Voici les archives de l’Hebdo-Campus du 16 avril 2009 au 20 septembre 2018
Revue de l’Université de Moncton : contributions de l’approche écosystémique à la multidisciplinarité
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, le professeur Pierre Cormier, secrétaire du Comité de rédaction de la Revue de l’Université de Moncton; le professeur Omer Chouinard; le recteur Yvon Fontaine; et le professeur Kabule Weva. La professeure Anne-Marie Laroche était absente lorsque la photo a été prise.
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Revue de l’Université de Moncton : contributions de l’approche écosystémique à la multidisciplinarité Un nouveau numéro de la Revue de l'Université de Moncton vient de paraître. Intitulé
« Contributions de l’approche écosystémique à la multidisciplinarité », il
s’inscrit dans le cadre du projet Gestion des écosystèmes basée sur les communautés
au Burkina Faso. Il a été réalisé sous la direction des professeurs Omer Chouinard,
Anne-Marie Laroche et Kabule Weva, de l’Université de Moncton.
Quelles sont les contributions de l’approche écosystémique à la multidisciplinarité?
L’objectif du présent numéro thématique est de répondre à cette question en
cherchant à comprendre ce que les chercheurs ont appris dans leurs travaux en lien avec
les communautés.
« Nous sommes reconnaissants à la direction de la Revue de l’Université de Moncton de
son ouverture aux aspects interdisciplinaires de l’approche écosystémique, a
mentionné le recteur, Yvon Fontaine, lors du lancement. Ce numéro s’inscrit dans le
cadre du projet Gestion des écosystèmes basée (GEBC) sur les communautés au Burkina
Faso. Ainsi les chercheurs ont voulu refléter la contribution des diverses disciplines
dans les domaines traitant de l’environnement, de la nutrition et de l’éducation.
D’où le titre retenu par l’équipe de direction du projet de l’ACDI-AUCC-PUCD,
Volet 1 : Quelles sont les contributions de l’approche écosystémique à la
multidisciplinarité. De plus, dans la mesure du possible, les chercheurs ont tenté de
s’assurer d’une implication des collectivités locales dans la démarche des études
effectuées. Il s’agit ici de voir dans quelle mesure les disciplines des sciences
naturelles et du génie peuvent coopérer avec les sciences humaines et sociales dans les
recherches tant en environnement, en nutrition qu’en éducation. »
Pour la définition de l’approche écosystémique, les auteurs ont retenu celle de la
Convention de la biodiversité en 2000 « L’approche par écosystème est une stratégie
de gestion intégrée des terres, des eaux et des ressources vivantes, qui favorise la
conservation et l’utilisation durable d’une manière équitable. Ainsi,
l’application d’une telle approche aidera à assurer l’équilibre entre les trois
objectifs de la Convention que sont la conservation, l’utilisation durable et le partage
juste et équitable des avantages découlant de l’exploitation des ressources
génétiques » (Conférence des parties à la Convention sur la diversité biologique,
2000 : 47).
Les chercheurs conçoivent aussi que l’approche écosystémique s’inscrit dans une
perspective de décentralisation de la gestion des ressources naturelles afin que les
communautés locales puissent participer à l’élaboration de la démarche de recherche
et s’approprier des résultats afin de passer à l’action (FAO, 2010-Principes de
Malawi). Ceci dit, ils considèrent que la gestion écosystémique se fait en tenant
compte de l’intérêt général des collectivités locales et des générations futures
nous permettant d’établir le lien avec l’économie sociale et solidaire. Pour ce
faire, la recherche partenariale ou encore la recherche action participative devient un
outil d’autonomisation des communautés.
La recherche action participative veut que les personnes et les associations locales
participent activement à la définition des enjeux relatifs à leur communauté afin que
le processus et les solutions identifiées aient des retombées dans l’intérêt
général et la promotion collective. La recherche action participative ayant le focus sur
les retombées sociétales et le partage collectif des ressources communes dans les
communautés locales, considère que plusieurs groupes socioéconomiques ou associations
constituent l’épine dorsale des initiatives en transition vers des communautés
durables. Aussi ces associations et leurs partenaires dans les communautés locales aident
à renforcer la capacité adaptative. Les chercheurs pensent que les associations
formelles et informelles des collectivités locales font partie intégrante de la
résilience sociale pour envisager un nouveau système en transition vers un
développement durable.
Les auteurs qui ont contribué à l’appel à article de la Revue de l’Université de
Moncton à l’été 2008 sont impliqués dans des recherches avec les communautés
locales au bénéfice des collectivités. La plupart des contributions à cet appel sont
des notes de recherche. Ces travaux se passent en Afrique de l’Ouest.
Ce que les chercheurs ont appris de l’approche écosystème basée sur les communautés
s’inscrit dans les principes de la Convention de la biodiversité, que ce soit dans
l’alimentation durable, la gestion de l’eau, des sols, de la faune et la flore et des
fosses septiques, et ce dans une perspective d’équité et de justice sociale. Tant les
notes de recherche que les articles et réflexions montrent que l’approche écosystème
et la gestion intégrée sont des idéaux à atteindre et des démarches pour y arriver.
Également et non le moindre, l’approche écosystémique nous convie à la
multidisciplinarité voire à l’interdisciplinarité. Le fait que les chercheurs ont
travaillé dans ce numéro avec des gens provenant des sciences naturelles et du génie et
des sciences humaines et des sciences sociales montre que la coopération
interdisciplinaire pour les études en environnement est souhaitable, réaliste et
possible. Mais ceci reste un défi dans les universités qui fonctionnent par département
et faculté. Cependant, déjà nous avons observé et observons dans les institutions
universitaires des progrès à ce chapitre.
Tous les articles sont en ligne en format PDF à l’adresse Internet ci-dessous.
Le numéro est aussi disponible pour commande en format imprimé et relié à la Librairie
acadienne du campus de Moncton.
| Des prix et distinctions ont été remis lors du Gala para-académique
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Agrandir l'imageLa photo nous fais voir, de gauche à droite, à l’avant : Jérémy Roy-Léger (étudiant de l’année - science infirmière); Pape Ousmane Sine (impliqué de l’année et étudiant de l’année - administration); Stéphane Chouinard et Mathieu Ouellet (initiative de l’année - Centre de gestion financière Banque Nationale); Benoît LeBlanc (délégation de l’année - Compétition atlantique de génie); et Gérard Connolly (impliqué MAUI de l’année); debout : Ghislain LeBlanc, président de la Fédération étudiante; Joannie Benoît, en science infirmière (artiste de l’année); Joëlle Martin, en information-communication (politicienne de l’année); Samuel Gagnon, en information-communication (recrue de l’année); Pruvoste Agoua, en administration (étudiant international de l’année); Michel Albert, agent de communications de la Fédération étudiante (avancement de la cause étudiante – non étudiant); Christina Allain, en économie (ambassadrice de l’année); Myriam Thériault (étudiante de l’année - ESANEF); Jean-Philippe Roy (étudiant de l’année - ingénierie); Marc-André Beaudin (étudiant de l’année - sciences sociales). Absences dans la photo : Roger Ouellet (professeur de l’année); Jennifer Doucette (prix SAR); Alexandra Savoie (étudiante de l’année - droit); Chantal Thanh Laplante (étudiante de l’année - travail social); Lyne Courteau (étudiante de l’année - sciences); Marie-Pier LeClerc (étudiante de l’année - psychologie); Brenda Thériault (étudiante de l’année - kinésiologie et récréologie); Joannie Benoît (étudiante de l’année - arts); et Rémi Joncas (étudiant de l’année - éducation). |
Des prix et distinctions ont été remis lors du Gala para-académique Lors du Gala para-académique tenu récemment au campus de Moncton de l’Université de
Moncton, de nombreux prix et distinctions ont été remis aux personnes qui se sont
illustrées sur la scène universitaire grâce à leur engagement au sein de la vie
étudiante au cours de l’année 2010-1011.
| Un budget de 109 millions $ est approuvé pour l'année financière 2011-2012 à l'Université de Moncton
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Un budget de 109 millions $ est approuvé pour l'année financière 2011-2012 à l'Université de Moncton Le Conseil des gouverneurs de l'Université de Moncton a approuvé le samedi 16 avril un
budget de fonctionnement qui prévoit des revenus de 109 123 000 $ pour l'année
financière 2011-2012 qui débute le 1er mai et des dépenses de 109 272 000 $, ce qui
représente un léger déficit projeté de 149 000 $.
« Le processus budgétaire interne a nécessité beaucoup de rigueur et de discipline
cette année car il a fallu tenir compte d’un certain nombre d’hypothèses qui nous
laissaient très peu de marge de manœuvre, notamment la situation financière difficile
dans laquelle se trouve le gouvernement provincial, les obligations de l’Université
vis-à-vis ses régimes de pension et l’évolution des droits de scolarité par rapport
à la moyenne nationale, a déclaré le recteur Yvon Fontaine. Tout ceci dans un contexte
de déclin démographique qui se poursuit au niveau des élèves du secondaire au
Nouveau-Brunswick. »
Le recteur a également tenu à souligner les efforts de chaque secteur de l’Université
pour contenir les dépenses dans le cadre de ce processus budgétaire.
Les étudiantes et les étudiants canadiens qui s'inscriront au premier cycle à temps
complet verront une augmentation de 197 $ (4 pour cent) de leurs droits de scolarité; une
première hausse en quatre ans. Les droits de scolarité à la maîtrise et au doctorat,
quant à eux, augmenteront de 4,2%. Pour ce qui est des étudiantes et étudiants
internationaux, les droits de scolarité seront également majorés de 4 pour cent, ou 334
$.
« Il faut saluer l’effort du gouvernement provincial qui, dans un contexte de
compression des dépenses, a voulu continuer d’accorder aux universités un soutien pour
assurer leur fonctionnement et leur développement, a poursuivi le recteur. »
Pour ce qui est du logement, les taux seront majorés de 1,1 à 4,9 pour cent au Campus
d'Edmundston, de 1 à 5 pour cent au Campus de Moncton et de 4 pour cent au Campus de
Shippagan.
Le Conseil des gouverneurs a également adopté le Plan triennal de recrutement et d'appui
à la réussite des études pour 2011-2014 qui vise à gérer de façon plus stratégique
la fluctuation de l'ensemble de la population étudiante de l'Université de Moncton au
cours des prochaines années.
« Globalement, les objectifs établis quant au nombre d’admissions et de réadmissions
ont été atteints, a dit M. Fontaine. Au cours des prochaines années, les stratégies de
recrutement étudiant miseront sur un taux de participation de 30 pour cent des
diplômées et diplômés des écoles secondaires francophones de la province, tout en se
tournant vers d’autres marchés qui offrent un potentiel de croissance intéressant,
notamment l’international. »
Enfin, le Conseil des gouverneurs a également procédé à des nominations qui entreront
en vigueur le 1er juillet :
- Richard Saillant a été nommé vice-recteur à l’administration et aux ressources
humaines;
- Marie-Linda Lord a été nommée vice-rectrice aux affaires étudiantes pour un mandat
de cinq ans;
- Edgar Robichaud a été nommé vice-recteur adjoint à l’enseignement au Campus de
Moncton pour un mandat de cinq ans;
- Gaston LeBlanc a été nommé doyen de la Faculté d'administration pour un troisième
mandat de cinq ans; et
- Lisa Roy a été nommée doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales pour
un mandat de cinq ans.
| Deux nouveaux vice-recteurs sont nommés
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Deux nouveaux vice-recteurs sont nommés Le Conseil des gouverneurs a nommé Richard Saillant au poste de vice-recteur à
l’administration et aux ressources humaines, et la professeure Marie-Linda Lord au
nouveau poste de vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales. Tous deux
entreront en fonction le 1er juillet prochain.
Dans ses fonctions de vice-recteur à l’administration et aux ressources humaines, M.
Saillant aura la responsabilité de la gestion des ressources humaines, matérielles et
financières pour l’ensemble de l’Université.
Il succède à Nassir El-Jabi qui était en poste depuis 2003. Par ailleurs, dans ses
fonctions de vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales Mme Lord aura la
responsabilité des services et programmes liés à la vie étudiante et à
l’internationalisation de l’Université de Moncton.
Richard Saillant
La carrière de M. Saillant au sein du gouvernement fédéral lui a permis d’occuper des
postes de responsabilité dans divers domaines, y compris l’administration financière,
immobilière et des ressources humaines. Depuis 2009, il occupe le poste de directeur
général à l’examen des investissements et à la planification stratégique au sein
d’Industrie Canada. À l’emploi de la fonction publique fédérale depuis 1997, il a
entre autres été directeur de la politique ferroviaire chez Transports Canada et
économiste au Bureau du Conseil privé du Canada.
« Dans un contexte économique qui comporte de nombreux défis pour les universités, il
est rassurant pour l’Université de Moncton de se doter d’un leader de la trempe de M.
Saillant possédant une grande expérience en gestion financière pour diriger son
vice-rectorat à l’administration et aux ressources humaines », a souligné M.
Fontaine. De plus, nous éprouvons un énorme sentiment de fierté de pouvoir
l’accueillir dans son alma mater pour occuper ces nouvelles fonctions. »
Originaire de Val-Comeau, M. Saillant possède le baccalauréat ès arts avec double
majeure en économie et en science politique de l’Université de Moncton, la maîtrise
en sciences économiques de l’Université de Montréal et la maîtrise en
administration des affaires de l’Université McGill.
Marie-Linda Lord
À l’emploi de l’Université de Moncton depuis 21 ans, la professeure Marie-Linda Lord
a occupé divers postes de responsabilité dont ceux de directrice de l’Institut
d’études acadiennes, de titulaire de la Chaire d’études acadiennes et de directrice
du Programme d'information-communication.
En plus de son enseignement, elle a également participé à diverses activités de
perfectionnement, dont le colloque Appuyer la réussite aux études : comment s’y
prendre avec les outils technologiques d’aujourd’hui et de demain? qu’elle a animé
en mai 2010. Depuis quelques années, elle contribue au travail du Réseau Théophraste,
réseau mondial d’écoles de journalisme, membre de l’Agence universitaire de la
Francophonie. Elle a également été pendant quatre ans à la direction de la revue
internationale Francophonies d’Amérique.
«Il va sans dire que l’enthousiasme, l’énergie et la conviction avec lesquels
Marie-Linda Lord a mené ses nombreux projets seront mis à contribution dans le cadre de
ses nouvelles fonctions, ajoute le recteur Fontaine. Son expérience à l’international
et ses grandes qualités de professionnelle des communications contribueront également
aux efforts de diffusion, de rayonnement et de promotion de l’Université de Moncton
auprès de la population étudiante comme dans les autres sphères universitaires à
l’échelle régionale, nationale et internationale. »
Originaire de Moncton, Mme Lord possède le baccalauréat en sciences sociales avec
concentration en science politique – relations internationales de l’Université
d’Ottawa; le baccalauréat en sciences sociales avec spécialisation en science
politique de l’Université de Moncton; la maîtrise en littérature canadienne comparée
de l’Université de Sherbrooke et le doctorat en études françaises de l’Université
de Moncton.
| Concours de simulation boursière
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Stéphane Chouinard, membre du Centre de gestion financière de la Fédération étudiante du campus de Moncton; Vanessa Element, étudiante à la Faculté d’administration; Sébastien Deschênes, professeur de comptabilité; Tania Morris, responsable par intérim de la Chaire d’études Jeanne et J.-Louis-Lévesque en gestion financière; et Nathanaël Caron, étudiant à la Faculté d’administration. |
Concours de simulation boursière La Chaire d’études Jeanne et J.-Louis-Lévesque en gestion financière de la Faculté
d’administration et le Centre de gestion financière Banque Nationale ont organisé une
simulation boursière entre les étudiants et les professeurs des trois campus.
Cette simulation avait pour objectif de susciter l’intérêt des étudiants et
étudiantes au domaine financier. Au départ, chaque participant détenait un portefeuille
fictif de 100 000 $ US qu’il devait faire fructifier en effectuant des investissements
judicieux. Cette simulation a débuté le 22 novembre 2010 pour prendre fin le 26 mars
dernier.
Sébastien Deschênes, professeur de comptabilité à la Faculté d’administration, est
le grand gagnant de cette simulation avec un portefeuille final d’une valeur de 237 303
$ US. Nathanaël Caron et Vanessa Element terminent deuxième et troisième respectivement
avec des portefeuilles d’une valeur de 134 214 $ US et 133 966 $ US.
Plus d’une cinquantaine d’étudiants et professeurs ont participé à cette simulation
boursière et les fonds distribués aux gagnants sont une gracieuseté de la Chaire
d’études Jeanne et J.-Louis-Lévesque en gestion financière.
| Le forum du « Français pour l’avenir » rassemble 100 élèves anglophones de Moncton
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Le forum du « Français pour l’avenir » rassemble 100 élèves anglophones de Moncton Pour une quatrième année consécutive, « Le français pour l’avenir » organise un
forum régional à Moncton, le jeudi 28 avril, avec comme devise cette année « Deux
langues… un monde de possibilités ».
Cent élèves de 11e année des sept écoles du district scolaire 2 de la grande région
de Moncton se rassembleront au pavillon Jacqueline-Bouchard du campus de Moncton pour une
journée en français remplie d’activités axées sur les avantages que procure le
bilinguisme. Des ateliers interactifs sont au programme et portent sur des sujets tels
que l’éducation, la nutrition, la science infirmière, l’improvisation, le droit, les
arts visuels, la musique et l’implication sociale. La journée sera aussi agrémentée
d’un repas équilibré qui sera suivi de musique avec la participation de Monique
Poirier, François Émond et Lise Vautour, du collectif Ode à l’Acadie.
Les invités à ce Forum de Moncton sont Helen Coltrinari, présidente du conseil
d’administration de l’organisme national « Français pour l’avenir »; Blair
Lawrence, président du Forum de Moncton du « Français pour l’avenir »; et Linda
Schofield, directrice générale des relations universitaires de l’Université de
Moncton. Le conférencier sera Hughie Batherson, vice-recteur à la vie étudiante à
l’Université Sainte-Anne, en Nouvelle-Écosse.
Le Français pour l’avenir a été fondé en 1997 par John Ralston Saul et Lisa Balfour
Bowen. Il a comme mission de contribuer à la création d’un Canada où tous les jeunes
accordent une valeur à notre héritage francophone, apprécient les cultures francophones
et s’efforcent d’exceller en langue française.
Des forums du « Français pour l’avenir » se tiendront également dans dix autres
communautés partout au Canada - Calgary, Edmonton, Fredericton, Halifax, Montréal,
Ottawa, St. John's, Summerside, Vancouver et Winnipeg. Chacun de ces forums est organisé
par un comité local, favorisant ainsi la représentation de la culture unique de chaque
communauté.
Pour de plus amples renseignements, prière de joindre Jean-Marc Arseneau, coordonnateur
du Forum régional de Moncton, au 506-863-2210, jean.marc.arseneau@umoncton.ca.
Voir le Site Web du « Français pour l’avenir » ci-dessous.
| Banquet annuel en sciences de l'éducation
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Caroline Doucet, coprésidente du comité du banquet; Christine Roy, vice-présidente interne du conseil étudiant; Julie Henrie, vice-présidente des finances du conseil étudiant; Jean-François Richard, doyen de la Faculté des sciences de l’éducation; Diane Albert-Ouellette, conférencière; Éric Levesque, président du conseil étudiant; Mélissa Gallagher, coprésidente du comité du banquet; Diane LeBreton, vice-doyenne de la Faculté des sciences de l’éducation; et Emmanuelle Lajoie, vice-présidente académique du conseil étudiant. Danie Boudreau, vice-présidente externe, et Natasha Léger, vice-présidente administrative du conseil étudiant, étaient absentes lorsque la photo a été prise. |
Banquet annuel en sciences de l'éducation Le banquet annuel de la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de
Moncton, organisé par le Comité du banquet et le Conseil étudiant, a eu lieu au Crowne
Plaza de Moncton. Diane Albert-Ouellette, directrice générale du district scolaire 1,
était la conférencière. Plusieurs prix et bourses ont été offerts pendant la
soirée.
| Karine LeBreton est une athlète de haut niveau au judo
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Karine LeBreton est une athlète de haut niveau au judo La tenue des Jeux d’hiver du Canada à Halifax en février dernier a été sans
contredit l’un des événements sportifs les plus marquants au pays cette année. Parmi
les médaillés, on compte une étudiante de l’Université de Moncton, la judoka Karine
LeBreton qui termine sa première année au programme multidisciplinaire en sciences.
L’athlète âgée de 18 ans a remporté la médaille d’argent dans son combat
individuel et la médaille de bronze en équipe.
Originaire de Lagacéville, Karine partage son temps et ses efforts entre les études et
l’entraînement. En prévision des Jeux du Canada, elle se rendait toutes les fins de
semaine à Fredericton pour s’entraîner.
Elle est satisfaite de sa performance même si elle aurait souhaité remporter l’or. «
Je réalise maintenant l’ampleur du défi de jumeler les études universitaires et la
compétition de haut niveau, confie-t-elle. Après les Jeux, je me suis davantage investie
dans mes études mais je reprendrai l’entraînement intensif après mes examens en vue
des prochaines compétitions d’envergure qui auront lieu ce printemps. »
« J’arrive tout de même à m’organiser et à gérer mon temps de manière efficace,
souligne l’athlète qui souhaite faire carrière comme professionnelle de la santé. Le
judo et la compétition ont toujours fait partie de ma vie, alors j’ai appris à bien
gérer les échéances et le stress. Je dois établir des priorités, trouver
l’équilibre et m’investir à fond dans mes projets. C’est difficile physiquement,
mais j’y arrive. »
« Pendant les Jeux du Canada, j’ai fait la navette entre Moncton et Halifax pour ne pas
manquer de tests ni de laboratoires. J’ai aussi dû faire des devoirs sur les lieux de
la compétition, ce qui n’était pas toujours évident. Mais je suis quand même très
heureuse d’avoir pu vivre cette expérience.»
L’équipe du Nouveau-Brunswick a récolté huit médailles à ces Jeux, soit la moitié
de la récolte totale de la province. Il s’agit d’un record pour l’équipe de judo.
| Octroi de neuf bourses pour les étudiants du baccalauréat en gestion des opérations
Article complet
Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, 1re rangée : le professeur Salem Y. Lakhal; Charles Henry Leconte, Robyn Landry, Julien Robichaud et Sabrina Boisvert; 2e rangée : Renée Arsenault, Pape Ousmane Sine et Claude DesRochers Absences dans la photo : Hatim Ouhbi, Serge Cormier et Justin Goguen. |
Octroi de neuf bourses pour les étudiants du baccalauréat en gestion des opérations Dans le cadre du Programme des langues officielles dans l’enseignement LOE, sept bourses
de 1000 $ chacune ont été accordées à des étudiants et étudiantes qui poursuivent
leurs études en gestion des opérations à la Faculté d’administration depuis une
année ou plus.
Les bénéficiaires sont Renée Arsenault, Sabrina Boisvert, Robyn Landry, Charles Henry
Leconte, Hatim Ouhbi, Julien Robichaud et Pape Ousmane Sine. Deux bourses de 650 $ chacune
ont également été octroyées à Serge Cormier et Justin Goguen. Les résultats
académiques sont le principal critère utilisé par un comité du Département pour
accorder ces bourses.
Le professeur Salem Y. Lakhal, président du Comité pédagogique de gestion des
opérations et gestionnaire des fonds de LOE consacrés au programme du GOP, rappelle que
l’objectif de ce programme de bourses de trois ans est de permettre à des étudiants et
étudiantes de faire des études en français dans le domaine de la gestion des
opérations et la chaîne logistique pour l’atteinte d’un niveau de compétence
permettant aux entreprises de viser les marchés mondiaux.
Quant à l’impact attendu de ces bourses, Claude DesRochers, directeur de Département
d’administration et également professeur en GOP, ajoute que cette offre de bourses
permettra d’attirer un nombre croissant d’excellents étudiants et étudiantes pour un
programme d’étude en évolution constante et qui a d'ailleurs attiré un nombre
d'inscriptions record en GOP cette année.
Renseignements : 858-4601, Salem.Lakhal@umoncton.ca
| Journée mondiale du livre et du droit d’auteur
Article complet
Journée mondiale du livre et du droit d’auteur Le samedi 23 avril, c’est la Journée mondiale du livre et du droit d’auteur. Elle a
été proclamée par l'UNESCO afin de rendre un hommage mondial au livre et à ses
auteurs. Découvrez le plaisir de la lecture et, par la même occasion, prenez
connaissance de la programmation du Festival FRYE (http://www.frye.ca, qui aura lieu à
Moncton du 25 avril au 1er mai.
Dans le cadre de cette Journée, une exposition est en montre à la Bibliothèque
Champlain jusqu’au 30 avril.
| Journées d'échange en travail social
Article complet
Agrandir l'imageLa photo prise à cette occasion nous fait voir, de gauche à droite, Michelle Nowlan, étudiante de 3e année au baccalauréat en travail social (BTS), membre du comité organisateur; Isabelle McKee-Allain, doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales; Véronique Lévesque, étudiante de 3e année au BTS, membre du comité organisateur; Ginette-Marie LeBlanc, travailleuse sociale au ministère du Développement social à Moncton, conférencière qui a parlé de la protection des adultes; Denis Savoie, gestionnaire au ministère du Développement social dans le Restigouche, membre du comité organisateur; Yvette DeGrâce, travailleuse sociale au ministère du Développement social, conférencière qui a discuté de la concertation familiale; Charles Bernard, directeur régional au ministère du Développement social dans le Restigouche; Nicole Guimond, travailleuse sociale au ministère du Développement social à Richibouctou, conférencière qui a discuté de la concertation familiale; Gaby Lyness, étudiant de 2e année au BTS, membre du comité organisateur et coanimateur; Denise Landry, travailleuse sociale au ministère du Développement social de la Péninsule acadienne, conférencière qui a parlé de la concertation familiale et de la maîtrise en travail social; Sophie Gaudet, coordonnatrice des stages, membre du comité organisateur; Marie-Lyne Caron, adjointe à la coordination des stages, membre du comité organisateur; Kristine Johnson, étudiante de 3e année au BTS, membre du comité organisateur et coanimatrice; et Hélène Albert, directrice de l’École de travail social, membre du comité organisateur. |
Journées d'échange en travail social La 10e édition des Journées d’échange organisée par le Comité de partenariat de
l’École de travail social de l’Université de Moncton et du ministère du
Développement social a eu lieu les 7 et 8 avril au campus de Moncton. Le thème de cette
année était « La pratique du travail social au ministère du Développement social :
l’art d’accompagner d’âge en âge ».
| Plusieurs postes sont disponibles à La Revue de l’U de M
Article complet
Plusieurs postes sont disponibles à La Revue de l’U de M Vous aimez la publication scientifique et les défis? Songez à vous impliquer dans la
Revue de votre Université. La Revue de l’Université de Moncton est présentement à la
recherche de personnes dynamiques pour occuper le poste de directeur ou directrice de la
Revue, celui de secrétaire du comité de rédaction, celui de représentant du campus de
Moncton au comité de rédaction, et l’un de trois postes vacants au comité de
promotion et de financement.
Par conséquent, on sollicite des candidatures pour combler ces postes dont l’entrée en
fonction serait le 1er juillet prochain. La durée du mandat est de trois ans prenant fin
le 30 juin 2014. Il est renouvelable une fois pour les postes de directeur et de
secrétaire.
Selon les conventions collectives de l’ABPPUMCE, de l’ABPPUM et de l’APPUMAS, la
directrice ou le directeur de la Revue jouit d'un dégrèvement annuel de trois crédits
et d’un supplément annuel de 2 000 $. Un dégrèvement de trois crédits est prévu
pour le poste de secrétaire du comité de rédaction. Tout membre du corps professoral
de l’un ou l’autre des trois campus de l’U de M peut être un candidat à ces
postes.
En collaboration avec le Comité de rédaction, la directrice ou le directeur assure la
planification, la préparation et la production des numéros de la Revue; met sur pied les
comités de coordination des numéros thématiques et hors-série approuvés et voit à
leur bon fonctionnement; gère le processus d’évaluation des textes en collaboration
avec les comités de coordination; collabore à la révision linguistique et à la
correction des épreuves avec la ou le secrétaire à la rédaction; convoque et préside
les réunions du Comité de rédaction de la Revue; propose au comité de rédaction les
révisions nécessaires des politiques et des orientations scientifiques de la Revue pour
en maintenir l’excellence; fait rapport annuellement au Sénat académique, avec copie
conforme à la FESR, à l’ABPPUM, à l’ABPPUMCE et à l’APPUMAS.
En collaboration avec le comité de financement et de promotion, la directrice ou le
directeur procède à l’élaboration des prévisions budgétaires; administre les
budgets et gère les ressources humaines, matérielles et financières de la Revue; à la
responsabilité des démarches nécessaires à la recherche du financement complémentaire
de la Revue (au-delà du financement de base assuré par l’Université), ce qui inclut
notamment la préparation des demandes d’aide à la diffusion et des demandes de
subventions à l’intention des revues savantes, ainsi que les ententes de partenariat
pour la production de numéros thématiques ou la publication d’actes de colloques
(numéros hors-série); représente la Revue aux différentes instances de
l’Université, auprès des autres revues, des maisons d’édition et des agences de
financement; et œuvre à la promotion de la Revue sur le plan local, national ou
international.
Les responsabilités du ou de la secrétaire à la rédaction sont d’assister la
directrice ou le directeur dans la préparation des numéros; remplacer la directrice ou
le directeur en son absence; rédiger les procès-verbaux des réunions du comité de
rédaction; et assumer la responsabilité de l’édition, de l’application des normes
de présentation, de la révision linguistique et de la correction des épreuves, en
collaboration avec la directrice ou le directeur.
Le Comité de rédaction de la Revue est responsable de l’orientation scientifique de la
Revue, de la planification et du contenu scientifique des numéros, de l’établissement
et du respect des procédures d’évaluation des tapuscrits et des règles de
présentation.
Le Comité de financement et de promotion de la Revue est responsable de la recherche du
financement complémentaire au budget de base assuré par l’Université (programmes
d’aide à la diffusion, partenariats institutionnels et privés, etc.), de la promotion
et de la diffusion de la Revue (incluant notamment le développement de stratégies de
vente des abonnements). Ce comité fait rapport annuellement au comité de rédaction,
avec copie conforme à la FESR, à l’ABPPUM, à l’ABPPUMCE et à l’APPUMAS.
Les personnes intéressées doivent faire parvenir une lettre de candidature, accompagnée
d’un curriculum vitae abrégé (maximum 4 pages) mettant en valeur habiletés
organisationnelles et connaissances ou expérience dans le domaine de la publication
académique à La Revue, a/s de Phylomène Zangio, local 060, pavillon
Pierre-Armand-Landry au campus de Moncton.
La période de mise en candidature prend fin le vendredi 20 mai. Conformément à la
constitution de la Revue, s’il y a des candidatures multiples l'élection se fera au
sein du comité de rédaction et du comité de financement et de promotion.
Pour de plus amples renseignements, vous pouvez contacter l’adjointe administrative de
la Revue, Phylomène Zangio, à larevue@umoncton.ca ou au 858-4062, ou encore le
secrétaire au comité de rédaction en fonction, Pierre Cormier à
Pierre.Cormier@umoncton.ca ou au 858-4516.
| Retour du groupe culte Alain Morisod et Sweet People à Moncton
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Retour du groupe culte Alain Morisod et Sweet People à Moncton Les billets pour le spectacle du groupe culte suisse Alain Morisod et Sweet People partent
vite. Le quatuor sera de retour dans la région de Moncton le temps d’un spectacle dans
le cadre de la tournée Buona Sera avec comme artistes invités le violoniste André
Proulx et le chanteur populaire suisse Julien Laurence.
L’arrêt dans la région sera le neuvième d’une tournée de 50 spectacles. Celui de
Moncton aura lieu le samedi 30 avril à 20 heures au Centre de célébration Wesleyan
situé au 945, boulevard St-Georges, à Moncton. Ce spectacle est une présentation du
Service des loisirs socioculturels de l’Université de Moncton.
Tout d’abord accompagnateur pour des artistes à succès tels que Arlette Zola, Henri
Dès et Fernand Raynaud, Alain Morisod entreprend sa propre carrière solo en 1971 avec
l’album « Concerto pour un été ». Ce titre obtiendra tout un succès avec plus de
deux millions d’exemplaires vendus. En 1977, dans le cadre du Concours de la chanson
Eurovision, il fonde le groupe Sweet People dont Mady Rudaz et Jean-Jacques Egli sont
toujours membres. En 1978, le groupe décroche son premier disque platine au Canada avec
« Le Lac de Côme ». C’est le début d’une grande histoire d’amour avec notre
pays.
Il passe notamment la première partie des années 1980 à coproduire avec le
clarinettiste et présentateur français Christian Morin des émissions diffusées sur TV
Romande (La Grande roue, Studio 4 et Trèfle d’or) et qui ont accueilli des grands noms
de la chanson francophone, notamment Francis Cabrel, une jeune Céline Dion et une jeune
Patricia Kaas, Jean-Jacques Goldman, Michel Sardou, Daniel Balavoine et Michel Berger. Il
produira également plusieurs musiciens dont le groupe Gipsy Kings. D’ailleurs, le
premier succès planétaire Bamboleo a été réalisé par Alain Morisod dans son studio
à Annières, en Suisse.
Avec Sweet People, il cumule depuis 1991 les tournées, enregistrements, albums,
émissions de télévision et croisières musicales. Au total, Alain Morisod et Sweet
People, qui comprend également Fred Vonlanthen et les musiciens accompagnateurs Jean-Luc
Maillier et François Torche, c’est 52 disques d'or à travers le monde, 4 500
spectacles, un Félix et plus de 18 millions d’albums vendus. Le nouvel album, « Buona
Sera », sera lancé lors de cette tournée au Canada.
Les billets sont présentement en vente dans le réseau de billetterie du Grand Moncton
(Centre étudiant du campus de Moncton, Théâtre Capitol, théâtre l’Escaouette,
Monument Lefebvre à Memramcook, Frank’s Music à Moncton et le Centre des arts et de la
culture de Dieppe) au coût de 35 $ (frais de service en sus). Pour la billetterie, on
peut téléphoner au 506-858-4554.
| Vingt-cinq travaux de recherche étudiants ont été présentés à l’École de psychologie
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Agrandir l'imageDans la photo, l’étudiante Isabelle Boulay, de Saint-Quentin, explique son travail de recherche, intitulé « L’impact et les déterminants physiologiques et psychologiques dans la participation à un programme de réadaptation cardiaque », à François Vigneau, professeur du cours « Mémoire de psychologie », Karen R. Cohen, directrice exécutive de la Société canadienne de psychologie, Sarah Pakzad, professeure à l’École de psychologie, et Douglas French, directeur de l’École de psychologie. |
Vingt-cinq travaux de recherche étudiants ont été présentés à l’École de psychologie Les étudiants et étudiantes de 4e année au baccalauréat ès arts (spécialisation en
psychologie) ont présenté leurs travaux de recherche réalisés dans le cadre du cours
intitulé « Mémoire de psychologie ».
Cet exercice annuel, qui regroupait 25 affiches présentées dans la salle
multifonctionnelle du Centre étudiant au campus de Moncton, permet de mettre en pratique
les connaissances acquises pendant la formation universitaire, qu’il s’agisse de
statistiques, de méthodologie ou de théories en psychologie.
Ces recherches pilotes constituent également une démarche essentielle pour les
étudiants et étudiantes qui prévoient entreprendre des études aux cycles
supérieurs.
Renseignements : 858-4203.
| Gagnants et gagnantes du 22e Concours des jeunes chercheuses et chercheurs de la FESR
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Tanya Arseneault (biologie) - sciences naturelles et génie, cycles supérieurs; Mélissa Larocque (administration publique) - sciences humaines et sociales, cycles supérieurs; Charles Comeau (biologie) - sciences naturelles et génie, cycles supérieurs; Émilie Urbain (études françaises) - sciences humaines et sociales, cycles supérieurs; Stéphane Thériault (biologie) - sciences naturelles et génie, cycles supérieurs; Isabelle LeBlanc (études françaises) - sciences humaines et sociales, cycles supérieurs; et Marie-Noëlle Ryan, professeure en philosophie et sciences religieuses et présidente du comité d’organisation. |
Gagnants et gagnantes du 22e Concours des jeunes chercheuses et chercheurs de la FESR Le 22 e Concours des jeunes chercheuses et chercheurs de la Faculté des études
supérieures et de la recherche a eu lieu le 23 mars dans le cadre des Journées des
études supérieures et de la recherche.
Ce concours s’adressait aux étudiantes et étudiants des universités de l’Atlantique
qui ont présenté en français les résultats de leurs travaux de recherche en sciences
humaines et sociales de même qu’en sciences naturelles et appliquées.
Le comité d’organisation, sous la présidence de la professeure Marie-Noëlle Ryan, est
très heureux de la participation des jeunes chercheuses et chercheurs et les félicitent
d’avoir soumis leur candidature. Il est reconnaissant envers les artistes qui ont offert
une prestation lors du Gala de remise des prix, soit le Groupe Triolet d’Nord, Abdelaziz
Nait Ajjou, le Groupe Joey Robin Hachey, Gabriel Robichaud et Nancy Breau.
Le concours et le gala de remise des prix a connu un vif succès grâce à l’appui du
corps professoral et à la contribution financière d’un nombre important d’instances
universitaires et de recherche.
Voici la liste des personnes gagnantes :
Sciences naturelles et génie, 1er cycle
1er prix (500 $) : Maxime Boudreau (physique et astronomie); 2e prix (350 $) : Vincent
Basque (physique et astronomie); et 3e prix (250 $) : Patrick Robichaud (chimie et
biochimie).
Sciences naturelles et génie, cycles supérieurs
1er prix (500 $) : Tanya Arseneault (biologie); 2e prix (350 $) : Stéphane Thériault
(biologie); et 3e prix (250 $) : Charles Comeau (biologie).
Sciences humaines et sociales, 1er cycle
1er prix (500 $) : Julie Goguen (kinésiologie et récréologie); 2e prix (350 $) :
Marie-Pier LeClerc (psychologie); et 3e prix (250 $) : Mathieu Roy-Comeau
(information-communication).
Sciences humaines et sociales, cycles supérieurs
1er prix (500 $) : Émilie Urbain (études françaises); 2e prix (350 $) : Mélissa
Larocque (administration publique); et 3e prix (200 $) : Isabelle LeBlanc (études
françaises).
Prix pour les Études acadiennes
1er cycle : Suzanne Léger (études françaises); cycles supérieurs : Isabelle LeBlanc
(études françaises).
Livres du Bureau du Québec en Atlantique
Marie-Pier LeClerc (psychologie), Travis Melanson (biologie/arts visuels) et Natacha
Pominville (études françaises).
| Autres gagnants de ce 22e Concours des jeunes chercheuses et chercheurs de la FESR
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Maxime Boudreau (physique et astronomie) - sciences naturelles et génie, 1er cycle; Mathieu Roy-Comeau (information-communication) - sciences humaines et sociales, 1er cycle; Marie-Pier LeClerc (psychologie) - sciences humaines et sociales, 1er cycle; Patrick Robichaud (chimie et biochimie) - sciences naturelles et génie, 1er cycle; Vincent Basque (physique et astronomie) - sciences naturelles et génie, 1er cycle; et Marie-Noëlle Ryan, professeure de philosophie et sciences religieuses et présidente du comité d’organisation. Julie Goguen (kinésiologie et récréologie) était absente lorsque la photo a été prise.
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Autres gagnants de ce 22e Concours des jeunes chercheuses et chercheurs de la FESR
| Le Secteur science infirmière du campus de Shippagan collabore au développement des groupes HANS dans le Nord-Est
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir les membres présents lors de la signature du protocole de collaboration pour le développement de groupe HANS au Nouveau-Brunswick. Il s’agit, de gauche à droite, de Claire LeBlanc, de la CIPA; Melvin Doiron, directeur régional de la CDR Acadie; Dina Chiasson, directrice du CSC Lamèque pour la Régie de santé Vitalité; Barbara Losier, de MACS-NB; Gilles Vienneau, directeur général de la SSMEFNB; et Nathalie Boivin, du Secteur science infirmière du campus de Shippagan.
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Le Secteur science infirmière du campus de Shippagan collabore au développement des groupes HANS dans le Nord-Est La professeure-chercheuse Nathalie Boivin a signé un protocole de collaboration qui
permet au Secteur science infirmière du campus de Shippagan de collaborer au
développement des groupes HANS dans le nord-est du Nouveau-Brunswick.
La formation de groupes HANS au Nouveau-Brunswick francophone est inspirée d'une
initiative japonaise qui connaît beaucoup de succès et qui vise une participation active
des membres de la communauté à la prise en charge de leur santé par le biais de
différentes activités dont celles de suivis de santé périodiques et d'activités de
promotion de la santé.
Selon Mme Boivin, la formation de groupes HANS colle très bien au nouveau programme
offert aux étudiantes et étudiants inscrits au baccalauréat en science infirmière. «
En effet, dit-elle, dès la première session de leur première année, ces étudiantes et
étudiants sont appelés à travailler en collaboration avec la communauté pour y
effectuer des évaluations de santé et offrir des renseignements portant sur la santé.
C'est une combinaison gagnante qui permet à ces étudiantes et étudiants de prendre part
à cette initiative et, du même coup, de contribuer à l'innovation dans l'offre de
services de santé et de mieux-être. »
Outre la participation des étudiants et étudiantes de première année, ceux et celles
de troisième année pourront aussi collaborer à soutenir les communautés lors de la
préparation d'activités de promotion de la santé en communauté.
| AAAUM : souligner les succès et les réalisations des futures personnes diplômées
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Agrandir l'imageDans la photo, Michel-Alvin Roussel, étudiant en administration des affaires (comptabilité), à droite, gagnant du premier prix, est accompagné de Stéphane Robichaud, conseiller au conseil d’administration de l’AAAUM.
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AAAUM : souligner les succès et les réalisations des futures personnes diplômées L’Association des anciens, anciennes et amis de l’Université de Moncton, campus de
Moncton (AAAUM) a organisé une réception au Café-Campus dans le but de souligner les
succès et les réalisations des futurs diplômés et diplômées de l’Université de
Moncton. Avec comme thème « Soirée Noir et Blanc », plus de 65 finissantes et
finissants qui terminent leurs études en mai ont participé à cette première édition.
Un prix de présence a été offert à chacun d’entre eux.
« Cette soirée dédiée aux finissants et aux finissantes était notre façon à nous de
vous féliciter et de vous dire qu’on vous accueillera bientôt comme diplômé », a
indiqué dans son allocution la présidente de l’Association, Marie-France Doucet. Pour
sa part, Linda Schofield, directrice des relations universitaires, a souligné, au nom du
recteur, l’importance pour les futures personnes diplômées de maintenir le lien avec
leur alma mater après leur départ de l’université.
Plus de 250 finissants et finissantes ont également répondu à l’invitation de
l’AAAUM de garder le contact avec leur alma mater en remplissant un formulaire en
ligne. Trois d’entre eux ont remporté un prix de participation offert par
l’AAAUM.
Michel-Alvin Roussel, étudiant en administration des affaires (comptabilité), est le
gagnant du premier prix, un iPod nano 8 Go d’une valeur de 160 $. Les autres gagnants
sont Gabrielle Boucher, étudiante en sciences de kinésiologie, qui a remporté le
deuxième prix, un cadre pour diplôme d’une valeur de 100 $, et Monique Savoy,
étudiante en sciences (biologie), le troisième prix, un chèque-cadeau de la Librairie
acadienne d’une valeur de 50 $.
L'Association des anciens, anciennes et amis a comme mission de favoriser la promotion, le
développement et le rayonnement de l'Université de Moncton et, par le fait même, de ses
anciens, anciennes et amis.
Renseignements : Jeanne Farrah, au 858-4130.
| Bénéficiaires de bourses au Département de traduction et des langues
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir les bénéficiaires de bourses. Sauf indication contraire, les bourses proviennent du PRSLC : 1re rangée : Lise Landry, coordonnatrice du programme; Catherine Gascon (2e année, programme accéléré, 10 000 $); Josée Lord Long (1re année, programme accéléré, 2 500 $, bourse offerte par l’Université de Moncton); Karine Bouchard (1re année, programme accéléré, 5 731 $); Fariba Breau (1re année, programme accéléré, 5 731 $); Martine Dugas (3e année, 8 000 $); Chantal Marion (3e année, 8 000 $); Nathalie Fougère (1re année, programme accéléré, 2 500 $, bourse offerte par Traduction NB); Julie Le François (3e année, 2 500 $); Chad Comeau (2e année, 2 857 $); et Isabelle McKee-Allain, doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales; 2e rangée : Véronique Duguay (2e année, programme accéléré, 10 000 $); Maxime Willden (1re année, programme accéléré, 5 731 $); Karine McLaren (1re année, programme accéléré, 3 000 $, bourse offerte par l’Université de Moncton); Marie-Christine Cauchon (1re année, programme accéléré, 5 731 $); Micheline Boudreau (2e année, programme accéléré, 10 000 $); Marie-France Paré (2e année, programme coop, 2 857 $); Jolène Robichaud (2e année, programme coop, 2 857 $); Catherine Boulet (1re année, 1 000 $, bourse offerte par l’Université de Moncton); et Matthieu LeBlanc, directeur du Département de traduction et des langues; 3e rangée : Stéphanie Duguay (1re année, programme accéléré, 5 731 $); Chloé Perreault (1re année, 1 000 $); Shannon Robichaud (1re année, programme accéléré, 5 731 $); Janou-Caroline Bacon (1re année, 1 000 $); Danielle Allain (2e année, 2 857 $); Mélanie Cécyre (1re année, programme accéléré, 5 731 $); Valérie Basque (1re année, programme accéléré, 5 731 $); et Claudine Fournier (1re année, programme accéléré, 2 460 $); 4e rangée : Luc Sonier (2e année, programme accéléré, 10 000 $); François Martin (1re année, programme accéléré, 5 731 $); Étienne Godin (1re année, programme accéléré, 5 731 $); et Rose Després (1re année, programme accéléré, 2 500 $, bourse offerte par Traduction NB). Absences lors de la prise de photo : Bleuenn Briend, Delaney Clarke, Philippe André Dominici, Éric Dow, Marie-Christine Haché, Marjorie Pedneault, Justin Robichaud, Monyse Robichaud, Louis-Philippe Roussel, Valérie Tardif et Michael Walsh, de même qu’Élise Pelletier, du campus d’Edmundston. |
Bénéficiaires de bourses au Département de traduction et des langues Grâce à un accord conclu entre l’Université de Moncton et le ministère des Travaux
publics et des Services gouvernementaux du Canada (Programme de renforcement du secteur
langagier au Canada), 41 étudiants et étudiantes du Département de traduction et des
langues sont les bénéficiaires de bourses d’études pour l’année universitaire
2010-2011 dont la valeur globale s’élève à 172 000 $. À cela s’ajoutent des
contributions supplémentaires de l’Université de Moncton et de Traduction NB qui sont
de 12 500 $ et 5 000 $ respectivement. La valeur totale du programme de bourses qui
s’échelonne sur quatre ans (2009 à 2013) est de 767 000 $.
| Stage coop en Arkansas pour Jonathan Robichaud
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Jean-Guy Ouellette, vice-recteur adjoint à l'enseignement; Paul Chiasson, doyen de la Faculté d'ingénierie; Claude Lavoie, directeur, du Bureau de l'enseignement coopératif; Jonathan Robichaud, étudiant coop en génie mécanique; Tom Alexander, directeur général - Nouveau-Brunswick, SWN Resources Canada; Conrad Melanson, coordonnateur coop; et Gilles Roy, vice-doyen de la Faculté d'ingénierie. |
Stage coop en Arkansas pour Jonathan Robichaud Jonathan Robichaud, de Saint-Isidore, étudiant de 2e année en ingénierie mécanique
coop - stage I à la Faculté d’ingénierie de l’Université de Moncton, séjournera
en Arkansas, aux États-Unis, de mai à aout prochain.
Pendant son séjour chez Southwestern Energy Company, il pourra en apprendre davantage sur
l’industrie du gaz de schiste. Il aura également l’occasion de visiter le siège
social de la compagnie qui est situé à Houston, au Texas. Ce stage découle d’un
partenariat entre SWN Resources Canada, la Faculté d’ingénierie et le Bureau de
l’enseignement coopératif. Les gens intéressés à en connaitre davantage sur son
expérience de stage coop sont cordialement invités à assister aux ateliers « Retour de
stage coop » qui auront lieu au début septembre.
| Les Jeux de la traduction ont eu lieu à Ottawa
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir l’équipe de l’Université de Moncton aux 6es Jeux de la traduction. Il s’agit, de gauche à droite, à l’avant : Martine Dugas, qui tient la mascotte de l’équipe, Bleuchesne, et Delaney Clarke; à l’arrière, Stéphane Comeau, Étienne Godin, Alain Otis (accompagnateur), Louis-Philippe Roussel et Samuel Bertin.
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Les Jeux de la traduction ont eu lieu à Ottawa Les 6es Jeux de la traduction ont eu lieu du 18 au 20 mars alors qu’Ottawa accueillait
les dix équipes participantes : l’Université du Manitoba (Collège universitaire de
Saint-Boniface), l’Université d’Ottawa, l’Université du Québec en Outaouais,
l’Université de Montréal, l’Université Concordia, l’Université de Sherbrooke,
l’Université Laval, l’Université York (Collège Glendon), l’Université McGill et
bien sûr l’Université de Moncton.
Cette année, une première a été inscrite dans l’histoire des Jeux. En effet, tous
les établissements qui offrent un programme d’études en traduction étaient
représentés. Le programme des Jeux présentait une nouveauté, un concours de traduction
littéraire vers l’anglais et vers le français, épreuve hors-concours, qui ne comptait
pas pour la Coupe des Jeux. Le texte français de l’équipe de l’Université de
Moncton a été classé premier.
Les dix équipes, au total 60 participantes et participants, se sont soumises à des
épreuves de traduction pragmatique, littéraire, spécialisée et technique, vers
l’anglais et vers le français. Il y avait également des activités complémentaires,
dont l’incontournable sortie dans les bars, les conférences et le jeu questionnaire.
L’équipe de l’Université de Moncton était composée de Louis-Philippe Roussel, de
Shippagan, capitaine; Étienne Godin, de Saint-Léolin; Samuel Bertin, d’Atholville;
Stéphane Comeau, de Beresford; Delaney Clarke, d’Ottawa; et Martine Dugas, de
Campbellton. Alain Otis, chargé de cours au Département de traduction et des langues,
agissait comme accompagnateur.
Le cocktail d’ouverture et la présentation des équipes ont lieu le vendredi 18. Le
lendemain matin, les Jeux commençaient par le concours de traduction vers le français.
Cette année, un texte littéraire attend les participants : un extrait d’un texte
d’Edgar Allen Poe. Examen crayon papier, sans dictionnaire bilingue, d’une durée
d’une heure et demie. Le premier exercice marque bien l’esprit des Jeux : quand on
traduit, on traduit ! L’épreuve est suivie d’une conférence de Jean Delisle portant
sur la théorie de la traduction.
Après le dîner, les épreuves en groupe commencent, épreuves de traduction
spécialisée, de doublage/sous-titrage, de traductique, d’adaptation publicitaire et de
chansons. Tout se fait en 75 minutes, par équipe de deux ou de trois. Pour se rafraîchir
un peu, une deuxième conférence portant sur les réalités du métier de traducteur
aujourd’hui est donnée par le professeur Daniel Poliquin. Un petit café et on passe à
l’épreuve de simulation professionnelle, qui consiste à fournir un texte livrable en
faisant appel aux ressources de tous les membres de l’équipe pour l’exécution des
trois grandes fonctions de la traduction, soit la traduction, la recherche terminologique
et la révision.
Après le souper de samedi, tout le monde prend le chemin du Great Canadian Cabin pour un
jeu questionnaire inclusif et une activité de développement personnel, euphémisme pour
désigner le bon vieux « party » étudiant.
La traduction a repris tous ses droits le lendemain dès 9 heures avec le concours de
traduction vers l’anglais. Un article de type publicité tiré de National Geographic
France portant sur les Mayas, épreuve qui se déroule comme le concours vers le
français, sans dictionnaires de traduction. Après le dîner, une dernière épreuve, le
retour aux sources, où tous les membres des équipes cherchent à retrouver le sens
initial derrière une traduction machine d’un proverbe, d’une maxime ou d’une
phrase. On présente des traductions très incertaines et on entend des propositions
étonnantes.
L’équipe de Moncton doit, cette année encore, prendre le chemin du retour avant la fin
des Jeux, tradition qui se brise difficilement, distance oblige. L’équipe championne
des 6es Jeux de la traduction est celle de l’Université d’Ottawa. L’Université du
Manitoba (Collège universitaire de Saint-Boniface) et l’Université Concordia prennent
les deuxième et troisième places. L’Université McGill reçoit le prix Gerry-Boulet
qui va à l’équipe ayant manifesté le meilleur esprit lors des Jeux.
Les 7es Jeux de la traduction auront lieu en mars 2012 et l’université qui les
accueillera n’a pas encore été choisie.
| Bourses Alcide-Godin en éducation
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Michelle Dugas, de Saint-Simon, étudiante au BEP-BEd (majeure en éducation physique); Sophie Chiasson, de Shippagan, étudiante au BA-BEd (primaire); Jean-François Richard, doyen de la Faculté des sciences de l'éducation; Erika Thériault, de Paquetville, étudiante au BA-BEd (majeure en études françaises) et Maryse Doucet, de Laplante, étudiante au BA-BEd (primaire). |
Bourses Alcide-Godin en éducation Le Fonds de bourses Alcide-Godin a été créé en 2004 grâce à un généreux don de 200
000 $ d’Alcide-Godin, professeur retraité de la Faculté des sciences de l'éducation
de l’Université de Moncton. Ces bourses sont offertes uniquement aux étudiantes et
étudiants inscrits au campus de Moncton dans les programmes de formation à
l'enseignement de cinq ans. Quatre étudiantes ont reçu chacune une bourse de 1 100 $
pour l'année 2010-2011.
| Deux soutenances en psychologie
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Deux soutenances en psychologie Isabelle Cormier fera la soutenance d’une thèse de maîtrise en psychologie, intitulée
« La relation entre l’effet de la lettre omise et les habiletés en lecture chez les
enfants de la 1re à la 3e année : une simple question d’identification des mots ? »,
le mercredi 27 avril à 13 h 30 dans le local A-231 du pavillon Jeanne-de-Valois. Le
directeur de la thèse est le professeur Jean Saint-Aubin.
Mylène Doucet fera la soutenance d’une thèse de maîtrise en psychologie, intitulée
« Une analyse motivationnelle de l'engagement universitaire chez les nouvelles
étudiantes et les nouveaux étudiants », le jeudi 28 avril à 9 h 30 dans la salle
Gérard-Cormier (504) du pavillon Léopold-Taillon. Le directeur de la thèse est le
professeur Gaëtan F. Losier.
Bienvenue à tous et à toutes. Renseignements : 858-4864.
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