L’Association du Nouveau-Brunswick pour l’intégration communautaire, au nom de l’Association canadienne pour l’intégration communautaire, décerne un prix de reconnaissance national en inclusion scolaire à Raymond Vienneau, professeur à la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Moncton.

Le professeur Vienneau a été l’un des premiers chercheurs et éducateurs canadiens à reconnaître l’importance de l’inclusion scolaire, à s’impliquer personnellement et à communiquer sa passion pour l’étude et la promotion des principes et des pratiques associées à ce mouvement. En 2002, il a publié dans la revue Éducation et Francophonie, 30(2), le tout premier article en langue française portant sur la « pédagogie de l’inclusion » dans lequel il examine les fondements et les implications éducatives de l’éducation inclusive. Il s’agit peut-être de l’article auquel les chercheurs et praticiens canadiens se réfèrent le plus souvent dans ce domaine. Le professeur Vienneau peut donc être considéré de plein droit comme un pionnier de l’éducation inclusive, non seulement au Nouveau-Brunswick mais aussi au Canada.

Il continue toujours d’être actif dans ce domaine comme en témoignent ses nombreuses publications dont une contribution originale sur les « Pratiques exemplaires en inclusion scolaire au Nouveau-Brunswick francophone », de même que son implication comme membre fondateur du Laboratoire international sur l’inclusion scolaire (LISIS) en 2010. Ce laboratoire rassemble des chercheurs de plusieurs provinces canadiennes, de la Suisse et d’autres pays, tous passionnés par l’étude et la promotion de l’inclusion. Dans ce contexte, on ne saurait passer sous silence son travail comme membre de l’équipe de rédacteurs invités pour le numéro spécial de la revue Éducation et francophonie publié à l’automne 2011 sur la « Valorisation de la diversité en éducation ».

La liste des réalisations mentionnées précédemment reflète l’importance de sa contribution au mouvement vers l’inclusion au-delà des frontières du Nouveau-Brunswick. Pour ce qui est de son apport au niveau de cette province en particulier, il travaille à la formation des enseignants-ressources depuis déjà bon nombre d’années. Le professeur Vienneau a de plus souvent été appelé en consultation auprès du ministère de l’Éducation et du Développement de la petite enfance et a mené des études sur l’intégration ou l’inclusion scolaire dans cette province. Son influence se fait ainsi sentir autant au niveau des pratiques qu’à celui des politiques inclusives à l’international, au Canada et au Nouveau-Brunswick.

Le prix de reconnaissance national en inclusion scolaire sera remis au professeur Vienneau par le lieutenant-gouverneur Graydon Nicholas lors d’une cérémonie à sa résidence de Fredericton.

Sous le thème « Regard sur le monde… à travers les yeux de l’autre », la Semaine internationale aura lieu du 11 au 17 février au campus de Moncton. Ce sera l’occasion de faire connaître les différents pays d’où sont originaires les étudiantes et étudiants internationaux fréquentant l’Université de Moncton ainsi que leurs cultures et leurs traditions.

La cérémonie d’ouverture aura lieu le lundi 11 février de 11 h 30 à 12 h 30 au café étudiant Le Coude situé au Centre étudiant. Un goûter international suivra ainsi qu’une dégustation de thé marocain.

Il y aura également le lancement d’un guide d’adaptation interculturelle, intitulé « À la rencontre de soi et de l’autre ». Destiné à la fois aux étudiants internationaux et aux Canadiens, ce guide servira d’outil pour mieux apprécier la diversité culturelle et pour faciliter les échanges entre les étudiantes et les étudiants.

Le mardi 12 février de 11 h 15 à 12 h 15 au Coude, plusieurs étudiantes et étudiants qui ont fait des études, des stages ou des missions à l’international présenteront des témoignages accompagnés de vidéos. Divers groupes humanitaires du campus présenteront aussi les détails des missions qu’ils feront au cours de l’année.

La journée du mercredi 13 février sera consacrée à l’Acadie. Pour l’occasion, la cafétéria Le Mascaret offrira un choix de mets acadiens. La gérante d’artiste Carol Doucet présentera une conférence portant sur les défis auxquels font face les artistes qui veulent percer à l’étranger, à 10 heures dans la salle 273 du pavillon Jean-Cadieux. À 11 h 15 au Centre étudiant, le Musée acadien fera une présentation portant sur l’histoire de l’Acadie et de l’historique des relations entre les Acadiens et les Mi’kmaq. Le tout sera suivi d’une activité « cabane à sucre » à l’extérieur du Centre étudiant. Les personnes intéressées pourront également faire une visite du Musée acadien de 13 heures à 15 heures.

L’Université recevra également Louise Fréchette, ancienne ambassadrice du Canada et vice-secrétaire générale de l’Organisation des Nations Unis (ONU). Elle présentera une conférence au sujet du rôle de l’ONU en matière de développement international, le mercredi 13 février à midi dans la salle 142 du pavillon Adrien-J.-Cormier.

Entre 11 heures et 17 heures, une friperie aura lieu dans la salle 136 du pavillon Léopold-Taillon. Des vêtements pour femmes seront en vente et les profits seront remis à l’organisme CARE Canada dont Mme Fréchette assume la présidence. Un cocktail dinatoire aura lieu au Coude de 17 heures à 19 heures en sa compagnie. Les billets au coût de 50 $ seront en vente à l’entrée. Il est aussi possible de s’en procurer à l’avance en communiquant avec Monica Poirier (monica.poirier@landalinc.com) au 861-6352.

Mercredi, le public pourra découvrir les talents de Jacques Boudreau et de Guyaume Boulianne dès 21 heures lors de la soirée jammer du campus au Coude.

Le Burkina Faso sera à l’honneur le jeudi 14 février. À 10 h 30 dans la salle 136 du pavillon Léopold-Taillon, des représentants du Collège communautaire du Nouveau-Brunswick présenteront divers projets internationaux en cours. À 15 heures dans le même local, les professeures Carole Tranchant et Lise Savoie présenteront le projet d’Appui aux écoles pratiques d’agriculture (CPR) du Burkina Faso.

Un spectacle sans frais du conteur Kientenga Pingdéwindé, originaire du Burkina Faso, sera présenté le jeudi à 19 heures dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois, tandis que le Ciné-campus présentera le film « Rebelle », du réalisateur Kim Nguyen, en nomination dans la catégorie meilleur film étranger aux Oscars, le jeudi et le vendredi à 20 heures dans l’amphithéâtre 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard.

Quant au vendredi 15 février, le pays à l’honneur sera le Mali. À 11 h 15 dans la salle 136 du pavillon Léopold-Taillon, le professeur Ibrahim Ouattara présentera quelques réflexions portant sur la crise actuelle dans ce pays.

La Semaine internationale atteindra son apogée avec la 37e Soirée internationale, qui aura lieu le samedi 16 février au Ceps Louis-J.-Robichaud. Un Village international sera installé dans le gymnase du Ceps dès 15 heures où le public pourra y visiter sans frais le Souk international ainsi que des stands de commerce équitable de l’organisme Dix Mille Villages. Un repas à saveur internationale sera servi dès 17 heures dans le stade, qui sera suivi d’un spectacle multiculturel riche en couleurs. Les billets pour la soirée sont en vente à la billetterie du Centre étudiant, au coût de 15 $ pour les étudiants, 20 $ pour les adultes et 8 $ pour les enfants de 12 ans et moins.

La semaine prendra fin avec un spectacle de l’humoriste ivoirien Le Grand Maître, le dimanche 17 février à 19 heures dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois. Les billets, 5 $ pour les étudiants et 7 $ tarif ordinaire, sont en vente à la billetterie du Centre étudiant.

La professeure Denise Lamontagne est invitée en février à titre d’experte externe par l’Université Laval à participer à l’évaluation des programmes de doctorat, de maitrise et de baccalauréat en sciences des religions.

Les programmes de 1er, 2e et 3e cycles en sciences des religions de l’Université Laval sont actuellement en cours d’évaluation périodique. Les professeurs/chercheurs spécialistes dans le domaine des sciences des religions dont fait partie Mme Lamontagne, consacreront leur temps d’évaluateur externe aux diverses rencontres des directions de la Faculté, des professeures et professeurs, du personnel d’encadrement et des étudiantes et étudiants.

À la fin du processus, un rapport conjoint sera présenté au directeur des programmes, à la direction de l’Université, de la Faculté de théologie et des sciences religieuses, de la Faculté des études supérieures et postdoctorales.

La professeure Lamontagne se dit honorée que l'Université Laval reconnaisse son expertise en sciences des religions.

Le professeur Georges Bader a pris sa retraite le 31 décembre après plus de 30 ans d’enseignement et de recherche au sein du Département de physique et d’astronomie du campus de Moncton. La Faculté des sciences a souligné sa carrière lors d’une réception.

M. Bader a commencé sa carrière à l’Université de Moncton en 1982 après avoir obtenu la licence en mathématiques de l’Université de Liège et la maîtrise et le doctorat en physique de l’Université de Montréal. Avant son arrivée à Moncton, il a également été boursier postdoctoral à l’Université de Montréal et à l’Université McGill, professeur et directeur du Département de mathématiques de l’École polytechnique de Thiès au Sénégal, professeur de physique à l’Université nationale du Rwanda et attaché de recherche au Département de physique de l’Université de Sherbrooke.

En plus de s’acquitter splendidement de son enseignement en physique tant au niveau du baccalauréat que de la maîtrise, le professeur Bader a énormément contribué à la recherche dans le domaine de l’optique, des matériaux et de l’instrumentation. Il a développé un ellipsomètre de très grande qualité qui sert pour caractériser les propriétés optiques de matériaux avancés. Cet instrument est parmi les meilleurs au monde. Il a également publié très régulièrement ses résultats de recherche dans des revues scientifiques de grande renommée.

Le professeur Bader a aussi su pleinement utiliser les ressources informatiques dès leur arrivée dans notre société, non seulement pour la recherche mais également en enseignement. Il a donc été un acteur clé pour la modernisation des laboratoires du Département de physique et d’astronomie.

Jennifer Louise Boyd a été nommée au poste de conseillère en harcèlement et gestion de conflits à l’Université de Moncton.

Elle aura la responsabilité de diriger et de coordonner les activités de prévention, d’éducation et de traitement des plaintes relatives à la politique en matière d’harcèlement sexuel et sexiste et de la politique pour un milieu de travail et d’études respectueux.

Mme Boyd possède le baccalauréat en psychologie, le baccalauréat en droit et la maîtrise en administration des affaires de l’Université de Moncton.

L’Université de Moncton considère le respect mutuel et l’écoute comme des valeurs fondamentales qui favorisent l’épanouissement personnel et l’établissement de rapports harmonieux entre les individus. Ces valeurs encouragent la création et le maintien d’un climat de travail sain et propice à l’accomplissement personnel et collectif.

Par conséquent, l’institution s’engage à promouvoir un milieu de travail et d’études respectueux pour tous les membres de la communauté universitaire, à protéger toute personne contre les atteintes au respect de sa dignité et, le cas échéant, à lui offrir les moyens appropriés de mettre fin à de telles atteintes. Enfin, elle favorise, lorsqu’elle est appropriée, une démarche volontaire de résolution des conflits entre les personnes touchées.

Le Service est situé dans le local 231 du pavillon Pierre-Amand Landry au campus de Moncton.

Vous pouvez joindre Mme Boyd au numéro 858-4430 ou par courriel à l’adresse jennifer.louise.boyd@umoncton.ca

Camille Thériault, président et chef de la direction du Mouvement des Caisses populaires acadiennes, a prononcé une conférence portant sur la contribution des coopératives au développement économique et social lors du lancement de la Semaine d’administration organisée à la Faculté d’administration de l’Université de Moncton.

Dans la photo, Camille Thériault est accompagné, à gauche, de Gaston LeBlanc, doyen de la Faculté d’administration, et Chantal Caissie, vice-présidente interne du conseil étudiant, et, à droite, de Rachel Gauvin d’Entremont, chargée de projets au CARDE, et Taha Maarous, président du conseil étudiant.

Dans le cadre de la Semaine internationale, le Département de science politique et le Bureau des relations internationales reçoivent Louise Fréchette, présidente du conseil d’administration de CARE Canada depuis 2011, qui prononcera une conférence publique, intitulée « Le rôle de l’ONU en matière de développement international », le mercredi 13 février à midi dans la salle 142 du pavillon Adrien-J.-Cormier au campus de Moncton.

Mme Fréchette a été vice-secrétaire générale de l'Organisation des Nations Unies de 1998 à 2006. Avant cela, elle a poursuivi une carrière dans la fonction publique du Canada, notamment en tant qu'ambassadrice en Argentine et en Uruguay (1985-1988), ambassadrice et représentante permanente auprès de l'Organisation des Nations Unies (1992-1994), sous-ministre associée des Finances (1995) et sous-ministre de la Défense nationale (1995-1998).

Elle est membre du conseil d'administration d’Essilor International ainsi que de la Global Leadership Foundation et du Conseil consultatif de l'Institut d'étude du développement international de l'Université McGill.

Mme Fréchette est officière de l'Ordre du Canada. Elle possède le diplôme en histoire de l'Université de Montréal et le certificat en économie du Collège d'Europe à Bruges, en Belgique.

Renseignements : 858-4826 / dominique.gagne@umoncton.ca

L’Association des étudiantes et étudiants internationaux de l’Université de Moncton (AEEIUM) présente la 37e édition de la Soirée internationale, le samedi 16 février dans le stade du Ceps Louis-J.-Robichaud au campus de Moncton. Le thème cette année : « Regard sur le monde… à travers les yeux de l’autre ».

L’animation commencera dès 15 heures dans le gymnase alors que le public pourra visiter sans frais le village international qui regroupera plusieurs stands animés et interactifs qui permettront d’en apprendre davantage sur les différentes cultures. L’organisme de commerces équitables Dix Mille Villages sera présent et les gens pourront voir, découvrir et possiblement acheter des articles fabriqués par des artisans des quatre coins de la planète.

Pour assister au souper et le spectacle, les frais sont de 20 $ tarif ordinaire, l5 $ pour étudiants et 8 $ pour les enfants de 12 ans et moins. Les billets sont présentement en vente à la billetterie du Centre étudiant (858-4554). Le souper sera servi à compter de 18 heures et le spectacle commencera à 19 heures.

Depuis 37 ans déjà, la Soirée internationale est l’un des événements les plus attendus par la communauté de la grande région de Moncton. Cet événement clôturera la Semaine internationale qui aura lieu du 9 au 16 février. Chaque édition reçoit plus de 1 400 spectateurs qui sont invités à déguster un souper avec des mets typiques de différents pays, à assister à un magnifique spectacle et à participer aux activités qui sont proposées à de nombreux stands animés et interactifs.

« La Soirée internationale permet cette ouverture entre les cultures, estime la présidente de l’AEEIUM, Ibtissam Nkaili. Dans un contexte où la culture est secouée par divers courants, cet événement offre une occasion de voir le monde à travers les yeux de l’autre. Il faut aller au-delà de nos idées préconçues et en apprendre davantage sur les autres cultures afin de les valoriser et se bâtir une autre perception de la communauté internationale. Le comité organisateur travaille sans relâche afin d’offrir une soirée inclusive. Et le programme a été choisi avec soin afin d’intégrer la tradition et la modernité des différentes cultures présentes dans la communauté. »

Renseignements : 850-7830 / melissa.thibodeau@umoncton.ca

Camille Thériault, président et chef de la direction du Mouvement des caisses populaires acadiennes, a été admis à l’Ordre des grands amis et amies de la Faculté d’administration lors du 44e banquet annuel de la Faculté d’administration de l’Université de Moncton qui, cette année, portait sur le thème « La francophonie une richesse à cultiver».

La photo nous fait voir, de gauche à droite, Bernard Valcourt, ministre fédéral associé de la Défense nationale et ministre d’État de l’Agence de promotion économique du Canada Atlantique et de la Francophonie, conférencier d’honneur; Raymond Théberge, recteur et vice-chancelier; Marie-France Doucet, directrice générale du Pays de la Sagouine, ancienne de l’année 2013; Camille Thériault, président et chef de la direction du Mouvement des caisses populaires acadiennes; Ashley Aubé, coordonnatrice en chef du banquet; et Gaston LeBlanc, doyen de la Faculté d’administration.

Eh oui, les vacances de Noël sont terminées et l’hiver a repris ses droits; c’est le temps pour plusieurs d’organiser leur dernier semestre universitaire. Il faut songer à la fin prochaine de vos études qui aura été un moment marquant de votre vie, à l’obtention de votre diplôme universitaire et finalement à un emploi à la hauteur de vos compétences.

Tous ces projets peuvent parfois être intimidants pour certains, d’autant plus que la fin d’un épisode aussi important engendre de nouvelles perspectives, de nouvelles aventures. Toutefois, sachez que plusieurs programmes vous sont offerts afin de faciliter cette toute nouvelle transition.

D’où le Salon carrière, organisé par le Service de recherche de l’emploi en collaboration avec les Services aux étudiantes et étudiants de l’Université de Moncton. Pour cette 13e édition, ce salon regroupe plusieurs dizaines d’organismes, de compagnies et d’employeurs potentiels qui sont prêts à vous écouter. On attend plusieurs employeurs rattachés à chaque domaine d’étude. Quelque 700 étudiants et exposants seront présents le mercredi 13 février de 10 heures à 16 heures dans le stade du Ceps Louis-J.-Robichaud au campus de Moncton. Vous pourrez non seulement présenter votre curriculum vitae en main propre, mais aussi vous faire valoir vos aptitudes, vos projets et votre énergie débordante.

Et mieux encore…
Vous n’êtes pas obligé d’être un finissant ou finissante pour assister au Salon carrière. Plusieurs des étudiants et étudiantes ont déniché des occasions pour faire un stage, des emplois à temps partiel, des stages d’été ou tout simplement de bons tuyaux dans le milieu qui les intéresse.

Beaucoup d’étudiants de la première à la troisième année ont eu des réponses à leurs questions en venant les poser directement à des professionnels qui possèdent un imposant bagage de connaissances et d’expérience qui ont façonné leur vie professionnelle.

De plus, pour les étudiants qui sont encore indécis quant à leur avenir, c’est une excellente occasion de visiter les différents stands, de poser des questions et d’en apprendre davantage sur les différentes carrières qui s’offrent à vous à la fin de vos études.

Le bénévolat, ça vous intéresse ?
On est toujours à la recherche de personnes bénévoles prêtes à donner un coup de main, le mardi 12 février en soirée et le mercredi 13 février pendant la journée. C’est non seulement une occasion de faire une bonne action mais aussi de se faire connaitre des exposants. Chaque année, les bénévoles ont su surprendre les visiteurs, les exposants et surtout les organisateurs par leur énergie et leur sens du devoir qui ont façonné d’une façon remarquable tous les salons antérieurs. Les places sont limitées, alors si vous êtes intéressés, ne tardez pas à donner votre nom par courriel à saloncarriere@umoncton.ca. Une journée emballante vous attend.

Vous pouvez suivre ce salon sur la page Facebook « Salon carrière de l’Université de Moncton », ainsi que sur LinkedIn et Twitter. Des renseignements importants sur les exposants qui sont présents sont disponibles au quotidien. Ne manquez pas non plus les concours forts intéressants et les prix à gagner qui seront affichés sur la page Facebook.

Renseignements : 863-2060 / 863-2060 / saloncarriere@umoncton.ca.

Pour les amoureux et les passionnés des mathématiques et pour ceux et celles qui veulent en apprendre davantage sur cette discipline, un nouveau projet, intitulé « Mathématiques en mouvement », voit le jour à l'Université de Moncton.

C'est le mathématicien et professeur Donald Violette qui a initié ce projet, qui consiste en des soirées de vulgarisation mathématique destinées au grand public et à tous ceux et celles qui aiment les mathématiques. Trois soirées par année sont prévues pendant lesquelles le professeur Violette et des étudiants du Département de mathématiques sous sa direction feront de courtes présentations accessibles à tous, portant sur les curiosités mathématiques ainsi que sur la beauté et la magie de celles-ci.

Le but de ce projet est de faire la promotion des mathématiques en Acadie et de les démystifier auprès du grand public afin de créer une culture mathématique au Nouveau-Brunswick français. De telles soirées lui permettront de s’ouvrir aux mathématiques, de les apprivoiser et finalement de les aimer. De plus, les mathématiciens en herbe pourront acquérir une certaine expérience de l’enseignement tout en leur permettant de communiquer leurs connaissances et leur passion.

La première de ces soirées aura lieu le jeudi 14 mars à 19 h 30 dans le local B-103 du pavillon Rémi-Rossignol, dans le cadre de la journée du nombre « Pi ».

Le professeur Donald Violette est également fondateur des Camps mathématiques de l'Acadie et du Concours de mathématiques Poincaré.

Bienvenue à tous et à toutes. Un léger goûter sera servi.

Le 13e congrès de l’APTICA (Avancement pédagogique des technologies de l'information et de la communication en Atlantique), avec comme thème « Le leadership en éducation à l’ère du numérique», aura lieu les 9, 10 et 11 mai au pavillon Jeanne de Valois du campus de Moncton

Les jeunes sont conscients du pouvoir que leur confèrent les TIC et les réseaux. On voit bien qu’ils incitent les enseignants et les institutions au changement. Les jeunes ne sont pas seuls, évidemment. Plusieurs professionnels de l’éducation, dont des directions d’école, sont aux commandes et ne craignent pas d’innover. On nous rappelle fort heureusement que le succès engendre le succès.

La mission de l’APTICA est d'encourager et de faciliter l'intégration pédagogique des TIC auprès de la communauté apprenante francophone de l'Atlantique par le partage et le développement de ressources pédagogiques en technologies éducatives.

On est présentement à l’étape d’appel d’ateliers. Votre présence très appréciée joue un grand rôle dans le succès de cet évènement. À cet effet, on sollicite votre participation et votre présence au congrès.

Sans doute que vous vous posez plusieurs questions telles que « Qui peut présenter un atelier ? », « Quels types de présentation peuvent être proposés ? », « Que peut contenir une présentation ou un atelier ? » ou encore « Quel est le forfait offert aux animatrices et animateurs ? » Vous trouverez les réponses à ces questions en consultant le site http://www.aptica.ca

Vous pouvez faire parvenir vos propositions d’ateliers en remplissant le formulaire électronique à partir du site Web http://www.aptica.ca. La date limite est le 2 mars.

Le conférencier sera Bernard Manzerolle, mentor en technologie de l’information et de la communication pour le district scolaire 11 du ministère de l’Éducation pour une décennie. En 2012, c'est à Paris qu'il a joué le rôle d'expert TICE au projet « Initiative pour la formation à distance des maîtres » à l'Organisation internationale de la Francophonie. Il revient certainement avec des nouveautés à partager avec vous.

Encore une fois, on sollicite votre participation comme animateur, animatrice et congressiste.

Renseignements : Wilfrid Pelletier, coordonnateur de l'APTICA, au 506-382-3301 / wilfrid@aptica.ca

La quatrième Journée annuelle de réflexion sur les mathématiques au Nouveau-Brunswick francophone a eu lieu le 20 octobre à l’Université de Moncton. Ces rencontres réunissent des gens intéressés aux mathématiques de tous les niveaux, de la maternelle à l’Université, et les réflexions portent sur les moyens de donner aux élèves francophones de la province une attitude plus favorable envers les mathématiques et à leurs enseignants des outils pour enrichir la vie mathématique dans leurs classes et leurs écoles.

Le 20 octobre, une décision importante a été prise. Désormais, il y aura chaque année une journée spéciale pour célébrer les mathématiques dans les écoles francophones de la province, un peu comme la Semaine provinciale de la fierté française qui célèbre la langue.

Cette journée a lieu en février, soit au début du deuxième semestre dans les écoles secondaires. Cette année, la date retenue est le 19 février, qui coïncide avec le 540e anniversaire de naissance de l’astronome Nicolas Copernic. Finalement, on a aussi décidé que cette journée de célébration des mathématiques serait appelée la « Fête des maths ».

La Fête des maths à l’Université de Moncton
Puisque l’Université de Moncton a été le lieu de rencontre des premières Journées de réflexion sur les mathématiques, et puisqu’à l’Université de Moncton on veut servir de catalyseur pour enrichir la vie mathématique dans toutes les écoles de la province, on se doit de souligner la Fête des maths en même temps que ce sera fait dans les écoles.

Ainsi, le mardi 19 février, il y aura une conférence publique du Club de mathématiques destinée aux matheux comme aux non matheux qui font preuve d’un peu de curiosité. Paul Deguire, directeur du Département de mathématiques et de statistique, prononcera cette conférence, intitulée « Les trois grands problèmes de l’Antiquité », à 15 heures dans le local A-002 du pavillon Rémi-Rossignol au campus de Moncton. On espère y côtoyer des gens de toutes les facultés qui seront présents pour souligner la première Fête des maths au Nouveau-Brunswick francophone.

Pour dire qu’une chose est impossible on dit souvent que c’est comme la quadrature du cercle. On pourrait aussi bien dire que c’est comme la trisection de l’angle ou la duplication du cube. Ensemble, ces trois questions forment les trois grands problèmes de l’Antiquité. La nature des problèmes étant de réaliser les constructions mentionnées en respectant certaines règles. Le livre le plus important de l’histoire des mathématiques et des sciences, les Éléments d’Euclide, définit les règles du jeu : ces constructions doivent être faites à la règle et au compas. Les trois grands problèmes de l’Antiquité n’ont été résolus qu’au 19e siècle en utilisant des outils mathématiques bien plus sophistiqués que ce dont les grecs disposaient.

Dans cette conférence, on établira d’abord les outils élémentaires qui nous permettront de bien comprendre ces problèmes, on fera des constructions qui permettent de résoudre des problèmes apparentés plus simples et on présentera les outils mathématiques développés aux 17e et 19e siècles qui ont permis de résoudre ces problèmes. Ça vous rappellera quelques souvenirs même si votre niveau mathématique ne dépasse pas l’école secondaire.

On présentera également des solutions sans respecter les règles du jeu. En d’autres termes, pour les résoudre, on trichera, suivant en cela l’exemple des grecs anciens qui eux-mêmes trichaient régulièrement à ce sujet, mais qui sont quand même toujours restés conscients qu’ils trichaient et que les vraies solutions leurs échappaient.

Deux étudiants de l’Université de Moncton, Jonathan Firth, d’Atholville, inscrit au B.A.-B.Ed (majeure histoire), et Jessica Audrey Whelton, de Grande-Anse, étudiante au B.A.-B.Ed (primaire), sont les bénéficiaires d’une bourse Alcide-Godin d’une valeur de 1 000 $ chacune pour l’année universitaire 2012-2013.

Le Fonds de bourses Alcide-Godin a été créé en 2004 grâce à un généreux don de 200 000 $ d’Alcide-Godin, professeur retraité de la Faculté des sciences de l'éducation. Ces bourses sont offertes uniquement aux étudiantes et étudiants inscrits au campus de Moncton dans les programmes de formation à l'enseignement de cinq ans et qui proviennent des régions des districts scolaires francophones nord-est et nord-ouest du Nouveau-Brunswick.

Dans la photo, Jonathan Firth reçoit sa bourse de Jean-François Richard, doyen de la Faculté des sciences de l’éducation. Jessica Audrey Whelton était absente.

La revue Ancrages souhaite inviter les auteurs et auteures à lui faire part de leur intérêt à participer à l'événement littéraire « Jeudivers », un projet de création qui vous fera découvrir chaque jeudi de mars un même fait divers (choisi dans les actualités par la revue Ancrages) à travers le prisme de quatre écritures différentes.

Les auteurs retenus devront écrire un texte en s'inspirant d'un fait divers qui leur sera proposé mais ils seront libres de choisir le format qui leur convient (nouvelle, poème, scène de théâtre, conte, fable, etc.). Ils disposeront d’une semaine après la distribution du fait divers pour remettre leur texte à la revue Ancrages, qui devra inclure un maximum de 1 000 mots.

La publication hebdomadaire des textes commencera sur le site www.ancrages.ca dès le jeudi 7 mars (et ensuite les 14, 21 et 28 mars) à raison de quatre par semaine. Ceux-ci seront par la suite rassemblés dans un numéro spécial de la revue qui paraîtra en format numérique. Le lancement du 8e numéro de la revue Ancrages est prévu pour avril prochain.

La revue Ancrages invite donc les auteurs et auteures à manifester leur intérêt à participer à ce projet d’ici le 10 février par courriel à l’adresse info@ancrages.ca.

Renseignements : 506-988-1565 / sarah.brideau@gmail.com

Dans le cadre de son programme d’excellence professionnelle, le Consortium national de formation en santé - volet Université d’Ottawa présente, en partenariat avec le CNFS - volet Université de Moncton, une série de conférences qui sont retransmises par vidéo conférence en direct de l’hôpital Montfort à Ottawa. Ces conférences se veulent une activité de formation continue multidisciplinaire destinée aux personnes professionnelles de la santé.

La deuxième vidéoconférence de ce semestre aura lieu le mardi 12 février de 12 h 30 à 14 heures dans le local A-231 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton. La conférence, intitulée « Un regard humain sur le cancer », sera présentée par Kim Gurtler, survivante du cancer, mère de famille, orfèvre et entraîneuse personnelle ainsi que porte-parole bénévole pour la Société canadienne du cancer.

Quand le cancer frappe une famille, la vie de tous ses membres en est affectée. L’équipe médicale est aussi touchée par cette réalité. Sur un plan plus humain que médical, cette présentation vous fera connaître des gens qui ont vécu avec le cancer et qui y ont survécu.

Par le biais d’une discussion, on examinera divers aspects de cette maladie, entre autres recevoir un diagnostic de cancer, vivre avec quelqu’un qui a le cancer, savoir comment aider et découvrir les divers services disponibles pour le patient et sa famille

Cette conférence sera aussi disponible en diffusion Web-conférence (streaming).

Pour s’inscrire à la vidéoconférence (en présentiel ou en mode Web-conférence) ou obtenir plus de renseignements, prière de communiquer avec Melissa Richard ou Isabelle Landry-Sonier : cnfs@umoncton.ca / 858-4655. Les places sont limitées.

La programmation complète est disponible à l’adresse Internet ci-dessous.

Cette photo a été prise lors d’une petite fête soulignant le départ à la retraite de Nicole Brun, secrétaire administrative au bureau du Doyen de la Faculté d’administration.

De gauche à droite, on voit Christian Gautreau (gendre et conjoint d’Isabelle); Linda Coulombe, adjointe administrative à la Faculté d’administration; Isabelle Brun (fille); Nicole Brun, retraitée; Gaston LeBlanc, doyen de la Faculté d’administration; Paul Brun (mari de Nicole); Jean-Pierre Brun (fils); Chantal Léger (conjointe de Jean-Pierre); et Natalie Allain, secrétaire à la Faculté d’administration.

Les associations de la profession enseignante des provinces de l’Atlantique (AEFNB, NSTU, PEITF et NLTA), la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Moncton et la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants (FCE) vous invitent à participer au Symposium francophone 2013, avec comme thème cette année « Célébrons nos progrès : assurons notre succès ».

L’inscription à cette activité de formation d’envergure nationale, qui se déroulera les 2 et 3 mai au pavillon Jeanne-de-Valois du campus de Moncton, est maintenant ouverte.

Vous pouvez accéder au formulaire d’inscription à partir du site Web grand public de l’AEFNB (www.aefnb.ca) sous la rubrique « Nouvelles » à la gauche de la page. Le programme officiel, les descriptions d’ateliers et les biographies des personnes ressources s’y trouvent aussi.

Un bloc de chambres à tarif réduit de 129 $ taxes en sus sous le nom « Symposium francophone 2013 » a été réservé à l’hôtel Delta Beauséjour au 750, rue Main à Moncton.

Pour de plus amples renseignements, il faut communiquer avec Gilles Saulnier ou Nadia Roze, aux adresses suivantes : gilles.saulnier@aefnb.ca ou nadia.roze@aefnb.ca, ou par téléphone au 506.452.1729.

Dans le cadre des activités entourant la Semaine internationale, deux activités-bénéfice auront lieu au campus de Moncton pour CARE Canada, un organisme qui défend la dignité et lutte contre la pauvreté des filles et des femmes dans le monde.

La journée « J’ai le pouvoir » veut sensibiliser la population au travail fait par CARE Canada après des femmes dans les pays en développement et à amasser des fonds pour les appuyer. Elle aura lieu le mercredi 13 février sous la présidence d’honneur de Marie-Claude Blais, ministre de la Justice et Procureure générale du Nouveau-Brunswick et ministre responsable des Questions féminines, et en présence de Louise Fréchette, ancienne vice-secrétaire générale de l’Organisation des Nations-Unies.

La journée « J’ai le pouvoir » est le fruit d’une heureuse collaboration entre Aldéa Landry, présidente de Landal inc., membre du conseil d’administration et présidente du comité « J’ai le pouvoir » de NB CARE, et de Marie-Linda Lord, vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales à l’Université de Moncton.

L’activité « Friperie pour femmes », une vente de vêtements, sacoches et souliers « comme neufs » à des prix étudiants, ouvrira ses portes de 11 heures à 17 heures dans le local 136 du pavillon Léopold-Taillon. Un cocktail dînatoire pendant lequel Louise Fréchette prononcera une allocation portant sur le travail de CARE Canada auprès des femmes des pays en voie de développement, aura lieu au Coude du Centre étudiant de 17 heures à 19 heures. On peut se procurer les billets au coût de 50 $ à l’entrée du Coude ou en communiquant avec Monica Poirier, au 861-6352 (monica.poirier@landalinc.com).

Les profits de ces activités seront remis à CARE Canada.

Renseignements : 858-4826 / dominique.gagne@umoncton.ca

Le Théâtre Capitol annonce une supplémentaire du spectacle « Vivre debout », de Gilles Vigneault, le samedi 4 mai à 19 h 30. Cette performance s’ajoute à celle du 3 mai alors que cette figure emblématique de la musique québécoise célèbre ses 50 ans de carrière. C’est une occasion unique et inoubliable de voir ce grand de la chanson québécoise.

Gilles Vigneault a célébré en 2011 un demi-siècle sur scène. Originaire de Natashquan, aux confins de la Basse-Côte-Nord au Québec, il est poète, auteur de contes et de chansons et auteur-compositeur-interprète. Fidèle à ses origines et fier de son héritage, Vigneault est un reflet fidèle de l’évolution de la société québécoise à l’époque de la Révolution tranquille.

Son œuvre, qui comprend plus de 400 chansons et 40 livres, rayonne dans toute la Francophonie. Intemporels, plusieurs de ses titres ont été repris tout au long de sa carrière par des artistes dont Gilbert Bécaud, Pauline Julien, Claude Léveillée, Catherine Sauvage et plus récemment, Ariane Moffatt et Fred Pellerin.

Les billets sont présentement en vente à la billetterie du Théâtre Capitol au coût de 39 $ à 45 $ (frais compris). Ces spectacles sont une présentation de Downtown Moncton Centre-ville inc.

Renseignements : 856-4379 / 1-800-567-1922

Le Département de mathématiques et de statistique de l’Université de Moncton se joint à 805 universités et instituts /organisations en provenance de 95 pays pour fêter l’Année internationale de la statistique.

Voici l’occasion de montrer au public quelles sont les relations étroites qui existent entre la statistique, la science des nombres et d’autres disciplines d’études. Un comité interfacultaire, sous la présidence du professeur Thu Pham-Gia, du Département de mathématiques et de statistique, a été mis sur pied.

Les célébrations comportent deux parties : Localement, des conférences/présentations sont prévues pendant l’année avec des conférenciers et conférencières qui discuteront de biologie, d’informatique, de statistique, de génie civil, d’environnement et de linguistique. Sur la scène internationale, la conférence, intitulée « La statistique et ses interactions avec d’autres disciplines » (SIAD 2013) est organisée à Hochiminhville, au Vietnam, les 5, 6 et 7 juin par le Département de mathématiques et de statistique, en collaboration avec quatre universités vietnamiennes. Neuf professeurs de l’Université de Moncton siègent aux comités scientifiques de 25 experts. II s’agit des professeurs Fahim Ashkar, Jimmy Bourque, Éric Hervet, Gaetan Moreau, Viktor Freiman, Salah El Adlouni, Jules de Tibeiro, Ginette Bégin et Thu Pham-Gia.

Conférences plénières à l’Université de Moncton

Fahim Ashkar, Département de mathématiques et de statistique, Université de Moncton : le 7 février, « Estimation des événements rares en hydrologie à l'aide de lois statistiques » (génie civil).

Jimmy Bourque et Viktor Freiman, Faculté des sciences de l’éducation, Université de Moncton : le 21 février, « Les jeux sont faits : un simulateur de jeux de hasard pour l’enseignement des probabilités » (enseignement des mathématiques).

Thu Pham-Gia, Département de mathématiques et de statistique, Université de Moncton : le 14 mars, « La merveilleuse distribution de Wishart en analyse multivariée » (statistique mathématique).

Jules de Tibeiro, Secteur des sciences au campus de Shippagan : le 26 septembre, « Modèle fonctionnel des correspondances continues et analyse discriminante barycentrique » (analyse des données).

Sylvia Kasparian, Département des langues, Université de Moncton : le 10 octobre, « Les chiffres et les lettres peuvent-ils se marier ? Treize ans de recherche au Laboratoire d'analyse de données textuelles (LADT, Université de Moncton)» (linguistique statistique).

Salah-Eddine El Adlouni, Département de mathématiques et de statistique, Université de Moncton : le 24 octobre, « Méthodes statistiques pour l'étude de la relation santé-climat » (statistiques environnementales).

Deux stagiaires de l’Université de Pécs en Hongrie développent un portail transactionnel dédié aux zones tampons de la région de Shippagan

Plusieurs projets du Laboratoire de recherche en interaction humain-système impliquent la participation de stagiaires internationaux, d’étudiants et d’assistants de recherche sous la supervision du professeur Sid-Ahmed Selouani, directeur du LARIHS.

En collaboration avec l’Institut de recherche sur les zones côtières (IRZC) et particulièrement avec Mélanie Aubé, deux stagiaires de l’Université de Pécs en Hongrie, Dominika Sebok et Marton Rétfalvi, ont développé un portail transactionnel dédié aux zones tampons de la région de Shippagan. Grâce à ce portail, les bénévoles ont la possibilité de présenter en ligne, dans une section sécurisée, diverses données environnementales portant sur les zones tampons de la région de Shippagan. Dominika et Marton ont également développé un outil unique de gestion infonuagique audio du corpus RACAD (140 locutrices et locuteurs acadiens).

Yves Perrault, assistant de recherche diplômé en éducation de l’Université de Moncton, travaille actuellement dans le cadre d’un projet CRSH-Savoir du LARIHS sur une approche quantitative pour la caractérisation du rythme de la parole dans le cas du français parlé acadien. Ce projet, dans lequel sont impliqués le professeur Wladyslaw Cichocki, de la University of New Brunswick, et la professeure Mona-Luiza Ungureanu, a comme objectif de proposer une caractérisation phonétique inédite des régions acadiennes basée sur les métriques rythmiques. Ce projet compte également sur la contribution de Catherine Paulin, diplômée de l’Université de Moncton (majeure en mathématiques, mineure en informatique), qui a effectué son stage coop sous la thématique de l’analyse statistique multivariable du rythme de la parole du corpus RACAD.

Soumaya Gharssellaoui, doctorante à l’Université du Québec à Trois-Rivières, se penche sur l’identification et la classification automatique de l’émotion à partir de la parole. Le but est de déceler, à partir d’enregistrements audio, si la personne qui parle est en colère, heureuse, triste, indifférente, etc.

Alaidine Ben Ayed, diplômé de l'Université de Moncton et doctorant à l'École de technologie supérieure de Montréal, travaille actuellement sur un projet de conception d’interfaces intelligentes pour une plateforme de gestion des énergies renouvelables. En collaboration avec le professeur Mohamed Cheriet, de l’École de technologie supérieure, ce projet vise la réalisation de modules de traitement intelligent de l’information issue des extrémités physiques d'un environnement lié aux opérations de gestion de l’information énergétique. La solution envisagée améliorera en bout de ligne l’efficacité des utilisateurs car ils pourront accéder à l’information énergétique à faible empreinte de carbone à tout moment, en mobilité et en interagissant avec le système par la voix.

Les deux derniers arrivants au LARIHS sont Kamil Kadi, doctorant à l’Université d’Alger, et Lisa Savoie-Ferron, assistante de recherche et diplômée de l’Université d’Ottawa en lettres françaises. Kamil consacre son temps à la conception de systèmes palliatif et alternatif de communication verbale, alors que Lisa contribue au développement d’une nouvelle métrique rythmique de la parole basée sur l’intensité du signal pour caractériser les variétés du français parlé acadien.

Les personnes désirant participer à un concours interuniversitaire de photographie peuvent le faire jusqu’au jeudi 7 février à 16 heures. Le thème de cette année est « Accrocher ».

L’an dernier, 294 photographies ont été soumises par 105 étudiants et étudiantes de 14 universités francophones d’un peu partout au Canada. Les photographies gagnantes qui ont été retenues ont d’ailleurs été en montre à la Mini-galerie du Département des arts visuels dans la section des Beaux-arts au campus de Moncton.

Pour de plus amples renseignements sur le concours, vous pouvez joindre le Service des loisirs socioculturels de l’Université de Moncton, au 858-3738, ou par courriel à loisirs@umoncton.ca

Le groupe québécois Bodh’aktan présente un spectacle au bar étudiant Le Coude du campus de Moncton, le jeudi 7 février à 20 heures. Le musicien bien connu de la région, Stephen LeBlanc, fera la première partie.

Bodh’aktan
Qui est Bodh’aktan? Ce sont sept musiciens qui, comme des pirates, débarquent pour piller les tracas du quotidien pour ne laisser que bon temps et bonne humeur derrière eux. Armés d'une musique teintée de traditionnel, de polka, de celtique et de punk, ainsi que de folklore inspiré de l'Irlande, de la Bretagne, des Maritimes et du Québec, ils ont l'audace de livrer leur métissage musical dans une vague d'humour et de rock.

Ce sont sept musiciens talentueux qui ne se prennent pas au sérieux mais qui ont pour seul but de procurer du plaisir. Solides comme un rock sur disque, c'est toutefois en scène qu'ils se sentent le plus à l’aise. Débarquant des Îles de la Madeleine, de Havre St-Pierre, du Saguenay, de Québec et d'Angleterre, nos sept musiciens arrivent avec des bagages musicaux diversifiés mais qui se rallient d'une façon surprenante et explosive.

Stephen LeBlanc
Originaire de la région de Moncton, Stephen LeBlanc est un artiste polyvalent dont la feuille de route impressionnante comprend de nombreux albums, prix, performances télévisées, extraits à la radio et tournées à grande échelle. Il a fait partie de formations bien connues dont le groupe culte An Acoustic Sin et l’ensemble hard rock Tracy Starr. Il a lancé son premier album francophone « Mon désir » en 2012.

Les billets sont en vente à la billetterie du Centre étudiant (local B-101). Pour de plus amples renseignements, il faut composer le 858-4484.

« Le conte Ésimésac » (2012; 1 heure 44 minutes), du réalisateur Luc Picard, prendra l’affiche du Ciné-Campus, le jeudi 7 et le vendredi 8 février à 20 heures dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton.

Le scénario du film est signé par Fred Pellerin et met en vedette Nicola-Frank Vachon, Luc Picard et Gildor Roy.

Ésimésac
Les habitants de Saint-Élie-de-Caxton peinent à mettre de la nourriture dans leurs assiettes. Ésimésac, le dernier-né de la famille Gélinas, a l'idée de bâtir un jardin communautaire et il met sa grande force à contribution, ce qui ne manque pas d'attirer l'attention de la fille du forgeron Riopel. Lorsque la compagnie de chemin de fer laisse croire aux villageois que le train pourrait s'arrêter chez eux, ils s'imaginent déjà riches. Le forgeron, Ésimésac et les ouvriers se mettent donc au travail pour produire des rails à bon prix pour le chemin de fer, tandis que la jeune sœur d'Ésimésac rêve encore de terminer le jardin.

L’entrée est de 5 $ pour les étudiants et de 7 $ tarif ordinaire.

Programmation hiver 2013 du Ciné-Campus
14 et 15 février : Rebelles
21 et 22 février : Camion
23 et 24 février : Festival del Cine
28 février et 1er mars : Et si on vivait tous ensemble
14 et 15 mars : Un bonheur n’arrive jamais seul
21 et 22 mars : De rouille et d’os

Programmation du Ciné-Campus : 858-3738

La Fédération des étudiants et étudiantes du campus de Moncton a le mandat de choisir le ou la porte-parole des finissants et finissantes pour la collation des diplômes de mai prochain.

Chaque étudiante ou étudiant finissant intéressé doit en faire la demande auprès de la Féécum avant le vendredi 8 février à 16 h 30. Les règlements et les règles de procédure pour la sélection sont disponibles à la Fédération étudiante ainsi que sur le site ci-dessous.

Le choix devrait se faire pendant la semaine du 10 mars.

Renseignements : 858-4484 / comfee@umoncton.ca

Le Centre de recherche et de développement en éducation vous invite à assister à son atelier « Publier dans une revue scientifique », animé par Tim Aubry, professeur titulaire à l’Université d’Ottawa et ex-rédacteur en chef de la Revue canadienne de santé mentale communautaire, le mardi 12 février entre midi et 13 heures dans le local B-118 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.


Pour cet atelier, le professeur Aubry puisera dans sa vaste expérience comme chercheur (ayant publié plus de 30 articles dans des revues arbitrées depuis 2005) et comme rédacteur en chef de la Revue canadienne de santé mentale communautaire (2005-2010) pour démystifier la démarche de publication d’un article dans une revue scientifique arbitrée.

De l’explication du processus de soumission et d’arbitrage aux principes de base à respecter pour publier avec succès, l’atelier vise à préparer étudiants et jeunes chercheurs à participer à l’activité académique essentielle qu’est la diffusion des résultats dans la communauté scientifique.

Que signifie l’expression « tête de linotte » ? Combien y a-t-il de francophones au Manitoba ? Le site interactif « Ta parole est en jeu » permet aux jeunes de 13 à 18 ans de découvrir la richesse de la langue française au Canada avec de nombreux jeux pour tester leurs connaissances du français.

Dans la foulée du lancement des activités des Rendez-vous de la Francophonie 2013 dont la 15e édition se déroulera du 8 au 24 mars, l’Office national du film du Canada annonce la mise en ligne de « Ta parole est en jeu », une initiative originale et conjointe du Groupe des technologies de l’apprentissage de l’Université de Moncton et de l’ONF. C’est avec enthousiasme que le comédien, réalisateur et scénariste franco-ontarien Mathieu Pichette, (Les pieds dans la marge, Le monde en gros) a accepté d’être le porte-parole de ce projet destiné aux jeunes francophones du pays.

« Ta parole est en jeu » regroupe des jeux conçus afin que les jeunes en apprennent davantage sur le vocabulaire, les expressions, les régionalismes, les accents, les lieux de la francophonie, ainsi que sur les faits historiques de la langue française au Canada. Le site compte de nombreux courts films tournés dans tous les provinces et territoires canadiens par des réalisateurs vidéastes de la francophonie canadienne. Produites par les Studios Acadie et Ontario et Ouest de l’ONF, les courtes vidéos explorent de façon ludique les variétés du français et permettent d’en découvrir les couleurs, les particularités et tout ce qui fait qu’il favorise les rencontres et les échanges enrichissants.

« Ta parole est en jeu » démontre de façon concrète le potentiel éducatif des œuvres interactives, lesquelles peuvent rejoindre les jeunes là où ils se trouvent. « Nous lançons un projet dynamique, drôle, inclusif et intelligent, un projet spécifiquement conçu pour les jeunes francophones qui fait à la fois rayonner le français et favorise les liens entre les communautés francophones de partout au pays, mentionne Monique Simard, directrice générale du Programme français de l’ONF. Nous espérons que les jeunes seront nombreux à prendre plaisir à mettre en jeu leur parole. »

« Notre contribution à ce projet aura permis de développer une oeuvre interactive qui interpelle les jeunes dans le jeu et le plaisir de l’apprentissage sur la langue, ajoute pour sa part Robert Grégoire, chargé du projet à l’Université de Moncton. Tout cela est le fruit d’un travail concerté entre des gens issus notamment du milieu universitaire, de la production interactive et de la conception graphique. « Ta parole est en jeu », c’est donc aussi une œuvre collective où le français, dans toutes ses couleurs, est à l’honneur. »

« Ta parole est en jeu » est un partenariat de l’Université de Moncton, direction générale des technologies, de l’Office national du film du Canada et de Patrimoine canadien. Ce projet est financé en partie dans le cadre du programme Fonds interactif du Canada de Patrimoine canadien. La réalisation graphique du site a été confiée à TOXA inc. et la production des courts films à Will Cyr de Secret Level Films.

L’équipe des réalisateurs vidéastes est composée d’Allan Code (Yukon), Chris LeBlanc (Nouveau-Brunswick), Danielle Sturk (Manitoba), Emmanuelle Chapados (Nouveau-Brunswick), Frédéric Ansaldo (Zefred) (Ontario), Geoff Bowie (Ontario), Julien Cadieux (Nouveau-Brunswick), Lina Verchery (Nouvelle-Écosse), et Marie-Ève Dumulong (Ontario).

Le porte-parole Mathieu Pichette
Originaire de Sudbury, en Ontario, Mathieu Pichette est un comédien, réalisateur et scénariste qui a notamment conçu et animé « Les pieds dans la marge », une série humoristique jeunesse diffusée à la télévision de Radio-Canada. En 2012, avec ses complices, il anime et conçoit « Le monde en gros », une série également diffusée sur les ondes de Radio-Canada. Curieux et passionné, Mathieu a été reporter, chroniqueur pour plusieurs émissions, et animateur de l’émission « Volt » (TfO).

Renseignements : 384-6897 / madoblan@nbnet.nb.ca

Wilcken Destravil fera la soutenance d’une thèse de maîtrise en études de l’environnement, intitulée « Influence des caractéristiques terrestres gérables et non gérables des bassins versants peu anthropisés sur la qualité chimique des eaux estuariennes », le lundi 11 février à 9 heures dans le local SIL-307 du campus de Shippagan et par vidéoconférence dans le local A-244 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

La thèse est effectuée sous la direction d’Alain Patoine, professeur adjoint au campus de Shippagan, et la codirection d’Omer Chouinard, professeur au campus de Moncton. Les autres membres du jury sont Lyne Morissette, agente de recherche à l’UQAR-ISMER, évaluatrice externe; Céline Surette, directrice du programme de la maîtrise en études de l’environnement à l’Université de Moncton, évaluatrice interne; et Anne-Marie Laroche, professeure adjointe à l’Université de Moncton, présidente du jury.

Bienvenue à toutes et à tous.

Renseignements : 858-4498.

Le Comité organisateur invite les étudiantes et étudiants universitaires des provinces atlantiques à participer au 24e Colloque des jeunes chercheures et chercheurs, qui aura lieu le mercredi 20 mars à l’Université de Moncton.

Le comité incite également les membres du corps professoral à encourager leurs étudiantes et étudiants à soumettre leur candidature dans l’une des catégories suivantes : sciences humaines et sociales - 1er cycle ou cycles supérieurs, et sciences naturelles et génie - 1er cycle ou cycles supérieurs.

Comme par le passé, les étudiantes et étudiants présenteront leurs résultats de recherche par l’entremise d’exposés oraux. Tenant à encourager ceux et celles qui préfèrent la dissémination des résultats en utilisant une affiche, le comité organisateur a aussi prévu une vitrine consacrée à cette forme de diffusion savante.

La date limite pour soumettre le formulaire d’inscription est le 18 février à 16 heures. La transmission du formulaire d’inscription doit être faite par courriel en utilisant l’adresse cjcc@umoncton.ca. Les formulaires d’inscription reçus en retard ne seront pas acceptés.

Vous trouverez le formulaire d’inscription sur le site Web de la Faculté des études supérieures et de la recherche (www.umoncton.ca/fesr) à compter du 11 février.

Pour de plus amples renseignements, vous pouvez consulter le site Web de la FESR sous la rubrique « Colloque des jeunes chercheures et chercheurs ». Vous pouvez aussi composer le numéro 858-4310.

La Fondation canadienne pour le dialogue des cultures invite la population canadienne à participer à la 15e édition des Rendez-vous de la Francophonie (RVF), qui aura lieu du 8 au 24 mars. Chaque année, les RVF vous invitent à célébrer la langue française en répertoriant au www.rvf.ca un nombre record de plus de 1 200 activités, spectacles, événements et projections de l’Office national du film du Canada, qui ont lieu d’un bout à l’autre du pays.

Pour le Nouveau-Brunswick, déjà une vingtaine d’activités sont inscrites au répertoire national et la coordonnatrice provinciale, Madeleine Blanchard, invite les associations à répondre à l’appel. « Nous lançons un appel à tous les organismes œuvrant dans la francophonie d’inscrire vos activités dans notre répertoire national; c’est sans frais et ça vous procure un rayonnement national et vous avez jusqu’au 8 mars pour le faire. »

La joie de vivre : une thématique qui invite à la fête
La joie de vivre désigne la bonne humeur, l’humour et la fête. Cette expression est également bien connue des anglophones qui l’utilisent pour désigner l’enthousiasme et le sentiment exaltant que procure un moment de plaisir. C’est donc la thématique qui a été retenue pour cette édition anniversaire des RVF. Du 8 au 24 mars, c’est un rendez-vous d’un bout à l’autre du pays pour célébrer l’amour du français dans la bonne humeur et la joie de vivre.

Partenariat national avec Juste pour rire
À l’échelle nationale, l’équipe des RVF a développé cette année un partenariat avec le Groupe Juste pour rire. Cette nouvelle collaboration a permis de mettre sur pied une tournée pancanadienne d’un gala d’humour – le Gala des Rendez-vous de la Francophonie qui s’est amorcé la fin de semaine dernière à Moncton dans le cadre du volet francophone du Festival Hubcap.

Le directeur général de la Fondation canadienne pour le dialogue des cultures, Guy Matte, se réjouit de ce nouveau partenariat. « Avec Juste pour rire, c'est un autre grand partenaire qui s'ajoute à tous ceux qui veulent célébrer la francophonie au Canada. L’humour unit et favorise le dialogue, c’est un langage universel et une façon intéressante d’aborder les réalités linguistiques canadiennes », dit-il.

Le Groupe Juste pour rire, qui a soufflé ses 30 chandelles en 2012, est heureux de contribuer à l'essor de l'humour en français partout au Canada. « Nous souhaitons développer et renforcer nos liens avec le réseau francophone de l'humour à l'échelle canadienne au cours des prochaines années et contribuer à la formation d'une relève humoristique des communautés francophones, mentionne André Picard, vice-président des Affaires publiques et corporatives du Groupe Juste pour rire. Nous nous réjouissons que cela se fasse pour les trois prochaines années en partenariat avec le plus grand rendez-vous des expressions culturelles franco-canadiennes, les Rendez-vous de la Francophonie. »

Boucar Diouf et Cathy Jones, porte-parole
Pour faire rayonner les RVF auprès des francophiles et des communautés francophones canadiennes, deux porte-parole ont prêté leur voix : l’humoriste, biologiste et auteur Boucar Diouf, qui sera au cœur d’une vaste campagne publicitaire pendant les RVF, et la comédienne Cathy Jones, anglophone francophile bien connue pour sa participation à l’émission « This hour has 22 minutes » sur CBC.

C’est d’ailleurs avec enthousiasme que Boucar Diouf a accepté ce mandat pour une deuxième édition. « Si j’ai accepté avec fierté de m’associer pour une deuxième année de suite aux Rendez-vous de la Francophonie, c’est pour tendre la main à tous les gens du pays qui ont les mêmes mots que moi sur le bout de leur langue, dit-il. Cette année, d’un océan à l’autre, je vous invite à célébrer nos différents accents au lieu de mettre l’accent sur nos différences. À fêter le plaisir de parler cette langue qui nous ressemble ».

Gala des Rendez-vous de la Francophonie 2013
La thématique de la 15e édition étant « La Joie de vivre», les RVF et Juste pour Rire ont mis sur pied une tournée d’humour, intitulée le Gala des Rendez-vous de la Francophonie. Radio-Canada produira quatre émissions spéciales de type documentaire sur la rencontre entre les humoristes québécois et francophones à l’extérieur du Québec. Ces émissions seront réalisées par les équipes régionales des quatre provinces visitées et diffusées dans les stations de télévision provinciales entre le 20 et le 24 mars.

Concours national de capsules humoristiques
Cette tournée sera également l’occasion pour l’équipe de Juste pour Rire d’enregistrer sur place des capsules humoristiques qui seront utilisées dans le cadre du concours national des RVF commandité par Air Canada. Du 8 au 24 mars, les RVF publieront sur leur site Web une douzaine de capsules portant sur des expressions francophones locales dans chacune des provinces visitées lors de la tournée. Les visiteurs seront invités à donner une note d’appréciation à chacune des capsules, leur permettant ainsi de se qualifier pour le concours national des RVF dont le grand prix est un séjour VIP pour quatre personnes à Montréal lors du Festival Juste pour rire 2013.

Jusqu’à 1 200 événements et activités jusqu’à présent
Cette année encore, des centaines d’activités sont répertoriées dans le calendrier national, notamment une tournée de films avec l’Office national du film du Canada, comprenant un nombre record de 215 projections dans 70 villes canadiennes, un concours commandité par Air Canada, des rencontres dans les bibliothèques et les centres culturels, sans oublier les nombreuses activités que les francophones et francophiles de tous les milieux organisent dans leur communauté et qui constituent le véritable cœur des Rendez-vous. La population canadienne est invitée à participer en grand nombre aux célébrations. Le répertoire complet des activités est disponible sur le site des Rendez-vous à l’adresse www.rvf.ca.

Les Rendez-vous de la Francophonie font partie des manifestations entourant la Journée internationale de la Francophonie (20 mars), organisée chaque année partout dans le monde pour promouvoir la langue française et ses multiples expressions culturelles. Depuis 15 ans, les RVF sont une occasion annuelle pour toutes les composantes de la société canadienne de célébrer leur attachement à la langue française au Canada.

Renseignements sur les activités au Nouveau-Brunswick : 384-6897 / madoblan@nbnet.nb.ca

Le pont payant, qui devait avoir lieu le mardi 5 février aux trois entrées du campus de Moncton, a été reporté au mardi 12 février en raison de la mauvaise température.

L’argent amassé entre 10 heures et 16 h 20 sera réparti entre trois groupes : en art dramatique pour l’organisation du voyage en Roumaine, en information-communication pour les Jeux de la communication, et à Mondial Solidarité pour le voyage au Cambodge.

Renseignements : Karine Martel (ekm2554@umoncton.ca)

Le film « Séances », du réalisateur Danic Champoux (2012, 84 minutes) prendra l’affiche aux Rendez-vous de l’ONF en Acadie, le lundi 11 février à 19 heures dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton.

Tourné sur une période d’un an, ce film suit le quotidien de patients dans un centre d’oncologie. Grâce au partage, à la solidarité et à l’humour, la vie se révèle souvent rebelle et indomptable. L’entrée est libre.

La projection principale sera précédée du court métrage « Kaspar », de Diane Obomsawin (2012, 6 minutes). Ce film d’animation est une fable impressionniste inspirée de l’histoire de Kaspar Hauser, célèbre orphelin du 19e siècle. C’est un récit poétique empreint de tristesse, mais également traversé par la découverte d’un univers magnifique et terrifiant.

Séances
La vie est partout et pas toujours là où on s’y attend. Elle prend parfois des formes inattendues, comme dans la salle commune d’un centre d’oncologie où des patients se retrouvent régulièrement pour leur chimiothérapie. Ici, la mort attend son heure, l’inquiétude est sur tous les visages et pourtant, on parle, on blague, on rit. Est-ce dire que le cancer peut être combattu dans un climat de relative sérénité? Danic Champoux le croit et l’illustre dans son documentaire, lequel pourfend quelques idées reçues et montre avec empathie et humour que la vie reste souvent indomptable.

Tourné sur une période d’un an, le film ausculte les rapports humains dans des épreuves où la solidarité permet d’oublier la violence des traitements. Au fil des rencontres qui débouchent parfois sur d’intenses moments d’émotion, « Séances » fait ressortir l’amour et la joie de vivre du quotidien souvent lourd des patients. Attentif à la vie dans tous ses états, Danic Champoux évite la complaisance morbide et invite à regarder la maladie autrement. Sans nier la détresse des malades et de leur entourage, son film est une œuvre humaine qui traite avec délicatesse des mystères de la vie.

À propos du réalisateur
Remarqué à l’édition 1996-1997 de La Course destination monde, l’émission qui révèlera plusieurs jeunes cinéastes québécois, Danic Champoux a depuis fait sa marque en multipliant les projets. Les documentaires « Mon père » (2000), « Caporal Mark » (2006), « La couleur du temps » (2008) et « Baklava Blues » (2009) lui valent plusieurs prix et la reconnaissance de la critique. En 2011, il revient en force avec « Mom et moi », un film d’animation sur la fascination d’un enfant pour les Hells Angels, et « Séances ». En juin dernier, Danic Champoux a été nommé cinéaste en résidence à l’ONF pour deux ans.

Bientôt à l’affiche
Trois films consacrés au peuple de la rivière Kattawapiskak et réalisés par Alanis Obomsawim (2012) prendront l’affiche aux Rendez-vous de l’ONF en Acadie pendant la semaine du 17 février Portrait d’une terrible crise du logement et de la pauvreté grandissante des Cris de Kattawapiskak au Nord de l’Ontario, le film montre des images choc de froidure et de cabanes délabrées qui font écho aux discours politiques sans effet. Malgré la situation désastreuse, l’espoir renaîtra-t-il un jour pour cette communauté?

Le Département de musique vous invite à assister au concert annuel présenté conjointement avec les étudiants en musique de Mount Allison University, le jeudi 7 février à 19 heures dans la salle Neil-Michaud du pavillon des Beaux-arts au campus de Moncton.

Ce récital Entre amis sera aussi présenté le mercredi 6 février à 20 heures dans l’amphithéâtre Brunton de Mount Allison University à Sackville.

L’entrée est libre.

Renseignements : 506-858-4041 / musique@umoncton.ca

L'Université de 3^e âge présente le spectacle d'humour « Des filles, c'est drôle », mettant en vedette l'animatrice de la radio de Radio-Canada en Acadie Anne Godin et la comédienne Agathe Marie, le jeudi 7 février à 19 h 30 dans la la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

Ce spectacle d’humour d’une durée de 90 minutes vous prouvera que les filles peuvent être drôles. En effet, sous l’habile mise en scène de Luc LeBlanc, les deux comédiennes, Anne Godin, une Acadienne, et Agathe Marie, une Française, vous feront rire aux éclats en inversant les rôles et en changeant d’accent. Venez rire et vous amuser lors de cette soirée où les différences de notre belle langue française mènent à des situations très cocasses.

En deuxième partie, deux invitées se joindront aux comédiennes pour terminer la soirée sur une note très humoristique.

Le prix des billets pour ce spectacle est le suivant : membres : 20,50 $; non membres : 22,50 $ (frais de service de billetterie compris).

Les sièges sont réservés lors de l’achat des billets et les réservations peuvent être faites par téléphone ou en personne aux endroits suivants : Centre étudiant du campus de Moncton (858-4554); Théâtre l’Escaouette, 170, rue Botsford, à Moncton (855-0001, poste 207); Centre des arts et de la culture de Dieppe, 331, ave Acadie, à Dieppe (854-2787).

Renseignements : 858-4410.

À l’occasion du 50e anniversaire de fondation de l’Université de Moncton, l’Association des anciens, anciennes et amis (AAAUM) a organisé une réception pour les diplômées et diplômés à l’aréna J.-Louis-Lévesque, juste avant la dernière partie à domicile des Aigles Bleus au hockey.

La photo nous fait voir, de gauche à droite, Stéphane Robichaud, B.Sc.Soc. 1992, M.B.A. 2009, président du conseil d’administration de l’AAAUM; Christian Gaudet, capitaine des Aigles Bleus; Raymond Théberge, recteur et vice-chancelier de l’Université de Moncton; Geneviève David, capitaine des Aigles Bleues; et André G. Richard, président du Conseil des gouverneurs.

Le Service de l’activité physique et sportive du campus de Moncton a choisi le gardien de but de quatrième année André Guay, de Moncton, et la technique Crissy Roy, de Bathurst, comme athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed pour la période du 28 janvier au 3 février à l’Université de Moncton.

André Guay a remporté deux victoires devant le filet des Aigles Bleus, un premier blanchissage en carrière universitaire de 5 à 0 vendredi soir contre les Panthers de l’University of Prince Edward Island en repoussant 40 lancers. Il a accordé deux buts dimanche sur 22 tirs dans un gain de 6 à 2 des siens contre les Tommies de St. Thomas University. Il a réussi des arrêts clés lors des deux parties pour permettre aux siens de remporter quatre précieux points au classement. Il est étudiant en biologie à la Faculté des sciences.

Crissy Roy a réussi 17 kills et 43 attaques dans un revers de 3 à 2 des Aigles Bleues contre les X-Women de St. Francis Xavier University dimanche au volleyball féminin. Elle est étudiante en administration, comptabilité.