Le Programme d’information-communication de l’Université de Moncton a obtenu la première certification internationale du Réseau Théophraste en Amérique. Il s’agit d’un réseau institutionnel qui est membre de l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF) et qui regroupe 20 centres francophones de formation en journalisme provenant de 13 pays d’Europe et d’Afrique et du Canada.

L’Université de Moncton a donc profité de la visite au Campus de Moncton du recteur de l’Agence universitaire de la Francophonie, Bernard Cerquiglini, pour souligner l’obtention de cette prestigieuse reconnaissance. « C’est un grand jour à la fois pour le Programme d’information-communication, pour la Faculté des arts et des sciences sociales et pour l’Université de Moncton dans son ensemble, a souligné le recteur et vice-chancelier de l’Université de Moncton, Yvon Fontaine. Cette reconnaissance internationale témoigne de la qualité de la formation offerte en information-communication, une reconnaissance qui donnera une valeur ajoutée au diplôme que recevront les étudiants et étudiantes et qui contribuera au rayonnement de l’Université de Moncton à l’échelle internationale. » Mentionnons également qu'il n'y a que cinq programmes de formation au journalisme qui ont reçu leur certification internationale dont celui de l’Université de Moncton.

Le Réseau Théophraste contribue notamment au développement de la pédagogie de l'enseignement du journalisme, à la réflexion sur les pratiques du journalisme et sur sa dimension éthique, en plus de favoriser coopération et échange de ressources humaines et documentaires en matière d'enseignement, de pédagogie et de recherche en journalisme. L’Université de Moncton en est l’un des membres fondateurs. Il s’agit d’un des 12 réseaux institutionnels travaillant en concertation avec l’Agence universitaire de la Francophonie dont le président est le recteur de l’Université de Moncton, Yvon Fontaine.

Le Programme d’information-communication existe depuis 28 ans et a formé quelques centaines de journalistes et relationnistes qui travaillent tant en Acadie qu’au pays et à l’international. En journalisme, le programme offre des cours théoriques et pratiques touchant la presse écrite, la radio et la télévision. Outre des studios de télévision et de radio, ainsi que des expériences dans des médias universitaires et communautaires, le programme offrira bientôt un site Internet où les étudiantes et étudiants pourront pratiquer le cyberjournalisme.

Selon la professeure responsable du dossier Théophraste, Marie-Linda Lord, la certification du Réseau confirme la pertinence du curriculum offert par le Programme d’information-communication de l’Université de Moncton, la qualité de son corps professoral, ainsi que l’adéquation de son enseignement avec les besoins des médias canadiens et internationaux qui recrutent ses jeunes diplômés.

L’assemblée générale annuelle et le colloque scientifique international 2011 du Réseau Théophraste auront lieu à l’Université de Moncton, du 5 au 9 mai.

Bernard Richard, ombudsman et défenseur des enfants et de la jeunesse, sera l’hôte d’un symposium international portant sur les droits de l’enfant en Francophonie, du 21 au 23 octobre au Campus de Moncton. Intitulé « Petits d’Hommes : un symposium international sur les droits de l’enfant », il est organisé en partenariat avec l’Université de Moncton et la Fédération des jeunes francophones du Nouveau-Brunswick dans le cadre de la Stratégie jeunesse du Nouveau-Brunswick. « Petits d’Hommes » sera une occasion importante pour la jeunesse francophone de dialoguer avec les différents acteurs institutionnels à travers la Francophonie responsables de la promotion et de la défense de leurs droits. Ce sera aussi l’occasion pour ces acteurs institutionnels, dont certains se spécialisent dans la défense de droits particuliers, de se réunir afin de mieux cibler et de parfaire la protection des droits de l’enfant dans la Francophonie.

Le symposium est ouvert à tous sauf que les places sont limitées. Les personnes intéressées peuvent trouver le formulaire en ligne à l'adresse : http://www.gnb.ca/0073/Symposium/index-f.asp ou encore communiquer avec Christian Whalen, du Bureau de l’Ombudsman & Défenseur des enfants et de la jeunesse, au numéro 506-444-4795 ou par courriel à :christian.r.whalen@gnb.ca.

L’Association des anciens, anciennes et amis de l’Université de Moncton, Campus de Moncton (AAAUM) inaugure sa nouvelle série de conférences L'Acadie 2020 en accueillant Adam Gopnik, éminent journaliste depuis près de 25 ans au prestigieux magazine américain The New Yorker, le samedi 30 octobre à 13 heures dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois au Campus de Moncton de l’Université de Moncton.

M. Gopnik, ancien résident de Montréal, est également essayiste, critique et auteur à succès de trois ouvrages dont De Paris à la lune. Il sera interviewé par une autre personnalité bien connue, le journaliste acadien Michel Cormier, actuel correspondant de la télévision de Radio-Canada et de la CBC à Pékin.

Ces deux observateurs assidus de l’actualité discuteront d’Internet et de son impact sur notre monde. C’est à partir de cette thématique que seront explorées les nouvelles possibilités de dialogue et d’échanges globaux entre les communautés vivant en périphérie et les grands centres urbains. Plus particulièrement, comprendre la façon dont le phénomène d’Internet modifie la relation de l’Acadie avec le monde pour lui permettre de prendre part activement aux échanges globaux.

« Nous sommes très heureux de présenter cette série de conférences en accueillant pour la première des personnalités comme Adam Gopnik et Michel Cormier, mentionne la présidente de l’AAAUM, Marie-France Doucet. Grâce à cette nouvelle initiative, nous souhaitons offrir une tribune qui incitera des échanges et alimentera la réflexion sur l’Acadie contemporaine et celle en devenir. »

Selon Mario Thériault, président du comité organisateur des conférences L’Acadie 2020, le succès de la conférence L’Acadie vue d’ailleurs organisée pendant l’été 2009 dans le cadre du Congrès mondial acadien a convaincu l’Association de la pertinence et de l’intérêt des gens pour une telle activité.

« Que sera l’Acadie dans dix ans?, dit-il. Comment les différents phénomènes mondiaux, les grands enjeux de la planète vont-ils façonner notre développement? Il est important de pouvoir situer l’Acadie dans un contexte plus global. En invitant chez nous de grands conférenciers, de grands penseurs de renommée internationale, l’AAAUM veut contribuer à l’actualisation du discours en allant puiser de nouvelles idées. Cela fait partie de notre mandat de participer au rayonnement de l’Université de Moncton et cette série de conférences nous permet d’atteindre cet objectif. »

L’entrée est libre mais les personnes intéressées à assister à cette conférence doivent réserver leur place avant le 22 octobre auprès du secrétariat des Anciens et amis de l’Université de Moncton, au 506-858-4130 ou 1-888-362-1144 ou par courriel à l’adresse aaaum@umoncton.ca.

L’AAAUM a comme mission de favoriser la promotion, le développement et le rayonnement de l'Université de Moncton et par le fait même, de ses anciens, anciennes et amis. Elle s'engage également à participer activement au bien-être des collectivités dans lesquelles elle évolue.

Adam Gopnik
Journaliste au prestigieux magazine américain The New Yorker depuis 1986, Adam Gopnik est né en 1956 à Philadelphie mais il a grandi à Montréal. Il a obtenu le baccalauréat en histoire de l’art de l’Université McGill. Il a par la suite complété des études de maîtrise à la New York University Institute of Fine Arts.

Après avoir été critique d’art de 1987 à 1995 au New Yorker, Adam Gopnik débarque en 1995 à Paris avec toute sa petite famille. Sa raison : voir grandir son fils loin de New York et de sa culture avant son entrée à l'école. Pendant cinq ans, il signera dans l’hebdomadaire new-yorkais une chronique intitulée Paris Journal dans laquelle il relate des anecdotes de la vie quotidienne à Paris. Ses essais ont par la suite été rassemblés et publiés par Random House sous le titre De Paris à la lune. Ce livre a été un best-seller du New York Times.

Il est également l’auteur de Through the Children's Gate: A Home in New York et de Angels and Ages: A Short Book About Darwin, Lincoln, and Modern Life paru en 2009.

Orateur remarquable, Adam Gopnik a prononcé des conférences dans la plupart des grandes villes américaines. Il a reçu plusieurs distinctions prestigieuses dont trois National Magazine Awards pour ses essais et ses critiques et le George Polk Award pour ses reportages magazines. Il a collaboré à l’Encyclopædia Britannica en signant un article sur la culture des États-Unis.

Michel Cormier
Michel Cormier est correspondant pour la télévision de Radio-Canada et la CBC en Chine. Auparavant, il a été correspondant à Paris et à Moscou. Il a notamment couvert la guerre en Afghanistan, la mort de Jean-Paul II, celle de Yassert Arafat et le tremblement de terre en Chine. Il a interviewé Vladimir Poutine, Hamid Karzai et Bénazir Bhutto quelques semaines avant sa mort.

Avant d’être posté à l’étranger, Michel Cormier a été chef de bureau de Radio-Canada à la colline parlementaire à Québec, correspondant du Point et de l’émission Sunday Morning, de la radio de CBC à Ottawa, et journaliste à Radio-Canada Atlantique où il a commencé sa carrière.

Il a remporté les prix Anick et Judith-Jasmin. Sa couverture du renversement d’Edouard Shevardnadze en Géorgie lui a valu une mention au prix Gemini. Il a publié une biographie de Richard Hatfield avec Achille Michaud et une biographie de Louis Robichaud pour laquelle il a reçu le prix France-Acadie.

Son dernier livre, La Russie des illusions lui a valu d’être finaliste pour le prix du Gouverneur général.

Il possède le baccalauréat en journalisme de l’Université Carleton et une maîtrise en science politique de l’Université Laval. Il a été le premier invité de la Chaire de journalisme Roméo-LeBlanc de l’Université de Moncton.

Il passe ses étés au Cap-de-Cocagne.

Renseignements :Jeanne Farrah, directrice
506-858-4130
jeanne.farrah@umoncton.ca

Me André Richard, c.r. du cabinet Stewart McKelvey, a été élu à la présidence du Conseil des gouverneurs pour un mandat ordinaire de trois ans.

Me Richard a d’abord joint le Conseil en septembre 1998 jusqu’en septembre 2001. En 2005, il revient au Conseil à titre de représentant du Sud-est. Il a siégé à chaque comité du Conseil : Comité exécutif (2000-2001) et (2009-2010); Comité de gouvernance (2005-2010); Comité de vérification (2005-2009); Comité conjoint de la planification (2000-2001); Comité consultatif sur le développement (2000-2001); et le Comité de placement (2006-2010) dont il a assumé la présidence de 2007 à cette année.

Le nouveau Président s’est dit heureux de la confiance manifestée par le Conseil à son égard. « J’apprécie énormément le rôle que joue l’Université dans ses régions, a-t-il déclaré. Je travaillerai à assurer que notre université demeure pertinente dans l’Acadie moderne, concurrentielle et ouverte sur le monde, le tout dans le respect de sa mission première comme institution exclusivement de langue française. »

Les autres membres élus au comité exécutif sont, à la vice-présidence, Pauline Roy (Nord-est); Louis Léger (Sud-est); et Hermel Landry (anciens-Edmundston).

Plusieurs nouveaux membres se sont ajoutés au Conseil des gouverneurs pour un premier mandat se terminant en 2013 lors de sa réunion tenue au Campus d’Edmundston en fin de semaine. Il s’agit d’Alain Bossé (Nord-ouest); Me Danys Delaquis (extérieur des régions); Alvery (Bill) Ferguson (extérieur des régions) et Dr Jean Soucie (Nord-ouest). Le mandat des membres Léandre Cormier (Sud-est) et Ivan Robichaud (Nord-est) a été renouvelé jusqu’en 2013.

Deux nouveaux représentants du personnel enseignant ont également joint le Conseil, soit Michel Cardin (Moncton) et Luc Vigneault (Edmundston). Les représentants étudiants sont Katherine Gravel (Shippagan); Ghislain LeBlanc (Moncton); et Zoé Lessard-Couturier (Edmundston).

L’Université a également souligné le départ du Dr Jeannot Castonguay comme président du Conseil des gouverneurs. Élu une première fois au Conseil en 1997, le Dr Castonguay en est devenu le président en 2004. Le Recteur Fontaine a notamment tenu à souligner sa grande expérience et sa disponibilité. « Toujours prêt à donner de judicieux conseils, le Dr Castonguay a su s’acquitter de son rôle avec beaucoup de doigté. »

Le Recteur a également tenu à mentionner la grande contribution des membres Pauline Banville-Pérusse (Nord-ouest), qui a siégé de 2001 à 2010 et occupé le poste de vice-présidente de 2007 à 2010; et Gaston Poitras (extérieur des régions) qui avait joint le Conseil en 2001.

Le Conseil des gouverneurs a approuvé une nouvelle politique pour un milieu de travail et d’études respectueux. De plus, il a donné son aval aux objectifs triennaux de l’Université de Moncton pour les années 2010 à 2013.

M. Fontaine a indiqué que les éléments de développement du plan stratégique reposent sur cinq axes : la population étudiante, les programmes d’étude, les relations universitaires, l’administration universitaire et les projets d’infrastructure.

« Les étudiants et les étudiantes sont la pierre angulaire de notre institution, dit-il. Nous avons maintenant un programme d’appui à la réussite dont nous sommes très fiers puisqu’il met à leur disposition des ressources pour mieux surmonter les défis reliés au succès de leurs études. » Le Recteur mentionne aussi que l’objectif d’atteindre encore cette année un taux d’inscription d’environ 5 000 étudiantes et étudiants à temps complet a été atteint.

Enfin, le Conseil a approuvé le rapport financier annuel pour l’exercice ayant pris fin le 30 avril 2009. Les revenus totaux de l’Université ont atteint 137,7 millions de dollars au cours de la dernière année alors que les dépenses se chiffraient à un peu plus de 136,7 millions de dollars.

Le Rapport financier 2009-2010, les Objectifs triennaux 2010-2013 et la Politique pour un milieu de travail et d’études respectueux seront disponibles sous peu sur le site Internet de l’Université, à www.umoncton.ca.

L’ancien lieutenant-gouverneur du Nouveau-Brunswick, Herménégilde Chiasson, vient d’être nommé membre de la Société royale du Canada (SRC) pour ses réalisations dans le domaine des arts.

La candidature de M. Chiasson a été présentée conjointement par l’Université de Moncton d’où il a obtenu le baccalauréat ès arts, et Mount Allison University d’où il possède un diplôme en beaux-arts. Il est actuellement artiste en résidence auprès des deux institutions et chacune lui a décerné un doctorat honorifique.

« L’Université de Moncton est très heureuse de ce qu’a accompli M. Chiasson, de dire son recteur et vice-chancelier, Yvon Fontaine. Nous sommes chanceux, tout comme Mount Allison, de compter sur sa présence et sa collaboration à bien des niveaux. »

Christl Verduyn, professeure à Mount Allison, membre et présidente sortante de l’Académie des arts et des lettres de la Société royale, est emballée par la nouvelle.

« Herménégilde Chiasson apporte à l’Académie des arts et des lettres ses nombreuses réalisations en écriture dont des recueils de poésie, des pièces de théâtre, des films, ainsi qu’en arts visuels. Ce sont ces réalisations, tout comme son rôle comme lieutenant-gouverneur du Nouveau-Brunswick, qui ont contribué à faire connaître la culture acadienne sur la scène nationale et internationale. »

M. Chiasson est considéré comme l’un des plus importants représentants de l’Acadie moderne. Personnage important dans le domaine des arts et de la culture, il est l’auteur de plus de 25 livres et 30 pièces de théâtre et il a réalisé plus de 15 films. À titre d’artiste visuel (peintre, graveur et photographe), il a produit 40 expositions en solo et a participé à plus de 100 expositions de groupe.

La Société royale du Canada est le principal organisme regroupant d’éminents scientifiques, chercheurs et gens de lettres au Canada. Considérée comme l’académie nationale du Canada, la SRC a pour objectif premier de promouvoir l’acquisition du savoir et la recherche en arts et en sciences. Elle est composée de près de 2 000 membres, hommes et femmes, choisis par leurs pairs pour leurs réalisations exceptionnelles en sciences naturelles, en sciences sociales, en sciences humaines et en arts.

En qualité d’académie nationale du Canada, la SRC s’attache à souligner l’excellence, à conseiller les gouvernements et les organisations ainsi qu’à promouvoir la culture canadienne.

L’Université de Moncton verse la somme de 125 000 $ pour la mise sur pied d’un Campus numérique francophone (CNF) en Haïti, dans le cadre du réseau des CNF de l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF).

Le recteur et vice-chancelier, Yvon Fontaine, en a fait l’annonce le 16 septembre lors d’une conférence de presse en présence du recteur de l’Agence universitaire de la Francophonie, Bernard Cerquiglini, en visite au Campus de Moncton.

L’annonce de cette contribution s’inscrit dans le cadre des efforts de l’Université de Moncton de participer à la reconstruction de ce pays qui a été dévasté par un violent séisme en janvier dernier. « Ce don de l’Université de Moncton permettra d’offrir à la fois des outils et des ressources pédagogiques, mentionne M. Fontaine. Nous sommes solidaires avec le peuple haïtien. Comme l’a démontré le partenariat Acadie-Haïti, l’Acadie toute entière est solidaire avec le peuple haïtien. Ce geste est notre façon d’exprimer encore une fois notre solidarité, comme nous l’avons fait auprès de nos étudiants et étudiantes d’Haïti à la suite du séisme de janvier. »

Les Campus numériques francophones
Les Campus numériques francophones (CNF) ont été créés par l’Agence universitaire de la Francophonie afin de promouvoir et de développer les technologies de l’information et des communications dans les universités du Sud, dans le but ultime de rendre l’activité universitaire, scientifique et académique plus accessible de par le monde.

On y retrouve des salles de classes où la clientèle étudiante et professionnelle peut y suivre des formations à distance et des ressources pour le personnel enseignant. Il s’agit de centres d’accès à l’information permettant la consultation à prix subventionné des grandes bases de données internationales et la commande de documents primaires, d’articles scientifiques (le tout en ligne), ainsi que l’accès à une documentation physique.

Le campus numérique offre également du matériel de vidéoconférence et de téléphonie permettant d’organiser des conférences, des cours ou encore des soutenances de mémoire.

Le rôle des Campus numériques francophones
Les Campus numériques francophones offrent bien plus qu’un ensemble de ressources techniques. Il s’agit d’un partage de savoir et de savoir-faire dans l’esprit associatif qui guide l’AUF depuis sa création en 1961.

Par la mise en réseau de tous les CNF, l’AUF propose aux établissements membres un puissant outil de partage et de capitalisation des expériences, facilitant la structuration de l’offre pédagogique et scientifique, les échanges et la mise en œuvre de projets répartis. Le réseau des CNF est ainsi à la fois un réseau humain de compétences, un réseau physique d’implantations adaptées au milieu universitaire, un réseau électronique d’échanges pour des services diversifiés, un réseau de partenaires qui œuvrent dans la même direction et un réseau de projets opérationnels et innovants qui s’appuient les uns sur les autres dans le cadre de la politique générale de l’AUF.

Le lieu et les détails entourant le projet de Campus numérique francophone en Haïti parrainé par l’Université de Moncton restent encore à préciser.

Pour obtenir de plus amples renseignements sur les projets de l’Agence universitaire de la Francophonie, notamment les campus numériques, visitez le site Web ci-dessous.

Dans le cadre des midis-politiques organisés par le Département de science politique, la communauté universitaire est invitée à assister à une conférence publique prononcée par Claire Brisset, médiatrice de la ville de Paris, experte auprès de l'Organisation internationale de la Francophonie et administratrice de la Mission laïque française, intitulée « La définition contemporaine des droits de la personne et la place de ces droits dans nos démocraties », le mardi 12 octobre à 12 h 30 dans le local 436 du pavillon Léopold-Taillon au Campus de Moncton.

Toujours dans le cadre de ces midis-politiques, la communauté universitaire est également invitée à assister à une conférence publique prononcée par le romancier et traducteur franco-ontarien Daniel Poliquin, auteur d’une biographie remarquée sur René Lévesque (Boréal, 2009), intitulée « Le souvenir pâlissant de René Lévesque » le jeudi 14 octobre à midi dans le local 214 de l’édifice des arts.

Cette conférence est organisée en collaboration avec le Centre Métropolis Atlantique.

Renseignements : Jean-François Thibault, au 858-4902.

Après une série de spectacles à Moscou où il y faisait la promotion de son album Microphonium, le chanteur Bruno Pelletier fera un arrêt à Moncton, le samedi 9 octobre à 20 heures au Théâtre Capitol.

Après une performance des plus époustouflantes l’année dernière, il revient dans la région afin d’émouvoir son public à nouveau.

Une feuille de route impressionnante
Originaire de Charlesbourg, en banlieue de Québec, Bruno Pelletier aurait tout aussi bien pu opter pour une carrière dans le sport. Cependant sa passion pour la musique aura pris le dessus.

Dans les années 1980, il arpente le circuit des bars apprend les rudiments du métier d’artiste à titre de chanteur dans différentes formations rock. Au début des années 1990, il a enfin son premier contrat de disque et lance un premier album éponyme. Il se voit ensuite offrir des rôles dans différentes revues musicales et opéras rock telles que La légende de Jimmy, de Luc Plamondon.

Malgré le succès modeste de ce spectacle, le talent de Bruno Pelletier impressionne. M. Plamondon lui offrira le rôle de Johnny Rockfort dans une nouvelle mouture parisienne de Starmania, rôle qu’il interprétera pendant deux ans, soit plus de 400 fois. Il en profitera également pour travailler sur son deuxième album, Défaire l’amour.

C’est toutefois l’album Miserere sorti en 1997 qui le hissera au sommet des palmarès avec plus de 250 000 exemplaires vendus. Ses efforts seront récompensés au Gala de l’ADISQ en 1998 où il obtient le prix Félix Artiste masculin de l'année. 1998 et 1999 seront les années Notre-Dame de Paris. Le spectacle dans lequel Bruno incarne le poète Gringoire est un véritable triomphe. Le titre Le temps des cathédrales, qu'il interprète brillamment, lui permet de se hisser au sommet des palmarès et de se faire connaître dans toute la francophonie.

En 1999, le quatrième album studio D'autres rives est simultanément lancé en Europe et au Québec. Cette sortie sera appuyée par une imposante tournée qui lui permettra de se produire pour la toute première fois en tant qu'artiste solo sur plusieurs scènes prestigieuses d'Europe dont l'Olympia de Paris, La Cigale et Le Bataclan. Il lance en 2002, Un monde à l'envers. En 2004, on lui propose le rôle-titre du spectacle musical Dracula -Entre l'amour et la mort. Le spectacle, présenté pour la toute première fois en 2006, est un franc succès et l'impose comme une figure incontournable de ce genre au Québec.

En 2009, il nous revient avec Microphonium, première réalisation de matériel original en six ans. Cette même année aura aussi été marquée par le passage triomphal de l'artiste au mythique théâtre Estrade de Moscou. Ce passage fort remarqué en Russie lui vaudra de retourner chez nos amis de l'Est prochainement. Il a offert quelques spectacles en Ukraine en mai 2010 et jouera quelques dates à Moscou quelques jours avant de revenir à Moncton.

En 2011 l'artiste mettra entre parenthèse sa carrière solo le temps d'endosser le rôle de Napoléon dans le très attendu opéra-folk, Les filles de Caleb. Avec la vente de plus de deux millions d'unités dans la francophonie, Bruno Pelletier, triple récipiendaire du prix Félix Interprète masculin de l'année, compte, sans conteste parmi les artistes les plus marquants de sa génération.

Les billets sont en vente dans le réseau de billetterie du Grand Moncton, 25 $ pour les étudiants et 30 $ pour les autres personnes (frais de service en sus). C’est une présentation du Service des loisirs socioculturels de l’Université de Moncton.

Renseignements : 858-4554
Programmation 2010-2011 du Service des loisirs socioculturels de l’U de M

La maison d'édition Renforth Music a annoncé la publication d'un motet de Richard Gibson, professeur au Département de musique du Campus de Moncton de l’Université de Moncton, pour choeur à six parties sans accompagnement, intitulée « Beatus Vir ».

La pièce a été composée en 1987 pour rendre hommage à la vie du père Clément Cormier et le texte, un extrait du livre de l'Ecclésiastique, nous encourage à valoriser la recherche de la sagesse.

Écrit dans un style qui fait appel à la musique polyphonique du 16e siècle, l'oeuvre a remporté le premier prix de la Fédération canadienne des enseignants de la musique en 1991.

Grâce à une subvention du Conseil des arts du Nouveau-Brunswick et du recteur de l’Université de Moncton, Yvon Fontaine, le Département d’études françaises accueille Fredric Gary Comeau comme écrivain en résidence jusqu’au 21 décembre prochain.

Comme le précise son site officiel, Fredric Gary Comeau est né aux abords de la Baie de Népisiguit, en Acadie. À l'âge de sept ans, il reçoit sa première guitare et sa première machine à écrire. Il sait déjà que sa vie sera consacrée à la création.

Après avoir écrit d'innombrables textes de chansons tout au long de son enfance, M. Comeau devient le guitariste et parolier du groupe The Informed à 17 ans. C'est à la fin de cette aventure qu'il décide de chanter ses propres compositions. Alors qu'il est étudiant à St. Thomas University de Fredericton entre 1989 et 1990, il se consacre de plus en plus à la poésie et son premier recueil de poèmes, Stratagèmes de mon impatience, est publié par Perce-Neige en 1991.

Pendant cette même période, il apprend les techniques de la peinture acrylique dans l'atelier du peintre Guy Duguay à Moncton, où il côtoie les poètes Gérald Leblanc, Raymond Guy Leblanc et Herménégilde Chiasson.

Au cours de 2004, il exposera ses peintures à Montréal, Québec, Sherbrooke et Rimouski. Il publiera dix recueils de poèmes tout au long de sa carrière dont Intouchable (1992), dédié à sa mère décédée d'un cancer du sein, Ravages (1994), finaliste au Prix Émile-Nelligan, Trajets (1996), Routes (1997), Fuites (2000), Vagues/Oleajes (2004) publié au Canada et au Mexique, Naufrages (2005), Aubes (2007) et Vérités (2009).

En 1997, après avoir donné plusieurs concerts en solo à Halifax et y avoir travaillé comme auteur à une fiction radiophonique diffusée à Radio-Canada, M. Comeau file vers Montréal et fonde la Galerie Outremer avec son ami, le photographe Martin Ravary.

L'année 1998 est surtout consacrée au documentaire Comeau 98 Non-Stop, réalisé par Martin Ravary. Pendant le tournage, M. Comeau se rend notamment à Halifax, Moncton, Québec, New York, Paris et Istanbul. Depuis son adolescence, il rêve de voyages. Cette piqûre de l'aventure le mènera aux quatre coins du monde, notamment en France, en Espagne, en Argentine, en Hongrie, au Mexique, à Cuba, en Italie, en Angleterre, en Slovaquie, en Roumanie et au Costa Rica.

Artiste multidisciplinaire, Fredric Gary Comeau est d’abord connu comme auteur-compositeur-interprète. Il lance ses premiers albums, Another Broken Lullaby et Hungry Ghosts, respectivement en février 1999 et septembre 2002. En 2006, il signe avec Tacca Musique son troisième album, Ève Rêve, qui sera en nomination au Gala de l’ADISQ.

L'année 2007 est surtout consacrée à la tournée d'Ève Rêve. Il est notamment invité aux Déferlantes Francophones de Cap-Breton en France et aux FrancoFolies de Montréal. En 2009, il retourne en studio et enregistre son quatrième album, Effeuiller les vertiges, sous la réalisation de François Lalonde et avec la participation d'Ariane Moffatt qui signe la musique de la chanson « Nos tremblements ».

Avec Effeuiller les vertige, Comeau offre un album qui peut être qualifié à la fois d’œuvre de maturité et de liberté, toujours empreint de la sensualité qu'on lui connaît. Ce disque vacille entre une énergie plus rock et des chansons envoutantes et intimistes. » (www.fredricgarycomeau.com).

Le Département d’études françaises est donc privilégié de compter sur la présence de cet artiste prolifique à l’écriture polyvalente, dont le charisme et la visibilité présentent un attrait indéniable pour tous.

M. Comeau recevra les étudiants et les professeurs qui désirent le rencontrer tous les mercredis de 14 heures à 16 heures ou sur rendez-vous dans le local 129 de l’édifice des arts. On peut le joindre le mercredi après-midi au numéro 858-4592.

Tous les étudiants et étudiantes du Campus de Moncton qui s’intéressent à la création littéraire, aux arts du spectacle, à la musique et aux arts visuels sont invités à prendre contact avec lui.
Diverses activités et rencontres sont prévues avec les étudiants et seront annoncées au cours du semestre.

Bernard Cerquiglini, recteur de l’Agence universitaire de la francophonie et professeur de linguistique à l’Université Paris 7, a prononcé une conférence, intitulée « Les États-Unis d’Amérique, grand pays francophone », lors de son passage au Campus de Moncton de l’Université de Moncton. Attaché au maintien de la francophonie dans les Amériques, M. Cerquiglini a été professeur titulaire à l’Université d’État de la Louisiane où il a dirigé le Centre d’études françaises et francophones. Il a également été directeur de l’Institut national de la langue française, vice-président du Conseil supérieur de la langue française, délégué général à la langue française et aux langues de France et président de l’Observatoire national de la lecture. Le gouvernement français l’a également chargé d’une mission sur la réforme de l’orthographe, d’un rapport sur la féminisation des noms de métier et d’une mission sur les langues régionales en France. Il est l'auteur d'une dizaine d'ouvrages universitaires consacrés à la langue française.

-30-

Jusqu’au 29 octobre, Dominik Robichaud, de Dieppe, diplômée au baccalauréat en arts visuels de l’Université de Moncton, présente une exposition, intitulée « La vie est belle », à la Galerie d’art du Théâtre Capitol, situé au 811, rue Main à Moncton.

Dominik est une artiste émergente. Depuis la fin de ses études à l’Université de Moncton en 2008, elle se consacre à la recherche artistique et à l’enseignement des arts plastiques aux jeunes, aidant ainsi à former la prochaine génération d’artistes.

« Je consacre mon temps et mes expositions au niveau régional afin de promouvoir les arts visuels ici, dit-elle. Étant donné que Moncton n’a pas la vie culturelle que l’on retrouve dans les grands centres à cause de sa taille, j’ai toujours ressenti le besoin d’offrir mon œuvre à ma communauté. Je pense que les choses bougent beaucoup à Moncton et que les gens s’intéressent davantage aux arts. J’aimerais bien pouvoir faire carrière dans la région. »

Mentionnons également que Dominik est la bénéficiaire d’une bourse de création du Conseil des arts du Nouveau-Brunswick.
L’entrée est libre.

L’Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques, en partenariat avec l’Institut canadien de recherche en politiques et administration publiques, le gouvernement du Nouveau-Brunswick (Secrétariat de la croissance démographique et Société de développement régional) et le Réseau de développement économique et d’employabilité du Nouveau-Brunswick, a organisé un colloque au Campus de Moncton de l’Université de Moncton qui a réuni des chercheurs de disciplines variées s’intéressant aux phénomènes migratoires des communautés acadiennes et francophones au Nouveau-Brunswick et ailleurs au Canada. Reconnaissant l’importance cruciale de la démographie et de la migration à l’épanouissement des communautés acadiennes et francophones au Canada, et plus particulièrement au Nouveau-Brunswick, les conférenciers ont présenté différents éléments liés aux enjeux de la migration pour ces communautés, tels que la situation démolinguistique, la migration des jeunes, la diversité ethnoculturelle, le marché du travail et l’exode rural. Ce colloque de l’ICRML a été un succès et près de 60 personnes y ont assisté. Le site Web de l’Institut diffusera les présentations des conférenciers et des conférencières.

Le professeur Greg Allain, du Département de sociologie du Campus de Moncton, a présenté une communication avec le professeur Guy Chiasson, de l’Université du Québec en Outaouais, au Colloque international portant sur « Langue et territoire », qui a eu lieu à l’Université Laurentienne.

La communication avait pour titre « La participation francophone à la gouvernance du secteur culturel à Moncton et Ottawa-Gatineau : vers de nouveaux territoires? » Il s’agit d’une première comparaison extérieure avec les résultats des travaux antérieurs des deux chercheurs sur la participation des Acadiens à la gouvernance du développement économique et culturel à Moncton.

Les deux chercheurs travaillent présentement à une deuxième comparaison autour de la même thématique qui impliquera cette fois la minorité franco-ontarienne de Sudbury.

Le Consulat général de France dans les provinces atlantiques et la Société Nationale de l’Acadie (SNA) décernent cette année deux bourses d’études d’une valeur totale de 10 000 euros (environ 13 200 $) à des étudiants d’exception.

Claire Johnson : attribution d’une bourse de 5000 euros
Claire Johnson, de Dalhousie, diététiste et étudiante à la maîtrise en administration publique de l’Université de Moncton, étudiera les particularités de la diète méditerranéenne et ses bienfaits sur la santé alors qu’elle terminera sa formation à l’Université de Poitiers. En outre, elle souhaite approfondir ses connaissances sur la fonction publique française.

Après ses études, elle compte revenir en Acadie et oeuvrer dans le domaine de la gestion des soins de santé.

Jason Alcorn : attribution d’une bourse de 5000 euros
Jason Alcorn, de Moncton, a été admis au Barreau du Nouveau-Brunswick en 2006 après de brillantes études de droit. Actuellement conseiller juridique à la Commission des valeurs mobilières du Nouveau-Brunswick, il passera une année à Strasbourg dans la prestigieuse École nationale d'administration qui forme l’élite administrative française depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Après l’obtention du diplôme international d’administration publique, mention cycle international court, M. Alcorn compte effectuer le Master en administration publique de l’ÉNA, programme de haut niveau reconnu sur le plan international, pour ensuite consacrer sa carrière à l’avancement de la société acadienne.

Dans le cadre de l’entente France-Acadie, le Consulat général de France et la SNA attribuent chaque année des bourses d’études à des étudiants originaires des provinces atlantiques souhaitant poursuivre leur parcours universitaire en France. Encore cette année, Assomption Vie a fait une contribution de 1000 $ aux bourses France-Acadie.

Pour Françoise Enguehard, présidente de la SNA, et Gilles Courrègelongue, consul général de France dans les provinces atlantiques, ces bourses permettent aux bénéficiaires de parfaire leurs connaissances, d’acquérir une expérience enrichissante et de faire la promotion de l’Acadie en France et de la France en Acadie.

Rappelons que deux fonds de financement sont gérés conjointement par la SNA et le Consulat général de France : les Bourses France-Acadie (mobilité universitaire) et le Fonds France-Acadie (coopération culturelle et artistique).

Tous les programmes de financement du Consulat général de France ainsi que le descriptif des projets ayant été soutenus sont détaillés sur le courriel ci-dessous.

Renseignements : 506-853-4259 monique.losier@snacadie.org

L’Université de Moncton sera l’hôte de deux championnats du Sport universitaire de l’Atlantique pendant la saison, le soccer masculin en novembre et l’athlétisme en février 2011, a annoncé le directeur du Service de l’activité physique et sportive, Marc Boudreau, lors d’une conférence de presse tenue au Campus de Moncton.

Les Aigles Bleus seront l’hôte des six meilleures formations du circuit universitaire de l’Atlantique du 5 au 7 novembre dans le nouveau stade du Campus de Moncton. Le stade intérieur Vance-Toner accueillera les meilleurs en athlétisme les 26 et 27 février 2011. Le Campus de Moncton sera également l’hôte des huit meilleures formations universitaires de hockey féminin de l’Est du Canada en fin de semaine lors d’un tournoi qui débute vendredi et qui prendra fin dimanche avec la finale à 15 h 30. Des représentants de l’équipe féminine canadienne seront présents.

Le Service de l’activité physique et sportive a présenté ses entraîneurs pour la saison 2010-2011, incluant le nouvel entraîneur-chef en cross country, Jules Comeau. Les autres sont Sylvain Rastello pour le soccer masculin et féminin, Monette Boudreau-Carroll au volleyball, Serge Bourgeois au hockey masculin, Steve LeBlanc pour l’athlétisme et Denis Ross au hockey féminin.

La saison au soccer est débutée et les équipes seront les hôtes des Reds de la University of New Brunswick mercredi au stade. L’équipe de cross country a été l’hôte de la 28e Classique annuelle de l’Université de Moncton il y a neuf jours et a participé à la rencontre à Dalhousie University en fin de semaine. Le championnat du SUA se déroulera le 30 octobre à Antigonish.

«Il y a beaucoup d’enthousiasme en vue de cette rentrée universitaire pour nos étudiants/athlètes, a dit Marc Boudreau. Chacune de nos équipes a entamé soit sa saison ordinaire ou est en entraînement préparatoire. Nos athlètes d’expérience et nos recrues forment des noyaux solides qui laisseront leur marque dans les divers circuits cette saison. Un remerciement tout spécial à nos entraîneurs et adjoints, au personnel de soutien et spécifiquement aux étudiants/athlètes pour leur dévouement autant dans leurs études que dans la pratique du sport universitaire. Nous sommes en présence de personnes engagées qui ont leur avenir à coeur. »

L’horaire complet des équipes est disponible à www.umoncton.ca/sports.

Le Département de musique vous invite à assister au concert de Pascal Valois, luthiste et guitariste, ce jeudi 30 septembre à 20 heures dans la salle Neil-Michaud de l’édifice des Beaux-arts.

Au programme, vous pourrez entendre des oeuvres de Louis-Ange Carpentras, Prosper Bigot et Victor Magnien.

L'entrée est libre. Bienvenue à tous et à toutes.

Renseignements : 858-4041.