Voici les archives de l’Hebdo-Campus du 16 avril 2009 au 20 septembre 2018
Le recteur Raymond Théberge vous souhaite une bonne rentrée universitaire
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Le recteur Raymond Théberge vous souhaite une bonne rentrée universitaire À titre de recteur et vice-chancelier depuis le début juin seulement, c’est avec
beaucoup de plaisir que je vous accueille et vous souhaite la plus cordiale bienvenue à
l’un ou l’autre de nos trois campus, que vous soyez de nouveaux étudiants et
étudiantes ou encore de retour pour poursuivre ou compléter votre programme
d’études.
Après quelques semaines de repos à profiter de la belle saison, la rentrée
universitaire reste toujours un moment privilégié et empreint d’une certaine
fébrilité alors que toute la communauté universitaire est fin prête et enclin à
s’investir pour une autre année qui sera sans nul doute couronnée de succès.
Pour vous aider dans votre cheminement, l’Université ne ménagera aucun effort en ce
sens, et les membres d’un personnel très compétent seront constamment à l’écoute
de vos moindres soucis, toujours avec sollicitude et désintéressement. Vous pourrez
ainsi en toute quiétude vous concentrer uniquement sur la réussite de vos études.
Il sera agréable également de connaître ou de revoir vos compagnons de classe et toutes
ces amitiés avec qui vous avez tissé des liens forts et permanents au cours des
semestres d’études.
Je vous incite aussi à participer en très grand nombre aux différentes activités qui
vous seront proposées tout au long de l’année universitaire. Quel magnifique moyen
pour vous de socialiser et de contribuer activement aux différentes composantes de la vie
universitaire. Sur le long terme, vous serez récompensés puisque ce seront des atouts
fort utiles lorsque viendra le temps pour vous d’intégrer le marché du travail.
En terminant, merci d’avoir choisi d’étudier à l’Université de Moncton et j’en
profite pour vous offrir mes meilleurs voeux de succès.
| Une centaine de personnes s’inscrit à un cours d’été international relatif aux droits de l’enfant
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Bernard Richard, ancien défenseur des enfants et de la jeunesse du Nouveau-Brunswick et président du Groupe de travail sur les droits de l’enfant dans l’espace francophone; Mary Ellen Turpel-LaFond, présidente du Conseil canadien des défenseurs des enfants et des jeunes; Christian Whalen, défenseur par intérim des enfants et de la jeunesse du Nouveau-Brunswick et directeur du cours d’été international relatif aux droits de l’enfant; Antonine Maillet, chancelière émérite de l’Université de Moncton; Raymond Théberge, recteur et vice-chancelier; Claire Brisset, médiatrice de la ville de Paris et membre du comité d’honneur du cours d’été international relatif aux droits de l’enfant; et Noël Kinsella, président du Sénat du Canada et président du comité d’honneur du cours d’été international relatif aux droits de l’enfant. |
Une centaine de personnes s’inscrit à un cours d’été international relatif aux droits de l’enfant Du 8 au 18 août, l’Université de Moncton a accueilli une centaine de participants et
participantes en provenance des Amériques, d’Europe et d’Afrique qui se sont inscrits
à un cours d’été international relatif aux droits de l’enfant, organisé par le
Groupe de travail sur les droits de l’enfant dans l’espace francophone, en
collaboration avec le Conseil canadien des défenseurs des enfants et des jeunes et
l’Université de Moncton.
Ce cours d’été international a proposé une formation thématique portant sur les
droits de l’enfant tels que garantis par la Convention relative aux droits de l’enfant
des Nations Unies. Le contenu était axé sur l’article 31 de la Convention : le droit
au repos, aux loisirs, aux jeux et à la recréation, et de participer librement dans les
arts et la culture de la communauté.
Le cours a été donné par des experts internationaux dans le domaine de la défense de
l’enfance et à la protection des droits de l’enfant, dont Claire Brisset, médiatrice
de la ville de Paris, Bernard Richard, ancien défenseur des enfants et de la jeunesse du
Nouveau-Brunswick et président du Groupe de travail sur les droits de l’enfant dans
l’espace francophone, et Najat M’jid, rapporteuse spéciale des Nations Unies sur la
vente, la prostitution et la pornographie impliquant des enfants.
« Ce cours d’été a été une excellente occasion de développement professionnel
pour ceux et celles qui travaillent dans un domaine lié aux enfants et aux jeunes, et
pour ceux qui travaillent à l’élaboration des institutions et de politiques plus
fortes pour reconnaitre l’importance du respect des droits des enfants dans le monde
entier », estime Christian Whalen, défenseur par intérim des enfants et de la jeunesse
du Nouveau-Brunswick.
Le cours d’été international relatif aux droits de l’enfant a été élaboré par le
Groupe d’étude sur les droits de l’enfant de l’Université de Moncton qui a été
constitué l’automne dernier à l’initiative du bureau du Défenseur des enfants et de
la jeunesse du Nouveau-Brunswick afin de créer un centre névralgique de recherche
universitaire voué à l’analyse de la mise en oeuvre des droits de l’enfant en
Atlantique, dans le reste du Canada et, de façon comparative, ailleurs au monde.
« Organisé par le Groupe de travail sur les droits de l’enfant dans l’espace
francophone en collaboration avec le Conseil canadien des défenseurs des enfants et des
jeunes et l’Université de Moncton, ce cours a été pour vous une occasion unique
d’apprentissage et d’échange en ce qui a trait à la défense et à la protection des
droits et des conditions de vie des enfants dans toutes leurs composantes, ajoute le
recteur Raymond Théberge. Il vous permettra également d’amorcer un dialogue en
profondeur pour explorer, apprendre et partager vos connaissances des droits des enfants
et des jeunes et de leur bien-être. »
Le gouvernement du Nouveau-Brunswick a accordé un montant de 211 872 $ pour appuyer
l’organisation de ce cours d’été portant sur les droits des enfants. Provenant de
l’Entente sur la contribution financière du Canada à la participation et au suivi du
Nouveau-Brunswick aux instances de la Francophonie, cette contribution financière a
permis de consolider les travaux du groupe d’étude sur les droits de l’enfant de
l’Université de Moncton. Une partie des fonds a servi également à l’octroi de 25
bourses pour des participants et participantes de pays de la Francophonie
internationale.
| Du 19 au 21 septembre, le GRICC consacre son 5e colloque international au thème de l’étranger
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Du 19 au 21 septembre, le GRICC consacre son 5e colloque international au thème de l’étranger Le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact (GRICC) de la
Faculté des arts et des sciences sociales consacre son 5e colloque international au
thème de l’étranger, intitulé « L’Étranger au prisme des cultures : expériences
et problématisations », du 19 au 21 septembre dans le local 136 du pavillon
Léopold-Taillon au campus de Moncton.
À travers l’histoire, le fait d’être un étranger dans un pays, une région ou une
communauté n’a pas été sans susciter des questions. En effet, si les lois de
l’hospitalité nous portent certes à l’accueillir par générosité, par devoir ou
par compassion, nous savons aussi qu’il arrive que des mesures soient prises pour
contrôler sa présence, le tenir à distance, l’exclure voire le bannir de la
communauté dans laquelle il aspire à vivre. En d’autres termes, l’étranger fait à
la fois l’objet de notre sollicitude, mais il arrive aussi qu’il provoque le rejet et
l’incompréhension du fait de ses origines, ses croyances et ses mœurs lesquelles
bousculent et questionnent les formes de vie et remettent ainsi en question le principe
même du partage et de la reconnaissance des valeurs de la communauté qui l’accueille
et de celles dont il se revendique. Plus près de nous, quiconque suit de près
l’actualité, sait à quel point toutes ces questions se posent avec la plus grande
acuité et qu’à ce titre, elles méritent examen.
C’est à la lumière de ces considérations que le GRICC a décidé de consacrer son 5e
colloque au thème de l’étranger, thème qui est par ailleurs au cœur de ses
préoccupations.
Deux conférenciers de renom seront présents. Le mercredi 19 septembre, il reviendra à
Daniel Castillo Durante, romancier, essayiste et professeur de littérature à
l’Université d’Ottawa, de prononcer la conférence d’ouverture, de 17 h 30 à 18 h
45. Quant à la conférence de clôture, elle sera prononcée par Georgette LeBlanc,
poète et artiste acadienne de la Nouvelle-Écosse, le vendredi 21 septembre de 14 heures
à 15 h 30.
Conformément à sa vocation, ce colloque réunira philosophes, historiens, littéraires,
sociolinguistes, politologues, sociologues et traductologues afin qu’ils traitent du
thème de l’étranger. Sur les 18 participants et participantes au colloque, neuf
proviennent de l’étranger et sont reconnus dans leurs domaines respectifs. Quant aux
Canadiennes et Canadiens, outre la contribution de membres du corps professoral de
l’Université de Moncton, le GRICC accueillera des chercheurs provenant de plusieurs
universités canadiennes. Il faut aussi noter une contribution significative des
étudiants et étudiantes de troisième cycle et des postdoctorants et postdoctorantes.
« Nous espérons que les différents éclairages qu’apporteront les communications et
les débats qu’elles susciteront aideront à mieux comprendre toute la portée et le
sens des réalités que recouvre la question de l’étranger », mentionne Mourad
Ali-Khodja, directeur du GRICC.
Mercredi 19 septembre
16 heures à 17 heures : inscription
17 heures à 17 h 30 : mot de bienvenue en compagnie de Neil Boucher, vice-recteur à
l’enseignement et la recherche; Lise Dubois, vice-rectrice adjointe à la recherche et
doyenne de la Faculté des études supérieures et de la recherche; Lisa Roy, doyenne de
la Faculté des arts et des sciences sociales; et Mourad Ali-Khodja, directeur du Groupe
de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact.
17 h 30 à 18 h 45 : conférence d’ouverture Daniel Castillo Durante, de l’Université
d’Ottawa, « Un étranger, des étrangers… »
19 heures à 20 h 30 - réception
Centre culturel Aberdeen avec la présentation d’un récital d’Oumou Soumaré.
Jeudi 20 septembre
Session 1 : « Les figures de l’Étranger dans la philosophie »
9 heures à 10 h 30
- Sophie Bourgault, École d’études politiques de l’Université d’Ottawa, « La
Cité, la philosophie et l’Étranger : quelques réflexions sur l’altérité et
l’hospitalité chez les Grecs anciens ».
- Sandrine Aumercier, de l’Université de Paris 8 Saint-Denis, « Le theorôs à
l’épreuve de l’Étranger dans les Lois de Platon ».
- Xavier Bériault, doctorant au Département de philosophie de l’Université
d’Ottawa, « La philosophie politique d’Hannah Arendt : de l’étrangeté à
l’amour du monde ».
Présidence : François Renaud, du Département de philosophie de l’Université de
Moncton.
Session 2 : « L’Étranger à l’épreuve de l’histoire »
11 h à 12 h 30
- Francesca Bertino, doctorante à l’Université Paris-Ouest Nanterre à La Défense
(France) et Université de Gênes (Italie), « L’altérité africaine dans l’Italie
coloniale : réduction d’un paradigme complexe ».
- Isabelle Hidair, sciences de l’éducation de l’Université des Antilles et de la
Guyane (France), « L’immigration étrangère en Guyane : entre stigmatisation et
stratégie de récupération ».
Présidence : Jeremy Hayhoe, du Département d’histoire et de géographie de
l’Université de Moncton.
Session 3 : « Langages, identités et lieux de l’Étranger »
14 h à 15 h 30
- Émilie Urbain, doctorante en sciences du langage à l’Université de Moncton et
Université de Liège, « Nommer l’Étranger. Perspective sur le discours identitaire et
métalinguistique de la Louisiane francophone de la fin du 19e siècle ».
- Elizabeth Chalier Visuvalingam, School of Art Institute of Chicago (États-Unis), «
Hospitalité et hostilité : les communautés juives de l’Inde ».
- Jimmy Thibeault, Département d’études françaises de l’Université Sainte-Anne
(Nouvelle-Écosse), « Devenir l’étranger des lieux : l’exclusion du Métis dans
Tchipayuk ou le chemin du loup de Ronald Lavallée ».
Présidence : Andrea Cabajsky, du Département de traduction et des langues de
l’Université de Moncton.
Session 4 : « Langage et imaginaires de l’Étranger dans la francophonie canadienne
»
16 heures à 17 h 30
- Michelle Landry, secteur des sciences humaines au Campus de Shippagan, « Double figure
de l’étranger en Acadie ».
- Judith Patouma, sciences du langage à l’Université Sainte-Anne (Nouvelle-Écosse),
« La perception des figures de l’étranger dans la littérature acadienne : entre
réalité et imaginaire ».
- Denise Merkle, Département de traduction et des langues de l’Université de Moncton,
« Traducteurs officiels : «Chiens de garde» de l’Étranger francophone au Canada
».
Présidence : Annette Boudreau, Département d’études françaises de l’Université de
Moncton.
Vendredi 21 septembre
Session 5 : » Écritures de l’Étranger dans l’espace africain »
9 heures à 10 h 30
- Lottin Wekape, Université de Montréal, « L’étranger dans le roman africain
contemporain : une figure mutante ».
- Hassan Moustir, Université de Rabat (Maroc), « Écrire hors-territoire : pratique de
l’extranéité dans l’écriture de Abdelkébir Khatibi ».
- Gleya Maâtallah, Faculté des lettres, des arts et des humanités Manouba (Tunisie), «
De la bâtardise culturelle à l’impossible intégration chez Albert Memmi ».
Présidence : David Décarie, Département d’études françaises de l’Université de
Moncton.
Session 6 : « Politiques de l’Étranger »
11 heures à midi
- Alain Milon, Département de philosophie de l’Université Paris-Ouest - Nanterre à La
Défense (France), « L’Étranger à travers la figure de la relégation ».
- Gervais Désiré Yamb, chercheur - Centre de recherche sur le conflit Université
St-Paul, Ottawa, « Le concept d’hospitalité en conflit. Figures politiques de
l’étranger entre inclusion, exclusion et intégration Innerarity versus Simmel ».
Présidence : Ibrahim Ouattara, Département de philosophie de l’Université de
Moncton.
Conférence de clôture – 14 heures à 15 h 30
Georgette LeBlanc, poète et artiste acadienne de la Nouvelle-Écosse.
Période de questions et clôture du colloque – 15 h 30 à 16 heures.
Les frais d’inscription sont de 100 $ (incluant les repas du jeudi et du vendredi) pour
les membres du corps professoral et de 25 $ pour les autres. L’entrée est libre pour
les étudiants et étudiantes.
Exposition
Rappelons également que la Bibliothèque Champlain a accepté d’organiser une
exposition portant sur le thème de l’étranger. Elle est ouverte au public depuis le 4
septembre.
En plus de Mourad Ali-Khodja, directeur du GRICC et professeur au Département de
sociologie, le comité d’organisation de ce colloque est composé de Jeremy Hayhoe, du
Département d’histoire et de géographie; Marie-Noëlle Ryan, du Département de
philosophie; Emmanuelle Tremblay, du Secteur arts et sciences humaines; et Émilie Urbain,
doctorante au Département d’études françaises.
Ce colloque a été rendu possible grâce à une subvention du Conseil de recherches en
sciences humaines du Canada.
Renseignements : 858-4188 / gricc2012@gmail.com /
http://www8.umoncton.ca/umcm-gricc_colloque2012
| L’Institut d’études acadiennes était présent au 42e Festival interceltique de Lorient
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L’Institut d’études acadiennes était présent au 42e Festival interceltique de Lorient Du 3 au 12 août, l’Acadie a été le pays à l’honneur dans le cadre du 42e Festival
interceltique de Lorient, en Bretagne. Plusieurs conférences d’intérêt public
portant sur les liens entre les Acadiens et les Bretons ont été présentées par le
conseiller scientifique de l’Institut d’études acadiennes, l’historien Maurice
Basque, et André Duguay, chargé de projets à l’IEA.
C’est à la demande des organisateurs de la délégation acadienne à Lorient que M.
Basque a accepté d’être responsable de cette série de conférences qui ont eu lieu
chaque jour pendant la semaine du 6 au 11 août au Pavillon de l’Acadie du
Nouveau-Brunswick. Les thèmes abordés ont été les multiples liens historiques entre
l’Acadie et la Bretagne, les échanges entre explorateurs, missionnaires et pêcheurs
bretons et amérindiens mi’kmaq du 16e au 18e siècle, et l’immigration bretonne en
Acadie. Les deux conférenciers de l’IEA ont également eu l’occasion d’accorder
plusieurs entrevues sur ces thèmes aux différents médias présents.
Parallèlement aux conférences du Pavillon de l’Acadie du Nouveau-Brunswick,
l’Université Populaire Bretonne avait aussi organisé une série de conférences et de
tables rondes ayant pour thème général « L’Acadie du Nouveau-Brunswick d’hier et
d’aujourd’hui et ses liens avec la Bretagne et les pays celtiques ». Maurice Basque y
a présenté la conférence inaugurale en relatant les grandes lignes de l’histoire de
l’Acadie du Nouveau-Brunswick, en plus de participer à une table ronde portant sur les
différentes influences de la Sagouine, d’Antonine Maillet, dans la société acadienne
contemporaine.
Pour sa part, André Duguay y a présenté une conférence portant sur les différents
contacts entre Amérindiens et Bretons au 18e siècle, examinant surtout les cas de
l’abbé Jean-Louis Le Loutre et du capitaine de navire François Chenard de la
Giraudais, commandant de l’expédition française à la Bataille de la Ristigouche en
1760.
| Lita Villalon participe à l’Université d’été en nutrition communautaire et agriculture de santé publique en Haïti
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de droite à gauche, Myrta Kaulard, directrice du Programme alimentaire mondial; Patrice Dion, professeur et responsable du projet, Université Laval; Dia Sanou, professeur et responsable du projet, Université d’Ottawa; Ismael Ngnie Teta, spécialiste en nutrition à l’UNICEF; Michaëlle Jean, chancelière de l’Université d’Ottawa et envoyée spéciale de l’UNESCO pour Haïti; Batal Malek, professeur à l’Université d’Ottawa; Lita Villalon, professeure titulaire à l’École des sciences des aliments, de nutrition et d’études familiales à l’Université de Moncton; Élise Pauze, étudiante nutrition de l’Université d’Ottawa; Nicole Lacasse, vice-rectrice adjointe aux études et aux activités internationales de l’Université Laval; et Dre Joseline Marhone Pierre, directrice du programme de nutrition, MSPP. |
Lita Villalon participe à l’Université d’été en nutrition communautaire et agriculture de santé publique en Haïti Pour la première fois en Haïti et peut-être dans le monde, une programmation en
nutrition et une autre en agriculture de santé publique ont été associées dans une
même activité d’enseignement.
En effet cet été, un important projet académique a eu lieu en Haïti, intitulé «
Université d’été en nutrition communautaire et agriculture de santé publique »,
grâce à un partenariat créé entre plusieurs universités canadiennes, haïtiennes et
organismes humanitaires et communautaires qui travaillent à améliorer la sécurité
alimentaire en Haïti.
Le Canada a financé ce projet grâce au programme Bourses de projets académiques
Canada-Haïti du ministère des Affaires étrangères et du Commerce international. Le
projet académique conjoint entre l’Université Laval, l’Université d’Ottawa,
l’Université de Moncton et l’Université d’État d’Haïti visait le renforcement
des capacités de l’UEH dans le domaine de l’agriculture de santé publique et le
développement des compétences des formateurs qui travaillent pour accroître la
sécurité alimentaire et la santé nutritionnelle dans plusieurs régions du pays. Des
organismes humanitaires tels l’UNICEF, le Programme mondial de l’alimentation et
l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture ont aussi
participé financièrement au projet.
Les bénéficiaires de l’Université d’été provenaient de quatre universités
haïtiennes : l’Université d’État d’Haïti, l’Université Quisqueya,
l’Université Notre-Dame d’Haïti et l’Université Épiscopale. La formation a
réuni 135 personnes participantes qui ont suivi 33 formations réparties sur dix jours.
Ces participants étaient des étudiants de la Faculté d’agronomie et de médecine
vétérinaire et de la Faculté de médecine et de pharmacie appelés à contribuer à
l’élaboration et à la dispense du module de formation continue en agriculture de
santé publique, et des professeurs de l’Université d’État d’Haïti ou d’autres
institutions, ainsi que des professionnels des ministères et des ONG qui travaillent
dans le secteur de la nutrition-alimentation.
Les résultats obtenus dépassent les attentes; les formateurs ont rencontré des
participants sérieux, assidus et très engagés. Les périodes de questions et les
échanges fructueux entre formateurs et participants ont ouvert la voie à la mise en
place d’une étroite collaboration entre les institutions concernées. Il a ainsi été
possible de dégager les grandes lignes d’une intervention en nutrition qui vise non
seulement la prise en charge, mais aussi la prévention de la malnutrition en plus de
transmettre cette double connaissance essentielle à plus de 130 personnes
participantes.
Les partenaires universitaires et institutionnels sont également parvenus au cours de
l’atelier de synthèse à jeter les bases de programmes universitaires d’enseignement
en nutrition et en agriculture de santé publique. Ces activités couronnées de succès
seront le prélude à un effort concerté visant l’accroissement de la santé
nutritionnelle des femmes et des enfants d’Haïti.
Lita Villalon, professeure en nutrition à l’Université de Moncton, a participé à la
rédaction de la demande de financement, à la planification des ateliers de formation et
d’évaluation du projet. Elle a enseigné les modules « Les déterminants de
l’alimentation et de la santé nutritionnelle », « Sécurité alimentaire et
développement durable en Haïti », et « Nutrition aux cycles de la vie ». Dans ce
dernier module, elle a parlé des groupes le plus vulnérables en présentant « Nutrition
et besoins nutritionnels de la femme enceinte », « Allaitement maternel et besoins
nutritionnels de la femme allaitante », et « Nutrition et besoins nutritionnels de la
personne âgée ».
Les autres étapes du cycle de la vie ont été abordées par les collègues d’Ottawa.
Lita Villalon a aussi participé à l’atelier de synthèse qui a permis d’amorcer les
premières discussions portant sur la création d’un programme de nutrition en Haïti.
| C’est la rentrée jusqu’au 9 septembre au campus de Moncton
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Karine Regnier, coordonnatrice de la rentrée; Roger Boulay, directeur des Services aux étudiantes et aux étudiants; le recteur Raymond Théberge; Alexandre Levasseur et Joëlle Martin, respectivement vice-président exécutif et présidente de la Fédération étudiante. |
C’est la rentrée jusqu’au 9 septembre au campus de Moncton Dans le cadre de la rentrée universitaire qui se poursuit jusqu’au 9 septembre, des
activités sociales et d’intégration sont organisées pour les étudiants et
étudiantes du campus de Moncton.
Dans le cadre des journées kiosques, le recteur Raymond Théberge s’est rendu au Ceps
Louis-J.-Robichaud pour y faire la tournée des stands d’information, rencontrer les
étudiants et étudiantes et prendre part à la traditionnelle coupe du gâteau soulignant
le lancement de l’année universitaire.
| Concert du guitariste Andrew Collier dans la salle Neil-Michaud
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Concert du guitariste Andrew Collier dans la salle Neil-Michaud Le guitariste Andrew Collier donnera un concert, le dimanche 16 septembre à 19 heures
dans la salle Neil-Michaud du pavillon des Beaux-arts au campus de Moncton.
Né à Halifax, Andrew Collier possède le baccalauréat en musique de guitare classique
de Dalhousie University à Halifax. Il a ensuite continué ses études supérieures avec
Eugene Cormier à l'Université Acadia de Wolfville, en Nouvelle-Écosse, et Philip
Candelaria, membre du Quatuor canadien de guitares, à Ottawa.
Il s’est perfectionné dans des festivals internationaux de guitare dont le prestigieux
Symposium de guitare d’Iserlohn, en Allemagne,le Festival de guitare d’Hamilton et le
Festival de guitare d’Acadia. Lors de ces événements, il a eu l'occasion de jouer pour
quelques-uns des plus grands guitaristes dont Roland Dyens, Oscar Ghiglia, Pavel Steidel,
Bruce Holzman, Johannes Moller, Dale Kavanagh, Patrick Roux ou encore Jorge Caballero.
Andrew Collier habite à Ottawa où il poursuit une carrière de concertiste. Il est
membre du conseil de la Société de guitare d’Ottawa. Il revient maintenant sur la
côte est pour la première fois depuis plus d’un an pour faire une tournée en
Atlantique avec des concerts en Nouvelle-Écosse, au Nouveau-Brunswick et à Terre-Neuve.
L’entrée est de 10 $ et de 6 $.
Renseignements : Michel Cardin, au 858-4040 / www.andrewcollier.ca
| Marche de la vie pour la réadaptation cardiaque
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Marche de la vie pour la réadaptation cardiaque Une marche d’un et de trois kilomètres et une course de cinq kilomètres auront lieu le
samedi 8 septembre au Parc du Centenaire de Moncton.
Cette activité a pour but d’amasser des fonds pour le programme de réadaptation
cardiaque Coeur en santé. L'inscription se fera sur place (près du lac) à compter de 8
h 30 et la course commencera à 10 heures. Vous pouvez vous inscrire à l’adresse
www.coeurensante.org
L'inscription est de 30 $ par personne et de 5 $ pour les enfants âgés de 6 à 12 ans.
Si vous ne pouvez y participer mais que vous voulez quand même faire une contribution au
programme, c’est possible en vous présentant au local 136 du Ceps Louis-J.-Robichaud
du campus de Moncton du lundi au vendredi entre 8 heures et 16 heures, ou en utilisant la
poste à l'adresse Programme Coeur en santé, Ceps Louis-J.-Robichaud, local 136,
Université de Moncton, Moncton, N.-B., E1A 3E9.
Des reçus pour usage fiscal seront remis pour les contributions de 10 $ ou plus.
Venez en grand nombre et courez la chance de gagner l’un des très beaux prix de
présence. Les 200 premières personnes à s’inscrire recevront un t-shirt.
Pour vous inscrire ou obtenir plus de renseignements, composez le 858-3779 et demandez à
parler à Sophie ou Sylvie.
| Sid-Ahmed Selouani est le nouveau doyen des Études au campus de Shippagan
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Sid-Ahmed Selouani est le nouveau doyen des Études au campus de Shippagan Depuis juillet, le professeur titulaire Sid-Ahmed Selouani est le nouveau doyen des
Études au campus de Shippagan.
Possédant le diplôme d’ingénieur et la maîtrise en télécommunications, M. Selouani
a bénéficié d’une bourse de mérite offerte par la Banque mondiale qui lui a permis
d’obtenir en 2000 le doctorat d’État en génie électrique/informatique au sein
d’un laboratoire de recherche français de renom, l’IMAG (Informatique et
mathématiques appliqués de Grenoble).
Un an plus tard, il a obtenu une qualification pour le poste de maître de conférences
des universités de France. Il a ensuite été chercheur postdoctoral à l’Institut
national de recherche scientifique INRS-Télécommunications de Montréal. Depuis 2002, M.
Selouani enseigne au baccalauréat de gestion de l’information au campus de
Shippagan.
Actif en recherche, il a fondé en 2004 le Laboratoire de recherche en interactivité
humain-système (LARIHS) dont les principaux objectifs facilitent l’accès à
l’information dans les réseaux et systèmes de télécommunications, notamment par la
mise au point de technologies avancées d’interaction verbale. Même si ses travaux de
recherche, souvent en lien avec la Francophonie, ont une portée internationale, plusieurs
thématiques ont des retombées au Nouveau-Brunswick et particulièrement dans la
Péninsule acadienne. A titre illustratif, des répertoires oraux français inédits ont
été collectés partout dans la province dans le but d’améliorer l’efficacité des
systèmes vocaux automatiques utilisant le français parlé dans les différentes
régions.
Le professeur Selouani a obtenu de nombreuses subventions de recherche nationales et
internationales. Il est auteur ou coauteur de plus de 150 articles scientifiques
arbitrés. Son livre, « Speech processing and soft computing », a été publié en 2012
aux éditions Springer de New York.
En juillet dernier, il a reçu le « Outstanding Service Award » lors de la prestigieuse
conférence internationale IEEE-ISSPA dédiée au traitement de l’information et des
technologies de communication, qui s’est tenue à Montréal en présence de 400
congressistes venus du monde entier.
| Tournée « Parlons vieillissement » en compagnie de Yves Joanette
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Tournée « Parlons vieillissement » en compagnie de Yves Joanette L’Université de Moncton accueille la tournée « Parlons vieillissement »,
aujourd’hui, jeudi 6 septembre, de 15 heures à 16 h 30 dans le local 136 du pavillon
Léopold-Taillon, en présence d’Yves Joanette, directeur scientifique de l'Institut du
vieillissement des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC).
L’Institut du vieillissement des IRSC prépare son Plan stratégique 2013-2018 et dans
ce contexte, il tient des séances de discussion dans 14 villes canadiennes afin de
rencontrer la communauté de recherche, d’échanger sur une version préliminaire du
plan et de recueillir les commentaires des membres de la communauté.
Renseignements : 858-4310 /
http://speakingofaging-parlonsvieillissement-ia-iv.mcgill-cihr-ig.ca /
| Donald Violette prononce la conférence d'ouverture des camps mathématiques du Québec
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Donald Violette prononce la conférence d'ouverture des camps mathématiques du Québec Donald Violette, professeur au Département de mathématiques et de statistique, a été
invité pour une troisième fois à prononcer la conférence d'ouverture des Camps
mathématiques du Québec pour le secondaire, qui ont eu lieu du 2 au 6 juillet au Cégep
de Bois-de-Boulogne à Montréal.
Le comité organisateur a décidé d'inviter le professeur Violette pour une troisième
année consécutive étant donné le grand succès que connaissent ses conférences
auprès des jeunes campeurs.
M. Violette se dit très honoré de présenter des sujets mathématiques captivants devant
un groupe de mathématiciens en herbe qui sont extrêmement doués et qui démontrent un
enthousiasme débordant pour les mathématiques.
| Mathieu Gourde soutient avec succès une thèse de doctorat à l'École de psychologie
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, la professeure Sarah Pakzad, directrice de la thèse; le professeur John Tivendell, président du jury; Mathieu Gourde, qui a soutenu avec succès sa thèse de doctorat en psychologie; la professeure Ann Beaton, lecture interne; et Odette Gould, professeure associée en psychologie à Mount Allison University. |
Mathieu Gourde soutient avec succès une thèse de doctorat à l'École de psychologie Mathieu Gourde a soutenu avec succès une thèse de doctorat à l’École de psychologie
de l’Université de Moncton, intitulée «L’adaptation universitaire chez l’enfant
unique ».
L’adaptation universitaire est un sujet de plus en plus étudié car comparativement à
autrefois, la scolarisation aujourd’hui est une composante importante et nécessaire à
l’employabilité. Depuis le baby-boom après la Deuxième Guerre mondiale, le Canada se
situe au 169e rang en ce qui a trait au taux de naissances annuelles (World Health
Organization, 2009). Non seulement la population canadienne est vieillissante mais le taux
de natalité est parmi les plus bas à l’échelle de la planète.
Par l’entremise de ce courant, M. Gourde rappelle qu’on remarque davantage la
croissance du nombre d’enfants uniques chez les familles canadiennes. « En effet,
dit-il, on estime qu’une famille sur quatre serait composée d’un seul enfant. Cette
croissance du nombre d’enfants uniques se ressent aussi aux États-Unis où le chiffre
se situe à plus de 20 millions (White, 2011). »
Selon Mancillas (2006), les enfants uniques font face à diverses limites. Or, les
recherches de Falbo (1986, 1992) ont non seulement démontré le contraire mais
spécifient également que cette population afficherait quelques forces distinctes
comparativement aux enfants non uniques.
« Le but de cette étude est de contribuer à l’exploration des différences entre ces
deux groupes auprès d’un échantillon composé principalement d’étudiants
universitaires de première année au baccalauréat », ajoute M. Gourde.
Spécifiquement, l’objectif de ce travail est d’évaluer si l’adaptation
universitaire et les motifs d’inscription de l’enfant unique sont différents de celui
qui ne l’est pas. De plus, cette étude tend à évaluer si les motifs d’inscription
à l’université ont un impact sur la qualité de l’adaptation universitaire.
D’autres variables considérables peuvent aussi être influentes, notamment
l’attachement parental et amical, l’introversion/extroversion et l’estime de soi.
D’ailleurs l’un des facteurs qui semble le plus communément relié à une meilleure
adaptation universitaire chez l’enfant est l’attachement parental sécurisant (Kenny
et Donaldson, 1991).
Un aspect intéressant qui s’ajoute à cette recherche longitudinale est qu’elle se
fait en deux temps de mesures (temps 1 - novembre 2009 et temps 2 - mars 2010) afin
d’évaluer la progression de l’étudiant, principalement au cours de sa première
année universitaire.
« Tel que prédit, les résultats obtenus à l’étude révèlent que l’enfant unique
affiche certaines composantes significativement supérieures à l’enfant non unique en
ce qui a trait à son adaptation universitaire au temps 2 - l’ajustement social,
l’appartenance à l’institution et l’adaptation globale, poursuit M. Gourde. Si
l’on tient compte des motifs d’inscription à l’université dans les deux temps de
mesures, les plus significatifs chez lui sont ceux liés à l’aide à la famille, aux
encouragements/attentes et prouver sa valeur. »
À la lumière de cette étude, il a été démontré que le développement personnel
représente le seul motif d’inscription à l’université qui contribue de façon
unique et significative à prédire la qualité de l’adaptation universitaire de
l’étudiant selon toutes ses composantes spécifiques, et ce aux deux temps de mesures.
Il est à noter que le sexe de l’étudiant n’influence pas de façon marquée les
variables.
En conclusion, l’enfant unique et non unique présentent des dissimilitudes quant à
l’adaptation et aux motifs d’inscription à l’université. De plus, un attachement
parental et amical de type sécurisant, une estime de soi élevée et des traits de
personnalité plutôt extrovertis (spectre de l’ambiversion) favoriseraient
significativement une meilleure adaptation universitaire tant chez l’enfant unique que
non unique.
L’étude avance des explications pouvant justifier les résultats obtenus et soulève
certaines limites méthodologiques ainsi que des pistes de solutions pour les recherches
futures.
La directrice de la thèse était la professeure Sarah Pakzad.
Renseignements : Mathieu_Gourde@ssss.gouv.qc.ca
| Visite de courtoisie de l’ambassadeur de France
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Agrandir l'imageDans la photo, M. l’ambassadeur signe le livre des personnes invitées en compagnie de M. Théberge. Ils sont accompagnés de Marie-Linda Lord, vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales, et de Gilles Courrègelongue, consul général de France dans les provinces atlantiques. |
Visite de courtoisie de l’ambassadeur de France De passage à Moncton pour élever l’artiste multidisciplinaire Herménégilde Chiasson
à la dignité de Grand Officier de l’Ordre national du mérite, l’ambassadeur de
France au Canada, Philippe Zeller, a profité de l’occasion pour rendre visite au
nouveau recteur et vice-chancelier, Raymond Théberge.
| La CLASSE entreprend une tournée de deux jours au Nouveau-Brunswick
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La CLASSE entreprend une tournée de deux jours au Nouveau-Brunswick Le mercredi 19 septembre, la CLASSE sera à Moncton pour entreprendre une brève tournée
de deux jours au Nouveau-Brunswick. Le premier arrêt étant prévu à Moncton et le
deuxième à Fredericton, cet événement se veut une façon de lancer la nouvelle année
universitaire et collégiale, mais se veut surtout un moyen de stimuler une réflexion au
sein de la population néo-brunswickoise sur la place qu’elle fait à l’éducation et
à la participation citoyenne des étudiants et des étudiantes.
Le groupe de citoyens chargés de l’organisation de cette tournée de la CLASSE au
Nouveau-Brunswick dit vouloir chercher à lancer un dialogue entre les étudiants, les
citoyens et les gouvernants de la province sur la place et le rôle que peut jouer
l’éducation dans le développement de notre province.
Kevin Arseneau, étudiant en éducation à l'Université de Moncton et coporte-parole de
cet événement, rappelle que « l’éducation au Nouveau-Brunswick souffre présentement
d’un manque de réflexivité, d’innovation et d’accessibilité. Le système
d’éducation a pourtant la capacité d’être un puissant acteur de transformation.
Tous les jeunes passent par ce système, ou du moins une partie de celui-ci, ce qui
l’investit d’un énorme potentiel de développement. »
Les organisateurs tiennent à préciser que cet événement est non partisan. Ils disent
vouloir profiter de l’expertise et de la volonté de la CLASSE pour lancer une
discussion au Nouveau-Brunswick qui reflétera les réalités, les particularités et les
besoins de l’éducation dans notre province. Le groupe présentera une table ronde
composée de différents intervenants qui seront invités à discuter des enjeux liés à
l’éducation selon diverses perspectives, dans l’espoir d’inciter un dialogue ouvert
au sujet de nos institutions éducatives au sein de la société.
Le groupe se dit prêt à travailler de concert avec tout groupe qui pourrait
s’intéresser au projet et espère faire de cet événement la première étape d’une
discussion qui portera sur le présent et sur l’avenir de l’éducation au
Nouveau-Brunswick, et ce pour les mois et les années à venir.
« L’éducation doit être au centre de nos réflexions, ajoute M. Arseneau. Si nous
n’avons pas en tête le rôle que peut jouer l’éducation quand on discute en
société c’est qu’on ne réfléchit pas à l’entièreté de la question. »
| « La promesse d'un néo-Québécois », un roman de Jean-Claude Mabiala
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« La promesse d'un néo-Québécois », un roman de Jean-Claude Mabiala Jean-Claude Mabiala, étudiant au doctorat en études du religieux contemporain à
l'Université de Sherbrooke, est l'auteur du roman « La promesse d'un néo-Québécois
», paru en février aux Publications L'Avantage.
M. Mabiala a étudié les sciences sociales au campus de Moncton entre 1998 et 1999.
Originaire du Gabon, M. Mabiala habite à Rimouski depuis 1990. Il y enseigne la
philosophie à l'Institut maritime du Québec à Rimouski et le travail social au Cégep
de Matane.
Dans ce roman à la fois initiatique et sociologique, on suit les aventures de Pierre, un
jeune Gabonais qui décide de partir étudier au Québec. Arrivé en terre québécoise,
il est souvent démuni face aux différences culturelles. Le jeune Gabonais se posera
diverses questions : Est-il possible de rester fidèle à ses origines tout en devenant
autre ? Est-ce trahir que de partir ?
Le pédagogue qu'est Jean-Claude Mabiala prend le lecteur par la main pour tenter de
cerner les critères d'une intégration réussie. Au-delà du racisme, il aborde
l'importance de la communication et la nécessité du dialogue dans les couples
interculturels pour éviter l'incompréhension qui blesse les cœurs et les âmes.
« La promesse d'un néo-Québécois » est en vente à la Librairie acadienne du campus
de Moncton.
Renseignements : 418-724-2822 / 418-724-3999.
| Exposition regroupant le travail de trois artistes acadiens présentée dans le cadre de l’Année de l’Acadie à Lorient
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Exposition regroupant le travail de trois artistes acadiens présentée dans le cadre de l’Année de l’Acadie à Lorient Une exposition regroupant le travail de trois artistes acadiens a été présentée dans
le cadre de l’Année de l’Acadie au Festival Interceltique de Lorient, en France.
En montre du 3 au 12 août à la galerie municipale de la ville de Lorient, la Galerie du
Faouëdic, « Anthropographie : trois perspectives contemporaines » a proposé le travail
de Maryse Arseneault, Mathieu Léger et Stefan St-Laurent. Les artistes et la commissaire
de l’exposition, Jennifer Bélanger, étaient présents au vernissage.
Les oeuvres étaient représentatives de pratiques variées et comprenaient une
installation vidéo, de l’estampe et une intervention sur des objets récupérés.
Jennifer Bélanger, explique le fil conducteur de l’exposition. « Les artistes Maryse
Arseneault, Mathieu Léger et Stefan St-Laurent ont posé un regard contemporain sur
l’histoire de l’Acadie en étudiant ses liens avec d’autres peuples qui sont
présents dans l’environnement culturel et géographique des Acadiens», dit-elle.
Cette exposition était présentée par la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen de
l’Université de Moncton et appuyée par l’équipe du projet « Acadie à Lorient »
de la Commission du tourisme acadien du Canada atlantique. Le projet a bénéficié d’un
généreux soutien financier du gouvernement du Nouveau-Brunswick et du gouvernement du
Canada.
Renseignements : jennibelanger@gmail.com
| Sébastien Beaulieu est nommé ambassadeur du Canada en Tunisie
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Sébastien Beaulieu est nommé ambassadeur du Canada en Tunisie Le ministre des Affaires étrangères, John Baird a annoncé la nomination de Sébastien
Beaulieu, diplômé de l’Université de Moncton, au poste d’ambassadeur du Canada en
Tunisie.
Originaire de Moncton, M. Beaulieu a complété le baccalauréat en sciences sociales
(économie) à l’Université de Moncton en 1995 avant de poursuivre des études en droit
à l’Université McGill. Il est entré au ministère canadien des Affaires étrangères
et du Commerce international en 1998. Il a été affecté à l’étranger à la Mission
du Canada auprès de l’Organisation mondiale du commerce à Genève de 2000 à 2003,
puis à la Mission du Canada auprès de l’Organisation de coopération et de
développement économiques à Paris, de 2006 à 2009.
Au Canada, il a été affecté à la Direction générale des affaires juridiques (litiges
commerciaux internationaux), au Secteur de la politique commerciale (protection de
l’investissement), au Secteur de la sécurité internationale (crime international et
terrorisme) et au Secteur des enjeux mondiaux (changements climatiques et énergie).
Jusqu’à récemment, M. Beaulieu était directeur du cabinet du sous-ministre délégué
des Affaires étrangères.
Il est marié et père de trois enfants.
| ONF : lauréates du concours Tremplin du Studio Acadie
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ONF : lauréates du concours Tremplin du Studio Acadie Karine Godin, de Moncton, et Mélanie Léger, de Shédiac, sont les lauréates du concours
Tremplin 2012 organisé par l’Office national du film du Canada (ONF). Elles ont été
choisies parmi huit finalistes, eux-mêmes sélectionnés à partir de 20 soumissions. Le
tournage des œuvres des deux lauréates commencera au cours des semaines à venir.
Ce concours annuel permet à des aspirants cinéastes de réaliser une première ou une
deuxième œuvre dans des conditions professionnelles. Le tournage et la postproduction se
feront au cours de la prochaine année.
Emma fait son cinéma
Mélanie Léger en est à sa deuxième participation au concours, ayant réalisé le film
« Drôle de chapeau » en 2009.
Son projet « Emma fait son cinéma » propose de faire la connaissance d’une jeune
fille de 13 ans qui réalise de véritables films avec un iPod, un ordinateur et un
logiciel d’effets spéciaux, et avec l’aide d’une bande d’amis. Ce film amènera
le téléspectateur dans l’univers créatif de la jeune Emma alors qu’elle fait son
entrée dans l’univers des adolescents. Le tournage aura lieu du 27 au 29 août dans la
région de Shédiac.
Native de Shédiac, Mélanie Léger est diplômée du Département d’art dramatique de
l’Université de Moncton et fait une maîtrise en théâtre à l'UQAM. Elle est
l’auteure d’une dizaine de pièces de théâtre, dont « Roger Roger », « Vie
d’cheval » et « Je… adieu », publiées aux Éditions Prise de parole (Sudbury).
Elle codirige le Théâtre Alacenne (Moncton). L’année dernière, la compagnie a
produit « Banane fête » dont elle a signé le texte et la mise en scène et qui visait
un public de la petite enfance.
Mélanie est consciente de la chance qu’elle a de réaliser ce projet. « C’est avant
tout pour moi une expérience de collaboration avec une jeune réalisatrice, Emma Carroll,
et toute son équipe à la garderie Annie et ses amis, dit-elle. Il n’y a pas d’âge
pour apprendre et je vais bientôt avoir de jeunes professeurs. »
La lauréate est également très reconnaissante envers l’équipe de l’ONF du Studio
Acadie pour son enthousiasme et son soutien. « Ce concours est une occasion de sortir
des sentiers battus, ajoute-t-elle. Malgré les coupures dont l’ONF a fait l’objet, je
suis reconnaissante qu’on ait compris l’importance de conserver des programmes tels
que le concours Tremplin. »
CJSE, la radio d’un peuple
Karine Godin propose de suivre une journée dans la vie de quatre personnes ayant en
commun de vivre au rythme d’une radio communautaire francophone en Acadie, CJSE, dans la
région du sud-est du Nouveau-Brunswick. Chacun d’entre eux fera découvrir une facette
différente de cette société en pleine mutation. La radio locale les accompagne du matin
au soir sans presqu’aucune interruption tout au long de leurs occupations quotidiennes.
Ils sont souvent seuls, mais pas seuls. Ils sont francophones en situation minoritaire et
fiers de leurs origines. Ils parlent avec leur radio et avec les animateurs de cette
radio, ils participent aux débats du jour. Tout se passera sur une seule journée, du
lever au coucher du soleil. Le tournage de ce film aura lieu du 11 au 13 septembre.
Originaire de Petit-Rocher, Karine Godin possède le baccalauréat en
information-communication de l’Université de Moncton. Elle est présentement
journaliste pour le journal L’Étoile, édition provinciale. Elle a également été
animatrice et responsable de la programmation pour la station sœur de CJSE, CFBO de
Dieppe. Elle n’oubliera pas son expérience avec le concours Tremplin. « C’est une
expérience incroyable de pouvoir être aussi bien entourée pour réaliser un projet qui
me tient à cœur, dit-elle. Le monde du documentaire m’a toujours intéressée et
grâce à Tremplin, je peux l’explorer tout en étant épaulée par des professionnels
du domaine. »
Cette sixième édition du concours Tremplin est le fruit d’une collaboration entre
l'Office national du film du Canada et la Société Radio-Canada qui au cours des
dernières années a diffusé les productions des gagnants et des gagnantes.
Renseignements : 506-384-6897 / madoblan@nbnet.nb.ca
| FSSSC : séance d’échange de renseignements
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Michel Johnson, professeur à l’École de kinésiologie et de récréologie de l’Université de Moncton; Roxana Suchorolski, de UNB (NB Food Security Action Network); Leah Carr (New Brunswick Health Research Foundation); Ronald Durelle, sous-ministre au ministère provincial de la Culture, du Tourisme et de la Vie saine; Michelina Mancuso (NB Health Council); Wayne Albert, doyen de la Faculté de kinésiologie de l’University of New Brunswick; Éric Gionet, directeur du Réseau de recherche sur les politiques sociales du Nouveau-Brunswick; Paul-Émile Bourque, doyen de la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires, et Horia-Daniel Iancu, directeur de l’École de kinésiologie et de récréologie, tous deux de l’Université de Moncton.
|
FSSSC : séance d’échange de renseignements La Faculté des sciences de la santé et des services communautaires de
l’Université de Moncton, en collaboration avec la Faculté de
kinésiologie de l’University of New Brunswick, le ministère provincial
de la Culture, du Tourisme et de la Vie saine et le Réseau de recherche sur les
politiques sociales du Nouveau-Brunswick, a organisé début juillet une
séance d’échange de renseignements, de discussion et
d’élaboration d’une proposition de recherche, au Ceps
Louis-J.-Robichaud du campus de Moncton.
Lors de cette rencontre, les trois thèmes suivants ont été le
sujet de discussion : la sécurité alimentaire de la communauté, le
mieux-être chez les Premières Nations/Autochtones (santé
psychologique) et vieillir en santé.
Les objectifs spécifiques de cette discussion étaient de rassembler les
chercheurs, décideurs du gouvernement du Nouveau-Brunswick et membres
informés de la communauté dont les recherches s’intéressent
à un ou plusieurs de ces thèmes, de brosser un tableau des priorités
du gouvernement du Nouveau-Brunswick en matière de recherche sur les modes de vie
sains et des possibilités de financement qu’il offre dans ce domaine, de
faire part des travaux de recherche en cours et des champs d’intérêt
pour la recherche portant sur ces thèmes, et de déterminer les
possibilités de former des partenariats afin d’élaborer des demandes
de subvention de recherche portant sur ces thèmes.
Stratégie provinciale du mieux-être :
http://www.gnb.ca/0131/pdf/w/Vivre%20bien,%20être%20bien.%20La%20stratégie%20du%20mieux-être%20du%20Nouveau-Brunswick%202009-2013.pdf
Cadre de la stratégie provinciale du mieux-être :
http://www.gnb.ca/0131/pdf/w/Cadre_de_Strategie_du_mieux-etre.pdf
| La première édition des Camps mathématiques de l’Acadie organisée à Saint-Quentin a connu un véritable succès
Article complet
La première édition des Camps mathématiques de l’Acadie organisée à Saint-Quentin a connu un véritable succès La première édition des Camps mathématiques de l'Acadie, qui se tenait en fin de
semaine à Saint-Quentin, a connu un véritable succès, selon son fondateur, le
professeur Donald Violette. Les 12 jeunes participants ont été enchantés de leur
séjour et de leur expérience comme premiers participants à des camps mathématiques en
français dans la province. Ils sont repartis dimanche en fin d'après-midi avec de
nouvelles connaissances mathématiques importantes et de belles amitiés.
Le tout a commencé avec l'inauguration des camps en présence de la ministre Martine
Coulombe, du vice-recteur du campus d'Edmundston, Paul Albert, de Sébastien Lord, l'un
des jeunes mathématiciens participant aux camps, et du professeur Donald Violette.
Plusieurs membres de la communauté ainsi que des conseillers et employés de la ville de
Saint-Quentin ont assisté à la coupe du ruban, de même qu'à la conférence d'ouverture
particulièrement appréciée prononcée par le professeur Violette qui portait sur la
beauté des mathématiques.
Les conférenciers ont été à la hauteur de la situation et de leur talent et ont été
chaudement applaudis par le groupe de mathématiciens en herbe. Chacun a prononcé une
conférence des plus intéressantes et a mis beaucoup d'énergie pour transmettre sa
passion des mathématiques. De plus, les deux moniteurs ont fait un travail remarquable
en présentant des jeux mathématiques intéressants.
Le professeur Violette se dit extrêmement heureux de la réalisation de ces camps et il a
le sentiment du devoir accompli. « La réaction des jeunes traduisait bien leur joie et
leur immense satisfaction, dit-il. Tout s'est extrêmement bien déroulé et il est
évident qu'il y aura une deuxième édition des Camps mathématiques de l'Acadie,
probablement l'an prochain et ce sera encore à Saint-Quentin. »
Les jeunes, les moniteurs et les conférenciers ont apprécié l'accueil, l'hospitalité
et la gentillesse des gens de Saint-Quentin. La ville et les comités de la Capitale de
l'érable et du Festival western ont présenté des cadeaux et des souvenirs à tous les
intervenants qui ont pu s'imprégner de la culture française de cette région du nord de
la province. Ils ont profité de l’occasion également pour goûter à des mets à
l'érable.
Le professeur Violette ne pouvait cacher son émotion lors de la cérémonie de clôture
et de la remise des certificats de participation aux campeurs. « Le succès incontestable
des camps et l'immense bonheur ressenti par les jeunes représentent la plus belle des
récompenses, ajoute-t-il. C'est au-delà de mes espérances; ce fut un succès sur toute
la ligne. » C’est un rendez-vous dans un an alors qu’on accueillera un autre groupe
de mathématiciens en herbe.
Rappelons que les Camps mathématiques de l'Acadie s'adressent aux jeunes francophones du
Nouveau-Brunswick qui ont triomphé lors Concours de mathématiques Poincaré, fondé
également par le professeur Violette. Et cette activité est sans frais.
Renseignements : 858-4325 / donald.violette@umoncton.ca
| Présence importante de l’Université de Moncton au 3e Forum national de recherche du CNFS portant sur la santé des francophones en situation minoritaire au Canada
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Geneviève Dostaler, étudiante de maîtrise en gestion de la santé; la professeure Jalila Jbilou, du Département d’administration publique; la professeure Noëlline Lebel, directrice, Pratiques professionnelles soins infirmiers au Réseau de santé Vitalité; la professeure France Chassé, du secteur de science infirmière à Edmundston; la professeure Selma Zaiane-Ghalia, de l’École de kinésiologie et de récréologie; et Christine C. Paulin, doctorante en administration publique. |
Présence importante de l’Université de Moncton au 3e Forum national de recherche du CNFS portant sur la santé des francophones en situation minoritaire au Canada Plus de 215 participants et participantes, dont une présence importante de
l’Université de Moncton, ont assisté au 3e Forum national de recherche du CNFS portant
sur la santé des francophones en situation minoritaire au Canada, qui a eu lieu à
l’Université Laurentienne de Sudbury, en Ontario. Cet événement d’envergure
nationale et à portée internationale s’est intéressé au transfert et à
l’application des connaissances pour une action concertée sur le terrain.
Les thématiques abordées ont regroupé quatre champs majeurs : le portrait et les
déterminants de la santé des CFSM; la gouvernance, la gestion et la prestation des
services de santé en français; l’impact de la langue et de la culture sur la santé;
et les liens entre la formation et la recherche.
Plusieurs professeurs, chercheurs et étudiants de l’Université de Moncton étaient
présents et ont pris part aux travaux avec la présentation de communications et
d’affiches.
Mentionnons notamment la professeure Lita Villalon qui a présenté une communication
portant sur « Les défis et les enjeux du maintien à domicile en contexte minoritaire
francophone : une étude de cas en milieu néo-brunswickois », ainsi qu’une affiche sur
le «Portrait alimentaire et nutritionnel des femmes francophones néo-brunswickoise
autonomes à domicile âgées de 55ans et plus souffrant d’ostéoporose »; la
professeure France Chassé, qui a présenté une communication sur l’exploration des
besoins de santé des femmes du nord-ouest du Nouveau-Brunswick; la professeure Selma
Zaiane-Ghalia, qui a présenté une affiche sur « Des loisirs thérapeutiques
expérimentés au sein d’une résidence à besoins spéciaux : la pratique de la
peinture abstraite par la méthode de l’incubateur »; ou encore la professeure Jalila
Jbilou, qui a participé à deux communications : « Cybersanté préventive mobile -
accès à des services sécuritaires et de qualité pour les jeunes francophones du
Nouveau-Brunswick » et « Prévention de l’obésité auprès des hommes adultes vivant
en milieu rural francophone minoritaire : une stratégie inclusive pour concevoir des
interventions de qualité ».
Le programme détaillé du forum est accessible à
http://www.forumcnfs.net/fr/progpremilinaire.php
| Le campus de Shippagan accueillera le Colloque spécialisé en sciences de l’information en 2013
Article complet
Le campus de Shippagan accueillera le Colloque spécialisé en sciences de l’information en 2013 Le campus de Shippagan accueillera la 5e édition du Colloque spécialisé en sciences de
l’information (COSSI) en juin 2013.
À compter de cette année, ce colloque adopte une nouvelle formule qui est celle de
l’organisation de son édition annuelle en alternance avec le Pôle ICOMTEC de
l’Institut d’administration des entreprises de l’Université de Poitiers, en
France.
Ainsi, la quatrième édition du COSSI, qui a eu lieu les 19 et 20 juin dernier à
Poitiers sous la thématique « Information, incertitudes, intelligences », a réuni une
soixantaine de participants et participantes qui se sont rassemblés pour débattre
pendant deux jours de sujets traités dans une vingtaine de communications scientifiques
en cours de diffusion selon une approche de publication ouverte.
Lors de la conférence qu’il a prononcée en ouverture des travaux, Daniel J. Caron,
bibliothécaire et archiviste du Canada et conférencier d’honneur du colloque, s’est
penché sur la problématique de la transmutation du système de l’écriture, sur la
pertinence des pratiques informationnelles courantes, ainsi que sur les perspectives
d’avenir des institutions de mémoire.
Par la suite, les intervenants au 4e COSSI en provenance d’universités et
d’institutions de recherche de plusieurs pays de la Francophonie africaine, européenne
et canadienne, ont présenté les résultats de leurs travaux de recherche, examinant des
questions de grande actualité dans le domaine des sciences de l’information et de la
communication, dont celles des compétences et de la culture de l’information, des
risques informationnels et des espaces
virtuels dans un contexte organisationnel incertain.
La richesse des contributions, la qualité des échanges, l’accueil attentionné et
l’organisation logistique sans faille de ce colloque ont incité les participants et
participantes de cette édition à recommander vivement la poursuite des activités du
COSSI. Les coprésidents du colloque se sont donc fait un plaisir de lancer l’invitation
à la 5e édition en juin 2013 au campus de Shippagan.
| Jusqu'au 30 septembre, une exposition itinérante rend hommage aux femmes acadiennes de l’Île-du-Prince-Édouard
Article complet
Agrandir l'imageQuatre générations d’Acadiennes à Abram-Village, à l’Ile-du-Prince-Édouard (1947). L’arrière-grand-mère, Alodie Gallant, est entourée de sa fille, Céline Arsenault, de sa petite-fille, Rita Arsenault, et de son arrière-petite-fille, Bella Arsenault. Collection : Erma Arsenault. |
Jusqu'au 30 septembre, une exposition itinérante rend hommage aux femmes acadiennes de l’Île-du-Prince-Édouard Jusqu’au 30 septembre, le Musée acadien présente « Les Acadiennes de l’Île », une
exposition qui rend hommage aux femmes acadiennes de l’Île-du-Prince-Édouard grâce à
des photographies prises entre 1880 et 1960.
Selon le conservateur invité, Georges Arsenault, le but principal de cette exposition
itinérante du Musée acadien de l’Île-du-Prince-Édouard est de rendre hommage à
toutes les Acadiennes, des petites filles aux grands-mères en passant par les mères de
famille.
La plupart des 75 photographies de l’exposition proviennent de collections privées de
divers coins de l’Île-du-Prince-Édouard. La majorité de ces photos ont été prises
par des photographes amateurs avec de petits appareils sans flash. Cela explique pourquoi
peu de photos en montre dans l’exposition ont été prises à l’intérieur. Malgré
cela, elles reflètent bien la vie des Acadiennes de l’Île jusqu’au milieu du 20e
siècle.
La directrice du Musée acadien de l’Île-du-Prince-Édouard, Cécile Gallant, se dit
très heureuse de présenter cette exposition « qui veut faire connaître et célébrer
les multiples rôles et l’énorme contribution de nos mères, grands-mères et arrières
grands-mères acadiennes ».
En plus de la participation de Georges Arsenault, l’équipe de l’exposition est
composée de Cécile Gallant, coordonnatrice; Angèle Barriault, productrice des
étiquettes; Gloria Arsenault, préposée au montage de l’exposition; Alexandre Roy,
graphiste des panneaux; et Claude Arsenault, qui a réalisé le design du panneau titre et
de l’affiche de cette exposition qui a reçu le soutien financier de Patrimoine
canadien.
Les heures d’ouverture du Musée acadien sont du lundi au vendredi de 10 heures à 17
heures, et le samedi et dimanche de 13 heures à 17 heures.
Bienvenue à toutes et à tous.
Renseignements : 858-4088 / Jeanne-mance.cormier@umoncton.ca
| Le Nouveau-Brunswick célébrera la Fête de la culture
Article complet
Le Nouveau-Brunswick célébrera la Fête de la culture Le Nouveau-Brunswick prendra part à la troisième édition de la Fête de la culture qui
aura lieu les 28, 29 et 30 septembre partout au pays. On encourage les gens qui désirent
participer aux célébrations d’enregistrer leurs activités sur le site Web de la Fête
de la culture à www.fetedelaculture.ca. Les activités proposées doivent être sans
frais et ouvertes au public.
L’originalité est au rendez-vous et des activités peuvent être proposées dans divers
domaines allant des arts visuels à la musique, le patrimoine, la danse, l’artisanat,
l’histoire, etc. L’année dernière au Nouveau-Brunswick, plus de 70 activités
proposées à titre gracieux ont été organisées un peu partout.
Shirley Bear est la présidente d’honneur
C’est l’artiste Shirley Bear, de la communauté des Premières nations Malécites de
Tobique, qui cette année est la présidente d’honneur de la Fête de la culture au
Nouveau-Brunswick.
Shirley Bear a exercé une grande influence sur la scène culturelle du Nouveau-Brunswick.
Que ce soit en qualité de militante, de conservatrice ou d’artiste, elle a aidé les
artistes autochtones à acquérir de la notoriété. Ses propres peintures émerveillent
car elles illustrent la sagesse, la force et la spiritualité des femmes des Premières
nations.
Mme Bear milite depuis longtemps pour les droits des femmes autochtones au Canada et est
une source d’inspiration et un modèle pour les membres de sa communauté. Elle a été
décorée de l’Ordre du Canada en 2011.
La culture accessible à tous partout au Canada
Cette fête pancanadienne est la plus vaste campagne de participation populaire jamais
entreprise par la communauté des arts et de la culture au Canada. La première édition
de la Fête de la culture a eu lieu en septembre 2010 d’un océan à l’autre.
Les événements de la Fête de la culture peuvent être organisés par des organismes
culturels, des municipalités, des artistes, des groupes ou individus partout au pays. Le
comité d’organisation aide les organisateurs en leur offrant une plateforme pour faire
la promotion de leurs événements, à la fois sur le site Web officiel, les médias
sociaux et d’autres moyens de promotion.
À propos de la Fête de la culture
La Fête de la culture est un mouvement bénévole pancanadien axé sur la collaboration
dont le but est de favoriser la sensibilisation, l’accessibilité, la participation et
l’engagement de tous les Canadiens et Canadiennes à la vie artistique et culturelle de
leurs communautés. Avec le soutien du comité directeur national et des groupes de
travail provinciaux et territoriaux formés de bénévoles, des milliers d'organisateurs
d'activités se mobilisent à l'échelle locale afin de présenter et de coordonner des
activités sans frais qui encouragent chaque année la participation du public de partout
au pays pendant la dernière fin de semaine de septembre.
Renseignements : www.fetedelaculture.ca
| Une conférence provinciale portant sur le mieux-être est organisée en novembre à Fredericton
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Une conférence provinciale portant sur le mieux-être est organisée en novembre à Fredericton Le Ministère de la Culture, Tourisme et Vie saine, en collaboration avec la
Coalition pour une saine alimentation et l’activité physique au
Nouveau-Brunswick, le Groupe de travail des Premières Nations et peuples
autochtones, la Coalition antitabac du Nouveau-Brunswick, le Mouvement acadien des
communautés en santé du Nouveau-Brunswick et la Société
Santé et Mieux- être en français du Nouveau-Brunswick, vous invite
à assister à la Conférence provinciale portant sur le
mieux-être, ayant comme thème « Le mieux-être du
Nouveau-Brunswick : un mouvement qui gagne du terrain », qui aura lieu les 7 et 8
novembre au Palais des congrès de Fredericton.
Vous souhaitez acquérir des connaissances et des compétences qui vous
permettront de contribuer à l’amélioration de votre mieux-être,
de même qu’à celui des écoles, des familles et
collectivités et des milieux de travail du Nouveau-Brunswick ?
Cette conférence de deux jours veut fournir et mettre en commun des outils et
des ressources sur le mieux-être de la population et le vieillissement en
santé. Elle veut aussi présenter les réussites et les pratiques
prometteuses dans le domaine du mieux-être présentement mises en œuvre
au Nouveau-Brunswick; discuter des facteurs qui influencent le mieux-être
(santé psychologique, résilience et déterminants sociaux de la
santé); et offrir des possibilités de réseautage.
Des personnes ressources de renom présenteront des idées et outils pour
atteindre des objectifs et aborderont des thèmes variés tels la santé
psychologique et la résilience, la saine alimentation, l’activité
physique et la vie sans tabac.
Renseignements : 506-856-2141 / yves.ducharme@gnb.ca
| La professeure Monica Mallowan reçoit la Médaille de la ville de Poitiers
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La professeure Monica Mallowan reçoit la Médaille de la ville de Poitiers Lors de la 4e édition du Colloque spécialisé en sciences de l’information (COSSI)
dont les travaux ont eu lieu à l’Université de Poitiers, les élus de la municipalité
française ont tenu à saluer la contribution de Monica Mallowan, professeure en gestion
de l’information au campus de Shippagan, en lui décernant la Médaille de la ville de
Poitiers pour souligner ses efforts de mise en place et de consolidation d’un cadre de
dialogue et de recherche dédié au domaine de l’intelligence de l’information.
Cet honneur, qu’elle partage fièrement avec son collègue et coprésident du COSSI,
Christian Marcon, constitue une reconnaissance très appréciée ainsi qu’une invitation
à continuer d’oeuvrer pour le dialogue scientifique et l’avancement des travaux de
recherche dans le champ des sciences de l’information et de la communication.
La 5e édition du COSSI, qui aura lieu en juin 2013 au campus de Shippagan, permettra de
renforcer ces relations entre des établissements d’enseignement et de recherche et des
communautés de chercheurs et chercheuses de toute la Francophonie internationale
travaillant sur la problématique de l’intelligence de l’information.
| Un sommet portant sur les soins et le vieillissement en santé aura lieu en novembre à Fredericton
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Suzanne Dupuis-Blanchard, directrice du Centre d’études du vieillissement de l’Université de Moncton; Conrad LeBlanc, de la Fédération des citoyens et citoyennes aînés du Nouveau-Brunswick; Linda Savoie, du Réseau de santé Vitalité; Micheal Keating, de l’Association des foyers de soins du Nouveau-Brunswick; Jodi Hall, de l’Association des foyers de soins du Nouveau-Brunswick; Marc Léger, de l’Association des foyers de soins spéciaux francophones du Nouveau-Brunswick; Janet Gee, de l’Association de soutien à domicile du Nouveau-Brunswick; Jean-Luc Bélanger, de l’Association acadienne et francophone des aînés du Nouveau-Brunswick; Janice Seely, de l’Association des foyers de soins spéciaux anglophones du Nouveau-Brunswick; et Marcelle Fafard-Godbout, modératrice. |
Un sommet portant sur les soins et le vieillissement en santé aura lieu en novembre à Fredericton Un sommet, ayant comme thème « Sommet sur les soins et le vieillissement en santé :
innovons ensemble », aura lieu les 6 et 7 novembre à Fredericton.
L’an dernier, une coalition d’organismes ayant à coeur les intérêts des personnes
aînées s’est formée pour discuter de solutions durables en ce qui a trait aux défis
opérationnels auxquels nous faisons face, et pour oeuvrer ensemble pour trouver des
façons de nous soutenir mutuellement et de soutenir les personnes aînées.
Cette discussion a suscité un vif intérêt pour un avenir où les Néo-Brunswickois
pourraient vieillir en santé, et où il serait possible de fournir des services qui
répondent aux besoins des individus.
« Nous devons amorcer une discussion qui nous permettra de trouver une façon de mieux
soutenir les personnes aînées dans nos collectivités tout en leur fournissant des soins
dans un milieu approprié, mentionne Suzanne Dupuis-Blanchard, directrice du Centre
d’études du vieillissement de l’Université de Moncton. Il est donc nécessaire
d’amorcer une discussion qui ne soit pas centrée sur les difficultés quotidiennes mais
bien sur une nouvelle perception qui permettra de réaliser un « changement en profondeur
». Cela peut être rendu possible grâce à un effort collectif entre les personnes
aînées, les fournisseurs de soins, les organismes de défense et de services dans la
collectivité, les fournisseurs de soins de longue et de courte durée et le
gouvernement. À ce titre, une coalition d’organismes s’est formée pour planifier ce
sommet qui facilitera un dialogue entre tous les intervenants et qui mettra le système en
valeur. »
Les membres de la coalition comprennent le Réseau de santé Vitalité, Horizon Health
Network, l’Université de Moncton, l’University of New Brunswick, New Brunswick Home
Support Association, New Brunswick Special Care Home Association, l’Association
francophone des établissements de soins spéciaux du Nouveau-Brunswick, New Brunswick
Association of Nursing Homes, New Brunswick Senior Citizens Federation, l’Association
acadienne et francophone des aînées et aînés du Nouveau-Brunswick, le ministère du
Developpement social et le ministère de la Santé.
L’un des résultats anticipé lors du sommet est la détermination parmi les
intervenants de faire place au changement pour les étapes, ce qui souhaitons-le permettra
un changement en profondeur. La participation et l’engagement continus des intervenants
détermineront la nature et la forme que prendront ces étapes.
Ce sommet sera un événement marquant dans l’histoire du vieillissement et donnera lieu
à des échanges fructueux. Un tel événement n’a jamais été organisé dans la
province puisque chaque organisme a toujours travaillé de façon individuelle.
Un document de travail qui servira de base pour les discussions du sommet sera rédigé
pendant l’été et distribué aux Néo-Brunswickois.
Renseignements : 858-4260 ou 858-4673 / suzanne.dupuis-blanchard@umoncton.ca
| Lancement d'un premier numéro de la revue Minorités linguistiques et société / Linguistic Minorities and Society
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Isabelle McKee-Allain, directrice par intérim de l’Institut d’études acadiennes lors du lancement, partenaire de la revue; Réal Allard, directeur de la revue; le recteur Raymond Théberge, président de l’ICRML; Éric Forgues et Rodrigue Landry, rédacteurs invités du premier numéro. |
Lancement d'un premier numéro de la revue Minorités linguistiques et société / Linguistic Minorities and Society Un premier numéro de la revue « Minorités linguistiques et société / Linguistic
Minorities and Society », qui a pour titre « Quelle autonomie et quelle reconnaissance
pour les communautés de langue officielle en situation minoritaire (CLOSM)? / What
Autonomy and Recognition for Official Language Minorities? », a été lancé fin juin au
campus de Moncton.
Ce numéro thématique est issu d’une journée d’étude organisée par l’Institut
canadien de recherche sur les minorités linguistiques (ICRML) et ses partenaires,
l’Institut canadien de recherche en politiques et en administration publiques et
l’Université de Moncton. Selon les rédacteurs du numéro, Éric Forgues et Rodrigue
Landry, respectivement directeur général et directeur général sortant de l’ICRML,
les textes présentés analysent essentiellement les fondements normatifs, juridiques et
politiques de l’autonomie des communautés francophones en situation minoritaire (CFSM)
et explorent la forme que peut prendre cette autonomie au sein des CFSM.
Cette revue bisannuelle a été créée à l’initiative de l’Institut canadien de
recherche sur les minorités linguistique logé à l’Université de Moncton, avec le
soutien de ses partenaires, le ministère du Patrimoine canadien, le Consortium national
de formation en santé, l’Institut canadien de recherche en politiques et administration
publiques, l’Institut d’études acadiennes et le Commissariat aux langues
officielles.
Son objectif est de faire connaître, dans une perspective pluridisciplinaire et
interdisciplinaire en sciences du langage et en sciences sociales et humaines, les
résultats de recherche et les réflexions portant sur les communautés de langue
officielle au Canada et sur les minorités linguistiques au Canada et ailleurs dans le
monde. De par son ouverture aux études comparatives et internationales, elle jette un
éclairage élargi sur la situation de minorités linguistiques au Canada et ailleurs.
Publiée en ligne sur la plateforme Érudit, cette revue bilingue comporte des numéros
réguliers publiés sous la responsabilité du directeur ou de la directrice de la revue
ainsi que des numéros thématiques préparés sous la responsabilité de rédacteurs et
de rédactrices invités. Elle présente des articles scientifiques et des notes de
recherche, des articles de réflexion et des recensions d’ouvrages portant sur des
sujets en lien avec son orientation éditoriale.
Tout en présentant des articles répondant aux exigences scientifiques et visant des
spécialistes, elle invite les auteurs et les auteures à faire en sorte que leurs
articles soient aussi accessibles à un public averti plus large comprenant notamment les
personnes responsables de décisions ou d’interventions concernant les minorités
linguistiques.
Les auteurs et les auteures peuvent publier en français ou en anglais (sans traduction
systématique des articles). Toutefois, les sommaires des articles paraissent en français
et en anglais.
On vous invite à consulter ce premier numéro en cliquant le lien
http://www.erudit.org/revue/minling.
Renseignements : 858-4669.
| L’AAAUM organise un souper reconnaissance
Article complet
Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, 1re rangée : Bill Boucher, ancien directeur du bureau des Anciens et amis; Michelyne Paulin, conseillère de l’AAAUM; Jeanne Farrah, directrice du bureau des Anciens et amis; Normand Landry, ancien président; Yvonne Landry; Ghislaine Ringuette-Crawford, ancienne présidente; Murielle Brison; Noëlla Maillet; Thérèse Landry-Martin, ancienne présidente; Raymond Théberge, recteur et vice-chancelier; Adélard Cormier, ancien président; Mae Cormier; Bernard Poirier, ancien président; Antoinette Poirier; Gilberte Duguay; Jeannine Belliveau; Diane Johnson, adjointe administrative du bureau des Anciens et amis; et Marie-France Doucet, présidente de l’AAAUM; 2e rangée : George Bouchard, ancien président; Richard Saillant, vice-recteur à l’administration et aux ressources humaines; Valdo Grandmaison; Linda Schofield, directrice générale des relations universitaires; Emery Brison, ancien président; Achille Maillet, ancien président; Guy Martin; Claude Gallant, président Club des Aigles Bleus; Vincent Bourgeois, ancien directeur du bureau des Anciens et amis; Guy Vautour; Léo Godin, Amis des Aigles Bleus; Michel Rivard, vice-président de l’AAAUM; et Léopold Belliveau, ancien président. |
L’AAAUM organise un souper reconnaissance Chaque année, l’Association des anciens, anciennes et amis de l’Université de
Moncton, campus de Moncton, organise un souper reconnaissance pour remercier les anciens
présidents et présidentes, ainsi que les membres actuels du conseil d’administration
pour leur soutien inestimable à l’AAAUM et au développement de l’Université de
Moncton.
Cette belle tradition, qui remonte à plus d’une vingtaine d’années, est l’occasion
de remercier tous ceux et celles qui ont oeuvré pour l’AAAUM, qui continuent de la
soutenir et, par la même occasion, favorisent de bonnes relations entre les nouveaux et
les anciens membres.
Le nouveau recteur et vice-chancelier, Raymond Théberge, a assisté à ce souper
reconnaissance et il a pu constater l’entrain et le dynamisme du groupe. On a profité
de l’occasion également pour souligner le départ à la retraite de Diane Johnson,
adjointe administrative de l’Association depuis plus de 28 ans, et de la remercier pour
ses bons services.
| Chedly Belkhodja a participé à la conférence Palmer
Article complet
Chedly Belkhodja a participé à la conférence Palmer La troisième conférence annuelle Palmer portant sur le leadership dans le secteur public
a eu lieu les 15 et 16 août à l’Université de l’Île-du-Prince-Édouard.
Cette conférence bilingue a réuni un groupe hétérogène de leaders de partout au pays,
dont le professeur Chedly Belkhodja, pour aborder des questions de haute priorité pour le
secteur public et le Canada. Le thème pour la conférence Palmer de cette année était
« Le Canada, leader dans le domaine des politiques et pratiques en matière
d’immigration ».
Parmi les conférenciers de renom, notons la présence de Naheed Nenshi, maire de Calgary,
et Ratna Omidvar, président de Maytree.
Le professeur Belkhodja, qui est également chercheur en immigration et établissement,
faisait partie du groupe d’experts qui a discuté du thème « Intégration et
établissement, économique et social.
Les autres personnes ressources étaient Alain Dubuc, économiste et chroniqueur principal
pour La Presse et Le Soleil; Daniel Salée, professeur de science politique et directeur
de la School of Community and Public Affairs à l’Université Concordia; et Natasha
Fatah, journaliste à CBC, modératrice.
Renseignements : 858-3749 / http://palmerconference.com/
| Jusqu'au 9 septembre à la Galerie d’art : le Prix artistique Sobey souligne l’excellence de jeunes artistes canadiens
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Jusqu'au 9 septembre à la Galerie d’art : le Prix artistique Sobey souligne l’excellence de jeunes artistes canadiens Jusqu’au 9 septembre, la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen présente l’exposition
« Prix artistique Sobey : dix ans de finalistes en Atlantique ».
Organisée par le Musée des beaux-arts de la Nouvelle-Écosse, cette exposition regroupe
des œuvres des huit artistes ayant tour à tour été choisis pour représenter la
région atlantique à ce concours national.
Établi en 2002 par la Fondation des arts Sobey, le Prix artistique Sobey est
aujourd’hui une reconnaissance importante pour les artistes canadiens. Cette
distinction est accordée annuellement à un artiste de 40 ans et moins et attribue 70 000
$ en prix, soit 50 000 $ à l’artiste récipiendaire et 5000 $ aux quatre autres
finalistes régionaux.
Depuis dix ans, le prix contribue à mieux faire connaître et apprécier la production
actuelle en arts visuels au Canada. Les artistes mis en nomination et retenus comme
finalistes bénéficient de ce regard critique sur leur travail et d’une visibilité
accrue à l’échelle nationale. Partout au pays, un intérêt particulier est orienté
vers la production de ces artistes qui peuvent avoir été jusqu’à maintenant peu
connus malgré l’importance de leur production. Grâce à la rigueur du processus de
sélection, le Prix Sobey pour les arts est un gage de la qualité de la production d’un
artiste et contribue à valider sa démarche artistique.
L’exposition regroupe le travail d’Emily Vey Duke et Cooper Battersby, Jean-Denis
Boudreau, Mario Doucette, Greg Forrest, Zeke Moores, Graeme Patterson, Mathew Reichertz et
Colleen Wolstenholme.
Les visites sont libres et la galerie d’art est ouverte de 10 heures à 17 heures du
lundi au vendredi et de 13 heures à 17 heures le samedi et le dimanche.
Renseignements : 858-4088 / galrc@umoncton.ca
| Nouvelle équipe des étudiantes et étudiants-mentors
Article complet
Agrandir l'imageLa photo nous fait voir une partie de la nouvelle équipe des mentors qui a suivi la formation. |
Nouvelle équipe des étudiantes et étudiants-mentors La formation suivie par la nouvelle équipe des étudiantes et étudiants-mentors a eu
lieu les 27 et 28 août et ils sont plus que prêts à accompagner ceux et celles qui
commencent une première année universitaire.
Dès leur arrivée, les nouveaux étudiants et étudiantes sont automatiquement jumelés
à un étudiant ou étudiante-mentor de leur faculté. Pendant toute l'année, les mentors
communiqueront régulièrement avec eux soit par téléphone, par courriel ou lors de
rencontres dans le but d’écouter leurs besoins, de répondre à leurs questions, de
leur transmettre des renseignements ou encore en les orientant vers les ressources et les
services appropriés.
Le Programme de mentorat étudiant cherche donc à offrir un soutien plus personnalisé
aux nouveaux étudiants et étudiantes pour leur permettre de vivre une première année
universitaire agréable et enrichissante.
Renseignements : 858-3716 / chantal.degrace@umoncton.ca
| Appel aux projets artistiques de coopération internationale « Acadie-Europe »
Article complet
Appel aux projets artistiques de coopération internationale « Acadie-Europe » Les organisations artistiques francophones du Canada Atlantique désirant participer au
Programme Culture – Projets de coopération avec des pays tiers de l’Union Européenne
et pour lequel le pays tiers invité en 2013-2014 sera le Canada, ont jusqu’au 15
octobre pour soumettre leur proposition de projet.
Lancé par la Stratégie de promotion des artistes acadiens sur la scène internationale
(SPAASI), cet appel d’offre servira à mettre en lien des collaborateurs éventuels dans
le but d'accroître les possibilités de commercialisation des œuvres et produits
culturels acadiens du Canada Atlantique en Europe.
La soumission finale devra être présentée avant le 3 mai 2013 par un porteur de projet
européen responsable d’administrer le financement offert par l’Union Européenne
(jusqu’à 50 pour cent des coûts admissibles et un maximum de 200 000 EUR) et de
continuer le travail de coopération entre les partenaires européens et acadiens tout au
long du projet.
A noter que la moitié des activités proposées doivent avoir lieu en Acadie tandis que
la présence acadienne doit être au centre des activités qui se tiendront en territoires
européens. La date de lancement du projet doit se situer entre le 1er novembre 2013 et le
31 octobre 2014, et les activités peuvent s’échelonner sur une période allant
jusqu’à 24 mois.
L’appel d’offre est disponible en ligne à www.acadie-europe.com.
Renseignements : 1-506-206-3929 / christine.lavoie@snacadie.org
| Projet de recherche du Centre d’études du vieillissement
Article complet
Projet de recherche du Centre d’études du vieillissement Avez-vous un parent âgé en perte d’autonomie qui demeure dans sa maison ou dans un
appartement?
Dans le cadre d’un projet de recherche portant sur le maintien à domicile des personnes
aînées en perte d’autonomie, le Centre d’études du vieillissement est à la
recherche de personnes ayant un parent âgé qui a besoin d’aide pour effectuer diverses
activités de la vie quotidienne et vivant à domicile. Nous vous demanderons de partager
votre expérience lors d’une entrevue de 60 minutes à l’endroit de votre choix. Les
données recueillies resteront confidentielles.
Pour obtenir plus de renseignements ou pour prendre part au projet, vous pouvez joindre
Caroline Gibbons, infirmière au Centre d’études du vieillissement, par courriel à
caroline.gibbons@umoncton.ca ou par téléphone au 858-4673.
| RRPSNB : coordonnatrice des relations avec la communauté
Article complet
RRPSNB : coordonnatrice des relations avec la communauté Jennifer Godin occupe le nouveau poste de coordonnatrice des relations avec la communauté
au sein du Réseau de recherche sur les politiques sociales du Nouveau-Brunswick.
Mme Godin a obtenu le baccalauréat en sciences sociales, avec une spécialisation en
science politique, ainsi que le baccalauréat en droit à l’Université de Moncton.
Elle travaille à partir de l’Institut canadien de recherche en politiques et
administration publiques, logé au campus de Moncton. Elle est chargée de développer des
partenariats, de faciliter les collaborations et de promouvoir les activités du RRPSNB
parmi les chercheurs et chercheuses et les groupes de la communauté dans toutes les
régions francophones du Nouveau‐Brunswick.
Le Réseau de recherche sur les politiques sociales du Nouveau-Brunswick est un réseau de
personnes actives dans la recherche et engagées dans des activités qui contribuent à
l'élaboration de politiques publiques fondées sur des données probantes, avec le
soutien des quatre universités publiques de la province et du gouvernement du
Nouveau-Brunswick.
Renseignements : 858-4315.
| Christian Gaudet est nommé capitaine des Aigles Bleus au hockey masculin
Article complet
Christian Gaudet est nommé capitaine des Aigles Bleus au hockey masculin L'entraîneur chef des Aigles Bleus de l'Université de Moncton, Serge Bourgeois, a
annoncé que le joueur d'avant Christian Gaudet sera le capitaine de l'équipe pour la
prochaine saison de hockey masculin de Sports universitaire de l'Atlantique.
Christian Gaudet est un joueur ayant de l’expérience professionnelle puisqu’il a
été capitaine des Wildcats de Moncton dans la Ligue de hockey junior majeur du Québec.
Il a joint les Aigles Bleus lors de la dernière saison et était capitaine adjoint.
Originaire de Memramcook, Christian Gaudet a été absent une bonne partie de la saison
dernière en raison d'une blessure. « Il a été un joueur très efficace à sa première
année avec les Aigles Bleus, rappelle l'entraîneur Serge Bourgeois. Son expérience et
son éthique au jeu font de lui un joueur modèle. Il a su gagner le respect de ses
coéquipiers et du circuit l'an dernier et je suis heureux de pouvoir compter sur lui
comme capitaine en vue de la prochaine saison. »
« C'est un honneur de porter le chandail de capitaine, a laissé entendre Christian
Gaudet en apprenant sa nomination. Il y a d'autres vétérans, comme Mathieu Bolduc par
exemple, qui auraient pu le porter. Il ne faut cependant pas oublier que tous ces
hockeyeurs auront un rôle important à jouer au sein de l'équipe. C'est ce qui a fait la
différence l'an dernier alors que tous les gars se parlaient lorsque de retour dans la
chambre des joueurs. »
Gaudet indique que les membres de sa famille sont heureux de son nouveau rôle au sein de
l’équipe. « C'est plutôt spécial pour moi, dit-il. Pour mes parents et
grands-parents, ça leur fait chaud au coeur. Il y a longtemps que les membres de ma
famille appuient et assistent aux parties des Aigles Bleus. C'est du bon hockey. J'ai
été le capitaine des Wildcats de Moncton mais c'était nouveau pour moi. Cette fois, je
sais à quoi m'attendre; je comprends mieux mon rôle. »
L'équipe a de bonnes recrues cette année et Gaudet entend bien leur rappeler que jouer
avec les Aigles Bleus est une source de fierté.
« Nous sommes la seule équipe francophone dans le circuit; c’est unique et il faut
l’utiliser à notre avantage, ajoute-t-il. J'ai de grands souliers à remplir à la
suite de Dean Ouellet, Pierre-André Bureau et les autres qui ont fait un excellent
travail. Mais comme d’habitude, je donnerai toujours mon effort maximum sur la glace.
Quant aux adjoints, ils auront également de rôles importants à jouer. Nous sommes un
groupe de leaders qui travaillons ensemble et c'est cela qui fait notre force.»
Cet été, Christian Gaudet poursuit son entraînement et s'occupe de son circuit de
hockey boule qui réunit plusieurs centaines de joueurs.
| Soutenance de thèse de Jonathan Landry en sciences du langage
Article complet
Soutenance de thèse de Jonathan Landry en sciences du langage La soutenance de thèse de maîtrise en sciences du langage de Jonathan Landry, intitulée
«Étude de représentations linguistiques de jeunes Acadiennes et Acadiens en milieu
scolaire : vers un éveil à sa propre langue ? », a lieu par vidéoconférence, ce jeudi
6 septembre à 10 heures dans la salle A-231 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de
Moncton.
Le jury est composé d’Hélène Destrempes, présidente; Laurence Arrighi et Annette
Boudreau, codirectrices de thèse; Claudine Moïse (Université Grenoble), examinatrice
externe; et Marianne Cormier, examinatrice interne.
Bienvenue à toutes et à tous.
| Rentrée universitaire : la parole est aux présidents des associations étudiantes des trois campus
Article complet
Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Patrick Lavoie, au campus d’Edmundston, Joëlle Martin, au campus de Moncton, et Kevin Bédard, au campus de Shippagan. |
Rentrée universitaire : la parole est aux présidents des associations étudiantes des trois campus À l’occasion de la rentrée universitaire, la chronique « À l’honneur » donne la
parole à la présidente et aux présidents des associations étudiantes des trois campus
de l’Université de Moncton, Joëlle Martin au campus de Moncton, Patrick Lavoie au
campus d’Edmundston et Kevin Bédard au campus de Shippagan.
« C'est la 50e rentrée universitaire au campus de Moncton et c'est ma sixième, souligne
Joëlle Martin, présidente de la Féécum. Pourtant, l'expérience de la rentrée n'a pas
perdu de sa magie. Que ce soit de revoir des vieux amis ou de nouveaux visages, entendre
parler de nouveaux projets ou encore de participer aux diverses activités pendant que
notre campus est encore vert, je ne me lasse pas de ces premières semaines et de
l’énergie qu'elles dégagent. C'est ici que tout commence. C'est ici que nous nous
remplissons de l'enthousiasme qui nous portera jusqu'en avril prochain et qui rendra tout
possible. »
Parmi les dossiers qui animent la Féécum, la présidente mentionne les revendications
pour améliorer le sort des étudiants et étudiantes au Nouveau-Brunswick, le nouveau
café-bar étudiant et l'avenir des services alimentaires au campus, l'évaluation des
programmes académiques ou encore la relation qui se développe avec le nouveau recteur.
« Bref, on ne chômera pas à la Fédération étudiante et nous espérons que nos
membres composeront avec cet horaire chargé, rappelle la présidente. Déjà autour de
nous, les organismes étudiants se préparent pour une année toute aussi animée : CKUM a
de nouvelles capacités techniques et Le Front a changé de format; Symbiose reprend en
main la vente de livres usagés; la Licum amène ses talents de l’humour au médium de
la vidéo; des étudiants et étudiantes engagés font venir la CLASSE pour animer le
débat sur l'éducation postsecondaire; un nouveau comité pour l’organisation de
tournois de jeux vidéo a été créé; et les conseils étudiants se disent prêts à
reprendre la Coupe FÉÉCUM des mains de l'équipe d'athlétisme.
Pour sa part, Patrick Lavoie, de l’Association générale des étudiants et étudiantes
du campus d’Edmundston (AGEEUMCE) envisage la prochaine année avec autant
d’optimisme. « En cette rentrée 2012, les nouveaux étudiants et étudiantes sont
enthousiastes face à l’idée d’entreprendre leurs études universitaires, dit-il. De
plus, ils ont la chance de prendre part à une vie étudiante des plus diversifiées. Afin
de rejoindre le plus grand nombre d’entre eux, l’association étudiante a organisé
des activités axées sur l’inclusion. C’est dans cet esprit que nous espérons
rassembler nos membres afin qu’ils se sentent chez eux. »
« L’initiation, les soirées sociales organisées à La Cheminée, les ateliers de
formation offerts aux nouveaux étudiants et étudiantes sont autant d’activités de la
rentrée qui leur permettent de se divertir tout en se préparant pour une période
d’études intensives », ajoute M. Lavoie qui commence la dernière année du
baccalauréat ès arts multidisciplinaire.
Pour Kevin Bédard au campus de Shippagan, la rentrée est la période la plus importante
de l’année universitaire. Les nombreuses activités d’intégration organisées
permettent aux nouveaux étudiants et étudiantes comme à ceux et à celles qui
reviennent de tisser de nouvelles amitiés et de rencontrer leurs professeurs et
collègues de classe.
« Depuis quelques jours, on ressent la fébrilité dans l’air, dit-il. Les étudiants
sont arrivés en résidence et certains avaient la larme à l’œil à l’idée de
quitter leurs parents, mais je vous assure qu’ils n’auront pas le temps de s’ennuyer
avec la vie universitaire qu’on leur réserve pendant la période de la rentrée mais
aussi pendant toute l’année universitaire.
L’Association étudiante travaille d’ailleurs très fort afin que l’expérience
universitaire au campus de Shippagan soit mémorable à tous les points de vue. »
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