L'Université de Moncton décernera quatre doctorats d'honneur à d'éminentes personnalités qui se sont distinguées grâce à un apport exceptionnel à leur domaine respectif. Les titres honorifiques seront remis en mai lors des cérémonies de collation des diplômes aux trois campus.

À la collation des diplômes du campus de Shippagan qui aura lieu le vendredi 18 mai à 14 heures au Pavillon sportif, le chancelier, Louis R. Comeau, remettra un doctorat honorifique en administration des affaires à Richard Losier, homme d’affaires bien connu dans la Péninsule acadienne.

L'Université remettra un doctorat honorifique en sciences forestières à Jacques Diouf, ancien directeur général de l’Organisation des Nations-Unis pour l’alimentation et l’agriculture, lors de la collation des diplômes du campus d'Edmundston, le samedi 19 mai à 14 heures à la Cité des Jeunes A.-M.-Sormany.

À la collation des diplômes du campus de Moncton qui aura lieu le samedi 26 mai à 13 heures au Ceps Louis-J.-Robichaud, un doctorat honorifique ès lettres sera décerné à Bernard Cerquiglini, recteur de l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF), alors qu’un doctorat d’honneur en droit sera remis à Benoît Pelletier, homme politique et professeur de droit à l’Université d’Ottawa.

Richard Losier est président fondateur de la compagnie Saint-Isidore Asphalte. En 1968, il fonde avec un partenaire une petite société qui deviendra l’une des entreprises les plus couronnées de succès de la Péninsule acadienne.

M. Losier lance son entreprise à partir d’un investissement initial de 25 600 $. Avec ses 14 employés, il offre des services d’extraction de sable et de gravier, et de construction de routes, de rues et de ponts. Aujourd’hui, l’entreprise compte plus de 200 employés et le chiffre d’affaires s’élève à près de 22 millions de dollars. Elle dessert le Nouveau-Brunswick et une partie du Québec.

Le succès de Saint-Isidore Asphalte a permis à Richard Losier de devenir un acteur important dans le développement de sa communauté. Se démarquant par son œuvre philanthropique et son engagement communautaire, il a été membre du Conseil d’entreprises du Nouveau-Brunswick et membre du Comité de la Péninsule acadienne dans le cadre des activités de la campagne Impact, la campagne de souscription des années 1990 de l’Université de Moncton.

Ayant l’éducation des jeunes à cœur, il a mis sur pied une fondation privée qui offre des bourses d’études aux personnes diplômées de l’école secondaire W.-A.-Losier de Tracadie-Sheila. Chaque année, 35 000 $ en bourses sont accordés grâce à ce fonds. Au niveau postsecondaire, des dons s’élevant à plus de 160 000 $ ont été versés à l’Université de Moncton. En collaboration avec son partenaire Ulysse Breau, M. Losier a offert de nombreux services d’asphaltage et a créé un fonds de bourses de 10 000 $ pour le campus de Shippagan dans le cadre de la campagne Impact.

M. Losier est le partenaire principal de la municipalité de Saint-Isidore dans l’aménagement du Jardin communautaire. Ce jardin est offert aux citoyens, aux entreprises ou aux associations du village qui veulent se préparer en vue de la Fête des récoltes qui a lieu annuellement en septembre.

En 2007, Richard Losier est devenu lauréat du concours national des Lauriers de la PME dans la catégorie Entreprise de transformation. Ce prix lui a été décerné par le Réseau national de développement économique francophone. En 1997, l’Association des anciens, anciennes et amis de l’Université de Moncton, campus de Shippagan, l’a nommé membre à vie. Il a aussi accédé à l’Ordre des Régentes et des Régents de l’Université de Moncton en 1996.

Natif de Saint-Louis au Sénégal, Jacques Diouf possède le doctorat ès sciences sociales du monde rural de la Faculté de droit et de sciences économiques de l’Université de Paris I (Panthéon-Sorbonne). Il possède également le baccalauréat en sciences expérimentales du Lycée Faidherbe de Saint-Louis au Sénégal, le diplôme d’ingénieur en agronomie de l’École nationale d’agriculture de Grignon à Paris, et le diplôme d’ingénieur en agronomie tropicale de l’École nationale d’application d’agronomie tropicale de Nogent de Paris. Son parcours l’a mené aux États-Unis où il a obtenu deux certificats supérieurs en gestion des entreprises de l’American Management Association de New York.

Au fil des ans, M. Diouf est devenu une personnalité internationale. Il a entrepris sa carrière dans les années 1960 alors qu’il a été directeur du Bureau européen et du Programme agricole de l’Office de commercialisation agricole. Pendant les années 1970, il a occupé le poste de secrétaire exécutif de l’Association pour le développement de la riziculture en Afrique de l’Ouest. Plus tard, pendant les années 1980, il est devenu Secrétaire général de la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest.

De 1994 à 2011, M. Diouf a occupé le poste de directeur général de l’Organisation des Nations-Unis pour l’alimentation et l’agriculture. Dans le cadre de ses fonctions et comme défenseur de la lutte contre la faim dans le monde, il s’est distingué pendant ses trois mandats de six ans par la qualité de son travail.

En 2008, M. Diouf a présidé et dirigé une conférence de haut niveau portant sur l’impact du changement climatique et de l’essor des biocarburants sur la sécurité alimentaire et sur les prix des aliments. Quarante-trois chefs d’État et cent ministres de gouvernements ont participé à cette conférence où l’on a adopté une résolution visant à accroître l’assistance et les investissements dans l’agriculture du monde en développement.

M. Diouf est l’auteur de plusieurs publications portant sur l’éthique scientifique, sur les défis du développement de l’agriculture en Afrique et sur les intérêts et les objectifs de l’Afrique dans les Sommets francophones et les relations internationales.

Au fil des ans, il a reçu de nombreuses distinctions dont 44 décorations de différents pays et 15 doctorats honorifiques d’universités de par le monde. Il est aussi membre fondateur et membre d’honneur de l’Académie des Sciences et Techniques du Sénégal.

Natif de Lyon, en France, Bernard Cerquiglini est un linguiste français. Ancien élève de l’École normale supérieure de Saint-Cloud, agrégé de lettres modernes et docteur ès lettres, il est professeur de linguistique à Paris VII.

Bernard Cerquiglini a occupé plusieurs postes, notamment ceux de directeur des écoles au ministère français de l’Éducation nationale (1985-1987) et de directeur du Center for French and Francophone Studies de l’Université d’État de la Louisiane. Il a été délégué général à la langue française et aux langues de France (1989-1993), vice-président du Conseil supérieur de la langue française, directeur de l’Institut national de la langue française et président de l’Observatoire national de la lecture (2001-2004). Il a aussi été chargé de mission sur la réforme de l’orthographe, puis d’un rapport sur les langues de France, par différents premiers ministres.

Depuis 2007, Bernard Cerquiglini est recteur de l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF). Conférencier recherché, il a donné des conférences dans plusieurs grandes universités dont Berkeley, Berlin, Bloomington, Florence, Istanbul, Kyoto, Lausanne, Liverpool, Los Angeles, Montréal, Neuchâtel, New York, Osaka, Rio de Janeiro, Sao Paulo, Séville, Tokyo, Varsovie et Yale.

En 1995, Bernard Cerquiglini est entré à l’Ouvroir de littératures potentielles (Oulipo). Auteur d’une « autobiographie de l’accent circonflexe » sous le titre de l’Accent du souvenir, il y joue le rôle de « gardien de la langue ». Animateur linguiste de l’émission Merci professeur! diffusée sur TV5 Monde ayant 670 émissions enregistrées, il est l’auteur de plusieurs publications telles Éloge de la variante : Histoire critique de la philologie (1989), La Naissance du français, série Que sais-je? (1991), Le Roman de l’orthographe : Au paradis des mots, avant la faute (1996), La genèse de l’orthographe française aux XIIe-XVIIe siècles (2004), Merci professeur! Chroniques savoureuses sur la langue française (2008), Les saillies du dragon (2008) et autres.

Plusieurs ouvrages collectifs portent son nom, notamment Histoire de la littérature française paru en 1984 et Tu parles!? Le français dans tous ses états paru en 2000. Il est l’auteur d’une cinquantaine d’articles, 11 livres personnels, trois livres collectifs et une traduction d’ouvrage.

Parmi les distinctions, mentionnons le Prix Honoré Chavée de l’Académique des inscriptions et Belles-Lettres et le Prix Georges Dumézil de l’Académie française. De plus, il a été fait Chevalier de l’Ordre national du Mérite (1986), Commandeur de l’Ordre des Arts et des Lettres (1993), Chevalier de la Légion d’honneur (1994) et Commandeur de l’Ordre des Palmes académiques (2001).

Admis au Barreau du Québec en 1982, Benoît Pelletier a d’abord pratiqué le droit au sein du contentieux des affaires civiles et du droit immobilier du ministère de la Justice du Canada, de 1983 à 1989, et des Services juridiques du Service correctionnel du Canada, en 1989 et 1990, à Ottawa. C’est en 1990 qu’il s’est joint au corps professoral de la Faculté de droit de l’Université d’Ottawa où il occupe toujours les fonctions de professeur titulaire.

Pendant dix ans, Benoît Pelletier a représenté la circonscription de Chapleau à l’Assemblée nationale du Québec. Il a été ministre du gouvernement du Québec pendant près de six ans. À ce titre, il a été notamment responsable des Affaires intergouvernementales canadiennes, de la Francophonie canadienne, des Affaires autochtones et de la Réforme des institutions démocratiques.

Possédant le baccalauréat en droit de l’Université Laval, Benoît Pelletier possède aussi la maîtrise en droit de l’Université d’Ottawa et deux doctorats en droit, l’un de l’Université de Paris I (Panthéon-Sorbonne), l’autre de l’Université Aix-Marseille III.

En 1998, il s’est vu décerner le Prix d’excellence en enseignement de l’Université d’Ottawa. Il a aussi assumé la fonction de doyen adjoint à la Faculté de droit de cette université de 1996 à 1998.

Il est l’auteur de nombreuses publications à caractère scientifique, dont un important traité sur la modification constitutionnelle au Canada paru en 1996. Il a aussi prononcé de nombreuses conférences au Canada et à l’étranger. Il a été reçu comme professeur invité par les universités de Nantes, de Corse, de Paris II, de Paris V et de Lyon III. Il a aussi été reçu à deux reprises, soit en 2007 et en 2009, à titre de Public Policy Scholar par le Woodrow Wilson International Center for Scholars de Washington.

Benoît Pelletier est aussi l’auteur d’un essai politique, publié en 2010 aux Presses de l’Université Laval et intitulé Une certaine idée du Québec. Parcours d’un fédéraliste. De la réflexion à l’action.

En 2006, il a été admis à l’Ordre de la francophonie de Prescott et Russell. En 2008, il s’est vu décerner la médaille Léger-Comeau par la Société nationale de l’Acadie afin de souligner ses nombreux efforts en vue de rapprocher les Acadiens et les Québécois. En 2010, il a été nommé Commandeur de l’Ordre de la Pléiade et a reçu les insignes de l’Ordre des francophones d’Amérique de la part du Conseil supérieur de la langue française du Québec. En mai 2011, il a reçu la médaille Gloire de l’Escolle à titre de Grand diplômé de l’Université Laval. En septembre 2011, le Barreau du Québec lui a décerné le titre d’avocat émérite. Enfin, en novembre 2011, il a été fait Commandeur des Palmes académiques de France.

Du 11 au 13 mai, l’Université de Moncton est l’hôte de la 18e Compétition nationale canadienne du canoë de béton, présentée en collaboration avec la Société canadienne de génie civil.

Cet événement interuniversitaire d’envergure nationale est tenu chaque année dans l’une des universités canadiennes participantes. Cette année, le campus de Moncton accueille plus de 150 étudiants et étudiantes en ingénierie en provenance de dix universités canadiennes.

Jugée par des personnes professionnelles du domaine du génie civil et de la course en canoë, cette compétition est le résultat des travaux faits pendant toute l’année par chaque équipe qui propose en un seul projet l’exploration de l’ingénierie, la rigueur académique et l’excellence sportive.

Les compétitions de canoë de béton ont commencé pour la première fois dans les années 1960 lorsque des étudiants de plusieurs universités américaines se sont regroupés selon leurs chapitres étudiants de la Société américaine du génie civil. Au fil des ans, la compétition a connu une expansion au niveau national et international et se tient annuellement dans divers pays dont le Canada. Chaque université canadienne participante peut accueillir cette compétition et l’Université de Moncton la reçoit pour une deuxième fois, la première remontant à 2004.

La Compétition nationale canadienne du canoë de béton représente aujourd’hui un défi exigeant qui nécessite de la créativité, des connaissances techniques et du travail en équipe pour les étudiants et étudiantes en ingénierie qui y participent. Chaque équipe doit faire preuve d’excellence en conception de béton, en gestion de projets, en conditionnement physique et lors de la rédaction du rapport technique. Depuis quelques années, le critère de conception durable du béton a été incorporé à la compétition. Renseignements : cnccc2012@gmail.com

À l’invitation du centre Métropolis atlantique, Luc Thériault, professeur au Département de sociologie de l'University of New Brunswick à Fredericton, a prononcé une conférence, intitulée « Tiers secteur et établissement des immigrants au Nouveau-Brunswick : répondre à l'appel pour la croissance démographique? », au campus de Moncton.

Le professeur Thériault a présenté les résultats d'une enquête portant sur les organismes sans but lucratif travaillant à l’établissement des immigrants au Nouveau-Brunswick. À une époque où la province a besoin d'immigration pour empêcher la décroissance démographique, ces organismes travaillent en partenariat avec les gouvernements pour offrir des services qui sont d'une importance clé pour l'établissement des nouveaux arrivants, y compris dans les communautés rurales.

Basée sur des entretiens semi-structurés avec 21 informateurs clés travaillant dans 18 organisations, la recherche dresse un portrait des services offerts par les agences et de leurs clients. Elle décrit ensuite les ressources disponibles pour ces organismes et les mécanismes de gouvernance qu'ils utilisent pour remplir leurs fonctions de manière responsable et transparente.

Après avoir porté une attention particulière à certaines questions liées au genre, le professeur Thériault a résumé les principaux défis rapportés par les agences. Il a rappelé également que l'établissement des nouveaux arrivants est souvent influencé par les dynamiques locales. Cependant, les agences d'établissement peuvent compter sur un certain nombre d'avantages comparatifs pour remplir leur mission. Une brève discussion est proposée sur certaines questions de politique publique avant de conclure sur la tension observée dans la relation entre les gouvernements et le secteur sans but lucratif dans la prestation de services d'établissement. Des recommandations pratiques sont extraites de l'étude.

Luc Thériault possède le doctorat en sociologie de l'Université de Toronto. Son domaine d'expertise est la politique sociale et les études du tiers secteur avec un accent sur les interactions entre les gouvernements et les organismes d'économie sociale impliqués dans la prestation de services aux personnes. Il possède également une expérience considérable dans l’étude du secteur sans but lucratif et des coopératives au Canada.

À l'University of New Brunswick, il enseigne dans divers domaines, y compris les méthodes de recherche, l'évaluation de programme, la société canadienne, la sociologie économique ainsi que la politique familiale et sociale.

Dans le cadre de la Journée internationale des musées, quatre jeunes professionnels prendront la parole lors d’une conférence publique, intitulée « Muséologues en devenir - jeunes professionnels à nos portes », le vendredi 18 mai à 19 heures au Musée acadien de l’Université de Moncton. François LeBlanc, Tina LeBlanc, Christine Dupuis et Marie-Claude Michaud souhaitent ainsi contribuer à l’avancement du milieu muséal et patrimonial néo-brunswickois.

Christine Dupuis
Originaire du Sud-Est, Christine Dupuis s’intéresse à l’histoire dès un très jeune âge alors qu’elle complète son arbre généalogique. Aujourd’hui, elle vient de compléter le baccalauréat avec une spécialisation en histoire à l’Université de Moncton où elle s’est intéressée à l’histoire contemporaine (spécialement celle de l’Acadie).

En 2007, Christine obtient un emploi au Musée de l’Église historique de Barachois où elle travaillera pendant deux ans. De 2009 à 2011, elle travaille comme guide-interprète au Lieu historique national du Monument-Lefebvre à Memramcook. Puis à l’été 2011, elle obtient un emploi de guide-interprète au programme d’archéologie publique de Parc Canada au Lieu historique national de Beaubassin-Fort Laurence et au Lieu historique national du Fort-Beauséjour-Fort Cumberland. Depuis son admission à l’université en 2008, elle a aussi travaillé comme auxiliaire de recherche pour quelques groupes et individus.

Christine est aussi très impliquée auprès de quelques groupes, comités et organisations dont le conseil étudiant du Département d’histoire et de géographie de l’Université de Moncton et l’Association des Scouts du Canada.

François LeBlanc
Passionné de l’histoire tangible depuis un jeune âge, François rêve de trouver des squelettes de dinosaures dans sa cour arrière. Diplômé du baccalauréat en histoire en 2009 et très bientôt de la maîtrise en histoire de l’Université de Moncton avec l’Ordre de Jacques Cartier comme sujet, l’histoire acadienne le passionne.

Ce jeune homme-à-tout-faire en devenir travaille d’abord au Musée acadien comme guide-interprète et archiviste de collection (2009 à 2011), au Centre d’études acadiennes Anselme-Chiasson comme archiviste (2011) et présentement comme coordonnateur du patrimoine au Lieu historique national du Canada du Monument-Lefebvre depuis novembre 2011.

Son humour et son éthique de travail le distinguent de ses pairs. François fait aussi partie du conseil d’administration de l’Association des musées du Nouveau-Brunswick et du conseil d’administration de la Société historique acadienne.

Marie-Claude Michaud
Marie-Claude Michaud est originaire d'Edmundston mais est maintenant bien installée à Moncton depuis septembre dernier où elle travaille à temps partiel au Musée acadien.

Elle est diplômée de la maîtrise en histoire et études des femmes qu'elle a terminée à l'Université d'Ottawa en 2010. Son but : travailler dans le domaine patrimonial, culturel et/ou muséal.

Elle est passionnée de voyages (petits ou grands) et cherche toujours à planifier le prochain « road trip ». Amateur de photographie et de lecture, elle nourrit également un penchant pour les mets végétariens et les cafés lattés.

Tina LeBlanc
Tina LeBlanc a complété le baccalauréat en arts visuels à l’Université de Moncton en 2004. Elle a ensuite voyagé en Europe pour quelques années où elle a été particulièrement impressionnée par la diversité des programmes qui sont offerts dans les musées au Royaume-Uni.

Tina a ensuite obtenu le diplôme en gestion de ressources culturelles en 2010 à l’University of Victoria (C.-B.). Ce programme d’étude lui a donné la chance d’être bénévole dans trois musées pendant son séjour à Victoria.

Elle continue à faire des lectures indépendantes sur la muséologie et le patrimoine avant de se rendre en Angleterre à l’automne 2012 pour commencer le programme Masters in Art Gallery and Museum Studies à l’University of Leeds.

L’entrée est libre et le Musée acadien sera ouvert.

Bienvenue à toutes et à tous.

Suivez cet événement sur Facebook ou via Twitter en lien avec la Journée internationale des musées, le vendredi 18 mai avec le mot-clic : #JIMMoncton.

Renseignements : 858-4088.

À la suite de la création du Fonds de bourses Imperial Manufacturing Group/FAEUNB en juillet 2011, une première bourse a été octroyée à Chantal LeBlanc, de Scoudouc, inscrite au baccalauréat en administration des affaires à l’Université de Moncton.

La Bourse Imperial Manufacturing Group est offerte à un étudiant ou à une étudiante de la Faculté d’ingénierie ou de la Faculté d’administration du campus de Moncton qui fait preuve de besoins financiers et qui démontre un bon rendement académique. Pour bénéficier de cette bourse, il faut être originaire des comtés de Kent ou de Westmorland.

Grâce à la contribution de cette entreprise locale qui manufacture plus de 7 000 produits dans les domaines du chauffage, de la climatisation, de la ventilation et de la construction, les bénéficiaires de ces nouvelles bourses d’études auront un fardeau financier moindre pendant leurs études.

En raison des critères d’aide financière de la bourse, l’argent investi dans le Fonds de bourses Imperial Manufacturing Group donne droit à une contrepartie provinciale en vertu du Fonds d’accès aux études universitaires du Nouveau-Brunswick. Pour chaque dollar investi dans le fonds, un montant de 50 cents s’y ajoute. Cette formule permet une bonification importante du Fonds de bourses Imperial Manufacturing Group.

Le Centre de recherche et de développement en éducation (CRDE) propose à ses membres et à la communauté universitaire un atelier portant sur le film ethnographique comme méthode de recherche qualitative, le mercredi 16 mai entre 11 h 30 et 16 heures dans le local 029 de la Bibliothèque Champlain au campus de Moncton.

Les présentateurs seront Maurice Oviedo, organisateur du Festival international du film ethnographique du Québec –FIFEQ, et Natasha Prévost, anthropologue-chercheuse au Centre de recherche et de développement en éducation.

Le film ethnographique est une espèce de documentaire qui aborde des thèmes (traits culturels, coutumes locales) et qui met en œuvre des méthodes et problématiques relatives à l'ethnologie, l’étude de groupes en société : l’étude de l’être humain.

L’anthropologie visuelle est une pratique et une discipline qui s’applique en particulier en ethnologie, mais qui peut facilement s'étendre aux sciences humaines et sociales et aux sciences de l'éducation. Sur l’essentiel, le concept d’anthropologie visuelle, si bien que destiné à s’appliquer en sens restreint à la méthode scientifique, s’applique aussi en sens général pour désigner un souci important de l'être humain : celui de sa représentation par l’image.

Le cinéma ethnographique, dont les origines remontent à Robert Flaherty, se développe à partir des années 1960 grâce à l’apparition de caméras légères de 16 mm, synchronisées avec des magnétophones portables. Il recourt aux techniques du cinéma direct. Les ethnologues français Marcel Griaule, Germaine Dieterlen et Jean Rouch ont largement contribué pour que la caméra soit un outil important dans la recherche en anthropologie. Le terme peut aussi bien s’appliquer à des films de fiction ayant un fort contenu ethnographique.

Rouch, de veine anarchiste, transgresse le principe qui dit que dans la recherche, la caméra doit se distancer le plus possible de l’événement filmé. Il la fait y participer, intervient directement comme acteur dans l’événement en étude, devient l’un des pionniers de la docufiction.

Les présentateurs aborderont l'histoire du film ethnographique et décriront ses différents mouvements. Ils présenteront le film ethnographique comme méthode qualitative et s'attarderont sur les aspects techniques du film ethnographique et les ressources disponibles à l'université.

Finalement, cinq films ethnographiques seront présentés pendant l'atelier et s'en suivra une discussion sur le contenu académique des films projetés.

Les personnes intéressées peuvent appeler au 858-4277 ou encore faire parvenir un courriel à crde@umoncton.ca. Les gens de l’extérieur voulant être accommodés pour assister à distance devront communiquer avec le CRDE avant le vendredi 11 mai.

Étienne Godin est le récipiendaire du Prix spécial de l’ambassadeur de France au Canada, remis annuellement à l’étudiant ou étudiante qui s’est particulièrement distingué par ses résultats et son engagement au cours de son baccalauréat spécialisé en traduction à l’Université de Moncton. Le prix lui a été décerné récemment dans le cadre de la soirée de remise des Pascal à la Faculté des arts et des sciences sociales.

Originaire de Saint-Léolin, le récipiendaire est finissant au programme accéléré de baccalauréat en traduction. L’étudiant se dit heureux de cet honneur qui lui a été rendu au terme de ses études. En plus de recevoir ce prix, M. Godin a également reçu une plaque de reconnaissance du Département de traduction et des langues de même que la bourse Christel-Gallant d’une valeur de 500 $.

« J’ai choisi la traduction parce que j’ai toujours aimé les langues et je suis très curieux de nature. La traduction me permet donc de travailler avec les mots et d’en apprendre sur bien des sujets comme chaque nouvelle traduction exige souvent une recherche », explique-t-il.

Étienne Godin recevra son diplôme en mai lui permettant ainsi d’entreprendre son métier de traducteur. « Pour le moment, dit-il, j’aimerais être travailleur autonome et toucher à plusieurs domaines, mais je n’écarte pas la possibilité à plus long terme de faire de la traduction littéraire. »

« Le succès en traduction réside dans la bonne maîtrise de la langue française, le souci du détail, car rien ne doit nous échapper, et le souci du travail bien fait, souligne-t-il. À cela s’ajoute l’expérience de la vie qui offre une bonne base de connaissances. Pour ma part, j’ai étudié dans différents domaines tels le génie civil et l’éducation, et j’ai occupé plusieurs emplois dans des domaines très variés. Je me sens donc bien outillé pour entreprendre ma carrière », conclut-il.

Originaire du Sénégal, Pape Ousmane Sine, a été choisi comme porte-parole des finissants et finissantes au campus de Moncton. Diplômé au baccalauréat en administration des affaires avec concentration en gestion des opérations, M. Sine prononcera le discours d’adieu au nom de ses pairs lors de la Collation des diplômes du campus de Moncton, qui aura lieu le samedi 26 mai à 13 heures.

« Je suis très heureux de cet honneur qui m’est rendu, souligne le porte-parole avec un enthousiasme contagieux. Il s’agit d’une très belle récompense au terme d’un parcours universitaire bien rempli où j’ai voulu découvrir la richesse des gens et de la culture d’ici. En me donnant cette mission de découverte, jamais je n’aurais imaginé l’aventure que j’ai connue au cours des dernières années. »

Pape Ousmane est arrivé à l’Université de Moncton en 2008. À sa deuxième année, il a décidé de bonifier sa formation universitaire en y ajoutant une nouvelle dimension, celle de l’engagement dans la vie étudiante. Quelques années plus tard, sa feuille de route est impressionnante puisqu’il a cumulé plusieurs responsabilités pendant ses études dont celles de gestionnaire administratif des Médias acadiens universitaires inc. (MAUI), coordonnateur du Salon carrière, président d’élection de la Féécum, vice-président des Jeux du commerce et de bénévole au Projet Impôt, à la compétition boursière, aux collectes de fonds de l’Arbre de l’espoir et pour la vidéo promotionnelle destinée au recrutement international de l’Université de Moncton.

Grâce à son parcours universitaire exceptionnel, M. Sine a d’ailleurs reçu un certificat de mérite de l’Université de Moncton. De plus, il a décroché en tout quatre prix aux deux derniers galas para-académiques, notamment celui de la personne impliquée de l’année en 2011 et celui de l’étudiant international de l’année en 2012.

Sur le plan académique, il a figuré au Tableau d’honneur du doyen en 2009 et 2011. De plus, il a reçu le prix d’excellence en gestion des opérations décerné par la Faculté d’administration en 2012 et la bourse d’excellence du Patrimoine canadien en 2011 et 2012.

Selon le porte-parole, cette cérémonie de collation des diplômes revêt un sens tout à fait spécial comme il s’agit aussi de la dernière pour le recteur et vice-chancelier Yvon Fontaine. « Je ne pourrai donc pas passer sous silence la contribution de M. Fontaine, ce visionnaire qui a réussi à consolider la place de l’Université de Moncton et de la communauté acadienne au sein de la Francophonie internationale. De plus, il a ouvert les portes de l’Université de Moncton à de nombreux pays de cette Francophonie et nous lui en sommes reconnaissants. Dans mon discours, je souhaite également transmettre un message d’espoir aux diplômées et diplômés et les inviter à montrer au monde entier le dévouement, l’enthousiasme et la passion qui les animent et surtout à embrasser le courage de suivre leur cœur. »

Avec le dynamisme et la confiance qu’il inspire, Pape Ousmane Sine termine ses études à l’Université de Moncton avec un emploi qui l’attend en juin comme spécialiste en approvisionnement aux Fermes Cavendish à l’Île-du-Prince-Édouard.

L’École de kinésiologie et de récréologie de l’Université de Moncton tient à souligner la contribution exceptionnelle d'étudiants et étudiantes qui se dévouent dans le domaine de l'éducation physique.

Dans ce contexte, l’étudiant Raphaël Savoie est le récipiendaire du Prix EPS Canada pour l’année universitaire 2011-2012. Animé d'une vive passion pour ce secteur, il a fait preuve d'un leadership exemplaire et d'une aptitude à devenir un chef de file efficace. Grâce à son rendement académique exemplaire et à son dévouement envers la profession, Raphaël aura un impact plus que favorable sur l'éducation physique et la santé au Nouveau-Brunswick.

En plus du certificat et d’un abonnement d’un an à EPS Canada à titre de membre étudiant privilégié (valeur de 50 $) et d’un abonnement d’un an à la Revue EPS (valeur de 80 $), Raphaël est également invité en septembre à participer à la conférence portant sur le leadership étudiant au Camp Walden à Bancroft en Ontario, une valeur de plus de 300 $.

Renseignements : 858-4999 / horia-daniel.iancu@umoncton.ca

Dans le cadre d’une tournée RADARTS, Mike Ward, l’un des humoristes les plus populaires du Québec, sera de passage à Moncton dans le cadre de sa tournée « Mike Ward s’eXpose », le vendredi 25 mai à 20 heures au Théâtre Capitol.

Né à Québec, Mike Ward est l’un des humoristes les plus connus du pays. Il est irrévérencieux, injurieux et carrément impoli, tout cela fait partie de son charme. « S’eXpose », son plus récent spectacle solo, a amassé deux millions de dollars dans les trois premiers mois de tournée. Il a remporté plusieurs prix (Gémeaux, Victor, Olivier), produit deux DVD qui se sont vendus à plus de 100 000 exemplaires, et fait partie du top 25 des meilleurs humoristes francophones de tous les temps selon le Festival Juste pour rire.

Sur la scène internationale, il fait partie des dix humoristes les plus drôles selon le site The-Top-Tens.com, et a reçu plus de visiteurs sur son site Mikeward.ca que n’importe quel autre artiste québécois comme Céline Dion ou Simple Plan, et même plus que Jon Lajoie qui a connu un grand succès grâce à Internet.

Même s’il est une tête d’affiche du circuit de l’humour francophone depuis le milieu des années 1990, ce n’est qu’en 2007 qu’il a fait son entrée dans le circuit anglophone. Après avoir connu un franc succès dans la langue de Shakespeare lors du Festival Just For Laughs en 2007, il y retourne en 2008 dans le cadre du spectacle « French Comedy Bastards », mettant aussi en vedette Derek Séguin et Martin Matte. En 2009, il a offert une performance dans le cadre du spectacle « Nasty Show » qui comprenait Jimmy Carr et Louis CK.

Il a joué à Paris, Dublin, Toronto, Los Angeles, Dubaï et au Royaume-Uni. Il a aussi présenté un spectacle pour les troupes canadiennes en Afghanistan, dans le village olympique lors des Jeux de 2010 et a même reçu une ovation lorsqu’il a ouvert pour Bill Cosby (avec un spectacle plus « modéré »), prouvant alors qu’il peut être aussi drôle même sans « impuretés ».

Les billets sont présentement en vente à la billetterie du Théâtre Capitol, du théâtre l’Escaouette, chez Frank’s Music, au Monument Lefebvre et au Centre étudiant au campus de Moncton, 26,50 $ à 30,50 $, frais de service en sus. On peut également se les procurer en téléphonant à la billetterie, au 856-4379 ou encore en ligne à www.capitol.nb.ca.

Renseignements : www.capitol.nb.ca / www.mikeward.ca

Isabelle Fontaine, experte en coaching de gestion basée sur le développement de l’intelligence émotionnelle et de la psychologie de la performance, sera l’invitée du 32e colloque portant sur la formation professionnelle pour le personnel de bureau, le vendredi 1er juin au campus de Shippagan.

D’entrée de jeu, Isabelle Fontaine souligne que certaines journées, nous sommes en forme, pleins d’énergie, confiants et « inarrêtables ».
« C’est difficile pour nos interlocuteurs de résister à notre charme et au pouvoir de nos arguments lorsque nous sommes dans un tel état de performance, dit-elle, tandis que d’autres jours, le doute, l’insécurité, la mauvaise humeur nous affaiblissent et amoindrissent autant notre qualité de vie que notre capacité à performer. Sachez que des solutions existent : nous pouvons déjouer notre propre cerveau émotionnel et reprendre le contrôle. »

Lors de sa conférence, intitulée « L’intelligence émotionnelle », Mme Fontaine conduira donc les participants et participantes à découvrir des ressources personnelles jusque-là inexploitées, voire ignorées, en leur transmettant des astuces, des outils et des stratégies concrètes pour gérer les différents aspects de leur vie. C’est en effet par les stratégies d’intelligence émotionnelle qu’elle permettra à chacun et chacune de changer l’état intérieur de sa personne à volonté. Elle affirme que par ces stratégies, il est possible de sortir d’un état de fatigue en quelques minutes, ou encore d’apprécier un collaborateur méprisé depuis des années.

L’enthousiasme contagieux d’Isabelle Fontaine et sa facilité à transmettre des astuces pour gérer les différents aspects de notre vie font d’elle une conférencière inspirante à ne pas manquer.

Cinq ateliers compléteront la programmation du colloque : « La confiance et l’estime de soi », avec Annette Comeau; « Les réseaux sociaux », avec Michèle C. Brideau; « L’accueil au quotidien », avec Judith Charest; « Plus d’équilibre dans sa vie, plus de succès au travail », avec Michel Duval; et « Le français au bureau », en compagnie d’Antoinette Godin.
Il est encore temps de s’inscrire au colloque en visitant le site Internet ci-dessous. (http://bureau.umcs.ca/)

Une vidéoconférence du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada portant sur les différentes occasions de financement offertes par le CRSH ainsi que les changements qui y ont été apportés aura lieu le mercredi 6 juin de 10 heures à midi à l’Université de Moncton : dans la salle A-231 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton, dans la salle U-253 au campus de Bathurst, dans la salle PSL-321 au campus d’Edmundston et dans la salle PIL-307 au campus de Shippagan.

Cette séance d’information sera offerte par vidéoconférence par des agents de programme du CRSH et portera donc sur les différentes occasions de financement offertes par le CRSH ainsi que les changements qui y ont été apportés. Par exemple, la soumission d’avis d’intention (AI) est maintenant une étape obligatoire avant le concours des Subventions Savoir. Une personne candidate n’ayant pas présenté un avis d’intention avant le 15 août prochain ne sera pas admissible à soumettre la demande complète au concours d’octobre.

La Faculté des études supérieures et de la recherche encourage fortement les membres du corps professoral qui n’ont jamais fait de demande au CRSH ou qui n’ont pas eu de succès jusqu’à présent à assister à cette présentation.

Voici les éléments qui seront abordés lors de la séance :

Partenariats officiels
Subventions Connexion
Subventions de développement de partenariat
Subventions de partenariat

Chercheuses et chercheurs travaillant seuls ou en équipe
Subventions Savoir et Subventions de développement Savoir
Avis d’intention - Nouveau
Processus de présentation et d’évaluation des demandes
Conseils et questions

La FESR encourage fortement les chercheurs et chercheuses à participer à cette activité et à profiter de l’occasion pour avoir un échange dynamique d’information dans la perspective du développement de la recherche en sciences humaines à l’Université de Moncton.

Les personnes intéressées sont priées de le confirmer auprès de la FESR d’ici le lundi 28 mai, que ce soit à Moncton ou à l’un des autres campus, au 506-858-4310 / fesr@umoncton.ca.

La troisième cohorte des 23 finissants et finissantes de médecine a été honorée le samedi 5 mai en présence de plus de 200 invités, amis et familles.

Martine Coulombe, ministre de l’Éducation postsecondaire, Formation et Travail, a tenu à souligner le travail accompli par les étudiants et étudiantes en leur remettant un certificat de reconnaissance au nom du gouvernement du Nouveau-Brunswick. Ce certificat a été remis au même moment que la cérémonie symbolique de remise du sarrau par le professeur Aurel Schofield, directeur fondateur du Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick et vice-doyen de la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l’Université de Sherbrooke (FMSSSUS).

De plus, la vice-doyenne aux Études médicales prédoctorales de la FMSSUS, la professeure Ève-Reine Gagné, et le vice-recteur à l’enseignement et la recherche de l’Université de Moncton, Neil Boucher, ont également adressé leurs vœux de félicitations aux finissants et finissantes ainsi qu’à l’équipe du CFMNB.

« La réussite académique et personnelle des étudiantes et étudiants du CFMNB rayonne sur l’ensemble des partenaires universitaires, gouvernementaux et communautaires, indique le professeur Schofield. Ceci démontre clairement que la collaboration proactive se transforme en un réel succès dont nous pouvons tous être fiers. »

Les finissantes et finissants représentés par Jean-Sébastien Daigle et Charlene Ward ont également rendu un vibrant témoignage concernant leur cheminement des dernières années ainsi que leur désir de revenir pratiquer au Nouveau-Brunswick. Ils entameront leur résidence en juillet. Neuf étudiants poursuivront leur formation dans le Programme de formation en médecine de famille francophone réparti dans le Réseau de santé Vitalité, basé à l’Unité de médecine de famille de Dieppe et affilié à l’Université de Sherbrooke. Un autre étudiant ira en médecine de famille à l’Université de Montréal. L'autre partie du groupe s’est placée dans des disciplines spécialisées variées telles que la médecine interne (8), la chirurgie (1), la psychiatrie (2), la dermatologie (1) et la radiologie diagnostique (1). La majorité poursuivra des études en spécialité à la Faculté de médecine de Sherbrooke.

Les finissantes et finissants ont également remis un prix d’excellence, le prix Dr-Omer-Doiron, au professeur Yves Thibeault, néphrologue, pour son dévouement envers les étudiants et sa contribution exceptionnelle à l’enseignement au CFMNB ainsi qu’à titre de superviseur de stage clinique.

« Le chemin parcouru dans le but d’obtenir un doctorat en médecine ne représente non seulement quatre années d’études, mais bien le couronnement d’au moins six à dix ans d’études postsecondaires. La fierté qui anime les finissants et finissantes aujourd’hui est certes plus que méritée devant cette réalisation personnelle. Nous leur souhaitons beaucoup de chance dans leurs études postdoctorales » conclut le directeur du CFMNB.

Renseignements : 863-2222 / miche.martin@umoncton.ca

La photo, prise lors du banquet annuel de l’École de psychologie, nous fait voir, de gauche à droite, Treska Pitre-Guitard, Francesca Turgeon et Marie-Claire Losier, étudiantes de 4e année inscrites au baccalauréat ès arts avec spécialisation en psychologie; Paul Bourque, doyen de la Faculté des sciences de la santé et services communautaires; Éric Grandmaison, psychologue; Léandre Desjardins, directeur par intérim à l’École de psychologie; Mylène Pitre, étudiante de 4e année au baccalauréat ès arts avec spécialisation en psychologie; et Myriam Binot, étudiante de 4e année au baccalauréat ès arts avec majeure en psychologie. Absence dans la photo : Marie-Andrée Légère, étudiante de 4e année au baccalauréat ès arts avec spécialisation en psychologie.

Le Programme d’appui à la réussite des études et le Service d’animation et de soutien à l’enseignement (SASE) de l’Université de Moncton vous invitent à assister au prochain colloque d’appui à la réussite, ayant pour titre « Comprendre nos différences pour réussir », le mercredi 6 juin de 8 h 30 à 16 heures au pavillon Jeanne-de-Valois du campus de Moncton.

Pour le SASE, ce colloque correspond à la journée pédagogique habituellement offerte au printemps alors que pour le Programme d’appui à la réussite des études, il constitue le 6e colloque portant sur la réussite.

Ce colloque sur la réussite veut approfondir la compréhension de la diversité de notre population universitaire sous plusieurs angles. Il intéressera les membres du personnel académique et non académique, les cadres, de même que les étudiants et étudiantes.

Les communications et les ateliers ont comme thématique la diversité de notre population universitaire.

Dominique Pépin-Filion dressera un portrait de cette diversité en présentant des résultats préliminaires d’une enquête portant sur la plus récente cohorte de diplômées et diplômés de l’Université de Moncton en ce qui concerne les caractéristiques sociodémographiques tels le sexe, l’âge, l’origine sociale ou géographique. Cette diversité s’exprime en matière de défis reliés notamment à la provenance culturelle.

Lionel Laroche, en conférence d’ouverture, ainsi que Lucille Landry, en atelier, parleront des défis et des richesses de l’interculturel. Les différences touchent aussi la façon d’appréhender le monde de nos étudiants et étudiantes faisant face aux problématiques de la santé mentale, thème abordé par le Dr Marc Vautour, ou des handicaps ou troubles d’apprentissage dont discutera Josée Nadeau.

Les différences intergénérationnelles peuvent aussi interpeler nos pratiques en ce qui a trait aux valeurs, à la façon de communiquer et à l’utilisation des technologies. La communication efficace sera abordée sous l’angle de l’utilisation de la voix en compagnie de Diane Ricard, et sous l’angle des outils technologiques avec Hélène Savoie.

Le colloque permettra aussi aux personnes participantes de se doter d’outils concrets pour relever les défis de la diversité en pédagogie universitaire.

Jocelyn Nadeau présentera les principes d’une rétroaction efficace pour favoriser de meilleurs apprentissages à l’aide d’un dispositif développé pour livrer une rétroaction audiovisuelle asynchrone personnalisée aux étudiantes et aux étudiants.

Gérard J. Poitras et son équipe proposeront également un outil technologique favorisant une meilleure gestion cognitive lors de la résolution de problème.

L’atelier de Chantal Bouchard et Sylvie Blain portant sur le logiciel en ligne Prezi permettra aux participantes et participants de s’initier ou d’approfondir l’utilisation de cet outil.

Dans une perspective d’appui à la réussite, il y a lieu de s’interroger sur la façon dont nos programmes sont dispensés.

Jacinthe Beauchamp nous amènera à réfléchir au sujet de l’« apprendre ensemble » pour mieux préparer nos futures personnes diplômées à travailler ensemble lorsqu’elles seront sur le marché du travail.

Finalement, pour inciter les étudiants et étudiantes à exercer leurs droits et devoirs de citoyen, Lise Savoie suggère l’utilisation d’un outil pédagogique favorisant le débat d’idées et la pensée critique. Renseignements : 858-4895.

« La puissance de l'orgue », un récital de l'organiste Mélanie Barney joué sur les grandes orgues de la cathédrale Notre-Dame de l'Assomption de Moncton, aura lieu le dimanche 20 mai à 20 heures.

Au programme, vous pourrez entendre des oeuvres symphoniques célèbres pour orgue (Vierne) ainsi que des transcriptions symphoniques grandioses (Wagner, Saëns).

Voilà une occasion unique pour découvrir ou redécouvrir toute la richesse et toute la puissance qu'offre le magnifique orgue Casavant (Opus 2256, 1955) de la cathédrale de Moncton.

L'entrée est de 20 $. Ce concert est cependant sans frais pour les enfants de moins de 15 ans qui seront accompagnés d'un adulte. Vous pouvez acheter les billets au théâtre l'Escaouette, à La Guitare et chez Frank Music Store à Moncton, et à la Bijouterie Centreville de Shédiac (http://www.melaniebarney.com)

La Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen de l’Université de Moncton prépare une exposition de groupe, qui sera présentée du 3 au 12 août à la galerie du Faouëdic dans le cadre de l’Année de l’Acadie au 42e Festival interceltique de Lorient, en France.

Le Festival interceltique de Lorient est un rassemblement international annuel de créateurs, représentants de la société civile et d’artistes des pays celtes. Chaque année, un pays ou une région (Irlande, Écosse, Bretagne, Pays de Galles, Ile de Man, Cornouailles, Australie, Galice, Asturies, Acadie) est mis à l’honneur comme cela fut le cas pour l’Acadie en 2004 et à nouveau cette année.

Le Festival interceltique de Lorient est l’une des manifestations les plus importantes d’Europe, avec un concept unique où se mêlent cultures régionales et réseaux internationaux, et l’un des plus médiatisés de France. Annuellement, plus de 5 000 artistes du monde entier convergent en août vers cette ville de Bretagne pour participer à cet événement social d’envergure, tandis qu’environ 800 000 festivaliers envahissent les rues pendant les dix jours que dure le festival.

En raison de considérations quant au transport, une attention particulière sera portée aux projets vidéo et aux oeuvres non encadrées sur papier ou tissu.

Veuillez soumettre les documents suivants avant le 14 mai : jusqu’à 20 images numérisées (en format JPEG) de votre travail incluant le projet proposé; une liste détaillée des œuvres; un curriculum vitae récent; la démarche artistique et description de projet; et une enveloppe de retour préaffranchie (au besoin). Les soumissions par courrier électronique ne seront pas considérées.

Envoyez vos dossiers à l’attention de Jennifer Bélanger, commissaire invitée, Galerie d'art Louise et Reuben-Cohen, Université de Moncton, pavillon Clément-Cormier, 18, avenue Antonine-Maillet, Moncton, Nouveau-Brunswick, E1A 3E9.

Renseignements: 858-4687 / 864-0546 (http://www.umoncton.ca/umcm-ga/)