À l’occasion de la cérémonie soulignant le 50e anniversaire de la Bibliothèque Champlain, le recteur et vice-chancelier Raymond Théberge a rappelé l’importance et la valeur culturelle de la magnifique collection d’art inuit Esther et Isadore Fine, installée dans le foyer de la bibliothèque.

Offerte à l’Université de Moncton par d’éminents citoyens de Moncton, cette collection fête cette année son 20e anniversaire. Le foyer de la Bibliothèque est d’ailleurs un lieu tout choisi pour cette collection qui est exposée dans son entièreté.

On y retrouve 242 pièces datant de l’époque classique des années 1930 à 1975, des œuvres confectionnées, par exemple, à partir de pierre à savon, d’os fossilisés ou encore de granit. Au moment du don, elle était évaluée à près d’un demi-million de dollars.

Le recteur Théberge a profité de l’occasion pour remercier les représentants de la famille Fine, Rosalie et David, la fille et le fils d’Isadore et Esther Fine, qui étaient présents à la cérémonie.

Afin de souligner le 20e anniversaire de l’acquisition de la collection, une conférence qui a pour titre « Les trésors de la collection d’art inuit Isadore et Esther Fine/ Acquisition and conservation: the treasures of the Isadore and Esther Fine collection » aura lieu le 21 janvier 2016 à la Bibliothèque Champlain.

Cette conférence sera donnée par Julie Lynn Drisdelle, chargée de cours en histoire de l’art à l’Université de Moncton, détentrice de la Maîtrise en histoire de l’art de l’Université Laval, et par Tina Leblanc, détentrice de la Maîtrise en muséologie de la Leeds University au Royaume-Uni.

En prévision de l’arrivée de quelque 1 500 réfugiés syriens dans la province, l’Université de Moncton a offert sa collaboration au comité provincial interministériel qui coordonne l’accueil des nouveaux arrivants.

Possédant une communauté universitaire multiculturelle, l’Université a lancé un appel à ses membres qui parlent arabe. Quelque 80 arabophones, des étudiantes, des étudiants, des membres du personnel des trois campus et de la communauté, ont offert leurs services d’interprètes.

« En offrant leurs services, les interprètes contribueront à faciliter les conditions d’accueil et de séjour de ces nouveaux arrivants qui ont quitté leur pays à la recherche de sécurité et de refuge. L’Université de Moncton est donc fière d’avoir pu contribuer à ces efforts de solidarité en cette période de tumulte à l’échelle internationale », a souligné le recteur et vice-chancelier, Raymond Théberge.

C’est au Musée canadien de la nature d’Ottawa que plus d’une centaine de diplômées et diplômés de l’Université de Moncton établis dans la région de la capitale nationale se sont rassemblés lors d’un cocktail qui a eu lieu le 17 novembre. L’honorable Dominic LeBlanc, leader du gouvernement à la Chambre des communes, et Steven McKinnon, député de Gatineau (Québec) étaient parmi les personnes présentes.

Cette rencontre était l’occasion pour le recteur et vice-chancelier, Raymond Théberge, de partager les bons coups de l’Université durant la dernière année, notamment l’avancement du chantier Recherche, développement, création et innovation du Plan stratégique de l’établissement. Selon M. Théberge, le projet d’infrastructure majeur présentement en cours au campus de Moncton viendra changer le visage de l’Université de Moncton, en plus de consolider sa place dans le développement économique régional.

Le président de L’alUMni, Stéphane Robichaud, a quant à lui partagé les divers changements effectués par l’association au cours de la dernière année.

Il a aussi réitéré la raison qui motivait ces transformations, soit le désir de se rapprocher des futures diplômées et futurs diplômés afin de leur inculquer un sentiment d’appartenance et de fierté à l’égard de leur université. C’est pourquoi l’expérience étudiante est devenue la pierre angulaire de L’alUMni pour les prochaines années.

L’alUMni de l’Université de Moncton a pour mission de contribuer au développement de l’institution par l’engagement et l’appui de ses diplômées, diplômés, amies et amis.

Professeur au Département de biologie de la Faculté des sciences de l’Université de Moncton, Marc-André Villard a été invité à siéger au comité de rédaction de la revue Journal of Applied Ecology, publiée par la British Ecological Society.

À titre de rédacteur associé, il conseillera les corédacteurs en chef dans l’évaluation de manuscrits soumis à cette revue, qui publie des travaux effectués dans le monde entier dans les domaines de l’écologie appliquée et de la conservation de la biodiversité.

Les travaux de recherche du professeur Villard portent sur les effets des activités humaines sur la biodiversité, avec un accent particulier sur la foresterie et ses effets sur les populations d’oiseaux aux échelles des peuplements et du paysage.

Le site Web de la publication Journal of Applied Ecology se trouve à l’adresse http://www.journalofappliedecology.org/.

Le premier Code de déontologie des médecins au Canada, édition annotée et commentée, paraissait ce mois-ci aux Éditions Yvon Blais-Thomson Reuters. Cet ouvrage est coécrit par le professeur Nicholas Léger-Riopel de la Faculté de droit de l’Université de Moncton et le professeur Patrice Deslauriers de la Faculté de droit de l’Université de Montréal, avec la collaboration de maître Jean-Louis Baudouin, sommité canadienne et internationale du droit et de la responsabilité des professionnelles et professionnels.

Ce code, puisant à même les décisions des tribunaux et comités de discipline à l’échelle canadienne, s’intéresse à l’encadrement éthique et déontologique de l’activité du médecin, en lien avec la complexification croissante des techniques numériques et biotechnologiques faisant désormais partie du paysage de la pratique médicale, elle-même appelée à de profondes remodulations au fil de l’émergence de pratiques de groupes et d’une interdisciplinarité croissante entre professionnelles et professionnels de la santé.

Ce texte s’adresse à un lectorat formé non pas exclusivement de juristes mais également d’une diversité d’acteurs formés tant de chercheuses et chercheurs dans les domaines de la santé que de professionnelles et professionnels membres des ordres professionnels de la santé (médecins, infirmiers, dentistes, etc…), ainsi que de la variété d’administrateurs de la santé et cadres hospitaliers pour qui les considérations liées à l’éthique font partie du quotidien de la pratique.

Cet ouvrage est disponible à l’adresse http://www.editionsyvonblais.com/detail-du-produit/code-de-deontologie-des-medecins/

Le professeur Léger-Riopel donnera également des formations en matière d’éthique médicale aux étudiantes et étudiants en médecine au Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick (CFMNB) en collaboration avec la professeure Pierrette Fortin, doyenne aux études du campus d’Edmundston. Cette nomination s’inscrit dans l’établissement d’un programme de recherche en matière de droit de la santé à l’Université de Moncton, propice et favorable aux collaborations interfacultaires et interdisciplinaires.

La classe de séminaire du Programme d’information-communication de l’Université de Moncton s’est penchée sur la campagne électorale fédérale de 2015 lors de son colloque annuel tenu le 25 novembre dernier.

Les recherches présentées ont notamment analysé les discours d’attaque entre chefs de partis, la communication non-verbale des chefs lors du débat francophone, la stratégie de communication de Stephen Harper et le débat autour du niqab.

Le jury était composé des professeurs Gervais Mbarga et Natalie Melanson Breau, du Programme d’information-communication, ainsi que du professeur Ibrahim Ouattara, du Département de philosophie.

L’Association des ingénieurs et géoscientifiques du Nouveau-Brunswick (AIGNB) et la firme de génie-conseil exp ont attribué plusieurs prix et bourses à des étudiantes et étudiants du Nouveau-Brunswick inscrits à la Faculté d’ingénierie de l’Université de Moncton.

La photo nous fait voir, de gauche à droite, Gilles Roy, ing., Ph.D., doyen de la Faculté d’ingénierie; Renée LeBlanc, 5e année en génie civil, bénéficiaire de la bourse Commémorative Graham MacDonald attribuée pour le meilleur rendement académique à un étudiant ou à une étudiante finissant (3 000 $); Gabriel Laplante, ing., Ph.D., directeur du Département de génie mécanique et membre du conseil d’administration de la Fondation pour les études de l’AIGNB; Serge Dupuis, ing., professeur en génie civil et bénéficiaire de la bourse d’études avancées (4000 $); Brian Barnes, ing., président du conseil d’administration de la Fondation pour les études de l’AIGNB; Marie-Ève Guitard, 1re année en génie civil, bénéficiaire d’une bourse exp de 1 500 $; Gilles Comeau, ing., ingénieur de projet chez exp; Dani LeBlanc, 4e en génie civil, bénéficiaire de la bourse Jocelyne Roy-Vienneau pour le leadership étudiant et modèle pour les jeunes femmes en ingénierie (3 000 $); et Gabriel Cormier, ing., Ph.D., vice-doyen de la Faculté d’ingénierie.

Absents au moment de la photo : Julien Aucoin, 2e année en génie mécanique, bénéficiaire du prix de l’AIGNB pour le meilleur rendement en première année d’un programme d’ingénierie (2 000 $); Joël Després, 1re année en génie civil, et Brandon Duchesne, 1re année en génie électrique, bénéficiaires d’une bourse d’entrée de 5 000 $, et Sébastien Breau, 1re année en génie mécanique, bénéficiaire d’une bourse exp de 1 500 $.

Le Département d’études françaises invite les membres de la communauté universitaire et le public à une conférence publique prononcée par Daniel H. Dugas, écrivain en résidence. Ayant comme thème « La poésie et la galère de notre temps », la conférence aura lieu le jeudi 3 décembre à 16 heures à la Librairie acadienne du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.

Le lancement de son nouveau livre L’esprit du temps / The Spirit of the Time suivra la conférence. Il s’agit d’un projet de transmutation du paysage publicitaire en paysage poétique. En utilisant les cartes des échantillons de couleurs disponibles dans le commerce – les nuanciers de Pantone, Martha Stewart, Behr, Sherwin-Williams –, le poète et essayiste crée, entre satire et ironie, une série de courts textes qui examinent l’écart entre l’encodage des messages publicitaires et leur décodage par le public. En effet, que peut-on dire d’une société qui baptise ses couleurs de noms aussi évocateurs que « Mur d’école », « Étincelle d’amour » ou « Croûte de biscuit Graham »?

Ce livre magnifique est à la fois un livre de photographie, un recueil de poésie et un essai lucide mais ludique sur notre société matérialiste. Il a été produit en numérique et imprimé en quantité limitée.

Artiste numérique, poète et musicien, Daniel H. Dugas a participé à de nombreuses expositions et a effectué plusieurs résidences au Canada et à l’étranger. Il a obtenu une maîtrise en Fine Arts / Time Arts au School of the Art Institute of Chicago. La production de sens et de langage, plus particulièrement dans le contexte des réseaux informatiques, est au cœur de ses préoccupations. Il a publié près d’une dizaine de recueils de poésie.

Le Conseil provincial des personnes d’ascendance africaine du Nouveau-Brunswick organise le 5 décembre 2015, de 13 heures à 15 h 30, dans la salle 136 du pavillon Léopold-Taillon, la première Journée de réflexion sur la résolution [68/237] de l'Assemblée générale de l'Organisation des Nations Unies qui proclame, 2015-2024 comme la Décennie internationale des personnes d’ascendance africaine : considération, justice et développement.

Cette proclamation cite la nécessité de renforcer les mesures et activités de coopération nationales, régionales et internationales pour garantir le plein exercice des droits économiques, sociaux, culturels, civils et politiques des personnes d’ascendance africaine ainsi que leur pleine et égale participation à la société sous tous ses aspects.

L’objectif de cette journée de réflexion est de discuter et d’échanger avec tous les membres de la communauté sur les défis que rencontrent ici au Nouveau-Brunswick les personnes d’ascendance africaine. Ensemble, nous pourrons mieux planifier les activités et les initiatives communautaires, associatives et gouvernementales pour atteindre les objectifs de la Décennie.

Renseignements : ibrahim.ouattara@umoncton.ca, (506) 858-4023.

Un groupe de 23 personnes qui supervisent des stages de nombreux programmes de formation en santé a pris part à l’atelier L’Art de superviser des stagiaires, le 19 novembre dernier, à l’Université de Moncton.

Deux modules de formation ont été offerts aux participantes et participants dans le cadre de cette activité, soit Façonner le raisonnement clinique et Explorer divers modèles de supervision.

Cette formation d’une journée a été offerte dans le cadre des activités du Consortium national de formation en santé (CNFS) – Volet Université d’Ottawa en collaboration avec le CNFS – Volet Université de Moncton.

Les participantes et participants, qui agissent à titre de superviseuses et superviseurs de stages pour les étudiantes et les étudiants inscrits au Baccalauréat en science infirmière, au Baccalauréat en nutrition, à la Maîtrise en science infirmière – infirmière ou infirmier praticien, et au Doctorat professionnel en psychologie, ont appris différentes notions théoriques et pratiques qui font partie de la supervision en milieu de stage.

Cette initiative est financée par Santé Canada dans le cadre de la Feuille de route pour les langues officielles du Canada 2013-2018 : éducation, immigration, communautés.

La Chaire d’études Jeanne et J.-Louis-Lévesque en gestion financière de la Faculté d’administration de l’Université de Moncton, en collaboration avec Hamadou Boubacar, professeur de finance, a organisé une conférence avec des anciens étudiants de la faculté.

Cette conférence a accueilli au-delà de 40 personnes, des étudiantes, étudiants et membres du corps professoral. À cette occasion, trois anciens étudiants, Simon Boudreau, Associé, Programme lancement de carrière RBC ; Conrad O’Brien, Analyste, Prise de garanties à la BDC, et André-Philippe Caissie, Associé, Services bancaires commerciaux à la CIBC, ont offert des conseils aux étudiantes et étudiants inscrits en finance à la Faculté d’administration.

Ils ont discuté de l’importance du choix des cours à option pendant leurs années universitaires. Selon eux, il ne faut pas choisir un cours dans le seul but d’obtenir une bonne note, mais plutôt en vue de développer des habiletés qui leur seront utiles dans le cadre d’éventuels emplois. Selon nos trois conférenciers, il existe plusieurs cours universitaires qui peuvent permettre aux étudiantes et étudiants de se préparer en vue de leur carrière, même si ces cours ne sont pas directement reliés à leur domaine d’études (communication, éthique, science politique, par exemple). Les diplômés ont expliqué les bénéfices qu’ils ont retirés de leur implication para-académique, par exemple, en participant aux Jeux du commerce ou dans diverses activités. Pour eux, cette expérience leur a permis de développer différentes aptitudes, d’augmenter leur niveau de confiance et de se démarquer lors d’entrevues.

Enfin, les conférenciers ont insisté sur l’importance de développer un réseau de contacts dès leur deuxième année universitaire. Selon eux, c’est en assistant au Banquet de la Faculté d’administration et aux déjeuners du Conseil économique du Nouveau-Brunswick, en s’impliquant dans divers comités universitaires, en faisant du bénévolat, en approchant des gens d’expérience pour leur demander conseils, en ayant un mentor, et en ayant toujours une carte d’affaires dans leurs poches, un curriculum vitae à jour et un compte LinkedIn qu’ils ont pu se créer un réseau de contacts.

Dans le cadre de la série Vendredis midis de l’Institut d’études acadiennes de l’Université de Moncton, Michel de Waele, doyen de la Faculté des lettres et des sciences humaines de l’Université Laval, a prononcé une conférence récemment intitulée « Honneur national et destin colonial : le sort de l’Amérique française, 1627-1632 ».

Professeur titulaire au Département des sciences historiques de l’Université Laval et doyen de la Faculté des lettres et des sciences humaines, Michel De Waele est un spécialiste de l’histoire de la France moderne. Ses travaux portent particulièrement sur les conflits civils et leur résolution ainsi que sur les relations entre conflits nationaux et internationaux.

Dans le cadre des activités du Club de mathématiques, le Département de mathématiques et de statistique de l’Université de Moncton présente une conférence du professeur Paul Deguire intitulée « Le plus grand mathématicien du moyen-âge? ». La conférence aura lieu le vendredi 4 décembre à 13 h 30 dans le local D-202 du pavillon Rémi-Rossignol au campus de Moncton.

Résumé :
En ces temps troubles où des attentats terroristes sont commis par des extrémistes religieux musulmans, il est important de ne pas faire d’amalgame facile du genre musulman = terroriste. Ces attentats sont commis par des barbares dont les actions n’ont rien à voir avec la civilisation islamique. Cette conférence présente quelques travaux très originaux d’un mathématicien perse des 11e et 12e siècles, Omar al-Khayyâm, considéré par plusieurs comme un des principaux mathématiciens du moyen-âge, sinon le plus grand. Nous ferons un tour d’horizon des mathématiques d’Omar al-Khayyâm, nous traiterons donc de géométrie algébrique, de l’axiome des parallèles d’Euclide, du triangle de Pascal (près de 600 ans avant Pascal) et d’un calendrier plus précis que notre calendrier grégorien (avec 500 ans d’avance). Nous passerons plus de temps sur la géométrie algébrique, plus précisément sur l’utilisation d’intersections de coniques pour trouver des racines des équations du 3e degré (près de 500 ans avant l’introduction des formules algébriques des racines des équations du troisième degré).

Le Chaire de recherche du Canada en études acadiennes et milieux minoritaires invite la communauté universitaire à une rencontre publique avec France Daigle, écrivaine. Madame Daigle prononcera une conférence intitulée « De Sans jamais parler du vent à Pour sûr : Regard rétrospectif et prospectif », le jeudi 3 décembre à 10 heures, au local 178 de la Bibliothèque Champlain.

Sous la forme conviviale d’une rencontre avec le professeur Benoit Doyon-Gosselin, France Daigle traitera de questions touchant à son œuvre : réflexion sur l’espace, réflexion sur la langue, réflexion sur la structure formelle, réflexion sur la littérature acadienne. Le public sera également invité à poser des questions.

France Daigle est née à Moncton en 1953, où elle vit toujours. Auteure d’une dizaine de romans, elle a aussi coécrit plusieurs scénarios ainsi que quatre pièces de théâtre. Elle a remporté en 1991 le prix Pascal-Poirier d’excellence en littérature, décerné par le gouvernement du Nouveau-Brunswick. Elle a reçu le Prix du Lieutenant-gouverneur pour l’excellence dans les arts littéraires. Le Prix du Gouverneur général a été décerné à France Daigle pour son roman Pour sûr.

Renseignements : benoit.doyon-gosselin@umoncton.ca ou 858-4412.

L’étudiant George Ohelo Mulamba fera la soutenance de sa thèse de Maîtrise en études de l’environnement, le mercredi 9 décembre à 10 heures. La soutenance sera présentée grâce à la vidéoconférence au local 231 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton. La thèse est intitulée Contribution de l’Association coopérative des pêcheurs de l’île Ltée au développement local territorialisé de l’Île de Lamèque.

Le jury est formé de Céline Surette, présidente, Département de chimie et biochime et directrice de la Maîtrise en études de l’environnement; Serge Côté, évaluateur externe, développement local et régional, Université du Québec à Rimouski; André Leclerc, évaluateur interne, Chaire des caisses populaires acadiennes en gestion des coopératives; et Omer Chouinard, directeur de thèse, Département de sociologie et professeur à la Maîtrise en études de l’environnement.

Chaque année, le concours des Bourses de recherche de premier cycle (BRPC) du Conseil de recherche en sciences naturelles et génie (CRSNG) permet à une dizaine d’étudiantes et d’étudiants prometteurs en sciences de travailler comme assistantes ou assistants de recherche sur les campus de l’Université de Moncton pendant l’été.

À ce total, s’ajoute deux autres bourses pour des étudiantes ou des étudiants qui voudraient travailler à temps plein durant un semestre, à l’automne ou à l’hiver. Généralement, des professeures et professeurs qui détiennent des subventions du CRSNG ou des chaires de recherche du Canada supervisent ces étudiantes et étudiants. Néanmoins, les professeures et professeurs qui ne détiennent pas de subvention du CRSNG, mais qui travaillent activement à en obtenir une, peuvent quand même bénéficier du programme de Bourses de recherche de premier cycle du CRSNG pour superviser une étudiante ou un étudiant durant un stage de 16 semaines à la condition d’obtenir la permission du CRSNG.

Pour obtenir la permission de devenir superviseure ou superviseur, il suffit de compléter un document de deux pages qui comprend un curriculum vitæ du directeur de travaux proposé décrivant ses domaines de recherche et un bref historique des demandes d'appui qu'il a présentées au CRSNG ou des subventions/contrats du CRSNG et d'autres organismes qu'il a détenus; la description des installations de laboratoire, notamment de l'équipement, des autres membres de son équipe de recherche, de l'accès à des titulaires d'une subvention du CRSNG, une liste des expériences de supervision d’étudiantes ou étudiants et une brève description du projet de recherche proposé par l'étudiante ou l’étudiant.

Le formulaire à utiliser pour ce document est disponible auprès de Pierre Cormier, agent de liaison des bourses du CRSNG à l’Université de Moncton, à l’adresse pierre.cormier@umoncton.ca (858-4516).

Les candidates ou candidats intéressés peuvent acheminer leur formulaire par courriel sous format Word à la Faculté des études supérieures et de la recherche (FESR) au plus tard le lundi 11 janvier 2016 à midi. C'est le CRSNG qui fera la sélection.

Pour obtenir plus de renseignements, prière de consulter Pierre Cormier ou encore l’un ou l’autre des représentantes et représentants au comité de l’Université des bourses du CRSNG. Il s’agit de Sandra Turcotte, du Département de chimie et biochimie; Jamel Ghouili, du Département de génie électrique; Carole Tranchant, de l’École des sciences des aliments, de nutrition et d'études familiales; Gérard J. Poitras, du Département de génie civil; Fahim Ashkar, du Département de mathématiques et de statistique; Guillaume Fortin, du Département d'histoire et de géographie; Manuel Lamontagne, de l’École de foresterie, Campus d'Edmundston; Marc-André Villard, du Département de biologie; Mustapha Kardouchi, du Département d'informatique; Jean-François Bisson, du Département de physique et d'astronomie; Pierre Cormier, de l’École de psychologie; Renée Savoie-Power, du Service des bourses et de l'aide financière; Salah Darenfed, du Département de génie mécanique; et Yahia Djaoued, du Secteur Sciences, Campus de Shippagan.

Le Centre de recherche et de développement en éducation (CRDE) invite les membres de la communauté universitaire à assister à sa prochaine causerie-midi intitulée QSR NVivo : De l’analyse de données qualitative à la revue des écrits scientifiques. Cette causerie, présentée par Danielle Doucet, aura lieu le jeudi 3 décembre, de midi à 13 heures, dans le local B-047 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

Pour plus de renseignements, visitez le http://www.umoncton.ca/crde/node/19.

Le Cercle philo organise un café philosophique sur le thème L’intrication quantique, physiquement et philosophiquement?, le jeudi 10 décembre à 16 h 30, au resto-lounge Le 63 situé au Centre étudiant. La discussion sera animée par Normand Beaudoin, professeur au Département de physique et d’astronomie de l’Université de Moncton.

Renseignements : Paul Bernier, directeur du Département de philosophie, paul.bernier@umoncton.ca, 506-858-4390.

Le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) du Canada a lancé son quatrième concours national J’ai une histoire à raconter, qui met les étudiantes et les étudiants de niveau postsecondaire au défi de démontrer aux Canadiennes et Canadiens que la recherche en sciences humaines a un impact positif sur leur vie, sur le monde dans lequel ils vivent et sur leur prospérité future.

Le concours est ouvert aux étudiantes et étudiants de tous les cycles, inscrits dans un établissement postsecondaire canadien. Leur mandat est de raconter l’histoire, en trois minutes ou en 300 mots, d’un projet de recherche, financé par le CRSH qui est mené dans leur établissement.

Le projet peut être le leur ou celui de leur professeure ou professeur. 25 finalistes recevront un prix en argent de 3 000 $ et participeront à un atelier spécialisé en communication axée sur la recherche. Pour obtenir des détails au sujet du concours J’ai une histoire à raconter de cette année, visitez le site http://bit.ly/1mQucZS

La date limite pour y participer est le 29 janvier 2016. Renseignements : récit@sshrc-crsh.gc.ca.

Chaque année, le prix de la meilleure thèse de recherche ainsi qu’un certificat de reconnaissance sont décernés à une étudiante ou à un étudiant de l’Université de Moncton grâce à un fonds de dotation créé à partir d’un don de 20 000 $ fait en septembre 2003 par My-Lien et Truong Vo-Van. Le montant attribué est déterminé par les intérêts générés selon le rendement du fonds de dotation.

Toute étudiante ou tout étudiant de l’Université de Moncton dont la thèse (de type recherche) de maîtrise ou de doctorat a été complétée entre le 1er septembre 2014 et le 31 août 2015 est admissible à ce prix et tous les domaines d’études sont considérés.

Un jury pluridisciplinaire composé de chercheuses et chercheurs, y compris d’une étudiante ou d’un étudiant de cycle supérieur nommé par le conseil de la Faculté des études supérieures et de la recherche (FESR) fera l’étude des candidatures soumises. Les critères d’attribution du prix sont la qualité globale du travail, la rigueur scientifique et l’originalité.

Le Prix Vo-Van sera décerné lors des Journées des études supérieures et de la recherche (JESR) en mars prochain lors d’une séance publique avec une présentation du travail de recherche par la personne lauréate.

Le Prix Vo-Van ne sera pas décerné si le conseil de la FESR juge qu’aucune des candidatures soumises n’est méritante. Chaque faculté peut recommander une seule candidature par l’entremise de sa doyenne ou de son doyen.

Le Musée acadien de l’Université de Moncton organise son premier Marché de Noël qui aura lieu les 4 et 5 décembre de 10 heures à 17 heures. Plusieurs artisanes, artisans et artistes seront présents. On y trouvera des cartes de Noël, des bijoux, de la peinture sur porcelaine, des peintures sur toiles et tissus et, entre autres, des tricots.

La boutique du Musée acadien sera ouverte afin que vous puissiez faire vos achats de livres pour vos proches en cette période des Fêtes. Redécouvrez la boutique du Musée acadien qui offre des livres d’histoire, des t-shirts, des œuvres sur papier, des affiches historiques et diverses cartes de souhaits.

De plus, le samedi, l’atelier de décorations de Noël sera présenté pour la quatrième année. Animé par Pascale Arseneau, l’atelier plaira aux petits et grands qui pourront créer des décorations avec les nombreux matériaux à leur disposition. Cette année, les décorations seront faites principalement à partir de laine, de bâtons et de morceaux de tissus.

Les salles d’expositions seront ouvertes lors du Marché de Noël. L’entrée est libre.

Renseignements : (506) 858-4088.

Le jeudi 3 décembre, un groupe d’étudiantes et d’étudiants inscrits aux cours d’allemand à l’Université de Moncton organise la troisième édition du Marché de Noël allemand au campus de Moncton. L’activité, qui se tiendra au Centre étudiant de 16 heures à 20 heures, regroupera des marchands locaux, le tout dans une ambiance festive typique, telle qu’on la retrouve dans les marchés traditionnels en Allemagne et ailleurs en Europe.

En tout, plus d’une quinzaine de kiosques seront présents au Marché de Noël allemand. Le Marché de Noël propose entre autres des spécialités culinaires, des idées cadeaux et de l’artisanat. Venez en grand nombre déguster un Glühwein (vin chaud) accompagné d’une pâtisserie allemande, ou encore une bonne bière allemande accompagnée d’un bretzelé. L’entrée est libre.

Le Weihnachtsmarkt (Marché de Noël) est une activité de levée de fonds pour ce même groupe qui organise un voyage d'études en Allemagne et en Autriche au mois de mai prochain. Au cours de ce voyage, une quinzaine d'étudiantes et d’étudiants présentement inscrits aux cours d'allemand à l'Université de Moncton auront la chance de pratiquer la langue de Goethe en visitant, entre autres, les campus de deux universités germanophones avec qui l'Université de Moncton a récemment signé de nouvelles ententes d'échange, à savoir la Otto-Friedrich-Universität de Bamberg en Bavière et la Karl-Franzens-Universität de Graz en Autriche.

Pour plus de renseignements, prière de communiquer avec le professeur d'allemand, Michel Mallet : michel.mallet@umoncton.ca.

Le Comité mieux-être universitaire (CMU) invite les membres de la communauté universitaire à assister à un atelier portant sur le stress saisonnier, le vendredi 4 décembre, de midi à 13 heures dans le local 010 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton.

C’est le temps des Fêtes, mais, ironiquement, c’est aussi le moment de l’année le plus occupé. Des études démontrent les conséquences nocives des excès de table, des dépenses excessives et d’un stress élevé durant et après la période des Fêtes. Ce séminaire enseigne aux participantes et aux participants des stratégies très simples qui leur permettront de conserver leurs énergies durant ce temps de réjouissance. Ils recevront de précieux conseils pour améliorer leur sommeil et leurs habitudes alimentaires ainsi que des renseignements sur l’importance de maintenir une attitude positive au cours de cette période stressante.

On peut s’inscrire à cet atelier offert par la compagnie Morneau Shepell à l’adresse http://doodle.com/poll/qvdpmxp6i65ywp47. Renseignements : cmu@umoncton.ca.

Étudiant de guitare en toisième année d'interprétation, Xavier Richard présentera des oeuvres de Luys de Narváez, Alonso Mudarra et la merveilleuse suite des châteaux d'Espagne de Federico Moreno Torroba, lors d’un récital qui aura lieu ce vendredi 4 décembre à 19 heures.

L’entrée est libre à ce récital présenté dans la salle Neil-Michaud, au pavillon des Beaux-arts du campus de Moncton.

Artiste et professeure de didactique des arts visuels à la Faculté des sciences de l’éducation, Lise Robichaud présente une exposition de ses œuvres à la galerie d’art du Centre des arts et de la culture de Dieppe.

Cette exposition présentée en collaboration par deux artistes, Lise Robichaud, de l’Acadie, et Mana Rouholamini, une artiste de l’Ontario originaire de Téhéran, s’inspire du thème de l’eau.

Originaire de Caraquet, Lise Robichaud demeure à Moncton et son projet explore le concept d’eau sous l’angle de la « dérive ». Elle s’inspire de mémoires intimes, sociales et écologiques. Ses œuvres picturales sont accompagnées d’extraits de poèmes qu’elle a sélectionnés à partir d’un des livres de l’écrivain acadien Raymond Guy LeBlanc.

L'artiste ontarienne, d'origine iranienne, Mana Rouholamini, présente des triptyques dans lesquels elle explore les liens entre l'objet folklorique de la langue Persane, « la pierre de patience », et l'eau, comme matière rétentrice de souvenirs.

Cette exposition proposée par le Centre des arts et de la culture de Dieppe est en montre jusqu’au 29 janvier.

Renseignements : lise.r.robichaud@umoncton.ca, (506) 858-4461.

La classe de quatrième année du Département d’art dramatique de l'Université de Moncton présentera son premier exercice public de l'année du mercredi 2 décembre au dimanche 6 décembre. La pièce Traces d’étoiles de Cindy Lou Johnson sera présentée à 20 heures au studio-théâtre La Grange.

L’auteure fait partie de la nouvelle génération d'écrivains dramatiques américains et ses pièces sont régulièrement jouées à Broadway. Elle vit aujourd’hui en Californie, où elle travaille également comme scénariste. La pièce, écrite en 1989, a été jouée en français pour la première fois en 1992 au théâtre de Quat'sous, à Montréal, grâce à la traduction de Maryse Warda qui a connu par la suite un succès important au Québec.

On a dit de Traces d’étoiles qu’il s’agit d’une merveille d’écriture produisant de grands personnages à la fois intenses et humoristiques avec une grande attention à chaque réplique écrite avec grande attention.

Cependant, le vrai tour de force accompli par l’auteure avec cette pièce provient du fait que sur fond dramatique, elle construit une action pleine d’humour qui atteint des moments de drôlerie irrésistibles. Le suspense, l’amour, le drame et la comédie tissent cette pièce magnifique qui ne manquera pas de vous captiver.

La pièce « Traces d’étoiles » sera interprétée par l’étudiante Stacey Arsenault et le diplômé Nicolas Dupuis dans une mise en scène de la professeure Marcia Babineau. La scénographie du spectacle est signée par le professeur Alain Tanguay et la conception des éclairages et de l’environnement sonore par le professeur Justin Gauvin. Ricky Frenette, étudiant en musique, signe la conception musicale.

L’entrée est de 5 $ pour les étudiantes et les étudiants et de 15 $ pour les autres personnes. Les billets sont en vente à la Librairie acadienne ainsi qu’au guichet du théâtre avant chaque représentation.

Le samedi 5 décembre à 19 heures, le Département de musique de l’Université de Moncton présente un concert du guitariste Miodrag Zerdoner.

Ce récital exceptionnel comprendra des œuvres majeures de J.S. Bach, S.L. Weiss, N. Coste et J. Rodrigo. C'est un programme qui apparaît sur son tout nouveau disque et qui sera offert en exclusivité au public de Moncton qui bénéficiera donc de son lancement en Atlantique.

Miodrag Zerdoner est un des plus flamboyants virtuoses de sa génération et gagne de jour en jour une notoriété internationale. Il accumule les prix et distinctions tout en se produisant dans différents pays et en enregistrant ses disques qui font déjà office de référence. Miodrag est en outre professeur de guitare à l'École du Bas Saint-Laurent à Rimouski au Québec.

L’entrée est de 5 $ pour les étudiantes et les étudiants et de 10 $ pour les autres personnes.

Renseignements : https://www.facebook.com/events/123408891359790/

La Galerie du 2e du Centre culturel Aberdeen de Moncton présente jusqu’au 29 janvier l’exposition de sculptures « Métamorphoses et mutations » qui regroupe le travail récent de six jeunes artistes du programme d’arts visuels de l’Université de Moncton.

L’exposition des artistes Paryse Daigle, Julie-Pier Friolet, Chloé Gagnon, Émilie Grace Lavoie, Marcel LeBlanc et Philip Mallory porte sur des thèmes de la sculpture actuelle.

Pour les coordonnateurs de l’exposition, André Lapointe, professeur titulaire, et Jacques Lanteigne, chargé de cours, au Département des arts visuels de l’Université de Moncton, les œuvres présentées sont actuelles dans les thématiques qu’elles exploitent. « L’époque dans laquelle nous vivons est ponctuée par les changements génétiques sur les plantes, les animaux et les humains. Parallèlement nous n’avons jamais autant transformé notre corps : tatouage, body building, chirurgie plastique, cure d’amaigrissement, épilation. Une question se pose. Dans quel type de véhicule la vie humaine verra son expansion dans l’avenir?

La galerie du 2e étage est ouverte du lundi au vendredi, de 9 heures à 21 heures, ainsi que le samedi de 10 heures à 16 heures. Cette exposition est rendue possible grâce à l’appui de la Ville de Moncton, du Département des arts visuels de l’Université de Moncton et de la Province du Nouveau-Brunswick.

Renseignements : André Lapointe, 858-4375 ou Jacques Lanteigne, 858-4026.

Le joueur de hockey Alex Saulnier, des Aigles Bleus de l’Université de Moncton, a été nommé au sein de l’équipe étoile de Sport interuniversitaire canadien (SIC) qui disputera une série de deux matchs hors-concours.

Les deux rencontres auront lieu au Centre MasterCard de Toronto le samedi 12 décembre à 19 h 30 HE et le dimanche 13 décembre, à midi HE. Ces rencontres se dérouleront en vue de la préparation de l’équipe nationale junior pour le 40e Championnat mondial junior de l’IIHF en Finlande, du 26 décembre 2015 au 5 janvier 2016.

La formation de 23 joueurs de SIC, dont 20 possèdent l’expérience de la Ligue canadienne de hockey (LCH), pour la série inclue 11 vedettes de la conférence de Sports universitaires de l’Ontario (SUO) en plus de six chacune pour SUA et Canada-Ouest.

« Je suis honoré de porter les couleurs de SIC et de représenter l’Université de Moncton dans le cadre de cette série, a dit Alex Saulnier. C’est excitant d’avoir été choisi dans une équipe nationale comme celle-là. Je suis cependant un peu déçu que mon frère Allain n’ait pu y prendre part. »

Saulnier avait joué avec la formation de la Ligue de hockey junior majeur du Québec, dans la super série face à la formation Russe, lors d’un match à Saint-Jean, il y a quelques années. L’étudiant athlète originaire de Cap-Pelé est le quatrième meilleur pointeur du SUA avec 12 buts et 10 passes pour 22 points en 15 rencontres.

« Je suis heureux pour Alex. Il a été un de nos meilleurs joueurs cette saison, a dit l’entraîneur Serge Bourgeois. Il a l’habitude de travailler fort et ce sera une très belle expérience pour lui. C’est une chance en or de jouer avec et contre certains des meilleurs joueurs au Canada. »

Les joueurs de hockey Alex Saulnier, de Cap-Pelé, et Amélie Dion, de Saint-Jean-Baptiste, au Québec, sont les athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed pour la période du 23 au 29 novembre 2015.

Le joueur de centre Alex Saulnier a été efficace lors des deux parties des Aigles Bleus, au hockey masculin, face aux Varsity Reds. Il a récolté un but et deux passes lors de la victoire de mercredi. Il a pris cinq lancers dans les deux matchs et a remporté 20 des 36 mises au jeu. Il détient le quatrième rang des pointeurs de SUA avec 12 buts et 10 passes pour 22 points en 15 parties. Il est étudiant à la Maîtrise en administration des affaires.

Amélie Dion est joueuse de centre et elle a marqué deux buts, incluant le but gagnant, dans la victoire des Aigles Bleues contre les Tommies, vendredi. Elle terminé la partie à +1 avec cinq lancers au but. Elle est étudiante au Baccalauréat en éducation.