L’Université de Moncton a été l’hôte des Jeux de biochimie 2013 qui ont eu lieu les 4, 5 et 6 janvier. Plus de 250 participants et participantes provenant de l’Université de Montréal, de l’Université du Québec à Montréal, de l’Université Laval, de l’Université de Sherbrooke, de l’Université McGill, de l’Université de Moncton et de St. Francis Xavier University ont pris part aux compétitions sportives, artistiques et académiques qui ont eu lieu au campus de Moncton.

Les sportifs ont eu la chance de compétitionner dans divers sports au Ceps Louis-J.-Robichaud, que ce soit au soccer, au hockey-boule, au volley-ball, à l’ultimate frisbee, au ballon-chasseur ou encore au basketball. Pour ceux et celles ayant un intérêt plus artistique, il y a eu un rallye-photo où les personnes participantes devaient prendre diverses photos au campus en suivant des directives bien précises. Une compétition a également eu lieu où les participants et participantes devaient présenter leurs recherches académiques devant un jury avec l’utilisation d’un poster scientifique.

Tous les participants et participantes ont bien évidemment apprécié les soirées sociales et en ont profité pour tisser des liens avec leurs collègues des autres universités. Notons l’ajout cette année d’une nouvelle délégation aux Jeux, celle de St. Francis Xavier University, la première université néo-écossaise de l’histoire des Jeux de biochimie.

La délégation de l’Université de Moncton a fait bonne figure en remportant le prix de l’Université à marier, le prix de la Personnalité de l’année (Martin Chiasson, étudiant de 4e année au B.Sc. spécialisation physique) et le prix du rallye-photo, terminant en 3e position au classement général des universités.

Année après année, les Jeux de biochimie ont cette renommée d’être très chaleureux et de permettre aux chimistes et biochimistes des différentes universités de l’Est canadien de se lier d’amitié.

Jessica St-Georges, de l’Université du Québec à Montréal, qui en était à sa troisième participation aux Jeux, a posté sur le mur Facebook des participants : « Merci beaucoup à Moncton et à son comité organisateur. Nos participants à l'UQAM et moi-même ont grandement apprécié la magnifique fin de semaine que vous nous avez offerte. Je vous aime. Et merci aussi à toutes les autres universités participantes; encore une fois, c'était merveilleux de vous retrouver, de jaser, de jouer et de faire le party avec vous tous. »

Un étudiant de l’Université de Moncton qui en était à sa première participation aux Jeux, Paul Hutchinson, a bien apprécié son expérience. « À mon arrivée au Delta le vendredi soir avec les délégations qui arrivaient d'un peu partout du Québec et de la Nouvelle-Écosse, j'ai vite réalisé une chose : tout le monde est ici pour s'amuser. Mais pendant la fin de semaine en jasant avec les participants des autres universités, j'ai réalisé que les Jeux de biochimie sont bien plus qu'une compétition interuniversitaire. Les Jeux nous permettent d'apprendre comment les choses se font dans d'autres universités, de rencontrer d'autres étudiants qui partagent la même passion que nous, celle de la science et de l'apprentissage. En gros, ces Jeux ont été l’une de mes meilleures expériences ici à l'Université. Bien sûr, cette expérience a été possible grâce à l'incroyable travail du comité organisateur qui a su préparer une fin de semaine hors pair. »

Le Comité organisateur aimerait remercier chaleureusement tous ses bénévoles et commanditaires, sans qui les Jeux ne pourraient pas avoir eu lieu.

L’édition 2014 aura lieu au campus de l’Université de Montréal.

Le Centre de recherche sur les aliments (CRA) de l’Université de Moncton vient d’obtenir le renouvellement de la certification à la norme ISO 9001 : 2008 pour les trois prochaines années.

Un auditeur mandaté par le registraire SGS Certification de Systèmes & Services Canada Inc. a visité le CRA les 13 et 14 décembre dernier. La certification couvre les services d’analyses microbiologiques et chimiques des produits agroalimentaires et marins et a été jugée conforme en tout point à cette norme, aucune non-conformité n’a été soulevée. Bien que la certification soit de trois ans, le registraire planifie des audits de surveillance externes obligatoires chaque année.

Ces dernières années, le CRA a d’abord été certifié à la norme ISO 9002 (version 1994) en 1997. En 2003, il a réalisé la mise à niveau à la norme ISO 9001 : 2000 étant donné que la norme ISO 9002 devenait obsolète. En 2009, il a encore réalisé avec succès la mise à niveau à la norme ISO 9001 : 2008.

Le CRA fait partie de l’École des sciences des aliments, de nutrition et d’études familiales (ESANEF). Il est voué à la recherche en alimentation et offre des services de soutien à l’industrie alimentaire dont l’analyse microbiologique et chimique des aliments.

« L’importance de garantir la qualité des analyses motive le CRA au maintien de cette norme reconnue au niveau international, mentionne Pascal Audet, professeur agrégé à l’ESANEF et directeur du CRA. L’adhésion à la norme ISO 9001 : 2008 et aux versions antérieures lui a permis depuis 1997 de se doter d’un système de gestion de la qualité documenté en constante amélioration. Ce système impose une traçabilité intégrale et documentée notamment entre les contrats, tous les intrants au laboratoire, les procédures et les résultats finaux des analyses envoyés aux clients. Ce système de gestion de la qualité mobilise tout le personnel vers ses objectifs de qualité. Il permet aussi d’investir dans la prévention de problèmes potentiels et dans la correction efficace des non-conformités à cette norme. »

« Le CRA est ainsi capable de démontrer à ses clients que non seulement il peut leur fournir un service répondant à leurs exigences mais qu’il contrôle tous les outils nécessaires pour y arriver sur tous les plans de la gestion, ajoute-t-il. Le maintien de la norme ISO 9001 : 2008 oblige la tenue régulière d’audits de surveillance à l’interne et de revues de direction pour l’évaluation continue de l’efficacité du système de gestion de la qualité. La gestion de ce système d’assurance qualité se fait dans un environnement « sans papier » où tout est contrôlé au moyen d’un logiciel de gestion documentaire avec base de données. »

Ce travail a été possible grâce à la participation constante et assidue de l’équipe - les employés du CRA et ceux d’Agriculture et agroalimentaire Canada associés au Centre.

On peut joindre le professeur Pascal Audet au numéro 858-4284.

Le Département d'histoire et de géographie vous invite à assister à la cinquième conférence Jean-Daigle en compagnie de Daniel Germain, professeur à l'Université du Québec à Montréal, qui prononcera une conférence, intitulée « Les risques naturels dans l’Est du Canada : approche géographique », le vendredi 25 janvier à 11 h 15 dans le local 106 de l’édifice des arts au campus de Moncton.

Le professeur Germain est spécialiste des risques naturels et travaille notamment sur la dynamique des mouvements gravitaires rapides (avalanches, coulées de débris, activité torrentielle, etc.) et, plus spécifiquement, sur leurs interrelations avec le milieu forestier.

Au cours des dernières décennies, plusieurs travaux ont relié l’augmentation des géorisques (avalanches, glissements de terrain, érosion côtière, inondations, etc.) à l’anthropisation accentuée des milieux naturels et à l’accroissement de la variabilité interannuelle du climat, associée au changement dans la circulation atmosphérique globale. Les impacts économiques et sociaux engendrés par ces catastrophes couplés à la fréquence accrue des extrêmes météorologiques des dernières décennies favorisent donc l’élaboration et l’application de stratégies d’adaptation au changement climatique.

Dans cette perspective, l’approche géographique du territoire permet de mieux saisir les interrelations entre les processus physiques (aléa) et sociaux (vulnérabilité). C’est donc à travers la revue d’une série de cas d’étude répartis dans l’Est du Canada que seront explorés les liens de proximité et de causalité entre l’Homme et la Nature afin de promouvoir une approche basée sur des outils d’aide à la décision adaptés aux territoires concernés.

Cette conférence est la cinquième de la série annuelle des conférences Jean-Daigle, permise grâce à un don de ce professeur d'histoire maintenant à la retraite.

Une réception suivra. Bienvenue aux personnes intéressées.

Renseignements : Guillaume Fortin, guillaume.fortin@umoncton.ca

Le Bureau des relations internationales de l’Université de Moncton a une nouvelle directrice, Dominique Gagné, qui nous arrive du gouvernement fédéral où elle a œuvré pendant plusieurs années dans différents ministères et dans plusieurs domaines d'activités dont les communications, la gestion de programmes de subventions et contributions, l'élaboration de politiques publiques et les affaires parlementaires et gouvernementales.

Avant son arrivée à Moncton en juillet 2011, elle était directrice des affaires parlementaires et réglementaires au ministère du Patrimoine canadien. Elle a ensuite travaillé au bureau régional du ministère à Moncton.

En plus de sa grande expérience au sein de l'administration publique fédérale, Mme Gagné possède le baccalauréat en économie de l'Université du Québec à Montréal, la majeure en études russes (langue et littérature) de l'Université de Montréal et le maîtrise en communications de l'Université du Québec à Montréal. Après avoir complété la scolarité de doctorat en communication avec spécialisation en communication internationale et organisationnelle, elle s'est réorientée vers l'administration publique. Elle y a mis à contribution sa connaissance et ses habiletés en communications pour le développement de politiques publiques et le renforcement des relations interorganisationnelles.

Mme Gagné a un intérêt marqué, tant au point de vue personnel que professionnel, pour toutes les questions internationales et les relations interculturelles qui favorisent le foisonnement du savoir, des idées et des cultures. Elle est particulièrement enchantée d’avoir la chance, grâce à ce nouvel emploi, de contribuer activement au développement de notre université et de la communauté francophone.

Dans le cadre des activités soulignant le 50e anniversaire de fondation de l’Université de Moncton, la Société historique acadienne (SHA) tiendra un colloque, intitulé « L’Acadie, l’histoire et l’éducation », le samedi 16 février de 8 h 30 à 16 h 30 au pavillon Adrien-J.-Cormier au campus de Moncton.

Ce colloque s’adresse aux membres de la Société historique, aux étudiants et étudiantes, aux membres du corps professoral et à ceux du corps enseignant des écoles publiques ainsi qu’à tous ceux et celles qui s’intéressent à l’histoire de l’Acadie. Présenté dans le cadre de la Semaine nationale du patrimoine qui se tient du 11 au 18 février, il permettra aussi de faire connaître au public la contribution de l’Université de Moncton et de la Société historique acadienne au progrès de l’histoire et du patrimoine acadiens.

Au programme, on prévoit une conférence de Sylvie Lebel, du ministère de l’Éducation du Nouveau-Brunswick, portant sur le contenu et les modalités d’enseignement de l’histoire dans les écoles francophones de la province. De plus, Jeanne Mance Cormier, conservatrice au Musée acadien de l’Université de Moncton, prononcera une conférence portant sur la transmission du savoir par les musées et les moyens utilisés pour faire connaître au public les collections d’objets historiques et les documents d’archives. Ensuite, Sylvie Ladouceur, de l’Institut d’études acadiennes, parlera des carnavals comme phénomène social et, plus précisément, des différentes formes de représentation historique, littéraire, ethnique et occupationnelle lors des carnavals d’hiver au sud-est du Nouveau-Brunswick.

Par la suite, les étudiantes et l’étudiant en histoire Laura Huet, Carolynn McNally et François LeBlanc présenteront leurs travaux de recherche, tandis que les historiens Maurice Basque et Gregory Kennedy proposeront un exposé portant sur l’historiographie et les tendances récentes en histoire acadienne. Puis, une table ronde sur l’évolution de l’histoire de l’Acadie clôturera la partie formelle du colloque.

Les personnes participantes seront ensuite invitées à visiter les sites à valeur historique ou patrimoniale logés à l’Université de Moncton, soit le bureau de la Société historique acadienne, le Centre d’études acadiennes Anselme-Chiasson et le Musée acadien.

Les personnes intéressées à participer à ce colloque peuvent obtenir le programme détaillé et d’autres renseignements utiles en écrivant à Société historique acadienne, case postale 632, Moncton, N.-B., E1C 8M7, ou par courriel à societehistoriqueacadienne@gmail.com ou encore en téléphonant au secrétariat de la SHA, au 858-4798.

L’Université de Moncton et Mount Allison University reçoivent comme artiste en résidence l’un de leurs anciens les plus connus. Artiste acadien de renom et ancien lieutenant-gouverneur du Nouveau-Brunswick, Herménégilde Chiasson a été nommé premier artiste en résidence Casino Nouveau-Brunswick pour un mandat de trois ans partagé entre les deux universités. Casino Nouveau-Brunswick a fait un don de 500 000 $ pour la mise en place de ce projet.

« Je suis enchanté de cette occasion qui m’est offerte de travailler au sein de deux des meilleures universités au Canada, mentionne M. Chiasson. L’Université de Moncton et Mount Allison University sont toutes deux d’importantes institutions académiques, culturelles et artistiques au Canada atlantique et j’ai bien hâte de collaborer avec les étudiants et étudiantes et les membres des facultés de ces deux institutions».

Dans le cadre du nouveau programme, M. Chiasson divisera son temps et son expertise entre l’Université de Moncton et Mount Allison. Tout au long de sa résidence, il s’impliquera auprès d’étudiants et étudiantes, de membres des facultés et d’acteurs communautaires de manières diverses. Par exemple, il prononcera des discours et fera des présentations publiques, de la recherche et des collaborations artistiques.

« L’un des objectifs de Casino Nouveau-Brunswick est de faire de notre communauté un endroit où il fait bon vivre, travailler et s’amuser, explique Craig DeMarta, directeur général de Casino Nouveau-Brunswick. En soutenant la collaboration entre l’un des artistes les plus connus de la région, Herménégilde Chiasson, et deux universités de la province, Mount Allison et l’Université de Moncton, notre organisation démontre son appui envers les arts, l’éducation et le développement culturel dans le sud-est du Nouveau-Brunswick. »

M. Chiasson a commencé sa résidence à l’Université de Moncton ce mois-ci et l’annonce officielle a eu lieu à la galerie d’art Owens Art Gallery située au campus de Mount Allison University où l’on retrouve plusieurs de ses oeuvres dans la collection permanente.

Le Centre Métropolis, la Faculté des arts et des sciences sociales et le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact organisent un atelier international, intitulé « Les horizons dépassés du multiculturalisme ? », le jeudi 7 février à 16 h 30 dans le local 106 de l’édifice des arts au campus de Moncton.

Les professeurs Jean-François Caron, du Département de science politique de l’Université de Moncton, Matteo Gianni, du Département de science politique de l’Université de Genève, et la professeure Elke Winter, du Département de sociologie de l’Université d’Ottawa, viendront livrer leurs réflexions sur le sujet.

Auteure de nombreux articles scientifiques, Elke Winter s’est fait remarquer en 2011 avec la publication de son livre, intitulé « Us, Them, and Others : Pluralism and National Identity in Diverse Societies », aux Presses de l’Université de Toronto. Pour sa part, Matteo Gianni a écrit plusieurs articles autour de la Suisse et de l’intégration de sa minorité musulmane, et il s’intéresse notamment aux théories de la citoyenneté ainsi qu’aux politiques publiques en matière d’immigration et d’intégration.

Les conférenciers en profiteront pour discuter des défis associés au multiculturalisme au Canada et en Europe, du bien-fondé des critiques contre la diversité ethnoculturelle mais aussi des manières à notre disposition pour repenser un vivre-ensemble en contexte de pluralisme identitaire.

Cet événement s’inscrit dans une série d’activités qui culmineront par l’organisation d’un colloque le 7 mai prochain à l’Université Laval dans le cadre du 81e congrès de l’Association francophone pour le savoir (ACFAS).

Renseignements : Chedly Belkhodja, au 858-3749.

Les 14 et 15 janvier, l’Université de Moncton a reçu une délégation de la Yancheng Institute of Technology de la province de Jiangsu, en Chine.

Le professeur Buquan Miao, directeur du Département de génie civil, a rendu visite à cette institution à deux reprises en 2011 et 2012 et une entente cadre de coopération ainsi qu’une entente d’un programme conjoint de maîtrise en ingénierie ont été signées entre les deux institutions.

L’objectif principal de la visite de cette délégation au campus de Moncton était de mettre une procédure d’admission sur pied pour les futurs étudiants et étudiantes dans le cadre du programme conjoint, en plus d’explorer des possibilités de collaboration en recherche dans le domaine du génie civil.

Les membres de la délégation ont également profité de leur séjour pour se rendre à la Faculté des arts et des sciences sociales et à la Faculté des sciences pour y explorer d’autres possibilités de collaboration. Ils ont aussi effectué une visite du campus en plus de se renseigner sur les services qui sont offerts aux étudiants et étudiantes.

Renseignements : 858-4326 / Buquan.miao@umoncton.caou 858-4413 / lucille.landry@umoncton.ca

Le 13e congrès de l’APTICA (Avancement pédagogique des technologies de l'information et de la communication en Atlantique), avec comme thème « Le leadership en éducation à l’ère du numérique», aura lieu les 9, 10 et 11 mai au pavillon Jeanne de Valois du campus de Moncton

Les jeunes sont conscients du pouvoir que leur confèrent les TIC et les réseaux. On voit bien qu’ils incitent les enseignants et les institutions au changement. Les jeunes ne sont pas seuls, évidemment. Plusieurs professionnels de l’éducation, dont des directions d’école, sont aux commandes et ne craignent pas d’innover. On nous rappelle fort heureusement que le succès engendre le succès.

La mission de l’APTICA est d'encourager et de faciliter l'intégration pédagogique des TIC auprès de la communauté apprenante francophone de l'Atlantique par le partage et le développement de ressources pédagogiques en technologies éducatives.

On est présentement à l’étape d’appel d’ateliers. Votre présence très appréciée joue un grand rôle dans le succès de cet évènement. À cet effet, on sollicite votre participation et votre présence au congrès.

Sans doute que vous vous posez plusieurs questions telles que « Qui peut présenter un atelier ? », « Quels types de présentation peuvent être proposés ? », « Que peut contenir une présentation ou un atelier ? » ou encore « Quel est le forfait offert aux animatrices et animateurs ? » Vous trouverez les réponses à ces questions en consultant le site http://www.aptica.ca

Vous pouvez faire parvenir vos propositions d’ateliers en remplissant le formulaire électronique à partir du site Web. La date limite est le 2 mars.

Le conférencier sera Bernard Manzerolle, mentor en technologie de l’information de la communication pour le district scolaire 11 du ministère de l’Éducation du Nouveau-Brunswick pour une décennie. En 2012, c'est à Paris qu'il a joué le rôle d'expert TICE au projet « Initiative pour la formation à distance des maîtres » à l'Organisation internationale de la Francophonie. Il revient certainement avec des nouveautés à partager avec vous.

Encore une fois, on sollicite votre participation comme animateur, animatrice et congressiste.

Renseignements : Wilfrid Pelletier, coordonnateur de l'APTICA, au 506-382-3301 / wilfrid@aptica.ca

Ayant pris l’habitude de souligner et de soutenir tout travail créatif, la Bibliothèque Champlain présente une exposition de recueils poétiques et des œuvres du poète acadien Raymond Guy LeBlanc, en plus d’autres livres portant sur la poésie et la littérature acadiennes en général.

L’exposition, qui est en montre à la Bibliothèque Champlain jusqu’au vendredi 1er février, est organisée dans le cadre du 40e anniversaire de la parution du recueil « Cri de terre », de Raymond Guy LeBlanc, publié aux Éditions Perce-Neige.

La nouvelle édition de ce recueil qui vient de paraître est différente puisqu’elle comprend des manuscrits (1969-1971) et des photos de l'auteur à 26 ans. En plus de « Cri de terre », le poète Raymond Guy LeBlanc a publié « Acadie expérience » en 1977, « Chants d’amour et d’espoir » en 1988, « La mer en feu » en 1993, « Archives de la présence » en 2005 et « Empreintes » en 2011.

Le poète a reçu le prix France-Acadie en novembre 2006, le prix Éloizes de l’Artiste de l’année en littérature en mai 2007, et prix Pascal-Poirier pour l’excellence en arts littéraires, en 1998.

Le groupe québécois Bodh’aktan présentera un spectacle au bar étudiant Le Coude du campus de Moncton, le jeudi 7 février à 20 heures. Le musicien bien connu de la région, Stephen LeBlanc, fera la première partie.

Bodh’aktan
Qui est Bodh’aktan? Ce sont sept musiciens qui, comme des pirates, débarquent pour piller les tracas du quotidien pour ne laisser que bon temps et bonne humeur derrière eux. Armés d'une musique teintée de traditionnel, de polka, de celtique et de punk, ainsi que de folklore inspiré de l'Irlande, de la Bretagne, des Maritimes et du Québec, ils ont l'audace de livrer leur métissage musical dans une vague d'humour et de rock.

Ce sont sept musiciens talentueux qui ne se prennent pas au sérieux mais qui ont pour seul but de procurer du plaisir. Solides comme un rock sur disque, c'est toutefois en scène qu'ils se sentent le plus à l’aise. Débarquant des Îles de la Madeleine, de Havre St-Pierre, du Saguenay, de Québec et d'Angleterre, nos sept musiciens arrivent avec des bagages musicaux diversifiés mais qui se rallient d'une façon surprenante et explosive.

Stephen LeBlanc
Originaire de la région de Moncton, Stephen LeBlanc est un artiste polyvalent dont la feuille de route impressionnante comprend de nombreux albums, prix, performances télévisées, extraits à la radio et tournées à grande échelle. Il a fait partie de formations bien connues dont le groupe culte An Acoustic Sin et l’ensemble hard rock Tracy Starr. Il a lancé son premier album francophone « Mon désir » en 2012.

Les billets seront en vente à compter du jeudi 24 janvier à la billetterie de la Fédération étudiante du campus de Moncton, local B-101 du Centre étudiant. Pour plus de renseignements, il faut composer le 858-4484.

Pour en connaître davantage sur Bodh’aktan, visitez le www.bodhaktan.com.

À l’occasion du 50e anniversaire de fondation de l’Université de Moncton, une galerie de photos montrant les cinq décennies d’histoire de notre université a été mise en ligne à l’adresse www.umoncton.ca/50e/node/140.

Nous vous invitons à voir ou à revoir ces photos illustrant diverses facettes de l’Université de Moncton au fil des ans. Puis, partagez avec nous sur Facebook vos meilleurs souvenirs de l’Université à l’adresse www.facebook.com/umoncton.

Le concours des Bourses de recherche de premier cycle (BRPC) du CRSNG est lancé. La date d’échéance pour déposer les documents d’application imprimés au concours au Service des bourses et de l’aide financière au Centre étudiant est le 1er mars à 16 heures.

Ce concours s’adresse à tous les étudiants et étudiantes inscrits à des diplômes de 1er cycle qui ne débouchent pas sur des professions dans le domaine de la santé. Vous pouvez étudier par exemple en musique et faire un stage de recherche en mathématiques (de la musique) auprès d’une chercheuse ou d’un chercheur de l’Université. Cette bourse vous permettra de travailler pendant tout un été auprès d’une chercheuse ou d’un chercheur en sciences naturelles et génie. Vous consacrerez 16 semaines de votre été à ce travail emballant. Pour cela, le CRSNG vous donnera 4 500 $ que bonifiera votre superviseur à l’aide d’un montant d’au moins 25 pour cent de cette somme.

Pour faire une demande à ce concours, il faut consulter le site du CRSNG à l’adresse http://www.nserc-crsng.gc.ca/Students-Etudiants/UG-PC/USRA-BRPC_fra.asp (ou plus généralement le www.crsng.ca).

Essentiellement, il faudra fournir un relevé de notes et un formulaire d’identification comprenant deux parties (formulaire 202- partie I que vous devez remplir vous-même et la partie II que remplit votre superviseur). Pour obtenir la bourse, il faut avoir un superviseur reconnu par le CRSNG et une moyenne cumulative d’au moins B (c’est un concours compétitif selon les notes les plus méritantes).

Même si vous aurez à soumettre votre dossier en ligne, vous aurez à en remettre une copie papier au secrétariat de la FESR au plus tard le 1er mars à 16 heures. Pour le relevé de notes, ce sont les étudiantes et étudiants eux-mêmes qui numérisent leur relevé de notes et qui l'ajoutent à leur demande. Les étudiants et étudiantes doivent donc suivre les directives (instructions) du CRSNG, en outre : les relevés de notes doivent être téléchargés et enregistrés dans un seul fichier PDF. Ils doivent être numérisés sous forme d’un document en noir et blanc et dans la mesure du possible, en orientation portrait. Vous devez joindre une copie de la légende au verso de chaque relevé de notes. Ne numérisez pas la légende plusieurs fois. Elle vise simplement à aider les membres des comités ainsi que les membres du personnel du CRSNG à comprendre le système de notation en vigueur dans chaque université.

Vous devez produire tous vos documents pour la date d’échéance; il faut donc aller chercher votre relevé de notes auprès du Registraire plusieurs jours auparavant. Dans le cas où votre relevé de notes vient d’autres institutions que l’Université de Moncton, il faudra faire votre demande à l’autre institution plusieurs semaines à l’avance.

Pour la présentation en ligne, il faut accéder au site http://www.nserc-crsng.gc.ca/OnlineServices-ServicesEnLigne/Index_fra.asp

Les étudiants et étudiantes faisant une demande pour une première fois au CRSNG devront d’abord s’inscrire. Pour les autres, il suffira de suivre les instructions pour ouvrir une session.

Les personnes qui ne sont pas de citoyenneté canadienne ou des immigrants reçus sont exclues de ce concours. Sont aussi exclus les étudiantes et étudiants inscrits dans des programmes de 1er cycle professionnels terminaux (ex. : droit, sciences de la santé, science infirmière, etc.). Il en va de même pour ceux et celles avec des moyennes cumulatives inférieures à B.

Tout membre du corps professoral ayant un dossier actif en recherche fondamentale peut être reconnu comme superviseur, en plus des bénéficiaires d’une subvention de recherche du CRSNG. Il lui faudra avoir fait la demande.

Vous pouvez consulter vos collègues étudiants. Il y en a peut-être qui ont déjà reçu cette bourse dans le passé. Vous pouvez consulter vos professeurs ou encore leurs représentants au comité de l’Université des bourses du CRSNG. Il s’agit de Manuel Lamontagne, campus d’Edmundston; Yahia Djaoued, campus de Shippagan; et du campus de Moncton : Marc-André Villard, biologie; Carole Tranchant, ESANEF; Pandurang Ashrit, physique; Fahim Ashkar, mathématiques; Mustapha Kardouchi, informatique; Guillaume Fortin, géographie; Sandra Turcotte, chimie; Salah Darenfed, génie mécanique; Gabriel Cormier, génie électrique; et Gérard Poitras, génie civil.

Vous pouvez également communiquer avec le professeur Pierre Cormier, agent de liaison du CRSNG à l’Université de Moncton, au 858-4516 / Pierre.Cormier@Umoncton.ca.

N’oubliez pas de vous inscrire en ligne, de remplir vos formulaires en ligne, d’imprimer vos formulaires, d’aller chercher votre relevé de notes et d’apporter le tout au Service des bourses et de l’aide financière au Centre étudiant au plus tard le 1er mars à 16 heures.

Sandrine Giguère, de Dieppe, étudiante de deuxième année au diplôme des sciences de la santé, est la bénéficiaire de la bourse FPPU-APAPUM pour l’année 2012.

Depuis son arrivée à l’Université de Moncton, Sandrine s’est engagée au sein de divers comités de sa faculté, notamment le conseil étudiant du DSS où elle assume la vice-présidence. Elle fait aussi partie du comité de la collecte annuelle de l’Arbre de l’espoir.

Parallèlement à ses études, elle pratique toujours le karaté depuis l’âge de six ans. Avec ses 14 années d’expérience en arts martiaux, elle agit maintenant comme mentor auprès des jeunes karatékas.

Comme elle souhaite faire carrière en médecine, elle fait du bénévolat chaque semaine en milieu hospitalier et déjà, elle apprécie le contact privilégié qu’elle retrouve avec les patients.

L’Association des étudiantes et étudiants internationaux de l’Université de Moncton (AEEIUM) présente la 37e édition de la Soirée internationale, le samedi 16 février dans le stade du Ceps Louis-J.-Robichaud au campus de Moncton. Le thème cette année : « Regard sur le monde… à travers les yeux de l’autre ».

L’animation commencera dès 15 heures dans le gymnase alors que le public pourra visiter sans frais le village international qui regroupera plusieurs stands animés et interactifs qui permettront d’en apprendre davantage sur les différentes cultures. L’organisme de commerces équitables Dix Mille Villages sera présent et les gens pourront voir, découvrir et possiblement acheter des articles fabriqués par des artisans des quatre coins de la planète.

Pour assister au souper et le spectacle, les frais sont de 20 $ tarif ordinaire, l5 $ pour étudiants et 8 $ pour les enfants de 12 ans et moins. Les billets sont présentement en vente à la billetterie du Centre étudiant (858-4554). Le souper sera servi à compter de 18 heures et le spectacle commencera à 19 heures.

Regard sur le monde… voir à travers les yeux de l’autre
Depuis 37 ans déjà, la Soirée internationale est l’un des événements les plus attendus par la communauté de la grande région de Moncton. Cet événement clôturera la Semaine internationale qui aura lieu du 9 au 16 février. Chaque édition reçoit plus de 1 400 spectateurs qui sont invités à déguster un souper avec des mets typiques de différents pays, à assister à un magnifique spectacle et à participer aux activités qui sont proposées à de nombreux stands animés et interactifs.

« La Soirée internationale permet cette ouverture entre les cultures, estime la présidente de l’AEEIUM, Ibtissam Nkaili. Dans un contexte où la culture est secouée par divers courants, cet événement offre une occasion de voir le monde à travers les yeux de l’autre. Il faut aller au-delà de nos idées préconçues et en apprendre davantage sur les autres cultures afin de les valoriser et se bâtir une autre perception de la communauté internationale. Le comité organisateur travaille sans relâche afin d’offrir une soirée inclusive. Et le programme a été choisi avec soin afin d’intégrer la tradition et la modernité des différentes cultures présentes dans la communauté. »

Dans le cadre de son master international en biométrie, l’Université Paris-Est Créteil (UPEC) a recouru à l’expertise de Sid-Ahmed Selouani, professeur en gestion de l’information au campus de Shippagan, pour offrir à distance une formation accélérée dans les technologies d’identification par radiofréquence (RFID).

Vingt étudiants et étudiantes en master 2 de l’UPEC ont pu suivre la formation qui a eu lieu par vidéoconférence du 30 novembre au 14 décembre. Pour la deuxième année consécutive, des ateliers de certification internationale RFID Pro ont été organisés par le professeur Selouani, ce qui a donné à la formation un aspect orienté vers la reconnaissance industrielle.

Rappelons qu’au cours des dernières années, la technologie RFID est devenue une solution biométrique de premier choix. La biométrie se rapporte aux techniques visant l’automatisation de l'authentification et l'identification des personnes.

La semaine de formation s’est parfaitement déroulée sur le plan de la qualité d’interaction à distance grâce au professionnalisme de Patrick Kenny, du Service des technologies de l’information au campus de Shippagan.

Dans le cadre de son programme d’excellence professionnelle, le Consortium national de formation en santé - volet Université d’Ottawa présente, en partenariat avec le CNFS - volet Université de Moncton, une série de conférences qui sont retransmises par vidéoconférence en direct de l’hôpital Montfort, à Ottawa.

La première vidéoconférence de ce semestre aura lieu le jeudi 31 janvier de 12 h 30 à 14 heures dans le local A-231 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton. La conférence, intitulée « Alphabétisme en matière de santé : pour une pratique sécuritaire et de qualité », sera présentée par Nathalie Boivin, professeure titulaire au secteur Science infirmière du campus Shippagan.

Cette présentation aborde le concept d’alphabétisme en matière de santé en vue de sensibiliser, conscientiser et outiller à travailler avec une clientèle présentant des défis liés à son alphabétisme.

Les données de l’Enquête internationale sur l’alphabétisation et les compétences des adultes de 2003 révélaient que 66 pour cent de la population francophone de 16 ans et plus, au Nouveau-Brunswick se situe en deçà du seuil minimal requis d’alphabétisme - 16 pour cent de plus que la population anglophone (Statistique Canada, 2005). D’une part, un niveau insuffisant d’alphabétisme brouille la capacité à autogérer sa santé et à accéder aux services offerts. D’autre part, il pose des défis aux personnes professionnelles de la santé.

Un sondage autoadministré mené auprès de 885 personnes professionnelles de la santé, d’étudiants dans ce domaine et de leurs formateurs au Nouveau-Brunswick et à l’Île-du-Prince-Édouard francophones de mai 2010 à février 2011 a révélé que la majorité des répondants sous-estimait la prévalence de défis liés à l’alphabétisme chez leurs clients, n’avait jamais suivi de formation pour travailler avec une clientèle présentant des défis liés à leur niveau d’alphabétisme ou encore, pour dépister ces clients.

À la lumière de ces résultats, une formation sur l’alphabétisme en matière de santé a été conçue afin de sensibiliser, conscientiser et outiller les intervenants (www.alphabetismeensante.ca). Lancée en avril 2011, les premières évaluations de la formation indiquent qu’elle permet aux intervenants de communiquer plus clairement et de se sentir plus compétents dans leur offre de services. Ils rapportent une intention très forte d’adopter des pratiques facilitant l’appropriation de l’information par le client. Ceci donne lieu à une offre de service améliorée et sécuritaire favorisant une prise en charge accrue de sa condition par le client.

Cette conférence sera aussi disponible en diffusion Web-conférence (streaming).

Pour s’inscrire (en présentiel ou en mode Web-conférence) ou obtenir plus de renseignements, prière de communiquer avec Melissa Richard ou Isabelle Landry-Sonier au cnfs@umoncton.ca / 858-4655. Les places sont limitées.

En vue de répondre aux exigences de la reconfiguration des programmes mise sur pied par l’Université de Moncton, les étudiants et étudiantes de la Faculté d’administration ont répondu favorablement et avec enthousiasme à « l’objectif de formation générale 1 : initiation au travail intellectuel », dans le cours ADMN 1000 Outils d’apprentissage : gestion.

L’une des exigences du cours concernait la création d’un portfolio individuel dans lequel ils et elles devaient inscrire deux objectifs en début de session.

Le premier objectif portait sur la recherche documentaire et voulait initier de manière adéquate les étudiants et étudiantes à l’utilisation des moteurs de recherche et des banques de données de la Bibliothèque Champlain afin que leurs travaux universitaires s’appuient sur des sources documentaires reconnues.

Le deuxième objectif portait sur un thème permettant aux étudiants et étudiantes de développer des compétences personnelles, interpersonnelles et techniques nécessaires à la réussite de leurs études universitaires en gestion. Ces thèmes pouvaient concerner la gestion du temps, la confiance en soi, la gestion du stress ou encore la gestion du conflit.

Ce portfolio créé en première année devra être mis à jour au fur et à mesure que l’étudiant suivra ses cours de telle sorte qu’à la fin de son cursus universitaire, il puisse parvenir à réunir les éléments nécessaires pour le cours de synthèse ADMI 4999 Projet de fin d’études.

Le drame de science-fiction québécois « Mars et Avril » (2012; 1 heure 30 minutes), du réalisateur Martin Villeneuve, est à l’affiche du Ciné-Campus, les jeudi 24 et vendredi 25 janvier à 20 heures dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton. Ce film est une adaptation de photos romans éponymes publiés par Sid Lee et La Pastèque et met en vedette Jacques Languirand, Caroline Dhavernas, Paul Ahmarani et Robert Lepage.

Mars et avril
Jacob Obus, vieux musicien charismatique, traîne une réputation de séducteur et de tombeur de femmes. Il se donne en spectacle régulièrement dans un bar et hypnotise son public grâce à des instruments uniques inspirés du corps des femmes. Ces appareils sont imaginés par son ami Arthur et construits par le père de ce dernier, un célèbre cosmologue qui a trouvé le moyen d'échapper à la mort grâce à l'une de ses inventions. Les trois hommes mènent une existence relativement paisible jusqu'à ce qu'ils rencontrent Avril, une jeune photographe imprévisible dont Jacob et Arthur tombent follement amoureux.

L’entrée est de 5 $ pour les étudiants et de 7 $ tarif ordinaire.

Programmation du Ciné-Campus : 858-3738.

La table ronde, intitulée « Le pouls des marchés financiers », organisée par la Chaire d’études Jeanne et J.-Louis-Lévesque en gestion financière de la Faculté d’administration de l’Université de Moncton a connu beaucoup de succès.

Animée par trois experts en gestion de portefeuilles, Mathieu Roy, vice-président et gestionnaire de portefeuilles chez Placements Louisbourg, Peter Thibodeau, analyste chez Placements Louisbourg, et Brigitte LeBlanc, analyste aux investissements chez Placements Louisbourg, elle a regroupé plus d’une quarantaine de personnes au pavillon Jean-Cadieux.

Lors de cette table ronde, ces experts ont discuté des conditions économiques actuelles sur les marchés boursiers, de leur stratégie de placement et de leur processus de sélection de titres.

Le théâtre l’Escaouette commence cette année avec une habile adaptation du célèbre roman d’Agota Kristof, « Le grand cahier », une pièce coup de poing mais surtout un éloge à la survie. Elle est présentée à Moncton par l’Escaouette le 24 janvier à 20 heures.

Présentée à guichet fermé depuis janvier 2009 à Montréal et en tournée, « Le grand cahier » est la première production de la jeune compagnie Le Groupe Bec-de-lièvre, qui séduit par ses procédés théâtraux ingénieux. La pièce a d’ailleurs remporté trois prix Cochons d’or en 2009 : prix de la meilleure interprétation ex aequo, Renaud Lacelle-Bourdon et Olivier Morin; prix de la meilleure mise en scène, Catherine Vidal; et prix de la meilleure production dans son ensemble.

Sur fond de guerre, «Le grand cahier » raconte le parcours de deux jeunes garçons abandonnés à une grand-mère avare et froide. Rapidement, les jumeaux Klaus et Lukas établissent que, pour s'en tirer, ils doivent se construire une carapace. Ils se livrent donc à des exercices parfois cruels d’endurcissement du corps et de l'esprit, destinés à les rendre insensibles à la douleur, aux insultes et... à toutes formes d'affection. Par la force des choses, leur grand cahier - où seront notés leurs progrès en la matière - sera le témoin d'une existence occupée à se battre pour survivre.

Catherine Vidal, qui signe l’adaptation et la mise en scène, a réuni deux fabuleux jeunes comédiens, Renaud Lacelle-Bourdon et Olivier Morin, pour incarner les redoutables jumeaux Klaus et Lukas. À l’aide de simples artifices, ils évoqueront également tous les autres personnages qui entrent en relation avec les jumeaux, c’est-à-dire grand-mère, Bec-de-lièvre, l’officier étranger et la servante de la cure pour ne nommer que ceux-là... Les deux sont brillants dans une mise en scène réglée comme du papier à musique qui ne leur donne pas une seconde de répit.

« Dans un jeu frisant la virtuosité, Renaud Lacelle-Bourdon et Olivier Morin incarnent les jumeaux mi-hommes, mi-enfants, mi-machines, ainsi que tous les autres personnages secondaires. Tournant ces derniers en dérision, l’humour devient aussi un remède pour contrer l’austérité du propos. » Montréal Express.

Vous pouvez vous procurer des billets au guichet du théâtre l’Escaouette situé au 170, rue Botsford, ou en composant le 855-0001, poste 207.

Les billets sont aussi en vente au Service des loisirs socioculturels au Centre étudiant du campus de Moncton, au Monument Lefebvre et au Centre des arts et de la culture de Dieppe.

Relations médiatiques : Suzanne Cyr, au 854-6777 / suzcyr@nbnet.nb.ca

Le conseil d’administration de la revue Ancrages vous invite au lancement de l’édition double « Moncton24/Libéré(e) sur parole », qui aura lieu le jeudi 24 janvier de 18 heures à 20 heures au Centre culturel Aberdeen, situé au 140, rue Botsford à Moncton (deuxième étage).

Le lancement sera suivi d’une soirée de poésie pendant laquelle certains des auteurs qui ont participé à l’édition double feront la lecture de leur texte. Pour 10 $, les personnes intéressées pourront se procurer un exemplaire de la revue.

La nouvelle édition de la revue, qui a également été lancée à Caraquet lors du Festival acadien de poésie, comprend des textes tirés de deux évènements. « Libéré(e) sur parole » est une soirée qui combinait littérature, musique et arts visuels, et qui a eu lieu à Moncton le 18 mars 2009. Pour sa part, « Moncton24 » est un projet d’écriture et de diffusion à plusieurs voix qui a connu ses débuts en mars 2010 à Moncton. Les 24 auteurs s’étaient donné le mandat de saisir l’esprit de la ville lors de 24 heures et en 24 lieux.

La revue Ancrages souligne l’appui du Centre culturel Aberdeen pour le présent lancement. Elle remercie ses partenaires : l’Association acadienne des artistes professionnel.le.s du Nouveau-Brunswick, le Département d'études françaises et la Chaire d'études acadiennes de l'Université de Moncton. La revue bénéficie du soutien financier de la Direction du développement des arts du Nouveau-Brunswick.

Renseignements : 858-4050.

L’humoriste Philippe Laprise, ce conteur à la personnalité attachante et à la joie de vivre particulièrement contagieuse, présentera son spectacle solo, « Je peux maintenant mourir », le jeudi 31 janvier à 20 heures dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton. Ce spectacle est une présentation du Service des loisirs socioculturels de l’Université de Moncton, en collaboration avec le Festival de l’humour HubCap.

Philippe Laprise
Avec son premier spectacle solo, Philippe Laprise invite les spectateurs dans son univers rocambolesque. Le gentil géant originaire du Saguenay au Québec se distingue par son incroyable sens du synchronisme et son aisance sur scène hors du commun. Dans la tradition du stand-up à l’américaine, le spectacle est à l’image de ce jovial et loufoque personnage qui compte 15 années d’improvisation à sa feuille de route.

Sacré « Découverte de l’année » au Gala des Olivier en 2009, Philippe Laprise suscite un engouement de taille partout où il passe. Parfois sans même ouvrir la bouche, le sympathique gaillard vous fera crouler de rire à coup sûr. Alors qu’il dresse un bilan réaliste et hilarant de son quotidien, il se montre à la fois poétique, dramatique et franchement comique.

Les billets sont présentement en vente dans le réseau de billetterie du Grand Moncton (Centre étudiant du campus de Moncton, théâtre l’Escaouette, Centre des arts et de la culture de Dieppe et au Monument Lefebvre) au coût de 12 $ pour les étudiants et 20 $ tarif ordinaire.

Billetterie du Centre étudiant : 858-4554

La Librairie acadienne et le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact (GRICC) de la Faculté des arts et des sciences sociales vous invitent au Jeudi de la Librairie, qui a lieu ce 24 janvier de 16 h 30 à 18 heures à la Librairie acadienne du campus de Moncton.

Il est consacré au roman « Home », de Toni Morrison, traduit de l’américain par Christine Laferrière et paru aux Éditions Christian Bourgois en 2012. Mme Morrison ne sera pas présente.

Il reviendra à Corina Crainic, doctorante au Département d’études françaises, de présenter l’auteure et à Andrea Cabajsky, professeure au Département d’anglais, de faire un commentaire de l’oeuvre. L’animation sera assumée par Marie-Noëlle Ryan, professeure au Département de philosophie.

Tous les Jeudis de la librairie sont suivis d’une réception.

Renseignements : Mireille Thériault, au 858-4140.

Depuis 15 ans, les Rendez-vous de la Francophonie (RVF) sont une occasion annuelle pour toutes les composantes de la société canadienne de célébrer l’amour de la langue française au Canada. Pendant les RVF, près de dix millions de personnes font vivre et rayonner la francophonie en organisant plus d’un millier d’activités d’un bout à l’autre du pays.

La thématique de la 15e édition étant « La Joie de vivre », les RVF se sont associés à Juste pour Rire pour développer une série d’activités incluant une tournée d’humour mettant en vedette son porte-parole, Boucar Diouf, et Jérémy Demay, de même que des humoristes francophones en provenance de plusieurs provinces canadiennes.

Cette tournée pancanadienne s’amorcera à Moncton le samedi 2 février à 21 heures au Théâtre Capitol dans le cadre du volet francophone du Festival de l’humour HubCap, coprésenté avec Juste pour rire. Animé par Jérémy Demay avec comme invité spécial le porte-parole des Rendez-vous de la francophonie 2013, Boucar Diouf, ce gala mettra aussi en vedette les humoristes acadiens et québécois Luc Leblanc, Neev Bensimhon, Jean-Sébastien Levesque, Pierre-Bruno Rivard, Robert Gauvin et François Weber. Procurez-vous vos billets maintenant à la billetterie du Capitol à www.capitol.nb.ca.

Les Rendez-vous de la Francophonie font partie des manifestations entourant la Journée internationale de la Francophonie (20 mars), organisée chaque année partout dans le monde pour promouvoir la langue française et ses multiples expressions culturelles. Depuis 2005, les RVF sont chapeautés par La Fondation canadienne pour le dialogue des cultures qui vise à promouvoir et à soutenir le dialogue et le rapprochement entre les communautés francophones et acadienne et toutes les collectivités de la société canadienne.

Le Comité de mieux-être universitaire a besoin de 120 membres du personnel pour participer à une étude qui se fera cet hiver.

Cette étude prend la forme d'une intervention de mieux-être d’une durée de neuf semaines et qui regroupe certains éléments de deux activités antérieures du CMU (clinique de dépistage et triathlon avec podomètre). L’intervention de mieux-être est basée sur la Stratégie 30-30-30 et veut faire la promotion de l’activité physique plus régulièrement lors de la journée en faisant 30 minutes d’activité physique au travail, à la maison et dans la communauté.

Chaque personne qui accepte de participer à l’intervention sera répartie au hasard dans l’un de trois groupes. Les mesures suivantes seront prises avant et après l’intervention : tension artérielle, indice de masse corporelle, tour de taille et pourcentage de gras corporel, ainsi qu’un petit questionnaire sur la motivation et les habitudes de vie. Le CMU cherche des membres du personnel qui veulent réduire leurs facteurs de risque aux maladies cardiovasculaires et augmenter leur niveau d’activité physique.

Pour de plus amples renseignements ou pour vous inscrire à l’étude, il faut communiquer avec Suzanne Harrison, présidente du CMU, au 858-4342 ou par courriel à cmu@umoncton.ca. Vous pouvez aussi vous inscrire de façon anonyme via Survey Monkey : http://www.surveymonkey.com/s/6ZBPXNZ

Le Service de mobilité internationale a laissé savoir que la Journée de la mobilité internationale aura lieu le mercredi 30 janvier de 10 heures à 15 heures dans la salle 149B du Centre étudiant au campus de Moncton.

Le Service de mobilité internationale est un centre de ressources pour les étudiants et étudiantes de l’Université de Moncton et la communauté universitaire en général. On y trouve des renseignements et les outils nécessaires pour satisfaire aux intérêts et aux besoins des étudiants et étudiantes, de même que de ceux du corps professoral qui désirent séjourner à l’international dans le cadre de leurs activités académiques.

Lors de cette journée, les étudiants et étudiantes auront la chance de voir ce que les institutions partenaires ont à offrir : programmes d’immersion, semestres d’études et stages à l’international. Ils pourront prendre connaissance également d’un vaste choix de possibilités qui s’offre à eux à l’international.

Plusieurs stands présenteront les universités partenaires et les différents services, en plus de proposer la diffusion de témoignages d’étudiants et étudiantes qui sont de retour à la suite d’études, d’immersion ou de stages à l’international.

Renseignements : 858-4409 / camille.bourque@umoncton.ca

Les personnes intéressées sont invitées à assister à la soutenance de thèse de maîtrise en éducation, mention enseignement, d’Isabelle Pineault, intitulée « Le soutien parental à l’intérieur du processus de transition vers la maternelle : regard de parents », le mardi 5 février à 14 heures dans le local A-231 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

Les membres du jury sont André Doyon, directeur; Gilles Cantin, examinateur externe; Rose-Marie Duguay, examinatrice interne; et Diane LeBreton, présidente du jury.

Bienvenue à tous et à toutes.

Renseignements : 858-4411 / denise.bourgeois@umoncton.ca

À l’invitation du Département de chimie et biochimie, Steve Westcott, de Mount Allison University, prononcera une conférence en anglais, intitulée «Boron Compounds and their Bioactivities », le jeudi 24 janvier à midi dans le local A-002 du pavillon Rémi-Rossignol au campus de Moncton.

C’est une conférence d’intérêt général. Bienvenue à tous et à toutes.

Renseignements : 858-4331.

Les personnes désirant participer à un concours interuniversitaire de photographie peuvent le faire jusqu’au 7 février à 16 heures. Le thème de cette année est « Accrocher ».

L’an dernier, 294 photographies ont été soumises par 105 étudiants et étudiantes de 14 universités francophones d’un peu partout au Canada. Les photographies gagnantes qui ont été retenues ont d’ailleurs été en montre ce mois-ci à la Mini-galerie du Département des arts visuels dans la section des Beaux-arts au campus de Moncton.

Pour de plus amples renseignements sur le concours, vous pouvez joindre le Service des loisirs socioculturels de l’Université de Moncton, au 858-3738, ou par courriel à loisirs@umoncton.ca

Il y aura un pont payant aux trois entrées du campus de Moncton, le mardi 5 février de 8 h 40 à 16 h 20 et l’argent amassé sera réparti entre trois groupes : en art dramatique pour l’organisation du voyage en Roumaine, en information-communication pour les Jeux de la communication, et à Mondial Solidarité pour le voyage au Cambodge.

Si la température ne le permet pas, le pont payant sera remis au mardi 12 février.

Renseignements : Karine Martel (ekm2554@umoncton.ca)

Dans le cadre des célébrations entourant l’Année internationale de la statistique et à l’invitation du Département de mathématiques et de statistique, Éric Hervet, professeur au Département d’informatique de l’Université de Moncton, prononcera une conférence, intitulée « Recherche automatique d’images par la méthode statistique dite « Mean-Shift » basée sur des histogrammes de couleurs », le jeudi 31 janvier à 13 h 30 dans le local A-102 du pavillon Rémi-Rossignol au campus de Moncton.

Internet est notamment une gigantesque base d’images numériques. Une question se pose alors : Comment y recherche-t-on automatiquement, c’est-à-dire sans mots-clés, des images possédant des caractéristiques visuelles particulières ?

Une solution consiste par exemple à rechercher des images qui se « ressemblent ». Pour ce faire, on procède d’une part à une analyse des distributions de couleurs de plusieurs images pour y détecter les couleurs dominantes, puis on mesure la similarité entre images à partir de cette analyse de couleurs. Techniquement, on utilise une méthode d’analyse statistique appelée Mean-Shift pour la première étape en faisant quelques hypothèses sur les distributions de couleurs, et une mesure statistique basée sur le coefficient de Bhattacharyya pour la deuxième étape.

Le professeur Hervet expliquera quel est l’avantage d’utiliser les couleurs plutôt que d’autres renseignements et des exemples sur des bases de plusieurs milliers d’images réelles seront présentés.

Une réception suivra la conférence. Bienvenue à toutes et tous.

Renseignements : 858-4298 / martine.arsenault@umoncton.ca

Le film « Exil - enquête sur un mythe », du réalisateur Ilan Ziv (2012, 97 minutes) prendra l’affiche aux Rendez-vous de l’ONF en Acadie, le lundi 28 janvier à 19 heures dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton. L’entrée est libre.

On l’a dépeint dans les œuvres d’art et déploré pendant près de 2000 ans dans la poésie et les prières : l’exil du peuple juif au cours du premier siècle après J.-C., à la suite de la destruction du Temple de Jérusalem. Et si cet exil n’avait jamais eu lieu ? Voilà la question fondamentale et provocante que pose ce documentaire qui examine l’exil sous l’angle de l’archéologie, de l’histoire, du mythe et de la religion, et s’interroge sur sa signification quant à notre compréhension de l’histoire et à la lutte pour le territoire que mène aujourd’hui le Moyen-Orient.

Depuis 1985, des équipes d’archéologues s’emploient à déterrer des artefacts de l’antique ville de Tsipori, en Galilée. Les résultats de leurs fouilles révolutionnent notre perception de l’histoire juive. Exil nous conduit de Tsipori à Masada et à Jérusalem, puis dans les catacombes de Rome et présente des entrevues avec des historiens et des archéologues. Le film examine de nouvelles évidences indiquant que le peuple juif, ou la majorité des Juifs, pourraient ne pas s’être exilés à la suite de la chute de Jérusalem en 70 après J.-C. Passant de la Galilée à Jérusalem puis aux catacombes de Rome, le film force à revoir notre conception d’un événement fondamental dans les traditions juive et chrétienne.

Les questions soulevées dans Exil ne présentent pas qu’un intérêt historique passager : le mythe de l’exil est fondamental dans l’histoire de l’Europe et du Moyen-Orient et déterminant pour les théologies juive et chrétienne. La possibilité selon laquelle beaucoup de Juifs, dont ceux de Tsipori, soient tout simplement demeurés là où ils vivaient soulève des questions délicates. Se pourrait-il que certains Palestiniens soient en fait leurs descendants ?

À propos du réalisateur
Né en Israël en 1950, Ilan Ziv entre aux États-Unis en 1974 après avoir pris part à la guerre de Kippour en 1973 et s’être trouvé perturbé par l’obsession de mêler religion et politique qui sévit dans son pays d’origine. Il étudie le cinéma à l’Université de New York, cofonde le Festival du film du Moyen- Orient de New York et lance la société de distribution de films éducatifs Icarus Films. Depuis 1980, il a réalisé et produit des dizaines de documentaires portant dans l’ensemble sur les droits de la personne et l’histoire contemporaine.

Bientôt à l’affiche
Le film « La dette », de la réalisatrice Jennifer Baichwal, (2011, 86 minutes) prendra l’affiche aux Rendez-vous de l’ONF en Acadie pendant la semaine du 3 février. Le film examine le concept de dette devant la conjoncture économique et comme dilemme humain fondamental. La magistrale adaptation cinématographique inspirée du clairvoyant succès de librairie de Margaret Atwood, « Comptes et légendes, la dette et la face cachée de la richesse », constitue un vibrant et opportun plaidoyer pour un monde meilleur.

Le Service de l’activité physique et sportive du campus de Moncton a choisi l’attaquante au volleyball, Joline Richard, de Saint-Charles-de-Kent, et le joueur de centre au hockey, Éric Faille, de Lachine, au Québec, comme athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed pour la période du 14 au 20 janvier à l’Université de Moncton.

Joline Richard a fait preuve de beaucoup de leadership en fin de semaine lors des deux victoires des Aigles Bleues au volleyball aux dépens de Sea-Hawks de Memorial University. Elle a été choisie athlète de la partie samedi lors d’un gain de 3 à 0, réussissant 11 smashs et le même nombre de digs. Dimanche, ses statistiques étaient de 10. Elle est étudiante en éducation physique.

Éric Faille a marqué le but gagnant vendredi soir dans un gain de 5 à 4 des Aigles Bleus contre les Tommies de St. Thomas University en plus de prendre trois lancers. Il a récolté une passe samedi dans une défaite de 3 à 2 en prolongation contre les Varsity Reds de University of New Brunswick. Il est étudiant en administration.