures.

La 27e édition du Festival international du cinéma francophone en Acadie (FICFA) aura lieu du 14 au 22 novembre. La programmation offrira aux cinéphiles du Grand Moncton une centaine de films issus de la Francophonie internationale. Le festival visitera aussi une quinzaine de villes en Atlantique, grâce à sa Tournée. Et plus de 6000 enfants du Sud de la province prendront part au programme scolaire offert par le festival.

C’est avec le drame québécois L’autre maison de Mathieu Roy que s’ouvrira le festival le jeudi 14 novembre à 20 heures au théâtre Capitol. Toutes les séances régulières du festival seront présentées au cinéma Empire Theatres à Dieppe. La première canadienne du film belge La tendresse de Marion Hänsel, précédée de la première mondiale du court métrage Barrage de Jean-Michel Vienneau, sera présentée en clôture le vendredi 22 novembre à 20 heures au théâtre Capitol et la projection sera suivie de la remise des prix La vague.

Six films acadiens seront présentés en primeur mondiale dans la programmation régulière du festival dont le long métrage de fiction Aller-retour de Gilles Doiron, produit en collaboration avec la Fédération des jeunes francophones du Nouveau-Brunswick (FJFNB), et le documentaire d’Anika Lirette, Grand-Pré – Écho de l’UNESCO. Le public pourra aussi découvrir les courts métrages documentaires Emma fait son cinéma de Mélanie Léger et Ma radio, mon amie de Karine Godin, produit tous deux par le Studio Acadie de l’ONF dans le cadre du concours Tremplin. Le court métrage de fiction de Ginette Pellerin, Le cowboy et les sauvages, et le film Barrage réalisé par Jean-Michel Vienneau dans le cadre du projet Tourne à Québec! seront aussi présentés. De nombreuses œuvres acadiennes sont aussi proposées par le volet Arts médiatiques.

Outre les films en salle, de nombreuses activités parallèles tiendront les festivaliers en haleine. Plusieurs activités seront présentées dans le cadre du volet Arts médiatiques : ateliers, expositions en galerie, soirée de performances, etc., sans compter la 17e édition du très populaire Acadie Underground et une édition spéciale cinéma de PechaKucha.

Les billets sont en vente à la Librairie acadienne au campus de Moncton, au magasin Spin-it, situé au 467, rue Moncton, et, les samedis, aux Marchés de Dieppe et de Moncton.

Une sortie de spéléologie organisée par le secteur de géographie de l’Université de Moncton aura lieu le dimanche 17 novembre. Cette sortie est la troisième à se dérouler dans le cadre des activités de découverte organisées par le secteur de géographie cet automne. Rappelons que ces activités ont pour but de faire connaître la géographie à la communauté. Cette activité est ouverte à toute la communauté et elle permettra aux participantes et aux participants d’en apprendre davantage sur la région ainsi que sur certaines de ses particularités géologiques (milieux karstiques). Le professeur émérite Samuel Arseneault guidera la sortie.

Cette sortie concorde avec le début de la semaine de la conscience géographique qui se déroulera du 17 au 23 novembre 2013. Profitez de cette occasion pour visiter et approfondir les fondements d’une discipline passionnante!

Une rencontre préparatoire aura lieu le mercredi 13 novembre à 11 h 30 dans le local 139 du pavillon des Arts. Le départ pour la sortie se fera le 17 novembre à 10 h 30 et le retour est prévu vers 17 heures. Le port d’un casque protecteur et d’une lumière frontale est obligatoire.

Pour obtenir plus de renseignements, prière de communiquer avec le professeur Guillaume Fortin au 858-4364 ou par courriel à l’adresse guillaume.fortin@umoncton.ca.

Le Service de l’activité physique et sportive du campus de Moncton a sélectionné Gabrielle Forget, de Joliette, Québec, et Eric Faille, de Lachine, Québec, comme les athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed pour la période du 28 octobre au 3 novembre à l’Université de Moncton.

La gardienne de but Gabrielle Forget a inscrit deux victoires de 3 à 2 en fin de semaine avec les Aigles Bleues. Elle a fait face à 21 lancers samedi et à 26, vendredi soir. Elle a réussi plusieurs arrêts clés lors des deux parties permettant de maintenir l’avance des siennes pendant les trois périodes de chaque partie. Elle est étudiante au Baccalauréat en kinésiologie.

Le joueur de centre, Eric Faille, a été l’auteur du seul but des Aigles Bleus dans leur défaite de 4 à 1, samedi. La rencontre de vendredi a été reportée en raison des vents forts qui ont forcé la fermeture du pont de la Confédération. Il est étudiant au Baccalauréat en administration des affaires (comptabilité).