Professeure titulaire au Département de science politique de l’Université de Moncton, Marie-Thérèse Seguin a été nommée chevalier des Palmes académiques par le ministre français de l’Education Nationale, sur proposition du Consulat général de France dans les Provinces atlantiques.

En conférant cette distinction, les autorités françaises entendent saluer l’impressionnant parcours professionnel de Marie-Thérèse Seguin. Depuis plus de trente ans, la professeure Seguin s'intéresse aux questions de la représentation politique des femmes et des mutations sociales. Ses recherches portent sur ces thématiques en France, en Acadie, mais aussi dans le reste du monde. En effet, Marie-Thérèse Seguin a toujours eu un intérêt marqué pour l'international. Outre sa parfaite maîtrise de la langue espagnole et de sa contribution au bureau de coopération et des échanges internationaux, elle a notamment participé à la direction du partenariat international Acadie-Haïti en « stratégie de sécurité alimentaire en Haïti ». Ce projet avait une valeur estimée à 5 millions de dollars.

Ses services à la communauté sont fort appréciés. Mme Seguin a été successivement membre de divers jurys scientifiques, membre du comité de planification stratégique de l’Université de Moncton, présidente du comité interfacultaire pour l’élaboration d’un programme de maîtrise en relations industrielles et membre du Sénat académique de l’Université de Moncton. Hors de son activité universitaire, Marie-Thérèse Seguin est aussi membre du conseil d’administration de la maison Nazareth et membre du comité pour l’abolition de la retraite obligatoire. Elle a aussi été une personne-ressource dans le cadre du projet sur l’éveil à la citoyenneté des femmes financé par Condition Féminine Canada et membre du groupe de travail sur la nouvelle stratégie de prise en charge de la problématique des femmes dans les politiques provinciales.

La décoration lui a été remise par Vincent Hommeril, consul général de France dans les Provinces atlantiques, vendredi dernier à l’Université de Moncton, dans le cadre d’une activité soulignant le 40e anniversaire du Département de science politique de l’Université.

L’Ordre des Palmes Académiques est destiné à honorer les personnes œuvrant en éducation et en enseignement supérieur qui se sont distinguées dans le domaine pédagogique ou de la recherche.
Le Consulat Général de France dans les Provinces atlantiques félicite Mme Marie-Thérèse Seguin pour l’obtention de cette distinction si bien méritée.

Dans le cadre des activités marquant le 35e anniversaire de sa création, la Faculté de droit de l’Université de Moncton présente la huitième des conférences J.-Fernand-Landry qui sera prononcée par le juge Thomas A. Cromwell, de la Cour suprême du Canada, ce vendredi 1er novembre 2013, à 18 h 30. La conférence, qui portera sur l’accès à la justice en matière civile et familiale, sera précédée d’un cocktail, à 17 h 30. L’entrée est libre.

La Faculté de droit organise également un colloque sur l’accès à la justice qui aura lieu à l’édifice Adrien-J.-Cormier, le samedi 2 novembre 2013. Le colloque sera suivi, en soirée, d’un banquet au Delta Beauséjour. Pour vous inscrire au colloque ou au banquet, vous pouvez communiquer avec la Faculté de droit au 506-858-4560. Les frais d’inscription sont de 80 $ pour le colloque et de 100 $ pour le banquet, ou de 150 $ pour les deux activités.

La Société canadienne de génie civil a élevé le professeur Paul Chiasson au titre de Fellow lors de son congrès annuel 2013 tenu à Montréal. La Société lui a conféré ce titre pour souligner le niveau d’excellence qu’il a atteint dans le domaine du génie civil et sa contribution active à l’avancement de sa profession. Le titre lui a été décerné par M. Jim Kells, président de la société savante.

Originaire de la péninsule acadienne, Paul Chiasson est professeur titulaire d’ingénierie à l’Université de Moncton depuis 25 ans. Ingénieur civil diplômé de l'Université de Moncton, M. Chiasson a ensuite complété la maîtrise ès sciences appliquées à la même
université et le doctorat à l'École Polytechnique de Montréal.

Après une brève incursion à Transports Canada, Paul Chiasson a rejoint le Département de génie civil de l'Université de Moncton en tant que professeur d'ingénierie géotechnique. Chercheur actif, ses travaux ont porté sur les glissements de terrain, l’emploi des sols peu perméables pour l’enfouissement sécuritaire des déchets solides et la conception de meilleures routes.

Auteur de nombreux articles scientifiques, il se dit privilégié d’avoir dirigé la thèse de plusieurs étudiantes et étudiants inscrits aux grades supérieurs à l’Université de Moncton.

D’abord chef de génie civil et plus tard vice-doyen, le professeur Paul Chiasson est doyen depuis 2005 de la Faculté d’ingénierie. En plus d’enseigner, de poursuivre des travaux de recherche et de voir au bon fonctionnement de sa Faculté, le professeur Chiasson a contribué à de nombreuses reprises aux affaires de la Société canadienne de génie civil et de la Société canadienne de géotechnique.

À la société canadienne de géotechnique, monsieur Chiasson est un ancien vice-président des communications, directeur régional de l’Atlantique et vice-président de la division des géosynthétiques.

Pour la Société canadienne de génie civil, le professeur Chiasson a été le coordonnateur de la Conférence nationale de spécialité en construction tenue à Moncton. Il a également présidé et organisé de nombreuses activités régionales et nationales pour le compte des deux sociétés savantes comme des conférences, ateliers et cours intensifs.

Sport interuniversitaire canadien a annoncé, vendredi dernier, une violation volontairement révélée par l’Université de Moncton lors de la saison 2013 de soccer masculin. Il s’agit d’une violation administrative selon laquelle l’Université de Moncton a utilisé un athlète inadmissible lors de trois rencontres de la présente saison régulière. Par conséquent, il y aura des modifications au classement de la ligue de soccer masculin du SUA.

L'Université de Moncton a révélé, la semaine dernière, au SUA et à Sport interuniversitaire canadien (SIC) que l'équipe masculine de soccer était en violation d'un règlement d'admissibilité qui interdit à tout athlète sur la liste d'inadmissibilité du Réseau du sport étudiant du Québec (RSEQ) de jouer ailleurs au pays au niveau universitaire. L'étudiant/athlète, qui avait été placé sur la liste en 2011, a également suivi des cours dans un Cégep depuis cette date.

Selon la politique de confidentialité de SUA et de SIC, le nom de l'étudiant/athlète ne peut être dévoilé.

Une sanction automatique résultant en un forfait a été imposée à Moncton pour ses victoires contre les Sea-Hawks de Memorial University, le 21 septembre, et les Mounties de Mount Allison University, le 4 octobre. Le pointage final pour ces deux parties sera désormais de 3-0 en faveur de Memorial et de Mount Allison. Dans l'autre match, les Capers avaient défait les Aigles Bleus. Toutes les statistiques individuelles sont toutefois maintenues.

«Nous sommes évidemment très déçus de cette situation, a dit le directeur du Service de l'activité physique et sportive, Marc Boudreau. Nous avons agi de bonne foi dans cette démarche, mais il s'avère que nous devrons revoir notre processus de vérification. Nous acceptons cette sanction. »

Suite à ces sanctions, la fiche de Moncton sera ajustée à 4 victoires, 5 défaites et 4 nulles (4-5-4), tandis que la fiche de Memorial sera désormais de 2 victoires, 8 défaites et une nulle (2-8-1) et celle de Mount Allison, 2 victoires, 7 défaites et 3 nulles (2-7-3). La fiche des Capers n’est pas modifiée.

Sylvie Robichaud-Ekstrand, professeure titulaire à l’École de science infirmière, vient d’entamer un mandat de cinq ans à titre de vice-doyenne de la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires de l’Université de Moncton. Entre 2005 et 2012, elle était la directrice de l’École réseau de science infirmière (ÉRSI).

Mme Robichaud-Ekstrand a complété le doctorat en sciences biomédicales de la Faculté de médecine de l'Université de Montréal après avoir obtenu la maîtrise en sciences infirmières de l'Université de Toronto. Elle a obtenu un baccalauréat en sciences biologiques, un baccalauréat en sciences infirmières et un certificat en gestion des affaires de l’Université d’Ottawa.

Après avoir terminé ses études doctorales, elle a entamé un internat en recherche et en clinique au Centre de médecine préventive et d’activité physique de l’Institut de cardiologie de Montréal, ce qui lui a permis d’obtenir le certificat de spécialiste de l'exercice dispensé par l'American College of Sports Medicine. Lors de son mandat de directrice de l’ÉRSI, elle a obtenu le certificat en gestion universitaire et collégial du Center for Higher Education and Research Development de l’Université du Manitoba.

Bénéficiaire de bourses de chercheure de carrière et de diverses subventions, elle a mené à bien des projets portant sur diverses approches cognitives, affectives et comportementales chez l’adulte à risque ou possédant une maladie cardiovasculaire manifeste. Des interventions de prévention primaire et secondaire ont été élaborées et évaluées permettant aux individus d’adopter un style de vie sain; l’objectif ultime étant de prévenir ou ralentir la maladie cardiovasculaire, d’en diminuer les complications respectives et d’en réduire la récidive.

Elle a dirigé plusieurs thèses et a présenté, avec ses étudiantes et étudiants, des communications dans plusieurs congrès scientifiques. Elle a publié des articles de recherche dans des revues d’envergure internationale et a mis en valeur la contribution de ses étudiantes et étudiants.

Sur la scène nationale, elle a été l’agente scientifique de la Fondation canadienne de la recherche sur les services de santé. Elle a aussi siégé pendant deux mandats au Conseil consultatif de l’Institut de nutrition, du métabolisme et du diabète des Instituts de recherche en santé du Canada. En 2009, l’Association des infirmières et infirmiers du Nouveau-Brunswick lui a remis le Prix de mérite en recherche.

Des étudiants du Département d'informatique de la Faculté des sciences de l’Université de Moncton ont excellé pour la deuxième année consécutive au concours annuel de programmation des provinces maritimes tenu à la University of Prince Edward Island (UPEI) le vendredi 18 octobre dernier.

Ils se sont classés deuxième parmi 21 équipes provenant de neuf universités : Acadia, Dalhousie, Memorial, Mount Allison, St Francis Xavier, Université de Moncton, University of New Brunswick (campus de Fredericton et de Saint-Jean) et UPEI.

L'équipe était formée d’Antoine Handfield, Andy Couturier et David Ouellette, tous étudiants au Baccalauréat en informatique appliquée de l’Université de Moncton.

La préparation au concours se fait par un entraînement régulier durant l'année. Les étudiants sont encadrés par les professeurs Jalal Almhana et Éric Hervet et ils sont appuyés par deux étudiants de la maîtrise, Cajetan Bouchard et François LaPlante.

Une autre équipe de l'Université de Moncton participait au concours et s'est classée dixième. Elle était composée d’Olivier Blanchard, Simon Landry et Yann Landry, également étudiants au Baccalauréat en informatique appliquée.

Le Département d'informatique est heureux de ce résultat qui démontre la qualité de ses étudiantes et étudiants.

Notons que ce concours fait partie d’un concours international annuel organisé conjointement par l'ACM (Association for Computing Machinery) et IBM et qui comprend plusieurs rondes éliminatoires.

La prochaine ronde se déroulera à Rochester, dans l’état de New York, le 16 novembre prochain. L’équipe de l’Université de Moncton affrontera alors une dizaine d'universités de la région nord-est américaine, dont UNB, campus de Fredericton, et Acadia qui ce sont aussi classées parmi les trois premières au concours du 18 octobre.

La ronde finale se déroulera du 22 au 26 juin 2014 à Ekaterinburg, en Russie.

Une trentaine d’étudiantes et d’étudiants de l’Université de Moncton, campus de Moncton, se sont rencontrés au resto-lounge Le 63, le 24 octobre dernier, pour une soirée d’Halloween.

Question de faire frissonner les participantes et participants, le conteur Sylvio Allain a débuté la soirée en leur a racontant une variété d’histoires de fantômes locaux.

En deuxième partie, les étudiantes et les étudiants ont participé à un concours de sculpture de citrouille. Les gagnants de la première, la deuxième et la troisième place ont reçu des chèques-cadeaux d’une valeur de 30 $, 20 $ et 10 $ respectivement. Ces prix ont été offerts par le resto-lounge Le 63.

Cette activité interculturelle, organisée conjointement par le Service aux étudiantes et étudiants internationaux, le Service de logement et le Service de loisirs socioculturels, a permis de favoriser la rencontre de plusieurs étudiantes et étudiants internationaux et canadiens. Selon les organisateurs, cette soirée a connu un franc succès.

L’article intitulé « CEO’s share of top-management compensation, characteristics of the board of directors and FIRM-value creation », rédigé par les professeurs Sébastien Deschênes, Mohamed Zaher Bouaziz, Tania Morris, Miguel Rojas et Hamadou Boubacar de la Faculté d’administration, a reçu une distinction dans la catégorie comptabilité et finance dans le cadre d’une conférence de l’Allied Academies qui a eu lieu à San Antonio, au Texas.

Cet article détermine les caractéristiques des conseils d’administration qui font en sorte qu’un président directeur général (PDG) reçoit une part plus ou moins importante de la rémunération de l’équipe dirigeante. Il appert que la rémunération du PDG est proportionnellement plus importante dans le secteur des mines et métaux et au sein des entreprises où la fraction des administrateurs indépendants est plus importante. En revanche, cette proportion serait significativement moins importante au sein des entreprises où l’actionnariat des administrateurs est important.

L’étude cherchait aussi à déterminer si une forte concentration de la rémunération de l’équipe dirigeante entre les mains du PDG était une source de création de valeur. En conformité avec la théorie du tournoi, les chercheurs ont pu associer une grande fraction retenue par le PDG à une plus grande capitalisation boursière après la considération de variables de contrôles.

L’article sera bientôt publié dans la revue «The Academy of Strategic Management Journal ».

Pour plus d’information, communiquez avec le professeur Sébastien Deschênes au(506) 858-4230.

Un banquet soulignant le 40e anniversaire de la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Moncton a eu lieu samedi dernier. Quelque 130 personnes ont assisté à la soirée qui avait pour thème « Propulsée par ses quarante ans… ».

À cette occasion, la professeure émérite Catalina Ferrer a prononcé une conférence sur les enjeux et défis de l’éducation d’aujourd’hui et de demain.

De plus, un retour sur le passé a été présenté à la fois en chanson et par des capsules historiques dressant les grands évènements historiques de la Faculté et du monde de l’éducation au Nouveau-Brunswick.

Présenté dans le cadre du Salon du livre de Dieppe, le lancement d’un ouvrage portant sur l’histoire du drapeau acadien a eu lieu le vendredi 25 octobre au Collège communautaire du Nouveau-Brunswick à Dieppe.

Publié aux Éditions de la Francophonie, cet ouvrage est l’œuvre des auteurs Maurice Basque et André Duguay. Maurice Basque est historien et conseiller scientifique à l'Institut d'études acadiennes de l'Université de Moncton. Il a publié de nombreux livres et articles sur différentes réalités de l'Acadie. Pour sa part, André Duguay est chargé de projets à l'Institut d'études acadiennes de l'Université de Moncton. Il s'intéresse à l'histoire acadienne et amérindienne des Maritimes.

Cet ouvrage, à vocation grand public, est destiné à toutes les personnes qui veulent en savoir plus sur l'histoire du plus populaire des symboles nationaux acadiens, adopté en 1884. Il explore surtout la dimension néo-brunswickoise de cet étendard. Il se veut aussi, en quelque sorte, un hommage aux gens de Saint-Louis-de-Kent, qui n'ont jamais oublié qu'un grand patriote et promoteur de l'Acadie, Mgr Marcel-François Richard (1847-1915), est sorti de leurs rangs et a donné à la société acadienne des couleurs et une étoile qui lui sont maintenant indissociables. Aux yeux de celui qui en a été son concepteur, le tricolore étoilé devait être un « ... drapeau qui réveille en vous le sentiment que vous êtes et que vous devez rester Français, et que vous êtes Acadiens et que vous devez rester Acadiens et porter ce drapeau à la victoire... ». Ce livre vous invite donc à découvrir l'aventure historique du drapeau acadien, de ses origines à nos jours.

Denis Dumas, professeur au Département de philosophie de l’Université d’Ottawa, prononcera une conférence intitulée « Laïcité, droits individuels et neutralité de l’État. Les enjeux philosophiques » le jeudi 7 novembre de 16 h 30 à 18 heures au local 136 du pavillon Léopold- Taillon.

Cette conférence est organisée par le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact (GRICC) de la Faculté des arts et des sciences sociales.

Il sera question des balises philosophiques essentielles dans les débats actuels sur la laïcité et de la façon dont elles s’articulent dans le modèle du multiculturalisme canadien et de l’interculturalisme au Québec. Le conférencier examinera le débat entourant la proposition d’une Charte des valeurs québécoises.

L’École des sciences des aliments, de nutrition et d’études familiales de la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires a présenté la cohorte d’étudiantes et d’étudiants 2013-2014 admis au Baccalauréat en nutrition avec internat intégré, lors d’une cérémonie tenue récemment. Rappelons que ce programme permet aux étudiantes et aux étudiants de faire leurs stages pendant les années universitaires et ainsi d’accéder à la profession de diététiste. Soulignons également le soutien financier du Consortium national de formation en santé (CNFS) accordé par Santé Canada afin d’améliorer l’accès aux services de santé dans les collectivités de langue officielle en situation minoritaire.

FPInnovations et l’Institut de recherche sur les feuillus nordiques (IRFN) ont signé un protocole d’entente visant la création d’un cadre commun d’échange d’information et d’utilisation des ressources dans le domaine de la gestion et de l’exploitation du peuplement des feuillus.

FPInnovations et l’IRFN ont plusieurs points en commun dans le domaine de la recherche portant sur cette ressource. Le protocole d’entente a pour but de créer une relation profitable pour les deux parties en mariant l’expertise et les ressources des deux partenaires, en évitant les dédoublements et en proposant des projets de collaboration.

« Nous sommes très heureux d’avoir conclu ce protocole d’entente, a pour sa part indiqué Jacques Paul Couturier, président du conseil d’administration de l’IRFN et vice-recteur de l’Université de Moncton, campus d’Edmundston. Cet accord vient renforcer notre contribution à l’édification d’une meilleure forêt feuillue sur un plus vaste territoire. Chose certaine, ce partenariat mettra à profit l’expertise de l’École de foresterie du campus d’Edmundston et de l’IRFN vers la mise en valeur et l’exploitation de la ressource feuillue. »

« FPInnovations et l’IRFN s’engagent à travailler de pair afin de privilégier les meilleures pratiques de gestion des forêts feuillues et les meilleures stratégies d’exploitation », a indiqué Peter Lister, vice-président des forêts, de l’exploitation et des produits du bois chez FPInnovations. Le partage des connaissances et de l’expertise dans un cadre de recherche mutuelle sera très bénéfique pour les deux organismes et rentabilisera davantage le rendement dans le secteur des feuillus partout à travers l’Est canadien. »

L’Institut de recherche sur les feuillus nordiques (IRFN), situé au campus d’Edmundston, est un centre de recherche issue d’un partenariat entre quatre industriels, l’Université de Moncton, le gouvernement du Nouveau-Brunswick et le gouvernement du Canada. Il a pour mission de favoriser le développement viable de la ressource feuillue et d’appuyer, par des activités de recherche appliquée, le développement optimal de nos forêts feuillues au bénéfice des entreprises et organismes qui œuvrent à sa mise en valeur et à son exploitation.

FPInnovations est un chef de file mondial sans but lucratif qui se spécialise dans la création de solutions à vocation scientifique soutenant la compétitivité à l’échelle mondiale du secteur forestier canadien et qui répond aux besoins prioritaires de ses membres industriels et de ses partenaires gouvernementaux. Il bénéficie d’un positionnement idéal pour faire de la recherche, innover et livrer des solutions d’avant-garde qui touchent à tous les éléments de la chaîne de valeur forestière, des opérations forestières aux produits de consommation et industriels. FPInnovations compte plus de 525 personnes, incluant des laboratoires de recherche situés à Québec, Ottawa, Montréal, Thunder Bay, Hinton et Vancouver et des bureaux de transfert de technologie à travers le pays. Pour de plus amples renseignements sur FPInnovations, veuillez visiter : http://www.fpinnovations.ca.

La faible représentation des femmes dans nos médias a fait l’objet d’une table ronde, le 26 octobre dernier, au pavillon des Arts. La directrice générale du Regroupement féministe du Nouveau-Brunswick [RFNB], Sarah LeBlanc; le président de l’Association acadienne des journalistes [AAJ], Pascal Raiche-Nogue, et l’ex-directrice de Radio-Canada Acadie, Louise Imbeault, ont tenté de trouver des solutions à une situation déjà relevée dans une étude publiée en 2011 et montrant que seulement 25 % des intervenants dans la presse écrite provinciale étaient des femmes.

Parmi ces solutions énoncées lors des discussions, on retrouve la sensibilisation des journalistes et de leurs patrons au problème de sous-représentation des femmes, la création d’une banque de noms de femmes prêtes à intervenir dans les médias selon leur rôle ou expertise spécifique et le développement dans les médias d’initiatives de conciliation travail-famille afin de permettre aux reporters mères de famille de demeurer dans la profession. Le Regroupement féministe a indiqué qu’il poursuivra ses efforts dans ce sens.

La table ronde, à laquelle ont assisté une vingtaine de personnes, était organisée conjointement par le RFNB, l’AAJ et le Programme d’information-communication de l’Université de Moncton.

Julie Caissie, doctorante à la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Moncton, a obtenu une bourse de la Fondation Baxter et Alma Ricard pour participer à une formation intitulée ‘‘The Newborn Behavioral Observations system Training Workshop’’. Cette formation se déroulera au Children’s Boston Hospital, associé à la Harvard Medical School.

« Acquérir la capacité de comprendre le sens profond de ce que l’enfant cherche à exprimer à travers ses comportements, ainsi que de pouvoir accompagner les parents pas à pas dans leur participation au mieux-être de leur enfant, c’est un privilège. Merci à la Fondation Baxter et Alma Ricard de m’avoir accordé des fonds pour participer à cette formation. J’en suis très reconnaissante », affirme madame Caissie.

Mme Caissie possède le baccalauréat et la maîtrise en études familiales de l’Université de Moncton. Elle a commencé à enseigner au Département d’études familiales en 1999, d’abord à titre de chargée d’enseignement et ensuite comme professeure adjointe.
Sous la direction de la professeure Jeanne d’Arc Gaudet, sa recherche de doctorat visait à comprendre le vécu des mères chefs de familles monoparentales qui vivent en situation minoritaire et leur implication dans la réussite scolaire de leurs enfants.

« Dans cette recherche, nous avons choisi le paradigme phénoménologique et, plus particulièrement, l’approche qualitative interprétative pour comprendre les enjeux des mères chefs de familles monoparentales les plus vulnérables au Nouveau-Brunswick et leur rapport avec la réussite scolaire et éducative de leurs enfants, explique Mme Caissie. Pour ce faire, nous avons accordé la parole à deux groupes de personnes, soit des mères monoparentales et des enseignantes qui ont généreusement accepté de participer à un entretien semi-dirigé. La diversité des données recueillies nous a permis de faire une interprétation plus approfondie du phénomène à l’étude. »

Depuis 1999, la Fondation Baxter et Alma Ricard décerne des bourses à des étudiantes et étudiants canadiens vivant en milieu minoritaire francophone et qui poursuivent des études de deuxième ou troisième cycle ou encore qui entreprennent un deuxième baccalauréat. Les personnes candidates, en plus d’avoir un dossier prouvant l’excellence de leurs résultats académiques, doivent avoir démontré un sens civique et un engagement actif au sein de la communauté et recevoir l’appui de deux sources universitaires.

Florine Després, professeure retraitée de l’Université de Moncton, a célébré récemment son 100e anniversaire de naissance à la Résidence N.D.S.C. de la rue Acadie à Dieppe.

Musicienne chevronnée, Mme Després a influencé des centaines d’étudiantes et d’étudiants. Elle a d’abord enseigné la musique au couvent de Saint-Joseph et à Grand-Sault. Puis, après l’obtention d’un baccalauréat en musique, elle a continué sa carrière au Collège Notre-Dame-d’Acadie, où, sous le nom de Sœur Lucienne, elle a, avec une compagne religieuse, fondé l’école de musique NDA. Elle y a travaillé de 1949 à 1965 comme professeure de piano et responsable de la chorale. Sous sa direction, la chorale a d’ailleurs remporté à cinq reprises le trophée Lincoln, emblème canadien de l’excellence en chant choral. Elle a aussi préparé des cahiers de chants pour les élèves des écoles publiques du Nouveau-Brunswick. De 1968 à 1982, elle a enseigné tour à tour à l’École Normale puis à l’Université de Moncton. Elle y était professeure en éducation musicale pour les niveaux primaire et secondaire.

Mme Després a étudié aux universités Mount Allison, Saint-Joseph, Laval et à la prestigieuse École Vincent d’Indy à Montréal. En 1981, l’Université de Moncton lui remettait un doctorat honorifique et en 1984, l’Université Mount Allison faisait de même. D’autres reconnaissances lui ont aussi été remises.

Dans un hommage rendu à Mme Després au cours de la messe d’action de grâce à son intention, une amie de longue date disait : « Gagner cinq trophées Lincoln, recevoir deux doctorats honorifiques, avoir été élevée au rang de Chevalier au sein de l’Ordre français des arts et des lettres, avoir une salle de la Faculté des sciences de l’éducation nommée en son honneur pour souligner qu’elle à transmis à de futurs enseignants et enseignantes sa passion pour l’enseignement de la musique : non, on ne réussit pas ça si on n’est pas vraiment sel de la terre et un sel de qualité, de grande qualité. »

Si, à l’âge vénérable de 100 ans, cette femme est encore bien entourée d’amies et de connaissances qui ne l’oublient pas, c’est sans doute que tout au long de sa vie, elle a su tisser des liens d’amitié et d’entraide forts et permanents.

Le Bureau de l’enseignement coopératif (BEC) était l’hôte du colloque de l’Association canadienne de l’enseignement coopératif (ACDEC) – chapitre Atlantique, les 23 et 24 octobre. Les professionnelles et professionnels des milieux universitaires et collégiaux qui travaillent au sein des bureaux de l’enseignement coopératif dans les provinces atlantiques se sont réunis à l’Université de Moncton pour discuter de thèmes liés aux régimes coopératifs et aux stages coop.

Les conférenciers ont présenté des sujets tels la recherche dans un environnement coop et les tendances démographiques en Atlantique par rapport aux occasions de stage coop. Des discussions ont ensuite eu lieu lors d’une table ronde sur les expériences coopératives avec des employeurs de la région et des étudiantes et étudiants internationaux coop qui travaillent dans la région de Moncton.

Le comité organisateur de ce colloque a également coordonné une visite au Musée acadien en soirée, une activité fort appréciée des déléguées et délégués.

Alors que la tenue du colloque a été un franc succès, le BEC se prépare à organiser le prochain colloque d’envergure nationale de l’Association nationale de l’enseignement coopératif en 2016.

Le directeur du BEC, Claude Lavoie, remercie les membres de son personnel qui ont organisé ce colloque : Manon Cormier-Viel et Hélène Savoie, coordonnatrices coop; Conrad Melanson, coordonnateur coop; Annette M. Cormier, secrétaire administrative, et Joline Bourque, secrétaire.

Le Département de chimie et biochimie de la Faculté des sciences vous invite à une conférence du chercheur Thomas Pulinilkunnil, professeur au Département de biochimie de l’Université Dalhousie, le jeudi 7 novembre à midi au local D-002 du pavillon Rémi-Rossignol au campus de Moncton. La conférence qui sera prononcée en anglais a pour titre « Orchestra of nutrients conduct symphony of metabolism ».

L’honorable J. Ernest Drapeau, juge en chef du Nouveau-Brunswick, s'est récemment entretenu avec les étudiantes et les étudiants de la Faculté de droit au sujet des attentes des juges en ce qui concerne la plaidoirie en appel. Sa communication avait pour titre « La plaidoirie en appel : la perspective du juge ».

Afin de poursuivre les célébrations entourant l’Année internationale de la statistique en 2013, une autre conférence est proposée le jeudi 7 novembre de 14 heures à 15 h 30 dans le local D-002 du pavillon Rémi-Rossignol au campus de Moncton.

À cette occasion, Thu Pham-Gia, professeur associé et professeur émérite de l’Université de Moncton, prononcera une conférence intitulée « La distribution Gamma est-elle la seconde plus importante en statistique ? ».

Bienvenue à tous et à toutes.

Tom Sisk, directeur des affaires professionnelles de l’Association des ingénieurs et géoscientifiques du Nouveau-Brunswick (AIGNB), prononcera une conférence expliquant le processus à suivre pour devenir membre de l’Association et les contrôles imposés aux ingénieurs de l’AIGNB.

La conférence présentée en anglais avec traduction simultanée aura lieu le mardi 5 novembre de 11 h 20 à 11 h 50 dans le local 148G2 de la Faculté d’ingénierie.

L’Association des anciens, anciennes et amis de l’Université de Moncton, campus de Moncton (AAAUM), a rendu hommage à l’un de ses diplômés, Roméo Savoie, lors de sa Soirée Ovation, qui a eu lieu le 10 octobre dernier au Delta Beauséjour de Moncton.

L’artiste Roméo Savoie a reçu l’Ordre du mérite des diplômés et diplômées de l’Université de Moncton. Cette distinction honorifique souligne la contribution exceptionnelle d’un membre qui fait honneur à son université et à sa profession, que ce soit dans le domaine religieux, politique, socioéconomique, scientifique ou encore artistique.

« Roméo Savoie fait figure de proue dans le paysage culturel et artistique du Nouveau-Brunswick, a souligné le président de l’AAAUM, Stéphane Robichaud. Véritable précurseur de l’art contemporain dans la région, il a tracé la voie à plusieurs générations d’artistes. Sa contribution inestimable aux arts et à la culture fait de cet homme d'exception une source de fierté et d'inspiration. »

L’AAAUM a pour mission de favoriser la promotion, le développement et le rayonnement de l'Université de Moncton et, par le fait même, de ses diplômées, diplômés et amis.

L’Association des anciens, anciennes et amis de l’Université de Moncton, Campus de Moncton (AAAUM) invite ses membres à assister à l’Assemblée générale annuelle qui aura lieu le jeudi 21 novembre à 12 heures dans la Salle des anciens et anciennes située au local 155 du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.

Prière de confirmer votre présence au secrétariat de l’AAAUM au plus tard le
15 novembre 2013 au numéro 1-888-362-1144 ou par courriel à l’adresse aaaum@umoncton.ca.

Un goûter suivra la réunion.

Moncton sera l’hôte d’un Café scientifique à l’atrium du Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick le mardi 5 novembre à compter de 19 heures.

À cette occasion, la Société canadienne du cancer et le Centre de formation médicale du Nouveau Brunswick proposent le thème « Recommandations sur la diète, l’activité physique, le tabac, l’alcool, etc… Que doit-on prioriser ? »

Les conférenciers seront Mathieu Bélanger, professeur au Département de médecine familiale de l’Université de Sherbrooke, directeur de recherche pour le Centre de formation médicale du Nouveau Brunswick et épidémiologiste au Centre de recherche du Réseau de la santé Vitalité; Dre Linda Dalpé, médecin de famille à Caraquet; et Stéphanie Ward, diététiste et étudiante au doctorat. L’animation sera assurée par Michelina Mancusa, directrice exécutive de l’évaluation et du rendement au Conseil de la santé du Nouveau-Brunswick.

Cette rencontre est sans frais mais il faut s’inscrire en composant le 853-6901. Renseignements : Michelle St-Pierre, au 853-6901 / mstpierre@nb.cancer.ca

Professeur émérite de l’Université de Moncton, Brian T. Newbold, anciennement du Département de chimie et biochimie, est le coauteur d’une communication scientifique intitulée « A Molecular Model to Study Reaction Mechanism in the Classroom ».

Préparée en collaboration avec avec Kazumi Yamaguchi, Nao Kashimura et Yasuaki Sasamura du Tomakomai National College of Technology, à Hokkaido, au Japon, cette communication a été présentée à la cinquième International Conference on Network for Inter-Asian Chemistry Educators qui a eu lieu à la National Pingtung University, à Taïwan, du 25 au 27 juillet dernier.

Cette recherche innovatrice, le fruit d’une collaboration canada-japonaise fructueuse, décrivait l’invention d’un modèle moléculaire original pour l’étude des mécanismes de réactions fondamentales en chimie organique.

Éric Forgues, directeur de l’Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques (ICRML), a livré une présentation intitulée Agir pour assurer la vitalité de la langue occitane, quelques pistes de réflexion, à Albi en Occitanie, le 20 octobre dernier.

En Occitanie, depuis les 20 dernières années, les locuteurs naturels sont en voie de disparition imminente : la transmission familiale de l’occitan est interrompue. Cependant, on assiste à une prise de conscience par une partie significative de la population pour l’intérêt de la langue et de la culture occitane. Les collectivités commencent à mettre en œuvre des politiques linguistiques.

Malgré des contextes nationaux très différents en matière de langues minoritaires, M. Forgues a présenté quelques apprentissages découlant des expériences canadiennes des minorités linguistiques qui peuvent être pertinentes pour les acteurs occitans. Si l’objectif de ces derniers est d’accroître le nombre de locuteurs occitans, M. Forgues a rappelé l’importance de tenir compte de l’environnement social dans lequel s’élaborent les initiatives de transmission de l’occitan. Il a également invité les différents acteurs à travailler de concert afin d’élaborer et mettre en œuvre une future politique linguistique régionale.

Enfin, il a rappelé l’importance de développer des capacités de recherche sur les langues régionales, de même que l’importance d’avoir accès à des données linguistiques.

De nombreux invités représentant les politiques menées en Occitanie, Bretagne, Alsace et au Pays Basque ont également pris part à ce colloque et aux débats qu’il a suscités. Cet échange pourra servir d’amorce à de futures collaborations entre l’Institut d’études occitanes et l’Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques.

Dans le cadre des activités de son nouveau programme de Gestion du loisir, sport et tourisme, l’École de kinésiologie et de récréologie (ÉKR), en collaboration avec le Conseil étudiant de l’ÉKR, a accueilli Jean Brousseau qui a prononcé une conférence publique intitulée « Le jeu de puissance hors glace de la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ) : sa politique scolaire », le 22 octobre dernier au Ceps Louis-J. Robichaud.

Jean Brousseau est membre du conseil d’administration de l’équipe des Wildcats de Moncton de la LHJMQ depuis 18 ans et il a été le président du conseil d’administration de la LHJMQ de 2007 à 2012. Il a été le représentant de cette ligue au conseil d’administration de la Ligue canadienne de hockey (LCH) de 2002 à 2012. De plus, il possède plus de 25 ans d’expérience dans le monde des affaires, notamment dans le domaine des communications.

La communauté universitaire est invitée à assister à la conférence principale du 7e Colloque d’appui à la réussite qui aura lieu le vendredi 22 novembre 2013 à compter de 13 heures. Cette conférence sera prononcée dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton et par le biais de la vidéoconférence aux locaux PSL-600 au campus d’Edmundston, SIL309 au campus de Shippagan et U253 au site de Bathurst.

L’allocution de monsieur Antoine Baby, intitulée « Faudra-t-il envoyer l’Université au recyclage? », sera suivie d’échanges et de discussions au sujet du rôle changeant de l’université au 21e siècle.

Pour renseignements, prière de communiquer avec Sylvie Blain à l’adresse sylvie.blain@umoncton.ca ou par téléphone au numéro 506-858-4895.

Le Centre de recherche et de développement en éducation (CRDE) vous invite à assister à une causerie-midi présentée par André Doyon, professeur à la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Moncton. Intitulée « Le travail intérieur et le changement personnel : la description d’un dispositif utilisé dans la formation d’étudiants et d’étudiantes en éducation », la présentation aura lieu le mercredi 6 novembre entre midi et 13 heures au local B-047 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

La philosophie de la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Moncton s’articule autour d’une vision globale de la pédagogie que nous appelons la « Pédagogie actualisante ». Celle-ci vise, entre autres, à « actualiser le potentiel de chaque élève dans ses dimensions intrapersonnelle, interpersonnelle et sociale ». (Vers une formation professionnalisante : Cadre conceptuel de la formation initiale à l’enseignement, février 2010).

Dans cette présentation, il sera question d’un dispositif de formation développé dans le cadre d’un cours offert au premier cycle (La personne de l’enseignante et de l’enseignant) afin de favoriser la connaissance de soi comme personne, la capacité d’autocritique et de développement personnel. Ce dispositif est fondé sur une vision de la personne et des techniques empruntées à la fois à la Psychosynthèse (Roberto Assagioli, 1983) et à l’approche ÉCHO (Jean-Charles Crombez, 1994).

Pour plus de renseignements, visiter notre site web : http://www.umoncton.ca/crde/node/19.

Il sera question de la beauté et de la magie des mathématiques lors de la deuxième soirée « Mathématiques en mouvement » qui aura lieu le mercredi 6 novembre 2013 à 19 h 30 dans le local B-103 du pavillon Rémi-Rossignol du campus de Moncton.

L’activité « Mathématiques en mouvement », dont le fondateur est Donald Violette, professeur titulaire au Département de mathématiques et de statistique, consiste en des soirées de vulgarisation mathématique qui s’adresse à tous les amoureux des mathématiques et au public en général.

Les deux conférenciers seront Sébastien Lord, étudiant à la majeure en mathématiques, option coop, ainsi que le professeur Violette.

Bienvenue à toutes et à tous.

Le Festival de danse en Atlantique en collaboration avec le Service des loisirs socioculturels de l’Université de Moncton présente Danse Lhasa Danse au Théâtre Capitol de Moncton le dimanche 3 novembre. Cette création originale à la mémoire de la regrettée Lhasa de Sela réunit sept danseurs, quatre chanteurs (Karen Young, Geneviève Toupin, Alexandre Désilets et Alejandra Ribera) et cinq musiciens. Magistralement orchestré par Pierre-Paul Savoie, cet hommage est aussi bouleversant que festif. Les billets pour Danse Lhasa Danse sont en vente à la billetterie du Théâtre Capitol de Moncton au coût de 30,50 $ à 41,50 $ (frais en sus).

Le Ciné-Campus fait relâche cette semaine. Il n’y aura donc pas de représentation le jeudi 31 octobre et le vendredi 1er novembre. Les projections reprendront la semaine prochaine avec le drame La pirogue (France, Sénégal).

Tous les lundis à 19 heures, les Rendez-vous de l’ONF en Acadie proposent du grand cinéma canadien, gratuit, à l’amphithéâtre du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton. Statu Quo? Le combat inachevé du féminisme au Canada et Reverie.exe seront présentés le lundi 4 novembre à Moncton.

Il est possible de consulter la programmation de la saison 2013-2014 du Service des loisirs socioculturels à l’adresse http://www.umoncton.ca/umcm-sls/spectacles.

Les prochains spectacles à l’affiche sont Danse Lhasa Danse au Théâtre Capitol, le dimanche 3 novembre; le Wesli Band avec Oumou Soumaré au bistro Le 63, au Centre étudiant, le mercredi 13 novembre; le Mercredi d’humour au bar Le Coude, au Centre étudiant, le mercredi 20 novembre; Alexandre Désilet et Kevin McIntyre à la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois, le jeudi 21 novembre; l’Entrepôt de l’humour au bar Le Coude, au Centre étudiant, le mercredi 27 novembre; et Les chercheurs d’or au bar Le Coude, au Centre étudiant, le jeudi 28 novembre.

Pour renseignements, prière de communiquer avec Madelaine Blanchard au numéro 506-871-3638 ou à l’adresse madonews@gmail.com.

La programmation de la 27e édition du Festival international du cinéma francophone en Acadie (FICFA) a été dévoilée récemment. L’édition 2013, qui se tiendra du 14 au 22 novembre, offrira aux cinéphiles du Grand Moncton une centaine de films issus de la Francophonie internationale. Le festival visitera aussi une quinzaine de villes en Atlantique, grâce à sa Tournée. Et plus de 6000 enfants du Sud de la province prendront part au programme scolaire offert par le festival.

C’est avec le drame québécois L’autre maison de Mathieu Roy que s’ouvrira le festival le jeudi 14 novembre à 20 heures au théâtre Capitol. Toutes les séances régulières du festival seront présentées au cinéma Empire Theatres à Dieppe. La première canadienne du film belge La tendresse de Marion Hänsel, précédée de la première mondiale du court métrage Barrage de Jean-Michel Vienneau, sera présentée en clôture le vendredi 22 novembre à 20 heures au théâtre Capitol et la projection sera suivie de la remise des prix La vague.

Six films acadiens seront présentés en primeur mondiale dans la programmation régulière du festival dont le long métrage de fiction Aller-retour de Gilles Doiron, produit en collaboration avec la Fédération des jeunes francophones du Nouveau-Brunswick (FJFNB), et le documentaire d’Anika Lirette, Grand-Pré – Écho de l’UNESCO. Le public pourra aussi découvrir les courts métrages documentaires Emma fait son cinéma de Mélanie Léger et Ma radio, mon amie de Karine Godin, produit tous deux par le Studio Acadie de l’ONF dans le cadre du concours Tremplin. Le court métrage de fiction de Ginette Pellerin, Le cowboy et les sauvages, et le film Barrage réalisé par Jean-Michel Vienneau dans le cadre du projet Tourne à Québec! seront aussi présentés. De nombreuses œuvres acadiennes sont aussi proposées par le volet Arts médiatiques.

Outre les films en salle, de nombreuses activités parallèles tiendront les festivaliers en haleine. Plusieurs activités seront présentées dans le cadre du volet Arts médiatiques : ateliers, expositions en galerie, soirée de performances, etc., sans compter la 17e édition du très populaire Acadie Underground et une édition spéciale cinéma de PechaKucha.

Le jury de la 27e édition sera présidé par la cinéaste acadienne de Caraquet Renée Blanchar. Formée à l’École Nationale Supérieure des Métiers de l’Image et du Son (la FÉMIS) à Paris, elle a réalisé plusieurs documentaires et de courtes dramatiques et elle a créé la série télévisuelle Belle-Baie. Le jury court métrage du festival sera présidé par Philippe Gajan. Ingénieur d’origine bretonne, installé au Québec depuis 1994, il est aujourd’hui critique de cinéma, directeur de la revue 24 Images et responsable de la programmation court métrage au Festival du Nouveau Cinéma.

Le Festival international de cinéma francophone en Acadie (FICFA), est organisé par Film Zone Inc., un organisme sans but lucratif qui a pour mission de promouvoir et de rendre accessible le cinéma de la Francophonie internationale aux francophones et francophiles de l’Atlantique tout en faisant connaître le cinéma acadien en Acadie et dans la Francophonie.

Le Rendez-Vous de l’ONF en Acadie vous propose Statu Quo ? Le combat inachevé du féminisme au Canada, un documentaire de Karen Cho. Le documentaire sera présenté à l’amphithéâtre du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton le 4 novembre à 19 heures.

Le féminisme a façonné notre société. Mais jusqu’où nous a-t-il conduits et quelle en est la pertinence aujourd’hui? Ce film profond et percutant rend hommage aux premières féministes du pays et soulève d’importantes questions sur l’orientation et sur les méthodes à adopter à l’avenir.

Karen Cho est une fervente adepte de l’utilisation du film comme outil de changement social. Ses œuvres explorent des histoires méconnues sur l’immigration, le militantisme et la justice sociale. Dans In the Shadow of Gold Mountain, film primé réalisé avec l’ONF, elle examine les répercussions de la Loi de l’immigration chinoise et de la « taxe d’entrée ». Dans son long métrage Seeking Refuge (finaliste au prix Gemini), elle relate l’histoire de cinq demandeurs d’asile au Canada.

L’Office national du film du Canada (ONF) crée des œuvres interactives innovantes, des documentaires à caractère social ainsi que des animations d’auteur. L’ONF a réalisé plus de 13 000 productions et remporté au-delà de 5000 récompenses, dont quatre prix Écrans canadiens, sept prix Webby, douze Oscars et plus de 90 prix Génie.

Pour obtenir plus de renseignements, communiquez avec Madeleine Blanchard au (506) 871-3638 ou avec Lily Robert au (506) 283-3838. Vous pouvez aussi vous rendre sur le site Internet de l’ONF : http://www.ONF.ca

L’entrée est libre.

Le Service de l’activité physique et sportive du campus de Moncton a sélectionné les coureurs Jessica Leroux, de Poitiers, en France, et Jérémie Pellerin, de Cocagne, comme athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed pour la période du 21 au 27 octobre à l’Université de Moncton.

Jessica Leroux a terminé 13e au Championnat de cross-country de Sport universitaire de l'Atlantique Subway tenu à Moncton, samedi. Elle a obtenu le meilleur classement pour les Aigles Bleues depuis quelques années sur un parcours de 6 km. Elle participera au Championnat de Sport interuniversitaire canadien à London, en Ontario, le samedi 9 novembre. Elle est étudiante au Baccalauréat en travail social.

Jérémie Pellerin a pour sa part pris le 9e rang chez les hommes au Championnat de cross-country de Sport universitaire de l'Atlantique Subway tenu à Moncton, samedi. Malgré une blessure, il a réussi à maintenir le rythme et à s’imposer tout au long de la course de 10 km. Il sera également du Championnat de Sport interuniversitaire canadien à London, en Ontario, le samedi 9 novembre. Il est étudiant au Baccalauréat en administration des affaires avec concentration en comptabilité.