L’Université de Moncton a procédé le 15 mars à l’inauguration des installations de recherche et de développement au pavillon Rémi-Rossignol de son Campus de Moncton en présence du recteur, Yvon Fontaine, du ministre d’État (Petite entreprise et Tourisme), Rob Moore, et de la ministre provinciale de l'Éducation postsecondaire, Formation et Travail, Martine Coulombe.

« Nous sommes reconnaissants envers le gouvernement du Canada et le gouvernement du Nouveau-Brunswick pour la belle collaboration que représente le Programme d’infrastructure du savoir, a déclaré M. Fontaine. Les travaux de rénovation au pavillon Rémi-Rossignol apportent un nouveau souffle à des laboratoires où se font des recherches de très haut niveau, et dans des amphithéâtres où se fait l’apprentissage de nos étudiants et étudiantes. »

Le gouvernement provincial a investi 3 millions de dollars dans ce projet alors que le gouvernement Harper y a investi 2,4 millions de dollars dans le cadre du Programme d'infrastructure du savoir. Cet investissement a permis de rénover six amphithéâtres, améliorer le système de ventilation des salles de classe et moderniser les installations des laboratoires de biologie, de physique, de chimie et de biochimie.

« Nous sommes heureux d’être associés à ce projet important qui permettra à l’Université de Moncton de bonifier la formation de jeunes scientifiques et les activités en recherche et développement à la Faculté des sciences, a déclaré la ministre Martine Coulombe. Les diplômés en sciences seront ainsi mieux outillés lorsqu’ils entreront sur le marché du travail et contribueront davantage à l’économie du savoir de notre province. »

« L’économie demeure au premier rang des priorités de notre gouvernement, a déclaré le ministre d’État Moore. Par l’entremise du Plan d’action économique du Canada, notre gouvernement investit dans les centres de recherche et de formation des campus partout au pays pour créer des emplois, contribuer au redressement rapide de notre économie et améliorer la qualité de vie des Canadiens. En plus d’avoir créé des emplois dans la région, cet investissement a contribué à améliorer l’infrastructure de recherche de l’Université de Moncton, ce dont elle profitera dès maintenant et pendant de nombreuses années encore. »

Le projet a permis le renouvellement des infrastructures afin de créer un environnement propice à la création de partenariats avec l’industrie et pour appuyer de façon significative la recherche et le développement dans les sciences. De fait, le projet favorise l’arrimage entre la recherche fondamentale et appliquée et les besoins de l’industrie.

Les ministres fédéral et provincial ont également profité de l’occasion pour visiter le nouveau Centre des technologies des sciences de la santé de l’Université de Moncton qui sera inauguré plus tard cette année.

La Faculté des études supérieures et de la recherche, en lien avec la maîtrise en études de l’environnement, accueille Scott Vaughn, commissaire à l’environnement et au développement durable, qui partagera ses conclusions sur la performance du Canada en matière de politiques environnementales dans le cadre d'une discussion publique portant sur l'adaptation aux changements climatiques dans les zones côtières du Nouveau-Brunswick, le mardi 29 mars de 11 h 30 à 12 h 30 dans le local A-231 du pavillon Jeanne-de-Valois. M. Vaughn sera accompagné de Richard Arseneault, directeur principal au Bureau du vérificateur général du Canada et diplômé de la maîtrise en chimie de l’Université de Moncton. La présentation sera diffusée par vidéoconférence aux campus d'Edmundston et de Shippagan.

Rappelons que le commissaire Scott Vaughn avait porté un jugement sévère à l’endroit des politiques environnementales du gouvernement fédéral lors de son dernier rapport de décembre 2010.
Bienvenue à tous et à toutes.

À 14 heures, le Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick et les groupes intéressés rencontreront également le commissaire Vaughn et M. Arseneault dans le local 258 du pavillon Léopold-Taillon. Le 29 mars en soirée, le Commissaire Vaughn et M. Arseneault prononceront une allocution à Mount Allison University à Sackville.

Renseignements : 858-4310 (FESR) ou 858-4761 (MEE).

Le Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick, en collaboration avec la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l’Université de Sherbrooke et ses partenaires, le Centre d’expertise en santé de Sherbrooke et la Direction générale de l’Éducation permanente de l’Université de Moncton, propose à l’ensemble de la population francophone un nouveau programme de formation populaire en santé.

Une série de cinq conférences est offerte dans cinq communautés acadiennes et francophones, soit Bathurst, Campbellton, Edmundston, Moncton et Shippagan. Les ateliers se dérouleront de 19 heures à 21 heures en direct du Campus de Moncton et par vidéoconférence dans les autres régions. Il en coûte 50 $ par personne pour les cinq conférences et 25 $ pour les étudiants et étudiantes à temps complet.
Il est possible de s’inscrire en visitant le site http://www.umoncton.ca/edperm/pp-horaire. (Renseignements : 506-858-4122).

Voici les dates et les titres des conférences :
« Le cœur et le système cardiovasculaire », mardi 29 mars
Dr Jean-François Baril, MD, FRCPC
« Prévention et dépistage », mardi 5 avril
Sonia Stadler, diététiste
« Les maladies coronariennes et l’insuffisance cardiaque », mardi 12 avril
Dr Michel D’Astous, MD, FRCPC
« Les arythmies et les valvulopathies », jeudi 14 avril
Dre Rina Lee, MD, FRCPC
« Vivre après/avec la maladie cardiovasculaire », mardi 19 avril
Mathieu Bélanger, Ph. D. Épidémiologie

Thu Pham-Gia, maintenant à la retraite, a été nommé professeur associé au Département de mathématiques et de statistique de l’Université de Moncton.

Il a également été sollicité pour faire partie du comité éditorial de la revue Open Journal of Statistics qui a son siège à Irvine, en Californie. Avec une équipe de statisticiens de renom en provenance de plusieurs universités et instituts d’un peu partout sur la planète, M. Pham-Gia procédera à la sélection, à l’arbitrage, à la révision et à la recommandation finale des articles qui seront soumis à la revue pour la publication. Il fera aussi la promotion de la revue et s’assurera de la qualité des articles qui y seront publiés.

Le comité éditorial est également composé d’Ana M. Aguilera (Espagne), Essam K. AL-Hussaini (Égypte), Erniel B. Barrios (Philippines), Kambiz Farahmand (Royaume-Uni), Qizhai Li (Chine), Xuewen Lu, University of Calgary, Canada; Mohammad Z. Raqab (Jordanie), Siva Sivaganesan (États-Unis), Xinyuan Song (Hong Kong), Aida Toma (Roumanie), Vladimir V. Ulyanov (Russie) et Qihua Wang (Chine).

En raison du banquet annuel de la Faculté des arts et des sciences sociales organisé par les conseils étudiants et qui a lieu le 24 mars à 18 heures, la Librairie acadienne a décidé de reporter au jeudi 31 mars le prochain Jeudi de la Librairie.

Rappelons qu'il sera consacré cette fois à l'ouvrage de Jack Goody, « Le Vol de l'histoire. Comment l'Europe a imposé le récit de son passé au reste du monde », traduction de l'anglais par Fabienne Durant-Bogaert, Paris, Gallimard, 2010.

Il reviendra à Jean-François Thibault et à Mourad Ali-Khodja, respectivement professeurs au Département de science politique et de sociologie au Campus de Moncton, d’assurer la présentation de l’ouvrage et le commentaire.

Ce 26 mars, Mélanie Basque, étudiante au diplôme en administration des affaires au Campus de Shippagan, participe aux Olympiades provinciales des métiers et technologies 2011 à Saint-Jean. La personne gagnante de cette compétition représentera la province aux 17es Olympiades canadiennes des métiers et des technologies qui auront lieu à Québec du 1er au 4 juin.

Cet événement est sous l’égide de Skills/Compétences Canada, un organisme national sans but lucratif qui vise à promouvoir activement auprès des jeunes Canadiens et Canadiennes les perspectives de carrière qu'offrent les métiers spécialisés.

Les Olympiades canadiennes des métiers et des technologies est la plus importante rencontre en son genre au pays. En effet, il s’agit de la seule compétition nationale de métiers qui réunit les plus importants concours de compétences au pays. Chaque année, les
Olympiades réunissent quelque 500 jeunes de toutes les régions du Canada dans le cadre de concours pour plus de 40 domaines de spécialisation. Les concurrents et concurrentes ont alors l’occasion d'évaluer leurs compétences selon des normes rigoureuses et de se mesurer à d'autres jeunes du pays. Ils cherchent aussi à être couronnés les meilleurs de leur discipline respective.

Mélanie participera à la compétition « Solutions logicielles pour les entreprises» qui évalue les compétences des utilisateurs qui se spécialisent dans les applications logicielles au sein d’une entreprise. Ce métier exige la capacité d’utiliser les fonctions spécialisées de Microsoft Office 2007 afin de créer et d’utiliser des documents, de créer et d’utiliser des diaporamas, de créer et de modifier des éléments graphiques et des dessins, de créer et d’utiliser des tableurs, de créer et d’utiliser des bases de données et d’intégrer des éléments des logiciels de Microsoft Office.

L'équipe de recherche dirigée par Nathalie Boivin, professeure en science infirmière au Campus de Shippagan, a décroché une subvention de 20 000 $ du Consortium national de formation en santé (CNFS). C’est une deuxième subvention du genre pour cette équipe formée en avril 2010 et composée, en plus de Mme Boivin, de Colette Arsenault, du Collège Acadie de l’Île-du-Prince-Édouard, et Charles Gaucher, de l’École de travail social de l’Université de Moncton.

D'avril 2010 à mars de cette année, grâce à une première subvention obtenue du CNFS, l'équipe a brossé un tableau de la situation actuelle quant aux connaissances, attitudes et pratiques des personnes professionnelles de la santé, des étudiants et étudiantes dans ce domaine et de leurs formateurs en regard de l'alphabétisme en matière de santé, et ce tant auprès de la population acadienne et francophone du Nouveau-Brunswick que de l'Île-du-Prince-Édouard.

Avec cette nouvelle subvention de 20 000 $ pour 2011-2012, l'équipe pourra entreprendre le deuxième volet de ce travail de recherche consistant à identifier les actions posées par les organismes travaillant avec les populations francophones peu alphabétisées du Nouveau-Brunswick et de l’Île-du-Prince-Édouard afin de sensibiliser les professionnels de la santé à la problématique de l’analphabétisme.

Le CNFS a retenu cette proposition car elle cadrait bien avec ses priorités de recherche; elle était limpide, faisable et de plus, la diversité de l'équipe de recherche et l'importance des partenariats établis ajoutaient à la qualité de la demande.

Nathalie Boivin et son équipe se réjouissent de cette subvention qui permettra de bonifier le travail de recherche amorcé pour améliorer la qualité de l'offre des services de santé et de mieux-être pour toute la population acadienne et francophone du Nouveau-Brunswick et de l'Île-du-Prince-Édouard.

Le Service des ressources humaines, en partenariat avec l’Éducation permanente et Louise Jacob, conseillère au Bureau de harcèlement et gestion de conflits, invite les membres du personnel régulier non académique à assister à un dîner-causerie portant sur la nouvelle « Politique pour un milieu d’études et de travail respectueux » et des services qui y sont rattachés, le jeudi 31 mars de midi à 12 h 50 dans la salle 436 du pavillon Léopold-Taillon.

Cette conférence vous est offerte à titre gracieux. Les personnes participantes sont priées d’apporter leur goûter.

Pour y assister, il faut s’inscrire auprès d’Angelette Girouard, au 858-4659 ou à l’adresse angelette.girouard@umoncton.ca.

Les étudiants et étudiantes du Département d’art dramatique ont présenté leurs classes ouvertes d’interprétation les 21 et 22 mars.

Les étudiants et étudiantes de deuxième année ont présenté des extraits de pièces du théâtre contemporain américain : « Qui a peur de Virginia Wolfe », « Trois femmes grandes » et « Tout dans le jardin », d’Edward Albee.

Edward Albee est un auteur dramatique né en 1928 à Washington. Adopté deux semaines après sa venue au monde par Reed et Frances Albee, il côtoie très jeune le monde des théâtres dont son père adoptif est propriétaire. Malgré une scolarité plutôt chaotique, Edward Albee commence rapidement à écrire des poèmes, des pièces et des nouvelles, puis se met à fréquenter des artistes et des intellectuels malgré le désaccord de sa mère. Cette dernière le met à la porte et l’exclut de son testament lorsqu’il a 18 ans en raison de son homosexualité.

En 1990, Edward Albee exprime ses sentiments vis-à-vis d’elle dans Trois femmes grandes. Il sera récompensé pour cette pièce par un troisième prix Pulitzer en 1994, les deux premiers lui ayant été attribués en 1967 pour « A Delicate Balance » et en 1975 pour « Seascape ». Par le biais de l’absurde, de l’existentialisme et de la métaphysique, il critique dans ses pièces la condition moderne et la vie américaine. En 2005, il reçoit le prix Special Tony Award for Lifetime Achievement.

Central Park West et Old Saybrook, de Woody Allen

« Un mensonge de l’esprit » de Sam Shepard
Fils d'un pilote de l'armée américaine reconverti en fermier, Sam Shepard vit de ferme en ferme dans plusieurs états jusqu'à ce que son père s’installe en Californie. À cause de rapports conflictuels avec ce dernier, il quitte le domicile parental et arrête ses études. En 1963, il débarque à New York. Alors qu'émerge le mouvement hippie et que la contestataire scène de théâtre « Off-off Broadway » voit le jour, il participe à la vie de bohème de Greenwich Village et entreprend de longs voyages à la découverte des Etats-Unis, tout en s'affirmant comme auteur dramatique très prolifique. Issu de la Beat Generation, il s'implique complètement dans la mouvance de la contre-culture des années 1960 et vénère Kerouac, Ginsberg, Dylan... Ses pièces interrogent les mythes fondateurs des USA (l'ouest, l'errance, les mythologies masculines...). À seulement 22 ans, il est un auteur dramatique confirmé. Ses pièces expérimentales et contemporaines brisent les formes classiques et conventionnelles, choquent le public et glanent de nombreux prix.

« La salle à manger » d’Albert Ramsdell Gurney Jr.
Au cours de la vingtaine de scènes qui composent cette fresque de la comédie familiale, on assiste à une parabole sur la grandeur et la décadence de la bourgeoisie occidentale - 50 ans de moments de vie dans une salle à manger racontés avec cocasserie et émotion, ironie et tendresse.

C’est un exercice qui était répété sous la direction de Marcia Babineau, professeure en Interprétation IV.

Expression corporelle
Les étudiants et étudiantes de 1re et 2e années présentent une expression corporelle, aujourd’hui, jeudi 24 mars, à 10 heures dans la salle de danse (local 148C) du Ceps Louis-J.Robichaud. Cet exercice est travaillé sous la direction de Chantal Cadieux, professeure en expression corporelle. Bienvenue à tous et à toutes.

Renseignements : 858-4444.

Michèle Hébert, étudiante de première année au Campus d’Edmundston, a remporté la quatrième position du 9e Concours d’essais littéraires Jean-Robert-Gauthier et une somme de 1 000 $. Les prix de ce prestigieux concours étudiant ont été remis le 4 mars dans la capitale nationale lors du Gala des Clubs Richelieu de la région d’Ottawa.

Les concurrentes et concurrents étaient invités à rédiger un texte de 1 000 mots sur le thème « Comment une minorité linguistique, comme celle des francophones hors-Québec, peut-elle et surtout doit-elle développer des mécanismes autonomes de prise en charge de sa socioéconomie, si elle veut s’épanouir? »

Le texte de Michèle Hébert s’intitule « Initatives de prise en charge de la socioéconomie des minorités linguistiques ». Selon elle, les composantes clés d’une communauté minoritaire linguistique doivent d’abord être identifiées, puis réunies avant d’établir un plan d’action dynamique qui assurera son épanouissement et sa pérennité.

Dans sa dissertation, Michèle fait notamment allusion à l’importance d’organiser des évènements rassembleurs d’envergure misant sur les talents et produits locaux, de même que sur la participation du plus grand nombre de gens.

Le concours s’adresse annuellement à tout étudiant francophone issu d’un milieu francophone minoritaire au Canada et inscrit à un établissement postsecondaire francophone ou bilingue au pays. Les quatre meilleurs essayistes se partageaient la somme de 10 000 $ offerte par le Fonds de bourses Jean-Robert-Gauthier, en l’honneur du défunt politicien d’Ottawa hautement décoré et ardent défenseur des langues officielles.

Âgée de 18 ans et originaire d’Edmundston, Michèle Hébert a avoué qu’elle avait été quelque peu surprise d’avoir été choisie. « J’ai soumis mon texte en janvier, dit-elle. Le temps passait et j’avais pratiquement oublié cette rédaction. Mais j’ai reçu un appel du comité organisateur à la mi-février m’annonçant que je figurais parmi les quatre finalistes au pays. J’étais très contente et très emballée. J’étais seule à la maison quand j’ai reçu la nouvelle. Tout de suite, j’ai appelé mes amis afin de partager ma grande joie. »

Selon la jeune lauréate, une cinquantaine de textes ont été soumis aux membres du jury. Elle est la première candidate d’Edmundston à obtenir un si bon classement. Autre fait à souligner, elle emprunte un sentier quelque peu différent de sa passion pour le français puisqu’elle étudie en éducation (B. Sc.-B. Ed.) avec des concentrations en mathématiques et en chimie.

Michèle a une plume remarquable et n’écarte pas la possibilité de s’inscrire à nouveau au Concours d’essais littéraires Jean-Robert-Gauthier ou à d’autres épreuves de français.

Les étudiants et étudiantes de troisième et quatrième années du Département d’art dramatique ont choisi Georges Feydeau pour leur exercice pédagogique public du printemps. Dans une mise en scène du professeur Andréi Zaharia et une scénographie du professeur Alain Tanguay, il sera présenté du 5 au 9 avril à 20 heures au studio-théâtre La Grange au Campus de Moncton.

Feydeau (1862-1921), prolifique auteur dramatique « de boulevard » qui peint dans ses pièces le monde de la fin du 19e siècle et du début des années 1900, a gagné depuis l’estime des critiques et des historiens sérieux qui ont découvert, après avoir bien rit à ses pièces, l’art inégalable de cet auteur, vrai maître de la scène.

Intelligence, sens incontestable d’un humour acerbe, précision d’horlogerie dans la construction dramatique, subtilité des intrigues et des jeux de mots, voilà quelques-uns des traits qui imposent Feydeau comme un classique du genre, symbole de son époque et un auteur étudié dans la plupart des écoles de théâtre.

Il faut beaucoup d’instinct, de répartie, de spontanéité, d’énergie et de rythme aux interprètes qui veulent s’aventurer dans le monde si vrai et si fou en même temps de cet auteur.

Feydeau est un exercice en soi très exigeant pour les comédiennes et comédiens mais qui en même temps leur donne beaucoup de plaisir et leur fait découvrir des possibilités insoupçonnées sur le plan de la comédie et de la performance dramatique.

Véritable thérapie (on l’espère du moins) pour ceux et celles qui auraient besoin de rire un bon coup, le spectacle se construit autour de cinq des pièces en un acte de l’auteur : Un bain de ménage, Léonie est en avance, Notre futur, C’est une femme du monde et la classique Hortense a dit : « Je m’en fous », interprétées par Stéphanie Bélanger, Joannie Benoit, Audrey Blanchard, Mathieu Godin, David Losier, Agathe Marie, Gabriel Robichaud, Ludger Beaulieu-Bernard, Tanya Brideau et Rébecca Leblond.

Les billets seront en vente à la Libraire acadienne et au guichet du théâtre avant les représentations, 5 $ pour les étudiants et 10 $ pour les autres.

Renseignements : 858-4444

Le pianiste Roger Lord, professeur au Département de musique, s’est envolé vers l’Arabie saoudite où il offrira trois prestations dans la région de la capitale Riyad, une ville de sept millions d’habitants.

Son premier récital, qui aura lieu le dimanche 20 mars, soulignera la Journée internationale de la Francophonie. Son programme de concert comprendra des œuvres des compositeurs francophones et de pays membres de la Francophonie tels que Claude Debussy, Maurice Ravel, Camille Saint-Saëns, Jean-Phillipe Rameau, Calixa Lavallée, Louise Nguyên Van Ty, Frédéric Chopin et Louis Moreau Gottschalk.

Le pianiste acadien en est à sa troisième visite en Arabie saoudite. Au cours des prochains mois, il se rendra à nouveau en Amérique du sud pour jouer en récital de même que comme soliste dans le concerto de piano de Grieg avec orchestre symphonique.

Il ira par la suite en Chine, en Malaisie, à Brunei et en Australie.

Lysanne Rivard fera la soutenance d’une thèse de maîtrise en études de l’environnement, intitulée « Exemples de pratiques forestières s’insérant dans le concept de la forêt habitée à travers l’histoire de la foresterie au Québec de 1608 à aujourd’hui», le vendredi 25 mars à 13 h 30 dans le local B-015 du pavillon Rémi-Rossignol au Campus de Moncton.

La thèse de Mme Rivard est effectuée sous la direction de Sébastien Weissenberger, professeur à l’Université du Québec à Montréal. Les autres membres du jury sont Omer Chouinard, professeur à l’Université de Moncton, et Robert Laplante, directeur de l’Institut de recherche en économie contemporaine à Montréal, qui agit comme évaluateur externe. Le jury sera présidé par Yves Gagnon, titulaire de la Chaire K.-C.- Irving en développement durable. Bienvenue à tous. Renseignement: 858-4498.

Le drame historique français « Liberté », du réalisateur de renom Tony Gatlif, est à l'affiche du Ciné-Campus, le jeudi 24 et le vendredi 25 mars à 20 heures dans l'amphithéâtre 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au Campus de Moncton.

Liberté
Théodore, vétérinaire et maire d’un village situé en zone occupée pendant la Seconde Guerre mondiale, a recueilli P’tit Claude, neuf ans, dont les parents ont disparu depuis le début de la guerre. Mademoiselle Lundi, l’institutrice, fait la connaissance des Tsiganes qui se sont installés à quelques pas de là. Ils sont venus pour faire les vendanges dans le pays. Humaniste et républicaine convaincue, elle s’arrange, avec l’aide de Théodore, pour que les enfants Tsiganes soient scolarisés.

De son côté, P’tit Claude se prend d’amitié pour Taloche, grand gamin bohémien de 30 ans qui se promène partout avec son violon sur l'épaule. Mais les contrôles d’identité imposés par le régime de Vichy se multiplient et les Tsiganes, peuple nomade, n’ont plus le droit de circuler librement. Théodore cède alors l’un de ses terrains aux bohémiens, désormais sédentarisés.

Tandis que les enfants tsiganes suivent les cours de Mademoiselle Lundi, P’tit Claude est de plus en plus fasciné par le mode de vie des Bohémiens – un univers de liberté où les enfants sont rois. Mais la joie et l’insouciance sont de courte durée : la pression de la police de Vichy et de la gestapo s’intensifie et le danger menace à chaque instant. Comme ils l’ont toujours fait depuis des siècles, les Tsiganes devront reprendre la route…

Le Ciné-Campus est présenté par le Service des loisirs socioculturels. Les billets sont en vente à l’entrée à compter de 19 h 30 le jour de la présentation du film, 5 $ pour les étudiants et 7 $ pour les autres.

Rendez-vous de l’ONF en Acadie
Les Rendez-vous de l'ONF présentent le lundi 28 mars, à 19 heures l'amphithéâtre 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard, « À la dérive », des cinéastes Jean Lemire (Le dernier continent) et Patricio Henriquez (Sous la cagoule) (2003, 52 minutes).

De plus en plus inquiets face aux effets du réchauffement planétaire, les scientifiques sonnent l’alarme. Des îles entières risquent d’être englouties avec la hausse accélérée du niveau des océans. Que ce soit en Alaska ou dans l’archipel océanien de Tuvalu, la menace devient chaque jour plus imminente.

« La Terre est habitée ! », de Kaj Pindal et « Les Drew » (1966, 10 minutes) précéderont la projection principale. L’entrée est libre.

Trois artistes sachant manier les mots et la mélodie comme nul autre seront bientôt sur la scène du Café-Campus : Pascal Lejeune, le samedi 26 mars à 20 heures, Mathieu Lippé, le jeudi 31 mars à 20 heures et Gaële, le dimanche 3 avril à 20 heures. Trois auteurs-compositeurs-interprètes qui partageront des moments inoubliables avec le public.

Ces spectacles sont une présentation du Service des loisirs socioculturels et sont réservés aux personnes de 19 ans et plus. Les portes ouvrent dès 19 heures.

Pascal Lejeune
Le talentueux auteur-compositeur-interprète de Pointe-Verte sera en spectacle au Café-Campus en compagnie de deux musiciens. Les billets sont en vente au coût de 8 $ pour les étudiants et 15 $ pour les autres (frais de service en sus). Ceux et celles qui possèdent leurs billets pour les dates précédentes (spectacles reportés à cause du mauvais temps) peuvent les utiliser pour la soirée du 26 mars.

Mathieu Lippé
Véritable architecte des mots, Mathieu Lippé s’amuse à brouiller les pistes entre le conte, le slam et la chanson. Ce troubadour des temps modernes natif des Cantons-de-l’Est au Québec rassemble en lui un univers original. Il touche à l’écriture et à la composition depuis l’adolescence. Après des études en musique et en littérature à l’Université de Sherbrooke, il joint les groupes Voluntad puis Vizzaj. Déjà, il a une révélation en expérimentant le mélange musique et narration de contes. Commencent par la suite les périples en Europe et ailleurs dans le monde qui lui permettent de remplir son bagage de nouveaux contes et de musiques de toutes sortes à la suite de rencontres variées et inspirantes.

Une fois revenu au pays, il s’installe à Montréal où il est mis en contact avec le slam, une forme d’art oratoire où l’on récite un texte poétique dans son propre style en lui donnant un certain rythme pour combler l’absence de musique. Il remporte la finale nationale du Grand Slam 2008.

Il nous arrive maintenant avec son spectacle « Voyageuse parole » en compagnie de trois musiciens. L'artiste fait évoluer sur scène une forme de chansons théâtrales vers une forme de chansons « groovy » et lumineuses en les ponctuant de textes poétiques et de contes surréalistes. Une soirée inusitée et rafraîchissante. Les billets sont en vente au coût de 8 $ pour les étudiants et 15 $ pour les autres (frais de service en sus).

Gaële
Dualité assumée, voilà qui décrit bien Gaële, artiste multidisciplinaire originaire des Alpes françaises et Québécoise d’adoption. Son univers est un amalgame de deux cultures, mais aussi de musique et d’images, de textures organiques et électroniques, de fantaisie et de mélancolie, d’effervescence et de gravité.

Sur scène, tout comme sa musique, elle est éclatante, emportée par une jolie folie ponctuée de rythmes ensoleillés, sa bonne humeur est contagieuse. Son talent pour la chanson et pour la performance a contribué à en faire la lauréate de nombreux prix, dont le Prix André « Dédé » Fortin de la SPACQ (2009) et Tremplin Découverte des Déferlantes de Cap Breton (2008). Elle sort un premier album, « Cockpit ». Son second, « Diamants de papier », sorti en avril 2010, a fait l’objet de critique élogieuse et a rapidement été classé au palmarès des 10 albums les plus diffusés sur les différentes plateformes de Radio-Canada.

Elle sera au Café-Campus pour partager sa bonne humeur contagieuse. Les billets sont en vente au coût de 5 $ pour les étudiants et de 10 $ pour les autres (frais de service en sus).

Billetterie
Les billets sont en vente dans le réseau de billetterie du Grand Moncton (Centre étudiant de l’Université de Moncton, Théâtre Capitol, théâtre l’Escaouette, Monument Lefebvre à Memramcook, Frank’s Music à Moncton, Centre des arts et de la culture de Dieppe). Pour la billetterie, il faut composer le 506-858-4554.

Un conflit non résolu dans le milieu de travail ou d’études peut affecter votre capacité de travailler ou d’étudier de façon fonctionnelle. Si vous éprouvez ce genre de situation, Louise Jacob, conseillère en harcèlement et gestion de conflits, vous invite à vous joindre à elle pour explorer les options possibles en toute confidentialité.

Dans le cadre de la Politique pour un milieu de travail et d’études respectueux en vigueur depuis le 1er janvier dernier, les membres de la communauté universitaire ont accès à des services de résolution de conflit, de présentations et formations variées faisant la promotion du respect, et d’intervention dans des situations potentielles de harcèlement.

« L’Université souhaite être un modèle en matière de respect des droits de la personne faisant en sorte que les relations de travail et pédagogiques se passent dans une atmosphère de respect et de dignité. » C’est donc avec enthousiasme et dans l’esprit véhiculé dans la nouvelle politique que la conseillère invite les membres de la communauté universitaire à s’engager dans cette démarche collective prescrite dans la politique qui encourage le dialogue et l’ouverture face à la résolution de conflits.

Pour obtenir des renseignements ou de l’aide, vous pouvez joindre Mme Jacob au 858-4430, louise.jacob@umoncton.ca. Vos demandes seront traitées avec confidentialité.

Nicole Lang, professeure d’histoire au campus d’Edmundston, a été choisie Personnalité Richelieu 2011 par le Club Richelieu Edmundston lors de la Semaine Richelieu et de la Francophonie.

La personne récipiendaire de cet honneur s’est distinguée dans sa communauté par son engagement auprès de la francophonie, de même que dans les domaines culturel, social ou humanitaire. Mme Lang a été honorée afin de souligner son travail d’enseignement, de recherche, d’auteure et d’engagement auprès de la jeunesse.

Possédant la maitrise et le doctorat en histoire de l’Université de Montréal, Mme Lang a fait ses études de premier cycle au Centre universitaire Saint-Louis-Maillet d’Edmundston. Elle est professeure d’histoire au campus d’Edmundston depuis 1991. Ses cours portent principalement sur l’histoire de l’Acadie, l’histoire des femmes, l’histoire du travail, l’histoire du Madawaska et sur la méthodologie en histoire.

Elle est l’auteure de nombreuses conférences et communications scientifiques. Elle codirige le Groupe de recherche en histoire du travail au Nouveau-Brunswick qui a conduit en septembre dernier à la publication du livre « Lieux historiques ouvriers au Nouveau-Brunswick », sous la direction du Comité canadien sur l’histoire du travail.

Parmi ses publications, notons le livre « Plaisance et l’Ile Royale 1658-1758. Deux colonies de pêche françaises au Canada atlantique », et « Histoire de l’Acadie », rédigés avec son collègue Nicolas Landry, du campus de Shippagan.

Nicole Lang est également bien connue pour son engagement au sein du Regroupement féministe du Nouveau-Brunswick où elle a été vice-présidente du Nord-Ouest en 2007-2008 et 2008-2009, puis administratrice depuis 2009.

Voici les autres personnalités qui ont été honorées par le Club Richelieu Edmundston : Jean Pedneault, Marie-Élisa Ferran, René Fortin, Irma Lizotte, Gérald Allain, Claude Picard, Sr Lucie Gagnon, Mgr Gérard Dionne, Jean-Eudes et Daniel Thériault, Jacques G. Albert, Mgr Eymard Desjardins et Jean-Guy Poitras.

Le Chœur Neil-Michaud donnera son concert du printemps au Monument Lefebvre de Memramcook, le samedi 9 avril à 20 heures. Parrainé par la Société culturelle de la Vallée de Memramcook, le CNM présentera des extraits de son répertoire pigeant dans le classique, les chants religieux, le folklore acadien et canadien français et le jazz. Dirigé par Martin Waltz, il sera accompagné au piano et à l’orgue par Holly Waltz, à la clarinette par Réjean Laforge, à la contrebasse par Roger Henry et à la guitare par Daniel Dupuis.

Le Chœur Riversong, dont les membres sont de la région du Grand Moncton, sera l’invité du CNM lors de ce concert. Formé en 2009, les neuf voix féminines qui le composent ont toutes des connaissances musicales et aiment se produire lors d’activités civiques, communautaires et religieuses. Son répertoire est constitué principalement de chant a capella.

Les billets pour les sièges réservés (adultes 15 $, étudiants 9 $) sont en vente au Monument, au 758-9808.

Le Centre de la francophonie des Amériques (CENTRE) et le Bureau des Amériques de l’Agence universitaire de la francophonie (AUF) ont annoncé la mise sur pied d’un programme visant à favoriser les échanges entre chercheurs et chercheuses dans les Amériques grâce à des conférences. Toute personne intéressée est invitée à soumettre un projet.

La francophonie des Amériques : un nouvel objet d’étude scientifique ?
On retrouve dans les Amériques de nombreux locuteurs de langue française qui appartiennent ou non à des communautés, à des peuples ou à des nations plus vastes. Ces francophones et francophiles du nord au sud ne sont pas toujours conscients de l’existence de l’autre; pourtant, leurs réalités se ressemblent et leurs destins se croisent.

Qu’elle soit canadienne-française, québécoise, acadienne, franco-américaine, créole, cadienne, métisse ou encore issue d’une émigration plus récente, la francophonie des Amériques recoupe des identités multiples et complexes qui parfois se complètent, parfois se concurrencent. Derrière cette apparente fragmentation identitaire se cachent pourtant des trajectoires communes, des convergences culturelles et des valeurs partagées.

L’objectif principal de ce projet est de susciter une réflexion aussi large que possible sur divers aspects de la francophonie dans les Amériques. Le présent appel à proposition vise à développer le thème de la francophonie sous un angle qui appelle au développement de liens entre les divers milieux francophones.

Les conditions d’admission sont les suivantes : les conférenciers doivent habiter les Amériques (Amérique du Nord, Amérique latine, Caraïbe); les conférences doivent porter sur un thème lié à la francophonie dans les Amériques; les conférenciers doivent être membres du Centre de la francophonie des Amériques et l’université d’accueil ou d’origine du conférencier doit être membre de l’Agence universitaire de la francophonie; et le Centre de recherche hôte s’engage à superviser la partie logistique des conférences.

Le Centre de la francophonie des Amériques et l’Agence universitaire de la francophonie s’engagent à verser aux centres hôtes une bourse de 1 000 $ chacun pour un total de 2 000 $. Les dépenses excédentaires seront couvertes par le Centre de recherche qui accueille le chercheur ou la chercheuse. Le Centre hôte qui invite le chercheur ou la chercheuse est aussi responsable de la gestion logistique des conférences.

Les conférenciers doivent présenter au minimum deux conférences en français d’une durée de 50 à 60 minutes incluant une période de question d’environ 15 minutes et avoir lieu à l’extérieur de la zone d’origine du participant. L’une des deux conférences doit être de nature vulgarisatrice et s'adresser au grand public.

Les candidatures seront jugées selon la qualité scientifique de la recherche, son originalité et sa présentation pour la partie grand public. Les sujets ayant une perspective comparative et multidisciplinaire seront favorisés. Le comité scientifique jugera de la qualité et de la pertinence des demandes. La date limite est le 31 mai prochain.

L’Institut canadien de recherche en politiques et administration publiques a organisé une conférence au Campus de Moncton portant sur l’état des finances publiques au Nouveau-Brunswick. Pierre-Marcel Desjardins, professeur d’économie à l’Université de Moncton et chercheur associé à l’ICRPAP, a proposé un portrait statistique comparatif des finances publiques de la province, alors que la présentation de Bernard Lord, ancien premier ministre du Nouveau-Brunswick, a porté sur l’équilibre à trouver en ce qui a trait à la gestion de ces finances publiques. Le nouveau directeur général de l’ICRPAP, Marc Duhamel, a présidé cette activité à laquelle ont pris part une cinquantaine de personnes. Les présentations des deux conférenciers sont disponibles à l’adresse www.icrpap.ca.

Jean-Pierre Blackburn, ministre des Anciens Combattants et ministre d'État à l’agriculture, a annoncé que la date limite pour la prochaine ronde des demandes de postes de guides-interprètes au Mémorial national du Canada à Vimy et au Mémorial terre-neuvien de Beaumont Hamel, en France, a été prolongée jusqu'au 31 mars.

« Les monuments commémoratifs du Canada à l'étranger sont des symboles puissants de la gratitude que ressentent les Canadiens et les Canadiennes à l'égard de ceux et celles qui ont consenti le sacrifice ultime pour défendre la paix et la liberté, mentionne le ministre Blackburn. En travaillant à ces monuments, les guides étudiants ont la chance de découvrir la riche histoire militaire du Canada, de découvrir la culture de la France et de devenir ambassadeurs du Souvenir dans leurs écoles et leurs collectivités. »

Au moyen du Programme de guides étudiants, Anciens Combattants Canada donne aux étudiants et étudiantes la chance de vivre et de travailler en France en tant que guides-interprètes au Mémorial national du Canada à Vimy et au Mémorial terre-neuvien de Beaumont-Hamel. Les périodes de travail sont d'environ quatre mois et s'étendent de janvier à avril, de mai à août et d'août à décembre. La période de recrutement pour la séance d'automne prendra fin le 31 mars.

Les étudiants et étudiantes de partout au Canada peuvent présenter une demande en ligne par le biais du Programme fédéral d'expérience de travail étudiant à jobs-emplois.gc.ca.

Pour obtenir de plus amples renseignements sur le Programme de guides étudiants, visitez le site d'Anciens combattants Canada à veterans.gc.ca.

Lors de leur passage au pavillon Rémi-Rossignol pour l’inauguration des installations de recherche et de développement, le ministre d’État (Petite Entreprise et Tourisme), Rob Moore, et la ministre provinciale de l’Éducation postsecondaire, Formation et Travail, Martine Coulombe, ont profité de l’occasion pour visiter le Centre de technologie et des sciences de la santé présentement en construction au Campus de Moncton.

La 23e édition de la Journée des affaires se tiendra le jeudi 7 avril au Campus de Shippagan sous le thème « L'ère du changement : les médias sociaux, rôles et impacts ».

La conférencière au souper banquet sera Michèle C. Brideau, de Saint-Jean, consultante en communication, analyste et stratégiste en ressources humaines. Elle est présidente et propriétaire de Michèle C. Brideau Consultante ltée.

Le coût du billet est de 20 $ mais sans frais pour les étudiants et étudiantes du Campus de Shippagan. On peut réserver auprès de Vincent-Luc Brouillard, président du comité organisateur à elb7734@umoncton.ca ou aux numéros 506-336-3448 ou 3441. Les billets seront également disponibles à l'entrée.

Étudiante de quatrième année au baccalauréat en sciences sociales avec spécialisation en science politique à l’Université de Moncton, Marilyne Gauvreau a remporté récemment le Concours national d’essais parrainé par le Groupe canadien d'étude des parlements.

C’est grâce à un projet de recherche effectué dans le cadre d’un cours à la session d’automne qu’elle a remporté ce concours. Son essai portait sur la mise en candidature des femmes aux élections provinciales néo-brunswickoises en 2010.

Ainsi, elle reçoit une bourse de 1000 $ et elle se rendra au Centre des conférences du Gouvernement à Ottawa le 25 mars pour assister au colloque du Groupe canadien d’étude des parlements. Intitulé «Au sein du bureau du Premier ministre», le colloque comprendra des conférences d’Edward Goldenberg, ancien conseiller principal en politiques et chef de cabinet du premier ministre Jean Chrétien, et de Keith Beardsley, chef de cabinet adjoint responsable de la gestion des questions de fond auprès du premier ministre Stephen Harper.

À cette occasion, la lauréate présentera une brève allocution portant sur son sujet d’essai et sur son intérêt pour la science politique.
Le Concours national d’essais est présenté annuellement depuis 2003 par le Groupe canadien d’étude des parlements. Ouvert aux étudiantes et étudiants des universités du pays, ce concours a été créé pour promouvoir la recherche dans tous les domaines politiques liés au Parlement, aux assemblées législatives ou aux législateurs.

Originaire de Saint-Quentin, Marilyne Gauvreau a l’intention de poursuivre des études de deuxième cycle en politique canadienne et souhaite un jour travailler dans la Fonction publique, plus spécifiquement au ministère de l’Éducation.

Les membres du Conseil de la langue annoncent la mise en ligne de leur nouveau site Web à l’adresse http://www.umoncton.ca/clf. La communauté universitaire trouvera sur ce site l’énoncé du mandat du Conseil et la politique linguistique, et bien d’autres choses encore.

Connaissez-vous les normes linguistiques en vigueur à l’Université ? Savez-vous comment le corps professoral doit tenir compte de la qualité de la langue dans les évaluations écrites ? Consultez la section Normes linguistiques et leur application (http://www.umoncton.ca/clf/node/4). Vous cherchez l’équivalent français d’un mot de votre domaine ? La règle d’accord du mot tout vous donne du fil à retordre ? La réponse se trouve surement* dans la section Outils de perfectionnement linguistique (http://www.umoncton.ca/clf/node/5). Un étudiant peut-il être pénalisé pour avoir utilisé un mélange de graphies rectifiées et traditionnelles dans un même document ? Le site du Conseil a réponse à tout : des explications visuelles (diaporamas PowerPoint) ou audiovisuelles (diaporamas PowerPoint commentés par Sylvie Blain) des 14 règles de l’orthographe rectifiée (http://www.umoncton.ca/clf/node/14) ont été mises en ligne.

Vous désirez en savoir davantage sur le programme de formation linguistique à l’Université de Moncton ? Marie-Élaine Lebel, membre du Conseil, a publié un article dans le volume 16, numéro 2 de la revue Correspondance. Cet article, intitulé « L'enseignement du français à l'Université de Moncton : une formation axée sur les genres de l'écrit et de l'oral » (http://www.umoncton.ca/clf/node/3), discute des changements à la formation en vigueur depuis septembre 2010. D’autres nouveautés sont à venir. Vous avez des questions relativement à l’application de la politique linguistique ? N’hésitez pas à communiquer avec le Conseil à clf@moncton.ca.

*Ce message est rédigé selon les règles de la nouvelle orthographe. Pour en savoir plus : http://www.umoncton.ca/clf/node/11.