L’Université de Moncton et la Fédération étudiante du campus de Moncton ont rendu hommage à Rachel Chiasson, de Lamèque, Caroline Doucet, d’Eel River Crossing, Rachel Losier, de Moncton, Tina Robichaud, de Néguac, et Jean-Philippe Roy, de Moncton, en leur décernant un certificat de mérite en guise de reconnaissance pour le leadership et le dévouement dont ils ont fait preuve pendant leurs études.

Leur engagement au sein d’un conseil étudiant, lors d’activités socioculturelles ou sportives, grâce à une participation à divers comités étudiants ou encore comme bénévoles auprès de la communauté a grandement permis d’améliorer la vie étudiante.

Rachel Chiasson, Faculté de droit
Rachel Chiasson a complété le baccalauréat en administration des affaires avec concentration en marketing en 2008 et termine cette année le baccalauréat en droit. En 2009-2010, elle a occupé les postes de présidente du comité disciplinaire de l’Université de Moncton et de vice-présidente académique au sein de la Fédération étudiante. Et en 2008-2009, elle a occupé celui de vice-présidente aux activités sociales à la Féécum.

Elle s’est aussi engagée comme membre de la délégation des Jeux du commerce en 2007-2008 et du comité organisateur des Jeux de la communication de l’Université de Moncton en 2006-2007. Son engagement soutenu dans la vie étudiante au fil des ans a d’ailleurs été récompensé par des bourses de mérite para-académiques qui lui ont été décernées de 2007 à 2010.

Caroline Doucet, Faculté des sciences de l’éducation
Finissante au baccalauréat en éducation (primaire), Caroline Doucet a occupé le poste de vice-présidente exécutive du conseil étudiant de la Faculté des sciences de l’éducation en 2009-2010 et elle a coprésidé l’organisation du banquet de la Faculté en 2010-2011. Possédant une conscience sociale, elle s’est engagée au sein de Symbiose, un organisme étudiant dont la mission est de sensibiliser les gens aux enjeux environnementaux. Elle a aussi contribué au programme de mentorat de l’Université de Moncton de 2008 à 2010, en plus de participer aux Jeux de la communication en 2008 et de travailler comme bénévole pour l’édition 2010. Grâce à son amour pour la jeunesse et pour les sports, elle a agi à titre de chef de mission adjointe pour la délégation du Restigouche aux Jeux de l’Acadie en 2009, 2010 et 2011.

Son engagement soutenu tout au long de ses études lui a d’ailleurs valu le titre d’Impliquée de l’année lors du Gala para-académique de l’Université de Moncton en 2010.

Rachel Losier, Faculté d’administration
Rachel Losier complète le baccalauréat en administration des affaires avec concentration en gestion internationale. Elle occupait cette année le poste de vice-présidente interne à la Fédération étudiante et celui de représentante étudiante au conseil d’administration des Médias Acadiens Universitaires Inc. (MAUI). De plus, elle a occupé la vice-présidence externe du conseil étudiant de la Faculté d’administration en 2009-2010. Reconnue pour son dynamisme, elle a été coordonnatrice étudiante pour la campagne de l’Arbre de l’espoir à l’Université de Moncton en 2010, et coordonnatrice de la campagne « Mettons fin à la faim » menée en 2009. Elle a aussi été entraîneuse de l’équipe de handball féminin de la province en 2008-2009, et de l’école L’Odyssée de Moncton en 2007-2008. L’Université de Moncton a d’ailleurs souligné son engagement et son dévouement comme étudiante en la choisissant comme porte-parole des finissants et finissantes lors de la collation des diplômes du campus de Moncton en mai.

Tina Robichaud, Faculté des arts et des sciences sociales
Tina Robichaud termine la maîtrise en administration publique avec une impressionnante feuille de route en politique étudiante. Elle a présidé les destinées de la Fédération étudiante de 2008 à 2010 alors qu’elle a été choisie pour diriger et présider l’Alliance canadienne des associations étudiantes en 2009-2010. De plus, elle a été représentante officielle des étudiantes francophones du Nouveau-Brunswick au conseil d’administration de Stratégie Jeunesse de 2008 à 2010. Parmi ses nombreux engagements, mentionnons qu’elle a également présidé les Médias Acadiens Universitaires Inc. (MAUI) en 2008-2009 et elle a siégé au conseil d’administration de l’Association des anciens, anciennes et amis et au Conseil des gouverneurs de l’Université de Moncton comme représentante étudiante de 2008 à 2010.

Jean-Philippe Roy, Faculté d’ingénierie
Jean-Philippe Roy s’est distingué tout au long de ses études tant par son engagement dans la vie étudiante que par sa participation aux sports universitaires. Il a été le porte-couleurs de l’Université de Moncton au cross-country de 2006 à 2011 et membre de l’équipe d’athlétisme en 2006-2007 et en 2010-2011. Finissant au baccalauréat en génie mécanique, il est représentant des finissants et finissantes pour sa Faculté. De plus, il a été vice-président aux affaires internes du conseil étudiant de la Faculté d’ingénierie en 2008-2009 et président du comité d’accueil de la Faculté en 2007-2008 et en 2009-2010 en plus d’avoir offert ses services comme étudiant mentor en 2007. Cette année, il a occupé le poste de vice-président aux relations publiques et de directeur du débat oratoire de la Compétition atlantique de génie tenue à l’Université de Moncton.

Le Gala para-académique tenu récemment au campus de Moncton a été l’occasion de décerner des bourses para-académiques à des étudiantes et étudiants de diverses disciplines s’étant illustrés de manière exceptionnelle par leur engagement dans la vie étudiante.

L’Éducation permanente de l’Université de Moncton est à la recherche de formatrices et de formateurs intéressés à offrir des ateliers de perfectionnement professionnel à la session d’automne dans les domaines suivants : gestion et ressources humaines, administration des affaires, vente, marketing, service à la clientèle, informatique, langues, éducation, psychologie, travail social, droit, ingénierie, santé et mieux-être et autres.

Les ateliers de perfectionnement professionnel à l’Éducation permanente sont d'une durée d’un à deux jours et sont destinés à une population adulte et professionnelle œuvrant sur le marché du travail. La méthode pédagogique privilégiée est une approche andragogique fondée sur l’expérience et le vécu des participants et participantes. Les ateliers sont interactifs et participatifs et portent sur des thèmes spécifiques de perfectionnement en milieu de travail.

Les professeurs et chargés d'enseignement intéressés sont invités à remplir le formulaire que vous pouvez obtenir auprès de Stéphanie Léger (stephanie.leger@umoncton.ca) au plus tard le 9 mai.
Pour toute autre question ou demande de renseignements, veuillez composer le 858-4671.

Lise Savoie a soutenu avec succès sa thèse doctorale à la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Moncton. Sa thèse s’intitulait « Comprendre la trajectoire sociale de femmes francophones du Nouveau-Brunswick ayant participé à un processus d'alphabétisation : une perspective féministe ».

L’alphabétisation des femmes est un enjeu social important qui va au-delà d’un apprentissage formel puisque l’engagement dans une telle démarche suppose un projet de transformation et de réappropriation de sa vie.

Le but de cette thèse est de comprendre comment le processus d’alphabétisation contribue ou non au développement d’une conscientisation menant vers un projet de libération et d’émancipation des femmes. Il s’agit d’interroger, à travers une perspective féministe, les rapports que les femmes ayant participé à un processus d’alphabétisation entretiennent avec leurs mondes sociaux (famille, école et travail); des mondes qui apparaissent imprégnés par des rapports sociaux de sexe et structurent le rapport au savoir des femmes. On s’interroge sur le sens que ces femmes attribuent dans ces circonstances à un processus d’alphabétisation. On cherchera ainsi à comprendre si ce processus transforme la manière dont elles appréhendent le monde dans lequel elles interviennent au quotidien.

Les résultats permettent d’observer que l’engagement donne l’espoir aux femmes quant à la possibilité d’apprendre et de transformer leur rapport aux savoirs. Elles rapportent avoir vécu, à l’intérieur de cet espace, des apprentissages expérientiels qui font en sorte qu’elles transforment leur rapport à soi et aux autres. Maintenant elles comprennent la possibilité qui est la leur de pouvoir prendre la parole.

Elles se donnent une voix, tant dans la sphère privée que dans la sphère sociale. Cette prise de parole permet aux participantes de développer une nouvelle forme de pouvoir d’agir. Le pouvoir d’agir qui agit dans un processus de développement commence par la prise de conscience qu’elles peuvent redéfinir une image d’elles-mêmes de manière plus positive. Les participantes deviennent des femmes plus autonomes et cela se manifeste dans des décisions prises par elles et pour elles, dans l’engagement communautaire et dans la création d’un nouveau sens à leur vie. Elles en viennent à effectuer des changements intimes et personnels dans leur vie leur permettant d’élargir l’horizon des possibles.

Une étude de préfaisabilité rendue publique lors de deux forums d’échange et d’information, l’un à Bathurst et l’autre à Edmundston, révèle un potentiel important pour l’exploitation de 14 produits forestiers non ligneux (PFNL), non traditionnels, provenant des forêts du nord de la province. Les PFNL regroupent les produits de la forêt autres que la matière ligneuse utilisée par l’industrie de transformation du bois.

Intitulée « Étude de préfaisabilité pour la valorisation des produits forestiers non ligneux dans le nord du Nouveau-Brunswick », cette étude fait suite à un forum en agroforesterie qui a eu lieu à Shippagan en janvier 2009 et où les participants, en grande partie des propriétaires de lots boisés privés, avaient exprimé le vœu qu’on approfondisse le sujet pour ce qui est des variétés disponibles (voire même cultivables) dans nos régions et du potentiel de son exploitation sur une base rentable.

Le groupe de travail initial responsable de ce premier forum, coordonné par la Coopérative de développement régional-Acadie (CDR-Acadie), a été élargi afin d’y intégrer un nombre imposant de partenaires ayant participé, soit financièrement ou autrement, à l’étude de préfaisabilité et de la démarche de mobilisation en cours : Donald Hammond, directeur exécutif adjoint, Entreprise Chaleur; Joël Thibodeau, agent de développement économique, Entreprise Péninsule; Georges Roy, agent de développement d’entreprise, Entreprise Restigouche; Brian Donovan, directeur exécutif, Entreprise Miramichi; Rino Pelletier, Entreprise Madawaska; François Picard, Entreprise Grand-Sault; Diane Landry, agente de vulgarisation, Forêt expérimentale du campus d’Edmundston; Maurice Basque, agronome, agent de l’aménagement des terres, Agriculture et Aquaculture; Nancy Rousselle, agente de développement économique et communautaire, RDEE-N.-B.; Robert Thériault, producteur de bleuets et de miel, Péninsule acadienne; André LaPlante, coordonnateur de l'initiative du nord SDR; Bernard Savoie, agronome, Services agricoles Savoie; Claude Bergeron, producteur de bleuets; Claude Duke, producteur de sapin; Inuk Simard, superviseur de laboratoire, IRZC; Robert Ritchie, directeur général et forestier en chef, COFNO; et Réginald Boudreau, propriétaire de lots boisés.

Cette étude de préfaisabilité a été confiée par la CDR-Acadie à la Coopérative forestière du Nord-Ouest qui a sollicité la collaboration de la Faculté de foresterie de l’Université de Moncton, campus d’Edmundston pour les travaux de recherche et de rédaction. Avant d’entreprendre cette étude, la CDR-Acadie a procédé à un sondage auquel 75 propriétaires de lots boisés privés ont répondu et qui révélait leur intérêt en matière de PFNL, non traditionnels, ainsi que par rapport à une approche coopérative pour son exploitation.

Pour ce projet d’ensemble relié au PFNL, la CDR-Acadie a bénéficié d’un financement du programme fédéral Initiative de développement coopératif, volet Projet Innovation coopérative.

Prochaine étape
La prochaine étape consiste en l’organisation d’une mission exploratoire avec une délégation comprenant quelques producteurs de lots boisés privés du nord de la province intéressés à se regrouper en coopérative afin de fournir des volumes importants de PFNL, d’en faire la transformation et la mise en marché. On prévoit ainsi visiter en juin deux ou trois entreprises coopératives au Québec qui exploitent avec succès des produits forestiers non ligneux, non traditionnels, tant au niveau de la cueillette, de la transformation que leur mise en marché.

Par la suite, il faudra que les producteurs intéressés définissent ensemble à la lumière de cette étude et du rapport de mission, quels PFNL spécifiques ils voudraient exploiter après avoir obtenu au préalable un inventaire terrain permettant de déterminer leur approvisionnement potentiel dans nos forêts. De plus, ils devront poursuivre le travail amorcé notamment avec une étude de faisabilité, soit une étude plus approfondie ciblant quelques produits spécifiques qu’ils voudraient exploiter et mettre en marché sous forme coopérative.

Selon le directeur général de la CDR-Acadie, Melvin Doiron, « l’enjeu véritable, et c’est ce que révèle l’étude de préfaisabilité, est de structurer l’offre afin d’obtenir des volumes suffisant et de qualité car pour ce qui est de la demande pour les PFNL non traditionnels, elle se révèle en général bien supérieure à l’offre sur le marché. La tendance actuelle du marché porte à croire que les produits sauvages, surtout lorsqu’ils sont certifiés biologiques, ont de plus en plus la cote auprès des consommateurs. Voilà qui augure bien pour les régions du Nord. »

Renseignements : Melvin Doiron, au 506-727-6377.

Les 28, 29 et 30 avril, au-delà de 50 exposants se rassembleront au Palladium de Saint-Jacques pour participer au 23e Salon de la forêt, qui a comme thème cette année « Une forêt pleine d'énergie ». La Faculté de foresterie du campus d’Edmundston joue un rôle de premier plan dans l'organisation annuelle de ce Salon.

Comme chaque année, le Salon est une activité proposée à titre gracieux qui repose en grande partie sur la participation des nombreux exposants, mais aussi sur la participation financière de partenaires majeurs.

Une exposition des arbres indigènes du Nouveau-Brunswick vous permettra de mieux connaître les espèces de notre coin de pays et leur utilisation. Le spectacle « La Course au trésor d’Arthur L’aventurier » ainsi que plusieurs animateurs locaux sauront faire danser et amuser petits et grands. De plus, la Maritime Lumberjack Association présentera une démonstration d’habilité digne de bûcherons légendaires. On y retrouvera aussi des ateliers offerts sur les produits forestiers non ligneux et en tournage de bois. La soirée Chasse aux chevreuils avec QDMA vous permettra d’apprécier la beauté et la complexité de ce sport.

Des denrées non périssables pourront être apportées par les visiteurs en échange d’un arbre et elles seront remises à l’Atelier R.A.D.O. L’activité de pêche à la truite permettra également d’amasser des fonds pour le Relais pour la vie. Pour diminuer la consommation, les gens qui apporteront leurs propres sacs réutilisables pourront courir la chance de gagner un iPod Touch.

Les organisateurs, les exposants et les visiteurs qui y participent annuellement s’accordent pour dire que l’événement constitue une belle occasion pour échanger et apprendre davantage sur l’environnement forestier.

Renseignements : Sylvain Caron, au 506-739-1920, poste 3, sylcar@4bm.ca

La Faculté des arts et des sciences sociales a honoré quelques finissantes et finissants de ses programmes qui se sont particulièrement distingués grâce à un rendement académique supérieur et à une participation soutenue aux affaires de la Faculté, de l’Université de Moncton et de la communauté en général.

La cérémonie de remise des certificats d’excellence Pascal a eu lieu le 6 avril au pavillon des Beaux-arts en présence de finissantes et de finissants, de la doyenne, Isabelle McKee-Allain, Lisa Roy, vice-doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales, Élise Miranda, attachée culturelle au Consulat général de France dans les provinces atlantiques, et de membres du corps professoral et du personnel de la Faculté.

Cette cérémonie s’est déroulée dans un environnement artistique relevé. On a pu apprécier la lecture d’un extrait de la pièce « On a tous déjà pêché », par l’auteur Gabriel Robichaud, étudiant finissant, et Agathe Marie, étudiante finissante au Département d’art dramatique. Pour sa part, Patrick Gaudet et Kevin Johnson, étudiants finissants au Département de musique, ont présenté une pièce intitulée « Gyro », du compositeur contemporain Tomar Yariv.

Des rénovations seront entreprises dans les bureaux du Registrariat du début mai à la fin juillet. Pendant ce temps, un bureau temporaire sera logé dans le local 293 du pavillon Léopold-Taillon (ancienne imprimerie).

La plupart des services à la clientèle du Registrariat sont aussi disponibles au comptoir de service du Centre étudiant.

Renseignements : Pascal Robichaud, au 858-4114.

Les étudiants et étudiantes du programme en éducation primaire du campus de Shippagan et leur professeur, Yves de Champlain, ont présenté une Symphonie portuaire au quai de Shippagan, une première du genre au Nouveau-Brunswick. Malgré le froid, près de 150 personnes ont répondu à l’appel du large lancé par les organisateurs.

Pour réaliser ce projet culturel, les étudiants et étudiants ont fait appel à l’Association des crabiers acadiens et à l’Association des crabiers du Nord-Est ainsi qu’à l’école L’Envolée. En effet, dix propriétaires de bateau et une dizaine de jeunes de l’école L’Envolée ont bien voulu se prêter à cette belle activité qui, rappelons-le, présente une œuvre musicale à partir des sirènes de bateaux.

C’est par la lecture d’un texte d’Herménégilde Chiasson, que l’auteur a bien voulu écrire pour l’occasion, que la cérémonie a débuté. Les bateaux ont ensuite enchaîné avec la Symphonie portuaire, une œuvre musicale d’une durée de cinq minutes. Stéphanie Hickey, étudiante en éducation primaire, et l’artiste Sandra LeCouteur ont ensuite chanté quelques chansons au grand plaisir de tous.

La vice-rectrice du campus de Shippagan, Jocelyne Roy Vienneau, a tenu à remercier les gens qui se sont déplacés ainsi que toutes les personnes impliquées dans le projet. « Espérons que cette activité initiée pendant l’année du 50e anniversaire de l’enseignement universitaire à Shippagan marque le début d’une belle tradition annuelle soulignant l’ouverture de la pêche au crabe et la fin de l’année universitaire », a-t-elle dit.

Le professeur Michel Johnson, de l’École de kinésiologie et de récréologie, et Mathieu Bélanger, professeur associé à l’EKR, ont obtenu une subvention de 25 000 $ de la Fondation de recherche en santé du Nouveau-Brunswick pour leur projet, intitulé « Impact de la réadaptation cardio-pulmonaire sur la fonction autonome et le comportement au volant des individus atteints de maladie cardiovasculaire ».

S’intéressant à la conduite sécuritaire, le professeur Johnson est chercheur avec les réseaux Auto21 et CanDriveII. Il est bénéficiaire également d’une subvention de l’Agence de promotion économique du Canada atlantique pour son étude auprès des conducteurs professionnels.

Les Éditions Perce Neige lancent quatre recueils de poésie, le mardi 26 avril de 18 heures à 20 heures au 2e étage du Centre culturel Aberdeen de Moncton.

Parmi les nouveautés, on découvrira « L’écoute des fragments », de Brigitte Harrison, « Empreintes », de Raymond Guy LeBlanc, « Continuum », de Paul Bossé, et « La promenade des ignorés », de Gabriel Robichaud. Les auteurs feront une lecture sur place et le public est invité.

« C’est un très grand cru que nous proposons à nos lectrices et lecteurs ce printemps, souligne Serge Patrice Thibodeau, directeur des Éditions Perce Neige. Trois de ces poètes démontrent une fidélité indéfectible envers notre maison, et un très jeune poète se joint à notre équipe en ce 30e anniversaire de la fondation des Éditions Perce Neige. »

Organisme sans but lucratif, les Éditions Perce Neige ont comme mission de publier en français des livres qui témoignent de la continuité et du renouvèlement de la littérature acadienne contemporaine. La raison d’être de la maison est d’éditer les forces vives de la littérature de langue française en Acadie et de privilégier les jeunes auteurs qui en sont le prolongement. Maison d’édition à caractère strictement littéraire, elle se consacre aussi à la publication et à la diffusion des œuvres du patrimoine littéraire acadien.

Un prix spécial de lancement (15 $) est proposé. L’entrée est libre. Renseignements : 506-384-6897 / madoblan@nbnet.nb.ca

Le Centre canadien multisport Atlantique, le Comité olympique canadien et Cold FX ont présenté un atelier de la série « Célébrons l’excellence et la performance » au Ceps Louis-J.-Robichaud du campus de Moncton, en compagnie de plusieurs médaillés olympiques et paralympiques du Canada. Cet atelier a réuni les Canadiens Kaillie Humphries, Denny Morrison, Chris le Bihan, David Bissett, David Eng et Tania Vicent, tous athlètes olympiques ou paralympiques médaillés. Le programme comprenait un entraînement hors-piste avec les athlètes et une discussion fort intéressante en groupe portant sur les leçons tirées de leur expérience olympique et paralympique. Offert sans frais aux athlètes, entraîneurs et amateurs de sport de tout le Nouveau-Brunswick, cette rencontre a permis aux personnes participantes de mieux comprendre « ce qu’il faut » pour réaliser leur plein potentiel en tant qu’athlète.

La Galerie d’art du Théâtre Capitol est à la recherche d’artistes visuels désirant mettre sur pied une exposition pendant l’année 2012. Les artistes visuels d’ici et d’ailleurs ont jusqu’au 31 mai pour soumettre leur candidature et ceux qui seront choisis recevront un cachet de 500 $.

Le Théâtre Capitol est d’abord et avant tout un centre des arts de la scène. Il permet cependant d’accueillir les artistes des disciplines touchant les arts visuels. La Galerie d’art se trouve dans la partie avant du Foyer Irving du centre des arts de la scène et est devenue une aire d’exposition importante. Grâce aux nombreux spectateurs qui assistent aux spectacles et aux divers événements du Théâtre Capitol, les expositions bénéficient d’une excellente visibilité.

Un comité des arts visuels coordonne le choix des artistes. Les expositions sont en montre pour environ deux mois selon les autres activités prévues au théâtre. Les artistes intéressés à exposer doivent remplir le formulaire de demande d’exposition et le remettre au Théâtre Capitol avec le portfolio avant le 31 mai. Le portfolio comprend une courte biographie de l’artiste, y compris une liste des expositions antérieures et à venir confirmées, une description de l’exposition proposée et un minimum de dix diapositives ou photos de ses œuvres récentes avec une liste où figurent le titre des œuvres, la technique utilisée, la taille des œuvres et la date de réalisation. Renseignements : 856-4377.

Sport interuniversitaire canadien et la firme nationale de droit Borden Ladner Gervais LLP (BLG) ont dévoilé l’identité des huit finalistes pour l’obtention des 19es prix BLG. Parmi ceux-ci, il y a la hockeyeuse Mariève Provost, des Aigles Bleues de l’Université de Moncton.

Les prix BLG ont été créés en 1993 pour honorer les meilleurs athlètes féminin et masculin provenant d’universités affiliées à SIC.

Le lundi 16 mai, les huit candidats nationaux seront honorés et une gagnante et un gagnant recevront une bourse d’études de 10 000 $ devant plus de 1 000 invités au Centre pour les arts de Vancouver, en Colombie-Britannique. Le gala sera diffusé en première sur les ondes de TSN, le samedi 4 juin à midi HAE.

« Nous sommes très heureux de présenter les prix BLG à Vancouver cette année et de poursuivre notre mission qui est d’offrir une vitrine nationale à ces extraordinaires athlètes, mentionne Doug Mitchell, coprésident national de BLG. Notre bureau de Vancouver a hâte d’accueillir nos finalistes, les représentants des universités, leurs familles, de même que nos clients et invités afin de célébrer l’importance du sport dans les universités canadiennes. »

« Les prix BLG se veulent une merveilleuse occasion d’honorer les étudiants athlètes exceptionnels de SIC, ajoute Marg McGregor, directrice générale de SIC. Il s’agit toujours d’un des faits saillants de notre année sportive. »

En plus de Mariève Provost, les finalistes à l’obtention du trophée Jim Thompson présenté à la récipiendaire du prix BLG 2011 sont la joueuse de soccer Véronique Laverdière (Montréal) de l’Université de Montréal, la basketteuse Jessica Clemençon (Saint-Rambert, France) de l’Université de Windsor, et la volleyeuse Shanice Marcelle (Victoria) de l’Université de la Colombie-Britannique.

Mariève Provost a remporté un deuxième championnat des marqueuses de SIC consécutif cette saison et a été retenue parmi les étoiles canadiennes pour une quatrième fois, tout en établissant des records de SIC pour le plus de buts et de points en carrière. Laverdière a été élue joueuse par excellence de SIC après avoir mené les Carabins à un troisième titre québécois de suite, puis a inscrit chacun des quatre buts des siennes au championnat canadien. Clemençon a également été nommée joueuse de l’année au pays en plus d’être choisie joueuse par excellence de la finale canadienne après avoir aidé les Lancers à décrocher la première bannière de SIC de leur histoire. Marcelle a réussi un tour du chapeau en 2010-2011 alors qu’elle a mérité les titres de joueuse de l’année de SIC et de joueuse par excellence du championnat canadien en plus de mener les Thunderbirds à un quatrième sacre national consécutif.

Les candidats à l’obtention du trophée Doug Mitchell remis à l’athlète masculin de l’année de SIC sont le joueur de soccer Michael Marousek (Prague, République tchèque) de l’Université St. Francis Xavier, le hockeyeur Alexandre Picard-Hooper (Boucherville, Québec) de l’Université McGill, le basketteur Tyson Hinz (Ottawa) de l’Université Carleton, et le volleyeur Graham Vigrass (Calgary) de l’Université de Calgary.

Marousek a dominé la conférence de l’Atlantique avec cinq buts gagnants et a mérité une place sur la première équipe d’étoiles de SIC alors que les X-Men ont été la seule équipe au pays à demeurer invaincue en saison ordinaire. Picard-Hooper a été le meilleur marqueur au pays et est devenu le tout premier porte-couleurs des Redmen à être élu joueur de l’année de SIC en hockey, avant d’aider McGill à atteindre la finale canadienne de la Coupe Université pour la première fois de son histoire. Hinz a connu une fin de semaine de rêve à Halifax au début mars alors qu’il a été choisi joueur de l’année au pays et joueur par excellence du championnat de SIC tout en menant les Ravens à la conquête d’un septième titre canadien en neuf ans. Vigrass a hérité du titre de joueur par excellence de SIC après avoir mené les Dinos à un premier championnat de conférence en 17 ans, puis a aidé les siens à mettre la main sur la médaille de bronze de SIC.

Les prix BLG sont basés sur les réalisations sportives, l’esprit sportif et le leadership. Chacune des 51 institutions de SIC choisit une athlète féminine et un athlète masculin de l’année. Parmi ces candidats, une athlète et un athlète sont retenus par chacune des quatre associations régionales: Sport universitaire de l’Atlantique, le Réseau du sport étudiant du Québec, Sports universitaires de l’Ontario et l’Association sportive universitaire de l’ouest canadien. Pour être admissible, l’athlète doit avoir évolué sur le circuit de SIC pendant au moins deux ans et ne peut être un ancien récipiendaire du prix BLG.

Tous les candidats reçoivent une bague commémorative en or et les gagnants reçoivent une bourse de 10 000 $ afin de poursuivre des études supérieures dans une université canadienne. Les gagnants sont choisis par la Fondation athlétique canadienne, un conseil d’administration sans but lucratif mis sur pied afin de gérer les prix BLG et protéger l’intégrité du processus de sélection. Le conseil de la FAC est composé de 22 membres provenant de cinq villes canadiennes et représentant des sociétés et organisations canadiennes déterminées à offrir aux athlètes universitaires canadiens la reconnaissance qu’ils méritent.

Renseignements : www.blg.com/blgawards

La bibliothèque du campus de Shippagan a déjà fait appel en 2010 à l’expertise des étudiants du baccalauréat en gestion de l'information (BGI) inscrits au cours GEIN 4010 « Calendrier et traitement de l’information » pour améliorer la gestion documentaire du service. Ce travail a consisté à refaire le plan de classification peu fonctionnel et à traiter les arriérés de dossiers sur papier laissés par les directeurs successifs de la bibliothèque, et à tenter de retracer l’histoire des principales étapes du service depuis ses 50 années d’existence.

Cette expérience a montré l’importance du traitement de l’information et voilà les différents points d’amélioration que la directrice de la bibliothèque, Hélène McLaughlin, a pu constater après ce premier travail. « Avant ce projet, le service ne possédait pratiquement aucune trace écrite de son historique, dit-elle. Nous disposons maintenant d’archives permettant de recréer la mémoire disparue. L’élimination d’une partie des documents et l’archivage des dossiers à valeur historique ou légale ont permis de réduire considérablement la masse documentaire existante. L’amélioration du plan de classification a quant à lui contribué à rendre le repérage de la documentation plus efficace ; les rubriques du nouveau plan étant réduites et pertinentes. Ces améliorations me permettent d’économiser un temps considérable en accédant rapidement à l’information dont j’ai besoin pour accomplir mon travail. Ce projet de collaboration entre notre service et les étudiants a été des plus profitables pour tous ».

Elle n’a donc pas hésité à renouveler l’expérience et à proposer aux étudiants de se pencher sur la problématique du dossier partagé et de proposer des préconisations en matière de durée de conservation des documents.

Les cinq étudiants de cette année ont présenté les conclusions de leur étude aux membres de la bibliothèque et qui consistaient à améliorer le nommage de leurs fichiers, et utiliser le plan de classification pour la recherche et le dépôt des documents dans le fichier partagé pour favoriser l’échange systématique de l’information commune au sein du service.

Florence Ott, professeure en gestion documentaire, et la directrice, Hélène McLaughlin, disent « espérer que ce travail permettra au personnel de la bibliothèque de faciliter l’échange de renseignements et nous les remercions d’avoir accepté d’offrir une première expérience aux étudiants à qui il appartient maintenant d’utiliser leurs acquis pour répondre aux défis que la vie professionnelle leur réserve. »

Le public et les anciens et amis de l’Université de Moncton sont invités à participer au tirage hebdomadaire 50/50 des Amis des Aigles Bleu.es. Ce tirage, organisé par l’organisme de soutien aux programmes de hockey masculin et féminin, destine ses profits à l’encadrement des deux équipes de hockey du campus de Moncton. Le coût est de 1 $ par semaine et il est possible de payer sa cotisation jusqu’à 52 semaines à l’avance.

Pour participer au tirage hebdomadaire 50/50 des Aigles Bleu.es, il suffit d’envoyer un courriel à amisdesaigles5050@gmail.com avec votre nom, adresse, courriel et numéro de téléphone ainsi que le nombre de semaines de participation. Un membre de l’organisation vous communiquera un numéro de participation. Vous pourrez ensuite faire parvenir votre paiement par la poste à l'adresse suivante : Les Amis(es) des Aigles, C.P. 27037, Dieppe, N.-B., E1A 6V3.

Pour toute question ou commentaire concernant ce tirage hebdomadaire 50/50 des Aigles Bleu.es, faire parvenir un courriel à amisdesaigles5050@gmail.com ou composez le 506-866-3258.

Cette année, la bourse Christel-Gallant d’une valeur de 500 $ a été octroyée à Micheline Boudreau, étudiante de deuxième année au programme accéléré du Département de traduction et des langues de l’Université de Moncton.

La photo nous fait voir les bénéficiaires de bourses Henri et Jeannette-Marcotte d’une valeur de 1000 $ chacune octroyées à des étudiants et étudiantes inscrits en économie à l’Université de Moncton.

Étudiant au baccalauréat en travail social à la Faculté des arts et des sciences sociales, Gaby Lyness et cinq de ses collègues qui terminent la quatrième année en travail social se rendent cette semaine à Belo Horizonte, au Brésil, afin d’y vivre une expérience culturelle et humanitaire.

Président du conseil étudiant en travail social, Gaby Lyness est l’un des instigateurs du projet. « Ce voyage nous permettra d’observer les rapports culturels avec une ouverture d’esprit et nous permettra aussi de vivre l’expérience de celui ou de celle qui arrive de l’extérieur et qui doit s’adapter à un nouveau milieu, explique-t-il. Comme futurs intervenants en travail social, cette immersion dans une culture qu’on ne connaît pas ou peu nous permettra notamment de mieux comprendre les personnes immigrantes qui arrivent chez-nous, par exemple, et qui doivent composer avec les nombreux défis de l’intégration. »

Possédant le diplôme en intervention jeunesse du Collège communautaire du Nouveau-Brunswick, Gaby travaille depuis neuf ans auprès de jeunes en difficulté dans la région de Moncton. C’était donc un retour aux études qu’il a effectué en entreprenant des études à l’Université. « À la lumière de mon expérience comme intervenant jeunesse au fil des ans, je pense que j’ai encore beaucoup à donner aux jeunes et aux personnes dans le besoin. Ma formation universitaire me permet donc d’acquérir de nouvelles compétences en travail social, un domaine qui me tient particulièrement à cœur et me donne l’élan nécessaire pour atteindre de nouveaux objectifs», dit-il. Pendant le séjour au Brésil, le groupe de l’Université de Moncton rencontrera des personnes œuvrant au sein d’organismes à but non-lucratif et visitera l’Université de Belo Horizonte.

En prévision de ce voyage qui se poursuit jusqu’au 16 mai, les membres de la délégation ont travaillé de longues heures à faire des collectes de fonds pour le financer et se sont rencontrés régulièrement afin d’établir leurs objectifs d’apprentissage et pour se préparer à vivre cette expérience. Possédant une expérience significative à l’international, la professeure de travail social Isabel Lanteigne a agi à titre de personne ressource pour le groupe. Le groupe est formé de Danie Comeau, de Petit-Rocher, Joanie Haché, de Lamèque, Danielle LeBlanc, de Scoudouc, Céline Rousselle, de Rivière-du-Portage, Nathalie Boudreau, de Cap-Pelé, et Gaby Lyness, de Moncton.