Voici les archives de l’Hebdo-Campus du 16 avril 2009 au 20 septembre 2018
Le Dr Jeannot Castonguay reçoit la Médaille d’honneur de l’Université de Moncton
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Agrandir l'imageLe Dr Castonguay, à droite dans la photo, est accompagné de l'actuel président du Conseil des gouverneurs, Me André G. Richard. |
Le Dr Jeannot Castonguay reçoit la Médaille d’honneur de l’Université de Moncton Le Dr Jeannot Castonguay, ancien membre et président du Conseil des gouverneurs, a reçu
la Médaille d’honneur de l’Université de Moncton lors de la cérémonie de collation
des diplômes du campus d’Edmundston tenue le samedi 14 mai à la Cité des Jeunes
A.-M.-Sormany.
Cette Médaille d’honneur lui a été attribuée en reconnaissance de sa contribution
remarquable au développement et à l’avancement de la cause, de la mission et de
l’oeuvre de l’Université de Moncton.
Chirurgien, leader respecté et homme politique, le Dr Castonguay a consacré sa vie à
servir sa profession et l’ensemble de la collectivité. Diplômé du Collège
Saint-Louis d’Edmundston, il a obtenu le doctorat en médecine à l’Université Laval
en 1969 et le certificat du Collège royal des chirurgiens du Canada en 1974.
Originaire de Saint-Quentin, il a exercé en pratique privée pendant 26 ans à
l’hôpital régional d’Edmundston. Il a été chef du Département régional de
chirurgie de 1993 à 1994, puis médecin en chef de 1994 à 1996. Élu à la Chambre des
communes en novembre 2000 à titre de député de Madawaska-Restigouche, il a occupé le
poste de secrétaire parlementaire du ministre de la Santé et a siégé au Comité
permanent de la santé.
Au fil des ans, la contribution du Dr Castonguay a été exemplaire. Membre du Conseil des
gouverneurs de l’Université de Moncton entre 1997 et 2010, il a accédé à la
présidence en 2004 et son mandat a été renouvelé en 2007. En plus de présider le
Conseil des gouverneurs, il a œuvré au sein de plusieurs de ses comités de travail.
Profondément engagé dans le bien-être de ses concitoyennes et de ses concitoyens, le Dr
Castonguay a siégé à de nombreux comités et conseils. Il a présidé le Conseil
d’administration de la Société médicale du Nouveau-Brunswick dont il est membre
depuis plus de 30 ans, et siégé à la Commission de l’enseignement supérieur des
provinces maritimes. Il est président-fondateur de la Fondation Saint-Louis-Maillet, qui
a pour objectif d’aider financièrement les étudiantes et les étudiants du campus
d’Edmundston. Mentionnons également qu’il est membre de l’Ordre des Régents et des
Régentes de l’Université de Moncton.
La Société médicale du Nouveau-Brunswick lui a décerné le Prix d’action politique
Dr William F. Roberts, en reconnaissance de sa contribution en politique, et lui a
accordé en 2009, sa plus haute distinction, l’Ordre du mérite, soulignant son
engagement exceptionnel envers la profession et sa contribution remarquable à la
société.
| Plus de 800 diplômes seront délivrés au campus de Moncton
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Plus de 800 diplômes seront délivrés au campus de Moncton Quelque 815 diplômes seront délivrés lors de la cérémonie de collation du campus de
Moncton, qui aura lieu ce samedi 21 mai dans le stade du Ceps Louis-J.-Robichaud. Une
foule d’environ 3 000 personnes est attendue à la cérémonie alors que plus de 450
finissantes et finissants y prendront part en présence du chancelier Louis R. Comeau.
Lors de la cérémonie, l’homme d’affaires et philanthrope J. D. Irving recevra un
doctorat honorifique en administration des affaires, tandis qu’un doctorat d’honneur
en musique sera décerné à Suzie LeBlanc, soprano de renommée internationale.
Originaire de Moncton, Rachel Losier, diplômée au baccalauréat en administration des
affaires avec concentration en gestion internationale, prononcera le discours d’adieu au
nom des finissantes et des finissants.
La communauté est invitée à assister à la cérémonie ou à la visionner en direct sur
le Web à compter de midi à l’adresse Internet ci-dessous.
Par ailleurs, la collation des diplômes du campus de Shippagan a eu lieu le vendredi 13
mai alors qu’un peu plus de 80 diplômes ont été délivrés. Julie Landry-Godin,
finissante au baccalauréat ès arts et diplômée au certificat en éducation des
adultes, a prononcé le discours au nom de ses pairs.
Le lendemain au campus d’Edmundston, l’Université a délivré quelque 70 diplômes
et certificats en plus de présenter la Médaille d’honneur de l’Université de
Moncton au Dr Jeannot Castonguay, ancien membre et président du Conseil des gouverneurs
de l’Université de Moncton, en reconnaissance de sa contribution remarquable au
développement et à l’avancement de la cause, de la mission et de l’oeuvre de
l’Université de Moncton. Originaire de Val-Paradis, au Québec, Carolann Tremblay,
diplômée au baccalauréat en sciences forestières, a prononcé le discours d’adieu au
nom des finissantes et des finissants.
| Réception en l’honneur d’Isabelle McKee-Allain qui termine son troisième mandat comme doyenne
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Lise Roy, doyenne désignée de la Faculté des arts et des sciences sociales; Greg Allain, professeur au Département de sociologie qui a rendu hommage à sa conjointe Isabelle; le recteur, Yvon Fontaine; Mme McKee-Allain; Lise Dubois, doyenne de la Faculté des études supérieures et de la recherche; et Neil Boucher, vice-recteur à l’enseignement et à la recherche. |
Réception en l’honneur d’Isabelle McKee-Allain qui termine son troisième mandat comme doyenne Le bureau du décanat de la Faculté des arts et des sciences sociales a organisé une
réception en l’honneur d’Isabelle McKee-Allain qui termine son troisième mandat
comme doyenne. Collègues et amis se sont donné rendez-vous dans la salle Neil-Michaud du
pavillon des Beaux-arts pour saluer Mme McKee-Allain.
« C’est avec plaisir que j’ai accepté de faire ce témoignage pour marquer ce
départ d’Isabelle, a mentionné Lise Dubois, doyenne de la Faculté des études
supérieures et de la recherche. En bonne prof de stylistique comparée - que je suis -
je vais moduler un peu ce mandat et je préfère dire que je voudrais souligner le passage
d’Isabelle à l’Université de Moncton, passage qui laissera ses marques
indélébiles. »
« D’entrée de jeu, je vous dis que j’ai partagé avec Isabelle une belle complicité
pendant les cinq ans où j’ai été sa vice-doyenne, ajoute-t-elle. C’était les cinq
premières années de la Faculté des arts et des sciences sociales. C’est donc en
grande partie avec elle, et grâce à elle, que j’ai fait mes classes de doyenne. ».
Isabelle figure parmi les diplômés des toutes premières années de l’Université de
Moncton. En effet, elle obtient un premier baccalauréat en sociologie en 1967. Elle est
donc un témoin privilégié des débuts de l’Université, de ses grandes réussites et
de quelques-uns de ses soubresauts, dont la fermeture du Département de sociologie deux
ans après l’obtention de son diplôme. Elle obtient un second baccalauréat en 1970 et
la maîtrise en sociologie en 1975 de l’Université Laval. Elle termine le doctorat à
l’Université de Montréal en 1995, cheminement qui n’est pas atypique de la femme
universitaire de cette génération qui fait des détours dans d’autres domaines avant
d’entreprendre une carrière universitaire.
Dans le cas d’Isabelle, son premier détour a été à Radio-Canada comme animatrice
d’une émission de télévision, puis son second à Santa Barbara en Californie où elle
a accompagné son conjoint, Greg, et où elle a aussi été étudiante et chercheuse. Elle
revient à l’Université de Moncton en 1982 comme chargée d’enseignement. Ayant
assisté aux bouleversements qui éventuellement ont mené à la fermeture du Département
de sociologie, elle revient contribuer avec d’autres à son renouveau et à sa
consolidation.
Attirée au plus haut point par les études acadiennes et les études féministes,
Isabelle combine ces deux intérêts dans ses recherches doctorales sur le rôle des
communautés religieuses féminines dans la reproduction de l’ethnicité. Il s’agit
d’une grande étude originale et innovatrice qui, à ce jour, fait référence dans les
domaines de l’éducation, des études féministes et des études acadiennes.
D’abord nommée doyenne de la Faculté des sciences sociales, poste qu’elle occupe de
1996 à 2001, elle est ensuite nommée doyenne fondatrice de la Faculté des arts et des
sciences sociales en 2001. Gérer une faculté multidisciplinaire dont la gamme des
disciplines est très large, les champs d’activité sont des plus diversifiés et les
intérêts sont parfois inconciliables, voire contradictoires, est une mission de taille.
« Mais je crois qu’Isabelle, grâce à son esprit de conciliation, sa prudence et son
engagement à l’égard des disciplines et de leur rôle en Acadie et dans
l’épanouissement intellectuel des étudiantes et étudiants, d’où qu’ils viennent,
a pu jeter des bases solides qui vont assurer la pérennité de la Faculté », ajoute Mme
Dubois.
« J’aimerais maintenant terminer sur une note plus personnelle et partager avec vous
une des leçons précieuses que je retire de ma collaboration avec Isabelle, poursuit la
doyenne de la FESR. Cette leçon : ne pas passer à côté de la complexité. En effet,
Isabelle le dit souvent, les choses sont souvent plus complexes qu’elles ne le
paraissent et la solution rapide et à première vue évidente est souvent simpliste et
vouée à l’échec. Cette leçon continue à éviter que je tombe dans des pétrins …
».
« Au cours de notre collaboration, Isabelle m’a souvent confié l’importance qu’a
joué dans sa vie le savoir, les connaissances, les livres, la culture. S’il y a un fil
conducteur qui ressort de la trajectoire professionnelle d’Isabelle, de son style de
gestion et de sa vision du rôle de nos disciplines dans l’univers, c’est bien
celui-là que, en bout de ligne, la mission première de l’université est de créer et
de transmettre le savoir et c’est cette conviction qui a traversé ses rapports, ses
décisions, ses actions. »
« Étant toutes les deux avides lectrices de romans, nous avons souvent discuté de ce
que nous appelions entre nous des « univers parallèles » que nous offrait la lecture,
univers capables de nous sortir du quotidien et de nous refaire le plein d’énergie.
Pour les années à venir, Isabelle, je te souhaite le temps de découvrir plein
d’univers parallèles qui continueront pendant longtemps à enrichir ta vie », a conclu
Mme Dubois.
« L’un des témoignages que j’ai reçus est celui d’une collègue qui m’a
rappelée mon rôle comme professeure alors que je l’avais introduite au concept de «
classes sociales » dans mon cours SO-1000 (Introduction à la société) au milieu des
années 1980, a mentionné Mme McKee-Allain. Ceci rejoint mon propre cheminement
académique alors que, originaire de Bouctouche qui était alors un milieu très
stratifié, je découvrais le monde intellectuel. Dans un premier temps, ce fut au
Collège Notre-Dame d’Acadie où je découvrais un univers féminin très motivant et
très stimulant intellectuellement, grâce à l’enseignement des religieuses. Bien que
par après, les années 1960 seront qualifiées « d’entrée de l’Acadie dans la
modernité » par les initiatives introduites par Louis J. Robichaud, mon séjour au
Collège NDA m’aura révélé une époque (1963-1965) où des changements se
préparaient, comme le reflétait notamment le journal étudiant du collège. Puis, dans
la toute nouvelle Université de Moncton, je faisais la découverte de la discipline de la
sociologie avec Camille-Antoine Richard, le premier sociologue acadien, qui m’a
introduite entre autres au concept de « classes sociales ».
« On m’a demandé récemment quels sont les principaux changements que j’ai
observés au fil des ans, ajoute la doyenne. J’ai répondu que de s’engager en milieu
universitaire est déjà en soi un engagement pour le changement et pour le développement
de notre milieu et de notre société, en privilégiant l’éducation de nos jeunes. Quel
meilleur moyen d’assurer notre avenir sinon en fournissant des outils aux jeunes ? »
Mme McKee-Allain estime que notre institution a connu plusieurs transformations et doit
faire face à de gros défis. « Je souhaite qu’elle continue à jouer sa mission
fondamentale d’université, d’université en Acadie et dans la francophonie en
assurant une place importante aux disciplines fondamentales et aux disciplines artistiques
et non seulement à la formation professionnelle. J’invite nos dirigeants à faire
preuve d’ouverture face à cette mission et mes collègues à faire preuve de
créativité face aux enjeux qui menacent certaines de nos disciplines fondamentales. »
| Rachel Losier sera la porte-parole des finissants et finissantes au campus de Moncton
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Rachel Losier sera la porte-parole des finissants et finissantes au campus de Moncton Finissante au baccalauréat en administration des affaires avec concentration en gestion
internationale, Rachel Losier, de Moncton, a été choisie comme porte-parole des
finissants et finissantes lors de la collation des diplômes du campus de Moncton qui aura
lieu le samedi 21 mai au Ceps Louis-J.-Robichaud.
« Je suis très heureuse de cet honneur qui m’est rendu, souligne la porte-parole.
Au terme de mon parcours universitaire, je souhaite transmettre un message d’espoir aux
étudiantes et aux étudiants que j’ai côtoyés. Il ne faut jamais cesser de rêver
plus grand, dit-elle. Je souhaite aussi les inviter à mettre en valeur les leçons de vie
apprises lors de notre séjour à l’Université de Moncton et d’envisager l’avenir
avec fougue et enthousiasme. »
Très engagée dans la vie étudiante, elle a occupé cette année le poste de
vice-présidente interne à la Fédération étudiante et celui de représentante
étudiante au conseil d’administration des Médias Acadiens Universitaires Inc. (MAUI).
De plus, elle a occupé la vice-présidence externe du conseil étudiant de la Faculté
d’administration en 2009-2010.
Passionnée par le voyage et la découverte de nouvelles cultures, la porte-parole a
profité de son parcours universitaire pour effectuer des stages à l’international.
Elle a fait un séjour au Mexique à l’été 2010 afin d’apprendre l’espagnol et de
s’ouvrir à la culture des affaires mexicaine, alors que l’été précédent, c’est
en France qu’elle s’est rendue afin d’y suivre une formation portant sur les
affaires et l’environnement.
Dynamique et sensible aux enjeux sociaux, elle a été coordonnatrice étudiante pour la
campagne de l’Arbre de l’espoir à l’Université de Moncton en 2010, coordonnatrice
de la campagne « Mettons fin à la faim » menée en 2009 et elle s’est engagée au
sein du comité de la Journée communautaire pour Haïti au campus de Moncton.
Rachel Losier s’est aussi illustrée comme athlète et entraîneuse de handball. Nommée
athlète féminine de l’année à l’école L’Odyssée de Moncton en 2007, elle a
maintenu un lien avec les sports et son école secondaire en devenant entraîneuse de
l’équipe de handball de l’école l’année suivante et entraîneuse de l’équipe
de handball féminin du Nouveau-Brunswick en 2008-2009.
L’Université de Moncton a souligné son engagement et son dévouement exemplaires comme
étudiante en lui décernant un certificat de mérite et une bourse para-académique.
| PARE/SASE : « L'université du 21e siècle : repensons nos pratiques »
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PARE/SASE : « L'université du 21e siècle : repensons nos pratiques » Le colloque, ayant comme thème « L'université du 21e siècle : repensons nos pratiques
», organisé conjointement par le Programme d’appui à la réussite des études (PARE)
et le Service d’animation et de soutien à l’enseignement (SASE), débutera le lundi
30 mai à compter de 13 heures pour se terminer vers 15 heures le mardi 31 mai au pavillon
Jeanne-de-Valois du campus de Moncton.
Les conférences et les ateliers intéresseront à la fois le corps professoral, les
chargés de cours, la population étudiante, les gestionnaires et le personnel
non-enseignant des secteurs administratifs et des services des trois campus de
l’Université de Moncton.
La conférence d’ouverture de Chad Gaffield, président du Conseil de recherches en
sciences humaines, la conférence et table ronde de Samuel LeBlanc, chargé de cours et
chroniqueur à Radio-Canada, ainsi que la conférence de clôture de Normand Beaudouin,
professeur et récipiendaire du Prix d’excellence en enseignement, seront diffusées par
vidéoconférence aux campus d’Edmundston et de Shippagan. De plus, deux séries de
communications seront offertes sur place.
Les avancements dans les domaines des technologies de l’information, des théories de
l’apprentissage et de la pédagogie universitaire, de même que les changements
démographiques qui amènent une diversité dans la population étudiante transforment les
modes de prestations des services et l’enseignement universitaire. Ce cinquième
colloque offre l’occasion de comprendre les enjeux et les possibilités qu’offrent
certains de ces changements. Afin de stimuler cette réflexion, la conférence
d’ouverture de M. Gaffield donnera un aperçu des défis auxquels sont confrontées les
universités et des transformations qu’elles auront à initier dans l’avenir.
Comme en témoigne le programme, certaines communications visent davantage à outiller le
corps professoral par rapport à différents défis retrouvés en salle de classe alors
que d’autres communications sont plutôt d’intérêt général et veulent inciter les
différents membres de la communauté universitaire à réfléchir sur les changements
qu’ils peuvent apporter dans leurs pratiques étant donné les nouvelles réalités.
Le colloque est coprésidé par Jeanne Godin, directrice du Service d’animation et de
soutien à l’enseignement, et Carole Essiembre, coordonnatrice du Programme d’appui à
la réussite des études. Les autres membres sont, du campus d’Edmundston, Pierrette
Fortin, doyenne adjointe des études; du campus de Moncton, Roger Boulay, directeur des
Services aux étudiantes et étudiants, Giselle Fancy, directrice de la gestion et
dotation au Service des ressources humaines, Louise Girard, vice-doyenne de la Faculté
des sciences, Serge Jolicoeur, professeur à la Faculté des arts et des sciences
sociales, et Jean-Guy Ouellette, vice-recteur adjoint à l’enseignement; et du campus de
Shippagan, Claudine Auger et Marthe Robichaud, professeures au Secteur administration,
arts et sciences humaines.
L’inscription est obligatoire. La date limite pour s’inscrire est le jeudi 26 mai à
midi. Il n’y a aucuns frais d’inscription et un goûter offert à titre gracieux est
prévu sur place le 31 mai.
Vous pouvez vous inscrire au site Internet ci-dessous.
Pour plus de renseignements, prière de communiquer avec Carole Essiembre
(carole.essiembre@umoncton.ca; 858-4535) ou Jeanne Godin (jeanne.godin@umoncton.ca;
858-3793).
Programme détaillé du colloque : http://www.umoncton.ca/sase/node/11
| Contribution du professeur Ruben Sandapen au Jefferson Lab
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Contribution du professeur Ruben Sandapen au Jefferson Lab Ruben Sandapen, professeur au Département de physique et d’astronomie du campus de
Moncton, a prononcé une conférence dans le cadre du 19e colloque international
Deep-Inelastic Scattering and Related Subjects (DIS 2011), qui a eu lieu au Thomas
Jefferson National Accelerator Facility, un laboratoire de physique nucléaire situé à
Newport News, en Virginie.
La conférence du professeur Sandapen, intitulée « Phenomenology of Distribution
Amplitudes for the p meson », présentait ses plus récents résultats de recherche
portant sur la structure d’une particule appelée le méson p. Ce méson est
l’assemblage d’un quark et d’un antiquark. Selon la physique moderne, ces quarks (et
antiquarks) sont les constituants ultimes de la matière. Ils interagissent entre eux en
échangeant des gluons, un peu comme des joueurs de hockey qui s’échangent la rondelle
pendant un match. La théorie de la chromodynamique quantique (QCD) décrit bien cette
interaction entre quarks lorsque la distance qui les sépare est faible, c’est-à-dire
lorsqu’elle est très inférieure à la taille d’un proton, environ un millionième
d’un nanomètre (10-15 mètres).
Toutefois, lorsque la distance entre les quarks croît, l’intensité de l’interaction
augmente et la situation se complique. La théorie QCD perd de son pouvoir prédictif et
la modélisation est indispensable. C’est en analysant numériquement les données
expérimentales provenant du collisionneur électron-proton HERA à Hambourg, en
Allemagne, que le professeur Sandapen a pu extraire de nouvelles informations sur
l’interaction entre le quark et l’antiquark qui constituent le méson p.
Depuis environ une dizaine d’années, M. Sandapen collabore avec des chercheurs basés
à l’Université de Manchester, en Grande-Bretagne, et à l’Organisation européenne
pour la recherche nucléaire (CERN), à la frontière franco-suisse où se trouve le Large
Hadron Collider (LHC).
Son domaine de spécialisation est l’interaction forte, c’est-à-dire la force qui
agit entre les quarks et dont les gluons sont les messagers. C’est cette même force
qui, à plus grande échelle, lie les protons et les neutrons dans le minuscule noyau
atomique. Cette force est l’une des quatre forces fondamentales de la nature, les trois
autres étant l’interaction faible, la force électromagnétique et la gravité. Ces
deux dernières nous sont familières et relativement bien comprises. Par contre, notre
compréhension de l’interaction forte est encore incomplète et est toujours un sujet de
recherche contemporain.
La communication du professeur Sandapen est disponible à l’adresse Renseignements : ruben.sandapen@umoncton.ca
| Bachelière à 19 ans
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Agrandir l'imageDans la photo, elle est accompagnée, à gauche, de Gérard Fillion, directeur du Département de comptabilité, et, à droite, de Gaston LeBlanc et Linda Coulombe, respectivement doyen et adjointe administrative de la Faculté d’administration. |
Bachelière à 19 ans L'étudiante Myralia Dzime, originaire du Gabon, obtiendra le baccalauréat en
administration des affaires (B.A.A.) avec concentration en finance lors la collation des
diplômes de l’Université de Moncton, qui aura lieu le samedi 21 mai à compter de 13
heures dans le stade du Ceps Louis-J.-Robichaud au campus de Moncton. Myralia n’a que 19
ans.
| Antonio Molina remporte le 1er Concours de maths Poincaré
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Antonio Molina remporte le 1er Concours de maths Poincaré Antonio Molina, élève à l’école Sainte-Anne de Fredericton, a remporté le tout
premier Concours de mathématiques Poincaré.
Antonio n'est qu'en neuvième année mais il était admissible car il suit présentement
les cours de mathématiques de la 12e année. Il a déjà gagné plusieurs concours dont
Opti-Math en décrochant la première position au niveau de la province. C'est un
véritable petit prodige des mathématiques.
Gagnants et gagnantes :
1er prix : Antonio Molina, école Sainte-Anne de Fredericton; 2e prix : Kyle Landry,
école Clément-Cormier de Bouctouche; 3e prix : Myriam Nait-Ajjou, école Mathieu-Martin
de Dieppe; 4e place : Sébastien Lord, école l'Odyssée de Moncton; 5e place : Charles
Albert, école Louis-Mailloux de Caraquet; 6e place : Frédéric Roy, école
Mathieu-Martin de Dieppe; 7e place : Alexandre Duguay, école Népisiguit de Bathurst; 8e
place : Christian Grandmaison, école Cité des Jeunes A.-M.-Sormany d'Edmundston, et
Valérie Losier, école Sainte-Anne de Fredericton, ex aequo; 10e place : Alexandre
Coholan, école l'Odyssée de Moncton.
Les élèves ayant remporté les trois premiers prix reçoivent une médaille, un
certificat d'honneur et un prix en argent (300 $, 200 $ et 100 $ respectivement). Les
gagnants de la 4e à la 10e place reçoivent un certificat de mérite.
Une bourse de mérite parrainée par le Doyen sera offerte au meilleur concurrent qui
s'inscrit à un programme de la Faculté des sciences de l'Université de Moncton.
Donald Violette, professeur au Département de mathématiques et de statistique et
fondateur du Concours de mathématiques Poincaré, tient à remercier les enseignants et
enseignantes qui ont fait en sorte que leurs écoles participent au Concours Poincaré. «
La première édition de ce concours a été un véritable succès et on espère que l'an
prochain, les 22 écoles secondaires francophones du Nouveau-Brunswick y seront inscrites
», dit-il.
Renseignements : 858-4325 ou 4298, Violetd@umoncton.ca
| Activité de réflexion en hommage à Donald J. Savoie
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Activité de réflexion en hommage à Donald J. Savoie Une activité de réflexion en hommage à Donald J. Savoie, titulaire de la Chaire de
recherche du Canada (niveau 1) en administration publique et en gouvernance à
l’Université de Moncton, aura lieu le mercredi 8 juin à compter de 11 h 15 avec
l’inscription dans la salle 136 du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.
Le déjeuner suivra à 11 h 45 et comprendra un hommage à Donald J. Savoie à compter de
12 h 45. À 13 heures, Christopher J. Pollitt, de l’Université catholique de Louvain,
prononcera une conférence, intitulée « Le Royaume-Uni est-il un cas particulier ?
Divergences croissantes entre les politiques publiques du Royaume-Uni et du continent
européen. »
Une table ronde portant sur les défis, les tendances et l’avenir de l’administration
publique suivra avec la participation de Jacques Bourgault, professeur associé à
l’École nationale d’administration publique de l’Université du Québec à
Montréal, « La satisfaction des attentes contemporaines de l'environnement des
administrations publiques : un défi toujours plus exigeant mais incontournable »;
Mario Polèse, professeur au Centre Urbanisation Culture Société de l’Université
INRS, « Imputabilité des politiques publiques de développement régional : défi
impossible ? »; et Monique Colette, conseillère supérieure auprès du Bureau du Conseil
privé du gouvernement du Canada, « L'expérience de leadership d'un sous-ministre
fédéral en région - défis et succès ».
Cette activité de réflexion prendra fin vers 15 h 15.
Les frais d’inscription de 20 $ (15 $ pour les étudiants et étudiantes) sont payables
en argent comptant à votre arrivée et comprennent le repas qui sera servi dans la salle
Richelieu de la cafétéria Le Mascaret.
Il faut s’inscrire auprès de Lucille Léger par courriel ( lucille.leger@umoncton.ca), par télécopieur
(506-858-4508) ou encore par téléphone (506-858-4177). La date limite est le mercredi
1er juin. Le nombre de places est limité.
Les présentations des conférenciers se dérouleront en français ou en anglais. Il n’y
aura pas de service d’interprétation simultanée mais les personnes participantes
pourront s’exprimer dans la langue de leur choix.
| Banquet en science infirmière
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Banquet en science infirmière La photo, prise lors du banquet des finissantes et finissants de l’École de science
infirmière, nous fait voir, de gauche à droite, Monica McGraw, France Allain, Anni
LeBlanc, Pierre Godbout, professeur; Caroline Gibbons, invitée d’honneur; Paul-Émile
Bourque, doyen de la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires;
Geneviève Rioux, Isabelle LeBlanc et Mylène Wilson.
| Soutenance de thèse en psychologie
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Soutenance de thèse en psychologie Lisa Poirier fera la soutenance d’une thèse de maîtrise en psychologie, intitulée «
Névrosisme et bien-être chez les nouveaux parents : une question de perception des
conflits travail-famille? », le mardi 31 mai à 10 heures dans la salle
Gérard-Cormier (504) du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.
La directrice de la thèse est la professeure Geneviève Bouchard.
Bienvenue à tous et à toutes. Renseignements : 858-4864.
| Forum régional du « Français pour l’avenir » à Moncton
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Blair Lawrence, président du forum local de Moncton; Helen Coltrinari, présidente du conseil d'administration du « Français pour l'avenir »; Jean-Marc Arseneau, coordonnateur du forum local de Moncton; Janelle Levesque, élève de l’école Bernice MacNaughton High; Hughie Batherson, conférencier; Kelsey Hicks, élève de l’école Petitcodiac Regional High; Linda Schofield, directrice générale des relations universitaires ; et Denis Boucher, directeur du recrutement étudiant. |
Forum régional du « Français pour l’avenir » à Moncton Pour une quatrième année consécutive, « Le français pour l’avenir » a organisé un
forum régional à Moncton avec comme devise cette année « Deux langues… un monde de
possibilités ».
Cent élèves de 11e année des sept écoles du district scolaire 2 de la grande région
de Moncton se sont rassemblés au pavillon Jacqueline-Bouchard du campus de Moncton pour
une journée en français remplie d’activités axées sur les avantages que procure le
bilinguisme. Des ateliers interactifs étaient au programme et portaient sur des sujets
tels que l’éducation, la nutrition, la science infirmière, l’improvisation, le
droit, les arts visuels, la musique et l’implication sociale. La journée a aussi été
agrémentée d’un repas équilibré qui a été suivi de musique avec la participation
de Monique Poirier, François Émond et Lise Vautour, du collectif Ode à l’Acadie.
Les invités à ce Forum de Moncton étaient Helen Coltrinari, présidente du conseil
d’administration de l’organisme national « Français pour l’avenir »; Blair
Lawrence, président du Forum de Moncton du « Français pour l’avenir »; et Linda
Schofield, directrice générale des relations universitaires de l’Université de
Moncton. Le conférencier était Hughie Batherson, vice-recteur à la vie étudiante à
l’Université Sainte-Anne, en Nouvelle-Écosse.
Le Français pour l’avenir a été fondé en 1997 par John Ralston Saul et Lisa Balfour
Bowen. Il a comme mission de contribuer à la création d’un Canada où tous les jeunes
accordent une valeur à notre héritage francophone, apprécient les cultures francophones
et s’efforcent d’exceller en langue française.
Des forums du « Français pour l’avenir » se sont tenus également dans dix autres
communautés partout au Canada - Calgary, Edmonton, Fredericton, Halifax, Montréal,
Ottawa, St. John's, Summerside, Vancouver et Winnipeg. Chacun de ceux-ci a été organisé
par un comité local, favorisant ainsi la représentation de la culture unique de chaque
communauté.
Renseignements : 863-2210, jean.marc.arseneau@umoncton.ca
| Le 21e Concours provincial en entrepreneuriat aura lieu les 26 et 27 mai au campus de Shippagan
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Le 21e Concours provincial en entrepreneuriat aura lieu les 26 et 27 mai au campus de Shippagan Le 21e Concours provincial en entrepreneuriat aura lieu les 26 et 27 mai au campus de
Shippagan. Cette activité est rendue possible grâce au partenariat entre le Centre
Assomption de recherche et de développement en entrepreneuriat (CARDE) de la Faculté
d’administration de l’Université de Moncton et le ministère de l’Éducation du
Nouveau-Brunswick.
L’un des objectifs de ce concours est la promotion et la formation à
l’entrepreneuriat auprès des jeunes des écoles secondaires francophones du
Nouveau-Brunswick. Il s’agit d’une occasion unique pour les élèves d’échanger et
de partager leur intérêt pour le domaine de l’entrepreneuriat. Pour certains, ce sera
aussi l’occasion de visiter le milieu universitaire pour la première fois.
Les organisateurs de ce concours sont convaincus que les participants et participantes
vivront une expérience enrichissante et mémorable.
La compétition se fait en équipe et les présentations se font devant jury. Des bourses
seront octroyées aux équipes gagnantes selon la distribution suivante : Jury A : équipe
de première place - 450 $ (150 $ par élève) et équipe de deuxième place - 300 $ (100
$ par élève); Jury B : équipe de première place - 450 $ (150 $ par élève) et équipe
de deuxième place - 300 $ (100 $ par élève).
| Projet de campus numérique en journalisme
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, François Giroux, responsable de la Chaire Roméo-LeBlanc en journalisme et du Programme d’information-communication à l’Université de Moncton; Pascal Guénée, directeur de l’Institut pratique de journalisme de Paris et président de Théophraste; Marie-Linda Lord, professeure au Programme d’information-communication de l’Université de Moncton et organisatrice du colloque; le recteur, Yvon Fontaine, également président de l’AUF; Pierre Noreau, directeur du Bureau des Amérique de l’AUF; Nassir El-Jabi, membre de la Commission régionale d’experts du Bureau des Amériques de l’AUF et vice-recteur à l’administration et aux ressources humaines à l’Université de Moncton. |
Projet de campus numérique en journalisme Les objectifs et le plan de mise en œuvre d’un projet de campus numérique de formation
en journalisme ont été fixés lors du colloque et de l’assemblée générale annuelle
du réseau Théophraste, qui regroupe 18 centres de formation en journalisme d’Europe,
d’Afrique et du Canada. Il était l’invité de la Chaire Roméo-LeBlanc en
journalisme et du Programme d’information-communication de l’Université de
Moncton.
Le campus numérique devrait permettre une transmission des connaissances théoriques et
pratiques à des étudiants et étudiantes en journalisme et à des personnes
professionnelles de partout dans le monde et ce sans recourir à de lourdes
infrastructures.
Selon le président de Théophraste, Pascal Guénée, cette formation numérique offrira
un meilleur partage du savoir journalistique entre les universités des pays du Nord et du
Sud. Le suivi du projet se fera en novembre prochain dans le cadre d’une réunion à
Tunis.
Théophraste est l’un des réseaux institutionnels de l’Agence universitaire de la
Francophonie qui est présidée par Yvon Fontaine, recteur de l’Université de Moncton.
| L’Université de Moncton est l’hôte du 11e rassemblement national E Spirit de BDC
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L’Université de Moncton est l’hôte du 11e rassemblement national E Spirit de BDC Depuis le 17 mai et jusqu’à aujourd’hui, jeudi 19 mai, plus de 200
jeunes Autochtones provenant de partout au Canada sont présents au campus de
Moncton pour participer à la 11e édition du Concours national de plans
d’affaires pour les jeunes Autochtones E Spirit, organisé par la Banque de
développement du Canada (BDC).
Ce rassemblement comprend une exposition commerciale au pavillon Rémi-Rossignol,
suivi d’un gala de remise de prix. Des prix d’une valeur de 2 500 $ (prix or),
1 500 $ (prix argent) et 750 $ (prix bronze) seront présentés aux trois
écoles gagnantes. Douze prix spéciaux seront également
présentés.
Le concours E-Spirit s’adresse aux jeunes Autochtones qui étudient en
secondaire III, IV et V. E-Spirit permet de sensibiliser les étudiants aux
possibilités d’affaires et d’entrepreneuriat, accroître leurs
compétences sur le plan de la gestion et des affaires ainsi que leurs aptitudes en
matière de technologie et de commerce électronique. Le concours dure 16
semaines et repose sur l’utilisation d’Internet. Il fournit aux participants
et participantes des ressources interactives en planification d’entreprise, un
accès en ligne aux services de mentorat, ainsi que des occasions de créer un
vaste réseau et d’échanger, en ligne et en personne, avec
d’autres étudiants et étudiantes.
« Les jeunes Autochtones qui ont complété leur plan
d’affaires dans le cadre du concours E-Spirit ont appris à travailler en
collaboration et à faire preuve de persévérance afin
d’atteindre leurs objectifs, mentionne le recteur, Yvon Fontaine. Ces jeunes ont
travaillé avec acharnement pendant plusieurs mois afin de proposer un projet
d’entreprise qui servira leur communauté. Nous sommes très heureux
d’accueillir tous ces jeunes à Moncton afin de leur permettre de poursuivre
leur apprentissage et de découvrir notre région tout en s’amusant.
»
« BDC est heureuse de s’associer à l'Université de
Moncton dans le cadre de la 11e édition du concours E Spirit, ajoute Wilson Neapew,
directeur national des Services bancaires aux Autochtones à la Banque de
développement du Canada. Les jeunes Autochtones qui se présents à
Moncton dans le cadre d’E-Spirit ont non seulement l’occasion de faire valoir
leurs réalisations et leur talent, mais également de vivre en compagnie de
leurs pairs de partout au pays une expérience culturelle et éducative
d’une grande richesse. »
Les écoles suivantes se sont qualifiées dans le cadre du concours de
plans d'affaires E-Spirit, édition 2011 et participent au rassemblement
national à Moncton :
Alberta
École secondaire Canmore Collegiate (Canmore), école polyvalente Ponoka
(Ponoka) et école Ponoka Outreach (Ponoka).
Colombie-Britannique
École secondaire Barriere (Barriere), école secondaire Chase (Chase),
école secondaire Clearwater (Clearwater), école secondaire Correlieu
(Quesnel), école Four Directions Storefront (Kamloops), école secondaire
Gold River (Gold River), école secondaire Hazelton (Hazelton), école
secondaire Pleasant Valley (Armstrong), école secondaire Salmon Arm - Campus
Jackson (Salmon Arm), école secondaire Salmon Arm - Campus Sullivan (Salmon Arm),
école Stein Valley Nlakapamux (Lytton) et école secondaire W.L. Seaton
(Vernon).
Manitoba
École secondaire Children of the Earth (Winnipeg), école secondaire
Gordon Bell (Winnipeg), Institut collégial Margaret Barbour (The Pas), école
secondaire professionnelle R.B. Russell (Winnipeg), école secondaire Sagkeeng
Anicinabe (Pine Falls), école secondaire Sisler (Winnipeg) et école
secondaire St. John’s (Winnipeg).
Nouvelle-Écosse
L’nu Sipuk Kina Matuokuom (Indian Brook), Académie Sydney (Sydney) et
école Wagmatcook (Wagmatcook).
Nunavut
École Nuiyak (Sanikiluaq) et école Sakku (Coral Harbour).
Ontario
École secondaire Espanola (Espanola), Institut d’enseignement Kenjgewin
Teg (M’Chigeeng), école secondaire Saugeen (Port Elgin), collège St.
Mary’s (Sault Ste. Marie) et école secondaire Wasse Abin
(Wikwemikong).
Québec
Kitigan Zibi Kikinamadinan (Maniwaki), école Manikanetish (Sept-îles) et
école Monseigneur-Labrie (Havre-Saint-Pierre).
Saskatchewan
École Kakisiwew (Whitewood). T
erre-Neuve et Labrador École B.L. Morrison (Postville).
Le concours E-Spirit est organisé par BDC. Le ministère des Affaires
indiennes et du Nord canadien et l’Agence de promotion économique du Canada
atlantique en sont également commanditaires. Pour obtenir plus de renseignements
sur le concours E-Spirit, visitez le www.bdc.ca/espirit.
Renseignements : maria.constantinescu@bdc.ca
| Concert varié du Chœur Louisbourg
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Concert varié du Chœur Louisbourg Après sa vibrante interprétation du Messie d’Haendel avec Symphonie
Nouveau-Brunswick, le Chœur Louisbourg reprend la route pour offrir un concert varié
d’œuvres allant du Te Deum d’Haendel (1685-1759) à l’Agnus Dei,
extrait du Lux Aeterna de Morten Lauridsen (b 1943).
La directrice artistique, Monique Richard, dirigera tous les concerts. Le chœur sera
accompagné à l’orgue par Gayle h. Martn, qui interprétera quelques pièces dont la
Toccate en FA majeure, de Dietrich Buxtehude (1637-1707).
Retrouvant sa formation de chambre composé de 16 chanteurs, le chœur visitera Moncton,
le samedi 28 mai à 19 heures en l’église St. John United Church, rue Alma.
Les billets seront en vente à l’entrée au coût de 20 $; étudiants : 10 $; et sans
frais pour les jeunes de 14 ans et moins.
Renseignements : 506-852-0967.
| Troisième Journée des mathématiques du Nouveau-Brunswick francophone
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Troisième Journée des mathématiques du Nouveau-Brunswick francophone Les Journées mathématiques du Nouveau-Brunswick francophone sont des occasions pour tous
les membres de la communauté mathématique de se rencontrer. Elles ont lieu une fois
l’an, généralement au printemps. La rencontre de cette année a eu lieu le samedi 14
mai à l’édifice des arts au campus de Moncton.
L’objectif de cette troisième édition était double. Autour du thème « Une journée
sans maths », on a voulu réfléchir à l’importance des mathématiques dans la vie de
tous les jours et produire un document qui sera remis à tous les enseignants et
enseignantes de la province pour les aider à motiver leurs élèves. Et autour du thème
« Comment enrichir la vie mathématique dans nos milieux respectifs », on a voulu
trouver un moyen de mettre sur pied une ressource permanente qui aidera les enseignants et
enseignantes à différents niveaux.
Un site Web est envisagé et selon Paul Deguire, directeur du Département de
mathématiques et de statistique, on reçoit avec enthousiasme les suggestions de contenu
qui sont faites.
Renseignements : Paul Deguire, au 858-4155.
| La Faculté de foresterie est bien enracinée dans le Nord-Ouest
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Agrandir l'imagePlusieurs résidents et membres d’organismes de Saint-Léonard ont pris part à la cérémonie de plantation d’un arbre afin de souligner le 25e anniversaire de la Faculté de foresterie du campus d’Edmundston. La photo nous fait voir le maire de Saint-Léonard, Carmel St-Amand, en train d’arroser le jeune frêne sous le regard, à sa gauche, du doyen de la Faculté de la foresterie, Jean-Marie Binot.
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La Faculté de foresterie est bien enracinée dans le Nord-Ouest C’est par la plantation symbolique d’un arbre que les 14 municipalités du nord-ouest
du Nouveau-Brunswick et la ville voisine de Dégelis, au Québec, ont souligné le 25e
anniversaire de la Faculté de foresterie du campus d’Edmundston.
Des cérémonies de plantation auxquelles ont participé des représentants de la Faculté
de foresterie, des représentants municipaux, scolaires, d’organismes et des citoyens,
ont été organisées en rafale sur le territoire du 2 au 6 mai. Cette démarche permet de
souligner la place de l’arbre dans notre milieu de vie et le rôle qu’il joue.
L’arbre, un frêne d’environ un mètre, a été planté dans un site identifié par
chacune des municipalités participantes. De plus, une plaque commémorative du 25e
anniversaire a été installée à proximité de la mise en terre.
La Faculté de foresterie a organisé de nombreuses autres activités afin de souligner
son anniversaire : retrouvailles des anciennes et anciens, journée champêtre à la
Forêt expérimentale, organisation du 5e Congrès portant sur les sciences forestières
de l’est du Canada et des États-Unis, cérémonie de remise du prix du Grand diplômé
de la Faculté, publication de 25 articles dans un journal local touchant à autant de
carrières des diplômés et 25 articles concernant les produits dérivés de l’arbre.
| Bourses du Barreau du Nouveau-Brunswick
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, les bénéficiaires Marie-Andrée Mallet, de Moncton, et Yannick Devost, de Tracadie-Sheila; Me Marie-Claude Bélanger-Richard, c.r., présidente du Barreau du Nouveau-Brunswick; Robert L. LeBlanc, vice-doyen de la Faculté de droit; et la bénéficiaire Venessa Comeau, de Bathurst.
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Bourses du Barreau du Nouveau-Brunswick Le Barreau du Nouveau-Brunswick a octroyé des bourses d’une valeur de 1 500 $ chacune
à trois étudiants de la Faculté de droit de l’Université de Moncton.
| Récipiendaire du Prix Brian-T.-Newbold
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Ryan Richard, Mathieu Robinson, Arlette Rwigemera, le professeur Brian Newbold, Nicolas Merville, Thomas McNally et Grégoire Lassalle-Claux. Patrick Robichaud était absent lorsque la photo a été prise. |
Récipiendaire du Prix Brian-T.-Newbold Thomas McNally, de Grand-Barachois, est le récipiendaire du prix Brian-T.-Newbold, offert
par le Département de chimie et biochimie de l’Université de Moncton pour souligner
l’excellence des projets de recherche réalisés pendant l’année terminale des
programmes. Le Département de chimie et biochimie a créé ce prix en l’honneur du
professeur émérite Brian Newbold en 1998. Accompagné d’une contribution de 1000 $
généreusement offerte par M. Newbold, il est accordé pour la meilleure présentation
dans le cadre des projets «Initiation à la recherche» qui représentent une première
introduction à la recherche scientifique.
| Bourse provenant du tournoi Défi Hockey FrancoFun
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Roger G. LeBlanc, professeur à l’École de kinésiologie et de récréologie; Richard Léger, représentant de Molson Coors; Claude Lavoie, directeur du Bureau de l’enseignement coopératif et coordonnateur de l’équipe des Aigles Vieux du campus de Moncton; et René Godin, directeur des bénévoles et du tirage du tournoi. |
Bourse provenant du tournoi Défi Hockey FrancoFun À la suite de la 8e édition du tournoi amical Défi Hockey FrancoFun de Dieppe, une
bourse de 1 500 $ a été remise à l’Université de Moncton et dont les bénéficiaires
seront des étudiantes et étudiants inscrits au régime coopératif.
| Souper de fin d'études de l'ESANEF
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Souper de fin d'études de l'ESANEF La photo, prise lors du souper de fin d’études des étudiantes en nutrition de
l’École des sciences des aliments, de nutrition et d’études familiales, nous fait
voir, de gauche à droite, 1re rangée : Stéphanie Beaulieu, Kara-Lee Glencross,
Véronique Ferguson, Vickie Gagnon et Véronic Boucher; 2e rangée : Sylvie LeBlanc,
Joanne Miller, Mélanie Goguen, Michelle Lajoie, Nicole Richard, Joëlle Landry et Janie
St-Onge; 3e rangée : Paul-Émile Bourque, doyen de la Faculté des sciences de la santé
et des services communautaires; Ariane St-Laurent, Monica Thériault, Marie-Claude Rioux,
Martine Boudreau et Mélanie Morin.
| Jonathan Desroches devient entraîneur des défenseures des Aigles Bleues
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Jonathan Desroches devient entraîneur des défenseures des Aigles Bleues L’entraîneur-chef des Aigles Bleues de l’Université de Moncton au hockey féminin,
Denis Ross, a annoncé la nomination de Jonathan Desroches à titre d’entraîneur des
défenseures pour la prochaine saison de Sports universitaires de l’Atlantique.
Originaire de Granby, Desroches possède beaucoup d’expérience ayant évolué pendant
quatre ans au hockey junior majeur avec Granby et Moncton. Il a été repêché par le
Canadien de Montréal et a participé à deux sessions de cette équipe. Il a été membre
de la formation des Aigles Bleus pendant quatre saisons.
Desroches a de plus participé au championnat mondial des moins de 17 ans et a remporté
une Coupe Memorial à sa première année avec les Prédateurs de Granby. Il possède un
championnat provincial avec l'équipe féminine de l’école secondaire Mathieu-Martin de
Dieppe, ayant été entraîneur pendant trois saisons avec les Vedettes et une avec les
Aigles Bleues.
« Il sera un ajout très important au sein de l'équipe qui comptera plusieurs jeunes
athlètes lors de la prochaine saison, mentionne Ross. Je suis heureux de le compter parmi
nous puisqu’il apportera beaucoup d'expérience et de maturité à la brigade
défensive. »
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