L’Université de Moncton a procédé le 8 février au lancement de son programme de formation par compétences de baccalauréat en science infirmière et à l’inauguration des nouvelles salles d’enseignement par simulation au pavillon Jacqueline-Bouchard du Campus de Moncton.

Le recteur, Yvon Fontaine, a profité de l’occasion pour remercier les gouvernements provincial et fédéral pour leur appui financier dans la reconfiguration du programme réseau de baccalauréat en science infirmière, la refonte du programme de maîtrise pour infirmière ou infirmier praticien et la modernisation des infrastructures. « La réalisation de ce projet d’envergure qui vise l’excellence dans la formation en français des infirmières et infirmiers cadre très bien dans nos objectifs, dit-il. En effet, la santé est l’un des axes prioritaires de développement pour notre institution».

Présente lors du lancement, Martine Coulombe, ministre de l’Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail, a rappelé l’engagement du gouvernement du Nouveau-Brunswick envers la formation en santé. « La contribution financière du gouvernement démontre notre engagement face à l’éducation de nos futurs intervenantes et intervenants en santé. Le programme de formation par compétences élaboré par l’Université de Moncton permet un meilleur apprentissage qui tient compte de l’évolution de la profession et des besoins en santé.»

La somme de 1 725 000 dollars investie par le gouvernement provincial a été répartie comme suit : 1 200 000 $ ont permis de moderniser les infrastructures; 275 000 $ ont servi à la modification et à la reconfiguration du programme réseau de baccalauréat en science infirmière; et 250 000 $ ont été investis à la refonte du programme de maîtrise pour infirmière ou infirmier praticien.

Le recteur Fontaine a également tenu à souligner l’important soutien financier du Consortium national de formation en santé (CNFS), accordé par le gouvernement du Canada dans le cadre du Programme de contribution pour améliorer l’accès aux services de santé dans les collectivités de langue officielle en situation minoritaire.

Rappelons que le CNFS a accordé la somme de 2 851 393 $ pour le programme de baccalauréat en science infirmière et de 773 677 $ pour le programme de maîtrise en science infirmière (infirmière ou infirmier praticien). Cette contribution s’échelonne sur la période de 2008 à 2013. De plus, des fonds additionnels de Santé Canada s’élevant à 1 428 205 $ ont été versés depuis 2006 pour l'achat d'équipement et la modernisation des laboratoires de l'École réseau de science infirmière.

La directrice de l’École réseau de science infirmière, Sylvie Robichaud-Ekstrand, a pour sa part expliqué les avantages du programme de formation par compétences qui privilégie l’apprentissage par situations infirmières cliniques (SIC).

« Chaque cours théorique en science infirmière est constitué de situations infirmières cliniques, de capsules théoriques et d’enseignement par simulation, souligne-t-elle. Avec la reconfiguration du programme réseau de baccalauréat en science infirmière, les stages cliniques débutent dès l’automne de la première année.Les évaluations des apprentissages et du développement des compétences s’effectuent dans l’action, entre autres, par l’entremise de situations infirmières cliniques simulées et variées, reproduites par des mannequins hautement informatisés ou par des acteurs. Au terme du programme, l’étudiante ou l’étudiant est en mesure d’appliquer une démarche infirmière dans diverses situations de santé tout en faisant preuve d’un jugement clinique appuyé sur des données concluantes ».

Soutenue par des infrastructures à la fine pointe de la technologie, cette nouvelle approche permettra à l’Université de Moncton de mieux répondre aux exigences des corps d’agrément de programmes en science infirmière et d’assurer une formation encore mieux adaptée aux besoins du système de santé du Nouveau-Brunswick.

Renseignements : Sylvie Robichaud-Ekstrand, au 858-4779.

Le Chœur Neil-Michaud rendra hommage à Yvon Fontaine, recteur et vice-chancelier de l’Université de Moncton, lors de son Bien-cuit annuel qui aura lieu le samedi 30 avril à l’hôtel Delta Beauséjour de Moncton.

« Le Chœur Neil-Michaud souhaite rendre hommage à M. Fontaine sur le ton de l’humour et du rire tout en soulignant la contribution exceptionnelle de celui qui a travaillé avec une énergie particulière pendant sa carrière comme doyen, vice-recteur et recteur de l’Université de Moncton au bien-être des étudiants et des étudiantes, tant sur le plan académique que social et sportif » estime Conrad Coughlan, président du CNM.

Il s’agit du 6e Bien-cuit organisé par le CNM pour rendre hommage à des personnalités qui ont consacré leur vie à la promotion du fait français et de la culture acadienne et francophone.

Des personnes chevronnées ont accepté avec empressement de lui rendre hommage. Il s’agit du Dr Jeannot Castonguay, d’Edmundston, ancien président du Conseil des gouverneurs de l’Université de Moncton; Dominique Fontaine, au nom de la famille Fontaine; Jean-Marie Nadeau, un ami de longue date; et Neil Boucher, vice-recteur à l’enseignement et à la recherche.

M. Fontaine est le premier diplômé de l’Université de Moncton qui, après avoir obtenu le baccalauréat en science politique et le baccalauréat en droit, a gravi successivement les échelons pour devenir professeur de droit, vice-doyen, doyen, directeur du Bureau des relations internationales, vice-recteur à l’enseignement et à la recherche, et depuis l’an 2000, recteur et vice-chancelier de son Alma Mater. Depuis l’année dernière également, M. Fontaine est président de l’Agence universitaire de la francophonie.

Lors de ce Bien-cuit, le CNM souhaite lui rendre un hommage pleinement mérité pour ses efforts soutenus, non seulement pour le rayonnement de l’Université ici et à l’extérieur de nos frontières, mais plus particulièrement pour l’objectif que poursuit le Fonds de bourses Neil-Michaud.

En effet, ce Bien-cuit coïncide avec le 20e anniversaire du Fonds de bourses Neil-Michaud créé par les anciens choristes de Neil Michaud et dont les intérêts servent à octroyer des bourses d’études à des étudiantes et étudiants inscrits en musique à l’Université de Moncton. L’objectif est de verser une partie importante des profits de cette soirée à ce Fonds, un secteur de l’Université qui est considéré comme un fleuron de l’Acadie et qui a contribué largement à la faire connaître à l’échelle nationale et internationale. Depuis sa fondation, plusieurs bénéficiaires font une carrière remarquée dans le domaine de la musique.

Les billets sont en vente (90 $ par personne avec un reçu pour usage fiscal de 40 $, ou encore 85 $ avec un reçu pour usage fiscal de 35 $ par personne pour une table de 8 ou de 10 personnes) auprès des personnes suivantes : Gilles G. Nadeau, nadeaugg@nb.sympatico.ca, au 383-1811; Conrad Coughlan, ccoughlan1990@rogers.com, au 384-1990, Martin Waltz, martin.waltz@xplornet.ca, au 372-5386, Bernard Poirier, bernpoir33@hotmail.com, au 383-4421 ou à la Librairie acadienne, au 858-4140, libacadienne@umoncton.ca.

Dans le cadre des midis-politiques, Leyla Sall, du Département de sociologie, prononcera une conférence, intitulée « Les champs commerciaux sénégalais en région parisienne », le mercredi 23 février, de midi à 13 h 15, dans le local 436 du pavillon Léopold-Taillon au Campus de Moncton.

Cette causerie est organisée par le Département de science politique et le Centre Métropolis atlantique.

Renseignements : Chedly Belkhodja, au 858-3749.

La 3e édition de la Journée de recherches interdisciplinaires en santé (JRIS) à la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires de l’Université de Moncton aura lieu le vendredi 18 mars et sera l’occasion pour des échanges scientifiques enrichissants entre le monde clinique et académique.

Le programme de cette journée s’adresse au corps professoral, aux chercheurs et chercheuses, cliniciens et étudiants, de même qu’à tous ceux et celles qui s’intéressent à la recherche dans le domaine de la santé. Cette journée de réflexion permettra d’avoir un regard interdisciplinaire sur les problèmes actuels cliniques et communautaires en santé.

La mise en place du programme de cette journée est rendue possible grâce à une contribution de la Fondation de la recherche en santé du Nouveau-Brunswick, de la Faculté des études supérieures et de la recherche, de la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires, du Consortium national de formation en santé - volet Université de Moncton, du Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick, de la Banque Nationale du Canada et des entreprises Jaccar Inc, Ford’s Apothecary.

Voici le programme proposé :

8 h 30 - accueil des participants : salle 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard.

9 h - mot de bienvenue : Sarah Pakzad, responsable de la JRIS, Université de Moncton; inauguration de la journée : le recteur, Yvon Fontaine.

9 h 15 – conférence : Deborah O'Leary-Mayers, « Cardiovascular disease in children », Brock University.

9 h 45 - conférence : Abdelouahed Khalil, « Athérosclérose et vieillissement : rôle de la paraoxonase1 dans la protection cardiovasculaire », Université de Sherbrooke.

10 h 15 - Salaheddine El Adlouni, « Maladies ischémiques cardiaques : évaluation des effets du climat sur la morbidité », Université Laval.
10 h 30 - Sohrab Lutchmedial, « Clinical Research Trials », New Brunswick Heart Centre Research.

11 h - Michel Johnson, « Réadaptation cardiaque dans le monde réel et simulé », Université de Moncton.

11 h 15 - Mohamed Touaibia, « Produits naturels, sources d’inspiration pour la conception de nouvelles molécules bioactives », Université de Moncton.

11 h 30 – conférence : Roger Farley, Santé Canada : « Activités et contributions, Santé Canada ».

12 h - Repas dans la salle 010 du pavillon Jacqueline-Bouchard.
Session d’affichage (toute la journée).

13 h 15 - Conférence : Ronald Bourgeois, « La recherche clinique en cardiologie : comment s'y prendre au Nouveau-Brunswick ? » Moncton City Hospital, salle 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard.

Atelier (salle 164 du pavillon Jacqueline Bouchard)

Adam Sherk, « Les données de Statistique Canada sur la santé des populations du N.-B. », Statistique Canada.

14 h - volet 1 (salle 163 Jacqueline-Bouchard) - président de la session : John Tivendell, Université de Moncton; volet 2 (salle 010 Jacqueline-Bouchard), présidente de la session : Anne Paulin, vice-doyenne de la FSSSC, Université de Moncton.

14 h 15 - Gilles Robichaud, « Sur la piste des régulateurs génétiques du cancer », Université de Moncton ; et Isabelle Arseneault, « Activités et contributions de la FCANB », Fédération des citoyens aînés du N.-B.

14 h 30 - Richard Dumais, « Effets de la prolothérapie sur la fonction et la douleur chez des patients atteints d’ostéoarthrite du genou », hôpital Georges-L.-Dumont; et Suzanne Dupuis-Blanchard, « Le mieux-être des aînés vivant en communautés francophones minoritaires », Université de Moncton.

14 h 45 - Alain Blinn, « Effet d’infusion de colloïde chez la mère sur le poids de nouveau-nés accouchés par césarienne », hôpital Georges-L.-Dumont ; et Said Bergheul, « La délinquance auto-rapportée : Une étude sur une population de jeunes au N.-B. », Université de Moncton.

15 h - Dina Chiasson, « Le dépistage du diabète de type 2 et du prédiabète : essai d’un questionnaire conçu au Canada dans une communauté francophone », hôpital et CSC de Lamèque ; et Horia-Daniel Iancu, « Utiliser des photographies afin de déterminer les préférences en activité physique chez les élèves de la maternelle à la 5e année », Université de Moncton.

15 h 15 - Odette Gould, « Où trouver ses soins : La perception du rôle de télésoins, les cliniques après-heures et les services d’urgence chez les jeunes et moins jeunes », Mount Allison University, et Josée Nadeau, « L’impact de la mal nutrition sur la santé psychologique des adolescents au N.-B. », Université de Moncton.

15 h 30 - Nancy Black, « Quantification des bénéfices relatifs associés à différents styles de claviers et de dispositif de pointage », Université de Moncton, et Guy Leboeuf, « Grandeur et misère de l’estime de soi », Université de Moncton.

15 h 45 - Charlotte L’Heureux-Lemieux et Florence Ott, « L’interdisciplinarité comme processus d’apprentissage au Campus de Shippagan. Un partenariat suscitant le débat entre les étudiants en sciences infirmières et en gestion de l’information, est-ce possible? », Université de Moncton, et Nathalie Boivin, « Santé, ruralité et analphabétisme : des liens à comprendre pour une intervention améliorée », Université de Moncton.

16 h - Plénière : salle 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard - Lise Dubois, doyenne de la FESR, Université de Moncton.

16 h 15 - mot de la fin : Paul Bourque, doyen de la FSSSC, Université de Moncton.

16 h 30 - réception du doyen de la FSSSC au pavillon Jacqueline-Bouchard.

Pour assister à cette journée, il faut s’inscrire soit par téléphone au 858-4864 (heures de bureau), soit par courriel à udem.jris@gmail.com. L’inscription est sans frais mais obligatoire et la date limite pour le faire est le 15 mars.

Les pauses-café et le repas du midi seront offerts à titre gracieux.

Une attestation de présence sera remise sur place à ceux et à celles qui le désirent, de même que des billets de stationnement pour ceux et à celles qui le souhaitent. Renseignements : udem.jris@gmail.com

Roger Roy, forestier agréé et professeur titulaire à la Faculté de foresterie du Campus d'Edmundston, est le nouveau président de l'Association des forestiers agréés du Nouveau-Brunswick (AFANB).

Membre depuis 1986, il a toujours été très actif au sein de cette association professionnelle. Il a siégé au Bureau des examinateurs de 1992 à 1994, au Comité de direction comme conseiller de 1998 à 2000 et en 2009, et aussi à divers autres comités au fil des ans.

Élu à la vice-présidence en 2010, il occupe le poste de président pour une année et agira comme président sortant en 2012. Sa nomination a été confirmée à l'assemblée générale annuelle de l'AFANB qui a eu lieu à Fredericton. Les objectifs de l'AFANB sont de transmettre au grand public la compétence et l'intégrité des forestiers agréés dans l'exercice de leur profession et leur éthique professionnelle, et d'améliorer l'exercice de la foresterie dans notre province.

Pendant son mandant à la présidence de l’AFANB, le professeur Roy a l'intention de consacrer beaucoup d’énergie à la création d'une nouvelle association, soit l'Association des professionnels de la foresterie du Nouveau-Brunswick (APFNB). Cette association regroupera les membres de l'actuelle AFANB ainsi que les membres de l'Association des techniciens forestiers du Nouveau-Brunswick (ATFNB), soit tous ceux et celles qui ont une formation technique et professionnelle en foresterie et qui œuvrent ensemble pour assurer la protection des intérêts du public en ce qui a trait à la bonne gestion de nos forêts publiques et privées.

Comme c'est le cas pour les membres actuels de ces deux associations, les membres de la nouvelle association devront adhérer à un code de déontologie dans l'exercice de leur profession, et s'engager à la formation continue pour assurer le maintien et l'amélioration de leurs compétences dans ce domaine en constante évolution. Des associations regroupant des forestiers ayant une formation de niveau universitaire et des techniciens et technologues forestiers ayant une formation de niveau collégial existent déjà en Colombie-Britannique et en Saskatchewan.

Le professeur Roy travaille depuis plusieurs années sur ce dossier avec des membres de l'AFANB et de l'ATFNB et le projet est déjà bien avancé. Dans les prochaines semaines, le projet de loi qui créera cette nouvelle association sera présenté aux membres des deux associations actuelles pour approbation. Par la suite, il sera présenté à l'Assemblée législative du Nouveau-Brunswick et sa promulgation donnera naissance à la nouvelle association.

Originaire de Campbellton, le professeur Roy est aussi propriétaire d'un lot boisé dans le nord-ouest du Nouveau-Brunswick, ainsi que membre fondateur, administrateur au conseil d'administration et secrétaire du comité de direction de la Coopérative forestière du Nord-Ouest (CoFNO), un nouvel organisme qui vise la gestion durable des lots boisés privés. Sur la scène provinciale, il a récemment été membre du Groupe de travail sur la diversité forestière et l'approvisionnement en bois, et est actuellement membre du Comité consultatif scientifique pour les zones naturelles protégées du Nouveau-Brunswick et du Comité consultatif provincial sur la forêt du ministère des Ressources naturelles.

À l’initiative du conseil étudiant du Département d’économie de l’Université de Moncton, Yanick Desnoyers, économiste en chef adjoint – économie et stratégie à la Financière Banque Nationale, a prononcé une conférence portant sur les perspectives économiques en 2011 en présence d’une cinquantaine de personnes lors de son passage au Campus de Moncton.

La région de Moncton connaît cette année un hiver plutôt difficile avec une accumulation de neige assez importante, ce qui pose certains problèmes dans les parcs de stationnement du Campus de Moncton.

Le Service de sécurité reçoit de plus en plus de plaintes chaque jour puisque certains automobilistes ne respectent pas toujours la bonne façon de garer leur véhicule.

Par respect pour les autres, on vous demande de porter une attention toute particulière à la manière dont vous garez votre véhicule, car les lignes de démarcation indiquant les aires de stationnement ne sont pas toujours visibles à cause de la neige et de la glace. Vous pouvez néanmoins vous guider sur les îlots à l’entrée d’un terrain de stationnement ou encore sur les lampadaires.

Si le Service de sécurité doit déplacer un véhicule qui en empêche un autre de sortir, les frais occasionnés seront à la charge du propriétaire. On demande à tout un chacun de faire preuve de bonne volonté et on vous remercie de votre bonne compréhension.

La Fondation franco-acadienne pour la jeunesse (FFAJ) invite les jeunes Acadiens et Acadiennes à poser leur candidature pour l’obtention d’une bourse de stage en France. Organisme sans but lucratif dont le mandat principal est la promotion d’échanges entre jeunes de la France et de l’Acadie, la FFAJ offre cette année une bourse d’une valeur de 2 000 $ par l’entremise d’un stage de formation.

Pour être admissible à cette bourse, la personne candidate doit être de langue française, être citoyen canadien, vivre dans les provinces atlantiques depuis au moins trois ans, être âgé entre 18 et 30 ans, démontrer la capacité d'entreprendre le stage avec maturité, posséder au moins une année d'études postsecondaires, posséder au moins une année d'expérience dans son domaine de travail, et soumettre un rapport écrit à la suite du projet.

Veuillez noter qu’aucune restriction n’est imposée quant au domaine du stage envisagé. Toutefois, la durée du stage doit être de deux à quatre semaines. Le ou la stagiaire est responsable de faire les contacts nécessaires et de définir les modalités de son stage.

La responsabilité de l'organisation du stage repose sur le ou la stagiaire. Les personnes désirant soumettre leur candidature doivent remplir un formulaire de stage disponible sur le site Web de la SNA à l'adresse Internet ci-dessous.

Toute candidature doit être expédiée à la FFAJ au plus tard le vendredi 15 avril.

Renseignements : 853 4253, romain.blanchard@snacadie.org

Le drame français « Mères et filles », mettant en vedette Catherine Deneuve et Marie-Josée Croze, sera à l'affiche au Ciné-Campus, le jeudi 17 et vendredi 18 février à 20 heures dans l'amphithéâtre 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard.

Mères et filles (2009, 105 minutes)
Audrey est de passage en France pour rendre visite ses parents. Séjournant dans la demeure des grands-parents, elle retrouve un livre de recettes qui fait également office de journal intime. La tentation est forte : Audrey veut savoir pourquoi sa grand-mère Louise a, du jour au lendemain, abandonné son mari et ses enfants pour disparaître sans jamais laisser de traces.

Le Ciné-Campus est présenté par le Service des loisirs socioculturels. Les billets sont en vente à l’entrée à compter de 19 h 30 le jour de la présentation du film, 5 $ pour les étudiants et 7 $ pour les autres.

Ciné-Jeunesse
Ciné-Jeunesse présente « Histoire de jouets 3 », le dimanche 20 février à 13 heures dans l'amphithéâtre 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard.

Alors qu'Andy s'apprête à partir pour l'université, ses anciens jouets se demandent ce qui va leur arriver. Idéalement, ils prendraient leur retraite, tous ensemble dans le grenier. Toutefois, à cause d'une erreur, ils sont forcés de se réfugier dans une garderie où ils tombent sur un ours en peluche tyrannique. Sous l'insistance de Woody, tous les jouets s'unissent afin de quitter la garderie au plus vite. (Animation - 1 heure 43minutes - 2010).

Les billets sont en vente à l’entrée dès 12 h 30 le jour de la présentation du film. Ciné-Jeunesse est également une présentation du Service des loisirs socioculturels, en collaboration avec le district scolaire 1.

Rendez-vous de l’ONF en Acadie
Les Rendez-vous de l'ONF présentent le lundi 21 février, « Les chevaliers d’Orlando », de la réalisatrice Jelena Popović (2007, 50 minutes).

D’anciens combattants impliqués dans les conflits serbo-croates pendant le siège de la ville de Dubrovnik en 1991 et 1992 (Croatie) exorcisent leurs peurs et les séquelles de cette terrible époque en jouant au paintball dans les ruines de l’Hôtel Orlando. Les balles de kalachnikovs ont fait place aux balles de peinture mais les blessures invisibles sont toujours à vif.

Le court métrage « Les journaux de Lipsett », du cinéaste Theodore Ushev et narré par Xavier Dolan (2010, 14 minutes), précédera la projection principale. « Les Journaux de Lipsett » est en nomination pour un prix Jutra 2011 dans la catégorie Meilleur film d'animation.

Les projections débutent dès 19 heures dans l'amphithéâtre 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard. L’entrée est libre.

Sous le titre « L’intelligence économique, un modèle à découvrir », la section Recherche de la revue spécialisée Argus de la Corporation des bibliothécaires professionnels du Québec publie dans son dernier numéro une étude réalisée par Monica Mallowan, professeure en gestion de l'information au Campus de Shippagan.

L’article porte sur le concept d’intelligence économique tel que lancé par l’École de pensée française, ainsi que sur l’analyse de ses éventuelles manifestations dans la Francophonie canadienne.

La campagne de recrutement des étudiants et étudiantes-mentors pour la prochaine année universitaire prendra fin prochainement.

Les personnes intéressées à devenir un mentor sont priées de faire parvenir avant 16 h 30 le 24 février, leur curriculum vitae, ainsi qu’un texte de motivation à la coordonnatrice du programme de mentorat étudiant au Campus de Moncton, Chantal DeGrâce à l’adresse mentorat@umoncton.ca.

Pour être admissible, il faut être inscrit en deuxième année ou plus à un programme d’études de premier cycle à temps complet. Les critères de sélection portent notamment sur une bonne connaissance de la vie universitaire, de bons résultats académiques, la maîtrise de la langue française et une présence au campus pendant toute l’année universitaire.

Les plus grandes qualités recherchées chez les mentors sont le leadership et le sens de l'organisation, de l’entregent ainsi que de bonnes habiletés de communication.

L’étudiant ou l’étudiante-mentor reçoit une bourse d’une valeur de 1 000 $. De plus, il reçoit une formation individuelle portant sur les compétences essentielles au marché du travail.

Le bassin versant de la baie de Caraquet se trouve à quelques kilomètres du Campus de Shippagan. Depuis les années 1990, plusieurs personnes s’impliquent dans une démarche de gestion intégrée de cet espace. L’objectif est d’assurer un développement viable du territoire.

En effet, plusieurs activités comme le tourisme, la pêche ou l’ostréiculture dépendent directement de la bonne santé écologique de l’écosystème. L’organisme gestion H2O est le pivot de cette démarche.

Dans le cadre du cours de gestion intégrée II, les étudiants finissants au baccalauréat en gestion intégrée des zones côtières de Shippagan mettent en commun leurs efforts pour « réactualiser » le plan de gestion intégrée du bassin versant de la baie de Caraquet fait en 2000.

L’exercice consiste à réaliser un portrait/diagnostique du territoire et de ses principaux enjeux. On demande aussi aux étudiants et étudiantes de réfléchir aux actions qui sont posées depuis la création de l’organisme de bassin versant, de s’interroger sur les effets de ces actions au plan de la gestion de cet espace, et de proposer des actions pour persévérer dans la voie de la gestion intégrée.

Cet exercice leur donne l’occasion de rencontrer plusieurs personnes impliquées dans cette démarche de gestion intégrée, chaque intervenant apportant son propre éclairage sur les enjeux sociaux et écologiques pour ce territoire. Grâce à cet exercice, les étudiants et étudiantes sont concrètement confrontés à la complexité de la gestion intégrée.

Lors du semestre d’automne, 19 étudiants et étudiantes de l’Université de Moncton ont fait le choix de vivre une expérience à l’international en faisant des études ou un stage soit en France, en Suisse, en Belgique, aux États-Unis, au Mexique et au Maroc.

Voici la liste des étudiants et étudiantes qui ont participé :

France (Université de Poitiers)
Claire Johnson, maîtrise en administration publique.

France (Université Jean-Moulin Lyon III)
Marc-André Gionet, administration; Astrée Goguen, administration; Mélanie LeBlanc, administration; Luisa Maute, arts; et Katarina McEvoy, information-communication.

France (stage de recherche à Poitiers)
André Gallant, génie mécanique.

Suisse (Université de Fribourg)
Jean-Daniel Boudreau, histoire; Lyne Boudreau, kinésiologie; Stéphane Melanson, sciences; Nicholas Robertson, administration.

Belgique – (stage pratique à Namur)
Véronique Lévesque, travail social, et Michelle Nowlan, travail social.

États-Unis (Western Kentucky University)
Caroline McGraw, administration.

Mexique (Universidad Panamericana)
Rachelle Gauvin d’Entremont, administration; Jean-François Landry, administration; Alya Nouasri, administration; et Laila Nouasri, administration.

Maroc (stage pratique à Rabat)
Julie Parent, travail social.

Renseignements : 858-4413, lucille.landry@umoncton.ca

Le Service des loisirs socioculturels du Campus de Moncton présente une soirée double plateau en compagnie de deux auteurs-compositeurs-interprètes du nord de la province, Pascal Lejeune et Danny Boudreau, le vendredi 25 février à 20 heures au Café-Campus situé au Centre étudiant. Les portes ouvriront à 19 heures et ce spectacle est réservé aux personnes de 19 ans et plus.

Danny Boudreau
Originaire de Petit-Rocher, Danny Boudreau est l'un des plus importants auteurs-compositeurs-interprètes en Acadie. Ayant cinq albums à son actif, il a notamment travaillé avec Wilfred LeBouthillier, Jean-François Breau, Roger Tabra et Pascal Lejeune. Il a donné des concerts partout dans la francophonie canadienne, dans plusieurs pays d'Europe et en passant par l'Afrique pour présenter sa musique à un public toujours grandissant.

Pascal Lejeune
Le talent d'écriture et de mélodiste de Pascal Lejeune en fait l'un des jeunes artistes les plus intéressants sur la scène francophone canadienne. Ce charmeur de foules a un style bien à lui – il est atypique et universel. Il a deux albums à son actif, « Adélaïde » en 2009, réalisé par Yves Desrosiers (Lhasa de Sela) et « Le Commun des bordels » en 2007.

Pascal Lejeune se présente en spectacle avec deux musiciens multi-instrumentistes (guitares, banjo, basse, accordéon, lapsteel, mandoline). Il a présenté près de 200 spectacles depuis 2007 partout au Canada, en France, en Belgique, en Suisse et en Slovénie. L’année dernière, il a présenté son spectacle aux Jeux olympiques de Vancouver.

Les billets sont en vente dans le réseau de billetterie du Grand Moncton (Centre étudiant du Campus de Moncton, Théâtre Capitol, théâtre l’Escaouette, Monument Lefebvre à Memramcook, Frank’s Music à Moncton et le Centre des arts et de la culture de Dieppe), 8 $ pour les étudiants et 15 $ pour les autres. Des frais de services s’appliquent.(858-4554). Veuillez noter que tous les spectacles offerts au Café-Campus sont dorénavant réservés aux personnes de 19 ans et plus.

Un séminaire-concert portant sur l'improvisation, organisé et animé par Dariush Zarbafian, en collaboration avec le Département de musique, aura lieu le samedi 19 février à 20 heures dans la salle Neil-Michaud de l’édifice des Beaux-arts au Campus de Moncton.

À l’aube de l’humanité, là où l’Homme commença ses activités subjectives et intellectuelles et bien avant qu’aucun système d’écriture ou de construction musicale ne voit le jour, la musique était purement improvisée.

La notion d’improvisation est une activité subjective qui produit et transmet des données et des renseignements non organisés et presque inconnus à un résultat organisé et conscient. Les règles et les systèmes musicaux se sont installés progressivement. Elle existe depuis des siècles dans presque toutes les cultures du monde. On sait qu’elle se fait dans plusieurs domaines tels que la musique, le théâtre et parfois la peinture.

Dans le passé dans certaines régions du monde, l’improvisation, qu’elle soit en musique ou en poésie, jouait un rôle très important. Dans beaucoup de pays (Iran, Inde, Chine, Japon et pays arabes), elle était considérée comme un art à part entière. Malheureusement, depuis plus d’un siècle, les conditions sociopolitiques ont changé et dans beaucoup de pays l’art de l’improvisation, en particulier la poésie, est mis à l’écart.

Dans certains pays, l’improvisation est parfois considérée comme méprisante, un art vulgaire et sans fondement. Au contraire dans certaines cultures elle est considérée comme sublime.

Dans quel état l’improvisateur se positionne-t-il ? Est-ce un état mystique ou le fruit d’un mécanisme créateur qui est capable de faire émerger et organiser les renseignements combinatoires et en faire une œuvre artistique ? Quel rôle socioculturel joue un artiste improvisateur dans le triangle : les données musicales – artiste – public ? Quel qu’il soit, le concept d’improvisation depuis quelques décennies est l’objet d’étude et de beaucoup de discussion entre les chercheurs et des artistes dans le monde entier.

Beaucoup de questions sont posées mais il reste une question principale et énigmatique : « Quel est vraiment l’état dans lequel un artiste improvise ? »; elle demeure très perplexe et mystérieuse.

Lors de cette soirée, on abordera les musiques telles que le jazz, la musique orientale en particulier, la musique persane (percussion et musique modale) et la musique classique.

Ce séminaire-concert sera enrichi par des intervenants tels que Richard Gibson, Roland et André Bourgeois (père et fils), Xavier Robichaud et l’Ensemble AVAHANG (Richard Gibson, Dariush Zarbafian, Michel Deschênes, Kevin Johnson et Joey Roy), et la participation de deux étudiants en ethnomusicologie, Richard Daigle et Christian Thibeault.

Le concept d’improvisation sera abordé sous deux aspects : théorique (modélisation de l’improvisation, improvisation mélodique et rythmique, le rapport entre l’improvisation et la composition, l’opposition entre l’improvisation et composition), et pratique (différents intervenants vont apporter leur contribution en donnant les exemples musicaux).

La soirée s’adresse à tous ceux et toutes celles qui s’intéressent à ce sujet. M. Zarbafian vous invite tous à participer à un débat pour enrichir ce séminaire.

Plus d'une vingtaine d'œuvres seront mises en vente par les étudiants et étudiantes en arts visuels et design intérieur lors d’un encan qui aura lieu le mercredi 23 février à 19 heures à la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen au Campus de Moncton. Il s'agit d'œuvres originales en peinture, en photographie, en estampe, en céramique et en sculpture.

Les portes ouvriront à 18 heures afin de permettre au grand public de voir les œuvres. Un goûter sera servi et le groupe Les Confitureurs divertira la foule avec sa musique folk/indie.

Lors d’un achat, le règlement pourra se faire en argent ou par chèque.
Venez encourager la relève artistique. Cette activité a le soutien de la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen.

Renseignements : Christine Brideau, au 864-5174, ecb6412@umoncton.ca
Jessica Arseneau, au 871-5441, jessicaarseneau@nb.aibn.com

Le Département de musique vous invite à assister au récital de l'ensemble de flûtes, accompagné de Nhat-Viet Phi au piano et des étudiants aux instruments de percussion, le vendredi 18 février à midi dans la salle Neil-Michaud du pavillon des Beaux-arts.

Au programme, vous pourrez entendre des oeuvres de Joseph Bodin de Boismortier, Friedrich Kuhlau, Felix Mendelssohn Barthody, Georg Philipp Telemann et Terry Riley.

L'entrée est libre. Bienvenue à tous et à toutes.

Le Service de l'activité physique et sportive de l'Université de Moncton a choisi les joueurs de hockey Mariève Provost, de Laval, au Québec, et Ian Girard, de St-Gédéon-de-Beauce, au Québec, comme athlètes Subway de la semaine pour la période du 7 au 13 février.

Mariève Provost est devenue la meilleure compteuse et pointeuse du hockey universitaire au Canada en fin de semaine en marquant cinq points lors des deux victoires des Aigles Bleues. Elle a récolté deux buts et a ajouté une aide samedi à Halifax face aux Huskies de Saint Mary's University, et deux aides dimanche contre les Tommies de St. Thomas University pour établir la nouvelle marque. Elle a 215 points à son actif (108 buts et 107 assistes) avec trois autres parties au calendrier ordinaire. L'ancienne marque était de 213 points établie en 2009-2010 (91 buts-122 aides). Elle est étudiante en kinésiologie.

Ian Girard a récolté deux buts lors de la partie de vendredi soir contre les X-Men et a très bien joué samedi contre les Huskies. Il en est à sa dernière saison d'admissibilité dans les sports universitaires. Il est étudiant en droit.

La hockeyeuse Mariève Provost, des Aigles Bleues de l’Université de Moncton, détient maintenant le record de points au hockey universitaire au Canada. Elle a obtenu deux aides dimanche dans une victoire de 4 à 3 des Aigles Bleues aux dépens des Tommies de St. Thomas University. Elle a maintenant 215 points en carrière, soit 108 buts et 107 aides.

« Je suis heureuse que ce soit terminé et que j’ai établi cette nouvelle marque à domicile devant nos partisans, a mentionné Provost après la partie. Je ne demandais rien de mieux. Je suis encore plus heureuse de la victoire et de notre préparation en vue du championnat du SUA. Avec ce point, la pression diminue. Je réalise toutefois que je n’aurais pu accomplir cet exploit sans mes deux coéquipières depuis des années, Valérie Boisclair et Kristine Labrie. »

Provost dit avoir été surprise de recevoir des fleurs et la rondelle des mains du recteur, Yvon Fontaine. « J’ai été très surprise et touchée, a-t-elle dit. Ce fut un moment tout à fait spécial pour moi. »

Même si ce record occupait toujours ses pensées, Mariève souligne qu’elle essayait de ne pas trop y porter attention. « Je préfère les objectifs d’équipe et j’ai toujours donné le meilleur de moi-même à chaque partie, ajoute-t-elle. Je suis venue étudier à l’Université de Moncton il y a maintenant cinq ans parce que je voulais étudier en français et que le programme de hockey était crédible. J’ai beaucoup appris de la culture acadienne et j’ai grandement apprécié mon moment de gloire. Maintenant, il faut se concentrer sur les dernières parties de la saison et sur le championnat du SUA. »

La gardienne Kathy Desjardins a souligné qu’elle a toujours apprécié jouer avec Provost. « Nous sommes très heureuses et c’est une fierté pour nous toutes de jouer avec elle, mentionne-t-elle. La pression peut maintenant retomber. C’est une excellente coéquipière et nous participerons au championnat de l’Atlantique ensemble. »

L’entraîneur Denis Ross a rendu hommage au numéro 55 en soulignant qu’elle contribue énormément au programme de hockey de l’Université de Moncton. « Je suis heureux pour elle, dit-il, et je la félicite pour ce record. Nous ne réalisons pas encore toute la portée de cet exploit mais nous y penserons dans cinq ou dix ans lorsqu’une autre joueuse tentera de le battre. Nous allons maintenant nous concentrer sur la fin de la saison et sur les séries éliminatoires. »