Ronald Labelle, titulaire de la Chaire de recherche McCain en ethnologie acadienne et professeur au Département d’études françaises, prononcera la 14e Conférence de la FESR, intitulée « Le conte de Cendrillon : de la Chine à l’Acadie sur les ailes de la tradition », le mardi 22 mars à 15 heures dans la salle A231 du pavillon Jeanne-de-Valois au Campus de Moncton.

Cette conférence sera diffusée grâce à la vidéoconférence aux campus de Shippagan (PIL307) et d’Edmundston (PSL506). Une réception suivra la conférence au Campus de Moncton.

Le professeur Labelle a récemment étudié le conte de Cendrillon en Acadie en vue de la préparation d’une exposition muséale. Ses recherches l’ont amené à mettre en lumière des faits surprenants.

Lors de cette conférence, on apprendra qu’à partir de ses lointaines origines asiatiques, Cendrillon a voyagé à travers le monde en prenant de nombreuses formes. Ce conte a toujours fasciné les chercheurs; c’est le premier conte traditionnel à avoir fait l’objet d’études comparatives au 19e siècle.

Dans le monde francophone, l’héroïne du conte prend des noms très variés, s’appelant rarement Cendrillon. Au Canada français, bien que le conte soit attesté dans le folklore québécois et franco-ontarien, c’est en Acadie qu’il est le plus répandu.

On verra donc comment les contes acadiens de Souillon, Cendrouillon, Cendrouillonne et Cendrillouse présentent des récits oraux qui s’éloignent de la version que Charles Perrault avait figée par l’écrit voilà 300 ans.

Bienvenue à tous et à toutes.

Renseignements : FESR, au 858-4310

Le Département de mathématiques et de statistique de la Faculté des sciences de l’Université de Moncton annonce la tenue de la première édition du Concours annuel de mathématiques Poincaré, qui aura lieu le jeudi 21 avril dans les écoles secondaires francophones du Nouveau-Brunswick.

Une initiative du professeur Donald Violette, ce nouveau concours de calibre national s’adresse aux élèves de 12e année inscrits au cours de mathématiques avancées. Il permettra à l’élève gagnant de bénéficier d’une bourse d’entrée de 1000 $ s’il s’inscrit à un programme d’études offert à la Faculté des sciences. De plus, des prix de la Banque Nationale du Canada, des médailles et des certificats seront offerts aux meilleurs élèves.

Selon M. Violette, un tel concours est un excellent moyen de démystifier les mathématiques et de sensibiliser les jeunes et le public à l’importance et à l’utilité de cette discipline dans le monde contemporain.

« Ce concours devrait encourager les jeunes Acadiens et Acadiennes à s'inscrire dans un programme universitaire en mathématiques, dit-il. Il y a plusieurs perceptions négatives à changer et un tel concours aidera certainement à faire évoluer les mentalités. De plus, son but ultime est la mise sur pied éventuelle de camps en mathématiques à notre Département. Lorsqu’il sera connu, rodé et bien encré dans la tradition, on pourra alors créer ces camps pour ceux et celles qui sortiront champions du concours Poincaré. Les camps de formation permettront de faire la promotion des mathématiques et encourageront chez les jeunes l’excellence et le goût de se dépasser. »

D’une durée de trois heures, le concours débutera simultanément à 9 heures le 21 avril dans les écoles secondaires de la province. La correction des tests sera faite par au moins deux professeurs du Département de mathématiques et de statistique de l'Université de Moncton. Les résultats seront ensuite annoncés au plus tard à la mi-mai.

Le concours porte le nom de Poincaré, mathématicien français de génie qui est le père de la topologie algébrique. L’objectif principal est de soutenir l’implantation d’une culture mathématique en Acadie du Nouveau-Brunswick.

Pour obtenir plus de renseignements, prière de communiquer avec le professeur Donald Violette, au 858-4325, donald.violette@umoncton.ca ou encore visitez le site Internet ci-dessous sous la rubrique «Concours de mathématiques Poincaré».

La Faculté des études supérieures et de la recherche rompt avec la tradition et décerne deux Prix Vo-Van, l’un à Marie-Michèle Doucet et l’autre à Jean-Philippe Michaud.

Mme Doucet a fait sa thèse de maîtrise en histoire sous la direction de la professeure Joceline Chabot. Elle est inscrite au doctorat en histoire à l’Université de Montréal où elle est auxiliaire d’enseignement.

M. Michaud a complété sa thèse de maîtrise en biologie sous la direction du professeur Gaétan Moreau. Il occupe actuellement le poste d’enquêteur à la Gendarmerie royale du Canada à High River, en Alberta.

L’attribution des prix aura lieu le vendredi 25 mars à 11 h 30 dans la salle 136 du pavillon Léopold-Taillon lors d’une séance publique pendant laquelle les personnes lauréates feront une présentation de leurs travaux de recherche. La cérémonie sera suivie d’une réception.

Thèse de maîtrise de Marie-Michèle Doucet
Héros et héroïnes : stéréotypes et représentations genrés dans la littérature patriotique de la Grande Guerre en France (1914-1919)

Depuis une trentaine d’années, les chercheurs s’intéressent à une approche « genrée » de l’histoire. L’historien qui privilégie ce type d’approche s’intéresse aux rapports sociaux entre les hommes et les femmes ainsi qu’à toutes les formes de symbolismes sexués qui contribuent à la construction des identités sexuelles.

L’historiographie de la Première Guerre mondiale a connu des avancées considérables depuis quelques années. Dans ce cadre, de nombreux chercheurs ont montré que la guerre n’était pas seulement une entreprise masculine. L’historiographie des femmes et de la Première Guerre mondiale a ouvert un débat portant sur la continuité ou la rupture des rôles traditionnels par rapport à la situation d’avant-guerre.

Les premiers travaux d’historiens concernant le rôle et la place des femmes dans la Grande Guerre étaient centrés sur l’histoire du travail féminin et de son évolution dans le cadre d’une guerre totale. Ces chercheurs ont insisté sur l’aspect émancipateur de la Grande Guerre sur les femmes. Toutefois, depuis les années 1980, certains chercheurs contestent cette thèse de la guerre émancipatrice.

Après une relecture critique des sources et une approche plus genrée, ces études insistent sur le caractère provisoire et superficiel des changements opérés dans le cadre de la Grande Guerre. L’historienne F. Thébaud explique que par sa nature et par le traumatisme qu’elle engendre, la guerre paraît plutôt conservatrice, voire régressive, en matière de rapports entre les sexes.

C’est dans ce cadre que s’inscrit le projet de recherche qui sera précédé d’une analyse genrée du thème de l’héroïsme masculin et féminin dans la littérature patriotique et la presse populaire en France durant la Première Guerre mondiale (1914-1918).

Inscrite dans le champ de l’histoire culturelle et des représentations, la recherche vise d’une part à définir quelles sont les qualités que les contemporains associent à l’héroïsme masculin comparativement à l’héroïsme féminin et, d’autre part, à analyser si ces représentations de l’héroïsme en temps de guerre ressortent des stéréotypes liés au genre ou si, dans une certaine mesure, elles déplacent les frontières associées aux genres.

L’analyse des représentations de l’héroïsme de guerre a été réalisée à partir d’un corpus constitué de 20 ouvrages relevant de la littérature patriotique publiés entre 1914, année de l’entrée en guerre, et 1919, année où se déroule à la fois une démobilisation militaire, mais aussi une démobilisation culturelle.

À ce premier corpus, on a ajouté des articles parus dans la presse populaire de l’époque traitant du thème des héros et héroïnes de guerre. À partir de la méthode critique propre à l’histoire, on a donc fait une analyse comparée du discours entourant l’héroïsme des hommes et celui des femmes en temps de guerre dans les journaux et les livres parus entre 1915 et 1919.

Thèse de maîtrise de Jean-Philippe Michaud
La vie après la mort : étude de la succession hétérotrophe sur les carcasses de porcs domestiques dans le sud-est du Nouveau-Brunswick

L’entomologie médico-légale est définie comme l’application de l’entomologie à des cas criminels. La principale application de l’entomologie médico-légale consiste à estimer l’intervalle post-mortem (IPM), soit le temps écoulé depuis la mort.

Une approche pour estimer l’IPM est de comparer l’assemblage d’insectes retrouvé sur la victime avec celui retrouvé dans des études expérimentales faites dans la même région à l’aide de carcasses de porcs domestiques, le meilleur modèle pour reproduire la décomposition humaine.

Les études précédentes contiennent pour la plupart une description de la succession des insectes sur des carcasses, accompagnée des stades de décomposition. Ces derniers reflètent l’apparence physique de la carcasse et n’ont pas d’utilité reconnue à part la discussion de résultats. En supposant que le patron de succession est prévisible, il est possible d’établir l’IPM par comparaison avec les études descriptives disponibles.

Cependant, considérant que la composition taxinomique est affectée par la région géographique, l’habitat et la période de l’année, il apparaît nécessaire de développer des bases de données qui tiennent compte de ces variables à tout endroit où de telles données pourraient être utilisées. Ce type d’étude n’avait jamais été effectué au Nouveau-Brunswick. De plus, considérant la nature variable du climat, des populations d’arthropodes, de la dynamique des communautés et aussi la variation associée au mode d’exposition des cadavres humains, l’inférence ne peut pas être supportée par des études descriptives. Il est donc nécessaire d’évaluer de façon statistique la validité du patron de succession des insectes en tant qu’indicateur de l’IPM.

Les objectifs de cette étude étaient d’évaluer la composition taxinomique des assemblages d’arthropodes des deux habitats dominants retrouvés dans l’écorégion des Basses terres des Maritimes, au Nouveau-Brunswick, soit la forêt acadienne et les champs agricoles; vérifier la prévisibilité des stades de décomposition et évaluer leur potentiel en tant qu’indicateur de l’IPM et ce, indépendamment du patron de succession des insectes; développer une approche statistique qui permettrait d’analyser des phénomènes reliés à la décomposition tout en tenant compte de la variabilité climatique; et appliquer cette dernière pour vérifier la prévisibilité du patron de succession hétérotrophe et, par le fait même, évaluer la validité de son utilisation en tant qu’indicateur de l’IPM.

Du printemps 2007 au printemps 2008, des carcasses de porcs domestiques ont été exposées séquentiellement dans les deux habitats de l’écorégion. Au total, 131 espèces d’insectes de deux ordres, 18 familles et 74 genres ont été collectées.

La composition taxinomique des diptères n’était pas influencée par l’habitat mais variait en fonction du temps de l’année (i.e., saison). Au contraire, les coléoptères n’étaient pas influencés par (le temps de l’année) mais des différences reliées à l’habitat ont été détectées. En se basant sur la température et un indice innovateur développé par régression multiple, on a été en mesure de prédire les stades de décomposition des carcasses exposées dans les champs agricoles, ce qui suggère que les stades de décomposition des carcasses exposées dans les champs agricoles, ce qui suggère que les stades de décomposition eux-mêmes pourraient potentiellement être utilisés pour estimer l’IPM.

Ensuite, nous avons tenté de déterminer si la succession hétérotrophe était prévisible au point d’être utilisée comme indicateur de l’IPM. Les résultats indiquent que des 131 espèces/genres identifiés, seulement trois espèces et un genre ont montré un patron de succession prévisible par rapport à la température et l’habitat. Nos résultats soulignent l’importance de la variabilité non-expliquée qui affecte les patrons de colonisation/visite des carcasses par les insectes, ce qui va à l’encontre de la supposition fondamentale de prévisibilité de la succession hétérotrophe.

Les étudiants et étudiantes de première et de quatrième année du Département des arts visuels présentent leurs travaux lors d’un vernissage qui aura lieu le vendredi 18 mars de 17 heures à 20 heures à la Galerie Triangle située au pavillon des Beaux-Arts au Campus de Moncton. Toutes les disciplines seront présentées : peinture, photographie, estampe, céramique et sculpture.

Un goûter sera servi et le groupe Les Confitureurs divertira le public avec sa musique « folk/indie ».

Renseignements : Christine Comeau, au 962-6655, ecc5280@umoncton.ca ou Jessica Arseneau, au 871-5441, jessicaarseneau@nb.aibn.com

Le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact (GRICC) de l’Université de Moncton organise un colloque ayant comme thème «L’Étranger au prisme des cultures : Expériences et problématisations », du 19 au 21 septembre 2012 au Campus de Moncton.

Aussi loin que nous remontions dans l’histoire des civilisations, des peuples, des nations, des États, des collectivités, des individus et des savoirs – anciens, modernes ou contemporains – qui en ont inlassablement rendu compte pour tâcher de témoigner de son irruption, il est possible de reconnaître en une première approximation générale et abstraite que l’Étranger évoque celui qu’on reçoit et accueille par générosité, par devoir ou par compassion, mais, plus souvent qu’autrement, celui qu’il est impératif de contenir, de tenir à distance, de contrôler voire d’exclure et de bannir.

En effet, c’est dans cette « dialectique du proche et du lointain » que Georg Simmel avait su, en son temps, pertinemment analyser que l’Étranger puise sa raison d’être. Par sa radicale différence et par sa proximité, qui peuvent sembler potentiellement aussi dangereuses qu’inquiétantes, mais aussi par ses origines, ses mœurs, ses croyances, ne s’attache-t-il pas à la présence même de l’Étranger une énigme qui mérite examen et élucidation? Une énigme qui, par les questionnements qu’elle provoque, déstabilise sourdement le vivre-ensemble, bouscule les formes possibles de l’appartenance – politiques, religieuses, culturelles et sociales – et va jusqu’à mettre à l’épreuve l’idée même du partage et de la reconnaissance des cultures – celles de l’hôte qui l’accueille comme celles dont l’Étranger se revendique.

Mais, à y regarder de près, les traitements inédits dont ce dernier, sous toutes ses figures, fait aujourd’hui l’objet, exigent que tout exercice d’élucidation intellectuelle de la question de l’Étranger procède à la fois à une réévaluation de toutes les traditions historiques, scientifiques et intellectuelles dont l’Occident s’est nourri et qu’il les mette en perspective avec les pratiques actuelles afin d’en mesurer à la fois ce qu’il en subsiste et les ruptures radicales que ces dernières inaugurent. Cela, en plaçant sous un autre jour ces expériences que recouvrent à travers les âges, et aujourd’hui encore, la justice, la citoyenneté, l’hospitalité, l’hostilité, la solidarité, l’exil, l’errance, l’exterritorialité ou toute autre forme de sociabilité.

C’est justement à l’exploration patiente des traces profuses que l’Étranger a laissées au cours de ses parcours et à celles qui émergent aujourd’hui et qui forgent de nouveaux imaginaires de l’extranéité que le GRICC veut consacrer son quatrième colloque.

Le thème de l’Étranger mobilisant tous les domaines de la pensée, en accord avec sa vocation interdisciplinaire et privilégiant une perspective transhistorique, le GRICC attend donc des contributions d’universitaires et d’étudiants et étudiantes des cycles supérieurs à ce colloque qu’elles s’arrêtent aux problématisations les plus exemplaires relatives à l’Étranger dans leurs domaines respectifs, non sans mobiliser toute la part de réflexivité qu’un tel exercice requiert.

Le comité scientifique est composé de Mourad Ali-Khodja, du Département de sociologie; Jeremy Hayhoe, du Département d’histoire et de géographie; Isabelle LeBlanc, doctorante, Département d’études françaises; Marie-Noëlle Ryan, du Département de philosophie; Jean-FrançoisThibault, du Département de science politique; et Emmanuelle Tremblay, du Secteur Arts et sciences humaines, tous de l’Université de Moncton.

Les personnes intéressées sont priées de faire parvenir au plus tard le 15 août 2011 un titre et une proposition de communication (200 mots au maximum), ainsi que leurs coordonnées institutionnelles à l’adresse gricc2012@gmail.com

Les décisions du Comité scientifique quant au choix des participants et participantes seront communiquées au plus tard 30 septembre 2011. Les communications du colloque donneront lieu à une publication.

Les frais d’inscription (payables au début du colloque) sont de 100 $ pour les professeurs et 25 $ pour les étudiants.

L’artiste Robert Saucier a prononcé une conférence publique, intitulée « Sculpture, installation et arts robotiques », à la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen du Campus de Moncton.

Né à Edmundston, M. Saucier vit et travaille à Montréal depuis 1973. Au cours des 30 dernières années, ses œuvres ont été exposées régulièrement au Québec, dans plusieurs grandes villes canadiennes et plus récemment aux États-Unis, en Angleterre et en Belgique. Il est professeur à l’École des arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal depuis la fin des années 1980 et il en a assumé les fonctions de directeur de 2006 à 2009.

Ses œuvres interrogent les spectateurs sur leur relation avec l’art et la technologie. Ses installations sculpturales amplifient la magie des technologies sous-jacentes mais exposent aussi la futilité de certaines utilisations. Dans ces environnements contrôlés, l’aléatoire et le vertige demeurent. Les œuvres sont conviviales et le spectateur y joue un rôle clef. En faisant du spectateur un acteur déterminant dans l’avenir de l’œuvre, l’artiste réaffirme l’importance de son rôle dans l’accomplissement d’un destin partagé.

Depuis une dizaine d’années, Robert Saucier utilise autant comme matière première que comme référents conceptuels des piles photovoltaïques avec différentes sources lumineuses qui se « transforment » en son à travers des radios transistors ou divers types d’enregistrements. Le spectateur devient conscient que ces dispositifs « à zapping » révèlent une infime partie des renseignements qu’elles contiennent en réalité. Leur cohérence rappelle certaines pratiques dadaïstes ou surréalistes en agissant comme agent perturbateur.

Le Concours annuel des jeunes chercheuses et chercheurs de la FESR aura lieu le mercredi 23 mars de 8 h 30 à 15 heures dans les salles 106, 206 et 214 de l’édifice des arts au Campus de Moncton.

Ce concours permet à des étudiantes et étudiants des universités de l’Atlantique de présenter en français les résultats de leurs travaux de recherche. Tous les étudiants et étudiantes sont fortement invités à assister aux diverses présentations qui mettront en valeur leurs collègues du premier cycle et des cycles supérieurs.

Les communications seront présentées dans quatre catégories : sciences humaines et sociales 1er cycle, sciences humaines et sociales 2e et 3e cycles, sciences naturelles et génie 1er cycle et sciences naturelles et génie 2e et 3e cycles.

Une table ronde, intitulée « Vers une nouvelle géopolitique mondiale », débutera à 16 heures dans la salle A-231 du pavillon Jeanne-de-Valois.

Le Gala de remise des prix aura lieu dans la salle de spectacle A-119 du pavillon Jeanne-de-Valois à compter de 17 h 30. Cet événement offrira également une vitrine à diverses activités de création artistique.

Vous pouvez consulter le programme du concours à l’adresse Internet ci-dessous.

Renseignements : 858-4310.

C’est avec enthousiasme que Donald J. Savoie, président du conseil d’administration, annonce la nomination de Marc Duhamel à titre de directeur général de l’Institut canadien de recherche en politiques et administration publiques (ICRPAP).

Cette nomination, d’une durée de trois ans, a été rendue possible grâce au programme Échanges Canada qui vise l’échange de compétences aux fins de perfectionnement entre des organisations de l'administration publique fédérale et d'autres organisations des secteurs privé, public et à but non lucratif au Canada et à l'étranger. L’entrée en fonction de M. Duhamel a eu lieu le 28 février dernier.

«M. Duhamel apporte un bagage de connaissances et d’expériences pertinentes au domaine des politiques publiques par le biais de sa formation et de son expérience au sein de la haute fonction publique fédérale, indique M. Savoie. Nous sommes enchantés qu’il ait accepté de diriger l’Institut et d’étendre son rayonnement. »

« Je suis très heureux d'entreprendre un nouveau défi où je pourrai mettre à profit mon expérience afin de favoriser le développement de la recherche universitaire à l'ICRPAP, et ce en étroite collaboration avec la communauté scientifique de l'Université de Moncton », mentionne pour sa part M. Duhamel.

Possédant le doctorat en économie de l’Université de la Colombie-Britannique, ses intérêts de recherche portent principalement sur la concurrence, l’innovation et l’entrepreneurship en organisation industrielle, et les politiques publiques visant le développement et l’encadrement légal des entreprises. M. Duhamel vient tout juste de publier « Industrial Organization in Canada: Empirical Evidence and Policy Issues » aux McGill-Queen's University Press.

Le conseil d'administration de l'ICRPAP profite de l'occasion pour remercier sincèrement Nicole Barrieau pour ses loyaux services en tant que directrice administrative. Mme Barrieau a fait preuve d'un dévouement et d'un engagement exemplaires. Elle reprend ses fonctions de chercheuse au sein de l'Institut et continuera à contribuer à son développement et à son rayonnement. L'ICRPAP est logé au Campus de Moncton.

Renseignements : 506-858-4506, manon.cormier@umoncton.ca

La Chaire d’études Jeanne et J.-Louis-Lévesque en gestion financière de la Faculté d’administration organise une table ronde portant sur les sources de financement pour la PME, le jeudi 17 mars de 15 heures à 16 h 30 dans le local 272 du pavillon Jean-Cadieux.

Les personnes ressources seront Sadie Perron, sous-ministre adjointe d’Entreprises Nouveau-Brunswick, Calvin Milbury, président et chef de la direction de la Fondation de l’innovation du Nouveau-Brunswick, Patrick Lemelin, vice-président aux particuliers et aux entreprises de l’Atlantique à la Banque Nationale, Louis Jaillet, agent de développement économique à l’Agence de promotion économique du Canada atlantique, Lise LeBouthillier, directrice principale à la Banque de développement du Canada, et Denis Lanteigne, analyste pour le développement des entreprises à l’Agence de promotion économique du Canada atlantique.

Cette table ronde est d’intérêt général. Bienvenue à tous et à toutes.

Renseignements : Tania Morris, au 858-4218, morrist@umoncton.ca

Dans le cadre de l’Année internationale de la chimie, le Département de chimie et biochimie de l’Université de Moncton lance un concours intitulé « Fais ton aspirine ».

Ce concours s’adresse aux élèves des 11e et 12e années provenant des Maritimes. Pour y participer, les personnes intéressées doivent rédiger un texte en français d’environ 300 mots décrivant comment la chimie a amélioré leur vie. Les textes doivent être envoyés par courriel à l’adresse chimie-biochimie@umoncton.ca au plus tard le 20 avril.

Les 20 élèves ayant soumis les rédactions jugées les plus méritantes seront invités au Département de chimie et biochimie le 6 mai en après-midi afin de faire la synthèse de l’aspirine. L’activité d’une durée de trois à quatre heures se terminera par le tirage au sort d’une bourse de 500 $ offerte à l’un des élèves invités et qui s’inscrira au programme de spécialisation en chimie à l’Université de Moncton. Un iPod touch sera également tiré au sort parmi toutes les personnes ayant soumis un texte.

Pour obtenir plus de renseignements, communiquez avec le professeur Luc Tremblay, au 858-4333 ou par courriel à luc.trembay@umoncton.ca

Jusqu’au 10 avril, la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen du Campus de Moncton présente l’exposition « Stephen Kelly: Open Tuning (WaveUp) », une installation sculpturale immersive. L’exposition prend comme source d’information les données recueillies et affichées en temps réel sur le site Web de Pêches et Océans Canada. Activée par ces données, une série de dispositifs suspendus s’animent dans l’espace et génèrent un son à basse fréquence. Puisque le mouvement et le son correspondent aux données recueillies sur des bouées au large de la côte Atlantique, l’exposition propose une représentation sonore et visuelle en temps réel des mouvements de vagues en grande mer. Stephen Kelly est un artiste de la relève habitant Halifax. Il possède le baccalauréat en arts visuels du Nova Scotia College of Art and Design et poursuit présentement des études de maîtrise en informatique à Dalhousie University. Il a exposé et participé à plusieurs expositions tant au Canada qu’à l’étranger. À titre d’artiste, de technicien, de programmateur et de musicien, il s’intéresse au croisement entre les arts visuels et la musique. Cette exposition est présentée par le Musée des beaux-arts de la Nouvelle-Écosse.

La Semaine nationale de l’enseignement coopératif aura lieu du 20 au 26 mars. Et le régime coopératif à l’Université de Moncton est à l’honneur.

Cet événement veut souligner la participation au régime coopératif des étudiants et étudiantes coop, des employeurs qui les embauchent et les forment pendant leurs stages rémunérés, et des universités qui les forment pendant leurs études.

Avant de partir en stage, les étudiants et étudiantes coop suivent des ateliers qui leur expliquent comment rédiger leur CV, comment agir et répondre aux questions lors d’un entretien, comment se comporter en milieu de travail, comment résoudre des problèmes et prendre des décisions, comment se créer un réseau pour se trouver un emploi, et ce à quoi s’attendent les employeurs.

Certains étudiants et étudiantes sont en stage pendant ce semestre (janvier à avril) et d’autres partiront à la session printemps-été (mai à aout). Les employeurs qui les accueillent proviennent d’entreprises privées, des gouvernements fédéral et provincial, d’organismes et même d’universités. La diversité ne manque pas. En effet, il y a plus de demandes des employeurs pour des stagiaires coop que d’étudiants coop inscrits au Campus de Moncton. Pensez-y.

En plus de leurs tâches respectives, les responsables des 17 programmes coop, qui sont aussi membres du corps professoral, chercheurs, vice-doyens et directeurs de département, collaborent avec le Bureau de l’enseignement coopératif. Ainsi, on tient à remercier Jean-Guy Ouellette, vice-recteur adjoint à l’enseignement; Louise Girard, sciences; Gilles Robichaud, biochimie; Stéphan Reebs, biologie; Chadia Moghrabi, informatique appliquée; Paul Deguire, mathématiques; Nha Nguyen, maîtrise en administration des affaires; Claude Desrochers, Salem Lakhal et Izold Guihur, gestion des opérations, gestion internationale et marketing; Gérard Fillion et Tania Morris, comptabilité, gestion internationale et systèmes d’information organisationnels; Gilles C. Roy, ingénierie; et Mathieu LeBlanc, traduction; Campus d’Edmundston : sciences forestières, administration et sciences; Campus de Shippagan : BGI, BGIZC, administration et sciences.

L’équipe du Bureau de l’enseignement coopératif est composé de Claude Lavoie, directeur; Conrad Melanson, Manon Cormier-Viel et Hélène Savoie, coordonnateurs coop; Joline Larade et Mélanie Caissie, secrétaires. Campus d’Edmundston : Alain Laplante, coordonnateur coop; Campus de Shippagan : Marie-France Breau, coordonnatrice coop.

L’auteur-compositeur et interprète Lennie Gallant sera en spectacle, le jeudi 24 mars à 20 heures dans la salle A-119 du pavillon Jeanne-de-Valois au Campus de Moncton. C’est une présentation du Service des loisirs socioculturels. Il s’agit du dernier arrêt dans le cadre de la tournée « En plein dans le mille » du Réseau atlantique de diffusion des arts de la scène (RADARTS). Les billets sont présentement en vente.

Lennie Gallant
Lennie Gallant compose de la musique depuis l’âge de 12 ans. Il a lancé son tout premier album en 1988, « Breaking Waters ». Neuf albums plus tard, dont deux en français, « Le vent bohème » (2002) et « Le cœur hanté » (2009), cet artiste de l’Île-du-Prince-Édouard est considéré comme l’un des plus importants auteurs-compositeurs du Canada. Sa musique aux styles celtique, folk, rock, voire même cajun et country, l’aura mené à faire des spectacles partout au Canada, aux États-Unis et en Europe.

Ses chansons, sensibles à plusieurs causes, lui ont valu d’être accueilli au sein de l’Ordre du Canada en 2003. Son talent a également été souligné par plusieurs prix et nominations : Junos, Éloizes, Étoile et ceux de l’Association de la musique de la Côte est (AMCE). Il est d’ailleurs en nomination dans quatre catégories lors du prochain gala de l’AMCE qui aura lieu le 17 avril à Charlottetown.

Plus de 30 artistes ont repris ses chansons dont Jimmy Buffett, Tara MacLean, Ronald Bourgeois et Matt Minglewood. Il a collaboré avec des artistes acadiens tels que Johnny Comeau, Jac Gautreau, Édith Butler et Roch Voisine, ainsi qu’avec les artistes Lucinda Williams, Daniel Lanois et Chris Isaak. Il a fait la première partie de Céline Dion lors d’une tournée dans l’est du Canada.

Enregistrement de Radio-Canada
Ce dernier arrêt de la tournée « En plein dans le mille » sera enregistré pour la Première chaîne de la radio de Radio-Canada et sera diffusé à l'émission Anne et compagnie le 23 avril. Anne et compagnie est en ondes le samedi de 7 heures à 11 heures.

Billetterie
Les billets sont en vente dans le réseau de billetterie du Grand Moncton (Centre étudiant du Campus de Moncton, Théâtre Capitol, théâtre l’Escaouette, Monument Lefebvre à Memramcook, Frank’s Music à Moncton, Centre des arts et de la culture de Dieppe) au coût de 20 $ pour les étudiants et 25 $ pour les autres (frais de service en sus). Pour la billetterie, on peut téléphoner au 506-858-4554.

Lysanne Rivard fera la soutenance d’une thèse de maîtrise en études de l’environnement, intitulée « Exemples de pratiques forestières s’insérant dans le concept de la forêt habitée à travers l’histoire de la foresterie au Québec de 1608 à aujourd’hui», le vendredi 25 mars à 13 h 30 dans le local B-015 du pavillon Rémi-Rossignol au Campus de Moncton.

La thèse de Mme Rivard est effectuée sous la direction de Sébastien Weissenberger, professeur à l’Université du Québec à Montréal. Les autres membres du jury sont Omer Chouinard, professeur à l’Université de Moncton, et Robert Laplante, directeur de l’Institut de recherche en économie contemporaine à Montréal, qui agit comme évaluateur externe. Le jury sera présidé par Yves Gagnon, titulaire de la Chaire K.-C.- Irving en développement durable. Bienvenue à toutes et à tous.

Renseignement: 858-4498.

Pendant trois jours consécutifs en mars, des étudiants et étudiantes de troisième et quatrième années de la Faculté d’administration de l’Université de Moncton rempliront sans frais des déclarations de revenus qui sont inférieures à 30 000 $ et dont la situation financière est simple.

Pour cette 41e édition du Projet-impôt, le service sera offert le vendredi 18 mars de 13 heures à 19 heures, le samedi 19 mars de 11 heures à 17 heures, et le dimanche 20 mars de 11 heures à 17 heures au pavillon Jean-Cadieux du Campus de Moncton.

Afin de faciliter leur tâche, les étudiants et étudiantes utiliseront encore une fois un logiciel informatique fiscal.

Les étudiants et étudiantes bénévoles ne rempliront cependant pas les déclarations de revenus et de prestations pour les personnes décédées, pour les particuliers en faillite ou encore pour ceux et celles qui ont des gains en capital/pertes ou des revenus et dépenses d’entreprise ou de location et des revenus de placement de plus de 1 000 $.

Grâce à un accord conclu entre la Faculté d’administration et l’Agence du revenu du Canada, ce projet s’inscrit à l’intérieur d’un programme communautaire de personnes bénévoles en matière d’impôt avec le Collège communautaire du Nouveau-Brunswick à Moncton et certains clubs d’âge d’or de la région.

Comme par le passé, les étudiants et étudiantes de la Faculté accepteront pendant le mois de mars de remplir des déclarations de revenus pour les personnes habitant des foyers de soins.

Les dons reçus seront remis à des organismes de charité ou utilisés pour des projets étudiants.

Depuis les 41 dernières années, le Projet-impôt a permis a 1 600 étudiants et étudiantes de remplir au-delà de 30 500 déclarations de revenus.

Renseignements : 858-4273 ou 858-4383

Donald Violette, professeur titulaire au Département de mathématiques et de statistique de l’Université de Moncton, sera l’invité de l’animatrice Marcia Pilote à l’émission C’est ça la vie, présentée du lundi au vendredi à 15 heures à la télévision de Radio-Canada.

L’entretien avec le professeur Violette, qui sera accompagné d’images tournées dans son cours et d’entrevues réalisées avec des étudiants et étudiantes, sera diffusé le mercredi 30 mars. À cette occasion, M. Violette partagera sa passion pour les mathématiques et son désir de promouvoir cette discipline auprès des jeunes et du grand public.

Le drame québécois « Le Journal d’un coopérant », du réalisateur de renom Robert Morin, est à l'affiche du Ciné-Campus, le jeudi 17 et vendredi 18 mars à 20 heures dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au Campus de Moncton.

Le journal d’un coopérant
Lorsqu'il se rend en Afrique pour joindre l’ONG Radio du Monde qui répare l'équipement des radios locales, Jean-Marc Phaneuf se retrouve au beau milieu d'un pays déchiré par la guerre civile où la population vit dans un constant climat de peur et de faim. Il décide de filmer son expérience sur le terrain où il fait la rencontre d'Africains déterminés à améliorer leur situation. Mais les efforts de l'aide internationale semblent vains, et Jean-Marc perd peu à peu toutes ses illusions. Pendant son séjour, il observe, il filme et il tombe amoureux.

« Le Journal d'un coopérant » est le premier film québécois issu du Web 2,0. Du 3 décembre 2009 au 29 janvier 2010, le cinéaste Robert Morin, alias Jean-Marc Phaneuf, a diffusé sous forme de blogue les épisodes du film en devenir, alors que les internautes ont été invités à ajouter des commentaires contribuant à modifier l'histoire du film.

Le Ciné-Campus est présenté par le Service des loisirs socioculturels. Les billets sont en vente à l’entrée à compter de 19 h 30 le jour de la présentation du film au coût de 5 $ pour les étudiants et 7 $ pour les autres.

Ciné-Jeunesse souligne la Journée mondiale de la francophonie
Pour célébrer la Journée mondiale de la francophonie le dimanche 20 mars, Ciné-Jeunesse présente deux films : « Le Petit Nicolas », présenté à 13 heures et « Le Journal d’Aurélie Laflamme », présenté à 15 heures. Ces films présentent des protagonistes attachants que les jeunes ont pu découvrir tout d’abord grâce à la lecture.

Le Petit Nicolas
Ce dernier mène une existence paisible. Il a des parents qui l'aiment, une bande de chouettes copains avec lesquels il s'amuse bien, et il n'a pas du tout envie que cela change. Mais un jour, Nicolas surprend une conversation entre ses parents qui lui laisse penser que sa mère est enceinte. Il panique alors et imagine le pire : bientôt un petit frère sera là, qui rendra tellement de place que ses parents ne s'occuperont plus de lui et finiront même par l'abandonner dans la forêt comme le Petit Poucet. D'après l'œuvre de René Goscinny et Jean-Jacques Sempé.

Le Journal d’Aurélie Laflamme
Aurélie Laflamme est une adolescente de 14 ans qui se sent comme une extraterrestre dans ce monde étrange qui est le nôtre. Depuis la mort de son père il y a cinq ans, la jeune femme vit seule avec sa mère qui voue un culte obsessionnel au ménage. Avec sa meilleure amie Kat qui s'éprend d'un dégénéré et ses professeurs qui ne comprennent pas son humour, Aurélie tente de gérer cette existence au mieux de ses capacités tout en souhaitant que sa planète d'origine lui fasse un signe et l'aide à traverser l'adolescence. Basé sur la série écrite par India Desjardins.

L’entrée pour ces films est de 4 $ pour les enfants et 6 $ pour les adultes. Ils seront projetés dans la salle 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard. Les portes ouvriront dès 12 h 30.

Rendez-vous de l’ONF en Acadie :
Les Rendez-vous de l'ONF présentent le lundi 20 mars dès 19 heures « J. A. Martin Photographe », du cinéaste Jean Beaudin (1976, 101 minutes. L’entrée est libre.

Chaque été, un photographe part seul sillonner le Québec du début du 20e siècle pour prendre et vendre des photos. Après 15 années de mariage, il emmène sa femme, l’occasion pour eux de se redécouvrir. Ce classique du cinéma québécois a été lauréat de nombreux prix, dont le prix d’interprétation féminine attribué à Monique Mercure au Festival de Cannes et sept prix Génie.

Le court film d’animation, « Le Chapeau », de Michèle Cournoyer (1999, 6 minutes) précédera la projection principale.

Mariève Provost, attaquante pour une cinquième saison avec les Aigles Bleues de l’Université de Moncton au hockey féminin, a été nommée au sein de la première équipe d’étoiles de Sport interuniversitaire canadien (SIC).

Provost a été choisie la joueuse par excellence des Sports universitaires de l’Atlantique et au sein de la première équipe d’étoiles de ce circuit la semaine dernière.

La première équipe du SIC est composée de Hayley Wickenheiser de l’Université de Calgary, Mariève Provost et Kelly Walker, les joueuses par excellence en Atlantique et en Ontario, ainsi que de la gardienne Charline Labonté (Boisbriand, Québec) de McGill et des défenseures Cathy Chartrand (Lac Nominingue, Québec), également de McGill, et Suzanne Fenerty (Cole Harbour, N.-É.) de StFX.

Provost a complété sa prolifique carrière de cinq ans avec une quatrième sélection au sein de la première équipe canadienne. Choisie joueuse la plus utile dans les Maritimes à trois reprises, elle a été la meilleure pointeuse au pays pour une deuxième année de suite (45 pts) et a établi des records de carrière du SIC avec 110 buts et 220 points en 105 rencontres au calendrier ordinaire.

Les autres récipiendaires de prix majeurs du SIC sont l’attaquante Alex Normore (Bedford, N.-É.) de St. Francis Xavier, choisie recrue par excellence au pays; Jim Denham (Mississauga, Ontario) de Brock, nommé entraîneur de l’année; et Andrea Switalski (Stittsville, Ontario) de Mount Allison, qui a reçu le prix Marion Hilliard pour ses performances sportives et académiques et son implication communautaire.

Une réunion d’information portant sur la collation des diplômes du 21 mai au Campus de Moncton a lieu aujourd’hui, jeudi 17 mars, à 19 heures dans la salle 221 du pavillon Rémi-Rossignol.

Cette rencontre permettra aux finissants et finissantes de se renseigner au sujet du déroulement des cérémonies et des activités entourant la collation des diplômes en plus d’obtenir des cartons d’invitation pour leurs parents et amis.

Après avoir fait don de ses anciennes étagères à des bibliothèques publiques du nord-ouest du Nouveau-Brunswick, la bibliothèque Rhéa-Larose du Campus d’Edmundston s’est tournée récemment vers plusieurs écoles primaires du district scolaire 3 qui recevront également des étagères métalliques pouvant contenir globalement environ 50 000 volumes.

Ces étagères quasi indestructibles remplaceront les vieilles étagères de bois moins fonctionnelles dans les bibliothèques de certaines de ces écoles.

La bibliothèque Rhéa-Larose s’est refait une beauté l’été dernier en modernisant entièrement ses deux étages. De nombreuses étagères ne servaient donc plus aux besoins de la bibliothèque ultramoderne.

CAMPUS DE MONCTON
Semaine du 21 au 25 mars

Le lundi 21 mars

Faculté des études supérieures et de la recherche conjointement avec la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires et la Société royale du Canada
12 heures
Conférence du Dr Clyde Hertzman, de la Société royale du Canada : « Sommes-nous à la hauteur de nos obligations? Le développement de l’enfant et les défis du 21e siècle », local 192 du pavillon Jacqueline-Bouchard.

Faculté des arts et des sciences sociales - Département d’études françaises
13 h 30
« Qu’est-ce qui ont incité les étudiants à entreprendre des études aux cycles supérieurs? » Dans le cadre du cours LING3941 - Langue et société, d’Annette Boudreau : intervenants : Lisa Breau - Le retour aux études; Jonathan Landry - Les études au deuxième cycle; Isabelle LeBlanc - Les études au troisième cycle, local 217 de l’édifice des arts.

Faculté des sciences de l’éducation
16 heures
Ouverture officielle du « Carrefour vie-carrière », local B-116 du pavillon Jeanne-de-Valois
Un léger goûter suivra.

Le mardi 22 mars

Faculté d’ingénierie
9 heures à 15 heures
Exposition des ouvrages de recherche (tirés-à-part, posters, etc...), Hall d’entrée G2 de la Faculté d’ingénierie.

10 heures à 12 heures
Mini colloque
« À quoi servent des études supérieures en ingénierie? »
Présentations des projets et thèmes de recherche par des étudiantes/étudiants et professeures/professeurs. Présentation du programme M.Sc.A. (modalités d’inscription, financement, programme d’études, etc…), local 147G2 de la Faculté d’ingénierie.

Faculté des sciences de la santé et des services communautaires - École de science infirmière
10 heures
Présentation de travaux de recherche en cours et en développement
Suzanne Harrison et Anik Dubé, local 192 du pavillon Jacqueline-Bouchard.

Consortium national de formation en santé
11 h 15
Dîner-causerie - Les études supérieures dans le domaine de la santé
Salle Richelieu, Pavillon Léopold-Taillon
Personnes ressources : Rose-Mai Landry, conseillère en orientation; Sylvain Vézina, directeur du Département d’administration publique et responsable des programmes de 2e cycle en gestion des services de santé; Suzanne Dupuis-Blanchard, professeure agrégée et directrice du Centre d’études du vieillissement de l’Université de Moncton.
Un léger repas sera servi (sans frais) - inscription : melissa.richard@umoncton.ca ou 858 4655. Un partenariat entre la Faculté des arts et des sciences sociales, la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires, le Service aux étudiantes et aux étudiants, l’Éducation permanente et le Consortium national de formation en santé - volet Université de Moncton. Cette activité est rendue possible grâce à une contribution financière provenant de Santé Canada.

Faculté des études supérieures et de la recherche – Études de l’environnement
11 h 30
Séance d’information portant sur la maîtrise en études de l’environnement, local B-015 du pavillon Rémi-Rossignol.

Faculté des sciences de l’éducation
12 heures à 13 heures
Causerie-midi du CRDE
Robert Baudoin, professeur au programme d’orientation, « Existe-t-il une différence entre recherche et évaluation de programmes? », local B-225 du pavillon Jeanne-de-Valois.

Faculté des études supérieures et de la recherche
15 heures
Vidéoconférence au Campus de Shippagan (PIL307) et au Campus d’Edmundston (PSL506)
14e Conférence de la FESR
Ronald Labelle, titulaire de la Chaire de recherche McCain en ethnologie acadienne et professeur au Département d’études françaises : « Le conte de Cendrillon : de la Chine à l’Acadie sur les ailes de la tradition », salle A-231 du pavillon Jeanne-de-Valois.

Le mercredi 23 mars

Faculté des études supérieures et de la recherche
8 h 30 à 15 heures
22e Concours des jeunes chercheuses et chercheurs
Programme : www.umoncton.ca/fesr/, rubrique « Concours des jeunes chercheures et chercheurs », salles 106, 114 et 214 de l’édifice des arts.

16 heures à 17 h 15
Vidéoconférence au Campus de Shippagan (PIL307) et au Campus d’Edmundston (PSL506)
Table ronde : « Vers une nouvelle géopolitique mondiale », salle A-231 du pavillon Jeanne-de-Valois.

17 h 30
Gala de clôture et de remise des prix du 22e Concours des jeunes chercheuses et chercheurs dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois.

Faculté des arts et des sciences sociales - administration publique
11 heures à 13 heures
Stands d’information - promotion de la maîtrise en administration publique, maîtrise en gestion des services de santé, certificat et diplôme de deuxième cycle en gestion des services de santé et en administration publique dans l’entrée du pavillon Léopold-Taillon.

Le vendredi 25 mars

Faculté d’administration
Conférences de recherche, local 307 du pavillon Jean-Cadieux :

9 h 30 à 10 heures
Gilles Marcoux, professeur au Département d’administration, « D’une identité organisationnelle à une identité orientée vers le métier : observations sur l’expérience d’une relation d’emploi en déséquilibre ».

10 heures à 10 h 30
Jean-Pierre Booto Ekionea, professeur au Département de comptabilité, « Consensus par la méthode Delphi sur les concepts clés des capacités organisationnelles spécifiques à la gestion des connaissances ».

10 h 30 à 11 heures
Gérard Fillion, professeur au Département de comptabilité, « Test de UTAUT sur l’utilisation des systèmes ERP par les gestionnaires intermédiaires et les utilisateurs finaux des moyennes et grandes entreprises canadiennes ».

11 h 15 à 11 h 45
Donatien Avelé, professeur au Département de comptabilité, « La juste valeur dans la normalisation comptable internationale : revue de la littérature et regards croisés sur sa pratique dans les différents référentiels comptables ».

11 h 45 à 12 h 15
Claude DesRochers, professeur au Département d’administration, « La simulation comme outils de recherche ».

Faculté des études supérieures et de la recherche
11 h 30
Cérémonie d’attribution du Prix Vo-Van de la meilleure thèse de l’année
Marie-Michèle Doucet, récipiendaire du Prix Vo-Van, « Héros et héroïnes : stéréotypes et représentations genrés dans la littérature patriotique de la Grande Guerre en France (1914-1919)»
Jean-Philippe Michaud, récipiendaire du Prix Vo-Van, « La vie après la mort : étude de la succession hétérotrophe sur les carcasses de porcs domestiques dans le sud-est du Nouveau-Brunswick ». Une réception suivra. Local à déterminer.

Faculté des arts et des sciences sociales - Département d’études françaises
14 heures
Présentation de travaux de maîtrise en sociolinguistique dans le cadre du cours LING3940 Sociolinguistique, de Laurence Arrighi : intervenants : Hubert Noël et Isabelle LeBlanc, doctorants en sciences du langage, local 241 de l’édifice des arts.

CAMPUS D'EDMUNDSTON
Du 21 au 25 mars

Faculté de foresterie
Projets de recherche ayant cours sur le territoire du Haut-Saint-Jean par le personnel de la Faculté de foresterie, babillards électroniques, Campus d’Edmundston.

Le mercredi 23 mars

Faculté de foresterie
11 h 30 à 13 heures
Conférence du professeur Manuel Lamontagne, « La recherche forestière sur le territoire du Haut-Saint-Jean effectuée par le personnel de la Faculté de foresterie », amphithéâtre SF-119 du pavillon de la Faculté de foresterie.

Le Service de recherche de travail et les Services aux étudiantes et étudiants ont présenté le 11e Salon carrière d’hiver qui a eu lieu le 9 février dans le stade du Ceps Louis-J-Robichaud au Campus de Moncton. Plus de 50 exposants étaient présents pour rencontrer les quelque 600 étudiants et étudiantes. Pour une première fois, ce Salon s’adressait à toutes les facultés de l’Université de Moncton. Dans son ensemble, et surtout grâce à la forte participation des exposants et des étudiants, le Salon carrière a été une réussite.

Les employeurs ont été favorablement impressionnés par la présence accrue des étudiants et étudiantes et par la qualité des échanges. Les jeunes étaient très bien préparés, professionnels et ont démonté une belle approche lorsqu’ils se présentaient aux stands. Ils ont été très satisfaits du choix et du nombre d’exposants, principalement du grand nombre de stands en éducation. Il y avait sur place des salles pour organiser des entrevues, ce qui a été apprécié autant par les étudiants que par les employeurs.

Les exposants ont été très satisfaits de l’organisation et de l’emplacement, de l’équipe du Salon carrière et de la qualité des bénévoles. Certains exposants qui fréquentent assidûment les divers salons de partout au Canada ont même affirmé que la qualité de celui-ci dépassait celle de certaines des plus grandes universités au pays.

Le succès de cet événement a été rendu possible grâce à la collaboration de la DGT pour les services informatiques, du Service d’entretien et de réparation pour la conciergerie, installations physiques et électriques et transport d’équipement, de même que le Service de sécurité, Bob Lee Productions, le personnel du Ceps et les employés de Sodexho. Une mention spéciale est adressée aux inlassables bénévoles pour leur étroite collaboration et à tous les participants qui ont assuré le succès de cet événement.

Des commanditaires provenant des milieux d’affaires ont offert des prix de présence qui ont été remis aux étudiantes et étudiants participants à la suite d’un tirage. On tient à remercier les commanditaires suivants pour leurs généreux dons : la Librairie acadienne, Ed’s Sub, Sports Rock, White Cab, Calactus, Swiss Chalet, Starbucks et le Café Osmose. On tient également à souligner la commandite offerte par CGA-NB.

Pour une troisième édition consécutive, le Salon carrière de l’Université de Moncton est considéré comme un évènement carbone zéro. Plusieurs nouvelles initiatives écologiques ont été prises afin de réduire l’impact énergétique et pour sensibiliser les personnes participantes. Grâce à une collaboration avec Arbres Canada, des arbres seront plantés.

Le prochain Salon carrière aura lieu le mercredi 28 septembre dans le stade Vance-Toner du Ceps Louis-J.-Robichaud.

Renseignements: 863-2060 ou 858-3739.

Dans le cadre de son programme d’excellence professionnelle, le Consortium national de formation en santé - volet Université d’Ottawa présente, en partenariat avec le CNFS - volet Université de Moncton, une série de conférences qui sont retransmises par vidéoconférence en direct de l’hôpital Montfort d’Ottawa. Ces conférences se veulent une activité de formation continue multidisciplinaire destinée aux personnes professionnelles de la santé.

Une vidéoconférence s’ajoute à la programmation de ce semestre. Le CNFS, en partenariat avec l’Institut de recherche de l’hôpital Montfort, vous invite à y assister, le mardi 22 mars de 13 h 30 à 14 h 30 dans le local A-231 du pavillon Jeanne-de-Valois au Campus de Moncton. La conférence, intitulée « La gestion des évènements indésirables : déclarer, ne pas déclarer, enjeux et pratiques », sera présentée par Anne Mayère, du Centre d’étude et de recherche Travail Organisation Pouvoir (CERTOP) à l’Université de Toulouse, en France.

Les travaux du Dr Mayère porte sur les changements organisationnels et la gestion du risque dans le secteur santé. L’accréditation des établissements de santé est conditionnée par leur respect de règles, dont celle qui a trait à la déclaration systématique de tout incident ou accident. Dans les faits, les pratiques sont diversifiées. Les résultats de recherche présentés permettent de caractériser des situations-types de déclaration, et plus fondamentalement des approches contrastées selon les praticiens, ce qui met en jeu la question de la confiance et des dispositifs de jugement, et s’inscrit dans un questionnement plus vaste sur la rationalisation des activités médicales et de soins. Renseignements : cnfs@umoncton.ca / 858-4655. Les places sont limitées.

Lors d’une causerie-midi proposée par le Centre de recherche et de développement en éducation, Robert M. Baudouin prononcera une conférence, intitulée « Existe-t-il une différence entre recherche et évaluation de programme ? », le mercredi 23 mars de midi à 13 heures dans le local B-225 du pavillon Jeanne-de-Valois.

En présentant des modèles d’évaluation de programme, on tentera ensemble de répondre à la question « Existe-t-il une différence entre recherche et évaluation de programme ? ». C’est une conférence d’intérêt général. Bienvenue à tous et à toutes.

Le 11e congrès de l’Association pour l’avancement pédagogique des technologies de l’information et de la communication en Atlantique (APTICA) au lieu les 12 et 13 mai au pavillon Jeanne-de-Valois. Le thème de cette année est « Un réseau pour les apprenantes et apprenants du 21e siècle ».
Le président, Dominic Manuel, aimerait bien que vous puissiez participer à ce congrès en y proposant un atelier. La date limite pour l’appel d’ateliers a été reportée au 18 mars. (http://www.aptica.ca).

Votre présence, que ce soit à titre d’animateur ou de congressiste, ne fera qu’accroitre le succès du congrès car on pourra mettre en commun les idées gagnantes et les ressources qui vous permettront de nourrir et de parfaire davantage vos pratiques pédagogiques tout en vous offrant une formation de haut calibre au niveau de l’intégration technopédagogique des TIC.