Sébastien Deschênes, professeur et directeur du Département de comptabilité de la Faculté d’administration, est le récipiendaire du Prix d’excellence en enseignement de l’Université de Moncton.

Le Prix lui a été remis lors de la collation des diplômes au campus de Moncton, le samedi 25 mai au Ceps Louis.-J.-Robichaud.

M. Deschênes enseigne à l’Université de Moncton depuis 2002. Il possède le baccalauréat en comptabilité de l’Université du Québec à Trois-Rivières, la maîtrise en finance de l’Université de Sherbrooke et le doctorat en administration de l’Université du Québec à Trois-Rivières. Il est directeur du Département de comptabilité de la Faculté d’administration depuis 2011. Il possède les titres de comptable agréé (CA) et d’analyste financier certifié (CFA).

Au cours de sa carrière, il a publié de nombreux articles scientifiques et a prononcé plusieurs communications dans le cadre de congrès et de conférences universitaires. Il a également participé à plusieurs occasions à de nombreux congrès de l’Association des sciences administratives du Canada et de l’Atlantic School of Business à titre de réviseur. Il est également membre du Sénat académique de l’Université de Moncton depuis 2008, et il siège aux conseils d’administration de l’Institut des comptables agréés du Nouveau-Brunswick et de la Caisse populaire Beauséjour.

Le professeur Deschênes est également très engagé dans différents projets de la Faculté d’administration. Il est l’un des instigateurs de la Salle des marchés et du Fonds de placement étudiant Louisbourg, deux projets qui permettent aux étudiants et étudiantes de mettre en pratique leurs connaissances grâce à des expériences simulées. Il a aussi participé à la conception du cours ADMIN 3500 - Jeux du Commerce, qui permet de préparer les étudiants et étudiantes qui participent à cette compétition universitaire, et il est l’un des instigateurs du projet de délocalisation partielle du diplôme de 2e cycle en comptabilité financière offert aux HEC Montréal. Grâce à cette entente, les étudiants et étudiantes pourront faire deux des trois sessions du programme de 2e cycle en comptabilité financière des HEC Montréal au campus de Moncton, facilitant ainsi l’accès à la profession de comptable agréé pour les francophones.

Reconnu par ses pairs et par la population étudiante comme étant un professeur disponible et à l’écoute, Sébastien Deschênes a su transmettre sa passion pour la comptabilité à plusieurs étudiantes et étudiants. Il n’hésite jamais à en conseiller plusieurs sur les différentes possibilités qui s’offrent à eux après l’obtention de leur diplôme. Il a également offert de son temps pour préparer ses étudiants et étudiantes à leur participation à des compétitions comme les Jeux du Commerce et la Rotman International Trading Competition.

Ce prix d’excellence souligne le rendement exceptionnel en enseignement d’un membre du corps professoral d’un des trois campus. Il est aussi accompagné d’une bourse de 1 000 $ qui peut être utilisée pour payer des frais de participation à des congrès ou colloques, pour l’achat ou le développement de matériel didactique et informatique, ou encore pour financer d’autres activités reliées à l’enseignement.

L’Université de Moncton a délivré 857 diplômes lors de la collation des diplômes à son campus de Moncton, qui a eu lieu le samedi 25 mai dans le stade Vance-Toner du Ceps Louis-J.-Robichaud.

Près de 3 000 personnes ont assisté à cette cérémonie à laquelle ont pris part quelque 540 finissantes et finissants, en présence du chancelier Jean-Claude Savoie et du recteur et vice-chancelier Raymond Théberge.

L’Université a remis un doctorat honorifique ès arts au cinéaste Phil Comeau alors que l’astronaute canadienne Julie Payette est devenue docteure d’honneur en ingénierie. La professeure Jeannette LeBlanc a reçu quant à elle un éméritat en science infirmière.

Xavier Lord-Giroux, finissant au baccalauréat en art dramatique, a pris la parole au nom des finissants et des finissantes.

La photo, prise lors de la collation des diplômes au campus de Moncton, nous fait voir, de gauche à droite, Xavier Lord-Giroux, finissant au baccalauréat en art dramatique, porte-parole des finissants et des finissantes; Jonathan Landry, de Repentigny, au Québec, finissant à la maîtrise ès arts (science du langage) avec une moyenne de 4,225, médaillé d’or du Gouverneur général; Haajira Jumaye, de Mahé, aux Seychelles, finissante au baccalauréat ès sciences sociales (économie) avec une moyenne de 4,2175, médaillée d’argent du Gouverneur général; et Raymond Théberge, recteur et vice-chancelier de l’Université de Moncton.

L’article, intitulé « Human competences that facilitate adaptation to climate change: a research in progress » et publié dans l’International Journal of Climate Change Strategies and Management, a reçu le premier prix d’excellence de ce journal pour 2013.

Les auteurs de cet article sont Jackie Kerry (Groupe Littoral et vie), Diane Pruneau (Faculté des sciences de l’éducation), Sylvie Blain (Faculté des sciences de l’éducation), Joanne Langis (Groupe Littoral et vie), Pierre-Yves Barbier (Faculté des sciences de l’éducation), Marie-Andrée Mallet (Groupe Littoral et vie), Evgueni Vichnevetski (Faculté des sciences de l’éducation), Jimmy Therrien (Groupe Littoral et vie), Paul Deguire (Faculté des sciences), Viktor Freiman (Faculté des sciences de l’éducation), Mathieu Lang (Faculté des sciences de l’éducation) et Anne-Marie Laroche (Faculté d’ingénierie).

Dans la recherche présentée dans cet article, les auteurs ont identifié les compétences d’adaptation aux changements climatiques de deux groupes de citoyens canadiens : des employés municipaux et des agriculteurs. La recherche démontre que certaines compétences humaines facilitent le processus d’adaptation : la connaissance endogène du terrain, les pensées prospective et rétrospective, la prédiction des risques, la définition approfondie des problèmes engendrés par les changements climatiques, l’ouverture à la nouveauté et l’intérêt pour l’apprentissage.

Renseignements : 858-4408 / www.emeraldinsight.com/literati

L’Université de Moncton a décerné des doctorats d’honneur en éducation à l’ancienne sénatrice Rose-Marie Losier-Cool et en ingénierie à l’homme d’affaires Léopold Thériault lors de la cérémonie de la collation des diplômes du campus de Shippagan qui a eu lieu le 17 mai au pavillon sportif.

Cent-neuf finissants et finissantes dans 20 programmes d'études ont reçu leur diplôme de fin d'études lors de cette cérémonie qui était présidée par le chancelier Jean-Claude Savoie. C’est le programme de baccalauréat en science infirmière qui compte le plus de finissantes et finissants avec 38.

Finissante au diplôme des sciences de la santé, Ariane Léger, de Saint-Simon, était la porte-parole de ses pairs.

Des prix d'excellence ont été remis aux étudiantes et étudiants les plus méritants.

À la collation des diplômes du campus de Shippagan, qui a lieu le 17 mai au Pavillon sportif, le chancelier, Jean-Claude Savoie, a remis un doctorat d’honneur en ingénierie à l’homme d’affaires Léopold Thériault.

L’Association des anciens, anciennes et amis de l’Université de Moncton, campus de Moncton (AAAUM), rendra hommage à deux de ses diplômés, Roméo Savoie et Patrick Albert, lors de sa Soirée Ovation, qui aura lieu le 10 octobre au Delta Beauséjour de Moncton.

L’artiste Roméo Savoie recevra l’Ordre du mérite des diplômés et diplômées de l’Université de Moncton. Cette distinction honorifique souligne la contribution exceptionnelle d’un membre qui fait honneur à son université et à sa profession, que ce soit dans le domaine religieux, politique, socioéconomique, scientifique ou encore artistique.

« Roméo Savoie fait figure de proue dans le paysage culturel et artistique du
Nouveau-Brunswick, mentionne le président de l’AAAUM, Stéphane Robichaud. Véritable précurseur de l’art contemporain dans la région, il a tracé la voie à plusieurs générations d’artistes. Sa contribution inestimable aux arts et à la culture fait de cet homme d'exception une source de fierté et d'inspiration. »

L’AAAUM remettra le prix Émergence à Patrick Albert, président et directeur général d’Acadia Group of Companies, dont le siège social est à Dieppe.
Institué en 2008, le prix Émergence a pour but de mieux faire connaître cette nouvelle génération de diplômés et diplômées qui se distingue dans différentes sphères d’activité, que ce soit en menant une carrière exceptionnelle ou encore en s’impliquant activement au sein de la communauté.

« Malgré son jeune âge, Patrick Albert possède un parcours professionnel impressionnant, ajoute M. Robichaud. Au-delà de ses talents manifestes d’entrepreneur, il est un véritable chef de file qui a compris l’importance de s’impliquer au sein d’organismes de sa communauté tels que le Conseil économique du Nouveau-Brunswick et l’Institut atlantique de recherche sur le cancer.»

L’AAAUM a pour mission de favoriser la promotion, le développement et le rayonnement de l'Université de Moncton et, par le fait même, de ses diplômées, diplômés et amis.

Roméo Savoie
Architecture, peinture, sculpture, littérature, la carrière de Roméo Savoie se conjugue au pluriel. Son œuvre comprend plus de 4 000 tableaux, 50 édifices, six recueils de poésie et un roman.

Il est né à Moncton en 1928. Il possède le baccalauréat ès arts du Collège Saint-Joseph de Memramcook (1950), le baccalauréat en architecture de l’École des beaux-arts de Montréal (1956) et la maîtrise en arts plastiques de l’Université du Québec à Montréal (1988).

D’abord architecte, il est devenu peintre à temps complet au début des années 1970. Entre 1973 et 1981, il a été professeur à temps partiel au Département des arts visuels de l’Université de Moncton. Il a également donné des cours aux adultes, des cours privés et des ateliers à des enfants.

Sa participation dans le développement d’infrastructures en Acadie est inestimable. En effet, il a participé à la création de plusieurs galeries d’art dont la Galerie Sans Nom et la Galerie 12, toutes deux situées à Moncton. Il a été conservateur de l’exposition rétrospective « Les arts visuels en Acadie », tenue à Bouctouche lors du Congrès mondial acadien de 1994. Il s’agissait alors de la plus grande exposition en arts visuels jamais tenue en Acadie où furent montrées plus de 230 œuvres acadiennes couvrant la peinture, la sculpture, la gravure, la photo et la céramique.

Il a aussi été conservateur pour la mise sur pied de la collection de la Fédération des Caisses populaires acadiennes, ainsi que responsable, concepteur et codirecteur avec Herménégilde Chiasson de « Évangéline, mythe ou réalité » au Festival international des arts contemporains de La Rochelle.

En quatre décennies, il a participé à d’innombrables expositions en solo et de groupe, et ses œuvres font partie de grandes collections publiques et privées en Atlantique, au Québec et en France.

Membre de l’Ordre du Canada pour sa contribution en qualité de peintre, architecte et auteur, pour son soutien aux artistes des arts visuels du Nouveau-Brunswick,
Roméo Savoie a reçu plusieurs prix et distinctions tout au long de sa carrière dont le prix Miller Brittain du Conseil des arts du Nouveau-Brunswick, le Prix du lieutenant-gouverneur du Nouveau-Brunswick pour l’excellence dans les arts visuels, un doctorat honorifique en arts visuels de l’Université de Moncton et l’Éloize de l’artiste de l’année en arts visuels et le prix hommage pour l’ensemble de son œuvre offert par l’Académie des arts et des lettres de l’Atlantique.

Originaire de Tracadie-Sheila, Patrick Albert dirige avec brio depuis 2008 les destinées de l’entreprise Acadia Group of Companies à titre de président et directeur général. Le jeune entrepreneur a donné un nouvel essor à cette entreprise de Dieppe, anciennement connue sous le nom Acadia Mobile Steam.

Grâce à la perception et au travail soutenu de Patrick Albert et de son équipe, Acadia Group of Companies est devenue un joueur clé de l’industrie au Canada atlantique. Avec ses trois divisions, Acadia Fire and Water Restoration, Acadia Waste Petroleum Management et Acadia Environmental Contracting, le groupe offre des services complets et hautement spécialisés en nettoyage et restauration après sinistre, assainissement de lieux contaminés, nettoyage environnemental et gestion de déchets pétroliers et des huiles usagées.

Patrick possède le baccalauréat en administration des affaires (comptabilité) de l’Université de Moncton. Il poursuit à temps partiel un programme de maîtrise en administration des affaires de l'Université de Moncton. Tout récemment, il a été choisi pour participer au prestigieux Entrepreneurial Leaders Program, une formation offerte par la Wallace McCain Institute de l’Université du Nouveau-Brunswick.

En 2008, Patrick a été l’un des participants du programme « Les 21 leaders pour le 21e siècle », communément nommé 21 inc. Cet organisme rassemble les chefs de file les plus prometteurs du Canada atlantique âgés de 20 à 35 ans.

Patrick a toujours été très actif au sein de sa communauté. Il siège au conseil d’administration du Conseil économique du Nouveau-Brunswick dont il a été le vice-président. Il est également trésorier du conseil d’administration de l’Institut atlantique de recherche sur le cancer et a été nommé récemment au sein du conseil d’administration de la Wallace McCain Institute de l’Université du Nouveau-Brunswick.

Renseignements : Jeanne Farrah, au 858-4130.

Une version studio adaptée de « Mistero Buffo » sera présentée les dimanche et lundi 2 et 3 juin à 20 heures dans le studio A-205 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

«Mistero Buffo», de l’auteur italien Dario Fo, l’un des rares dramaturges à obtenir le prix Nobel de littérature, sera présenté par les finissants du Département d’art dramatique de l’Université de Moncton dans une mise en scène de Marcia Babineau.

La pièce, inspirée des Évangiles, est en fait une mise en contexte actuelle de certaines situations que l’auteur a voulu dénoncer au moyen d’une écriture où l’humour voisine la tragédie. Ce texte, dans une traduction de l’auteur québécois Michel Tremblay, est aussi adapté à notre situation et à nos références culturelles qui ne sont jamais loin en fait de celles de Dario Fo en raison d’une religion qui nous a fortement marqués.

Dans «Mistero Buffo» (Mystère bouffe), Dario Fo s’inspire énormément de la Commedia de l‘Arte, un style de jeu très physique qui a eu sur le théâtre français une influence qui remonte à Molière. Les jeunes comédiennes et comédiens rendent cette vivacité avec un dynamisme tout à fait surprenant mais également avec une émotion aussi efficace qu’imprévue qui nous fait sans cesse balancer entre le tragique et le comique qui caractérise l’œuvre de Dario Fo.

L’auteur se sert d’ailleurs de cet élément comme moyen de dénonciation affirmant que «tout système de dictature est fondé sur la peur. Le rire libère l’homme de la peur ». Mistero Buffo est un grand texte, un chef d’œuvre en fait par l’un des plus grands auteurs dramatiques du 20e siècle.

Le spectacle fait référence à cet univers où le profane et le religieux se côtoient constamment donnant des contrastes et des situations dramatiques intenses. La scénographie du spectacle est signée par le professeur Alain Tanguay et la conception des éclairages par la professeure Louise Lemieux.

« Mistero Buffo », par l’ampleur et la qualité de sa distribution, par la pertinence de son propos et par la qualité de sa production, est assurément un évènement artistique à ne pas manquer. Veuillez noter qu’il s’agit d’extraits du spectacle présenté à la Grange en décembre 2012 dans une version adaptée et abrégée où l’espace de studio impose des contraintes importante de production.

«Mistero Buffo» sera interprété par les finissants Isabelle Bartkowiak, Carole Belliveau, Stéphan Bénard, Marilyn Bouchard, Solange LeBlanc, Sébastien Leclerc, Xavier Lord-Giroux, Bianca Richard, Joannie Thomas et Myriam Vaudry.

Le tarif ordinaire est de 10 $ et 5 $ pour les étudiants. Les billets seront en vente à l’entrée seulement ou encore en réservant au 858-4404. Les sièges sont limités.

Cette version studio adaptée sera présentée par les étudiants et étudiantes du Département d’art dramatique au prestigieux Festival international de théâtre de Sibiu en Roumanie.

Veuillez noter qu’une interprète fume pendant une brève scène.

Fernand de Varennes, diplômé de la Faculté de droit de l’Université de Moncton, a été invité à comparaître à titre d’expert-conseil devant un comité des Nations-Unies à Genève et un autre du Parlement européen à Bruxelles.

À l’invitation de l’experte indépendante des Nations Unies sur la question des minorités, Rita Iszak, de la Hongrie, M. de Varennes a présenté un exposé portant sur les droits linguistiques à l’échelle mondiale au bureau de l’ONU à Genève, en compagnie de trois autres experts du Conseil de l’Europe, de l’UNICEF et de l’ONU. Son intervention lors de cette table ronde portait sur la signification et l’importance du respect des droits linguistiques.

Quelques jours plus tard, M. de Varennes s’est prononcé sur la disparition alarmante des langues à travers le monde lors d’un atelier portant sur les langues en danger, organisé par l’Intergroupe du Parlement européen pour les minorités traditionnelles, les langues et les communautés nationales, cette fois à la demande du coprésident de l’Intergroupe, François Alfonsi, député européen de Corse.

Natif de Saint-Paul-de-Kent, Fernand de Varennes est professeur invité à l’Université de Hong Kong, en Chine, ainsi qu’à l’Université Vytautas Magnus, de Lituanie, et à l’Université de Pretoria, en Afrique du Sud. Il a aussi été journaliste au quotidien l’Évangéline et est notamment l’auteur du livre « Lieux et monuments historiques de l’Acadie ».

Il a obtenu le diplôme en droit de l'Université de Moncton en 1988, puis la maîtrise en droit en 1990 de la London School of Economics and Political Science, au Royaume-Uni. Il serait en 1996 devenu le premier Acadien à obtenir le doctorat en droit (Dr Juris), qu’il a reçu de l’Université de Maastricht, aux Pays-Bas.

Renseignements : fdevarennes@gmail.com

Les enseignants et enseignantes francophones du Nouveau-Brunswick ont remis la plus haute distinction de leur association - le prix de mérite 2013 - à Rodrigue Landry, ancien doyen de la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Moncton.

L’Association lui remet cette distinction « pour sa contribution exceptionnelle à la recherche dans les domaines de la vitalité linguistique, de l’autonomie culturelle, de l’éducation en milieu minoritaire, de la construction identitaire, du bilinguisme et de l’apprentissage scolaire. Également pour avoir été directeur fondateur du Centre de recherche et de développement en éducation à l’Université de Moncton. Et pour avoir occupé plusieurs rôles déterminants pour le milieu enseignant dont ceux de directeur de l’Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques logé au campus de Moncton. »

Dans le cadre des célébrations entourant son 50e anniversaire de fondation de l’Université de Moncton, la paroisse Notre-Dame d’Acadie lui rendra hommage en organisant une cérémonie de reconnaissance, le dimanche 16 juin à compter de 11 heures en l’église du campus de Moncton.

À cette occasion, Mgr Valérie Vienneau, ancien curé de la paroisse et actuel archevêque du diocèse de Moncton, rencontrera les paroissiens et paroissiennes et célébrera la messe accompagné de prêtres qui ont desservi la paroisse Notre-Dame d’Acadie dans le passé.

Depuis un demi-siècle, la communauté chrétienne du campus organise des activités pour répondre aux besoins spirituels de la collectivité étudiante, du personnel de l’Université et de la population catholique de la région de Moncton. Voici ce que veut célébrer cette cérémonie de reconnaissance.

Sous la direction de l’équipe formée du père Paul Breau, aumônier, Sr Ida Nowlan, agente de pastorale, et Antoinette Richard, secrétaire, la paroisse Notre-Dame d’Acadie offre des services d’accueil et d’écoute, des groupes de discussion et des services religieux à la communauté universitaire. Elle organise des rencontres, que ce soit à la Saint-Valentin, lors de la messe de Noël des étudiants et étudiantes ou encore lors de goûters préparés pour les jeunes pendant la période d’examens. Des bourses d’études sont également octroyées chaque année. La plupart de ces activités ont lieu en l’église Notre-Dame d’Acadie inaugurée en 1986 au campus de Moncton.

Une invitation est lancée aux étudiantes et étudiants qui ont fréquenté la paroisse pendant leurs études universitaires, à tous les membres du personnel du campus, qu’ils soient de cette paroisse ou d’ailleurs, de même qu’à tous les anciens membres du personnel qui veulent renouer avec leurs anciens collègues.

La cérémonie sera suivie d’une rencontre qui permettra de partager des souvenirs rattachés à 50 ans de présence de l’Église au campus de Moncton, et qui permettra de rendre hommage aux prêtres, agentes ou agents de pastorale et aux nombreux bénévoles qui ont participé au développement de la communauté de Notre-Dame d’Acadie au fil des ans. Un goûter sera servi.

Renseignements : Sr Ida Nowlan, au 858-4460 / nda@nbnet.nb.ca.

Le 12 avril dernier, les étudiantes de 4e année de l’École des sciences des aliments, de nutrition et d’études familiales (ESANEF) se sont rassemblées au Château Moncton pour souligner la fin de leurs études.

La soirée a été agrémentée de discours encourageants du doyen de la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires, de la directrice de l’ESANEF et d’une professeure en études familiales.

Les étudiantes ont reçu, pour une première année, des certificats de reconnaissance pour souligner leur implication pendant leurs études de baccalauréat.

La Société Radio-Canada / CBC organise ce printemps une série de conférences partout au Canada afin de débattre d’idées sur la signification de l’année 2017, tant sur le plan local que national et sur la manière de célébrer le 150e anniversaire de notre pays.

Dans cette optique, l’Institut d’administration publique du Canada (IAPC) - chapitre de Moncton a invité les personnes intéressées à venir écouter Peter MacLeod, dirigeant de la firme de consultation MASS LBP et l’un des responsables de la programmation pour l’initiative « Canada 150/2017 débute maintenant », qui était accompagné de David Oille, gestionnaire senior des communications à CBC. Ce fut une excellente occasion d’en apprendre davantage sur cette importante initiative entourant le 150e anniversaire du Canada.

L’Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques et l’Observatoire international des droits linguistiques organisent une conférence pour souligner le 50e anniversaire de la Commission royale d’enquête sur le bilinguisme et le biculturalisme, le vendredi 14 juin de 9 heures à midi dans le local 142 du pavillon Adrien-J.-Cormier au campus de Moncton de l’Université de Moncton.

C’est une initiative prise conjointement entre l’Université d’Ottawa et le Commissariat aux langues officielles du Canada. En plus de Moncton, des conférences auront lieu à Ottawa, Toronto, Edmonton, Winnipeg et Montréal.

La Commission royale d’enquête sur le bilinguisme et le biculturalisme a été mise sur pied en 1963 et elle a rendu son rapport en 1969. Les conclusions auxquelles sont arrivés les deux présidents de la Commission, André Laurendeau, rédacteur en chef du quotidien Le Devoir, et Davidson Dunton, recteur de l’Université Carleton, ont eu des conséquences tangibles sur le paysage linguistique du Canada que l’on connaît et qu’on tient parfois pour acquis aujourd’hui. Cette conférence nous donnera la chance d’en apprécier son héritage.

Vous pouvez vous inscrire par courriel à info@droitslinguistiques.ca ou par téléphone au 858-4491. Cette conférence d’intérêt général s’adresse à tous et l’entrée est libre.

Pour consulter le programme de cette conférence : icrml.ca ou www.droitslinguistiques.ca

Renseignements : Éric Forgues, au 858-4491.

Deux générations d’auteurs-compositeurs-interprètes seront réunies sur scène le temps de quelques spectacles. Du 9 au 15 juin, le Madelinot Georges Langford et l’Acadien Pascal Lejeune présenteront cinq spectacles au Nouveau-Brunswick et au Québec. Ils seront accompagnés de la musicienne Isabelle Thériault.

Georges Langford et Pascal Lejeune se sont rencontrés sur scène lors d’un cercle d’auteurs-compositeurs et ils ont vite réalisé que leurs univers musicaux se complétaient assez bien. Chacun présentera des pièces de son répertoire en plus d’offrir quelques surprises au public.

Les deux artistes seront à la salle Empress du Théâtre Capitol de Moncton (199, ruelle Robinson), le mercredi 12 juin à 19 h 30. Les billets sont en vente au coût de 20 $ (plus frais de service). Pour joindre la billetterie : 1 800 567-1922 ou www.capitol.nb.ca.

Le chanteur acadien Pascal Lejeune est un charmeur de foules. Il a trois albums, « Le bruit des machines » (2012), « Adélaïde » (2009) et « Le commun des bordels » (2007).

« Pince-sans-rire, nonchalant, son jeu de scène se réduit à quelques mimiques et oeillades entendues et le public est ravi, comme mis dans la confidence (…) Tout en fait est dans l’écriture au registre poétique, plutôt dans l’humour tendre, et des mélodies bien troussées portées par une jolie voix profonde. » ─ Fred Hidalgo, Chorus (France), automne 2009

Le Madelinot Georges Langford a fait paraître cinq albums originaux, en plus de composer des musiques de film. Son dernier album, « Il n’y a qu’une histoire » (2003, GSI Musique) a été choisi par le journal Le Devoir comme l’un des dix meilleurs disques québécois de l’année. En 1994, la SOCAN accorde le titre de Classique de la chanson québécoise en reconnaissance de 25 000 passages radio pour la pièce « Le frigidaire ». En 2007, cette même chanson sera intronisée au Panthéon des auteurs et compositeurs canadiens. Également écrivain et poète, il est récompensé pour l’ensemble de son œuvre par le Grand prix du Festival international de poésie Ronald-Gasparic qui se tient chaque année en Roumanie.

Renseignements sur cette tournée : www.legreniermusique.com

Le vice-rectorat à l’enseignement et à la recherche et l’Institut d’études acadiennes de l’Université de Moncton vous invitent à participer à un colloque qui examinera l’évolution historique de l’enseignement postsecondaire en Acadie dans son ensemble tout en se penchant également sur les défis face à l’avenir, le vendredi 14 juin à compter de 8 h 45 dans la salle 136 du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.

Organisé dans le cadre du 50e anniversaire de fondation de l’Université de Moncton, ce colloque se veut une journée de réflexion qui abordera l’histoire et les défis contemporains des institutions postsecondaires. C’est ainsi qu’il privilégiera des approches mettant de l’avant des synthèses sur celles qui examinent le développement de l’Université de Moncton par les lunettes de ses constituantes en particulier. L’approche comparative sera également retenue afin de mieux contextualiser et de mieux comprendre les réalités de l’enseignement postsecondaire de langue française en Acadie.

Ce colloque d’une journée commencera avec un survol historique de l’Université de Moncton qui sera suivi d’une présentation portant sur la contribution des communautés religieuses de femmes à l’enseignement supérieur de langue française en Acadie du Nouveau-Brunswick. L’avant-midi prendra fin avec le cheminement historique de l’Université Sainte-Anne. En après-midi, la place des arts dans l’enseignement supérieur en Acadie sera examinée pour ensuite terminer la journée avec une table ronde portant sur les défis contemporains des institutions de langue française en Acadie.

Bienvenue à toutes et à tous. L’entrée est libre et l’inscription n’est pas nécessaire.

Pour consulter le programme détaillé de ce colloque : http://www8.umoncton.ca/iea/Documents/Programme--colloque14juin2013.pdf

Renseignements : 863-2125 / andre.duguay@umoncton.ca

L’automne dernier, l’Association étudiante de la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires (AEFSSSC) a organisé une plantation de tulipes afin d’amasser des fonds qui serviront à la construction d’une serre au campus de Moncton. Une centaine de tulipes ont été vendues aux étudiants et plantées dans la cour du pavillon Jacqueline-Bouchard.

Avec l’arrivée du printemps, ces tulipes ont fleuri et embellissent le paysage avec leurs couleurs vives. Cette activité a connu un grand succès et c’est un premier pas vers la réalisation de projets de jardinage plus importants pour les étudiants et étudiantes de la FSSSC, incluant celui de la construction d’une serre.

Le 31e Concours provincial de mathématiques a eu lieu le 10 mai aux trois campus de l’Université de Moncton et aux deux campus de l’University of New-Brunswick à Fredericton et Saint-Jean.

Ce Concours est une véritable tradition à laquelle ont participé cette année 1 239 élèves de 7e, 8e et 9e années de la province, dont 332 au campus de Moncton. Le nombre de participants et participantes représente un peu plus d’un élève par classe, il s’agit donc la crème des mathématiciens en herbe de la province qui participe. Il y a en réalité trois concours distincts, un par niveau scolaire.

À Moncton, le concours est organisé par Paul Deguire, Ahcène Brahmi et Martine Arsenault, respectivement directeur, technicien et secrétaire du Département de mathématiques et de statistique, qui sont aidés de Jacques Allard, professeur au Département de mathématiques et de statistique, et Buquan Miao, professeur à la Faculté d’ingénierie.

Pour déterminer les gagnants dans une compétition regroupant un très grand nombre d’élèves forts en maths, il faut des questions difficiles. La moyenne de réussite pour chacun des trois niveaux se situe entre 25 et 30 pour cent. Voici un exemple de question tirée des questionnaires de 7e et 8e années : Un jour Paul a nagé un km à 5 km/h, a ensuite fait un km de vélo à 25 km/h et a couru un km à 10 km/h. Au km/h près, quelle a été sa vitesse moyenne sur ces trois kilomètres ? (A) 7 (B) 9 (C) 11 (D) 13 (E) 20.

Pour chacun des niveaux, il y a un classement provincial, un classement par campus, un classement par district scolaire et depuis cette année, un classement par sous-district. Tous ces gagnants obtiennent un T-shirt de la compétition. Les gagnants au niveau des districts scolaires, des campus et de la province reçoivent des prix additionnels.

Parmi les élèves qui ont fait l’examen à Moncton, ceux qui ont remporté les prix les plus importants (province, campus ou district) sont :

• Brady Park, 7e année, Bessborough School, 2e de la province, 1er au campus de Moncton et 1er dans le district scolaire anglophone est;
• Jayden Chown, 7e année, Petitcodiac Regional School, 2e au campus de Moncton;
• Kieran McDonald, 7e année, Evergreen Park School, 3e au campus de Moncton;
• Jane Luo, 8e année, Evergreen Park School, 1er au campus de Moncton, 1er dans le district scolaire anglophone est;
• Yi Jun Kim, 8e année, Evergreen Park School, 2e au campus de Moncton;
• Shawna Kim, 8e année, Evergreen Park School, 3e au campus de Moncton;
• Samuel Verrier, 8e année, 1er dans le district scolaire francophone sud;
• Vacili Osipeau, 8e année, Superior Middle School, 1er dans le district scolaire anglophone nord;
• Daniel Im, 9e année, Bernice MacNaughton High School, 2e de la province, 1er au campus de Moncton et 1er dans le district scolaire anglophone est;
• Xinyu Feng, 9e année, Bernice MacNaughton High School, 2e au campus de Moncton;
• Yuna Im, 9e année, Bernice MacNaughton High School, 3e au campus de Moncton;
• Everett Patterson, École l’Odyssée, 1er dans le district scolaire francophone sud.

Le concours de plan d’affaires organisé dans le cadre du cours d’entrepreneuriat de Vivi Koffi, professeure à la Faculté d’administration de l’Université de Moncton, a été couronné de succès.

Huit équipes ont présenté des plans d’affaires à des experts de la communauté des affaires de la grande région de Moncton et à des membres du corps professoral de la Faculté d’administration. Trois de ces équipes ont obtenu des bourses octroyées par Entreprises Grand Moncton (400 $), les Caisses populaires acadiennes (400 $), la Chaire d’études Jeanne et J.-Louis-Lévesque en gestion financière (200 $), le Centre Assomption de recherche et de développement en entrepreneuriat (200 $), le Centre de commercialisation internationale (200 $) et la Chaire des caisses populaires acadiennes en gestion des coopératives (200 $).

Les juges de la compétition étaient Daniel Bélair, directeur de comptes au Centre financier aux entreprises des Caisses populaires acadiennes; Sarah Short, agente de développement entrepreneurship jeunesse chez Entreprises Grand Moncton; Lyne Haché-LeBlanc, présidente de iDConcept; Tania Morris, professeure de finance et responsable de la Chaire d’études Jeanne et J.-Louis-Lévesque en gestion financière; Daniel Saulnier et Pascal Degrâce, cofondateurs de Memories2GO; et Vivi Koffi, professeure d’entrepreneuriat.

L’athlète Jérémie Pellerin, membre de l’équipe de cross-country des Aigles Bleus, a terminé au 13e rang lors de la course de 10 km, qui s’est déroulée le samedi 25 mai dans le cadre du marathon d’Ottawa.

L’étudiant au baccalauréat en administration des affaires, concentration en comptabilité, a établi un record personnel et a terminé l’épreuve en 31 m 9 s, le quatrième meilleur temps de l’histoire pour un coureur du Nouveau-Brunswick. Il a terminé au 3e rang parmi les Canadiens qui participaient à la course qui comptait 9 000 coureurs.

Jérémie se prépare maintenant pour le 10 km Chaleur, qui aura lieu en juin à Beresford, de même que pour les Championnats canadiens d’athlétisme, qui auront lieu à Moncton à la fin juin.