L’Université de Moncton souligne la généreuse contribution de 40 000 $ de la Caisse de bienfaisance des employés et retraités du CN au Fonds de bourses pour les Aigles Bleues et Aigles Bleus (hockey) dans le cadre du Défi des Anciens Canadiens qui a eu lieu à l’aréna J.-Louis-Lévesque le 18 novembre dernier.

Ce don est un appui des plus précieux dans la poursuite des objectifs de développement et d'excellence offrant un soutien concret aux jeunes talentueux et motivés de l’Université de Moncton qui bâtissent notre société de demain.

Merci aux donatrices et donateurs qui soutiennent les étudiantes et étudiants dans leurs études universitaires.

Pour faire un don à l’Université de Moncton ou obtenir des renseignements à ce sujet, veuillez communiquer avec le bureau du Développement philanthropique en téléphonant au (506) 858-4130 ou au 1(888)-362-1144, en envoyant un courriel à l’adresse developpement@umoncton.ca ou en visitant le site Web de la campagne Évolution.

La générosité de M. Edgar Robichaud permet la création du Fonds de bourses Edgar-et-Fernande-Robichaud. La Bourse Edgar-et-Fernande-Robichaud de mérite académique sera offerte à des étudiantes et étudiants originaires du Nouveau-Brunswick et inscrits à temps complet à l’Université de Moncton dans l’un des trois campus, soit celui d’Edmundston, de Moncton ou de Shippagan.

Cet appui financier inestimable de M. Robichaud apportera un grand soutien à ces jeunes talentueux et engagés qui bâtissent notre société de demain.

Un tel engagement philanthropique contribue de façon importante à l’enrichissement de l’expérience étudiante.

Pour faire un don à l’Université de Moncton ou obtenir des renseignements à ce sujet, veuillez communiquer avec le bureau du Développement philanthropique en téléphonant au (506) 858-4130 ou au 1(888)-362-1144, en envoyant un courriel à l’adresse developpement@umoncton.ca ou en visitant le site Web de la campagne Évolution.

L’Université de Moncton offre ses sincères remerciements au Chœur Neil-Michaud, qui a donné son dernier concert à Moncton en novembre 2016, pour son tout dernier don de 3000 $ au Fonds de bourses Neil-Michaud. Le Fonds de bourses Neil-Michaud a été créé en 1990 grâce à la générosité des choristes afin de rendre hommage à leur chef de chœur, Neil Michaud, professeur émérite et directeur fondateur du Département de musique de l’Université de Moncton pour son dévouement envers la musique et le chant choral.

La Bourse Neil-Michaud est offerte à des étudiantes inscrites et étudiants inscrits au Département de musique de la Faculté des arts et des sciences sociales de l’Université de Moncton.

Un tel engagement philanthropique contribue de façon importante à l’enrichissement de l’expérience étudiante.

Merci aux donatrices et donateurs qui soutiennent les étudiantes et étudiants dans leurs études universitaires.

Pour faire un don à l’Université de Moncton ou obtenir des renseignements à ce sujet, veuillez communiquer avec le bureau du Développement philanthropique en téléphonant au (506) 858-4130 ou au 1(888)-362-1144, en envoyant un courriel à l’adresse developpement@umoncton.ca ou en visitant le site Web de la campagne Évolution.

La générosité de M. Rhéal Luce permet la création de deux fonds de bourses : le Fonds de bourses Ernest-et-Évangéline-(Thériault)-Luce/FAÉUNB (Fonds d’accès aux études universitaires du Nouveau-Brunswick) et le Fonds de bourses Rhéal-Luce/FAÉUNB.

Le Fonds de bourses Ernest-et-Évangéline-(Thériault)-Luce/FAÉUNB est créé par M. Luce afin d’honorer la mémoire de ses parents.

La Bourse Ernest-et-Évangéline-(Thériault)-Luce/FAÉUNB sera offerte à des étudiantes inscrites et étudiants inscrits à temps complet à l’Université de Moncton, campus de Moncton, dans un programme de premier ou de deuxième cycle du Département de chimie et biochimie. Les boursières et boursiers doivent être originaires du comté de Gloucester, au Nouveau-Brunswick, au moment de l’attribution de la bourse.

Le Fonds de bourses Rhéal-Luce/FAÉUNB porte le nom de M. Luce, fier titulaire de deux diplômes de l’Université de Moncton, soit du baccalauréat en sciences en 1973 et d’une maîtrise en sciences en 1978.

La Bourse Rhéal-Luce/FAÉUNB sera offerte à des étudiantes inscrites et étudiants inscrits en première année d’un programme de maîtrise au Département de chimie et biochimie de l’Université de Moncton. Les boursières et boursiers doivent être des citoyennes canadiennes, citoyens canadiens, résidentes permanentes ou résidents permanents du Canada (immigrantes reçues et immigrants reçus) et résider au Nouveau-Brunswick au moment de l’attribution de la bourse.

Ces bourses apporteront un soutien financier à ces jeunes de la relève. Un tel engagement philanthropique contribue de façon importante à l’enrichissement de l’expérience étudiante.

L’engagement communautaire fait partie intégrante des valeurs fondamentales de M. Rhéal Luce, qui voit l’importance de redonner à sa communauté.

Pour faire un don à l’Université de Moncton ou obtenir des renseignements à ce sujet, veuillez communiquer avec le bureau du Développement philanthropique en téléphonant au (506) 858-4130 ou au 1(888)-362-1144, en envoyant un courriel à l’adresse developpement@umoncton.ca ou en visitant le site Web de la campagne Évolution.

La Chaire d’études Jeanne et J.-Louis-Lévesque en gestion financière de la Faculté d’administration de l’Université de Moncton, Marc St-Clair, ambassadeur étudiant de la Bourse de Montréal, et Amos Sodjahin, professeur de finance à la Faculté d’administration, ont organisé une vidéoconférence offerte par la Bourse de Montréal.

Lors de cette conférence, Kristina Mann-Krzisnik, analyste, dérivés sur revenu fixe, et Alexandre Prince, conseiller principal, dérivés sur titres à revenu fixe au Centre d’innovation de la Bourse de Montréal, ont discuté de l’historique de la Bourse de Montréal et de ses principales activités.

La Bourse de Montréal a vu le jour en 1874, et depuis 1999, elle se spécialise uniquement dans les produits dérivés comme les contrats à terme et les options. La conférencière et le conférencier ont également discuté de quelques stratégies d’investissement possible à partir de leurs produits vedettes, des contrats à terme sur acceptations bancaires (BAX) sur obligations gouvernementales fédérales à échéance 10 ans (CGB). La conférencière et le conférencier ont répondu aux questions des étudiantes et étudiants sur les impacts du trading à haute fréquence (THF) et de la cryptomonnaie sur la tendance à long terme des marchés boursiers.

Enfin, la conférencière et le conférencier ont discuté de la simulation de négociation d’options offerte aux étudiantes et étudiants de plusieurs universités canadiennes avec des prix à gagner. Le premier prix est d’une valeur de 10 000 $. Une nouvelle simulation commencera en février 2018.

Pour de plus amples informations sur cette simulation boursière, prière de communiquer avec l’ambassadeur étudiant de la Bourse de Montréal de l’Université de Moncton, Marc Saint-Clair, en envoyant un courriel à l’adresse umoncton.mx.ambassadeur@gmail.com. Cette simulation s’adresse aux étudiantes et étudiants inscrits à temps plein dans un programme premier cycle.

Isabelle Kirouac Massicotte est la troisième chercheuse à obtenir le stage postdoctoral à l’Institut d’études acadiennes (IEA) de l’Université de Moncton.

Effectués sous la direction du professeur Jean Morency, les travaux de Mme Kirouac Massicotte portent sur l’esthétique de la minorisation dans la littérature acadienne contemporaine.

Après avoir complété son doctorat en lettres françaises à l’Université d’Ottawa en 2016, elle a occupé le poste de lectrice dʼéchange canadienne à l’Université de Bologne, en Italie, où elle a également assuré la coordination du Centre interuniversitaire d’études québécoises jusqu'en août 2017.

Depuis 2015, elle fait partie du comité éditorial de la revue de recherche-création Le Crachoir de Flaubert. Elle est également adjointe à la direction de la revue de critique et de théorie littéraire @nalyses. Les littératures franco-canadiennes, québécoises et autochtones sont ses corpus de prédilection. Elle s’intéresse à l’étude culturelle des minorités, à l’imaginaire minier, à la nordicité, à l’œuvre d’Hubert Aquin ainsi qu’aux archives et aux journaux d’écrivaines et écrivains.

Elle a participé à de nombreux colloques au Canada et à l’étranger et elle a collaboré à plusieurs ouvrages collectifs et revues savantes. Elle a également organisé plusieurs conférences, un atelier ainsi qu’un colloque international et elle a codirigé plusieurs ouvrages collectifs.

Son livre, intitulé Des mines littéraires : l’imaginaire minier dans les littératures de l’Abitibi et du Nord de l’Ontario, sera publié à l’hiver 2018 aux Éditions Prise de parole.

L’étudiant Dominic Guitard, sous la direction du professeur Jean Saint-Aubin, fera une présentation de soutenance de thèse de maîtrise en psychologie, le lundi 11 décembre 2017 à 14 h, au local 504 du pavillon Léopold-Taillon, campus de Moncton.

Sa présentation a pour titre L’effet de longueur du mot en rappel ordonné à court terme est-il un sous-produit du voisinage orthographique.

L’Institut d’études acadiennes (IEA) de l’Université de Moncton, en partenariat avec la Commission de services régionaux de Kent, a annoncé le lancement du projet de recherche Histoire et patrimoine des communautés de la région de Kent sur trois ans, consacré à l’histoire et surtout à l’origine des diverses communautés de la région de Kent.

La région de Kent a un historique fort intéressant. Les peuples acadiens, irlandais, écossais, anglais et micmacs cohabitent sur ce territoire rural depuis des siècles. Le développement de plusieurs dizaines de communautés découle de ce mariage entre les différentes cultures et leurs utilisations du sol ou de la mer. Grâce à une subvention de 25 000 $ octroyée par le ministère du Tourisme, Patrimoine et Culture, il est possible de lancer ce nouveau projet de recherche. L’équipe de chercheuses et chercheurs sera encadrée par Gregory Kennedy, directeur scientifique de l’IEA, et dirigée par Mathieu Wade, chercheur et ancien postdoctorant à l’IEA. L’équipe comprend également Maurice Basque, conseiller scientifique de l’IEA, Stéphanie Pettigrew, doctorante en histoire à University of New Brunswick, et Amélie Montour, étudiante à la maîtrise en histoire à l’Université de Moncton.

Pendant cette première année, les chercheuses et chercheurs de l’équipe effectueront des études approfondies aux archives et des visites auprès des communautés afin de développer leurs connaissances et d’élaborer le plan pour un livre et un site Web éventuel. Bref, il s’agit de la co-construction de savoir où l’histoire locale — écrite et orale — sera un atout primordial pour mieux comprendre l’histoire de la région dès ses débuts. La cérémonie de lancement a eu lieu à Saint-Charles, le 20 novembre 2017, en présence du député de Kent-Nord, Bertrand LeBlanc, ainsi que de plusieurs habitantes et habitants des communautés de la région.

Le jeudi 9 novembre 2017, six étudiantes et étudiants au doctorat en éducation de l’Université de Moncton ont eu la chance d’accueillir Richard Bourhis dans le cadre du cours EDUC7213 – Éducation et minorités. Richard Bourhis, professeur émérite de l’Université du Québec à Montréal, est connu pour ses travaux en psychologie sociale, notamment dans le domaine des relations intergroupes, de la discrimination et de la communication interculturelle.

La photo nous fait voir, de gauche à droite, Caitlin Furlong; Marianne Cormier, professeure du cours EDUC7213 et doyenne de la Faculté des sciences de l’éducation; Richard Bourhis, professeur émérite de l’Université du Québec à Montréal; Nelson Georges; Marie-Hélène Marquis; Audace Niyongabo; Jérémie Dupuis; et Mario Chiasson.

Pranee Nutongkaew, candidate au doctorat à Thaksin University, en Thaïlande, est en visite scientifique à l’Université de Moncton, sous la supervision de la professeure Carole Tranchant et du professeur Yves Gagnon.

Un séminaire, offert en anglais et intitulé The Potential of Palm Oil as a Pathway towards Food and Energy Security in Thailand, portera sur une analyse des ressources terrestres nécessaires pour atteindre les objectifs des politiques nationales d’intégration du biodiesel dans le portefeuille énergétique de la Thaïlande. En s’appuyant sur des principes de développement durable, l’étude quantifie les surfaces nécessaires à la production d’huile de palme pour la production de biodiesel, tout en continuant à combler les demandes d’huile de palme pour l’industrie alimentaire et les autres usages.

Le séminaire se déroulera le 30 novembre au local 154G2 de la Faculté d’ingénierie à 9 h à 9 h 40.

L’École des hautes études publiques (HEP) de l’Université de Moncton organisait le mercredi 22 novembre dernier une table ronde autour du thème La crise nucléaire nord-coréenne : l’avenir du monde se décide-t-il en Asie ? Durant deux heures, une soixantaine de personnes ont discuté de la nature de cette crise, des difficultés des acteurs internationaux — notamment les États-Unis — et de comment la résoudre, ainsi que des implications d’un État nucléaire nord-coréen pour la stabilité régionale et les ambitions régionales et mondiales de la Chine.

Que d’autant de membres de la communauté universitaire et du grand public aient assisté à cette discussion démontre toute l’acuité du problème nord-coréen et l’enjeu pour le monde. Les récents échanges musclés entre les présidents américain Donald Trump et nord-coréen Kim Jung-un pourraient en effet laisser croire que l’on s’achemine vers une « Troisième Guerre mondiale ». Pourtant, à écouter les trois experts de l’HEP, on retire une impression nettement plus nuancée. Ont notamment contribué à ce débat Didier Tatoutchoup, professeur d’économie, Jean-François Thibault, professeur de science politique et doyen de la Faculté des arts et des sciences sociales, Roromme Chantal, professeur de science politique, et Marie-Thérèse Seguin, professeure de science politique, en tant qu’animatrice. Il ressort essentiellement de leurs interventions, ainsi que des discussions qui ont suivi, que des facteurs hasardeux peuvent certes provoquer un conflit entre les États-Unis et la Corée du Nord, mais que, loin d’être un instrument de guerre, l’arme nucléaire est plutôt avant tout un instrument de dissuasion. Les participantes et participants étaient ainsi partagés à la fois entre le pessimisme et l’espoir que cette crise puisse être résolue par la diplomatie et les négociations.

Roger Lord, pianiste et professeur au Département de musique de l’Université de Moncton, a été sélectionné pour être l’un des ambassadeurs du Concours de musique du Canada qui célèbre en cette saison 2017-2018 son 60^e anniversaire.

D’autres personnalités musicales canadiennes, qui se sont aussi illustrées au cours des ans en remportant d’importants prix à ce prestigieux concours et qui ont poursuivi de brillantes carrières se retrouvent également sur cette liste, notamment les pianistes Charles Richard-Hamelin, Ian Parker, David Jalbert et Lucas Porter, les flûtistes Susan Hoeppner et Robert Langevin, le violoniste Kerson Leong et la soprano Lyne Fortin.

Roger Lord a remporté un premier prix en piano au Concours de musique du Canada en 1985. Ses deux premières épreuves avaient alors eu lieu à Halifax, puis le pianiste acadien s’était rendu un mois plus tard à Winnipeg pour y jouer dans le cadre des finales nationales. « C’était vraiment quelque chose pour moi d’aller jouer le 2^e Concerto pour piano de Prokofiev en entier pour les finales à Winnipeg. Le fait de remporter un premier prix m’a vraiment ouvert des portes et a donné un élan à ma carrière. Le CMC est vraiment un concours où les jeunes sont valorisés et peuvent se dépasser. C’est vraiment formidable ! », affirme M. Lord.

Ce dernier a été invité à présenter un concert le 22 novembre dernier dans la salle Music Room à Halifax, 32 ans après sa participation au concours, pour souligner le 60^e anniversaire du Concours de musique du Canada et son importance pour les jeunes musiciennes et musiciens dans les diverses régions du pays. Lors de sa prestation, le pianiste de Moncton a joué en première partie de concert des œuvres solo de Rameau, de Liszt, de Wang, de Chun et de Gottschalk. En deuxième partie, le jeune pianiste néo-écossais Lucas Porter s’est joint à Roger Lord pour jouer des duos de piano à quatre mains de Schubert, de Brahms, de Tchaikovsky et d’Anderson, à la grande joie du public.

La directrice générale du Concours de musique du Canada, Marie-Claude Matton, de Montréal, et la présidente de la section CMC Nouvelle-Écosse, Patricia Bryson, étaient présentes à l’événement.

Michel Cardin, professeur au Département de musique de l’Université de Moncton, est l’un des trois finalistes aux Éloizes 2018 dans la catégorie Artiste s'étant le plus illustré à l'extérieur de l'Acadie.

La candidature de M. Cardin portait à la fois sur la diffusion mondiale soutenue de ses disques de luth par la maison de disque Brilliant Classics et sur la production comme interprète et réalisateur du dernier disque de son Duo baroque La Tour, Quelque chose de choix et d'excellent, qui a obtenu dans les revues spécialisées des éloges au Canada comme aux États-Unis, en Angleterre et dans d'autres pays d'Europe. Les deux autres finalistes de cette catégorie sont la chanteuse Lisa LeBlanc et le cinéaste Phil Comeau.

La cérémonie aura lieu à Edmundston en mai prochain.

Du 5 au 9 décembre prochain, la classe de quatrième année du Département d’art dramatique de l’Université de Moncton présentera son premier exercice public de l’année universitaire : Les débuts de Loretta de George F. Walker, l’un des auteurs canadiens les plus prolifiques. Walker s’est fait connaître en 1977 en publiant un cycle de six pièces écrites sur une période de dix mois, Motel de passage, qui toutes prennent place dans une chambre d’un motel délabré.

Les débuts de Loretta relate les aventures d’une jeune femme qui déménage dans la grande ville pour y faire fortune après le décès de son mari. C’est alors qu’elle fait la rencontre de deux mâles avides de contrôle : Dave, qui s’est amouraché d’elle, et Michael, un optimiste qui veut devenir réalisateur de film. Ce trio est complété par la femme de ménage, Sophie, immigrante russe qui travaille dans le motel d’un père qui l’oblige à étudier la physique. L’on pourrait penser que les deux filles ont tout pour s’entendre. Loretta vit dans ce motel depuis quelques semaines et travaille au restaurant western Buffalo Grosses Boules. Travailleuse pragmatique, elle perçoit sa situation et son dilemme clairement. Si celui-ci tire avantage de ses atouts, elle est déterminée à prendre en main cet investissement et à s’enrichir par la même occasion.

Auteur dramatique, metteur en scène et scénariste des plus prolifiques et des plus populaires, George F. Walker a grandement enrichi le paysage culturel canadien avec des comédies noires, au caractère particulier et au rythme rapide, véritables satires de l’égocentrisme, de la cupidité et de l’agressivité qui caractérisent la culture urbaine d’aujourd’hui. Né en 1947 à Toronto, George F. Walker a commencé sa carrière en écrivant un scénario pour le Factory Theatre alors qu’il travaillait comme chauffeur de taxi. Depuis lors, il a écrit plus de 20 pièces de théâtre, dont Criminals in Love (1984), Better Living (1986) et Suburban Motel (1997). Il a aussi écrit pour la télévision, en particulier pour les séries Un tandem de choc, The Newsroom, This is Wonderland et The Line, une série qui sera bientôt diffusée. Malgré l’illusion que donne le ton badin et ironique de ces pièces, George F. Walker traite souvent des dilemmes fondamentaux de notre époque moderne.

Son œuvre a valu à George F. Walker huit prix Chalmers, cinq prix Dora et deux prix du Gouverneur général (catégorie théâtre). Détail assez ironique : ce dramaturge torontois est davantage joué aux États-Unis et en Australie qu’au Canada. Comme quoi nul n’est prophète en son pays.

Les débuts de Loretta, présentement en cours de préparation, comprend dans sa distribution les étudiantes et étudiants Monica Bolduc, Danica Roy, Tommy Des Rosiers et Émilien Cormier. La professeure Marcia Babineau signe la mise en scène.

Les représentations auront lieu les 5, 6, 7, 8 et 9 décembre à 20 h au Studio-théâtre La Grange. Le prix régulier des billets est de 15 $ pour les adultes, et de 5 $ pour les étudiantes et étudiants. On peut se les procurer à la Librairie acadienne ainsi qu’au guichet du théâtre avant chaque représentation. Prière de noter que ce spectacle s’adresse à un public adulte.

Pour réserver, prière de téléphoner Sonya Doucet au (506) 229-0967 ou au (506) 858-4470.

La joueuse de hockey, Jennifer Arsenault, de Moncton, et le joueur de hockey Alexis Roy, d’Amos, au Québec, sont les athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed pour la période du 20 au 26 novembre 2017, tel que choisi par le Service de l’activité physique et sportive du campus de Moncton de l'Université de Moncton.

Jennifer Arsenault, à la défense, a disputé une partie solide samedi dans la défaite des siennes. Elle a marqué le seul but de son équipe, en avantage numérique, et a terminé la partie à +1. Elle est étudiante au baccalauréat en sciences sociales (criminologie).

Alexis Roy a connu toute une semaine avec les Aigles Bleus, au hockey masculin, avec une collecte de sept points en deux rencontres. Il a marqué à deux reprises, dont une fois en avantage numérique, sur trois lancers, samedi soir lors du revers de 5 à 3. Mercredi, il a fait cinq passes dans le gain de 8 à 5 du Bleu et Or. Il est étudiant au baccalauréat en administration des affaires (finances).