L’Université de Moncton a décerné 1 021 nouveaux diplômes dans ses trois campus durant l’année universitaire 2015-2016.

Le samedi 28 mai, plus de 500 finissantes et finissants sont venus chercher leur diplôme à la cérémonie du campus de Moncton qui s’est tenue au stade du Ceps Louis-J.-Robichaud.

Lors de la cérémonie, Claude Robinson a reçu un doctorat honoris causa en arts et sciences humaines et un éméritat en biologie a été remis à Andrew Boghen.

Le prix d’excellence en encadrement de l’Université de Moncton a été décerné à Marc Surette, professeur au Département de chimie et biochimie. Attribué pour la première fois par l’Université de Moncton, ce prix est offert à une professeure ou un professeur qui s’est démarqué durant les dernières années par son engagement exceptionnel à l’égard de l’apprentissage de ses étudiantes et ses étudiants en raison de la qualité de son enseignement. Cette reconnaissance est accompagnée d’une bourse de 1 000 $.

La médaille d’or du Gouverneur général du Canada a été remise à Tanya Arseneault, de Dieppe, finissante au doctorat en sciences de la vie avec une moyenne de 4,3. La médaille d’argent a quant à elle été remise à Guillaume Deschênes-Thériault, de Kedgwick, qui a terminé le baccalauréat ès sciences sociales (spécialisation en science politique) avec une moyenne de 4,2916.

L’Université a de plus souligné l’implication exemplaire de cinq finissantes et finissants qui ont obtenu l’Ordre du mérite Bleu et Or. Cette distinction, la plus prestigieuse de l’établissement, est remise à des finissantes et finissants dont le rendement académique et le leadership para académique sont remarquables.

Les récipiendaires de cette année sont Mariama Laïla Barry, de Conakry, en Guinée, finissante au baccalauréat en administration des affaires (finance); Jean Freddy Bobo Mukinayi, de la République démocratique du Congo, finissant au baccalauréat en administration des affaires (systèmes d’information organisationnels – régime coopératif); Guillaume Deschênes-Thériault, de Kedgwick, finissant au baccalauréat ès sciences sociales (spécialisation en science politique); Pascale Joëlle Fortin, de Saint-Quentin, finissante au baccalauréat en administration des affaires (comptabilité – régime coopératif); et Mathieu Lemieux, de Saint-Jacques, finissant au baccalauréat ès arts multidisciplinaire (science politique) au campus d’Edmundston.

Le discours d’adieu au nom des finissantes et des finissants a été prononcé par Jean-Sébastien Landry, originaire de Cap-Pelé au Nouveau-Brunswick et diplômé du baccalauréat en éducation (secondaire).

La cérémonie de collation des grades du campus de Shippagan s’est tenue le 20 mai alors que celle du campus d’Edmundston a eu lieu le 21 mai dernier.

Des statistiques détaillées sur les grades décernés (par cycle d’étude, par faculté, etc.) sont disponibles au www.umoncton.ca/nouvelles/documents/UMoncton_diplomes_2015_2016.pdf

Marc Surette, professeur titulaire au Département de chimie et biochimie et titulaire de la Chaire de recherche en innovation du Nouveau-Brunswick en biosciences, a reçu le prix d’excellence en encadrement lors de la collation des grades du campus de Moncton, qui s’est tenue le 28 mai.

Attribué pour la première fois par l’Université de Moncton, le prix d’excellence en encadrement est offert à une professeure ou un professeur qui s’est démarqué durant les dernières années par son engagement exceptionnel à l’égard de l’apprentissage de ses étudiantes et étudiants en raison de la qualité de son encadrement. Cette reconnaissance est accompagnée d’une bourse de 1 000 $.

Le professeur Surette est très actif en recherche, une dimension qu’il intègre souvent dans ses cours. Il a supervisé une cinquantaine d’étudiantes et d’étudiants à la fois au baccalauréat, à la maîtrise, au doctorat et au niveau postdoctoral. Il a ainsi influencé très favorablement la trajectoire académique d’un grand nombre d’entre eux.

La photo, prise lors de la collation des grades du campus de Moncton, tenue le samedi 28 mai dernier nous fait voir, de gauche à droite, Guillaume Deschênes-Thériault, de Kedgwick, diplômé au Baccalauréat ès sciences sociales (spécialisation en science politique) et récipiendaire de la médaille d’argent avec une moyenne de 4,2916; Tanya Arseneault, de Dieppe, médaillée d’or aux cycles supérieurs qui a obtenu une moyenne de 4,3 au Doctorat en sciences de la vie; Jocelyne Roy Vienneau, lieutenante gouverneure du Nouveau-Brunswick; Raymond Théberge, recteur et vice-chancelier; et Jean-Sébastien Landry, porte-parole des finissantes et finissants.

Son Excellence monsieur Ousmane Paye, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire du Sénégal au Canada, et monsieur Saïba Sylla, premier conseiller de l’ambassade du Sénégal au Canada étaient de passage à l’Université de Moncton, le 18 mai dernier, dans le cadre de la visite officielle de son Excellence au Nouveau-Brunswick. Son Excellence et monsieur Sylla étaient accompagnés de monsieur James Thériault, directeur de la Francophonie multilatérale du Bureau du conseil exécutif du gouvernement du Nouveau-Brunswick. Ils ont rencontré le recteur et vice-chancelier Raymond Théberge et la vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales, Marie-Linda Lord.

Les membres de la Mission humanitaire Haïti 2016 de l’Université de Moncton sont revenus au pays avec un sentiment d’accomplissement et de fierté.

Les trente-deux membres de l’équipe ont acheminé plus de trois tonnes d’équipement sportif, de la fourniture scolaire et des médicaments dans la région de Camp Perrin.

Pendant leur séjour, les étudiantes et étudiants de l’Université de Moncton ont offert à plus de 2 000 enfants haïtiens des ateliers de jeux éducatifs comme moyens de développement psychosocial afin de combattre la pauvreté, la maladie et de promouvoir l’entraide.

La délégation a également parrainé et fourni de l’équipement à huit équipes pour un tournoi de soccer U-14. Plusieurs parties amicales entre adultes canadiens et haïtiens ont également eu lieu.

De plus, la rénovation d’une école, comme projet micro-économique, a été financée et complétée à l’aide de la délégation et de généreux dons de la communauté néo-brunswickoise et d’ailleurs. Plus de trente personnes ont trouvé du travail grâce à cette initiative.

Afin de permettre au public de mieux comprendre l’envergure de cette mission forte en émotions, une soirée témoignage a eu lieu le 27 mai dernier à l’Université de Moncton.

Pour plus d’information, prière de communiquer avec Roger G. LeBlanc par téléphone au (506) 858-4967 ou par courriel à l’adresse roger.g.leblanc@umoncton.ca

Deux étudiantes, sous la direction de Mathieu Bélanger, directeur de la recherche au Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick (CFMNB), ont été honorées le 17 mai 2016 lors d’une cérémonie de remise des mentions d’honneur du vice-doyen à la recherche et aux études supérieures de la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l’Université de Sherbrooke.

Véronique Thibault, étudiante à la maîtrise en sciences cliniques, et Stéphanie Ward, étudiante au doctorat en sciences cliniques, se sont vu remettre cette reconnaissance qui souligne les meilleurs résultats académiques, la productivité scientifique, l’importance et les retombées de la recherche et les implications parascolaires des candidates et candidats.

À la suite d’un processus de sélection très rigoureux, les mentions d’honneur du vice-doyen à la recherche et aux études supérieures de la Faculté de médecine et des sciences de la santé sont accordées à l’élite étudiante des programmes gradués de l’Université de Sherbrooke.

Margaux Roch-Gagné, étudiante au doctorat professionnel en psychologie à l’École de psychologie de l’Université de Moncton, est récipiendaire du prix Ken Bowers de la Société canadienne de psychologie.

La Section de psychologie clinique évalue, chaque année, les communications soumises par les étudiantes et étudiants pour une présentation au congrès annuel de la Société canadienne de psychologie et décerne un certificat et une bourse de 1 000 $ à l’étudiante ou l’étudiant ayant soumis la communication la plus méritoire. Madame Roch-Gagné a soumis les résultats de sa thèse intitulée « Étude de faisabilité sur le traitement de symptômes d’anxiété généralisée à l’aide d’une thérapie par Internet d’exposition par l’écriture » et réalisée sous la direction de la professeure et psychologue France Talbot. Sa communication a été retenue pour son originalité, son aspect appliqué et sa valeur à titre de contribution à la recherche clinique.

L’étude de madame Roch-Gagné, subventionnée par la Faculté des études supérieures et de la recherche et faisant l’objet d’une bourse d’études supérieures du Nouveau-Brunswick STGM et Innovation sociale, visait à améliorer la gestion de l’inquiétude à l’aide de l’exposition par l’écriture.

La réaction normale face à une situation qui cause de l’anxiété est de l’éviter. Dans certaines situations, une réaction d’évitement est déclenchée même s’il est peu probable qu’un danger se produise. La recherche montre que dans ce cas, l’évitement n’est pas utile à long terme et qu’en fait, il maintient l’anxiété. L’exposition implique de faire face à ces situations au lieu de répondre par l’évitement. En faisant face aux situations anxiogènes de façon répétée, l’anxiété finit par diminuer. Il s’agit d’une technique de thérapie cognitivo-comportementale efficace pour la gestion de l’anxiété.

Dans l’étude de madame Roch-Gagné, l’écriture a été utilisée comme méthode d’exposition. Le programme de thérapie développé, nommé À-tête-reposée, était d’une durée de six semaines et a été offert en français et en anglais à travers le Nouveau-Brunswick. Il comportait un module psychoéducationnel et cinq séances hebdomadaires d’écriture de 30 minutes chacune. Les participantes et participants recevaient chaque semaine des courriels leur offrant des directives et du soutien ainsi que des questionnaires à compléter. Les résultats obtenus auprès de 45 participantes et participants offrent un appui préliminaire à l’utilisation d’un tel programme de thérapie.

La thèse de madame Roch-Gagné s’inscrit dans le cadre d’une série de recherches menées au Laboratoire de psychologie clinique de l’adulte, visant à faciliter l’accès aux traitements psychologiques fondés sur des données probantes à l’aide de thérapies à distance.

François Poirier, élève de la 11e année à l’École Louis-J.-Robichaud de Shediac, a remporté le premier concours Jeunes reporters Acadie, une activité parrainée par Radio-Canada Acadie. Il est également récipiendaire d’une bourse d’études de 2 000 $ de l’Université de Moncton.

L’Université a également remis une bourse d’études de 1 000 $ à la participante Caitlin Maillet, élève de la 11e année à l’École Clément-Cormier de Bouctouche. Son nom a été tiré au sort parmi les participantes et participants du concours.

La représentante ou le représentant de la Fédération des jeunes francophones du Nouveau-Brunswick (FJFNB) de chaque école secondaire francophone du Nouveau-Brunswick ainsi que les représentantes et représentants des quatre régions ont reçu une bourse d’études de l’Université de Moncton de 500 $ pour souligner leur engagement et leur leadership.

De plus, lors de l’Assemblée générale annuelle de la FJFNB, qui a eu lieu à l’École secondaire Népisiguit de Bathurst le 22 mai dernier, trois représentantes et un représentant ont été reconnus pour leur contribution remarquable au sein de leur école, soit Caroline Akerley, élève de la 12e année de l'école Grande-Rivière, Collin Daigle, élève de la 12e année du Centre scolaire Samuel-de-Champlain, Justine Pelletier, élève de la 12e année de la polyvalente Thomas Albert, et Ariane Rioux, élève de la 12e année de la polyvalente A.-J.-Savoie.

Afin de souligner cet honneur, l’Université a bonifié de 500 $ la bourse qu’ils ont reçue en tant que représentante ou représentant de la FJFNB. Leur bourse s’élève donc à 1000 $.

Maurice Saulnier a soutenu avec succès sa thèse de doctorat en éducation à l’Université de Moncton le vendredi 20 mai 2016. Sa thèse a pour titre « Une étude sur le vécu de sujets ayant manifesté de la résilience sur le plan identitaire chez les francophones des provinces de l’Atlantique ».

La recherche de M. Saulnier présente et analyse le vécu de six personnes qui ont subi et surmonté beaucoup d’adversité au cours de la lutte pour la gestion scolaire chez les francophones des provinces de l’Atlantique. Chacune de ces personnes a su résister aux obstacles, aux pressions et aux menaces pour mener à terme un projet dont l’enjeu était identitaire. Cette recherche examine le rapport ou la relation qui existe entre l’identité ethnolinguistique des sujets et la résilience dont ils ont fait preuve. Elle cherche à comprendre la relation ou l’influence que les facteurs culturels ont sur le développement de la capacité de résister et de surmonter l’adversité sur le plan linguistique et culturel.

Six sujets ont été interviewés, deux sujets au Nouveau-Brunswick, deux en Nouvelle-Écosse, un sujet à l’Île-du-Prince-Édouard et un à Terre-Neuve-et-Labrador. Chaque sujet a participé activement à la lutte pour la gestion scolaire dans sa province. Il est reconnu dans sa communauté comme ayant subi beaucoup d’adversité durant cette lutte et pour avoir manifesté de la résilience face à cette adversité.

L’Université de Moncton a offert des bourses d’études aux gagnantes et gagnants de la 12e finale du concours Accros de la chanson, qui a eu lieu le 21 mai dernier à l’École secondaire Népisiguit de Bathurst.

Le groupe gagnant, Altitude, est composé de quatre élèves de l’école Mgr-Marcel-François-Richard de Saint-Louis-de-Kent, soit Josée Vautour, Ryan Ouellette, Justin Doucette et Mathieu Arsenault. Ils sont les bénéficiaires de bourses d’études de l’Université de Moncton d’un montant de 1 500 $ chacun pour avoir remporté les honneurs dans la catégorie Groupe.

L’Université offre chaque année un montant totalisant 6 000 $ au groupe gagnant pour un maximum de 1 500 $ par participant.

Arianne Caissie, élève du Centre scolaire Samuel-de-Champlain et gagnante dans la catégorie Solo, a reçu une bourse de 1 500 $.

Le Bureau du recrutement étudiant du campus de Moncton a organisé une journée portes ouvertes, le 19 mai dernier. À cette occasion, plus de 700 élèves des écoles secondaires francophones des Maritimes ont été accueillis au Stade Moncton 2010 et ont participé à des ateliers organisés par les facultés et écoles en plus de visiter le campus.