C’est dans une atmosphère festive au café étudiant Le Coude au Centre étudiant du campus de Moncton que l’Université de Moncton a procédé le vendredi 5 octobre au lancement des activités entourant le 50e anniversaire de sa fondation.

« Cet anniversaire nous permet de rappeler le parcours historique de l’Université de Moncton mais également de rendre hommage à toutes les personnes qui ont contribué à son devenir, a souligné le recteur Raymond Théberge lors de la cérémonie présentée simultanément aux trois campus grâce à la vidéoconférence. C’est donc avec un énorme sentiment de fierté que je donne le coup d’envoi aux festivités entourant le 50e anniversaire de notre institution ».

À cette occasion, le recteur Théberge a aussi annoncé que l’artiste Herménégilde Chiasson et l’avocate et femme d’affaires Monique Imbeault ont accepté la coprésidence d’honneur des fêtes du 50e. « Tous deux diplômés de l’Université de Moncton, ils font honneur à leur alma mater grâce à leur parcours professionnel et leurs nombreuses réalisations, a-t-il souligné. Ils seront d’excellents ambassadeurs de cette année anniversaire. »

« L’Université de Moncton constitue l’outil primordial et essentiel de l’affirmation culturelle, du développement intellectuel et de la création de richesse du peuple acadien, de dire Herménégilde Chiasson. Pendant les 50 dernières années, cette institution de haut savoir a consolidé une identité, une présence et une vision modernes qui nous ont donné une volonté de s’inscrire dans une francophonie à la mesure de notre imaginaire. Cette année, l’Université de Moncton célèbre un demi-siècle de rêves et d’idées et nous savons tous que ce sont les rêves et les idées qui sont au centre de nos vies et de notre avenir. »

Pour sa part, Monique Imbeault a rappelé son attachement à son alma mater. « L’Université de Moncton représente le cheminement d’une société vers l’épanouissement économique et social, dit-elle. Au fil des ans, ses diplômées et diplômés sont devenus des chefs de file dans leur domaine d’expertise et l’Université s’est taillée une place de choix dans la Francophonie. C’est donc avec un sentiment de fierté que j’accepte la coprésidence d’honneur des fêtes du 50e anniversaire de l’Université. »

Au cours de la cérémonie animée au départ par la musique d’étudiants en percussion au Département de musique, la programmation des activités, comprenant un volet académique et un volet socioculturel, a également été dévoilée.

Neil Boucher, vice-recteur à l’enseignement et à la recherche a indiqué que le volet académique prévoit la tenue de colloques, de conférences, d’expositions et la publication d’ouvrages, dont l’un portant sur l’histoire de l’Université de Moncton. Le Centre de recherche en linguistique appliquée (CRLA) a d’ailleurs tenu un colloque en marge de ce 50e anniversaire.

Pour sa part, la vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales a fait un survol du volet socioculturel qui mettra l’accent sur les rencontres de diplômées et diplômés, les symposiums et les conférences d’intérêt public. Le Symposium d’art-nature : Moncton 2012 a eu lieu la semaine dernière au Parc écologique du Millénaire et dans la ville de Moncton. Du côté des sports, un livre portant sur les équipes féminine et masculine de hockey sera publié et un Temple de la renommée sportive de l’Université de Moncton sera érigé.

Pour découvrir les détails de la programmation, devenez adepte de la page Facebook réseau de l’Université de Moncton à l’adresse www.facebook.com/umoncton ou consultez le site Web du 50e anniversaire à l’adresse www.umoncton.ca/50e.

Herménégilde Chiasson
Ancien lieutenant-gouverneur du Nouveau-Brunswick, Herménégilde Chiasson est présentement artiste en résidence à l’Université de Moncton et à Mount Allison University. Il a publié une trentaine de livres, réalisé une vingtaine de films, écrit une trentaine de pièces de théâtre et exposé ses oeuvres dans une centaine de galeries.

Monique Imbeault
Monique Imbeault possède un parcours professionnel des plus diversifiés. D’abord ingénieure chimique, elle a travaillé comme gestionnaire en restauration avant de devenir avocate au sein de la firme McInnes Cooper de Moncton. Actuellement, elle est présidente-directrice générale chez General Financial Corporation.

Renseignements : Ghislaine.arsenault@umoncton.ca / 506-858-4466

La professeure Sarah Pakzad, directrice du laboratoire de neuropsychologie cognitive à l’École de psychologie, recevra la médaille du Chevalier de la Légion d’Honneur du Président de la République française, M. François Hollande, lors d’une cérémonie qui aura lieu le lundi 15 octobre à 13 heures dans la salle 136-A du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.

M. Maurice Guitton, président de la Chambre de commerce de la Nouvelle-Écosse et lui-même Chevalier de la Légion d’Honneur, remettra la médaille à Mme Pakzad, en présence de M. Vincent Hommeril, consul général de France dans les provinces atlantiques, et M. Raymond Théberge, recteur et vice-chancelier de l’Université de Moncton.

Un léger goûter suivra.

La communauté universitaire est cordialement invitée à assister à cette cérémonie.

Le Centre de recherche et de développement en éducation vous invite à assister à une causerie-midi présentée par Johanne Barrette, professeure à la Faculté des sciences de l’éducation, le mercredi 17 octobre entre midi et 13 heures dans le local B-125 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

La communication examine les résultats d’une étude du processus d’apprentissage informel chez des adultes au travail dans une entreprise manufacturière (Barrette, 2008), et une attention particulière est portée à l’approche méthodologique de ce phénomène implicite.

L’étude de cas adopte une approche ethnographique et qualitative/interprétative du phénomène, et ses outils sont l’observation in situ, le récit d’expérience en situation de travail, l’entretien d’explicitation et l’activité réflexive en groupe. L’analyse inductive, inspirée de la théorie ancrée, théorise le sens émergeant en s’appuyant sur le constructivisme, la cognition située, le savoir tacite et la réflexion/explicitation de la pratique.

Les résultats montrent la nature située, tacite et dialectique du processus d’apprentissage informel : pour apprendre en pratique et par l’expérience, les acteurs s’adaptent à la situation en mobilisant des ressources en contexte et en reconstruisant leurs stratégies en cours d’action. Dans le «double va-et-vient du savoir tacite» qui se manifeste, un processus de «réflexion-explicitation» est constitutif de l’apprentissage réalisé.

Des contributions théoriques et méthodologiques sont suggérées, de même que quelques pistes pour la recherche et les milieux de pratique.

Renseignements : http://www.umoncton.ca/crde/node/19

Le Vice-rectorat à l’enseignement et à la recherche et la Faculté des études supérieures et de la recherche ont tenu à féliciter les membres du corps professoral qui ont accepté d’être membres d’un comité d’évaluation par les pairs à l’un des trois grands conseils nationaux de recherche ou à l’un des trois Fonds de recherche du Québec pendant l’année 2011-2012, que ce soit pour l’évaluation de demandes de subvention ou de bourses.

En guise de reconnaissance pour le temps et l’expertise mis au service de ces comités, ces personnes ont été invitées à assister à une rencontre qui s’est déroulée en deux temps, d’abord un goûter en compagnie du recteur, Raymond Théberge, et du vice-recteur à l’enseignement et à la recherche, Neil Boucher, suivi d’un échange.

Cette activité de reconnaissance s’inscrivait dans la stratégie de la FESR qui vise l’augmentation de la capacité en recherche de l’Université de Moncton, offrant une occasion privilégiée de partager les expériences d’évaluation et échanger collectivement sur les diverses facettes du processus d’évaluation par les pairs.

Dans le cadre des activités du Symposium d’art/nature Moncton 2012 et à l’invitation du Département des arts visuels, Bénédicte Ramade, membre de l’Association internationale de critique d’art (AICA), a prononcé une conférence, intitulée « De la nature à l’écologie, évolution des réponses artistiques », en présence d’une cinquantaine de personnes au campus de Moncton.

Bénédicte Ramade enseigne à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne depuis 2006 où elle est doctorante en esthétique sur le sujet « Les formes de l’efficience. Le mouvement écologique dans l’art américain depuis les années 1960 », sous la direction de Jacinto Lageira.

Mme Ramade possède le diplôme d’études approfondies (DEA) en histoire de l’art contemporain de l’Université Paris 1 portant sur le sujet « Gordon Matta-Clark, naissances et postérité » et également la maitrise toujours de Paris 1 sur le sujet « Gordon Matta-Clark architecte - sculpteur ».

Ses conférences ont été présentées dans plusieurs universités et écoles d’art dont l’École nationale supérieure d’art de Dijon, l’Université de Montréal, l’Université du Québec à Montréal, l’École supérieure des Beaux-arts, Le Mans ou encore au Centre Pompidou et aux Rencontres internationales de la photographie d’Arles.

Elle a agi à titre de commissaire pour plusieurs expositions importantes et a participé à la publication de plusieurs catalogues d’exposition et monographies dont récemment Visions critiques, fondation Entreprise Ricard 2010-2011 : Greenologie, billet critique sur l’actualité de l’environnement dans l’art contemporain et REHAB, l’art de refaire, Paris, Gallimard (2010).

Renseignements : André Lapointe, au 387-1045.

Mélanie LeBlanc a soutenu avec succès une thèse de doctorat en sciences du langage au Département d’études françaises de la Faculté des arts et des sciences sociales de l’Université de Moncton.

La thèse de Mme LeBlanc, intitulée « Idéologies, représentations linguistiques et construction identitaire à la Baie Sainte-Marie, en Nouvelle-Écosse », cherche à décrire et à comprendre le rôle de la langue dans les processus de (re)définition de l’acadianité.

Renseignements : 858-4050.

Yves Gagnon, titulaire de la Chaire K.-C.-Irving en développement durable de l’Université de Moncton, a été nommé éditeur associé du Journal of Solar Energy Engineering (JSEE), publié par l’American Society of Mechanical Engineers (ASME).

L’objectif de la revue JSEE est de publier des travaux de recherche originaux d’intérêt permanent dans l’ensemble des énergies renouvelables et la conservation d’énergie, de même que des échanges sur les politiques publiques et les réglementations dans le secteur de l’énergie.

Avec ses étudiants et collaborateurs, les travaux du professeur Gagnon portent sur les aspects scientifiques et techniques et de politiques publiques des énergies renouvelables. Depuis sa nomination à la Chaire en 2006, ses travaux ont fait l’objet de 157 publications sous forme d’articles, de rapports et de documents divers. Il a de plus présenté 164 communications, séminaires et conférences. Depuis les six dernières années, ses travaux ont reçu plus de 1,7 million de dollars en subventions de recherche, dont plus de 400 000 $ provenant du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie (CRSNG) du Canada.

Yves Gagnon travaille en recherche et innovation dans les domaines de l’énergie éolienne, solaire, de biomasse et de petites centrales hydroélectriques. Ses travaux ont aussi fait l’objet ou ont influencé de nombreuses politiques publiques dans plusieurs provinces canadiennes. Il a aussi été invité à plusieurs reprises à donner des avis au gouvernement du Canada. Au niveau international, M. Gagnon œuvre dans plusieurs pays, en plus de collaborer avec l’Agence internationale de l’énergie.

Composé d’experts internationaux, le comité éditorial du JSEE est responsable de domaines variés de recherche dans les énergies renouvelables. Dans ses fonctions d’éditeur associé, il sera responsable de l’évaluation des articles soumis dans le domaine de l’énergie éolienne.

L’Observatoire PROVIS (prospective et veille informationnelle et scientifique) du campus de Shippagan et l’Icomtec, pôle information-communication de l’Institut d’administration des entreprises de l’Université française de Poitiers organisent la cinquième édition du Colloque spécialisé en sciences de l’information (COSSI), qui aura lieu du 19 au 21 juin 2013 au campus de Shippagan.

Cette édition spéciale s’inscrit dans le cadre des activités soulignant le 50e anniversaire de fondation de l’Université de Moncton.

Les membres des comités organisateur et scientifique invitent la communauté de recherche et de pratique en sciences de l’information et de la communication à y participer.

Thématique et pistes de réflexion du COSSI 2013 :
L’accélération des évolutions socioéconomiques et technologiques des sociétés postmodernes a des conséquences sociétales dont les impacts multiples sont loin d’être compris dans toute leur ampleur. De nombreux travaux de recherche se penchent sur la contribution des technologies de l’information au développement de l’économie du savoir dans le cadre de la société de l’information.

D’autre part, un angle de grande actualité pour les recherches en sciences de l’information et de la communication est constitué par la problématique de la culture de l’information devenue une compétence organisationnelle stratégique, en tant que concept et vision globale et systémique des attitudes et des pratiques informationnelles dépassant la portée de ce qu’est la notion courante de littératie et de ses déclinaisons.

Les chercheurs commencent ainsi à orienter davantage leur attention vers l’investigation de cette thématique, en raison de la compréhension de plus en plus aigüe des perspectives limitées que l’attention accordée aux objets techniques numériques a engendrées en égale mesure chez les preneurs de décision et chez les utilisateurs sur le plan de l’information comme contenu à gérer, et sur le plan des objets techniques numériques comme outils à manipuler, et ceci dans une perspective de processus à implications stratégiques inscrites dans la durée.

Le champ émergent de la recherche en matière de culture de l’information se caractérise actuellement par des explorations sur les contours et les significations du concept, pouvant notamment se décliner comme littératie informationnelle, culture informationnelle, intelligence informationnelle ou translittératie avec des angles de vision qui peuvent différer selon les postures épistémologiques adoptées et qui positionnent l’humain par rapport à la réalité.

D’autre part, la question de la culture de l’information est considérée comme une compétence personnelle et professionnelle à caractère stratégique en raison des nouveaux rôles informationnels que l’individu adopte à l’ère de la société de l’information et de l’économie de la connaissance.

Si de nombreuses études ont examiné la culture de l’information et son importance pour la performance de l’entreprise, l’on a étudié moins le statut stratégique de webacteur de l’individu, qui manie allègrement des objets numériques lui permettant de construire sa réalité, sans qu’il réalise toutefois la complexité et la multitude des conséquences des actes informationnels qu’il pose en égale mesure dans son parcours personnel et organisationnel. La compréhension limitée de ces multiples implications constitue un enjeu dont les dimensions se révèlent considérablement préoccupantes pour les organisations – et en même temps stimulantes, si l’on réalise que l’information constitue, de toutes les ressources à la disposition de la société et de l’économie, la seule à être inépuisable et, devenant par cet attribut même, source de développement, à part ses fonctions classiques de transmission de savoir, mémorielles ou expérientielles.

La méconnaissance des enjeux et des problématiques évoqués exerce un impact direct sur la culture organisationnelle en matière de stratégies d’information adoptées par les organisations et les institutions et conséquemment sur la gestion informationnelle, documentaire et communicationnelle en place. L’attention accordée aux investissements dédiés aux objets techniques numériques informationnelle opère un déséquilibre quant à la vision globale de la relation entre l’information – la documentation – le savoir – la communication en tant qu’actifs immatériels de valeur, d’une part, et les procédures et les outils permettant de les appréhender, de les valoriser et surtout de les pérenniser, dans une perspective de durabilité.

Réorienter le regard vers ces actifs et leur poids conséquent pour l’avenir organisationnel et sociétal permettrait de contribuer à rééquilibrer la vision de ce que constitue réellement un développement socioéconomique durable, basé sur l’accès à l’information et le maniement des technologies subséquentes. Cette transformation correspondrait à un passage du paradigme instrumental – procédural - prescriptif courant dont les limites sont manifestes, entre autres sur le plan de la production informationnelle, de la masse documentaire ou du foisonnement normatif, à un nouveau paradigme, qui est celui de la vision écologique, systémique et durable, du processus informationnel dans son ensemble et sous toutes ses formes – documentaire, informationnelle, expérientielle, communicationnelle.

Sur un plan organisationnel et personnel, ceci permettrait de faire émerger une nouvelle compétence - à caractère stratégique, caractérisée par un savoir-faire informationnel, documentaire et communicationnel apte à opérer une évolution de la compréhension et des pratiques informationnelles utilitaristes et mimétiques en cours, et qui serait plus appropriée par son caractère réfléchi et poïétique, au bon déroulement du processus informationnel et à l’atteinte des objectifs des stratégies informationnelles orientées vers le long terme, vers la création et l’innovation.

Ainsi, la compétence informationnelle durable pourrait-elle se retrouver à la confluence de la littératie informationnelle et de l’attitude d’éveil à l’environnement complexe par l’information et la connaissance, la vigilance et la collaboration en vue de l’action, confluence dépassant la translittératie et ouvrant la voie à la transculture de l’information.

Créer le terrain propice pour l’émergence du processus informationnel, documentaire et communicationnel selon une approche durable, appelle une démarche de recherche structurée en plusieurs phases et conjuguant les efforts des communautés d’intérêt et de pratique (théoriciens et praticiens) oeuvrant dans le domaine des processus informationnels, documentaires et communicationnels, dans tout type d’organisation (milieu institutionnel, corporatif, associatif).

Dans ce contexte, les contributions attendues d’ici le 31 janvier 2013 porteront sur le concept de culture de l’information et des pratiques informationnelles, documentaires et communicationnelles reliées dans une perspective de durabilité.

Les propositions – réflexions épistémologiques, conceptuelles, théoriques ou pratiques, peuvent s’inscrire dans les axes suivants : culture de l’information et pratiques documentaires durables; culture de l’information et pratiques informationnelles durables; culture de l’information et pratiques communicationnelles durables.

Les communications du 5e COSSI seront publiées dans un numéro spécial de la Revue de l’Université de Moncton, indexée dans Érudit, le Portail canadien de revues, de dépôt d'articles et d'ouvrages électroniques (http://www.erudit.org/).

Renseignements : Monica Mallowan, au 506-336-3400/3447 / observatoirePROVIS@umoncton.ca

Le Centre de commercialisation internationale (CCI) de la Faculté d’administration a organisé une série de conférences et d’activités dans le cadre de la 6e édition des Journées du commerce international, qui ont eu lieu du 1er au 4 octobre au campus de Moncton. Le thème de cette année portait sur l’industrie de l’aquaculture au Nouveau-Brunswick.

Parmi les conférenciers qui ont participé à ces Journées, mentionnons Michael Olscamp, ministre de l’Agriculture, de l’Aquaculture et des Pêches, qui a parlé des efforts du gouvernement pour le développement de l’aquaculture au Nouveau-Brunswick; Jonathan Barry, président de Breviro Caviar Inc., qui a prononcé une conférence portant sur l’entreprise et le marché du caviar; Léon Lanteigne dont l’allocution portait sur l’industrie ostréicole; et Andrew Lively, directeur de marketing chez True North Salmon, qui a discuté de son entreprise et de l’industrie de l’élevage du saumon.

Renseignements : 858-4228 / egbert.mcgraw@umoncton.ca

Du 28 septembre au 7 octobre, le Symposium d’art/nature : Moncton 2012 a présenté le travail d’une dizaine d’artistes, notamment en land art, intervention, rencontre, sculpture, installation et performance.

Organisé en marge du 50e anniversaire de fondation de l’Université de Moncton, ce Symposium a aussi proposé une série de conférences qui a exploré le thème de l’énergie en tissant des liens entre l’art et l’écologie. L'énergie constitue le cœur et le moteur de la vie. Que ce soit en agriculture, dans le transport, en construction immobilière ou encore en développement urbain, tout passe par l’énergie : sa production, sa transformation, sa consommation. Les besoins d’énergie représentent une condition incontournable pour toute action : le développement technique, l’exploration et l’extraction des ressources naturelles, mais aussi la destruction progressive de la nature et des écosystèmes.

Le Symposium a ainsi provoqué des rencontres entre les artistes, les écologistes et le public qui ont partagé des réflexions et des actions en lien avec le thème de l’énergie et, selon le coordonnateur du symposium, le professeur Ronald Babin, cette troisième édition a connu un véritable succès.

Le long métrage documentaire « Frédéric Back : grandeur nature », du réalisateur acadien néo-écossais Phil Comeau, sera présenté en ouverture du Festival international du cinéma francophone en Acadie (FICFA), le jeudi 15 novembre à 20 heures au Théâtre Capitol de Moncton. Il sera précédé du court métrage d’animation québécois « Bydlo », de Patrick Bouchard. La projection sera suivie d’une réception à la salle Empress.

Le vendredi 23 novembre à 20 heures toujours au Théâtre Capitol, c’est le drame québécois « Camion », de Rafaël Ouellet, qui sera présenté en clôture. Il sera précédé de la première mondiale du court métrage « Julie au bois », du réalisateur acadien Julien Cadieux. À la suite de la projection, le jury remettra les prix La vague 2012 et le tout sera suivi d’une réception à la salle Empress.

Frédéric Back : Grandeur nature – Phil Comeau
De tous les créateurs de notre temps, Frédéric Back compte parmi les plus grands. Empreintes d'une lumineuse poésie, les images de ses films sont immortelles autant qu'universelles, dans leur fraicheur et l'émotion qu'elles suscitent. Artiste visuel et cinéaste d'animation, son œuvre est immense, son message, irrésistible.

En représentant la beauté de la Terre, Frédéric Back est un précurseur et le plus convainquant des militants écologiques. « Grandeur nature » déroule le film d'un parcours exceptionnel, remontant aux sources premières de l'inspiration, revisitant l'enfance, la jeunesse en Alsace, à Paris et en Bretagne, avant la carrière, l'amour, la vie au Québec. Gagnant de deux Oscars pour « Crac! » et « L'homme qui plantait des arbres », Frédéric Back est aujourd'hui à l'âge de la grande sagesse. Il est toujours aussi passionné, aussi émerveillé, ou indigné. Toujours inspirant.

Phil Comeau, réalisateur et scénariste originaire de la Baie Sainte-Marie en Nouvelle-Écosse, a étudié et travaillé à Moncton et ensuite à Paris. Il a réalisé plus de 100 films, émissions, téléséries, longs métrages de fiction et documentaires. Ses films ont été diffusés sur plus de 60 réseaux de télévision à travers le monde et ont remporté 31 prix ici et à l'étranger. Il a été nommé membre de l'Ordre du Canada en 2010.

« Frédéric Back : grandeur nature » a reçu le Prix du public ARTV au Festival international des films sur l’Art de Montréal en mars dernier.

Julie au bois – Julien Cadieux
Julie, à la veille de ses 18 ans, quitte sa région acadienne et rejoint sa cousine installée à Québec pour fêter « comme du monde » sa majorité, dans de vrais bars, avec du vrai alcool et des vraies cartes d'identité. Mais ce passage à l'âge adulte n'est pas qu'une question d'âge. Certains mûrissent bien plus tard que d'autres et Julie l'apprendra à ses dépens dans cet anti-conte de fée.

Après avoir obtenu le diplôme en production télévisuelle de La Cité collégiale, Julien Cadieux termine ses études à l'Université Concordia de Montréal en production cinématographique. Scénariste, réalisateur et monteur, il compte plusieurs œuvres à son actif, dont « Habiter la Danse », prix La vague de la meilleure œuvre acadienne court métrage en 2009, « Le Vieux Garçon » et « Récits d'Hyperinflation ». En 2011, il coréalise la série télévisée « 1755, la gang arrive ». De plus, il collabore avec divers artistes, dont la chorégraphe Julie Duguay sur divers projets.

Renseignements : 378-0645 / communications@ficfa.com

Le chancelier de l’Université de Moncton, Louis R. Comeau, a annoncé à la dernière réunion du Conseil des gouverneurs qu’il souhaitait mettre fin à son mandat le 31 décembre prochain.

À sa réunion du 20 septembre 2003, le Conseil des gouverneurs a adopté une politique relativement à la sélection d’une ou d’un chancelier. Selon cette politique, c’est le Comité exécutif du Conseil des gouverneurs qui est chargé de mettre en œuvre le processus de sélection.

La procédure prévoit deux types de consultation auprès de la communauté universitaire. La première consiste à solliciter des avis quant aux qualités recherchées pour une ou un chancelier. Par la suite, lorsque le Conseil des gouverneurs aura adopté le profil des qualités, il y a aura une deuxième consultation invitant la communauté à suggérer des personnes candidates susceptibles d’occuper le poste compte tenu du profil établi.

Ceci est la première étape de la consultation. Le comité exécutif invite les membres de la communauté universitaire à fournir des avis quant aux qualités recherchées chez la prochaine ou le prochain chancelier. Selon le paragraphe 79(2) des Statuts et règlements, le rôle de la ou du chancelier est le suivant : « Le chancelier incarne l’Université d’une façon personnelle, visible et essentielle; il ou elle en symbolise la fonction, l’esprit et l’unité. »

Les renseignements devront être soumis au Secrétariat général au plus tard le mardi 30 octobre selon l’un des moyens suivants : par courriel à secgen@umoncton.ca ou par courrier au Secrétariat général, 18, avenue Antonine-Maillet, Université de Moncton - Campus de Moncton, Moncton, N.-B., E1A 3E9.

Les personnes intéressées sont invitées à assister à la la présentation des rapports de stage de la maîtrise en études de l’environnement, le jeudi 11 octobre à 13 h 30 dans la salle A-244 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton, ou dans la salle 307 au campus de Shippagan,

Voici les titres des présentations de stage : Environnement, partenariats et éducation - une combinaison gagnante (Isabel Therrien); Expérience sur la sédimentation de la rivière Cocagne (Julie Mallet); Stage à la Coopérative d'énergie renouvelable du Nord-Ouest (Rémi Gervais); et Initiation à la collecte de données environnementales et paléoécologiques (Frantz Dorcel Ady).

Bienvenue à toutes et à tous.

Renseignement: 858-4498.

Un dîner a été organisé dans le cadre de la réunion annuelle du Conseil économique des provinces atlantiques avec comme thème « Est-ce que nos jeunes doivent partir pour réussir ? ».

Ciné-Campus présente « La délicatesse », un film de David et Stéphane Foenkinos, avec Audrey Tautou et François Damiens, les jeudi et vendredi 11 et 12 octobre à 20 heures dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton.

Nathalie a tout pour être heureuse. Elle est jeune, belle et file le parfait amour. La mort accidentelle de son mari va couper son élan. Pendant des années, elle va s'investir dans son travail, se sentir en parenthèse de sa vie sensuelle. Mais subitement, sans qu'elle comprenne vraiment pourquoi, elle embrasse l’un de ses collègues, Markus, un homme très atypique. S'ensuit alors la valse sentimentale de ce couple hautement improbable qui va susciter interrogation et agressivité au sein de l'entreprise. Choisit-on vraiment par quel moyen on renaît à la vie ? Nathalie et Markus vont finir par fuir pour vivre leur histoire et leur émerveillement à l'abri de tout. Cette histoire de renaissance est aussi celle de l'étrangeté amoureuse.

L’entrée est de 5 $ pour les étudiants et 7 $ pour les autres.

Renseignements : 858-3738 / www.umoncton.ca/umcm-sls

La soprano Lisa Roy et le pianiste Carl Philippe Gionet s’unissent à nouveau pour présenter « Voyage à Paris », un récital de musique française, le vendredi 12 octobre à 20 heures dans la salle La Caserne, en coproduction avec le Centre des arts et de la culture de Dieppe, et le dimanche 14 octobre à 15 heures en l’église Saint-Joachim de Bertrand.

Sur des poèmes de V. Hugo, G. Apollinaire, T. Gauthier, P. Verlaine et T. de Viau, ils vous proposent des mélodies de Reynaldo Hahn, le cycle Banalités, de Francis Poulenc, Les nuits d’été, d’Hector Berlioz, ainsi que les Nocturne Op. 48, de Frédéric Chopin. Les spectateurs et les spectatrices seront transportés dans l’univers des salons parisiens.

Doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales de l’Université de Moncton depuis 2011, la soprano Lisa Roy demeure active comme interprète. Quoique ses projets de recherche-création au cours des dernières années aient beaucoup porté sur la musique vocale avec instruments obligato, elle renoue cette fois avec l’interprétation de la mélodie française dans sa forme la plus pure.

Que ce soit comme soliste ou accompagnateur, le pianiste acadien Carl Philippe Gionet est un collaborateur recherché et travaille avec de nombreux interprètes au Canada, aux États-Unis, en Europe et au Moyen-Orient. Ses prochains engagements l’emmèneront en Angleterre, en Autriche et en Israël. Revenir jouer en Acadie le plus régulièrement possible lui tient énormément à cœur.

Renseignements : Lisa Roy, au 874-2999 / www.centredesartsdieppe.ca

Quarante ans plus tard, Perce-Neige publie une édition spéciale anniversaire du recueil « Cri de terre », du poète Raymond Guy LeBlanc.

Celui qui est présentement chargé de cours au Secteur langue de la Faculté des arts et des sciences sociales a eu le courage voilà 40 ans de publier un premier livre en français au Canada à l’extérieur du Québec. Il a ainsi pavé la voie à bien d’autres poètes.

Quand il a écrit « Cri de Terre », M. LeBlanc a voulu rappeler à la population anglophone de nous écouter parce que nous avions quelque chose à dire. « Comme peuple, nous ne sommes pas gênés d’être là et de prendre notre place », avait-il dit.

Cette édition spéciale est en vente à la Librairie acadienne du campus de Moncton.

L’écrivain et scénariste Jacques Savoie présentera un atelier/conférence, intitulé « Du roman au scénario : une introduction à la scénarisation », le vendredi 19 octobre à 13h 30 dans la salle 207 de l’édifice des arts au campus de Moncton.

L’entrée est libre et bienvenue à tous et à toutes.

Renseignements : 387-5056 / culturel@afmoncton.ca

La programmation de la FrancoFête en Acadie est maintenant dévoilée. Quelque 60 artistes se présenteront sur scène dans le cadre de vitrines, du Cercle SOCAN et des Oiseaux de nuit qui donneront l’occasion au public de voir et d’entendre ce qui se fait de mieux en musique francophone. La ville de Dieppe accueillera du 7 au 11 novembre la 16e édition de cet événement annuel des arts de la scène en Atlantique.

Les divers événements publics de la FrancoFête en Acadie auront lieu au Centre des arts et de la culture de Dieppe, dans la salle du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton, au Théâtre Capitol et dans la salle Empress. Le volet professionnel aura lieu à l’hôtel Ramada Plaza Palais Crystal (499, rue Paul, Dieppe). À la demande de la FrancoFête, une nouvelle série de spectacles organisée par le bar Plan b, Les Aft’heures, auront lieu tard en soirée.

Nouveauté pour le public : des passes FrancoFête
Pour les amoureux de la FrancoFête et tous ceux et celles qui ne veulent rien manquer, les nouvelles passes FrancoFête sont une façon économique d’y prendre part. Cette passe permet d’avoir accès aux vitrines et au Cercle SOCAN et donne la priorité à son détenteur aux soirées Oiseaux de nuit dont l’entrée est libre mais l’espace étant limité. Les passes FrancoFête pour le public sont en vente au coût de 28 $ pour les étudiants et 48 $ pour les autres.

Ouverture officielle
L’ouverture officielle de la 16e FrancoFête en Acadie aura lieu le mercredi 7 novembre à 17 heures au Centre des arts et de la culture de Dieppe, situé au 331, rue Acadie, avec un cocktail dinatoire. À 18 h 30, on procédera également à la remise des prix RADARTS 2011-2012 aux diffuseurs membres de l’organisme. Le public est invité.

Vente des billets et des passes
Les billets individuels et les passes pour la FrancoFête en Acadie sont présentement en vente. Il est possible de les obtenir pour les différents spectacles en personne au Théâtre Capitol, au théâtre l’Escaouette, au Centre étudiant du campus de Moncton, chez Frank’s Music, au Centre des arts et de la culture de Dieppe et au Monument Lefebvre à Memramcook; par téléphone, au 506-856-4379 ou 1-800-567-1922 ou sur Internet à www.capitol.nb.ca. Les billets seront également en vente à l’entrée le soir du spectacle, lorsqu’il en reste. L’entrée pour les soirées Oiseaux de nuit ou les vitrines jeune public est libre. Les billets pour les Aft’heures du Plan b seront en vente à l’entrée ou à l’avance au Plan b seulement au coût de 10 $.


La FrancoFête en Acadie
La FrancoFête en Acadie est mise en oeuvre par l’équipe de RADARTS. Il s’agit d’un des événements culturels francophones pluridisciplinaires les plus importants du Canada atlantique consacré entièrement à la promotion, à la diffusion et à la mise en valeur des arts de la scène acadienne et francophone.

Toute la programmation peut être consultée à www.francofete.com.

De toute évidence, être actif permet à l'individu d'avoir une meilleure santé.

Le Comité de mieux-être du campus de Moncton vous lance un défi, celui de faire des activités familiales ou communautaires pendant tout le mois d'octobre. Vérifier auprès de vos municipalités respectives puisque plusieurs activités intéressantes sont possibles.

Voici une recette d'automne santé :
http://www.canalvie.com/cuisine/recette/2406/courge-spaghetti-et-sauce-aux-lentilles-corail/

Préparez-vous à lire les finalistes des Prix littéraires du Gouverneur général de 2012. Les comités d’évaluation par les pairs du Conseil des arts du Canada ont choisi les finalistes de cette année parmi environ 1 700 livres soumis dont 683 en français, choisissant des œuvres qui racontent aux lecteurs et lectrices des histoires irrésistibles à propos d’eux-mêmes et du monde qui les entoure.

Les Prix littéraires du Gouverneur général, aussi appelés les GG, sont décernés à des ouvrages dans les catégories romans et nouvelles, essais, poésie, théâtre, littérature jeunesse (texte et illustrations) et traduction, en langue française et en langue anglaise.

Parmi les finalistes de 2012, deux auteurs de l’Acadie y figurent, France Daigle pour son ouvrage « Pour sûr » (Éditions du Boréal; distribué par Diffusion Dimedia), et Fredric Gary Comeau, pour « Souffles » (Écrits des Forges; distribué par Prologue).

Les finalistes des Prix littéraires du Gouverneur général sont choisis par des comités d’évaluation par les pairs (sept en anglais et sept en français), dont les membres sont nommés par le Conseil des arts. Les comités se réunissent séparément et examinent tous les livres admissibles parus entre le 1er juillet 2011 et le 30 juin 2012 pour les livres de langue française, et entre le 1er septembre 2011 et le 30 septembre 2012 pour les livres de langue anglaise.

Le Conseil des arts finance, administre et assure la promotion des Prix littéraires du Gouverneur général. Chaque lauréat recevra un montant de 25 000 $ ainsi qu'un exemplaire spécialement relié de son œuvre primée. De plus, l'éditeur de chaque ouvrage gagnant recevra une subvention de 3 000 $ pour ses activités de promotion. Enfin, la somme de 1 000 $ sera remise aux finalistes non-lauréats pour souligner leur accession au rang de finaliste. La valeur totale des Prix littéraires s’élève à près de 450 000 $.

Le nom des gagnants sera dévoilé lors d’une conférence de presse le mardi 13 novembre, à 10 heures au Conservatoire de musique et d’art dramatique du Québec à Montréal. David Johnston, gouverneur général du Canada, remettra les Prix littéraires aux lauréats de 2012, le mercredi 28 novembre à 18 heures à Rideau Hall.

Dominique Breau accompagné du musicien Julien Breau
Kevin Arseneau en première partie
Le mercredi 24 octobre à 20 heures au bar étudiant Le Coude du Centre étudiant.
Entrée : 8 $ pour les étudiants, 18 $ pour les autres (tous frais compris).

Théâtre populaire d’Acadie – Encore
Le jeudi 25 octobre à 20 heures dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois.
Billets : 8 $ pour les étudiants, 18 $ pour les autres (tous frais compris).

Autres spectacles dont les billets sont présentement en vente :
6 novembre - Coup de cœur francophone – Les rencontres qui chantent.
14 novembre – Coup de cœur francophone – Lisa LeBlanc, Daniel Roa et Marijosé.
17 novembre – Coup de cœur francophone – Caroline Savoie et RAZZIA.
24 novembre – Coup de cœur francophone – Vincent Vallières et Ingrid St-Pierre.
1er décembre – Coup de cœur francophone – Shawn Jobin, Sébastien Belzile.
6 décembre – Coup de cœur francophone – Ginette Ahier et Gaëlle.

On peut joindre la billetterie au numéro 858-4554.

Renseignements : loisirs@umoncton.ca / 858-3738
www.umoncton.ca/umcm-sls

Sylvette Guitard fera la soutenance d’une thèse de maîtrise en science infirmière, intitulée « Le phénomène de la pratique de la communication avec des personnes en fin de vie : l’expérience vécue d’infirmières en soins palliatifs hospitaliers », le jeudi 11 octobre à 10 heures dans le local A-244 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

Le jury est composé de Suzanne Harrison, présidente, Mélanie Vachon, évaluatrice externe, Pierre Godbout, évaluateur interne, et Anne Charron, directrice de thèse.

Bienvenue à tous et à toutes.

Renseignements : 858-4255.

Le Département de philosophie et sciences religieuses, en collaboration avec la Faculté des arts et des sciences sociales de l’Université de Moncton et le Salon du livre de Dieppe, invite la communauté universitaire à assister une la conférence portant sur les défis éthiques contemporains, en compagnie de Melchior Mbonimpa, professeur titulaire au Département de sciences religieuses de l’Université de Sudbury, le vendredi 19 octobre à 15 h 30 dans le local 050 du pavillon Jean-Cadieux au campus de Moncton.

Renseignements : 858-4294 / paul.bernier@umoncton.ca

Kathleen McKay fera la soutenance de thèse de doctorat en psychologie, intitulée « L’inventaire des réponses volontaires à la discrimination sexiste : l’engagement et le désengagement à l’endroit de la discrimination sexiste et les retombées sur la santé mentale », le mercredi 17 octobre à 13 h 30 dans la salle Gérard-Cormier (504) du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.

La directrice de la thèse est la professeure Ann Beaton.

Renseignements : 858-4864.

Le public est invité à découvrir l’un des écrivains les plus prolifiques et adulés du 20e siècle aux Rendez-vous de l’ONF en Acadie. « Le mystère de Mazo de la Roche » (2011, 52 minutes) prendra l’affiche le lundi 15 octobre à 19 heures dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton. L’entrée est libre.

La réalisatrice Maya Gallus propose un portrait de celle qui, depuis sa mort en 1961, suscite la fascination, et partout au monde de nouvelles générations de lecteurs s’interrogent à son sujet.

La projection principale sera précédée du court métrage d’animation « Romance », de Georges Schwizgebel (2011, 7 minutes). Deux étrangers, un homme et une femme, s’assoient côte à côte dans un avion. L’esprit du voyageur bascule dans une autre réalité sous l’influence de l’inconnue. La logique des désirs s’impose et une grande saga amoureuse prend alors forme. Réalisée au crayon, au pastel et à l’acrylique et soutenue par un dialogue ardent entre le violoncelle et le piano, « Romance » est une éblouissante transcription visuelle du scherzo.

Le mystère de Mazo de la Roche
En 1927, le roman « Jalna de Mazo de la Roche », qui relate la dramatique histoire d’une dynastie familiale, lui vaut immédiatement la reconnaissance internationale et la fortune. À son décès, on dénombre 11 millions d’exemplaires vendus en 93 langues et « Mazo de la Roche » reste encore aujourd’hui l’un des principaux auteurs à succès du pays. Malgré cette célébrité, sa vie privée est une énigme car l’écrivaine est une fabuliste au sens le plus profond du terme : elle et sa compagne de toujours Caroline Clement - sœur adoptive, cousine et muse - se sont façonnées des personnalités publiques faisant rempart à leur vie secrète.

Bientôt à l’affiche
Dès la semaine du 21 octobre, le film « Les boxeuses de Kaboul » (2011, 52 minutes), d’Ariel Nasr, prendra l’affiche. C’est l’histoire de courageuses athlètes, loyales à leur pays, qui osent néanmoins défier les traditions. Le film sera précédé du court métrage d’animation « Bydlo », de Patrick Bouchard (2012, 9 minutes).

La programmation complète de la saison peut être consultée à http://www.onf.ca/rendez-vous

Renseignements : 384-6897 / madoblan@nbnet.nb.ca

Le Service de l’activité physique et sportive du campus de Moncton a choisi le coureur Jérémie Pellerin, de Cocagne, et la défenseure Geneviève David, d'Acton Vale, au Québec, comme athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed pour la période du 1er au 7 octobre à l’Université de Moncton.

Pellerin a terminé au 6e rang lors de la course de cross-country présentée par Acadia University samedi à Wolfville. Il en est à sa deuxième saison avec les Aigles Bleus et s'affirme de plus en plus à chaque course. Il a terminé à 43 secondes du meneur malgré la fièvre qui l’accablait. Il est étudiant en administration-comptabilité.

Dimanche au hockey féminin, Geneviève David a su mener son équipe à une victoire de 3 à 2 aux dépens des Stingers de Concordia University. Elle a récolté une passe sur le but gagnant en troisième période. Elle est étudiante en travail social.