Voici les archives de l’Hebdo-Campus du 16 avril 2009 au 20 septembre 2018
Le professeur Roger Lord de retour en Chine
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Le professeur Roger Lord de retour en Chine Roger Lord, pianiste et professeur au Département de musique de l’Université de
Moncton, sera en Chine du 10 au 23 octobre pour des activités académiques et
professionnelles.
Suite à la sortie, en 2013, de son disque « Trésors de Chine » enregistré à Pékin,
il a été invité à faire une tournée de récitals dans diverses institutions
chinoises.
Monsieur Lord a également accepté une invitation à prendre part, lors des premiers
jours de son séjour en Chine, à une série d’événements spéciaux en compagnie du
premier ministre du Nouveau-Brunswick, l’honorable Brian Gallant, dans le cadre d’une
visite officielle à Pékin.
Roger Lord offrira ensuite des prestations à l’Université de Jinan, à l’Université
de Qufu, la ville natale du grand philosophe chinois Confucius, de même qu'à
l’Université de Xiamen, la capitale de la province du Fujian, au sud du pays.
Rappelons que le professeur Lord est le premier pianiste non chinois dans le monde à
avoir enregistré un disque de musique chinoise pour piano.
Il s'agira de sa 26e visite dans l'Empire du milieu.
| Le GRICC présente la conférence « Le regard de l’étranger : incursion en sol inconnu »
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Le GRICC présente la conférence « Le regard de l’étranger : incursion en sol inconnu » Le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact (GRICC) de la
Faculté des arts et des sciences sociales présente une conférence du professeur à la
retraite Nasser Baccouche de l’École de travail social de l’Université de Moncton,
le vendredi 28 octobre, de 13 h 30 à 15 heures dans le local 178, de la Bibliothèque
Champlain au campus de Moncton. La conférence a pour titre « Le regard de
l’étranger : incursion en sol inconnu ».
Résumé :
Certaines réalités font consensus parce qu'elles sont perceptibles par le plus grand
nombre. D'autres cependant vues à travers une perspective différente exigent une
véritable conversion de soi, n’étant visibles qu'au regard de l'étranger.
L’incursion en sol inconnu devient possible à partir d'une révolution subjective où
il n'est plus question pour l'esprit de se laisser dévorer par l'idée de patrie. C’est
pourquoi la négativité de l'étranger est d'autant plus redoutable qu'elle vient
bouleverser non seulement le principe identitaire, mais plus fondamentalement selon
Heidegger l’être lui-même tombé dans l'inauthenticité.
L’expérience de l'étranger est une épreuve initiatique, avec le défi de faire
résonner l'étrangeté radicale jusqu'à en faire une composante de soi-même. Entreprise
révolutionnaire qu’il s'agit de saisir au cœur même d'une subjectivité saisie par un
élan irrésistible caractérisé par le souci de soi et l’auto gouvernement.
Plus question d'une existence servile, mais de l'audace de vivre l'impossible, sinon à
quoi bon parler de liberté et de souveraineté, si ne sont pas remis en question les
limites de l'être et du monde. Voilà en quoi le devenir révolutionnaire apparaît comme
une force étrangère à la conscience dominante, là où le langage face à l'inconnu
perd toute faculté d'énonciation.
| Le professeur Donald Violette est le lauréat du prix Adrien Pouliot 2016 de la SMC
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Le professeur Donald Violette est le lauréat du prix Adrien Pouliot 2016 de la SMC Donald Violette, professeur au Département de mathématiques et de statistique de
l’Université de Moncton, est le lauréat du prix Adrien Pouliot 2016 de la Société
mathématique du Canada (SMC) pour sa contribution exceptionnelle à l’enseignement et
à l’éducation des mathématiques au Canada, en particulier au Nouveau-Brunswick.
Depuis plus de 25 ans, monsieur Violette joue un rôle de premier plan dans la promotion,
l'enseignement, la reconnaissance et l'appréciation des mathématiques dans sa
communauté.
Le professeur Violette a présenté environ 450 causeries dans les écoles primaires et
secondaires auxquelles ont assisté 17 000 élèves. Il est le fondateur de nouveaux
programmes et concours mathématiques qui comprennent entre autres les concours de
Poincaré, de Möbius et de Sierpinski.
Il est aussi le fondateur et l’organisateur principal de plusieurs camps mathématiques
au Nouveau-Brunswick, comme les camps mathématiques de l’Acadie, le camp
Séjour vacances : à la découverte des mathématiques et le camp Les
mathématiques, c’est magique.
En 2014, il a fondé la première fondation mathématique au Canada, la Fondation
Mathématique Donald Violette Inc., un organisme à but non lucratif qui chapeaute des
projets de sensibilisation en mathématiques.
Le prix lui a été décerné le 3 décembre dernier à Niagara Falls, en Ontario, lors
d’une réunion de la Société mathématique du Canada à laquelle ont participé 400
mathématiciennes et mathématiciens.
| Lancement du livre de Victorin Mallet sur les communautés métisses de la Baie des Chaleurs
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Lancement du livre de Victorin Mallet sur les communautés métisses de la Baie des Chaleurs Intitulé « Évidences de communautés métisses autour
de la Baie des Chaleurs », le livre du professeur à la retraite Victorin
Mallet sera lancé le samedi 15 octobre, à l'école de Pokemouche,
dans le cadre de l'assemblée générale annuelle de l'Alliance
du premier peuple de l'est du Canada. L’auteur profitera de l’occasion
pour présenter son livre à 11 heures.
Résumé :
En 2010, je publiais un livre intitulé « Les métis acadiens de la
baie des chaleurs ». En faisant des recherches généalogiques à
propos de la famille de mon père, les Mallet, j’avais d’abord
découvert que mon ancêtre Jean Mallet et son épouse Marie Joseph
Duguay, natifs de la Gaspésie, étaient des Métis. En effet, il a
été possible de démontrer dans ce premier livre qu’il y avait
plusieurs souches métisses autour de la Baie des Chaleurs et qu’un grand
nombre de personnes de notre génération en sont les descendants.
Être Métis au Canada a un sens légal très spécifique
selon la Constitution canadienne. Historiquement, un Métis était une
personne issue d’un mixage entre une personne européenne et une personne
autochtone, c’est-à-dire, une personne provenant des Premières Nations
du Canada. Tout récemment, la Cour Suprême du Canada a reconnu (jugement
final émis le 16 avril 2016) que les Métis du Canada sont des Autochtones au
même titre que les Amérindiens et les Inuits. Cependant, il ne suffit pas
d’avoir un ancêtre amérindien pour avoir accès aux droits et
privilèges des «Indiens» au sens de la loi. Pour être reconnu
comme Métis, il faut être capable de démontrer des liens avec une
communauté métisse historique.
De nos jours, le gouvernement du Canada admet qu’il y avait d’antan des
Métis dans l’est du Canada, mais questionne l’existence historique de
communautés métisses. C’est le but de cet ouvrage, de démontrer
l’existence d’une ou de plusieurs communautés métisses
historiques autour de la Baie des Chaleurs. Pour en arriver là, nous reprenons la
plupart des références historiques qui traitent des Métis de la Baie
des Chaleurs.
| Parution du septième numéro de la revue Minorités linguistiques et société portant sur la diversité, les frontières ethnolinguistiques et l’éducation au Québec et au Canada
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Parution du septième numéro de la revue Minorités linguistiques et société portant sur la diversité, les frontières ethnolinguistiques et l’éducation au Québec et au Canada Ce septième numéro de la revue Minorités linguistiques et société/Linguistic
Minorities and Society préparé sous la direction des professeures Marie-Odile Magnan
et Patricia Lamarre de l’Université de Montréal met en exergue des frontières menant
à un sentiment d’exclusion de jeunes anglophones et allophones face à la majorité «
francophone québécoise ».
La fracture entre l’identité civique promue par les politiques au Québec et les
frontières ethnoculturelles construites par les jeunes au quotidien pousse à la
réflexion. Les articles présentés mettent en lumière la difficulté de traverser la
frontière et de se sentir inclus dans un Nous « francophone québécois », un Nous
encore associé dans les discours aux termes « Québécois pure laine » et «
Québécois de souche ». Ces constats nous poussent à repenser le rôle de l’école;
il semble crucial, à la lumière de ces enquêtes, de concevoir des initiatives pour
favoriser des rapports intergroupes harmonieux et déconstruire les sentiments
d’exclusion que peuvent ressentir les jeunes issus de groupes minoritaires vis-à-vis
les « francophones québécois ». Dans cette vision, l’école aurait davantage pour
mission de favoriser le vivre-ensemble et l’inclusion dans un milieu francophone
pluraliste.
Les articles de ce numéro permettent plus spécifiquement de se pencher sur les jeunes
issus de groupes minoritaires au Canada, que ce soit des jeunes issus de minorités
linguistiques - francophones hors Québec, anglophones au Québec - ou issus de
minorités ethnoculturelles - jeunes issus de l’immigration au Québec.
Les trois premiers articles de ce numéro – ceux de Rodrigue Landry et Réal Allard, de
Diane Gérin-Lajoie et de Paul Zanazanian – examinent sous différents angles le vécu
actuel d’anglophones du Québec. Deux autres articles nous permettent d’examiner la
présence de frontières au sein des écoles de langue française au Québec. Les articles
de Marie-Odile Magnan, Fahimeh Darchinian et Émilie Larouche et de Jacques Ledent, Marie
Mc Andrew et Gérard Pinsonneault permettent de jeter un éclairage sur les jeunes issus
de l’immigration, leur rapport à l’école de langue française au Québec et leurs
choix d’orientation linguistique subséquents au cégep et à l’université.
L’article d’Annie Pilote et Jo-Anni Joncas, une étude qualitative portant sur la
construction identitaire d’étudiants universitaires fransaskois, permet de constater
que l’expérience du programme d’éducation française de l’Université de Régina
contribue à forger un sentiment d’appartenance plus fort chez les jeunes francophones
vivant hors Québec. Les stages d’immersion réalisés au Québec renforcent leur
sentiment d’appartenance à la francophonie canadienne ; ils se sentent exclus du Nous
québécois lors de leurs interactions au Québec. L’article de Benoît Côté, Patricia
Lamarre et Andry Nirina Razakamanana permet d’envisager des pistes d’intervention pour
favoriser des échanges et de meilleures relations entre les jeunes des deux secteurs
éducatifs et linguistiques du Québec (secteurs francophone et anglophone), par un
programme permettant une traversée des « frontières » scolaires. La mise en œuvre
concrète de la théorie des rapports intergroupes dans les milieux scolaires permet de
constater des effets de ces rapports. Enfin, l’article de Luk Van Mensel vient jeter un
regard comparatif sur les rapports de pouvoir linguistiques et les choix scolaires dans un
autre contexte : celui de la Belgique et, plus spécifiquement, de la ville de Bruxelles.
Pour accéder au numéro, veuillez cliquer sur ce lien:
www.erudit.org/revue/minling/2016/v/n7/index.html?lang=fr
| Les Journées du commerce international se poursuivent
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Les Journées du commerce international se poursuivent Le Centre de commercialisation internationale (CCI) de la Faculté d’administration de
l’Université de Moncton organise une série de conférences et d’activités dans le
cadre des 9e Journées du commerce international qui se déroulent jusqu’au jeudi 13
octobre sous le thème «Le développement des marchés dans les pays d’Afrique».
La conférence de jeudi, à midi, portera sur les occasions de développer les marchés
dans certains pays d’Afrique. La conférence de Charles Gervais, président de Missing
Link Technology, aura lieu dans le local 273 de la Faculté d’administration au campus
de Moncton.
| Conférence du cercle philo
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Conférence du cercle philo Le Cercle philo organise une conférence philosophique sur le thème "La Diversité
intellectuelle en milieu universitaire", le jeudi 13 octobre à 16 h 30 au resto-lounge Le
63 au campus de Moncton. La conférence sera animée par Carl Richard, étudiant en
psychologie.
Renseignements : Paul Bernier, directeur du Département de philosophie, paul.bernier@umoncton.ca, 506-858-4390.
| La Course Movember - Cœur à l’esprit aura lieu le 5 novembre
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La Course Movember - Cœur à l’esprit aura lieu le 5 novembre L’équipe du projet Cœur à l’esprit vous invite à participer à la Course Movember
– Cœur à l’esprit, qui aura lieu à 10 heures au pavillon Rotary du parc Mapleton,
à Moncton, le samedi 5 novembre prochain.
Les participantes et participants auront le choix de marcher ou de courir une distance de
1 km, 3 km ou 5 km.
Joignez-vous à nous pour promouvoir le bien-être psychologique et pour réduire la
discrimination et la stigmatisation vécues par les personnes souffrant de troubles de
santé mentale.
Cœur à l’esprit est un projet de recherche-intervention subventionné par la Fondation
Movember Canada et mené dans trois provinces canadiennes, dont le Nouveau-Brunswick, soit
à l’Université de Moncton.
L’équipe de recherche travaille en concert avec les gestionnaires, les cliniciennes,
les cliniciens et les communautés pour une meilleure adaptation des services de santé
mentale aux besoins et attentes des personnes atteintes de maladies chroniques.
Vous pouvez vous inscrire soit par Internet à l’adresse www.runningroom.com, en personne au
magasin Running Room, situé au 600, rue Main à Moncton, ou le jour de l’événement
(par chèque seulement).
Les personnes intéressées peuvent faire un don à la Fondation Movember Canada,
l’organisme appuyé par la Course Movember – Cœur à l’esprit.
Pour plus d'information, prière de communiquer avec Lise Gallant, coordonnatrice de
recherche du site du Nouveau-Brunswick, Mind The Heart / Cœur à l’Esprit, par
téléphone au (506) 858-4574.
| L’exposition ÉROS ET TRANSFIGURATION en montre au Musée du Nouveau-Brunswick
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L’exposition ÉROS ET TRANSFIGURATION en montre au Musée du Nouveau-Brunswick Le Musée du Nouveau-Brunswick présente l’exposition Claude Roussel : ÉROS ET
TRANSFIGURATION, organisée par Paul Édouard Bourque, commissaire invité, et mise en
circulation par la Galerie d’art Louise-et-Reuben-Cohen de l’Université de Moncton.
Le vernissage de l’exposition aura lieu le jeudi 13 octobre de 17 heures à 19 heures,
en présence de l’artiste Claude Roussel, du commissaire Paul Édouard Bourque et de
Nisk Imbeault, directrice-conservatrice de la Galerie d’art Louise-et-Reuben-Cohen.
ÉROS ET TRANFIGURATION est une exposition qui s’attarde sur la production des années
1970 de Claude Roussel, particulièrement les œuvres produites avec des feuilles de
plastique moulées formées sous vide. Le commissaire propose une vision axée sur la
sensualité et la spiritualité qui émanent de la synthèse des forces matérielles et
créatives : « L’artiste parvient à fusionner les deux caractéristiques dominantes de
son travail, soit l’éros et le spirituel, par l’emploi d’un processus mécanique
qu’il s’approprie, et par l’élaboration d’une esthétique fermement ancrée dans
sa vision personnelle où la matérialité synthétique s’allie au plus profond de
l’intimité humaine. L’acte créateur est alors extériorisé et son effet se
manifeste de façon fixe et permanente ».
Claude Roussel est à l’origine de l’art moderne en Acadie à la fois par la
production d’un corpus important d’œuvres, que par l’entremise de la transmission
de ses connaissances. Ce projet d’exposition est proposé par Paul Édouard Bourque,
artiste et commissaire, afin de démontrer que l’œuvre de Claude Roussel] présente une
panoplie de styles, de méthodes et de préoccupations artistiques axées sur une
recherche approfondie. Cette expérimentation a toujours été agencée à une
sensibilité technique accrue et un niveau expressif élevé et socialement engagé qui se
manifeste à tous les niveaux de son œuvre.
Le Musée du Nouveau-Brunswick est un établissement public qui mise sur ses collections
pour éveiller l’intérêt du public et lui faire connaître et comprendre, dans les
deux langues officielles, la culture et le contexte naturel du Nouveau-Brunswick
| Le Ciné-Campus présente cette semaine le film L’Acadie, l’Acadie
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Le Ciné-Campus présente cette semaine le film L’Acadie, l’Acadie Présenté par le Service à la vie étudiante et socioculturelle de l’Université de
Moncton, campus de Moncton, le film L’Acadie, l’Acadie, de M. Brault et de P.
Perreault, sera à l’affiche du Ciné-Campus ce jeudi 13 octobre et vendredi 14 octobre.
Synopsis : Long métrage documentaire tourné dans les coulisses de l’action à
l’Université de Moncton, théâtre du réveil acadien de la fin des années 1960. Dans
une province où 40 pour cent des gens s'expriment en français, le film témoigne de la
détermination des étudiants, qui s'étendra à une majorité d'Acadiens, après des
siècles de défaitisme et de résignation.
Les films du Ciné-Campus sont présentés tous les jeudis et les vendredis à compter de
20 heures dans l’amphithéâtre du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton.
L’entrée est de 5 $ pour les étudiantes et les étudiants et de 7 $ pour les autres
personnes.
On peut suivre le Service à la vie étudiante et socioculturelle de l’Université de
Moncton à www.facebook.com/svesmoncton et à @svesmoncton sur Twitter.
| Le Chœur Louisbourg présente son premier concert de la saison en octobre
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Le Chœur Louisbourg présente son premier concert de la saison en octobre Sous la direction de la professeure Monique Richard du Département de musique de
l’Université de Moncton, le Chœur Louisbourg présente son premier concert de la
saison sous le thème de l’amour, « D’Amour de France et d’Acadie ».
Les 16 membres du chœur interpréteront quelques-unes des plus belles chansons de Jacotin
(v.1495–1555), musicien royal sous François Ier, puis Henri II, ainsi que des chansons
d’amour issues de la musique traditionnelle acadienne des collections du Père Anselme
Chiasson et d’Hellen Creighton.
Le tout sera enrobé des sons des instruments d’époque de l’ensemble Skye Consort :
Seán Dagher, arrangeur et bouzouki, Alex Kehler, violon et nykelharpe, Amanda Keesmaat,
violoncelle, et Pierre-Alexandre St.-Yves, flûte et percussions.
Les concerts auront lieu le vendredi 28 octobre à 19 h 30, en l’Église
Saint-Louis-de-France à Moncton ; le samedi 29 octobre à 19 h 30 en l’Église
Saint-Joachim à Bertrand, et le dimanche 30 octobre à 14 heures, à la Chapelle des
Religieuses Hospitalières de Bathurst.
L’entrée est de 10 $ pour les étudiantes et les étudiants et de 25 $ pour les autres
personnes.
| Sandra Durand et Jérémie Pellerin sont les athlètes de la semaine
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Sandra Durand et Jérémie Pellerin sont les athlètes de la semaine Les coureurs Sandra Durand, de Chambéry, en France, et Jérémie Pellerin, de Cocagne,
sont les athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed pour la période du 3 au 9
octobre à l'Université de Moncton.
Jérémie Pellerin a terminé en 4e position à la compétition de cross-country tenue à
Halifax, samedi. Il a employé de bonnes tactiques et a prouvé qu'il a la capacité de
terminer sur le podium au Championnat de Sport universitaire de l’Atlantique, à sa
cinquième saison. Il a inscrit un chrono de 27m16s, soit 24 secondes derrière le
gagnant. Il est inscrit au Baccalauréat multidisciplinaire.
Sandra Durand a été la meneuse de l'équipe des femmes en l'absence des meneuses de
l’équipe. Elle a terminé au 48e rang avec un temps de 28m23s à la compétition de
cross-country des universités Dalhousie et Saint Mary’s. Une athlète constante, elle a
offert une solide performance sur un parcours technique au parc Point Pleasant. EIle est
étudiante en médecine.
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