Lors de son banquet annuel qui a eu lieu à l’hôtel Ramada du Palais Crystal à Dieppe, la Faculté d’ingénierie de l’Université de Moncton a voulu souligner certaines réalisations qu’elle considère remarquables.

Elle a remis des prix à l’étudiant et à l’étudiante qui se sont distingués pendant leurs études au baccalauréat en ingénierie. Le Prix du meilleur rendement académique de la promotion 2011 a été décerné à la finissante Natalie Cormier pour avoir obtenu la plus haute moyenne cumulative pendant son programme d’études en génie électrique. Elle a aussi reçu le prix Finissante de la promotion 2011 pour s’être distinguée grâce à son leadership et son implication para-académique tout en maintenant un excellent rendement académique.

Pour sa part, Jérémie Léger, étudiant de 3e année en génie mécanique - coop, a reçu le prix CANCAM’81, décerné annuellement pour les meilleurs résultats académiques en mécanique appliquée. Jérémie a également reçu le prix Victor-Ross qui souligne les meilleurs résultats en statique et en dynamique, décerné par l’Association des étudiantes et étudiants en génie de l’Université de Moncton.

La Faculté d’ingénierie a rendu hommage à son ancien de l’année, Bruno Lagacé, diplômé en génie mécanique en 1997, pour son rôle de modèle de réussite professionnelle, pour sa contribution remarquable à l’ingénierie et à la société en général. M. Lagacé est président de Sparta Innovations Inc. Il était également le conférencier d’honneur. En partageant son expérience professionnelle, il a su inspirer et motiver les futurs ingénieurs et ingénieures. La soirée, qui a regroupé quelque 110 personnes, s’est terminée par des présentations organisées par les finissantes et finissants. Elle a permis aux anciens et anciennes de renouer avec les membres de la Faculté et leurs collègues.

Jean-Pierre Revéret, professeur au Département de stratégie, responsabilité sociale et environnementale de l’École de gestion de l’Université du Québec à Montréal, prononcera une conférence portant sur les aspects sociaux de l’analyse du cycle de vie, le mardi 5 avril à midi dans le local 231 du pavillon Jeanne-de-Valois au Campus de Moncton. Cette conférence sera retransmise par vidéoconférence au campus de Shippagan (PIL-308) et au campus d’Edmundston (PSL-502).

M. Revéret possède la maîtrise en économie du développement international et le doctorat en économie de l’Université de Clermont 1 (France) ainsi que le diplôme d’études approfondies en écologie appliquée de la Faculté des sciences de l’Université d’Orléans (France). Il est professeur à l’UQAM depuis 1979. Tout d’abord au Département des sciences biologiques, il a été le premier directeur de l’Institut des sciences de l’environnement de l’UQAM. Son champ d’expertise comprend la gestion et l’économie des ressources naturelles et de l’environnement avec un accent particulier sur la biodiversité, les théories et la mise en oeuvre du développement durable, les études d’impact environnemental, les évaluations stratégiques et la dimension sociale de l’analyse de cycle de vie. Il a agi comme expert en analyse et en formation dans le domaine du développement durable et de la gestion des ressources naturelles auprès de l’IEPF, de la Banque mondiale, de l’ACDI, du CRDI et du Bureau canadien de la biodiversité (Environnement Canada).

C’est une conférence d’intérêt général. Bienvenue à tous et à toutes. Renseignements : 858-4761 (MEE).

Dans le cadre de la Série de conférences du Gouverneur général 2011, l’Université de Moncton a reçu le professeur Clyde Hertzman, membre de la Société Royale du Canada et chercheur de l’année des Instituts de recherche en santé du Canada, qui a prononcé une conférence au campus de Moncton, intitulée « Sommes-nous à la hauteur de nos obligations? Le développement de l’enfant et les défis du 21e siècle ».

Le professeur Hertzman est une sommité mondiale en recherche sur la santé. Il vise principalement à comprendre comment les facteurs sociétaux et biologiques convergent pour déterminer la santé des populations. Ses travaux ont eu énormément d’influence non seulement au sein du monde de la recherche, mais aussi au point de vue de l'établissement de programmes, tant au niveau national qu’international.

Le Canada connaît un écart important entre l'état des connaissances de ses citoyens et les actions entreprises par sa société dans son ensemble pour relever les deux défis majeurs du 21e siècle, c’est-à-dire favoriser le développement de l'enfant et réduire l'empreinte écologique nationale.

Entre 25 et 30 pour cent des enfants canadiens arrivent à la maternelle avec des retards de développement dans un ou plusieurs domaines clés tels que les champs socioaffectif et cognitif/langagier. Il s'agit d'une réalité de première importance puisque le développement de l'enfant influence toute la vie d'un individu, affectant notamment la santé, les capacités d'apprentissage et le pouvoir financier.

Le Canada a joué un rôle important dans le développement de la science des changements climatiques et la compréhension des principes du développement durable. Cette présence n’empêche pourtant pas d'avoir l’une des plus grandes empreintes écologiques sur la planète puisque notre consommation de ressources photosynthétiques est cinq fois supérieure à la valeur durable pour notre population.

Ces deux défis, bien qu'ils semblent former une combinaison peu probable, ont certains points en commun. Les deux requièrent des solutions basées sur des engagements à long terme d'un grand nombre de secteurs de la société, des citoyens et des familles, ainsi que de l'État.

Enfin, notre capacité collective à réduire l'empreinte écologique du Canada sans pour autant sacrifier la justice sociale et la qualité de vie dépend essentiellement de l'état du développement humain de la population, spécialement dans les domaines socioaffectif et du développement cognitif et langagier, les domaines profondément influencés par les premières années de la vie.

Présentée par la Faculté des études supérieures et de la recherche et la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires, cette conférence du professeur Hertzman avait pour but d'affirmer l'importance de ce double défi et de faire un inventaire des obstacles à surmonter au sein de la société canadienne afin de les relever.

Les professeurs Samuel Gaudet, du Département de mathématiques et de statistique de la Faculté des sciences, et Richard Gibson, du Département de musique, tous deux du campus de Moncton, travaillent depuis plus d’un an sur un projet de développement visant à concevoir des applications, et utiliser l’iPod comme outil pour explorer des nouvelles possibilités musicales pour la composition et la performance. Les professeurs utilisent la capacité sans-fil ainsi que les fonctions de l’accéléromètre de l’iPod pour contrôler et créer des éléments sonores qui peuvent être intégrés dans un contexte musical. La guitare électrique est aussi utilisée comme élément déclencheur et source de contrôle.

MM. Gaudet et Gibson présenteront une courte description du projet ainsi qu’une première étude musicale avec Stéphane St-Onge, étudiant de troisième année en interprétation guitare, intitulée « iporythmos », le jeudi 7 avril à 11 h 20 dans la salle Neil-Michaud du pavillon des Beaux-arts.

L’entrée est libre et bienvenue à tous et à toutes. Renseignements: 858-4488, samuel.gaudet@umoncton.ca

Ronald Labelle, titulaire de la Chaire de recherche McCain en ethnologie acadienne et professeur au Département d’études françaises, a prononcé la 14e Conférence de la FESR, intitulée « Le conte de Cendrillon : de la Chine à l’Acadie sur les ailes de la tradition », et qui a été diffusée grâce à la vidéoconférence aux campus de Shippagan et d’Edmundston. Le professeur Labelle a récemment étudié le conte de Cendrillon en Acadie en vue de la préparation d’une exposition muséale. Ses recherches l’ont amené à mettre en lumière des faits surprenants. Lors de cette conférence, on a appris qu’à partir de ses lointaines origines asiatiques, Cendrillon a voyagé à travers le monde en prenant de nombreuses formes. Ce conte a toujours fasciné les chercheurs; c’est le premier conte traditionnel à avoir fait l’objet d’études comparatives au 19e siècle. Dans le monde francophone, l’héroïne du conte prend des noms très variés, s’appelant rarement Cendrillon. Au Canada français, bien que le conte soit attesté dans le folklore québécois et franco-ontarien, c’est en Acadie qu’il est le plus répandu. On a donc vu comment les contes acadiens de Souillon, Cendrouillon, Cendrouillonne et Cendrillouse présentent des récits oraux qui s’éloignent de la version que Charles Perrault avait figée par l’écrit voilà 300 ans.

L'équipe de la Faculté de droit de l'Université de Moncton, composée de Marie-Andrée Mallet et Alexandra Savoie, a remporté la Coupe Ottawa-Moncton lors du 29e Concours annuel de plaidoirie Ottawa-Moncton. Alexandra Savoie a également remporté le prix de la meilleure plaideuse.

Cette année, le concours a eu lieu à l'Université de Moncton et portait sur un arrêt de la Cour d’appel de la Saskatchewan concernant la propagande haineuse. Cette cause, qui sera entendue par la Cour suprême du Canada cet automne, oppose le droit à la non-discrimination à la liberté d’expression.

À la suite du dépôt du budget par le nouveau gouvernement conservateur, la Fédération des étudiants et étudiantes de l’Université de Moncton (FÉÉCUM) s’insurge contre l’abolition du Comité consultatif sur la condition de la femme au Nouveau-Brunswick et manifeste son appui aux groupes de citoyens et citoyennes qui militent pour son rétablissement immédiat.

La FÉÉCUM, dont plus de la moitié des membres sont des femmes qui seront bientôt sur le marché du travail, pense qu’il y a encore de graves lacunes en ce qui a trait à l’équité entre les hommes et les femmes au Nouveau-Brunswick. Selon le président, Ghislain LeBlanc, le travail du comité est loin d’être fini. « La vraie prospérité de la province ne viendra que lorsque les citoyens et les citoyennes auront des conditions de travail adéquates et équitables, dit-il. Cent pour cent de la population doit pouvoir participer à notre croissance économique. »

Quant à l’idée du gouvernement de permettre aux employés du Comité consultatif de joindre la fonction publique, les étudiants et étudiantes ne sont pas d’accord puisque cela ne compense pas pour l’abolition du Comité. « On a tout simplement muselé le Comité en lui retirant son indépendance, » estime le président de la FÉÉCUM.

Rémi Boudreau, de Saint-Antoine, étudiant au baccalauréat en administration des affaires à la Faculté d’administration de l’Université de Moncton, a remporté le premier prix de jeune entrepreneur universitaire du Canada Atlantique lors du concours Students in Free Entreprise (SIFE) qui a eu lieu à Halifax.

Dans le cadre du concours, le plan d’affaires de Rémi Boudreau Magicien-Illusionniste a été retenu comme celui ayant le plus grand potentiel de réussite par 12 juges représentant de grandes entreprises du Canada. En plus du trophée, Rémi reçoit également un prix en argent lui permettant de participer au concours national SIFE qui se tiendra à Toronto en mai.

La Faculté des études supérieures et de la recherche de l’Université de Moncton a rompu avec la tradition en décernant deux Prix Vo-Van, l’un à Marie-Michèle Doucet et l’autre à Jean-Philippe Michaud. Mme Doucet a fait sa thèse de maîtrise en histoire sous la direction de la professeure Joceline Chabot. Elle est inscrite au doctorat en histoire à l’Université de Montréal où elle est auxiliaire d’enseignement. M. Michaud a complété sa thèse de maîtrise en biologie sous la direction du professeur Gaétan Moreau. Il occupe actuellement le poste d’enquêteur à la Gendarmerie royale du Canada à High River, en Alberta. L’attribution des prix a eu lieu lors d’une séance publique pendant laquelle les personnes lauréates ont fait une présentation de leurs travaux de recherche.

Christine Long fera la soutenance d’une thèse de maîtrise en éducation, mention administration scolaire, intitulée «Les attentes des enseignants face au rôle des directions d'école », le mardi 12 avril à 9 h 30 dans le local B-218 du pavillon Jeanne-de-Valois.

Les membres du jury sont Kabulé Weva, directeur de thèse; Roger Gervais, examinateur hors programme; Clémence Michaud, examinatrice interne; et Diane LeBreton, présidente du jury.

Bienvenue à tous et à toutes. Renseignements : 858-4411, denise.bourgeois@umoncton.ca

Le Bureau des relations internationales, en collaboration avec le Club Right to Play de l'Université de Moncton, a organisé une conférence en compagnie de Daniel Arsenault, gestionnaire des politiques et planification des communications pour l'unité d’Haïti à l'Agence canadienne de développement international (ACDI) dont le thème a porté sur Haïti, incluant tous les développements de la dernière année et les différents apports des programmes de l'ACDI. En septembre 2010, Daniel Arsenault a été nommé par l'Agence canadienne de développement international en tant que gestionnaire des politiques pour le Programme d’Haïti. Boursier du Commonwealth, il a entrepris des études de doctorat en sciences politiques à l'Université Victoria de Wellington (Nouvelle-Zélande). Il possède également la maîtrise ès arts en administration publique de Carleton University et le baccalauréat en sciences sociales (sciences politiques et communications) de l’Université d’Ottawa.

Le Bureau du Québec dans les provinces atlantiques et la Société Nationale de l’Acadie sollicitent des candidatures pour le Prix Acadie-Québec 2011.

Ce prix est attribué annuellement à un récipiendaire acadien et à un récipiendaire québécois. Il a été créé en 2006 par la Commission permanente de concertation Acadie-Québec afin de souligner l’apport remarquable de personnes ou d’organismes de l’Acadie et du Québec au développement et à la consolidation des relations Acadie-Québec. La cérémonie de remise du prix se déroule au moment de la réception offerte à l’Atrium de Dieppe par le Bureau du Québec dans les provinces atlantiques pour célébrer la Fête nationale du Québec le vendredi 24 juin.

Le dossier de mise en candidature doit obligatoirement contenir les documents et les renseignements suivants : une lettre de motivation faisant nettement ressortir le caractère exceptionnel de la contribution de l'organisme ou de la personne, expliquant les raisons qui motivent la proposition de la candidature, faisant état des activités de l’organisme ou de la personne et soulignant l’ampleur et l’impact que ces dernières ont eus sur le développement et la consolidation des relations Acadie-Québec; s’il s’agit d’une personne candidate, un curriculum vitae et/ou des notes biographiques; s’il s’agit d’un organisme candidat, une description de son rôle en faisant ressortir les valeurs qui figurent dans la description du prix, sa mission, son mandat, ses objectifs, ses réalisations, et énumérer tous les honneurs qu’il a reçus; l'adresse et les autres renseignements permettant de joindre le représentant de l'organisme ou la personne (incluant l’adresse courriel).

Pour recevoir le prix, les candidats (personnes ou organismes) doivent répondre aux conditions suivantes : être citoyen canadien; être âgé d’au moins 18 ans dans le cas d’une personne; vivre ou être établi, dans le cas d’un organisme, au Québec ou en Acadie depuis au moins cinq ans au moment de la mise en candidature; ne pas être membre de la Commission permanente de concertation Acadie-Québec, ni avoir obtenu un soutien financier en vertu de l’Entente entre la Société Nationale de l’Acadie et le gouvernement du Québec au cours des deux années précédant leur mise en candidature, ni appartenir à l’administration publique, ni être une personnalité politique en fonction; les mises en candidature à titre posthume ne sont pas acceptées; on ne peut présenter soi-même sa candidature; les candidatures non retenues seront représentées au jury pendant trois ans après l'année de leur présentation; et les récipiendaires ayant déjà reçu le prix ne peuvent concourir à nouveau.

Les candidatures sont évaluées par un jury composé de membres de la Commission de concertation Acadie-Québec.

Veuillez faire parvenir vos dossiers de candidature à l’un des organismes suivants avant le 20 mai (le cachet de la poste en faisant foi) : Bureau du Québec dans les provinces atlantiques, 777, rue Main, bureau 510, Moncton (Nouveau-Brunswick) E1C 1E9, ou encore la Société Nationale de l’Acadie, 307, rue Amirault, Dieppe (Nouveau-Brunswick) E1A 1G1.

Renseignements : 857-9851, bqmoncton@mce.gouv.qc.ca
853-0404, info@snacadie.org

Six personnes expertes du domaine du financement d’entreprises ont participé à une table ronde organisée par la Chaire d’études Jeanne et J.-Louis-Lévesque en gestion financière de la Faculté d’administration portant sur « Les sources de financement pour votre PME ». Cette table ronde a regroupé plus d’une cinquantaine de participants et participantes et a permis de brosser le bilan des sources de financement disponibles aux PME au stade de développement du concept, de la mise en marché, de la génération de revenu et de la profitabilité.

À l'affiche aux Rendez-vous de l’ONF en Acadie, le documentaire « Les Fros » (2010), de la cinéaste Stéphanie Lanthier, une grande première en Acadie, le lundi 4 avril à 19 heures dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard.

Le court métrage « Médecins sans résidence » (2010), de la cinéaste Tetchena Bellange, précédera la projection principale.

Ces deux films termineront la saison d’hiver des Rendez vous de l’ONF en Acadie.

Les Fros (71 minutes)
En Abitibi, à des centaines de kilomètres de la ville, des milliers de travailleurs montent au Nord comme Jos Montferrand ou François Paradis. Ces bûcherons du 21e siècle s’initient à la forêt boréale en exerçant le métier de débroussailleur. Loin de leur famille, ils vivent cinq à six mois par an dans des camps de travail à l’image d’un Québec nouveau. S’y côtoient Québécois d’origine canadienne française et Néo Québécois issus d’Afrique, d’Europe de l’Est ou d’Asie, tous venus gagner leur vie dans le bois.

C’est dans cette microsociété du Nord que la réalisatrice Stéphanie Lanthier nous invite à pénétrer pendant une saison entière. Pratiquant le cinéma direct à la manière de Pierre Perrault, elle documente la vie des débroussailleurs, ces « exilés » de tous âges et toutes nationalités qui partagent avec elle leur nostalgie, leur fierté ou leur fascination pour la forêt qui les entoure.

Originaire de Mont Laurier, Stéphanie Lanthier est chargée de cours à l’Université de Sherbrooke où elle enseigne l’histoire et les sciences politiques depuis 1998. En plus de collaborer à des émissions de radio et de télévision sur l’histoire des femmes au Québec, elle donne des conférences portant sur les rapports cinéma et histoire et sur la représentation politique des femmes. Elle a donc plusieurs cordes à son arc auxquelles s’ajoute désormais le cinéma. En 2004, elle coréalise avec Myriam Pelletier Gilbert son premier long métrage documentaire, « Deux mille fois par jour », axé sur la quête de sens des planteurs d’arbres. Pendant le tournage en Abitibi, elle découvre le monde inspirant des débroussailleurs, qui devient le centre de son second long métrage, « Les Fros ».

Médecins sans résidence (10 minutes)
Ce court métrage documentaire montre comment la discrimination empêche des médecins formés à l’étranger d’exercer au Canada – même lorsqu’ils ont obtenu une attestation de compétence des autorités médicales canadiennes. Des entrevues avec des professionnels de la santé et des défenseurs des droits de la personne illustrent comment le racisme systémique joue un rôle dans cette situation.

Ce film a été produit dans le cadre du projet « La tête de l’emploi » par l’Office national du film du Canada avec la participation de Ressources humaines et Développement des compétences Canada. L’entrée est libre.

La troupe de danse Virtuose de l'Université de Moncton, avec la participation de quelques danseurs de la troupe CHAOS, présente le spectacle Xtravadanse 2011, le samedi 2 avril à 20 heures dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne de Valois au campus de Moncton.
Xtravadanse 2011 se déroulera sous le thème « Jeux vidéo ». L'animateur, assis confortablement dans son « salon », joue à des jeux vidéo. Mais surprise, les différents personnages des jeux s'animeront pour exécuter différents numéros de danse hip hop, funky jazz, ballet, contemporain, jive, baladi et de danse africaine.

Virtuose / CHAOS
Sous la direction de Marie Josée LeBlanc et Christine Gaudet, la troupe de danse universitaire Virtuose, jumelée avec la compagnie Danse CHAOS Dance (sous la direction de Genviève McInyre et Janique Sivret Aucoin), est une troupe de danse récréative et compétitive.

La troupe compétitive a connu plusieurs succès depuis les dernières années. Parmi ses exploits les plus récents, il y a plus d'une dizaine de premières positions lors de la compétition annuelle Eastern Canadian Dance Championships l'an dernier. La troupe Virtuose/CHAOS s'est aussi rendue à Orlando en Floride l'été dernier et a pu offrir une performance à Walt Disney World, en plus d'avoir eu la chance de suivre des ateliers avec plus d'une dizaine de danseurs de renom.

En janvier dernier, la troupe Élite hip hop s'est rendue à la compétition urbaine Set It Straight à Halifax et a remporté une première position. À la fin avril, elle participera à la Compétition régionale Chaleur et à la fin mai, Virtuose tentera de garder son titre de championne à la compétition Eastern Canadian Dance Championships. Finalement, la troupe se rendra à Trois Rivières en juin pour participer au Festival international de danse Danse Encore où les danseurs auront la chance de danser devant un public pouvant atteindre jusqu'à 45 000 spectateurs.

Les billets sont présentement en vente dans le réseau de billetterie du Grand Moncton (Centre étudiant du campus de Moncton, Théâtre Capitol, théâtre l'Escaouette, Monument Lefebvre à Memramcook, Frank's Music à Moncton, Centre des arts et de la culture de Dieppe) au coût de 7,50 $ pour les étudiants et 12,50 $ pour les autres (frais de service en sus). Pour la billetterie, on peut téléphoner au 858-4554.

Renseignements : 863-2008, http://www.umoncton.ca/umcm sls

Le public et les anciens et amis de l’Université de Moncton sont invités à participer au tirage hebdomadaire 50/50 des Amis des Aigles Bleu.es.

Ce tirage, organisé par l’organisme de soutien aux programmes de hockey masculin et féminin, destine ses profits à l’encadrement des deux équipes de hockey du campus de Moncton. Le coût est de 1 $ par semaine et il est possible de payer sa cotisation jusqu’à 52 semaines à l’avance.

Pour participer au tirage hebdomadaire 50/50 des Aigles Bleu.es, il suffit d’envoyer un courriel à amisdesaigles5050@gmail.com avec votre nom, adresse, courriel et numéro de téléphone ainsi que le nombre de semaines de participation. Un membre de l’organisation vous communiquera un numéro de participation. Vous pourrez ensuite faire parvenir votre paiement par la poste à l'adresse suivante : Les Amis(es) des Aigles, C.P. 27037, Dieppe, N.-B. E1A 6V3.

Pour toute question ou commentaire concernant ce tirage hebdomadaire 50/50 des Aigles Bleu.es, faire parvenir un courriel à amisdesaigles5050@gmail.com ou composez le 506-866-3258.

Cinq pièces de Georges Feydeau, sous le titre commun « Bains de ménage » prendront l’affiche du 5 au 9 avril à 20 heures au studio-théâtre La Grange du campus de Moncton. Cet exercice pédagogique public des étudiantes et étudiants de 3e et 4e années du Département d’art dramatique se veut un vrai festival de comédies désopilantes qui ont fait rire des générations depuis une centaine d’années.

Georges Feydeau (1862-1921) est un classique du boulevard parisien dont les œuvres dramatiques sont de vrais mécanismes d’horlogerie animés d’un humour qui ne rate jamais la cible. C’est un défi de taille pour nos étudiantes et étudiants qui doivent se montrer à la hauteur de ce maître incontesté du rire.

Le thème commun de ces cinq pièces est la vie de couple avec ses hauts et ses bas et les situations cocasses, parfois même absurdes dans lesquelles se retrouvent les conjoints. Excellent observateur de la société de son temps, Feydeau amène sur la scène toute une galerie de personnages du début des années 1900 dans des situations comiques qui, malgré le passage du temps et les changements de la vie sociale, apparaissent comme étonnamment actuels.

Si Feydeau a cessé d’écrire bien avant de quitter ce bas monde, ses pièces de théâtre n’ont jamais quitté l’affiche et nous espérons que vous allez vous amuser autant que nos étudiantes et étudiants pendant le travail ardu exigé en répétition par « Un bain de ménage », « Léonie est en avance », « Notre futur », « C’est une femme du monde » et « Hortense a dit « Je m’en fous ».

Alors on vous donne rendez-vous à La Grange pour assister à « Bains de ménage » dans une mise en scène du professeur Andréi Zaharia et la scénographie d’Alain Tanguay. La distribution réunit les étudiantes et étudiants de 4e année Stéphanie Bélanger, Joannie Benoît, Audrey Blanchard, Mathieu Godin, David Losier, Agathe Marie, Gabriel Robichaud, et celles et ceux de 3e année Ludger Bernard Beaulieu, Tanya Brideau et Rébécca Leblond. On espère une vraie thérapie par le rire, un rire véritablement français.

Renseignements : 858-4444.

Le Département de musique de l’Université de Moncton et le magasin de musique de la ville de Québec Twigg Musique présentent un concert exceptionnel en compagnie du sensationnel jeune guitariste classique Miodrag Zerdoner, le jeudi 14 avril à 20 heures dans la salle Neil-Michaud de l’édifice des Beaux-arts au campus de Moncton.

Né le 5 mars 1985 à Sarajevo dans une famille de musiciens, Miodrag Zerdoner reçoit sa première leçon à la guitare de son père Zdravko en 1992 à l'âge de sept ans, année où la guerre éclate en ex-Yougoslavie. Seulement quelques années plus tard, Miodrag est inscrit à l'école de musique d’Ilidza où son père continue d'être son professeur jusqu'en 2001. Cette même année, Miodrag et sa famille vivent un énorme changement en déménageant au Canada, à Québec.

L'adaptation a été difficile en plus de devoir faire l’apprentissage du français. Mais déjà en 2002, Miodrag s'inscrit au Conservatoire de musique de Québec avec Paul-André Gagnon. Il termine sa maîtrise avec Rémi Boucher en 2007, âgé de seulement 22 ans, et obtient le prix avec grande distinction.

Pendant toutes ces années, Miodrag donne plusieurs concerts tant en solo qu'en soliste avec orchestre. Il a également joué à plusieurs reprises en duo avec son père. En 1999, lorsqu’il avait 14 ans, étant meilleur élève de son école de musique, il se fait inviter comme soliste avec l’Orchestre symphonique de Sarajevo. En 2007 il joue à trois reprises le fameux « Concierto de Aranjuez », de Joaquin Rodrigo, à titre d'artiste invité par l’Orchestre symphonique de l’Estuaire et l'Orchestre du Conservatoire de Québec. Il a également participé à de nombreux concours et classes de maître avec notamment Dyens, Assads, Azabagic, Steidl, Perroy, etc. « La vie de concertiste », est celle que Miodrag a choisie.

Au programme, vous pourrez entendre du Johan-Sebastian Bach (Concerto no.1, BWV 972 (d’après Vivaldi); Joaquin Rodrigo (Junto al generalife); Manuel Ponce (Sonata romantica); et Joaquin Rodrigo (Elogio de la guitarra).

L’entrée est libre. Bienvenue à tous et à toutes.

L’Association Un sur Dix qui soutient les lesbiennes, gais, bisexuels et transgenres de l’Université de Moncton, a organisé une manifestation contre l’homophobie. Le comité d’organisation rappelle qu’une telle manifestation est organisée chaque année afin de rappeler que le campus de Moncton doit rester un lieu de tolérance et de respect. Une cinquantaine de personnes ont participé à la marche.

Le Théâtre Capitol présente le spectacle « Donner pour donner », avec Jean François Breau et Marie Ève Janvier, le samedi 16 avril à 20 heures.

Jean François Breau et Marie Ève Janvier se sont rencontrés pour la première fois dans l'univers des comédies musicales. Après avoir vécu Notre Dame de Paris puis l'aventure Don Juan ensemble, c'est à deux qu'ils remontent sur scène pour leur plus grand plaisir.

Accompagnés de leurs musiciens et d’une mise en scène par Dominick Trudeau, le couple forme le tandem idéal pour reprendre des nouvelles versions de chansons inoubliables telles que « I got you babe », de Sonny and Cher, « Je t'appartiens », de Gilbert Bécaud ou encore « Donner pour donner », de France Gall et Elton John. Jean François et Marie Ève revisitent des chansons marquantes en nous faisant passer du rire aux larmes.

« Donner pour donner » ramène à l'avant plan la magnifique complicité artistique qui unit ces deux interprètes de très grand talent.

Les billets sont en vente à la billetterie du Théâtre Capitol, du théâtre l'Escaouette, chez Frank's Music, au Monument Lefebvre, au Centre des arts et de la culture de Dieppe et au campus de Moncton, 28,50 $ en plus les frais de service. On peut également se les procurer en téléphonant à la billetterie au 506-856 4379 ou encore en ligne au site Internet ci-dessous.

Une exposition de sculptures avec comme thème « De minimal à plushie » est en montre jusqu’au 13 avril à la Galerie 12 du Centre culturel Aberdeen, au 140, rue Botsford, à Moncton.

Le vernissage a lieu aujourd’hui, vendredi 25 mars, de 19 heures à 21 heures.

L’exposition regroupe le travail récent de six jeunes artistes néo-brunswickois portant sur des thèmes de la sculpture actuelle : Vanessa Bezeau, Mario LeBlanc, Martine Lelièvre, Cynthia Gagnon, Renée-Claude Marquis et Françoise Surette.

Le mouvement minimal qui a pris son essor dans les années 1960 s’est caractérisé par le refus de l’illusionnisme et sa préférence pour les matériaux usinés et les procédés de reproduction sériels appliqués à la fabrication industrielle. Son développement a mené vers l’installation, l’art de terrain et l’in situ.

Le « Plushie » n’est pas un mouvement mais plutôt une tendance issue du néo pop qui converge autour d’une imagerie aux caractères de fausse fourrure sublimant et proclamant une symbolique de nature pervertie et psychosexuelle infantile.

Les artistes seront présents lors du vernissage. Bienvenue à tous et à toutes. Renseignements : André Lapointe, au 858-4375.

La photo nous fait voir les membres du comité d’organisation du banquet de l'École de psychologie de l’Université de Moncton, campus de Moncton, qui a eu lieu au Palais Crystal de Dieppe. Il s’agit, de gauche à droite, 1re rangée : Samuel LeBlanc, Jessie Bossé, Gabrielle Ross-Marquette, la sexologue Renée-Claude Badman, conférencière; Marie-Claire Losier, Amy-Lynn Gauthier, Stéphanie Daigle et Chloé Robichaud; 2e rangée : Myriam Binot, Janik Collette, Francesca Jaima Gurgeon, Mathieu Chalifoux, Douglas French, directeur de l'École de psychologie; Martin Duguay, Lise Gallant et Marie-Pier Leclerc.

Les 6 et 7 avril, Film Zone accueillera la nouvelle édition de la Tournée canadienne des Rendez-vous du cinéma québécois, un événement qui offre aux cinéphiles de la grande région de Moncton une occasion privilégiée de voir une sélection des meilleurs films québécois de l'année et de rencontrer ses artisans.

Le lancement de la Tournée se fera le mercredi 6 avril à 19 heures avec « En Terrains connus », de Stéphane Lafleur, prix du Jury oecuménique décerné dans le cadre de la section Forum du Festival international du film de Berlin. Le premier long métrage de Michel Monty, « Une Vie qui commence », récipiendaire du Bayard d'or de la Meilleure première oeuvre au Festival international du film francophone de Namur, sera présenté quant à lui le 7 avril à 19 heures. Les projections auront lieu au cinéma du Palais Crystal et seront suivies d'une rencontre avec chaque réalisateur. Les billets seront en vente le soir de la projection au coût de 7 $ pour les adultes et 5 $ pour les étudiants et étudiantes.

Outre les activités destinées au public, la Tournée canadienne des Rendez-vous du cinéma québécois sera aussi présente dans les écoles de la région le 7 avril. Les élèves de l’école secondaire Mathieu Martin de Dieppe participeront à un atelier d'initiation à la cinématographie québécoise avec la présentation d'un programme stimulant de courts métrages, alors que ceux et celles de l’école secondaire L'Odyssée de Moncton assisteront à une leçon de cinéma donnée par Stéphane Lafleur, qui leur permettra d'explorer les rouages du métier de réalisateur.

Renseignements : 855-6050, communications@ficfa.com

Les personnes intéressées sont invitées à participer au colloque ayant pour thème « L'université du 21e siècle : repensons nos pratiques », organisé conjointement par le Programme d’appui à la réussite des études et le Service d’animation et de soutien à l’enseignement, les 30 et 31 mai au campus de Moncton. Il débutera à 13 heures le lundi 30 mai et prendra fin vers 15 heures le 31 mai.

La conférence d’ouverture sera prononcée par Chad Gaffield, président du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH). Certaines conférences seront diffusées par vidéoconférence aux campus d’Edmundston et de Shippagan pour les personnes qui ne pourront y assister sur place.

Le programme et les modalités d’inscription vous seront envoyés sous peu.

Les responsables des secteurs administratifs et des services sont invités à mandater des personnes pour assister à ce colloque.

Renseignements : 858-4112, louise.Gautreau@umoncton.ca

Lors de son banquet annuel, la Faculté des sciences de l’Université de Moncton a décerné des prix pour souligner l’excellence académique et l’engagement dans la communauté de ses étudiants et étudiantes.
Chaque année, chacun des départements ou secteur de la Faculté décerne un prix d’excellence à un étudiant ou étudiante en se basant sur son dossier académique et son implication dans le milieu. Par la suite, un comité facultaire en choisi un et lui décerne le prix d’excellence de la Faculté, remis cette année à Maxime Boudreau, inscrit en quatrième année à la spécialisation en physique. Les autres récipiendaires sont Dany Saucier (Département de biologie), Jérémie Doiron (Département de chimie et biochimie), Maryleen Mompoint (Département d’informatique), Ariane Choquette et Céleste Vautour (ex aequo, Département de mathématiques et de statistique) et Heidi Godbout (Secteur des programmes spéciaux).

Il y aura une séance d'observation astronomique, le lundi 11 avril de 21 heures à 22 heures à l’Observatoire de l’Université de Moncton situé sur le toit du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton. La planète Saturne sera visible. Cette activité est organisée par le Département de physique et d'astronomie. Venez en grand nombre.

Renseignements : 858-4339.

Hugues Chiasson, responsable des communications au campus d’Edmundston depuis dix ans, a été nommé Personnalité de la semaine Radio-Canada/Acadie Nouvelle pour la période du 21 au 27 mars.

Comme on peut le lire dans le quotidien L’Acadie Nouvelle du 21 mars, Hugues Chiasson s’est rapidement improvisé ardent défenseur du fait français et de la cause acadienne dès son arrivée au Madawaska en l’an 2000. Il s’est engagé au sein de la société Louis-Napoléon-Dugal de la SANB. Aujourd’hui, il est membre du comité organisateur du Congrès mondial acadien (CMA) qui aura lieu en 2014 dans le nord-ouest du Nouveau-Brunswick, dans le nord du Maine et au Témiscouata.

« Lorsque je suis arrivé à Edmundston, j’ai senti qu’il y avait un besoin pour la cause francophone et acadienne, a-t-il souligné. Il n’y avait que très peu de porte-étendard. Je me suis donc immédiatement impliqué avec la section Louis-Napoléon-Dugal de la SANB. J’en ai été le président durant deux ans et je n’ai cessé de m’impliquer depuis. »

« J’ai toujours milité pour la cause acadienne, même à Halifax, en Nouvelle-Écosse. Nous étions une vingtaine de gens à participer au premier tintamarre dans les rues de la ville au début des années 1990, a-t-il rappelé. Quand on croit à une cause, rien ne nous arrête. Il faut faire savoir qui nous sommes. »

Hugues Chiasson est diplômé du programme information-communication de l’Université de Moncton (1987) et a œuvré dans les communications pendant toute sa carrière professionnelle. Au campus d’Edmundston, il est responsable des communications internes et avec le public. Ses tâches comprennent notamment la rédaction de communiqués de presse, la prise de photos, l’organisation de conférences de presse et la gestion du site Web du campus.

« Mon travail au campus d’Edmundston est fascinant, a-t-il évoqué. Si les techniques associées à la préparation des communiqués de presse se ressemblent au fil des ans, il en est tout autre du courant technologique. Il faut sans cesse galoper car les moyens de transmettre la nouvelle évoluent constamment et rapidement. »
Originaire de Lamèque, il est le seul à avoir été directeur des sports de deux quotidiens francophones au Nouveau-Brunswick, soit Le Matin (1986-1988) et L’Acadie Nouvelle (1997-2000). Il a également été pigiste pour le Journal de Québec. Dans le domaine de l’éducation, il a été directeur des communications à l’Association des conseillers et conseillères scolaires francophones du Nouveau-Brunswick ainsi que du Conseil scolaire acadien de la Nouvelle-Écosse.

Hugues Chiasson est membre du nouveau Conseil des gouverneurs du Collège communautaire du Nouveau-Brunswick, membre du conseil d’administration du Fonds de l’avenir de la SANB depuis 2003, président du spectacle de l’Acadie des terres et forêts en fête depuis 2002, responsable du baseball mineur à Edmundston depuis 2006, entraîneur et arbitre au hockey mineur. Sa passion pour le français lui a permis de se qualifier à quatre finales de la Dictée des Amériques. Il a été proclamé Personnalité de l’année 2009 dans le nord-ouest du Nouveau-Brunswick par l’hebdomadaire provincial L’Étoile.

Le Gala annuel des athlètes de l’Université de Moncton aura lieu le jeudi 7 avril au Delta Beauséjour de Moncton à compter de 18 h 30. Plusieurs prix de mérite seront présentés lors de cette soirée, notamment ceux remis à l'athlète masculin et féminine de l'année de même qu'aux recrues féminine et masculine de l’année au campus de Moncton.

Les étudiantes et étudiants de même que le public sont invités à y assister. Les billets sont en vente à la réception du Ceps Louis-J.-Robichaud au prix de 10 $ pour les athlètes, 20 $ pour étudiants et étudiantes et 25 $ pour les autres personnes.

Le Fonds de bourses Alcide-Godin a été créé en 2004 grâce à un généreux don de 200 000 $ d’Alcide-Godin, professeur retraité de la Faculté des sciences de l'éducation de l’Université de Moncton. Ces bourses sont offertes uniquement aux étudiantes et étudiants inscrits au campus de Moncton dans les programmes de formation à l'enseignement de cinq ans. Quatre étudiantes ont reçu chacune une bourse de 1 100 $ pour l'année 2010-2011.

Le Service des loisirs socioculturels, en collaboration avec le district scolaire 1, présente « Le Retour de nounou McPhee » en version française, le dimanche 3 avril à 13 heures dans l’amphithéâtre 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton.

Mettant en vedette Emma Thompson qui reprend le rôle de cette excentrique et attachante nounou, ce film bouclera la saison 2010-2011 de Ciné-Jeunesse.

Le retour de nounou MacPhee
Pendant que son mari est parti à la guerre, Isabel tente de s'occuper du mieux qu'elle le peut de la ferme et de leurs trois enfants. Elle est rapidement dépassée par les évènements lorsque deux cousins plus fortunés débarquent sans crier gare. Afin de faire régner l'harmonie dans la maison, la jeune mère de famille peut compter sur Nanny McPhee qui possède plus d'un tour dans son sac. Grâce à ses pouvoirs magiques, les disputes disparaissent presqu’instantanément. Mais gare au méchant oncle Phil qui tente par tous les moyens de mettre la main sur la ferme.

L’entrée est de 4 $ pour les enfants et 6 $ pour les adultes. Les portes ouvrent dès 12 h 30.

Rendez-vous de l’ONF en Acadie
Les Rendez-vous de l'ONF en Acadie présentent le lundi 4 avril, « Les Fros », de la cinéaste Stéphanie Lanthier (2010, 71 minutes).

En Abitibi, des milliers de travailleurs exercent le métier de débroussailleur en pleine forêt boréale. Ces bûcherons du 21e siècle vivent six mois par an dans des camps de travail où se côtoient Québécois d’origine et Néo-Québécois issus d’Afrique, d’Europe de l’Est ou d’Asie. Stéphanie Lanthier (Deux mille fois par jour) a suivi ces « exilés » pendant une saison entière.

Le court métrage « Médecins sans résidence », de la cinéaste Tetchena Bellange (2010, 6 minutes), précédera la projection principale.

Les projections débutent dès 19 heures dans l'amphithéâtre 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard et l’entrée est libre.

Lors de sa réunion du 25e tenue en 2001, les étudiants et étudiantes de la promotion MBA 1976 de la Faculté d'administration de l’Université de Moncton a créé le Fonds de bourse MBA1976 d'une valeur de 10000 $ en guise de soutien à la campagne Excellence. Cette contribution accorde des bourses d'études aux étudiants et étudiantes du programme MBA qui se distinguent par l'excellence de leurs résultats académiques.

André Dumas, directeur scientifique de l’aquaculture à l’Institut de recherche sur les zones côtières situé à Shippagan, participera à une mission internationale impliquant des scientifiques en provenance de la Norvège, du Danemark, de l’Islande et du Canada. Cette mission débute en Islande cette semaine prochaine et portera sur les systèmes d’élevage intensif des salmonidés couramment utilisés en milieu terrestre.

Ce projet d’envergure vise deux objectifs principaux qui sont d’évaluer les performances des différents systèmes, et de développer la prochaine génération de fermes piscicoles en milieu terrestre.
Ces pays de la Scandinavie qui ont obtenu une subvention de plus de $94 000 de Coopération Atlantique du Nord (NORA) sont fortement encouragés à coopérer avec les autres pays de l’hémisphère Nord dont le Canada et c’est l’IRZC qui a été choisi comme partenaire.

Une équipe multidisciplinaire composée d’ingénieurs, de nutritionnistes, généticiens, biologistes et producteurs de salmonidés identifiera les facteurs clés qui influencent la croissance et la santé des poissons, la qualité de l’eau et les coûts de production. Le projet, d’une durée d’un an, impliquera des visites avec échantillonnages auprès de diverses entreprises et institutions piscicoles de la Scandinavie ainsi que de l’Est du Canada. Après la rencontre de cette semaine en Islande, l’équipe se déplacera ensuite en Norvège cet été et terminera sa mission au Nouveau-Brunswick en mars 2012.

Des producteurs de salmonidés de l’Est du Canada auront donc la chance de rencontrer l’équipe et d’obtenir l’information la plus à jour qui soit dans le domaine de l’aquaculture des salmonidés. De plus, les connaissances recueillies serviront à orienter les futures recherches en vue de façonner des systèmes plus performants, durables et rentables.

Ce projet s’inscrit dans la démarche de l’IRZC qui vise à accroître sa contribution auprès de l’industrie aquacole et de la communauté scientifique à l’échelle nationale et internationale. Avec cette étude impliquant des représentants des plus importants pays producteurs de salmonidés, l’IRZC se positionne parmi les leaders dans le domaine de l’élevage intensif en milieu terrestre et pourra plus facilement collaborer dans les projets qui découleront de cette initiative.

La participation de l’IRZC à ce réseau de recherche a été rendue possible grâce à la contribution financière du Conseil national de recherche du Canada et du Fonds d’innovation du Nouveau-Brunswick.

Renseignements : 506-336-6600 ou 506-336-6600.

Deux équipes de l'Université de Moncton ont participé à la Compétition canadienne d'ingénierie qui a eu lieu à l'Université McGill de Montréal. L’une d’entre elles a terminé à la troisième place dans la catégorie conception senior.

L’entraîneur de l’équipe de soccer de l’Université de Moncton, Sylvain Rastello, a laissé savoir qu’il avait recruté deux joueurs de la région de l’Outaouais pour la prochaine saison des Aigles Bleus en septembre. Maxime Daigle et Antoni Ciepala, de Gatineau, participeront au camp préparatoire en août.

« J’ai des amis qui jouent avec les Aigles Bleus et c’est l’une des raisons qui m’a incité à poursuivre mes études en information-communication à l’Université de Moncton, de dire Maxime Daigle. Même si je n’ai pas habité au Nouveau-Brunswick, mes parents sont natifs d’Edmundston et mon oncle, Daniel Bérubé, a joué avec les Aigles Bleus au hockey. Je connais donc l’Université de Moncton et les Aigles Bleus depuis des années. »

Daigle est un attaquant qui mesure cinq pieds huit pouces, 140 livres. Âgé de 21 ans, il est un joueur d’expérience puisqu’il joue au soccer depuis 17 ans. « C’est le sport que je joue depuis toujours et dans lequel j’excelle, ajoute-t-il. Je suis efficace à l’attaque devant le filet parce que je marque régulièrement. J’ai un jeu de finition impeccable. »

Daigle sera avec le Dynamo de Hull senior AAA cet été pour une troisième saison d’affilée. Il a joué trois ans au collégial et une année avec le FC Outaouais senior AA.

Antoni Ciepala est le frère jumeau de Kasper qui jouait avec les Aigles Bleus pendant la dernière saison. «J’ai bien hâte de retrouver mon frère avec qui j’ai joué pendant 15 ans mentionne Antoni. Nous jouons très bien ensemble et nous avons une complicité sur le terrain qui existe seulement entre frères.»

Antoni est un gaillard de cinq pieds 11 pouces et190 livres qui pratique ce sport depuis 16 ans. Comme attaquant, il a souvent marqué des buts après avoir obtenu une belle passe de son frère. «J’aime beaucoup le soccer parce que c’est un sport d’équipe et j’aime l’esprit d’entraide qui y règne. Je ressens une satisfaction que je ne retrouve pas ailleurs.»

Antoni Ciepala jouera avec le senior AAA Dynamo de Hull cet été avant de venir à Moncton en août. Il dit avoir visité le campus à deux reprises. Maintenant âgé de 23 ans, il dit pouvoir retourner étudier tout en étant capable de jouer au soccer. «C’est le soccer qui me motive à retourner aux études. C’est un environnement parfait pour moi.»

Dans le cadre du 22e Concours des jeunes chercheuses et chercheurs des universités de l’Atlantique qui a eu lieu à l’Université de Moncton, une table ronde, ayant comme thème « Vers une nouvelle géopolitique mondiale », a analysé les impacts sur la géopolitique internationale des révolutions en cours dans les pays arabes et africains. Coordonnée par Marie-Noëlle Ryan, professeure au Département de philosophie, le débat a regroupé au campus de Moncton Jean-François Thibault, professeur au Département de science politique (violence et démocratie), Nasser Baccouche, professeur à l’École de travail social (révolutions arabes - vers la démocratie), et Gervais Mbarga, professeur au programme d’information-communication (l’Afrique noire : que faut-il en attendre?) Cette table ronde était aussi diffusée en vidéoconférence aux campus de Shippagan et d’Edmundston. Rappelons que le concours des jeunes chercheuses et chercheurs permet aux étudiantes et étudiants du premier cycle et des cycles supérieurs des universités de l’Atlantique de présenter les résultats de leurs travaux de recherche en français.

Pour des raisons indépendantes de notre volonté, le Jeudi de la Librairie du 31 mars est reporté à l’automne.

Rappelons qu’il devait être consacré à l’important ouvrage de Jack Goody, anthropologue et historien britannique, intitulé « Le Vol de l’histoire. Comment l’Europe a imposé le récit de son passé au reste du monde » paru aux Éditions Gallimard.

Les Jeudis de la Librairie est une série d’activités initiée par le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact (GRICC) en collaboration avec la Librairie acadienne et qui consiste à rendre compte et à débattre (deux ou trois fois par semestre) d’ouvrages récents qui présentent un intérêt local, national ou international.

Au cours de ce semestre les deux ouvrages qui ont été choisis sont les suivants : le « Journal de John Winslow à Grand Pré », traduit de l'anglais et commenté par Serge Patrice Thibodeau et paru aux Éditions Perce neige, et « La Carte et le territoire », roman du Français Michel Houellebecq paru aux Éditions Flammarion.

On espère donc vous retrouver en grand nombre à la session d’automne pour de nouveaux Jeudis de la Librairie. Le programme et le calendrier vous seront communiqués en temps et lieu.

Les équipes de hockey masculine et féminine de l’Université de Moncton, en collaboration avec l’Association multiculturelle du Grand Moncton (AMGM) et le Club garçons et filles de Moncton, ont offert cinq sessions d’apprentissage du patin sur glace aux personnes immigrantes de la région afin de les inciter à pratiquer des sports d’hiver. Les jeunes tout comme les adultes étaient présents le dimanche matin à l’aréna J.-Louis-Lévesque du campus de Moncton pour apprendre en compagnie des hockeyeurs et hockeyeuses des Aigles. Les organisateurs se disent très heureux de la réaction et du progrès qui a été réalisé par ce groupe qui s’est initié au patinage sur glace.

L’Université de Moncton rendra hommage aux athlètes et formations sportives du campus de Moncton pour la saison 2010-2011 lors du Gala des athlètes qui aura lieu le jeudi 7 avril à l’hôtel Delta Beauséjour de Moncton.

Cette année, 15 étudiantes et étudiants-athlètes sont en lice pour les prix de mérite.
Il y en a quatre en nomination pour le titre d’athlète féminine de l’année : Josée LeBlanc (soccer), de Grande-Digue; Mariève Provost (hockey) de Laval, au Québec; Alexa-Maude Mallais (athlétisme), de Duguayville; et Jolaine Gallant (volleyball), de Richibucto.

Le titre d’athlète masculin de l’année sera décerné à l’un des trois candidats suivants : Jean-Marc Doiron (cross-country et athlétisme), de Collette; Maxime Ferlatte (soccer), de Dieppe; ou Dean Ouellet (hockey), de Saint-Hilaire.

Pour le titre de recrue féminine de l’année, le choix se fera entre Marie-Pier Doiron (volleyball), de Dieppe; Jamie Fitzel (athlétisme) de Whitecourt, en Alberta; Naomie Maltais (athlétisme), de Val d’Amour; Anik Gautreau (soccer), de Dieppe; et Manon Lamarre (hockey), de Régina, en Saskatchewan.

Justin Gautreau (soccer), de Memramcook, Alexandre Doucet (athlétisme), de Middle River, et Simon Lacroix (hockey), d’Orléans, en Ontario, tenteront de décrocher le titre de recrue masculine.

Les athlètes les plus utiles de chaque formation et l’entraîneur de l’année seront également honorés lors de la soirée.