Suzanne Dupuis-Blanchard, professeure à l’École de science infirmière et titulaire de la Chaire de recherche en santé CNFS–Université de Moncton, a reçu l’un des trois Prix d’innovation en recherche sur le vieillissement lors du gala R3 de la Fondation de l’innovation du Nouveau-Brunswick (FINB) qui s’est tenu à Fredericton. Avec ce prix, Mme Dupuis-Blanchard reçoit 50 000 $ en financement de recherche de la FINB.

Dans le cadre de son projet intitulé Foyers de soins sans murs : un modèle pour vieillir chez soi, Mme Dupuis-Blanchard explore un modèle novateur de prestation de services qui s’appuie sur la notion de personnel infirmier de résidences qui prodigue des soins aux personnes aînées dans le confort de leur maison. L’attribution du Prix d’innovation en recherche témoigne à la fois de la qualité et de la pertinence de ses travaux.

Les travaux de recherche de Geneviève Bouchard, professeure titulaire et directrice adjointe à l’École de psychologie de l’Université de Moncton, ont été repris dans un article du magazine scientifique Discover.

Publié par l’auteure Galabriel Watson dans le numéro d’avril 2018, l’article intitulé « Sure, I miss you. But… How an empty nest can launch you toward the best years of your life » traite du stade du nid déserté, c’est-à-dire la période qui suit le départ des enfants de la maison. Ce dernier fait état, à plusieurs reprises, des conclusions des travaux de recherche de Mme Bouchard.

Mme Bouchard n’en est pas à ses débuts sur le sujet. Elle a mené plusieurs projets de recherche sur le même thème au cours des dernières années, notamment sur les conditions gagnantes pour atteindre le bonheur à cette période de la vie.

Mme Bouchard mène actuellement des travaux de recherche avec l’étudiante au doctorat professionnel en psychologie, Jannie Thibodeau, sur le rôle de l’attachement sécurisant et insécurisant sur la satisfaction conjugale et parentale des couples qui en sont à la période du nid déserté.

L’article « Sure, I miss you. But… How an empty nest can launch you toward the best years of your life » est disponible sur le Web pour les abonnées et abonnés du magazine Discover.

La généreuse contribution de 500 000 $ de la Ville de Dieppe à l’Université de Moncton permettra la bonification du Fonds de bourses de la Ville de Dieppe ainsi que la création du Fonds de bourses Ville de Dieppe/Aigles Bleues – Aigles Bleus (pour les athlètes originaires de Dieppe) et d’un nouveau Centre national d’archives acadiennes.

« L’Université de Moncton est un acteur important dans le développement économique, culturel et social de notre région, affirme le maire de la Ville de Dieppe, Yvon Lapierre. Plus de 300 employées et employés de l’Université habitent Dieppe, et on retrouve des milliers de diplômées et diplômés parmi nos résidentes et résidents. L’impact que l’Université a sur notre ville est énorme et nous croyons en son développement. C’est pourquoi la Ville de Dieppe l’a appuyée lors de ses deux campagnes précédentes en y contribuant à hauteur de 800 000 $. »

Un tel engagement philanthropique contribue de façon substantielle à l’enrichissement de l’expérience étudiante.

Pour faire un don à l’Université de Moncton ou obtenir des renseignements à ce sujet, veuillez communiquer avec le bureau du Développement philanthropique en téléphonant au 506-858-4130 ou au 1-888-362-1144, en envoyant un courriel à l’adresse developpement@umoncton.ca ou en visitant le site Web de la campagne de financement Évolution.

Un généreux don de 60 000 $ de Louise N., Marie-France et Éric N. Pelletier permet la création du Fonds de bourses Patricia-Pelletier. La Bourse Patricia-Pelletier est offerte à des étudiantes et étudiants inscrits à temps complet à l’Université de Moncton, campus d’Edmundston.

Cet appui financier inestimable des membres de la famille Pelletier, don fait à la mémoire de leur mère Patricia, apportera un grand soutien à ces jeunes talentueux et engagés qui bâtissent notre société de demain.

Pour faire un don à l’Université de Moncton ou obtenir des renseignements à ce sujet, veuillez communiquer avec le bureau du Développement philanthropique en téléphonant au 506-858-4130 ou au 1-888-362-1144, en envoyant un courriel à l’adresse developpement@umoncton.ca ou en visitant le site Web de la campagne de financement Évolution.

Jason Godin, de Maisonnette, étudiant de 2^e année au Juris Doctor (pour étudiante ou étudiant régulier), a reçu pour l’année universitaire 2017-2018 la bourse du Fonds de bourses de la Faculté de droit. Cette bourse est remise à une étudiante ou un étudiant qui se distingue par son excellent rendement et son engagement communautaire.

Marie-Ève Dubé, d’Edmundston, étudiante de 1^re année au Juris Doctor (pour étudiante ou étudiant régulier), a reçu pour l’année universitaire 2017-2018 la bourse du Fonds de bourses Frank McKenna. Cette bourse est remise à une étudiante ou un étudiant originaire du Nouveau-Brunswick inscrit à la Faculté de droit de l’Université de Moncton qui a un bon rendement par rapport à ses pairs.

Grâce à un don de la Fondation pour l’avancement du droit au Nouveau-Brunswick et à une contribution du gouvernement du Nouveau-Brunswick en vertu du Fonds d’accès aux études universitaires du Nouveau-Brunswick (FAÉUNB), la Faculté de droit a octroyé cette année deux bourses d’entrée du Fonds de bourses Pierre-Amand-Landry/FAÉUNB à deux étudiantes inscrites à un programme d’études en droit. Les deux bourses sont d’une valeur de 1750 $ chacune.

L’Ordre du mérite Bleu et Or est une reconnaissance de haute distinction conférée par l’Université de Moncton à des finissantes et des finissants des trois campus dont le rendement et la contribution communautaire à la vie étudiante sont remarquables.

Andy Couturier
Finissant au baccalauréat ès sciences au programme de majeure en mathématiques au campus de Moncton, Andy Couturier est très engagé au sein de la Faculté et auprès de ses pairs. Il s’est engagé en tant que membre du comité exécutif de l’Association étudiante de la Faculté des sciences de l’Université de Moncton de 2015 à 2018 et du Conseil étudiant du Département d’informatique de 2013 à 2015. En mars 2015, il devient fondateur et président de TomorrowLAN, le plus grand événement de jeux vidéo au Nouveau-Brunswick. Il a été organisateur principal de LANcadien, de Soirée FIFA, de Tomorrowlan et de LAN de l’espoir. Il a grandement partagé son savoir-faire en collaborant lors des divers événements organisés par les autres associations étudiantes de l’Université de Moncton. Parmi ces événements, il a été coorganisateur des fêtes de fin d’examens et des fêtes finales de l’Université de Moncton. Il a été collaborateur lors des banquets annuels de la Faculté et de la fête des 1^res années de 2017. Il s’est porté volontaire en tant que technicien et opérateur vidéo bénévole auprès de différents événements universitaires et communautaires. M. Couturier a également reçu plusieurs reconnaissances durant son parcours universitaire : Prix de l’événement de l’année pour TomorrowLAN (2015 et 2017), Prix étudiant d’excellence du Département de mathématiques et statistique de l’Université de Moncton (2017), Prix étudiant d’excellence de la Faculté des sciences de l’Université de Moncton (2014) et Prix étudiant d’excellence du Département d’informatique de l’Université de Moncton (2014).

Myriam Plantin
Finissante au baccalauréat en administration des affaires avec concentration en comptabilité profil coop au campus de Moncton, Myriam Plantin a obtenu une moyenne cumulative remarquable de 4,22. Elle a été membre de plusieurs comités exécutifs : projet-impôt (2016 et 2017), Banquet annuel de la Faculté d’administration (48^e et 49^e), Comité CPA de l’Université de Moncton (2017), album souvenir de la Faculté d’administration (2018). Elle a également fait du bénévolat lors des salons carrière, des Jeux de la francophonie canadienne 2017, du 47^e Banquet annuel de la Faculté d’administration et des 38^e Jeux du Commerce à Moncton. Lors de son passage au campus de Shippagan en 2013, elle a activement participé aux activités promotionnelles de l’Université, comme le souper de la vice-rectrice pour parler de son expérience à l’Université de Moncton et en tant que bénévole aux journées portes ouvertes. Elle a également reçu plusieurs prix lors de son parcours universitaire : Prix de la plus haute moyenne finissante du BAA comptabilité – régime coop (2018), Bourse d’étude du Jubilé d’or du Nouveau-Brunswick pour le meilleur rendement, Bourse d’étude Michel-Collette pour excellence en comptabilité, Bourse d’étude Jean-Cadieux pour la plus engagée dans la Faculté et Bourse d’étude CPA Nouveau-Brunswick. Mme Plantin figure également au tableau d’honneur du doyen de la Faculté d’administration pour les années 2015-2016, 2016-2017 et 2017-2018.

Les prix Bleu et Or ont été remis dans dix catégories lors du Gala du mérite Bleu et Or du campus de Moncton qui a eu lieu le jeudi 5 avril dernier au pavillon Jeanne-de-Valois de l’Université de Moncton, campus de Moncton.

Étudiante ou étudiant de l’année de sa faculté
Étudiante de l’année de la Faculté des arts et des sciences sociales : Kendra Estelle Landry
Étudiant de l’année de la Faculté d’ingénierie : Glody Sole Shaolinde
Étudiant de l’année de la Faculté d’administration : Daniel Gallant
Étudiant de l’année de la Faculté de droit : Jonathan Bédard
Étudiant de l’année de la Faculté des sciences de l’éducation : Francis Bourgouin
Étudiante de l’année de la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires : Isabelle Blais
Étudiant de l’année de la Faculté des sciences : Alexandre Pépin

Nouvelle initiative de l’année : Collation du mois de l’École de kinésiologie et de loisir
Avec un très haut taux de participation, l’activité Collation du mois est toujours grandement attendue. Organisée par le Conseil étudiant de l’École de kinésiologie et de loisir, cette activité vise à offrir une collation spéciale qui invite étudiantes et étudiants à aller prendre leur collation sous différents thèmes. De petites collations qui boost le moral des étudiantes et étudiants.

Événement de l’année : Par Nous, Pour Nous
Organisé par l’association étudiante Symbiose, qui éduque et mobilise la communauté sur les enjeux de l'environnement et de la justice sociale, l’événement Par Nous, Pour Nous est un festival d’art, de musique et d’environnement. Riche en créativité, en rencontres, en musique, en art et en discussions, c’est un événement rassembleur, inclusif et participatif, toujours sous une thématique environnementale.

Membre du personnel dévoué à la vie universitaire : Daniel Grant
Passionné par son travail, Daniel est conseiller en emploi et liaison avec les employeuses et employeurs au Service des étudiantes et étudiants. Sa passion lui permet d’être à l’écoute des besoins de sa clientèle, principalement la communauté étudiante. Son engagement à la vie étudiante ne s’arrête pas aux nombreux ateliers qu’il offre à l’heure du midi, mais s’étend à l’organisation du groupe étudiant de Toastmasters, soit le club AcadiUM, qui est le premier club Toastmaster international francophone universitaire au pays. Il organise également le Salon carrière, événement grandement apprécié de la communauté étudiante. Son humour, son savoir-faire et son savoir-vivre font de lui une personne dynamique.

Professeure dévouée à la vie étudiante : Monique Levesque
Monique est très présente dans la vie étudiante de la Faculté d’administration. Elle veut faire vivre une expérience mémorable aux étudiantes et étudiants lors de leur passage à la Faculté. Elle prend en charge les Jeux du Commerce, s’engage dans l’album souvenir des finissantes et finissants, le comité CPA et les sessions de tutorat et appuie les différents comités de la Faculté. Elle est également appréciée de la communauté étudiante pour sa disponibilité, et ce, même en mi-session ou en fin de session.

Délégation de l’année : Parlons sciences
Cette délégation anime plusieurs activités interactives auprès des jeunes francophones à travers les écoles du Nouveau-Brunswick et de la Nouvelle-Écosse pour faire la promotion des sciences au nom de l’Université de Moncton. Depuis 2016, Parlons sciences a rejoint plus de 5000 jeunes francophones et 1500 adultes.

Artiste de l’année : Monica Bolduc
Étudiante en art dramatique, Monica Bolduc développe sa carrière à titre de comédienne, d’auteure et de réalisatrice. Elle s’est distinguée par l’édition de son livre de poésie Dead End et a été invitée au Festival de poésie de Trois-Rivières à l’automne dernier ainsi qu’au Festival acadien de poésie l’été dernier. Elle a également coréalisé un court-métrage pour le Festival international de film en Acadie et a joué dans plusieurs autres courts-métrages durant l’événement. Elle a été nommée poète flyée 2018 du Festival FRYE.

Ambassadrice de l’année : Kamylle Frenette
Étudiante-athlète en 4^e année au programme de biologie, Kamylle Frenette est capitaine de l’équipe de cross-country de l’Université de Moncton. Elle figure également au tableau d’honneur d’U SPORTS Canada pour son rendement universitaire. Elle a représenté l’Université de Moncton au championnat national en tant qu’athlète et en 2018 elle est devenue membre de l’équipe canadienne du paratriathlon. Elle a récemment reçu une médaille d’argent à Sarasota, en Floride, dans sa première course officielle avec l’équipe du Canada et vise maintenant à participer aux Jeux paralympiques de Tokyo en 2020. Kamylle a démontré sa force et sa détermination lorsqu’elle s’est mise dans l’œil du public. Elle vise à éliminer la stigmatisation qui suit les athlètes paralympiques. Elle inspire tous les jeunes athlètes et représente fièrement son université : elle est une image d’espoir et d’encouragement.

Recrue de l’année : Érick Doucet
Étudiant en histoire, Érick s’est très rapidement intégré à sa nouvelle communauté en s’engageant activement. Il a siégé à plusieurs comités étudiants et créé une soirée hebdomadaire ciné-histoire. Il offre du tutorat à des étudiantes et étudiants dyslexiques et est auxiliaire d’enseignement et tuteur pour le cours Le Moyen Âge.

Impliqué de l’année : Mohamed Bouya Ely Vall
Mohamed est un mentor dévoué et disponible auprès de ses pairs et il a à cœur leur réussite et leur intégration. On le voit simplement partout. Il est mentor au service de mentorat, bénévole au soutien aux étudiantes et étudiants, tuteur en fiscalité, tuteur comme soutien aux devoirs auprès de l’Association étudiante Collège frontière, membre du comité principal et animateur de la Soirée internationale 2018, bénévole au projet-impôt, au banquet, au Party Winter de la Faculté d’administration, au service des étudiantes et étudiants internationaux et au défilé des drapeaux à l’ouverture de la Semaine internationale de la Francophonie de l’Université de Moncton.

Rappelons que le Gala du mérite Bleu et Or du campus d’Edmundston a eu lieu le 5 avril dernier et que celui du campus de Shippagan aura lieu le 24 mai prochain.

À l’occasion d’une cérémonie tenue le 11 avril 2018, la Faculté des arts et des sciences sociales (FASS) de l’Université de Moncton a décerné à 13 de ses étudiantes et étudiants des certificats de reconnaissance Pascal. Ces certificats sont décernés aux finissantes et finissants de 1^er cycle qui se sont démarqués au cours de leurs études par un rendement supérieur (moyenne cumulative minimale de 3,5 sur 4,3) ainsi que par une participation marquée à la vie du département, de l’école, du secteur, de la FASS, de l’Université ou de la communauté en général, y compris dans des activités à caractères scientifique, professionnel ou artistique.

Les certificats Pascal portent le nom de « Pascal » à la mémoire de Pascal Poirier (1852-1933), grand défenseur de la langue et des droits des Acadiennes et Acadiens et premier Acadien à accéder au Sénat.

Les lauréates et lauréats pour l’année 2017-2018 sont Madeleine Albert (musique), Lise Arsenault (information-communication), Amélie Arseneau (sciences du langage), Meredith Batt (histoire), Dominique Bérubé (information-communication), Émilien Cormier (art dramatique), Suzanne Cormier (arts visuels), Marie-Pier Corriveau (information-communication), Annie Desjardins (information-communication), Lucie Desjardins (études françaises), Oumou Khaïry Diop (traduction), Kendra Estelle Landry (anglais) et Véronique Thibault (études littéraires).

Le Département de chimie et biochimie a créé le Prix Brian-T.-Newbold en l’honneur du professeur émérite Brian Newbold en 1998. Accompagné d’une contribution de 1000 $ généreusement offerte par M. Newbold, ce prix est accordé aux meilleures présentations dans le cadre des projets « Initiation à la recherche » qui représentent une première introduction à la recherche scientifique.

Premier gagnant : Patrick Duff de Rivière-Verte au Nouveau-Brunswick (500 $)
Deuxième gagnant ; Guillaume Bezeau de Moncton au Nouveau-Brunswick (300 $)
Troisième gagnante : Andréa Lebel de Rivière-Verte au Nouveau-Brunswick (200 $)

La gagnante et le gagnant sont les récipiendaires du Prix Brian-T.-Newbold, offert par le Département de chimie et biochimie pour souligner l’excellence des projets de recherche réalisés pendant l’année finale des programmes.

L’année universitaire 2017-2018 aura été couronnée de succès pour la professeure et directrice du Département de musique, Monique Richard.

D’une part, le Choeur Louisbourg, dont elle est la directrice artistique, a obtenu une subvention de 25 000 $ du Conseil des Arts du Canada pour son projet d’enregistrement d’un disque compact. Intitulé Chants d’amour de France et d’Acadie, ce disque compact est l’aboutissement du projet de sabbatique de Mme Richard. Il puise dans la richesse du répertoire folklorique acadien avec l’accompagnement d’instruments d’époque dans de nouveaux arrangements qui ont été créés pour l’occasion par Seán Dagher‏, musicien du Skye Consort. Des chansons a cappella de Jacotin le Bel (v.1495 v.1556) y sont aussi incluses. ATMA Classique, l’un des plus importants producteurs et distributeurs d’enregistrements sonores au pays, en a pris en main la mise en marché et la distribution. Le disque compact sera lancé à l’été 2018 et distribué dans plus de 25 pays ainsi que sur diverses plateformes numériques, dont iTunes et Spotify.

D’autre part, grâce à un partenariat entre le Chœur Louisbourg et le Département de musique, les professeures Monique Richard et Lisa Roy ont développé le projet « Chantons en chœur » qui a obtenu une subvention de 30 000 $ du Groupe d’action-collaboration sur l’éducation en français. Ce projet consistait en l’animation d’ateliers en chant choral dans le cadre de rassemblements musicaux qui se sont déroulés pendant deux jours chacun dans les trois districts scolaires francophones de la province. Les rassemblements ont permis d’offrir à près de 200 jeunes différents ateliers qui exploraient divers thèmes (chansons de chez nous, musiques de monde, jazz vocal, etc.), tout en offrant un perfectionnement aux musiciens-éducateurs de la province. Le projet incluait la participation d’auteurs-compositeurs-interprètes de chacune des régions, de divers chefs de chœur invités du Nouveau-Brunswick et du Québec, de même que des étudiantes et étudiants du Département de musique. Garant du succès de la première édition du projet, une nouvelle subvention de 30 000 $ a été accordée pour le développement d’une seconde édition l’an prochain.

Rappelons qu’en parallèle à ses activités de recherche-création reliées au chant choral, Mme Richard poursuit son travail de recherche fondamentale. Son dernier article, « Formation par et pour les pairs : Jouer son rôle de passeur culturel en milieu francophone minoritaire », vient de paraître dans la Revue canadienne de l’éducation, vol. 41, no. 1 (2018). Elle a par ailleurs présenté une communication sur le sujet au colloque Minorisation linguistique et inégalités sociales organisé par le Centre de recherche en linguistique appliquée à Moncton en octobre dernier.

Le jeudi 12 avril dernier, plus de 75 personnes se sont réunies au bar étudiant Le Coude pour assister à un panel de discussion organisé par la Formation continue de l’Université de Moncton. Le panel, animé par Thomas Raffy, PDG du Conseil économique du Nouveau-Brunswick, était composé de dirigeantes et dirigeants d’entreprises, d’organismes ainsi que d’intervenantes et intervenants engagés et intéressés par la formation continue. L’activité visait à discuter des réalités et des enjeux de la formation continue en Acadie.

Les panélistes étaient Marie Chamberland, présidente du Conseil économique du Nouveau-Brunswick, Diane Allain, vice-présidente Gestion des talents à UNI coopération financière, Réjean Boudreau, vice-président, chef du développement organisationnel à Assomption Vie, et Pierre Battah, conférencier et formateur en leadership organisationnel.

Lors de cette soirée, le Service de la Formation continue a également procédé au dévoilement de sa nouvelle image de marque. À la suite de l’annonce, en novembre dernier, du changement de nom de « Direction générale de l’Éducation permanente de l’Université de Moncton » à « Direction générale de la Formation continue de l’Université de Moncton », la Direction a voulu saisir cette occasion pour se doter d’une image de marque qui permettra d’améliorer la visibilité de ses services et de communiquer plus efficacement ses programmes de formation.

Le Centre de recherche et de développement en éducation (CRDE) désire inviter la communauté universitaire à sa prochaine causerie-midi animée par Selma Zaiane-Ghalia, professeure agrégée à l’École de kinésiologie et de loisir de l’Université de Moncton.

La causerie aura lieu le jeudi 19 avril, de 12 h à 13 h, au local B-047 du pavillon Jeanne-de-Valois, campus de Moncton.

Résumé de la causerie-midi
L’écotourisme est un tourisme qui prend en compte l’environnement dans sa globalité et sa complexité. Il prône le respect des richesses patrimoniales naturelles et culturelles. Il considère l’Homme, avec ses traditions et ses coutumes, dans son environnement naturel d’origine, c’est-à-dire l’Homme non déraciné. Il appelle au maintien des populations sur leurs terres ancestrales. Selon la définition annoncée par l’Organisation Mondiale du Tourisme en 2002, l’écotourisme réunit toutes les formes de tourisme basées sur la nature dans lesquelles la principale motivation des touristes est l’observation et la jouissance de la nature ainsi que des cultures traditionnelles qui prévalent dans les zones naturelles. Cette forme de tourisme intègre des caractéristiques éducatives et d’interprétation du milieu. Elle est généralement, mais pas exclusivement, organisée à l’intention de petits groupes de personnes par des voyagistes spécialisés. Les partenaires fournisseurs de services à la destination sont en général de petites entreprises locales. Cette forme de tourisme minimise les impacts négatifs sur l’environnement naturel et socioculturel. Elle contribue ainsi à la protection des zones naturelles utilisées comme centres d’intérêt écotouristique :

- En étant source d’avantages économiques dont profitent les communautés, les organisations et les autorités de la région-hôte chargées de la préservation des zones naturelles;
- En créant des emplois et des possibilités de revenus pour les communautés locales;
- En renforçant la prise de conscience des résidentes et résidents et des touristes quant à la nécessité de protéger le patrimoine naturel et culturel.

Serait-ce un moyen de développer un tourisme différent au Nouveau-Brunswick ? Cette causerie-midi est une invitation au voyage et à la réflexion.

Au plaisir de vous y voir en grand nombre !

Le public est cordialement invité au colloque bilingue intitulé Refaire surface : écrivaines canadiennes des années 1970 / Resurfacing: women writing across Canada in the 1970s. Cette activité est organisée par le Département d’anglais de l’Université de Moncton et le Centre d’études canadiennes de Mount Allison University. Le colloque aura lieu du 26 au 28 avril 2018 et les événements du vendredi 27 avril se tiendront entièrement à l’Université de Moncton.

Ce colloque découle de l’idée selon laquelle les auteures canadiennes — francophones et anglophones — de la fin des années 1960 jusqu’au début des années 1980 sont en voie d’être redécouvertes ou recontextualisées par la critique littéraire universitaire. Cette période a été fondamentale pour le mouvement féministe ainsi que pour le paysage littéraire à travers le Canada. Alors que de nombreux critiques littéraires travaillant pendant les années 1970 arrivent maintenant au faîte de leur carrière et qu’une nouvelle génération s’interroge sur cette époque féministe dynamique, il convient de se réunir afin de reconsidérer cette période importante.

Le colloque se veut donc un lieu d’échange propice aux réminiscences critiques et aux reconstructions historicisées de ce que c’était d’être une critique féministe, une écrivaine, une professeure ou une étudiante à cette époque. Le colloque offrira également des tables rondes plénières auxquelles participeront des chercheuses et critiques chevronnées qui examineront la littérature des femmes au Canada de la fin des années 1960, des années 1970 et du début des années 1980 ainsi que la critique littéraire et les développements culturels de l’époque.

Parmi les conférencières plénières, il y aura : Mary Jean Green, Linda Hutcheon, Smaro Kamboureli, Lucie Lequin, Jane Moss, Lori Saint-Martin, Patricia Smart et Aritha van Herk.

Vous trouverez le programme complet en ligne.

Pour plus d’information :

Andrea Cabajsky
506-858-4244

Ce vendredi 20 avril, de 12 h à 13 h, au local 178 de la Bibliothèque Champlain, l’activité Les vendredis midis de l’Institut d’études acadiennes (IEA) aura lieu avec Isabelle Kirouac-Massicotte, chercheuse postdoctorale à l’IEA. La présentation pourra également être visionnée sur la chaîne YouTube de l’IEA. La conférence aura pour thème Le « trash » littéraire comme esthétique de la minorisation en littérature acadienne.

Description de la conférence selon Isabelle Kirouac-Massicotte
Dans le langage courant, le mot trash est connoté péjorativement et dénote la saleté, le vulgaire et le grotesque. Mais il en va tout autrement lorsque l’on appréhende le trash en tant que concept ou comme esthétique. Une théorie du trash demeure pour l’instant difficile à circonscrire; on qualifie régulièrement des œuvres de trash sans nécessairement intellectualiser et théoriser la notion. En fait, la théorie du trash littéraire reste presque entièrement à faire et celle-ci s'inscrit dans la théorie de la minorisation, dont l’écriture a été amorcée par François Paré dans ses essais, qui portent notamment sur le rapport inégal au pouvoir et la dévaluation des êtres dans le système colonialiste, patriarcal et capitaliste qui est le nôtre. Le trash comprend les caractéristiques de la misère, de l’oubli, de la désolation et de la destruction, mais également leur renversement : cette esthétique n’est pas que dysphorique, car sa violence, sa brutalité ou sa crudité peuvent déboucher sur l’indignation, la solidarité, la contestation, voire le militantisme. L’esthétique trash me paraît être l’angle à privilégier pour appréhender et rassembler les minorités du Canada, puisqu’elle est intrinsèquement liée à la question de la minorisation. Pour illustrer mon propos, je présenterai l’évolution de l’esthétique trash dans la littérature acadienne de la fin des années 1960 à aujourd’hui.

Les étudiantes et étudiants de 4^e année au baccalauréat ès arts avec spécialisation en psychologie de l’Université de Moncton ont présenté leurs travaux de recherche réalisés dans le cadre de leur mémoire de fin de baccalauréat.

Cet événement scientifique annuel, qui regroupait 22 affiches, permet de mettre en pratique les connaissances acquises pendant la formation universitaire, qu’il s’agisse de statistiques, de méthodologie ou encore de théories en psychologie. Ces recherches constituent également une démarche essentielle pour les étudiantes et étudiants qui prévoient entreprendre des études aux cycles supérieurs. D’ailleurs, plusieurs étudiantes et étudiants qui ont présenté leurs travaux de recherche poursuivront l’an prochain leurs études à la maîtrise ou au doctorat professionnel en psychologie. D’autres poursuivront leur cheminement dans d’autres domaines, comme le droit et la maîtrise en gestion des services de santé.

Les professeures et professeurs Ann Beaton, Geneviève Bouchard, Paul-Émile Bourque, Frédéric Huppé-Gourgues, Mylène Lachance-Grzela, Jacques Richard, Mylène Ross-Plourde, Annie Roy-Charland, Jean Saint-Aubin, France Talbot et François Vigneau ont supervisé les travaux.

Le Prix d’une valeur de 500 $ sera remis au meilleur travail portant sur les études acadiennes réalisé par une étudiante ou un étudiant dans le cadre d’un cours de 1^er cycle dans l’un des trois campus de l’Université de Moncton. Le Prix vise à appuyer les recherches en études acadiennes au 1^er cycle à l’Université de Moncton.

Conditions
- Les travaux soumis doivent avoir été effectués à titre d’exigence dans le cadre d’un cours de 1^er cycle offert durant l’année 2017-2018 à l’Université de Moncton.
- Les travaux doivent porter sur les études acadiennes.
- Les travaux doivent être rédigés en français et compter entre 1500 et 5000 mots.
- Il doit s’agir d’un travail de recherche.
- Les personnes ayant déjà reçu le Prix ne sont pas éligibles.

Dépôt des candidatures
- Les travaux doivent être présentés par les professeures et professeurs avant le 18 mai 2018.
- Les travaux doivent être dactylographiés et doivent inclure une page titre, une bibliographie et toute autre référence pertinente aux sources.
- Les travaux doivent être envoyés en version électronique à iea@umoncton.ca.
- Les coordonnées complètes de l’étudiante ou l’étudiant doivent être fournies.

Processus d’évaluation
- Les soumissions seront évaluées par un Comité de sélection composé de professeures et professeurs de l’Université de Moncton.
- La ou le récipiendaire sera annoncé en septembre 2018.
- Un seul prix de 500 $ sera remis par année.
- L’Institut d’études acadiennes se réserve le droit de ne pas accorder le Prix si les travaux soumis ne correspondent pas aux recommandations du Comité de sélection.