Monique Richard, professeure au Département de musique de la Faculté des arts et des sciences sociales de l’Université de Moncton, a été honorée par le YWCA de Moncton qui lui a remis le prix Femme de mérite dans la catégorie arts et culture.

« Cet honneur me fait vraiment chaud au cœur, souligne la professeure Richard. Mon travail, je le fais d’abord et avant tout par amour et par passion pour la musique et le chant choral, mais cette reconnaissance s’ajoute à la satisfaction que j’éprouve déjà à exercer mon métier. »

Professeure à l’Université de Moncton depuis 2004, Monique Richard a commencé sa carrière comme enseignante de musique avant d’occuper le poste d’agente pédagogique responsable de l’enseignement des arts et de l’animation linguistique et culturelle au niveau du district scolaire de la région.

Parallèlement à son enseignement au niveau scolaire puis à l’université, elle a toujours été impliquée dans la vie culturelle et musicale de la communauté, faisant d’elle une fervente ambassadrice de la langue et de la culture françaises. On connaît son succès comme directrice du Choeur Beauséjour qui a remporté plusieurs prix et qui a participé à différents festivals de musique à l’échelle régionale, nationale et internationale. Elle dirige aussi le chœur du Département de musique de l’Université de Moncton et le Chœur Louisbourg qui se spécialise en musique ancienne.

Fait intéressant à souligner, Monique Richard a également été honorée au gala du 40e anniversaire de l’école secondaire Mathieu-Martin de Dieppe alors qu’on a souligné le mérite de 40 personnes diplômées.

Les autres récipiendaires du gala du YWCA étaient Johanne Petitpas (communauté et bénévolat); Helen Macdonnell (santé et vie active); Michelle Carinci (affaires et professions); Sandra Foreman (éducation, formation et développement); Sylvie Lirette (organisme sans but lucratif et service au public); Estelle Lanteigne (Jeune femme de mérite) et Ruth Beers (Prix honorifique du YWCA).

Le YWCA offre une vaste plateforme de services communautaires dans le but de répondre aux besoins de sa clientèle par des approches d’autonomisation. L’organisation favorise le développement de diverses compétences, le soutien aux programmes de logement, des ateliers axés sur la prévention de la violence, le mentorat, le tutorat pour le développement de compétences académiques et le soutien pour les jeunes; des services légaux et des groupes de soutien (troubles de nutrition, deuil). Le YWCA Moncton gère également un centre de ressources et fournit des références aux autres organismes.

Le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) vient d’annoncer l’octroi d’une subvention de partenariat de 2,5 millions de dollars au cours des huit prochaines années à une équipe pancanadienne composée de chercheuses et chercheurs, de décideurs des trois ordres de gouvernement et d’organismes communautaires pour améliorer les politiques et pratiques permettant d’attirer, d’établir et d’intégrer les nouveaux arrivants dans les communautés partout au pays, en particulier dans les petites et moyennes villes.

Victoria Esses, professeure de psychologie et directrice du Centre de recherche sur les migrations et les relations ethniques à l’University of Western Ontario, est la chercheuse principale du projet, intitulé « Vers la prospérité ». Chedly Belkhodja, professeur au Département de science politique de l’Université de Moncton, participe à ce projet d’envergure nationale à titre de cochercheur et responsable du volet sur l’intégration des immigrants dans les communautés minoritaires francophones.

D’autres membres du corps professoral de l’Université de Moncton s’associent également à ce projet en tant que collaborateurs. Il s’agit d’Aïcha Benimmas, du Département d’enseignement au secondaire et des ressources humaines; Charles Gaucher, de l’École de travail social; Christophe Traisnel, du Département de science politique; Isabelle Violette, du secteur linguistique; Leyla Sall, du Département de sociologie; et Marie-Andrée Pelland, du Département de sociologie. De plus, cette initiative créera d’excellentes opportunités d’éducation et de formation pour les étudiantes et étudiants de l’Université de Moncton.

En tout et partout, ce partenariat compte sur la participation de plus de 180 collaborateurs provenant d’une bonne cinquantaine d’universités, ainsi que sur le soutien financier et en nature de plus de 100 partenaires issus des gouvernements et de la communauté. Les acteurs locaux participant à cette initiative incluent le Centre d’accueil et d’accompagnement francophone des immigrants du Sud-Est du Nouveau-Brunswick, la ville de Moncton et la Société nationale de l’Acadie.

« Nous planifions de donner aux organismes communautaires et aux gouvernements, y compris les municipalités, les outils dont ils ont besoin pour créer et mettre en œuvre des stratégies fondées sur des preuves et qui promeuvent l’inclusion, le développement local et la durabilité économique et sociale », a laissé savoir la professeure Esses.

Le partenariat a obtenu des engagements fermes de la part de Citoyenneté et Immigration Canada et des ministères provinciaux de l’immigration qui sont parties prenantes. Son travail permettra de compléter les efforts des gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux pour améliorer les résultats d’établissement et d’intégration des nouveaux arrivants au Canada.

Renseignements : Chedly Belkhodja, au 858-3749

Michel Léger, professeur au Département d’enseignement au primaire et de psychopédagogie au campus de Moncton, a soutenu avec succès une thèse de doctorat en éducation, intitulée « Étude du processus de changement vécu par des familles ayant décidé d'adopter volontairement des comportements d'atténuation des changements climatiques », à la Faculté des sciences de l'éducation de l’Université de Moncton.

Les écrits scientifiques font état d’une sensibilité accrue aux enjeux des changements climatiques de la part du public en général. Or, pourquoi continue-t-on à perpétuer des habitudes énergivores et sur-consommatrices si on est conscient qu’il faut se comporter de façon plus soucieuse de l’environnement?

En fait, plusieurs études se sont penchées sur cet écart entre nos attitudes pro-environnementales et notre manque d’engagement envers l’environnement. « Dans notre recherche, nous voulons étudier les stratégies (compétences) mises à l’épreuve par les membres de familles qui cherchent à adopter un mode de vie durable, mentionne le professeur Léger. Nous sommes particulièrement intéressés à voir comment les facteurs qui tendent à influencer l’adoption de comportements environnementaux se présentent dans le contexte de la famille, un contexte peu étudié en éducation relative à l’environnement (ERE). »

Préconisant une analyse par théorisation ancrée, M. Léger ajoute que « nous avons mené une étude multi-cas dans le but de mieux comprendre le processus d’adoption de comportements environnementaux dans quatre familles. Nos résultats ont notamment révélé l’émergence de plusieurs compétences manifestées individuellement et collectivement par les membres de toutes les familles participantes (ex : persévérance, auto-efficacité, citoyenneté, etc.). Nous avons aussi trouvé que les membres des familles qui ont réussi à adopter des modes de vie écologiques partageaient tous des valeurs biosphériques communes et que ces familles étaient caractérisées par des dynamiques relationnelles collaboratives. Enfin, notre modélisation du processus d’adoption de comportement environnementaux dans le contexte de la famille pourrait ainsi servir à développer un programme éducatif pour des familles qui cherchent à vivre plus écologiquement, un programme qui pourrait être associé à un cours d’environnement ou des sciences offert à l’école. »

Du 13 juin au 30 septembre, le Musée acadien de l’Université de Moncton présente « Les Acadiennes de l’Île », une exposition qui rend hommage aux femmes acadiennes de l’Île-du-Prince-Édouard grâce à des photographies prises entre 1880 et 1960.

Selon le conservateur invité, Georges Arsenault, le but principal de cette exposition itinérante du Musée acadien de l’Île-du-Prince-Édouard est de rendre hommage à toutes les Acadiennes, des petites filles aux grands-mères en passant par les mères de famille.

La plupart des 75 photographies de l’exposition proviennent de collections privées de divers coins de l’Île-du-Prince-Édouard. La majorité de ces photos ont été prises par des photographes amateurs avec de petits appareils sans flash. Cela explique pourquoi peu de photos en montre dans l’exposition ont été prises à l’intérieur. Malgré cela, elles reflètent bien la vie des Acadiennes de l’Île jusqu’au milieu du 20e siècle.

La directrice du Musée acadien de l’Île-du-Prince-Édouard, Cécile Gallant, se dit très heureuse de présenter cette exposition « qui veut faire connaître et célébrer les multiples rôles et l’énorme contribution de nos mères, grands-mères et arrières grands-mères acadiennes ».

En plus de la participation de Georges Arsenault, l’équipe de l’exposition est composée de Cécile Gallant, coordonnatrice; Angèle Barriault, productrice des étiquettes; Gloria Arsenault, préposée au montage de l’exposition; Alexandre Roy, graphiste des panneaux; et Claude Arsenault, qui a réalisé le design du panneau titre et de l’affiche de cette exposition qui a reçu le soutien financier de Patrimoine canadien.

Les heures d’ouverture du Musée acadien sont du lundi au vendredi de 10 heures à 17 heures, et le samedi et dimanche de 13 heures à 17 heures.

Bienvenue à toutes et à tous.

Renseignements : 858-4088 / Jeanne-mance.cormier@umoncton.ca

Le numéro 98 de la revue Liaison Énergie Francophonie, dont la publication est prévue en juin 2013, portera sur le thème « Énergies renouvelables : production distribuée et communautaire ».

Ce numéro est codirigé par le professeur Yves Gagnon, titulaire de la Chaire K.-C.-Irving en développement durable à l’Université de Moncton, et le professeur Hassan Nfaoui, de l’Université Mohammed V-Agdal, au Maroc.

La revue Liaison Énergie Francophonie est publiée par l’Institut de l’énergie et de l’environnement de la Francophonie, organe subsidiaire de l’Organisation internationale de la Francophonie. Depuis près de 25 ans, elle constitue un soutien trimestriel d’information sur les thématiques reliées à l’énergie et au développement durable. La qualité des contributions, la diversité des sujets abordés et des opinions qu’elle publie font de cette revue un instrument utile de partage d’information et de mobilisation de l’expertise au sein de l’espace francophone mais aussi à l’extérieur de celui-ci.

En 2008, le professeur Gagnon avait codirigé un numéro de cette revue portant sur le thème « L’énergie éolienne : des modèles de développement pour le Sud ». Ce numéro est disponible à l’adresse www.iepf.org sous le lien « Publications ».

L’Appel à contributions pour LEF 98 est disponible à l’adresse web.umoncton.ca/chairedd.

Il y a 55 ans, en 1957, de jeunes diplômés inscrits au programme des arts à l’Université Saint-Joseph quittaient la Vallée de Memramcook pour entreprendre une nouvelle vie sur le marché du travail ou encore pour poursuivre des études supérieures.

Cette année, une vingtaine d’entre eux dont plusieurs accompagnés de leur conjointe, se donnent rendez-vous dans la Péninsule acadienne pour souligner ce 55e anniversaire. Le Conventum du 50e a eu lieu à Saint-Joseph, Moncton et Cocagne alors que celui du 45e a été organisé à Saint-Hyacinthe, au Québec.

Cette rencontre de trois jours, les 29 et 30 juin et le 1er juillet, aura lieu au campus de Shippagan. Des anciens venus de partout au Nouveau-Brunswick, du Québec et de l’Ontario se retrouveront, certains pour la première fois depuis Saint-Joseph, pour revivre de bons souvenirs et raconter leur cheminement de carrière.

Le comité du conventum du 55e est présidé par Bernard Poirier, de Moncton, alors qu’un comité (Réal Chiasson, de Lamèque, et Raymond Chiasson, de Shippagan) s’occupe de l’organisation locale. Présidé par Réal Chiasson, le comité local travaille depuis plusieurs mois à organiser une rencontre qui se veut à la fois des retrouvailles et un séjour touristique. En effet, la première journée se passera dans la région de Lamèque alors que la deuxième sera consacrée à Shippagan. Le banquet du Conventum aura lieu le samedi soir 30 juin à la cafétéria du campus de Shippagan.

Le dimanche 1er juillet, la messe sera célébrée en l’église de Shippagan à mémoire des 15 finissants décédés depuis 1957. Sous l’habile direction d’Armand Lavoie, la chorale grégorienne de la Péninsule participera à l’animation liturgique.

Renseignements : 506-383-4421 / bernpoir33@hotmail.com

Le samedi 23 juin, les villes de Moncton et Dieppe célébreront la Fête de la musique : spectacles en plein-air, événements familiaux et défilé organisé rue Main à Moncton.

Alors que la Fête de la musique a traditionnellement lieu le 21 juin en même temps que le solstice d’été, on a décidé cette année d’organiser les festivités un samedi. Alexandre Gerez, coordinateur de la Fête de la musique à Moncton et Dieppe, explique que c’est avant tout pour laisser la chance à tous d’y prendre part. « La Fête de la musique cherche à réunir les gens de tous âges et de toutes les classes sociales, rappelle-t-il. Il y a aura des activités pour tous et des artistes sauront vous divertir. On invite les gens à apporter leurs instruments même s’il y en aura sur place. De plus, on prévoit des ateliers de percussion en après-midi. »

Jean Surette, directeur de Musique N.-B. et membre du comité organisateur est heureux de l’intérêt que suscite l’événement à Moncton. « Nous avons eu des inscriptions de gens qui proviennent de Fredericton et Saint-Jean, et nous avons même du Rn’B hip hop de l’Afrique, dit-il. Nous entendrons aussi la musique des jeunes de Sistema N.-B. Cela démontre que l’événement prend de l’ampleur. Ce que j’aime aussi de la Fête, c’est qu’on joue de la musique dans des endroits où l’on n’a pas l’habitude d’en entendre. Nous espérons que la population y participera en grand nombre. »

Horaire du samedi 23 juin
La fête commencera dès 9 heures au Centre des arts et de la culture de Dieppe. Il y aura de l’animation, des performances musicales et de cirque. À 11 heures, on procédera à l’inauguration de la nouvelle scène extérieure du Centre. Jusqu’à 13 heures, on y servira du barbecue et du gâteau.

À 12 h 30, sur la scène extérieure du Marché de Moncton, l’École des arts de la scène du Théâtre Capitol présentera un extrait de sa production Célébration 4 « Printemps ». Et à 13 heures, on invite les gens à apporter leurs instruments et à prendre part au grand défilé de la Fête de la musique qui partira du Marché de Moncton jusqu’à l’hôtel de ville où les gens seront accueillis avec un concert de l’orchestre jeunesse Sistema N.-B. à 13 h 30 sur l’esplanade.

De 14 h 30 à 16 h 30, toujours sur l’esplanade, le groupe de percussion Triolet d’Nord fera bouger la foule avec ses rythmes endiablés. Il y a aura de l’animation pour tous. De 18 heures à 21 heures, la scène accueillera la violoniste Natasha Richard, l’interprète Mélanie LeBlanc, le Rn’ B hip hop africain d’Ange Madoula, la jeune Caroline Savoie qui a récemment remporté le concours Accros de la chanson dans la catégorie solo, et l’auteur-compositeur-interprète folk rock, Phil Flowers.

La fête se poursuivra au Tide and Boar (700, rue Main, Moncton) de 22 heures à minuit avec le rock de Joey Robin Haché et les Tavernaks, le indie pop du groupe de Fredericton
Margo Margo, les rythmes chauds de Mario LeBreton et le pop rock rapide de She
Roars. Un DJ terminera la soirée jusqu’à 2 heures.

La Fête de la musique
La Fête de la musique de cette année à Moncton et Dieppe est une initiative de l’Alliance française de Moncton, Musique N.-B., le CAFI, la FJFNB, le Consulat général de France dans les provinces atlantiques, la ville de Moncton, Downtown Moncton Centreville Inc. et le Centre des arts et de la culture de Dieppe.

La Fête de la musique a été lancée en France en 1982. Depuis, elle est célébrée chaque année dans plus de 100 pays. Les principes fondateurs sont la gratuité, la participation bénévole des musiciens, la diversité des genres musicaux et la mise en musique de lieux de patrimoine et d’espace publique. Elle mêle tous les genres musicaux et s'adresse à tous les publics, avec pour objectif de populariser la pratique musicale et de familiariser jeunes et moins jeunes de toutes conditions sociales à toutes les expressions musicales.

Pour de plus amples renseignements, visitez le site www.fetedelamusiquenb.ca.

Martin Filion, professeur au Département de biologie de la Faculté des sciences de l’Université de Moncton, vient d'éditer un livre, intitulé « Quantitative Real-time PCR in Applied Microbiology », chez Caister Academic Press de Grande-Bretagne.

Ce livre traite d'une technologie de pointe en biologie moléculaire nommée réaction de polymérase en chaîne quantitative (qPCR) qui permet de quantifier des fragments d'ADN ou des transcrits de gènes. Plus spécifiquement, ce livre s'adresse à des microbiologistes qui utilisent la technologie de la qPCR pour détecter et quantifier des micro-organismes dans l'environnement sans devoir au préalable les cultiver (détection d'ADN) ou qui s'intéressent à étudier quels gènes microbiens sont exprimés sous certaines conditions d'intérêts. Des applications en microbiologie environnementale, alimentaire et médicale sont discutées.

Le professeur Filion et un de ses stagiaires postdoctoraux, Vijay Gadkar, ont également participé à un chapitre traitant de l'expression de gènes microbiens dans l'environnement. D’autres personnes affiliées à la Faculté des sciences ont également participé à cet ouvrage comme coauteurs de chapitres, soit les professeurs associés Claudia Goyer, Mark Laflamme et Dan Tulpan. De nombreux professeurs et chercheurs européens, américains, australiens et canadiens de renommée internationale ont participé à l'écriture de cet ouvrage de référence.

Pour le doyen de la Faculté des sciences, Francis LeBlanc, cette importante contribution à un ouvrage de référence de ce niveau témoigne de la qualité de l’expertise des professeures et professeurs de l’Université de Moncton.

Le comité de rédaction est composé du directeur de la Revue, du secrétaire à la rédaction, du vice-recteur à l’enseignement et à la recherche ou d’une personne le représentant, et de sept membres du personnel académique du campus d’Edmundston (2), du campus de Moncton (4) et du campus de Shippagan (1).

Il est responsable de l’orientation scientifique de la Revue, de la planification et du contenu scientifique des numéros, de l’établissement et du respect des procédures d’évaluation des tapuscrits et des règles de présentation.

Les postes à combler sont les suivants : deux postes représentant le personnel académique du campus d’Edmundston, un poste représentant le personnel académique du campus de Moncton, et un poste représentant le personnel académique du campus de Shippagan. Ce sont des mandats de trois ans prenant fin le 30 juin 2015.

Les personnes intéressées doivent faire parvenir une lettre de candidature à La Revue, a/s de Phylomène Zangio, local 060 du pavillon Pierre-Amand-Landry au campus de Moncton.

La période de mise en candidature prendra fin le mercredi 27 juin. S’il y a plus de candidatures reçues que de postes à combler à un campus, l'élection se fera au sein du personnel académique de ce campus.

Pour de plus amples renseignements, il faut communiquer avec le directeur de la Revue, Serge Jolicoeur, au Département d’histoire et de géographie (858-4388 / serge.jolicoeur@umoncton.ca) ou avec le secrétaire à la rédaction, Maurice Raymond, au Département d’études françaises (858-4067 / maurice.raymond@umoncton.ca).

Renseignements : 858-4062 / larevue@umoncton.ca

Le public aura droit à une soirée d’opéra mémorable avec en prime quelques perles du répertoire de Broadway, le samedi 23 juin à 20 heures au Théâtre Capitol de Moncton. Symphonie Nouveau-Brunswick sera sur scène avec la chanteuse d’opéra de renommée internationale Michèle Losier et le Chœur Louisbourg de Moncton, dirigé par Monique Richard, professeure au Département de musique de l’Université de Moncton. Le concert sera sous la direction de Michael Newnham, directeur musical et chef d’orchestre de Symphonie N.-B. La soirée est un concert-bénéfice pour SNB.

De l’opéra à Broadway, une soirée grandiose
La soirée de l’opéra à Broadway promet d’être l’un des grands événements musicaux de cette année et propose d’entendre des pièces de Mozart, Rossini, Handel, Carmen de Bizet ainsi que quelques-uns des grands succès de Broadway. Le tout sera chanté par la mezzo-soprano Michèle Losier.

Michèle Losier a grandi à Saint-Isidore et a acquis la renommée sur la scène internationale. Depuis ses débuts à l'Opéra de Sydney dans une production particulièrement remarquée de Werther, de Massenet, où la critique a salué « une magnifique prestation, marquée par la maturité émotionnelle et la virtuosité vocale », elle se produit sur les plus grandes scènes d'opéra internationales. En 2012 et 2013, elle chantera dans les opéras des villes de Lille, Paris et Montréal ainsi qu’en Espagne et en Suisse.

Le Chœur Louisbourg de Moncton
La directrice artistique et la chef attitrée du Chœur Louisbourg indique que cet événement est la troisième collaboration du chœur avec Symphonie N.-B. « Nous sommes extrêmement heureux de nous retrouver sur scène avec un orchestre, un plaisir rare, et d’avoir l’occasion de chanter des extraits d’opéra », mentionne Monique Richard, qui affirme que le public appréciera grandement cette soirée qui saura rejoindre les amateurs de classique et d’opéra ainsi que ceux qui désirent en découvrir davantage sur ce genre musical. Le Chœur Louisbourg est un ensemble choral semi-professionnel de Moncton. Formé de 16 choristes, il favorise la maîtrise des styles vocaux particuliers à la musique ancienne tout en collaborant avec des instrumentistes jouant sur des instruments anciens.

De l’opéra pour tous !
SNB souhaite que des gens de tous les âges et de tous les budgets puissent prendre part à ce grand événement musical. Des billets à 10 $ (plus taxes et frais de service) sont ainsi en vente pour la générale du concert, qui aura lieu le samedi 23 juin de 13 heures à 15 h 30, toujours au Théâtre Capitol.

Les billets pour le concert-bénéfice sont en vente au coût de 45 $ (tarif ordinaire) et 125 $ (VIP), plus taxes et frais de service. Les billets VIP permettront aux gens de prendre part à une réception avant le spectacle dans la Salle Empress le 23 juin de 18 h 30 à 19 h 30. Le public aura la chance de rencontrer Michèle Losier, Michael Newnham et les musiciens de l’orchestre dans le foyer du Théâtre Capitol après le concert.

Les billets sont en vente dès maintenant à la billetterie du Théâtre Capitol, du théâtre l’Escaouette, chez Frank’s Music, au Monument Lefebvre, au Centre des arts et de la culture de Dieppe et au campus de Moncton. On peut également se les procurer en téléphonant à la billetterie au 856-4379 ou au 1-800-567-1922.

Renseignements : 384-6897 / madoblan@nbnet.nb.ca

Dans le cadre du 10e anniversaire du Prix artistique Sobey soulignant l’excellence de jeunes artistes canadiens, la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen du campus de Moncton présente jusqu’au 9 septembre l’exposition « Prix artistique Sobey : Dix ans de finalistes en Atlantique ».

Organisée par le Musée des beaux-arts de la Nouvelle-Écosse, cette exposition regroupe des œuvres des huit artistes ayant tour à tour été choisis pour représenter la région atlantique à ce concours national. Lors du vernissage, Sarah Fillmore, commissaire en chef du Musée des beaux-arts de la Nouvelle-Écosse, a présenté le travail de chaque artiste dans le contexte de l’exposition.

Établi en 2002 par la Fondation des arts Sobey, le Prix artistique Sobey est aujourd’hui une reconnaissance importante pour les artistes canadiens. Cette distinction est accordée annuellement à un artiste de 40 ans et moins et attribue 70 000 $ en prix, soit 50 000$ à l’artiste récipiendaire et 5000 $ aux quatre autres finalistes régionaux.

Depuis dix ans, le prix contribue à mieux faire connaître et apprécier la production actuelle en arts visuels au Canada. Les artistes mis en nomination et retenus à titre de finalistes bénéficient de ce regard critique sur leur travail et d’une visibilité accrue à l’échelle nationale. Partout au pays, un intérêt particulier est orienté vers la production de ces artistes qui peuvent avoir été jusqu’à maintenant peu connus malgré l’importance de leur production. Grâce à la rigueur du processus de sélection, le Prix Sobey pour les arts est un gage de la qualité de la production d’un artiste et contribue à valider sa démarche artistique.

L’exposition regroupe le travail d’Emily Vey Duke et Cooper Battersby, Jean-Denis Boudreau, Mario Doucette, Greg Forrest, Zeke Moores, Graeme Patterson, Mathew Reichertz et Colleen Wolstenholme.

La Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen est située au 405, avenue de l’Université, dans le pavillon Clément-Cormier au campus de Moncton. Les visites sont sans frais et la galerie est ouverte de 10 heures à 17 heures du lundi au vendredi et de 13 heures à 17 heures le samedi et le dimanche.

Renseignements : 858-4088 / galrc@umoncton.ca / www.umoncton.ca/umcm-ga

L’Université de Moncton et la Ville de Moncton invitent le public à adhérer à un Club de marche et de course dont les activités ont lieu au Stade Moncton 2010 Stadium situé au campus de Moncton.

Depuis le 11 juin, la piste est accessible pour la marche ou la course de 11 h 30 à 13 heures du lundi au vendredi, sauf les jours où il y a des compétitions. Il n'y a aucun frais mais les participants et participantes doivent s’inscrire sur place.

Un terrain de stationnement offrant deux heures gratuitement est disponible entre le stade et le pavillon Léopold-Taillon.

Le Club de marche et de course au Stade Moncton 2010 Stadium est un projet pilote qui prendra fin le 29 juin.

Renseignements : Lissa Gagnon, responsable des installations, au 858-4545.

Le Ministère de la Culture, Tourisme et Vie saine, en collaboration avec la Coalition pour une saine alimentation et l’activité physique au Nouveau-Brunswick, le Groupe de travail des Premières Nations et peuples autochtones, la Coalition antitabac du Nouveau-Brunswick, le Mouvement acadien des communautés en santé du Nouveau-Brunswick et la Société Santé et Mieux- être en français du Nouveau-Brunswick, vous invite à assister à la Conférence provinciale portant sur le mieux-être, ayant comme thème « Le mieux-être du Nouveau-Brunswick : un mouvement qui gagne du terrain », qui aura lieu les 7 et 8 novembre au Palais des congrès de Fredericton.

Vous souhaitez acquérir des connaissances et des compétences qui vous permettront de contribuer à l’amélioration de votre mieux-être, de même qu’à celui des écoles, des familles et collectivités et des milieux de travail du Nouveau-Brunswick ?

Cette conférence de deux jours veut fournir et mettre en commun des outils et des ressources sur le mieux-être de la population et le vieillissement en santé. Elle veut aussi présenter les réussites et les pratiques prometteuses dans le domaine du mieux-être présentement mises en œuvre au Nouveau-Brunswick; discuter des facteurs qui influencent le mieux-être (santé psychologique, résilience et déterminants sociaux de la santé); et offrir des possibilités de réseautage.

Des personnes ressources de renom présenteront des idées et outils pour atteindre des objectifs et aborderont des thèmes variés tels la santé psychologique et la résilience, la saine alimentation, l’activité physique et la vie sans tabac.

Renseignements : 506-856-2141 / yves.ducharme@gnb.ca

Un article, intitulé « Bayesian on-line spectral change point detection: a soft computing approach for on-line ASR », publié dans l’International Journal of Speech Technology par Sid-Ahmed Selouani, professeur en gestion de l’information au campus de Shippagan, et son équipe, a été choisi par l’éditeur Springer comme l’un des cinq articles les plus intéressants qui ont été publiés cette année. Il a été le deuxième article le plus téléchargé.

Le sujet porte sur la possibilité de munir les systèmes de reconnaissance actuels, utilisés dans les habitacles de voitures par exemple, d’un nouveau module leur permettant de s’autoadapter aux conditions acoustiques changeantes et contraignantes.

Le premier auteur est un doctorant en télécommunications (thèse soutenue en avril 2012), Md. Foezur Chowdhury, supervisé par le professeur Selouani et le professeur Douglas O’Shaughnessy, de l’INRS-EMT, respectivement deuxième et troisième auteurs.

Marc Basque, professeur d’éducation au Secteur de l’éducation, de la kinésiologie et de la récréologie au campus d’Edmundston, a bénéficié de la bourse doctorale Régent-Fortin d’une valeur de 500 $ octroyée par l’Association pour le développement de l’enseignement et de la recherche en administration de l’éducation (ADERAE).

M. Basque est doctorant à l’Université Laval. Il a reçu sa bourse lors du colloque annuel de l’ADERAE tenu lors du 80e congrès de l’Association francophone pour le savoir-Acfas qui a réuni à Montréal quelque 5 000 congressistes d’une trentaine de pays.

Ce prix annuel de l’ADERAE a pour but de souligner la pertinence du dossier et la rigueur de la démarche du bénéficiaire dans un domaine relié à l’administration de l’éducation. Le projet de M. Basque, dirigé par Yamina Bouchamma, professeure au Département des fondements et pratiques en éducation de l’Université Laval, s’intitulait « Réussite scolaire dans les écoles efficaces ».

Lors du congrès de l’Acfas, Marc Basque a présenté une communication avec Mme Bouchamma, intitulée « Le développement des compétences des directions d’écoles : quelles formations? », pendant laquelle il a présenté les résultats d’une étude exploratoire auprès de directions d’école du Québec quant à leurs formations et à leur travail quotidien.

En mai 2011 au congrès annuel de l’Acfas, il a présenté la communication « Diversité et savoirs professionnels des directions d’école », en association avec deux collègues de l’Université Laval.

M. Basque jouit d’une longue et belle expérience en enseignement et en administration scolaire. Comme professeur au campus d’Edmundston, il assure principalement l’enseignement des cours liés à la planification et à l’évaluation des apprentissages en éducation.

Les personnes intéressées sont invitées à assister à la soutenance de thèse de doctorat en éducation de Monique Richard, intitulée « Comprendre le phénomène du rôle de passeur culturel en milieu francophone minoritaire du Nouveau-Brunswick par le témoignage de membres du personnel enseignant », le mercredi 20 juin à 13 h 30 dans le local B-119 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

Les membres du jury sont Jeanne d’Arc Gaudet, directrice de thèse, et Réal Allard, codirecteur de thèse; Diane Gérin-Lajoie, examinatrice externe; Renée Guimond-Plourde, examinatrice interne; et Viktor Freiman, président du jury.

Bienvenue à tous et à toutes.

Renseignements : 858-4411 / denise.bourgeois@umoncton.ca