Voici les archives de l’Hebdo-Campus du 16 avril 2009 au 20 septembre 2018
Entente de principe entre l’ABPPUM et l’Université de Moncton
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Entente de principe entre l’ABPPUM et l’Université de Moncton Une entente de principe en vue d’un nouveau contrat de travail a été conclue le 19
mars entre l’Association des bibliothécaires, professeures et professeurs de
l’Université de Moncton - campus de Moncton (ABPPUM) et l’administration de
l’Université de Moncton mettant ainsi un terme à un processus de négociation qui a
commencé en avril 2011 et facilité depuis novembre 2dernier par la présence d’une
conciliatrice nommée par Martine Coulombe, ministre de l’Éducation postsecondaire,
formation et travail.
Le recteur et vice-chancelier, Yvon Fontaine, se dit très heureux de ce dénouement. «
Cette entente de principe permet d’atteindre les objectifs que s’étaient fixés les
deux parties. Une fois ratifiée, cette entente permettra aux professeurs et aux
étudiants d’entrevoir les deux années à venir avec confiance et à concentrer leurs
énergies sur ce qu’ils font de mieux, soit l’apprentissage, l’enseignement, la
recherche et développement et la création, ainsi que les services à la collectivité.
»
Le président de l’ABPPUM, Michel Cardin, s’est également dit heureux que le dialogue
ait pu finalement être fructueux et que l’entente se soit conclue à la satisfaction
des deux parties.
Vendredi, une assemblée générale spéciale suivra immédiatement l’assemblée
générale annuelle de l’ABPPUM afin de soumettre cette entente de principe à un vote
de ratification par ses membres. Pour sa part, l’administration de l’Université
devrait pouvoir soumettre l’entente à l’approbation du Conseil des gouverneurs lors
de sa prochaine réunion en avril.
| Une première levée du drapeau de la fierté LGBT au campus de Moncton
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Une première levée du drapeau de la fierté LGBT au campus de Moncton La Semaine de sensibilisation à la diversité sexuelle organisée par l’association Un
sur Dix se poursuit jusqu’au vendredi 23 mars au campus de Moncton. Elle a commencé le
lundi 19 mars avec la levée du drapeau de la fierté LGBT à l'entrée du stade, avec la
participation (photo de gauche à droite) de Jean-Roch Savoie, président de
l’association Un sur Dix; Michelle Soucy, membre du comité exécutif; Marie-Linda Lord,
vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales; Hugo Lavoie, vice-président de
l’association; et Chantal Thanh Laplante, membre du comité exécutif.
Aujourd’hui, jeudi 22 mars, vous pouvez assister à la projection du film « Prayers for
Bobby » à 18 h 30 dans le local 206 de l’édifice des arts.
Renseignements : unsurdix@umoncton.ca
| CFA du Canada atlantique : conférence en compagnie de Peter Gibson
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CFA du Canada atlantique : conférence en compagnie de Peter Gibson Le conseil de l’Association des CFA du Canada atlantique, en collaboration avec la
Chaire d'études Jeanne et J.-Louis-Lévesque en gestion financière de l'Université de
Moncton, vous invite à assister à une conférence prononcée en anglais en compagnie de
Peter Gibson, directeur gestionnaire, Stratégie de portefeuille et recherche
quantitative, Marchés mondiaux CIBC Inc, intitulée « Investing Successfully and Staying
Funded “in a Long Depression », le lundi 26 mars à compter de 11 h 45 dans la salle
multifonctionnelle du Centre étudiant au campus de Moncton.
L'économie mondiale continue de stagner engendrant incertitude et volatilité sur les
marchés mondiaux. Venez écouter M. Gibson, qui partagera son point de vue sur
l’évolution de l'économie mondiale et sur la façon de nous positionner dans ce genre
de marché.
Peter Gibson s’est joint à la Banque CIBC en 2009 en tant que directeur gestionnaire -
Stratégie de portefeuille et recherche quantitative, Recherche sur les actions
institutionnelles chez Marchés mondiaux CIBC Inc. Son travail de recherche et d'analyse
est incomparable au Canada. Il a été nommé le meilleur analyste quantitatif au pays 21
fois par le sondage annuel de Brendan Wood International auprès des gestionnaires de
portefeuille. Il a également été classé premier dans la stratégie d'investissement
neuf fois au cours des dernières années.
Avant de joindre la CIBC, M. Gibson a été vice-président de Stratégie de portefeuille
et de recherche quantitative chez Valeurs mobilières Desjardins. Avant cela, il a été
directeur exécutif et vice-président, Stratégie et recherche quantitative chez Scotia
Capital Inc.
M. Gibson agit souvent à titre d’orateur lors d’événements qui touchent le secteur
de l’investissement et ses écrits ont également été publiés. Au fil des ans, il a
publié des milliers de pages de recherches portant sur des centaines de sujets liés aux
placements. Il est aussi à l’origine du Système de classification des industries à
l’échelle mondiale et le créateur du Système de portefeuille mondial.
L’inscription et le dîner commenceront à compter de 11 h 45 et la présentation du
conférencier se fera de 12 h 30 à 13 h 30. Elle sera suivie d’une période de
questions.
Le coût est de 25 $ pour les membres CFA et candidats / étudiants et 30 $ pour les
non-membres. Il faut payer à l'avance en ligne par carte de crédit ou en envoyant un
chèque à l’Association CFA Canada atlantique, case postale 693, Halifax, N.-É., B3J
2T3.
La date limite pour s'inscrire est aujourd'hui, jeudi 22 mars.
Renseignements : Tania M. Morris, au 858-4218.
| Des camps mathématiques conçus expressément pour les jeunes francophones du Nouveau-Brunswick
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Agrandir l'imageUn comité a été formé pour aider à la préparation et à la correction de l’examen du Concours Poincaré et à l’organisation des camps mathématiques. Il est composé, du professeur Donald Violette à titre de président, au centre; du professeur Salah-Eddine El Adlouni, à gauche, et de l’étudiant Toussida Arthur Dabilgou, à droite. |
Des camps mathématiques conçus expressément pour les jeunes francophones du Nouveau-Brunswick À compter de cet été, les jeunes francophones du Nouveau-Brunswick auront des camps
mathématiques conçus expressément pour eux.
La première édition aura lieu les 29 et 30 juin et le 1er juillet à l’école
secondaire A.-J.-Savoie de Saint-Quentin.
Le fondateur, Donald Violette, professeur titulaire au Département de mathématiques et
de statistique de l’Université de Moncton, rappelle que ces camps mathématiques
s'adressent aux élèves francophones de la 12e année des 22 écoles secondaires
francophones du Nouveau-Brunswick qui triompheront au Concours de mathématiques
Poincaré. Ils permettront aux mathématiciens en herbe de faire des mathématiques dans
un climat propice à l'apprentissage avec des mathématiciens chevronnés. En plus d'aider
à créer et maintenir une culture mathématique en Acadie, ces camps ont été créés
spécialement pour les jeunes Acadiens doués en mathématiques. Ils représentent l'une
des rares activités conçues spécialement pour les meilleurs dans ce domaine.
Les dix meilleurs concurrents du Concours de mathématiques Poincaré participeront aux
camps mathématiques de l’Acadie. Cet été, ces jeunes seront invités à titre
gracieux à profiter d’une fin de semaine pour faire des mathématiques avec des
mathématiciens chevronnés. Les camps d’une durée de deux jours comprendront une
conférence d’ouverture, une de clôture et deux ateliers entrecoupés de jeux
mathématiques avec des accompagnateurs et diverses activités sociales et culturelles
comme une activité brise-glace, une soirée d’amateurs, des activités à la piscine,
des visites, etc.
À part le fait d’avoir à cœur de démystifier les mathématiques et de sensibiliser
les jeunes et le public en général à leur importance et à leur utilité dans le monde
contemporain, le professeur Violette rappelle que deux raisons importantes ont motivé la
création de ces camps. Tout d’abord, il y a la douance. Il ne se fait pas suffisamment
de choses concrètes dans les écoles concernant les élèves doués au Nouveau-Brunswick,
surtout chez les francophones. Les camps en mathématiques comblent cette lacune pour nos
jeunes qui sont doués en mathématiques. Et il y a la langue française. Au Canada,
seuls les élèves acadiens et francophones du Nouveau-Brunswick n’ont pas accès à des
camps mathématiques dans leur langue. La mise sur pied de tels camps comble cette autre
lacune. C’est donc une première dans notre province.
Le professeur Violette estime qu’il est très important que nos jeunes francophones qui
sont doués en mathématiques puissent en faire et s’épanouir pleinement dans leur
langue.
« Le Camp en mathématiques de l’Acadie est donc une suite logique au Concours de
mathématiques Poincaré dont la première édition a eu lieu en 2011, dit-il. Ceux qui
se classeront parmi les meilleurs au concours auront la chance de participer aux camps.
Plus nous aurons des activités comme le concours Poincaré et les camps mathématiques de
l’Acadie, plus nous pourrons instaurer et maintenir une culture mathématique en Acadie.
Les mathématiques sont partout autour de nous. On doit convaincre une partie de la
population de l’Acadie de leur bien-fondé et de les faire rayonner partout. Il faut
encourager l’excellence en donnant le meilleur de nous-même et en formant de la
meilleure façon possible nos jeunes pour qu’ils puissent construire une société
compétente et honnête. Il n’y a pas de place pour la médiocrité et la malhonnêteté
intellectuelle. »
Un comité a été formé pour aider à la préparation et à la correction de l’examen
du Concours Poincaré et à l’organisation des camps mathématiques. Il est composé du
professeur Salah-Eddine El Adlouni, de l’étudiant Toussida Arthur Dabilgou et du
professeur Violette à titre de président. « J’aimerais que le Concours Poincaré et
les Camps mathématiques de l’Acadie deviennent une tradition et j’espère que
d’autres prendront la relève lorsque je ne pourrai plus m’en occuper »,
ajoute-t-il.
Évidemment, un projet de cette envergure ne peut voir le jour sans un budget relativement
important. Voici les commanditaires et les partenaires des camps : ministère provincial
de l’Éducation par l’entremise de la ministre Martine Coulombe (la moitié du budget
des camps provient d’une subvention gouvernementale), le Groupe Savoie de Saint-Quentin,
Denis Boucher, du Bureau du recrutement de l’U de M, Dr Guy LeBlanc, Dr Denis Boucher,
Dr Nach Daniel, Dr Michel D’Astous, Dr Frédéric Duke, et Serge Arsenault,
physiothérapeute et directeur de la Clinique médicale sportive de l’U de M.
Renseignements : 858-4325 / donald.violette@umoncton.ca
| Soirée séminaire-concert portant sur l’improvisation
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Soirée séminaire-concert portant sur l’improvisation « A l’aube de l’humanité, là où l’Homme commença ses activités subjectives et
intellectuelles bien avant qu’aucun système d’écriture ou construction musicale ne
voit le jour, la musique était purement improvisée. »
Lors de la première soirée improvisation en 2011, cet événement a suscité beaucoup
d’intérêt. En collaboration avec le Département de musique, Dariush Zarbafian a donc
décidé de poursuivre et organiser le deuxième volet d’une telle soirée improvisation
(II), le samedi 24 mars à 19 heures dans la salle Neil-Michaud de l’édifice des
Beaux-arts au campus de Moncton. Et grâce aux intervenants, le programme sera cette
fois-ci plus enrichissant et plus varié tant sur le plan théorique que pratique.
Le concept d’improvisation est une activité subjective qui produit et transmet des
données et des renseignements non organisés et presqu’inconnus vers un résultat
organisé et conscient. Effectivement les règles et les systèmes musicaux s’installent
progressivement.
L’improvisation existe depuis des siècles dans presque toutes les cultures du monde. On
sait qu’elle se fait dans plusieurs domaines comme la musique, le théâtre et parfois
la peinture.
Dans le passé dans certaines régions du monde, en particulier en Orient et en Asie,
l’improvisation, qu’elle soit en musique ou en poésie, jouait un rôle très
important. Dans beaucoup de pays comme l’Iran (la Perse), l’Inde, la Chine, le Japon
et les pays arabes, elle était considérée comme un art à part entière. Par exemple,
un poète avait une place très importante auprès du roi et il devait être capable
d’improviser instantanément pour son bon plaisir.
Entre le 7e et le 10e siècle dans le monde musulman, presque tous les palais royaux
étaient bondés de musiciens et de poètes improvisateurs. Ceci dit, l’improvisation en
musique et en poésie se complète souvent mutuellement.
Sur le continent africain, la diversité de l’improvisation en musique est débordante,
ce qui retient l’attention de beaucoup de chercheurs depuis des décennies.
D’ailleurs, ces musiques font l’objet de beaucoup de recherches.
Malheureusement, depuis plus d’un siècle, les conditions sociopolitiques ont changé et
dans beaucoup de pays l’art de l’improvisation, en particulier la poésie, est mis à
l’écart. L’improvisation parfois dans certains pays est considérée comme étant
méprisante, un art vulgaire sans fondement. Au contraire dans certaines cultures, elle
est considérée comme étant sublime.
Dans quel état l’improvisateur se positionne-t-il ? Est-ce un état mystique ou le
fruit d’un mécanisme créateur qui est capable de faire émerger et organiser les
renseignements combinatoires et en faire une œuvre artistique ? Quel rôle socioculturel
joue un artiste improvisateur dans le triangle : les données musicales - artiste - public
?
Depuis quelques décennies, peu importe le concept d’improvisation, il fait l’objet
d’étude et de discussion auprès des chercheurs et des artistes dans le monde entier.
De multiples questions et réponses sont posées mais il reste toujours la question
principale et énigmatique : « Quel est vraiment l’état dans lequel un artiste
improvise ? »; elle demeure très perplexe et mystérieuse.
Cette année, on essayera d’approfondir et d’apporter plus d’éléments en
s’appuyant sur les arguments pour ainsi franchir un pas vers l’avant sur les
différentes notions qui peuvent avoir ou non un impact sur l’improvisateur et
l’improvisation.
À la lumière de ses recherches, M. Zarbafian souhaite vivement en arriver à faire une
synthèse sur l’ensemble des éléments qui peut déclencher un nouveau concept et
éclairer ce chemin tant mystérieux pour arriver à en publier un article.
Ce séminaire-concert sera enrichi par des intervenants tels que Richard Gibson, Roland
Bourgois et André Bourgois, l’Ensemble AVAHANG (Richard Gibson, Dariush Zarbafian,
Michel Deschênes, Kevin Johnson et Joey Roy). Serge Gallant et deux étudiants en
ethnomusicologie, Richard Daigle et Christian Thibeault, s’ajoutent à cette équipe.
Le concept d’improvisation sera abordé sur deux aspects : théorique : modélisation de
l’improvisation, improvisation mélodique et rythmique, le rapport entre
l’improvisation et la composition, l’opposition entre l’improvisation et
composition; et pratique : différents intervenants apporteront leur contribution en
donnant les exemples musicaux.
La soirée s’adresse à tous ceux et celles qui s’intéressent à ce sujet. M.
Zarbafian vous invite tous à participer à un débat pour enrichir ce séminaire.
Lors de cette soirée également, on abordera les styles de musique tels que le jazz, la
musique orientale en particulier, la musique persane (percussion et musique modale) et la
musique classique.
L’entrée est libre.
| Le nouvel exécutif de la Féécum entame son mandat avec la Campagne du réveil
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Alexandre Levasseur, à la vice-présidence exécutive; Joëlle Martin, à la présidence; Éric Allain, à la vice-présidence académique; Karina Langis, à la vice-présidence interne; et Rémi Gaudet, à la vice-présidence des activités sociales. |
Le nouvel exécutif de la Féécum entame son mandat avec la Campagne du réveil Le nouvel exécutif de la Fédération étudiante du campus de Moncton (Féécum) a été
élu récemment avec une participation de près de 30 pour cent de la population
étudiante au suffrage. Composé de cinq personnes, le nouvel exécutif présidé par
Joëlle Martin, étudiante de première année à la maîtrise en administration publique,
entame son mandat le 1er avril prochain.
La nouvelle présidente est optimiste face au nouveau défi qui l’attend. « Je me suis
engagée dans la Fédération étudiante parce que j’ai à cœur la cause étudiante et
je suis prête à travailler très fort pour bien représenter nos quelque 3 800 membres,
souligne Joëlle Martin. Parmi les enjeux prioritaires pour la Fédération, il y a la
question des droits de scolarité et celles de l’accessibilité à l’éducation et de
la qualité de l’éducation. »
À quelques jours du discours du budget provincial qui aura lieu le 27 mars à
l’Assemblée législative à Fredericton, la Fédération étudiante mobilise ses
troupes. « Nous entamons la Campagne du réveil qui veut sensibiliser les
étudiants et étudiantes aux éléments du budget provincial qui auront un impact sur eux
et sur les générations à venir », dit-elle.
« Nous avons clairement fait connaître nos recommandations au gouvernement, ajoute Mme
Martin qui termine son mandat à la vice-présidente externe de la Féécum. Le contenu du
budget en matière d’éducation postsecondaire sera pour nous un bon indicateur du
niveau d’écoute du gouvernement. Après le dépôt du budget, il faudra réévaluer
notre tactique et s’ajuster en fonction des nouvelles réalités. Chose certaine, nous
préparerons dès cet été un document contenant des recommandations destinées au
gouvernement pour la prochaine année.»
« Avec la Campagne du réveil, nous souhaitons amener les étudiants et
étudiantes à une plus grande participation ou, du moins, à une meilleure connaissance
des enjeux qui les touchent. Le cynisme qui existe chez les jeunes d’ici comme des
autres universités m’attriste un peu parce qu’ils ne réalisent pas à quel point la
vie étudiante et l’engagement étudiant peuvent faire toute une différence dans leur
vie. Je souhaiterais que tout le monde ait un engouement pour la vie universitaire. »
Parmi les autres dossiers sur lesquels se penchera la Fédération étudiante, Joëlle
Martin mentionne la question des services alimentaires et l’avenir du Café Osmose, de
même que le développement d’un plus grand sentiment d’appartenance à
l’Université de Moncton au sein de la population étudiante. « Nous voulons
développer ce sentiment d’appartenance un peu comme on le retrouve auprès des
athlètes qui éprouvent un tel sentiment de fierté à porter le chandail du Bleu et Or.
On souhaite voir les étudiantes et étudiants porter des chandails à l’effigie de
l’Université de Moncton et d’en être fiers. Pour ma part, conclut-elle, je suis
très fière de mon université et je me suis engagée à travailler au développement de
ce sentiment d’appartenance des étudiantes et étudiants du campus de Moncton. »
| L'Université de Nantes a remis le titre honorifique au recteur Yvon Fontaine
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L'Université de Nantes a remis le titre honorifique au recteur Yvon Fontaine A l’occasion de son 50e anniversaire et en clôture de la semaine internationale,
l’Université française de Nantes a organisé le 16 mars une cérémonie de remise de
doctorat honoris causa.
L'Université de Nantes a remis le titre honorifique à trois personnalités dont Yvon
Fontaine, recteur et vice-chancelier de l'Université de Moncton et président de l'Agence
universitaire de la Francophonie. L’éloge a été fait par Olga Galatanu, professeure
des universités et présidente de l'Association des chercheurs étrangers à Nantes.
Les autres récipiendaires sont le professeur Bui Van Ga, vice-ministre de l'Education et
de la Formation du Vietnam et président honoraire de l'Université de Danang, et le
professeur Ibrahima Thioub, directeur du Centre africain de recherche sur les traites et
les esclavages de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar, au Sénégal.
La cérémonie a réuni près de 300 personnes, parmi lesquelles des
professeurs-chercheurs, doctorants, invités internationaux et représentants de
collectivités.
Par cette cérémonie, l'Université de Nantes souhaitait honorer des personnalités de
pays avec lesquelles elle a tissé depuis des années des relations de coopération fortes
dans le cadre de sa politique internationale.
| Offres d’emploi : service automatisé sans frais pour étudiants et employeurs au et à l’extérieur du campus de Moncton
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Offres d’emploi : service automatisé sans frais pour étudiants et employeurs au et à l’extérieur du campus de Moncton Le Service de recherche de travail des Services aux étudiantes et étudiants du campus de
Moncton procède actuellement à la transition de l'affichage des offres d'emploi pour
étudiants vers un nouveau service automatisé d'avis d'offre d'emploi. En plus de
simplifier l'arrimage des offres d'emplois aux besoins spécifiques des étudiants et
étudiantes et de faciliter l'accès au marché du travail, cette nouvelle initiative
maintenant en vigueur permet de réduire le nombre de courriels envoyés aux étudiants.
On verra également une diminution progressive de l'affichage d'offres d'emploi en format
papier sur les babillards situés dans les facultés.
Ce nouveau service Web fonctionne de la façon suivante. L'employeur remplit un
formulaire Web d’offre d’emploi en y inscrivant les exigences et fonctions du poste à
pourvoir tout en cochant les paramètres liés au type d'emploi (temps complet, temps
partiel, etc.), le type de programme d'études recherché (type d'étudiant), le lieu
géographique du travail offert et le campus sollicité. De son côté, l'étudiante ou
étudiante qui s'abonne au Service d’avis d’offre d’emploi y coche ses préférences
à partir des mêmes paramètres. Par la suite, l'offre d'emploi parvient automatiquement
dans la boîte courriel de l'étudiante selon les paramètres choisis lors de son
abonnement. À tout moment, il ou elle peut se désabonner ou modifier ses paramètres.
On recommande à tous les étudiants et étudiantes de s'abonner au Service d'avis d'offre
d'emploi pour étudiants à www.umoncton.ca/emploi/avis pour rester à l'affut des
occasions de travail de leur choix. Une minute suffit pour s'inscrire sans frais au
service afin d'y recevoir seulement les offres d'emploi qui concerne les intérêts,
secteurs d'activité économiques et lieux géographiques de l'étudiant. Également, le
personnel impliqué dans les services d'emplois, les anciens et amis sont invités à s'y
inscrire pour continuer à y recevoir les offres d'emploi d’une façon plus
personnalisée.
Dès maintenant, tous les employeurs aux trois campus et ceux de l’extérieur d'ici et
d'ailleurs peuvent désormais bénéficier sans frais de ce service et y afficher leurs
offres d'emploi pour étudiants à partir du site www.umoncton.ca/emploi/avis. Lorsque
l'occasion se présente, prière d’en aviser les employeurs et les rediriger vers ce
site.
Sans abonnement, on peut toujours consulter les offres d'emploi pour étudiants au campus
et de l’extérieur au http://www.umoncton.ca/emploi ou à partir de l'onglet «Accès
rapide» sous «Carrefour des emplois».
Renseignements : 858-3739 / daniel.grant@umoncton.ca
| ONF en Acadie : un drame familial troublant
Article complet
ONF en Acadie : un drame familial troublant À l’affiche aux Rendez-vous de l’ONF en Acadie, un film suspense qui ne laissera
personne indifférent. Des parents font face à l’inimaginable : leur fils est accusé
du meurtre de sa sœur mais il maintient son innocence. Un sujet difficile à traiter est
abordé dans le documentaire « Meurtre au sein de la famille », du réalisateur John
Kastner. Il sera présenté le lundi 26 mars à 19 heures dans la salle de projection 163
du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton. L’entrée est libre.
Meurtre au sein de la famille, un suspense jusqu’au bout (2010, 95 minutes)
Ce long métrage documentaire raconte l'histoire d'une famille trahie par un des leurs.
Lorsque leur fils est accusé du meurtre de sa sœur, un père et une mère se trouvent
devant la décision la plus déchirante qui soit pour un parent : couper les ponts avec
leur enfant ou le réintégrer dans la famille.
Un film qui gardera le public en haleine jusqu’à la fin. En 1998, le corps sans vie de
Jennifer Jenkins, 18 ans, est retrouvé dans le sous-sol de chez ses parents dans la
petite communauté de Chatam, en Ontario. Son frère Maison sera accusé et ensuite
condamné pour ce crime, meurtre au premier degré. Il maintiendra toujours son innocence.
À la surprise générale, les parents décident de soutenir leur fils et lui permettent
de réintégrer le foyer. Tout au long du film, des secrets refont surface qui ébranlent
la famille et à la fin, coup de théâtre : le vrai tueur confesse à la caméra.
Avec des images saisissantes tournées sur une décennie, des minutes qui ont suivi la
perpétration du crime jusqu'au temps présent, le film relate l'évolution des relations
familiales.
Le réalisateur du film, le Canadien John Kastner, est lauréat de trois prix Emmy pour
des documentaires et projets réalisés pour la CBC et CTV. « Meurtre au sein de la
famille » est produit par John Kastner, Deborah Parks et Silva Basmajian (ONF).
Prochainement à l’affiche
Dès la semaine du 1er avril, le public pourra assister à la projection du film «
L’avenir, c’est maintenant » dans lequel une journaliste tente d’infléchir la
vision pessimiste de « l’homme d’aujourd’hui ». Pour réaliser ce projet - des
rencontres étonnantes avec des sommités des arts et de la science. La journaliste
parviendra-t-elle à transformer un cynique en optimiste? Sa tentative en vaudra-t-elle la
peine? Une œuvre de Gary Burns et Jim Brown (2010, 92 minutes).
Pour obtenir la liste complète des films au programme et tous les détails, visitez le
site onf.ca/rendez-vous.
| Art dramatique : classes ouvertes d’interprétation et d’expression corporelle
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Art dramatique : classes ouvertes d’interprétation et d’expression corporelle Les étudiants et étudiantes du Département d’art dramatique de l’Université de
Moncton présentent leurs classes ouvertes d’interprétation et d’expression
corporelle, les 27, 28 et 29 mars.
Les étudiants et étudiantes de 2e année présentent des scènes extraites du
répertoire classique et moderne américain d’une durée de 90 minutes, le mardi 27 mars
à 19 heures et le mercredi 28 mars à 16 heures dans le studio III, A-205 du pavillon
Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.
La forme des choses, de Neil Labute
Évelyne, jolie étudiante en arts visuels, s’apprête à vandaliser une statue. Adam,
le jeune gardien du musée, la surprend juste avant qu’elle ne franchisse la limite.
Séduit par cette fille audacieuse, il la laisse traverser la ligne. Une transgression qui
transforme la sculpture et le jeune gardien. Amoureux, il se métamorphose littéralement
sous la main exigeante d’Évelyne. Il est modelé de l’extérieur comme de
l’intérieur. Est-ce que l’amour aura raison de lui? Qui triomphera : l’art,
l’amour, la dignité humaine?
Paradis sur terre, de Tennessee Williams
L’action se déroule dans une ferme du Mississipi. La région est inondée et ses
habitants fuient. Mais Poulet n’abandonnera pas sa ferme. Il est fort surpris quand
survient à l’improviste son demi-frère Lot et la femme de celui-ci, Muguette. Il ne
s’attendait certes pas à ce que Lot se marie puisqu’il est pratiquement sur son lit
de mort, il est tuberculeux. Le hic, c’est que la propriété appartient à Lot qui
doit la laisser à Poulet à sa mort, mais le fait qu’il se voit marié change tout à
fait l’affaire.
Propriété condamnée, de Tennessee Williams
Cette pièce en un acte, une tragédie du bonheur met en scène Willie qui trace sa
souffrance sur le fil d’une voie ferrée, une voie comme un rail de traveling, une vie
comme au cinéma. Où trouver sa vérité dans les référents imposés par l’image
féminine victimisée des États-Unis des années 1950 ? Derrière les images
hollywoodiennes sublimées par Willie, on retrouve le Sud qui ne se console pas de sa
grandeur perdue, qui doit se compromettre irrémédiablement, mentir toujours davantage
pour maintenir une façade toujours plus ébréchée et sombrer soudain dans le vertige
des contradictions démasquées.
Agnès de Dieu, de John Pielmeier
Par une froide nuit d’hiver dans un couvent, la jeune novice Agnès baigne dans son
sang. Dans une corbeille à papier, la mère supérieure découvre un nouveau-né
étranglé…Un psychiatre, Dr Martha Livingstone, persuadée de l’innocence d’Agnès,
va affronter la Mère supérieure Miriam Ruth.
Le livreur, de Darlene Craviotto
Quand deux filles décident de se venger de tous les machos sur un seul homme, celui-ci
doit tenter le tout pour sauver sa peau. Qui aurait cru que le métier de livreur de
pizza était autant à risque ?
Les aphrodisiaques sont-ils efficaces, de Woody Allen
C’est un extrait tiré du scénario de film « Tout ce que vous avez toujours voulu
savoir sur le sexe sans jamais oser le demander ».
Cet exercice est répété sous la direction de Marcia Babineau, professeure en
Interprétation IV.
Expression corporelle
Les étudiants et étudiantes de 1re et 2e années présenteront une expression
corporelle, le mercredi 28 mars à 10 heures, et ceux et celles de 3e et 4e années, le
jeudi 29 mars à 10 heures, dans la salle de danse (local 148) au Ceps
Louis-J.-Robichaud.
Cet exercice est travaillé sous la direction de Chantal Cadieux, professeure en
expression corporelle.
Bienvenue à tous et à toutes.
Renseignements : 858-4444.
| Idéologies et pratiques langagières en milieu plurilingue
Article complet
Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Isabelle Violette, professeure au Département d’études françaises, commentatrice; Jean-François Thibault, professeur au Département de science politique et vice-doyen de la Faculté des arts et des sciences sociales, commentateur; Monica Heller; Chedly Belkhodja, professeur au Département de science politique; et Isabelle LeBlanc, doctorante en études françaises. |
Idéologies et pratiques langagières en milieu plurilingue Le Centre Métropolis atlantique a organisé une discussion portant sur l’ouvrage de
Monica Heller, intitulé « Paths to Post-Nationalism : A Critical Ethnography of Language
and Identity », en présence d’une vingtaine de personnes au campus de Moncton.
Monica Heller est professeure au Department of Sociology and Equity Studies in Education
à l’Ontario Institute for Studies in Education de l’Université de Toronto. Elle
s’intéresse aux idéologies et aux pratiques langagières en milieu plurilingue ainsi
qu’à leur incidence sur la construction des différences et des inégalités sociales.
Spécialiste du Canada francophone, elle s’inscrit dans une sociolinguistique
ethnographique critique.
Son ouvrage examine les transformations du Canada français depuis les années 1970, en
s’intéressant aux nouvelles conditions politico-économiques qui déstabilisent les
modes de légitimation du nationalisme moderne et conséquemment, d’imagination et de
reproduction des communautés francophones minoritaires. En s’appuyant sur de vastes
recherches ethnographiques menées depuis 30 ans au sein de la francophonie canadienne,
l’auteure propose une analyse critique qui incite à repenser les discours dominants sur
la langue, la culture, l’identité, la nation et l’État.
La professeure Heller a participé à une discussion critique de son ouvrage avec les
commentateurs Jean François Thibault, professeur au Département de science politique et
vice-doyen de la Faculté des arts et des sciences sociales, et Isabelle Violette,
professeure au Département d’études françaises.
Renseignements : Chedly Belkhodja, au 858-3749, ou Centre Métropolis, au 858-4529.
| Colloque international du CRLA et CoDiRe et IRFFLE : la date limite pour soumettre une proposition est le samedi 31 mars
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Colloque international du CRLA et CoDiRe et IRFFLE : la date limite pour soumettre une proposition est le samedi 31 mars Le Centre de recherche en linguistique appliquée de l’Université de Moncton et CoDiRe
& IRFFLE de l’Université de Nantes organisent le deuxième volet d’un colloque
international, ayant comme thème « La construction discursive du “locuteur
francophone” en milieu minoritaire. Problématiques, méthodes et enjeux », les 4, 5 et
6 octobre au campus de Moncton.
Ce deuxième volet est organisé en collaboration avec le projet « Le français à la
mesure d’un continent », dirigé par France Martineau de l’Université d’Ottawa et
subventionné par le Conseil de recherches en sciences du Canada dans le cadre des Grands
travaux de recherche concertée, et du Centre d’études françaises et francophones de
la Louisiana State University de Bâton Rouge.
La date limite pour soumettre une proposition est le samedi 31 mars (crla@umoncton.ca).
Les conférenciers suivants ont confirmé leur présence : Cécile Canut, de
l’Université Paris–Descartes; Sylvie Dubois, de Louisiana State University; Alexandre
Duchêne, de la Haute École pédagogique de Fribourg; Monica Heller, de l’University of
Toronto; Jean-Marie Klinkenberg, professeur émérite de l’Université de Liège; France
Martineau, de l’Université d’Ottawa; et Salikoko Mufwene, de l’University of
Chicago.
Le premier volet de ce double colloque, intitulé « Sens et signification dans les
espaces francophones », se déroulera à Nantes du 19 au 21 avril. Un troisième volet
est prévu autour de la thématique générale de ce double colloque en octobre 2013 à
Bruxelles. Ce troisième colloque sera organisé dans le cadre de la plateforme
internationale de recherche GRAMM-R, par Vrije Universiteit Brussel, l’Université Libre
de Bruxelles, l’Université de Liège et l’Université de Nantes.
L’objectif du colloque est d’interroger les concepts et les discours qui ont servi à
la construction du « francophone », considéré souvent comme le même partout dans la
francophonie, sans tenir compte de l’hétérogénéité et de la diversité qui le
constituent. Jugés à l’aune d’un français unique, les francophones des milieux
minoritaires ou périphériques se voient parfois remis en doute dans leur qualité même
de locuteurs du français.
Par ailleurs, le discours portant sur la diversité devenu dominant depuis les années
1980 n’a pas pour autant réglé le problème. Le francophone est maintenu à
l’intérieur de frontières territoriales et identitaires étroites, ce qui donne lieu
à une multitude d’identités régionales rattachées à des « langues locales » et
qui reproduisent, dans certains cas, le schéma ancien d’une langue et d’une culture
liées à un lieu spécifique, comme c’est le cas en Amérique du Nord.
Ce processus a été accéléré par la nouvelle économie mondialisée où le tourisme
culturel a notamment misé sur le culte des différences.
Dans la foulée de cet élan pour les « cultures locales », les travaux sur la langue du
francophone ont, dans le meilleur des cas, montré la pluralité des formes que peut
prendre sa langue, mais dans certaines limites (sur le plan phonétique et lexical
surtout); dans le pire des cas, ils ont figé cette langue dans l’exotisme linguistique
qui mène à la stéréotypie. Le francophone ne devient plus qu’un diversifié - un
Acadien, un Québécois, un Wallon, enfermé dans une catégorie stérile dont il a du mal
à se défaire. Certes, la situation est différente en Afrique où le plurilinguisme des
locuteurs est maintenant perçu comme libérateur, mais l’impact des discours
essentialistes provenant de l’Europe (surtout de la France) n’est pas non plus à
négliger.
Ces nouvelles reconfigurations locales répondent souvent à des impératifs culturels et
économiques (les deux étant liés) qui tentent d’afficher l’authenticité des
cultures et des langues dans une francophonie qui peine à montrer sa diversité (Heller
et Labrie 2003). Mais l’hétérogénéité constitutive des francophones continue
d’être niée dans ces nouveaux schémas, le folklore s’étant substitué à
l’homogène pour faire place à une essentialisation des langues et des cultures qui
n’en est que renforcée.
On dira ainsi que les Suisses francophones sont et parlent de telle façon, les
Québécois de telle autre, les Acadiens aussi et ainsi de suite. Rattachées à
l’imaginaire du même, les catégories sociales naguère créées à partir de ceux qui
« parlent bien » et de ceux qui « parlent mal » rivalisent avec celles créées à
partir de la vision idéalisée de la diversité tous azimuts qui renvoie à une nouvelle
compartimentation (Canut et Duchêne 2011), fondée cette fois sur de nouvelles
hiérarchisations linguistiques (maternelle / nationale, nationale / internationale,
minoritaire / nationale) (Ibid : 7).
Appréhender la question du locuteur francophone en milieu minoritaire nécessite de
s’interroger sur le poids des idéologies linguistiques véhiculées dans les discours
depuis les premiers mouvements d’expansion du français et d’analyser les méthodes et
les concepts qui ont favorisé une vision microscopique des phénomènes linguistiques
souvent au détriment d’une vision d’ensemble de la situation.
L’hyperspécialisation dans certains courants de la linguistique et la compartimentation
des savoirs qui en résulte ont fait en sorte d’exclure les explications d’ordre
politique et social des phénomènes linguistiques et ont mis au rancart les idéologies
linguistiques à la base de leur construction.
Il s’agira donc dans ce colloque de poursuivre l’interrogation suscitée par « Le
français dans l’espace francophone » (Robillard et Beniamino 1993) et «
L’Insécurité linguistique dans les communautés francophones périphériques »
(Francard et alii 1993). Les deux ouvrages publiés la même année mettaient l’accent
sur la pluralité des espaces francophones, sur les différentes façons de se concevoir
comme francophones et appelaient (indirectement) à une sociolinguistique de la
périphérie, en écho aux textes de Robert Lafont publiés à partir de 1952.
Quels discours les scientifiques ont-ils produits sur les « francophones » et leurs
langues en milieu minoritaire ? Comment ces discours ont-ils été relayés dans le grand
public ? Que veut dire le terme « francophone » pour les locuteurs des régions
périphériques ? Est-il lié à une identité quelconque ? Quels sont les discours des
locuteurs eux-mêmes au sujet de leurs pratiques et de celles des autres ? Quelles sont
les stratégies les plus couramment en usage pour se positionner entre uniformisation et
différenciation ? Comment ces discours sont–ils liés aux discours institutionnels de
la francophonie ? Quels sont les rapports de pouvoir qui s’exercent et comment se
manifestent-ils ? Même si tous les francophones vivant dans les milieux périphériques
n’ont pas été colonisés au sens propre, leur imaginaire n’a-t-il pas été
façonné dans un rapport de type colonial ?
Ce sont ces questions et à d’autres encore sur lesquelles on vous invitera à
réfléchir dans le cadre de ce colloque international.
Les frais d’inscription au colloque (incluant les repas du midi et les pauses santé)
sont de 100 $ par personne participante, et sans frais pour les étudiants et les
étudiantes.
Renseignements : 506-858-4057.
| Le Projet-impôt a lieu du 23 au 25 mars à la Faculté d'administration
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Le Projet-impôt a lieu du 23 au 25 mars à la Faculté d'administration Pendant trois jours consécutifs en mars, des étudiants et étudiantes de troisième et
quatrième années de la Faculté d’administration rempliront sans frais des
déclarations de revenus qui sont inférieures à 30 000 $ et dont la situation
financière est simple.
Pour cette 42e édition du Projet-impôt, le service sera offert le vendredi 23 mars, de
13 heures à 19 heures, le samedi 24 mars, de 10 heures à 16 heures, et le dimanche 25
mars, de 10 heures à 16 heures, au pavillon Jean-Cadieux du campus de Moncton.
Afin de faciliter leur tâche, les étudiants et étudiantes utiliseront encore une fois
un logiciel informatique fiscal.
Les étudiants et étudiantes bénévoles ne rempliront pas les déclarations de revenus
et de prestations pour les personnes décédées, pour les particuliers en faillite ou
encore pour ceux et celles qui ont des gains en capital/pertes ou des revenus et dépenses
d’entreprise ou de location et des revenus de placement de plus de 1 000 $.
Grâce à un accord conclu entre la Faculté d’administration de l’Université de
Moncton et l’Agence du revenu du Canada, ce projet s’inscrit à l’intérieur d’un
programme communautaire de personnes bénévoles.
Comme par le passé, les étudiants et étudiantes de la Faculté d’administration
accepteront pendant le mois de mars de remplir des déclarations de revenus pour les
personnes habitant des foyers de soins.
Les dons reçus seront remis à des organismes de charité ou utilisés pour des projets
étudiants.
Depuis les 42 dernières années, le Projet-impôt a permis à 1 650 étudiants et
étudiantes de remplir au-delà de 31 000 déclarations de revenus.
Renseignements : 858-4273 ou 858-4383.
| Le film québécois « Le vendeur » est à l'affiche du Ciné-Campus
Article complet
Le film québécois « Le vendeur » est à l'affiche du Ciné-Campus Le film « Le vendeur », de Sébastien Pîlote et mettant en vedette Jean-François
Boudreau, Gilbert Sicotte et Nathalie Cavezzali, sera à l'affiche du Ciné-Campus, les
jeudi 29 et vendredi 30 mars à 20 heures dans l'amphithéâtre 163 du pavillon
Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton.
Marcel Lévesque, un facétieux vendeur d’automobiles en fin de carrière, ne vit que
pour la vente. Il est le meilleur vendeur du mois depuis plus de 16 ans chez le
concessionnaire où il a passé sa vie, dans cette ville industrielle en déclin au Lac
Saint-Jean, là où il fait un froid à effrayer les touristes et où acheter une
automobile peut sembler absurde. Il ne pense qu’à une chose, sortir ses « américaines
» chéries de la cour.
Marcel Lévesque est ce type de vendeur en voie d’extinction qui a appris son métier en
racontant des histoires, des « menteries enrobées de fleurs » et en voulant rendre ses
clients heureux… Mais un drame viendra frapper le marchand de bonheur.
Le Ciné-Campus est présenté par le Service des loisirs socioculturels. Les billets sont
en vente à l’entrée le jour de la présentation du film, 5 $ pour les étudiants et 7
$ tarif ordinaire.
Rendez-vous de l’ONF en Acadie :
Le lundi 2 avril, les Rendez-vous de l'ONF en Acadie présentent « L’avenir, c’est
maintenant » (92 minutes). La projection commence 19 heures dans l'amphithéâtre 163 du
pavillon Jacqueline-Bouchard et l’entrée est libre.
Alors qu’elle interroge au hasard les gens de la rue sur leurs plus grandes peurs, une
journaliste (Liane Balaban) croise un homme (Paul Ahmarani) ayant une perception du monde
particulière. Citoyen sans crainte, allumé, responsable, s’adonnant au recyclage, il
est néanmoins désengagé devant l’ensemble de la société et estime qu’après sa
mort, plus rien ne comptera!
Un tel homme peut-il abandonner son fatalisme et envisager un monde d’espoir et de
possibilités? Elle l’appelle simplement « l’homme d’aujourd’hui » et lui,
séduit par cette muse journaliste, la qualifie de « femme de demain ».
« L'avenir, c'est maintenant » cherche les aspects positifs d’un monde écrasé par le
terrorisme mondial, les catastrophes environnementales et le consumérisme outrancier et
met le public au défi de réviser sa propre perception de l’avenir. La « femme de
demain » parviendra-t-elle à transformer un cynique en optimiste ? Le jeu en vaudra-t-il
la chandelle ? Que peut à lui seul l’individu ?
Pour en connaître davantage sur la programmation des Rendez-vous de L'ONF en Acadie ou
pour visionner les bandes-annonces : www.onf.ca/rendez-vous.
| Le Prix Vo-Van de la meilleure thèse est attribué à Raymond Blanchard
Article complet
Le Prix Vo-Van de la meilleure thèse est attribué à Raymond Blanchard La Faculté des études supérieures et de la recherche a laissé savoir que le Prix
Vo-Van de la meilleure thèse de l'année 2011 sera attribué à Raymond Blanchard pour sa
thèse de maîtrise en histoire, intitulée « D'allié à ennemi : stéréotypes et
représentations des combattants russes dans les magazines illustrés français de la
Première Guerre mondiale (1914-1919) », le vendredi 23 mars à 10 heures dans le local
136 du pavillon Léopold-Taillon lors d'une séance publique pendant laquelle le
récipiendaire fera une présentation de ses travaux de recherche.
M. Blanchard a complété cette thèse sous la direction de la professeure Joceline
Chabot. Elle a été financée grâce à une bourse du CRSH et a obtenu la mention
unanime « excellence » du jury. Elle se distingue notamment par l'utilisation originale
des sources et de l'analyse.
La cérémonie sera suivie d'une réception. Bienvenue à tous et à toutes.
Renseignements : FESR, au 858-4310
| 32e Palmarès du Doyen de la Faculté d’ingénierie
Article complet
32e Palmarès du Doyen de la Faculté d’ingénierie La Faculté d’ingénierie souligne l’excellence académique de 94 de ses étudiants et
étudiantes de premier cycle en leur remettant un certificat de mérite. Leurs noms
seront ajoutés au Tableau d’honneur pour la session d’automne 2011.
Beau-Port (Arichat, N.-É.)
Gilles Samson, 1re année, génie électrique.
Cité des Jeunes A.-M.-Sormany (Edmundston)
Emanuel Hébert, 3e année, génie électrique - régime coopératif.
N.D.A. (Chéticamp, N.-É.)
Joël LeFort, 5e année, génie électrique.
L’Odyssée (Moncton)
Marc Allain, 5e année, génie civil; Jonathan Arsenault, 1re année, génie mécanique;
François Côté, 3e année, génie électrique - régime coopératif; Catherine LeBlanc,
5e année, génie civil; Marie-Cloé LeBlanc, 1re année, génie civil; Sylvie LeBlanc, 2e
année, génie civil - régime coopératif; et Joël Vallée, 4e année, génie civil -
régime coopératif.
Aux-Quatre-Vents (Dalhousie)
Josée Drapeau, 1re année, génie civil; Pierre-Luc Pelletier, 5e année, génie civil;
Dominic Savoie, 1re année, génie électrique; et Rémi Valdron, 5e année, génie
mécanique - régime coopératif.
Clément-Cormier (Bouctouche)
Julie Maillet, 2e année, génie électrique; et Émilie Pellerin, 4e année, génie
civil.
Louis-J.-Robichaud (Shediac)
Marcel Boudreau, 3e année, génie électrique; Benoît LeBlanc, 2e année, génie
mécanique; Denis Melanson, 1re année, génie civil; Timothy Pidgeon, 3e année, génie
électrique; et Philippe Robichaud, 2e année, génie civil.
Louis-Mailloux (Caraquet)
Jean-Luc Cormier, 2e année, génie mécanique; Alexandre Gionet, 5e année, génie civil;
Guillaume Landry, 2e année, génie civil; et Marc Poirier, 5e année, génie
mécanique.
Marie-Esther (Shippagan)
Amélie Duguay, 3e année, génie civil; Frédérik Jones, 2e année, génie civil -
régime coopératif; et Francis Kenny, 2e année, génie mécanique.
Mathieu-Martin (Dieppe)
Alexandre Arseneau, 1re année, génie électrique; Gabriel Boudreau, 2e année, génie
civil; Jean-Richard Cormier, 3e année, génie mécanique - régime coopératif;
Mark-André Deslauriers, 2e année, génie mécanique; Jonathan Dupuis, 1re année, génie
électrique; Mathieu Dupuis, 1re année, génie électrique; Pierre Gautreau, 2e année,
génie mécanique - régime coopératif; Patrice Guay, 4e année, génie mécanique;
Phillip Lamarche, 1re année, génie mécanique; Éric Landry, 4e année, génie civil;
Dani LeBlanc, 1re année, génie civil; Jason LeBlanc, 3e année, génie civil; Julien
LeBlanc, 3e année, génie civil - régime coopératif; Justin LeBlanc, 3e année, génie
mécanique - régime coopératif; Ryan LeBlanc, 1re année, génie électrique; Simonne
LeBlanc, 5e année, génie mécanique; et Jérémie Léger, 4e année, génie mécanique -
régime coopératif.
Mgr-M.-F.-Richard (Saint-Louis-de-Kent)
Sara Caissie, 5e année, génie civil; Samuel Finnigan, 2e année, génie mécanique;
Alexandre Gosselin, 4e année, génie mécanique - régime coopératif; Philippe Richard,
3e année, génie mécanique - régime coopératif; Julien Robichaud, 1re année, génie
mécanique; et Jérémie Vautour, 1re année, génie civil.
Roland-Pépin (Campbellton)
Gino Allard, 1re année, génie mécanique; Frédéric Duclos, 5e année, génie
mécanique; et Jean-Philippe Savoie, 1re année, génie civil.
Polyvalente de Saint-Georges (Québec)
Amélie Larivière, 2e année, génie civil - régime coopératif.
Thomas-Albert (Grand-Sault)
Michaël Dubé, 4e année, génie mécanique; Éric Michaud, 1re année, génie
mécanique; Simon Toner, 1re année, génie civil; et Vincent Roussel, 5e année, génie
civil - régime coopératif
W.-Arthur-Losier (Tracadie-Sheila)
Frédéric Comeau, 1re année, génie civil; Dominic Paulin, 5e année, génie civil; Jeff
Richardson, 1re année, génie civil; et Jonathan Robichaud, 3e année, génie mécanique
- régime coopératif.
Samuel-de-Champlain (Saint-Jean)
Simon Léger, 2e année, génie civil - régime coopératif.
Népisiguit (Bathurst)
Hugo Boudreau, 1re année, génie civil; Alain Fournier, 3e année, génie civil; Benoit
Fournier, 3e année, génie mécanique - régime coopératif; Jean-Pierre Fournier, 3e
année, génie civil - régime coopératif; Jacques Levesque, 5e année, génie civil;
Chris Morrison, 3e année, génie mécanique; Ricky Noël, 3e année, génie mécanique;
Éric Roy, 3e année, génie mécanique; Jérémie Roy, 2e année, génie civil; et
Jonathan Roy, 5e année, génie civil.
Secondaire Par-en-Bas (Yarmouth, N.-É.)
François d’Entremont, 5e année, génie civil.
École secondaire du Québec
Fabienne Trudel, 2e année, génie civil.
Écoles secondaires à l’extérieur du Canada
Andréa Bakala Nkaya Lembe, 3e année, génie électrique; Nidhal Bichiou, 1re année,
génie civil; Zihewo Anicette Gbegbe, 3e année, génie électrique - régime coopératif;
Raoul Irakoze, 4e année, génie électrique - régime coopératif; Jihan Kaabouch, 5e
année, génie électrique; Aminata Kourouma, 5e année, génie civil - régime
coopératif; Hassan Laaroui, 2e année, génie mécanique; Norelice Mboutou, 3e année,
génie électrique; Marc Mrad, 2e année, génie civil - régime coopératif; Hermann
Anicet Ngandjui Sindjui, 3e année, génie électrique - régime coopératif; Joseph
Emmanuel Nkolo Zoa, 1re année, génie mécanique; Stéphanie Rakotovololona, 5e année,
génie électrique - régime coopératif; Mamar Saidou Sanda, 5e année, génie civil;
Mawaba Sangam, 2e année, génie électrique - régime coopératif; Damien Sawadogo, 3e
année, génie électrique; Jiaping Wu, 4e année, génie mécanique; et Christian
Yossanguem, 2e année, génie civil - régime coopératif.
Harrison Trimble High School
Sigourney Stott, 3e année, génie mécanique.
| La philosophie de la science vue par un scientifique
Article complet
La philosophie de la science vue par un scientifique Cyrille Barrette, professeur émérite au Département de biologie de l'Université Laval
et auteur des livres « Le miroir du monde » et « Mystère sans magie », tous deux
publiés aux Éditions MultiMondes, prononcera une conférence publique, intitulée « La
philosophie de la science vue par un scientifique », le mercredi 28 mars à midi dans le
local A-002 du pavillon Rémi-Rossignol au campus de Moncton.
Le mot science est un mot valise très large qui peut contenir à peu près tout ce
qu’on veut. C’est un grand nombre de spécialités diverses, c’est une activité
collective planétaire, une grande collection de connaissances et de théories, un
ensemble impressionnant de techniques et d’instruments, de nombreuses applications
pratiques dans tous les domaines de notre vie, une entreprise économique d’envergure
etc.
Mais avant tout, la science est une façon de penser, une méthode pour comprendre le
monde, un contrat spécial avec la connaissance.
C’est cet aspect philosophique de la science qui compte le plus et qui fera l’objet de
cette présentation. Il sera notamment question du credo de la science, des limites de la
science, de ses trois missions spécifiques, de la notion de vérité, du régime de
preuves scientifiques, du cas des miracles, de la primauté des faits, de la valeur du
doute, de la précision et de l’exactitude, etc.
Ce sera une occasion de réfléchir sur la nature fondamentale de la science que l’on
pratique normalement sans y penser.
Cette conférence est d’intérêt général. Bienvenue à tous et à toutes.
Renseignements : Stéphan Reebs, au 858-4384.
| Tournage d’une émission pour le Discovery Channel
Article complet
Tournage d’une émission pour le Discovery Channel Alain Haché, professeur du Département de physique et d’astronomie de l’Université
de Moncton et auteur du livre « The Physics of Hockey », a participé au tournage
d’une émission qui est destinée au Discovery Channel en compagnie de joueurs de
l’équipe des Maple Leafs de Toronto. Cette émission, qui sera diffusée à la fin de
la saison, comprendra des vidéos réalisées avec la camera Phantom capable de prendre 5
000 images à la seconde permettant ainsi de voir des lancers frappés au
super-ralenti.
| Un Jeudi de la Librairie consacré à l’essai d’Achille Mbembe
Article complet
Un Jeudi de la Librairie consacré à l’essai d’Achille Mbembe La Librairie acadienne et le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en
contact (GRICC) de la Faculté des arts et des sciences sociales vous invitent au dernier
Jeudi de la Librairie de la saison 2011-2012 consacré à l’essai d’Achille Mbembe, «
Sortir de la grande nuit. Essai sur l’Afrique décolonisée », Paris, La Découverte,
2010, le 22 mars de 16 h 30 à 18 heures à la Librairie acadienne du campus de
Moncton.
Le professeur Jean-François Thibault, du Département de science politique, présentera
l’auteur et il reviendra au professeur Mourad Ali-Khodja, du Département de sociologie,
d’en faire le commentaire. L’animation sera assurée par la professeure Marie-Noëlle
Ryan, du Département de philosophie.
Cette activité sera suivie d’une réception.
Renseignements : Mireille Thériault, au 858 4140.
| L’AAAUM sollicite des candidatures pour l’Ordre du mérite et le prix Émergence
Article complet
L’AAAUM sollicite des candidatures pour l’Ordre du mérite et le prix Émergence L'Association des anciens, anciennes et amis de l'Université de Moncton, campus de
Moncton, invite les membres de la communauté à soumettre des candidatures pour l'Ordre
du mérite des diplômés et diplômées de l’Université de Moncton et le prix
Émergence.
Depuis 1998, l’Ordre du mérite remplace le titre d’Ancien ou Ancienne de l’année
dont la tradition remonte à 1973. L’AAAUM veut ainsi souligner la contribution
exceptionnelle d’un de ses membres qui fait honneur à son alma mater et à sa
profession.
Institué en 2008, le prix Émergence récompense une jeune personne diplômée de
l’Université de Moncton de 35 ans ou moins qui se distingue grâce à son leadership,
pour ses réalisations en début de carrière et pour sa contribution à la société.
Grâce à ces prix, l’AAAUM souhaite souligner les réalisations exemplaires de deux
diplômés de l'Université de Moncton qui contribuent au rayonnement de leur alma
mater.
Les récipiendaires seront honorés lors d’une soirée qui aura lieu cet automne.
Les formulaires de mise en candidature sont disponibles sur le site Internet de
l’Association à http://www.umoncton.ca/umcm-anciens/node/36.
La date limite pour proposer une candidature est le vendredi 30 mars à 16 heures.
Renseignements : Jeanne Farrah, au 858-4130.
| Daniel Belliveau terminera son travail avec les Aigles Bleus à la suite du championnat de SIC
Article complet
Daniel Belliveau terminera son travail avec les Aigles Bleus à la suite du championnat de SIC Le gérant de l'équipement des Aigles Bleus, Daniel Belliveau, terminera son travail avec
l'équipe à la suite du championnat canadien de hockey masculin qui aura lieu à
Fredericton. Étudiant en éducation physique à l'Université de Moncton, il en est à sa
quatrième saison à ce poste.
« Il y a quatre ans, j’ai entendu dire que l'ancien gérant allait quitter son travail,
rappelle Belliveau. Je connaissais des joueurs et des personnes m'ont encouragé à
postuler pour ce poste. Étant un passionné de hockey, je n'ai pas hésité un seul
instant. »
Belliveau a toujours été un fervent supporteur de l'équipe; il a rencontré le gérant
Léo Godin et l’entraîneur de l’époque, Robert Mongrain. Il a certainement fait une
bonne impression puisqu’il a obtenu le poste.
« Lorsque j'étais plus jeune, mon père était l'entraîneur de l'équipe de mon frère
et j'assistais aux parties pour aider comme gérant de l’équipement, ajoute-t-il.
C’est une passion pour moi, c’est ma façon de contribuer au succès des Aigles Bleus.
Il y a beaucoup de camaraderie avec les joueurs qui sont la fierté de l’Université et
de l'Acadie. Seule équipe francophone dans le circuit universitaire, les joueurs sont
respectueux de mon travail. »
M. Belliveau doit être présent aux parties et à l’entraînement pour s’assurer que
tout l’équipement nécessaire soit disponible et en excellente condition. Il s'y rend
une heure avant l’entraînement pour tout préparer et lorsque les joueurs arrivent,
tout est prêt. Il quitte une trentaine de minutes après la séance d’entraînement
après avoir tout rangé.
Lorsqu’il y a une partie, Daniel Belliveau est à l'aréna pour au moins cinq heures,
dont deux avant le match. Pendant la rencontre, il aide les joueurs qui entrent et sortent
de la glace lors des changements de trios et répare également tout équipement
défectueux. Il fait sécher les gants entre les périodes.
Le gérant examine minutieusement l’équipement, place les chandails, rempli les gourdes
d’eau, affute les patins, s’assure de la propreté du vestiaire et place les bâtons
aux bons endroits. Somme toute, il fait le nécessaire pour faciliter le travail des
joueurs.
« Je dois m’assurer que les joueurs ne butent à aucun obstacle puisqu’ils sont là
pour jouer, ajoute Belliveau, originaire de Fredericton. Après la partie, je dois tout
remettre en place et nettoyer, faire l’inventaire de l’équipement et avertir les
personnes responsables en ce qui a trait au manque de bâtons ou pièces d’équipement.
J'ai ensuite quatre ou cinq jours pour préparer pour la prochaine partie. »
Lorsque les Aigles Bleus sont à l’extérieur, Belliveau doit tout préparer et prévoir
le nécessaire pour les parties dans les autres arénas. L’espace de travail n’est
jamais le même et parfois plus contraignant. Il doit apporter de l’équipement en
surplus au cas où cela deviendrait nécessaire. C’est une période très occupée parce
que l’équipe arrive deux heures seulement avant le match et tout doit être prêt
rapidement.
Le gérant de l'équipement est un membre important de l’équipe. Il veut remporter la
victoire autant que les joueurs, même s'il n'est pas sur la glace.
Daniel Belliveau est étudiant à temps complet. Il doit donc préparer son horaire pour
être libre pendant l’entraînement et les parties. Il est pris chaque fin de semaine,
à domicile ou à l’extérieur, et doit ajuster son horaire pour préparer ses projets
et ses études.
Âgé de 26 ans, il habite à Dieppe. Il entraîne quelqu’un pour prendre sa place. «
Je sais que ce sera difficile de quitter ce poste parce que j'aime beaucoup ce travail et
je suis toujours aussi passionné. Je porte les Aigles Bleus dans mon cœur. J'ai
néanmoins hâte d’entreprendre de nouveaux projets. »
| Observation astronomique
Article complet
Observation astronomique Il y aura une séance d'observation astronomique, le mardi 27 mars de 20 h 30 à 21 h 30
à l’Observatoire de l’Université de Moncton situé sur le toit du pavillon
Léopold-Taillon au campus de Moncton.
Les planètes Jupiter, Vénus et Mars seront visibles.
Cette activité est organisée par le Département de physique et d'astronomie. Venez en
grand nombre.
Renseignements : 858-4339.
| Pont payant du groupe Mondiale Solidarité
Article complet
Pont payant du groupe Mondiale Solidarité Le groupe Mondiale Solidarité, avec la collaboration de la Fédération étudiante du
campus de Moncton, organise un pont payant le lundi 26 mars aux trois entrées du campus.
L’argent amassé ira au groupe qui fera un voyage humanitaire de trois semaines en mai
dans un orphelinat au Kenya. On sollicite donc votre soutien à ce projet.
S’il y a tempête hivernale, le pont payant sera remis au mercredi 28 mars.
Renseignements : Marilyne St-Laurent, au 863-4096 / ems8156@umoncton.ca
| Une présentation au recteur Yvon Fontaine
Article complet
Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Léo Godin, gérant des Aigles Bleus; le recteur Yvon Fontaine; Clarence Boudreau, des Amis, et Claude Gallant, du Club des Aigles Bleus. |
Une présentation au recteur Yvon Fontaine Les Amis des Aigles Bleus et du Club des Aigles Bleus ont présenté une peinture de
l’artiste Yvon Gallant au recteur et vice-chancelier Yvon Fontaine, en guise de
remerciement pour son soutien aux sports universitaires pendant toute la durée de son
mandat.
| SAEE : visite des nouvelles installations
Article complet
SAEE : visite des nouvelles installations L’équipe des Services aux étudiantes et étudiants invite la communauté universitaire
à visiter ses nouvelles installations, aménagées pour mieux répondre aux besoins de la
clientèle étudiante, demain, vendredi 23 mars, de midi à 13 h 15 dans le local C-101 du
Centre étudiant.
Le personnel sera sur place pour vous accueillir dans une ambiance d'échange et de
convivialité. Une coupe de gâteau aura lieu à 12 h 30 et quelques surprises vous
attendent. Bienvenue à tous et à toutes.
| Réalités et fictions du multiculturalisme canadien
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Réalités et fictions du multiculturalisme canadien Le Département de science politique vous invite à assister à une conférence,
intitulée « Réalités et fictions du multiculturalisme canadien », en compagnie des
professeurs Chedly Belkhodja et Jean-François Caron, le mardi 27 mars à compter de midi
dans le local 458 du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.
C’est une conférence d’intérêt général. Bienvenue à tous et à toutes.
Renseignements : 858-4372.
| Conférence portant sur l’oeuvre de l'artiste Jacques Hurtubise
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Conférence portant sur l’oeuvre de l'artiste Jacques Hurtubise Une conférence portant sur l’œuvre de l’artiste Jacques Hurtubise, présentée par
Sarah Fillmore, commissaire en chef au Musée des beaux-arts de la Nouvelle-Écosse en
collaboration avec les Éditions Gooselane, aura lieu le vendredi 23 mars de midi à 12 h
45 à la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen au campus de Moncton.
Jacques Hurtubise est né à Montréal en 1939. Il a reçu son diplôme de l’École des
beaux-arts de Montréal en 1960 et obtenu la bourse Max-Beckmann pour étudier à New York
en 1961.
L’artiste jouit aujourd’hui d’une reconnaissance qu’attestent les prix prestigieux
qui ont honoré ses productions (Prix Victor-Martyn-Lynch-Staunton du Conseil des arts du
Canada en 1993 et Prix Paul-Émile-Borduas en 2000), ainsi que les expositions que les
grands musées ont plus d’une fois accordé à ses œuvres (Musée des beaux-arts de
Montréal, Musée du Québec et Musée d’art contemporain de Montréal). Le travail de
l’artiste a également été exposé dans plusieurs grandes villes dont Paris, Londres
et Sao Paulo.
Une rétrospective de plus de 50 ans de peinture a été présentée à Montréal, Halifax
et Rimouski en 2011 et 2012.
Une publication importante (Éditions Gooselane) accompagne cette exposition avec des
textes signés par Sarah Fillmore et Bernard Lamarche.
L’entrée est libre.
Renseignements : 858-4687 / nisk.imbeault@umoncton.ca
| Horaire du Championnat interuniversitaire canadien de hockey masculin à Fredericton
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Horaire du Championnat interuniversitaire canadien de hockey masculin à Fredericton Voici l’horaire du Championnat SIC de hockey masculin qui aura lieu du 22 au 25 mars à
Fredericton :
Classement final de saison
1. Varsity Reds de UNB (Champions SUA: 20-5-3 saison ordinaire / 6-0 séries)
2. Redmen de McGill (Champions SUO: 22-4-2 saison ordinaire / 7-0 séries)
3. Huskies de la Saskatchewan (Champions Canada-Ouest: 19-6-3 saison ordinaire / 6-2
séries)
4. Mustangs de Western (Finalistes SUO: 21-4-3 saison ordinaire / 6-2 séries)
5. Aigles Bleus de l’U de M (Finalistes SUA: 18-9-1 saison ordinaire / 5-5 séries)
6. Patriotes de l’UQTR (Médaillés de bronze SUO: 19-7-2 saison ordinaire / 5-4
séries)
Groupe A
1. UNB
4. Western
6. UQTR
Groupe B
2. McGill
3. Saskatchewan
5. Moncton
HORAIRE
Jeudi 22 mars
14 h - Groupe B #1: McGill contre Moncton (ssncanada.ca)
19 h - Groupe A #1: UNB contre UQTR (ssncanada.ca)
Vendredi 23 mars
14 h - Groupe B #2: Perdants groupe B #1 contre Saskatchewan (ssncanada.ca)
19 h - Groupe A #2: Perdants groupe A #1 contre Western (ssncanada.ca)
Samedi 24 mars
11 h 30 - Groupe B #3: Gagnants groupe B #1 contre Saskatchewan (ssncanada.ca)
16 h 30 - Groupe A #3: Gagnants groupe A #1 contre Western (Rogers Sportsnet /
ssncanada.ca) *
Dimanche 25 mars
20 h - Finale de la Coupe Université (Rogers Sportsnet / ssncanada.ca)
| SIC : les Aigles Bleus au hockey affrontent les Redmen aujourd'hui
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SIC : les Aigles Bleus au hockey affrontent les Redmen aujourd'hui Les Aigles Bleus de l'Université de Moncton connaissent l'importance et les enjeux de la
première partie de la série alors qu'ils commencent aujourd’hui, jeudi 22 mars, leur
cheminement vers le Championnat de hockey masculin de Sport interuniversitaire canadien en
affrontant les Redmen de l’Université McGill en match d'ouverture à compter de 14
heures à Fredericton.
Six équipes participent pour cette 50e édition et les Aigles Bleus ont remporté quatre
titres jusqu’à maintenant. Un cinquième serait fort souhaitable.
Le seul joueur à avoir participé à un championnat canadien est l'attaquant Charles
Bergeron. Il aura connu l'expérience d'une finale de SIC comme recrue et vétéran de
cinq ans avec les Aigles Bleus.
D'autre part, le joueur de centre Éric Faille dispute son premier championnat canadien à
sa deuxième saison avec les Aigles Bleus. « Je suis fébrile et j'ai hâte que la partie
commence, mentionne celui qui est l’un des artisans du succès de l'équipe cette
année. Je connais plusieurs joueurs des Redmen et je suis prêt à jouer contre eux.
C'est important pour moi parce que c'est une première participation à un championnat
canadien, toute ligue confondue. Le hockey universitaire est le meilleur hockey amateur au
Canada et le calibre de notre ligue (SUA) est élevé. Je suis persuadé que les autres
ligues ont également de bonnes équipes. »
Faille est conscient qu’un ultime effort de tous les joueurs sera nécessaire pour
remporter le championnat. « Nous avons tenu des rencontres et notre seul objectif est le
championnat canadien, assure-t-il. Avec trois parties à jouer, il faudra tout donner.
Nous aurons ensuite six mois pour récupérer. Il faudra jouer de bonnes parties, tant à
la défensive qu’à l’offensive. J'ai bien aimé jouer à différents postes cette
année, que ce soit en avantage ou en désavantage numérique en plus de mon trio
ordinaire. J’estime que plus je joue, meilleure est ma performance sur la glace. »
Pour la première partie, la missive de l'entraîneur est simple. « Notre objectif est le
championnat et nous allons prendre les moyens pour y arriver, rappelle Serge Bourgeois.
Nous avons modifié notre stratégie en plus de jouer des parties interéquipes cette
semaine. Nous sommes conscients que les Redmen ont de bons joueurs mais nous allons mettre
l’accent sur notre jeu et j’anticipe une bonne partie. Tous les joueurs sont prêts
pour ce championnat, y compris Christian Gaudet. Pierre-Alexandre Marion sera devant le
filet. »
Bourgeois en sera à sa quatrième participation au SIC mais sa première comme
entraîneur-chef. Il en a vécu deux comme adjoint et une autre comme joueur.
| Tirage hebdomadaire 50/50 des Amis des Aigles
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Tirage hebdomadaire 50/50 des Amis des Aigles Le public et les anciens et amis de l’Université de Moncton sont invités à participer
au tirage hebdomadaire 50/50 des Amis des Aigles Bleu.es.
Ce tirage, organisé par l’organisme de soutien aux programmes de hockey masculin et
féminin, destine ses profits à l’encadrement des deux équipes de hockey du campus de
Moncton. Le coût est de 1 $ par semaine et il est possible de payer sa cotisation
jusqu’à 52 semaines à l’avance.
Pour participer au tirage hebdomadaire 50/50 des Aigles Bleu.es, il suffit d’envoyer un
courriel à amisdesaigles5050@gmail.com
avec votre nom, adresse, courriel et numéro de téléphone ainsi que le nombre de
semaines de participation. Un membre de l’organisation vous communiquera un numéro de
participation. Vous pourrez ensuite faire parvenir votre paiement par la poste à
l'adresse suivante : Les Amis(es) des Aigles, C.P. 27037, Dieppe, N.-B., E1A 6V3.
Pour toute question ou commentaire concernant ce tirage hebdomadaire 50/50 des Aigles
Bleu.es, faire parvenir un courriel à amisdesaigles5050@gmail.com ou composez le
506-866-3258.
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