C’est lors de l’ouverture officielle du deuxième du Rendez-vous de L’alUMni que l’organisme a annoncé qu’il verserait un don d’un million de dollars à la campagne de financement Évolution de l’Université de Moncton afin d’enrichir l’expérience étudiante.

La campagne Évolution a pour objectif de recueillir 50 millions $ qui permettront à l’Université de Moncton d’appuyer cinq grands projets, regroupés sous deux grands thèmes : l’excellence de l’expérience étudiante et l’excellence en recherche et développement.

Interpellée par l’importance de faire croître le sentiment d’appartenance et de fierté des futurs diplômées et diplômés, L’alUMni fait de l’expérience étudiante sa stratégie prioritaire depuis maintenant cinq ans.

En contribuant concrètement à la qualité de l’expérience étudiante, L’alUMni a pris la charge de développer une vie étudiante mémorable et stimulante, dont la composante reste déterminante dans un parcours universitaire.

Depuis la mise en œuvre de cette nouvelle direction, L’alUMni mise davantage sur le développement d’une relation soutenue qui accompagne l’étudiante et l’étudiant durant son parcours universitaire jusqu’à son parcours professionnel. Elle joue également un rôle de catalyseur en créant des occasions telles que le Rendez-vous de L’alUMni et le programme Repères, qui permettent aux diplômées, diplômés, étudiantes, étudiants et à la communauté universitaire de se rencontrer et de réseauter.

« Avec ce don d’un million de dollars, nous souhaitons faire une différence marquante dans l’expérience étudiante, souligne Marc-Antoine Chiasson, président de L’alUMni. Il y a 10 ans, L’alUMni s’était engagée à faire un don à l’Université de Moncton afin de témoigner de son engagement envers elle. D’innombrables heures de discussions des conseils d’administration, plusieurs études et de nombreuses consultations nous ont amenés à cette éminente annonce, et je tiens à souligner le travail remarquable des membres des conseils d’administration, précédents et actuels, qui ont su maintenir le cap de cet engagement en priorisant cet objectif. »

« Je tiens à remercier chaleureusement L’alUMni pour cet important don, a mentionné le recteur et vice-chancelier de l’Université de Moncton, Raymond Théberge. Il s’agit de la plus importante contribution d’une association d’anciens à l’Université de Moncton. Ce geste de générosité est grandement apprécié et contribuera fortement à améliorer l’expérience étudiante. Nous voulons que nos étudiantes et étudiants vivent une expérience inoubliable en faisant partie d’une communauté intellectuelle stimulante, tout en bénéficiant d’une multitude d’interactions, de services et d’apprentissages qui appuient leur formation. »

C’est une annonce qui a ravi les coprésidents de la campagne de financement Évolution, Bernard Lord et Camille Thériault. « Cette première annonce publique d’un don d’un million de dollars servira non seulement de levier et d’inspiration pour recueillir d’autres dons, mais contribuera également à bonifier l’expérience étudiante, ont fait savoir les coprésidents. Nous souhaitons saluer la générosité de L’alUMni et invitons la population à donner généreusement. Il va sans dire que ce généreux don aura des retombées positives sur la communauté étudiante de l’Université. »

La campagne de financement Évolution a déjà atteint 50 % de son objectif, soit 25 millions $. À ce jour, le programme de bourses et d’aide financière a fait l’objet de près de la moitié des dons avec 12 315 000 $. Une autre partie importante des dons se situe dans le domaine de la recherche dont 11 365 570 $ pour des projets importants pour l’Université ; 700 500 $ pour le pôle d’excellence en études acadiennes et 500 000 $ dans le cadre du projet de Centre de médecine de précision du Nouveau-Brunswick. Un montant de 118 930 $ a également été versé pour la modernisation des équipements.

Pour faire un don à l’Université de Moncton ou obtenir des renseignements à ce sujet, veuillez communiquer avec le bureau du Développement philanthropique par téléphone au (506) 858 4130 ou au 1 (888) 362 1144, par courriel à l’adresse developpement@umoncton.ca ou visitez le site Web au www.umoncton.ca/dons.

Dans le cadre de la deuxième édition du Rendez-vous de L’alUMni de l’Université de Moncton, le dévoilement de l’exposition permanente L’aboiteau : un ouvrage d’ingénierie pour construire l’Acadie a eu lieu ce mercredi 18 octobre à la Faculté d’ingénierie de l’Université de Moncton.

La plus ancienne dalle d’aboiteau préservée en Acadie est désormais en exposition au rez-de-chaussée de la Faculté d’ingénierie. Découverte à Grand-Pré en Nouvelle-Écosse et datant de 1689, cette pièce revêt d’une grande importance pour le monde de l’ingénierie acadienne. Selon les estimations, la pièce daterait des tous débuts du village de Grand-Pré, qui a été fondé en 1682. L’artéfact est un prêt à long terme du Musée de la Nouvelle-Écosse.

« C’est un privilège que nous avons d’accueillir cet artéfact à l’Université de Moncton, a mentionné le recteur et vice-chancelier, Raymond Théberge. Nous sommes fiers de pouvoir donner la chance aux étudiantes et étudiants de la Faculté d’ingénierie de contempler ce morceau d’histoire acadienne qui les inspirera certainement à poursuivre leur cheminement dans ce domaine fort passionnant. J’invite également la population à venir jeter un coup d’œil à cette pièce historique. »

« Nous accueillons ce projet avec une grande fierté, a mentionné Gilles C. Roy, doyen de la Faculté d’ingénierie. Il sert d’exemple historique percutant de l’ingénierie en Acadie. Selon certains, les aboiteaux pourraient représenter les travaux d’ingénierie les plus anciens au Canada. La reconnaissance des aboiteaux acadiens comme site historique national de la Société canadienne de génie civil (SCGC) est due en grande partie au travail acharné de plusieurs ingénieurs acadiens, notamment de Gilles Hébert, professeur retraité de la Faculté d’ingénierie. »

« En tant que cité acadienne, il est important pour nous à la Ville de Dieppe de préserver notre patrimoine, a mentionné le maire Yvon Lapierre. Nous avons d’ailleurs réalisé un projet de mise en valeur des aboiteaux cet automne, soit un site d’observation le long du sentier transcanadien dans le secteur de la rue Pointe-aux-Renards. En contribuant au projet d’exposition d’un aboiteau à l’Université de Moncton, nous concrétisons cette volonté de mettre en valeur l’histoire des Acadiens et l’importance culturelle de leur legs. »

Le projet a été rendu possible grâce à un partenariat avec la Société canadienne de génie civil, le Musée de la Nouvelle-Écosse, le doyen de la Faculté d’ingénierie, Gilles C. Roy, le directeur du Département de génie civil, Gérard Poitras et le professeur à la retraite Gilles Hébert et Bernard LeBlanc, conservateur au Musée acadien de l’Université de Moncton.

La Ville de Dieppe a également contribué à la réalisation de ce projet grâce à un généreux don à l’Université de Moncton offert dans le cadre de la campagne de financement Évolution. Rappelons que cette campagne de financement a déjà atteint 50 % de son objectif, soit 25 millions $. À ce jour, le programme de bourses et d’aide financière a fait l’objet de près de la moitié des dons avec 12 315 000 $. Une autre partie importante des dons se situe dans le domaine de la recherche dont 11 365 570 $ pour des projets importants pour l’Université ; 700 500 $ pour le pôle d’excellence en études acadiennes et 500 000 $ dans le cadre du projet de Centre de médecine de précision du Nouveau-Brunswick. Un montant de 118 930 $ a également été versé pour la modernisation des équipements.

Pour faire un don à l’Université de Moncton ou obtenir des renseignements à ce sujet, veuillez communiquer avec le bureau du Développement philanthropique par téléphone au (506) 858 4130 ou au 1 (888) 362 1144, par courriel à l’adresse developpement@umoncton.ca ou visitez le site Web au www.umoncton.ca/dons.

Le colloque international Université, Femmes et Égalité a eu lieu les 28 et 29 septembre à l’Université de Moncton, campus de Moncton.

Ce colloque a réuni une trentaine de participantes et participants, dont une quinzaine de femmes cadres supérieures d’universités de 11 pays de la Francophonie. Le Réseau francophone des femmes responsables dans l’enseignement supérieur et la recherche (RESUFF), créé par l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF) en octobre 2015, a choisi de tenir son premier colloque au Canada, et plus précisément au Nouveau-Brunswick, où des efforts concrets sont déployés pour faire avancer la parité homme-femme.

La conférence portant sur le leadership et la motivation des employées et employés, organisée par la Chaire d’études Jeanne et J.-Louis-Lévesque en gestion financière ainsi que la directrice du Département d’administration, Vivi Koffi, fut une réussite en accueillant plus d’une soixantaine d’étudiantes, étudiants et de professeures et professeurs.

Cette conférence était animée par Stéphane Lagacé, vice-président des Finances et des Services corporatifs à l’Agence de promotion économique du Canada atlantique (APECA) et Miguel Levasseur, agent de la Promotion du commerce extérieur à l’APECA. Lors de cette conférence, M. Lagacé a discuté des caractéristiques qui, selon lui, définissent un bon leader. Il a indiqué, entre autres, qu’il faut faire l’effort de connaître ses employées et employés, leurs besoins, créer des relations solides avec eux, démontrer de la compassion, s’adapter aux différentes générations et créer un environnement de travail agréable. Il a aussi fait allusion à l’importance de développer un bon équilibre entre la vie professionnelle et la vie personnelle.

Pour sa part, M. Levasseur a expliqué les rôles de l’APECA dans à sa mission d’aider les entreprises de l’Atlantique à percer au niveau international. Il a mentionné que la population de l’Atlantique étant ce qu’elle est — approximativement 2,4 millions d’habitants —, les entreprises qui veulent croître doivent souvent se tourner vers l’international. À cet égard, l’APECA offre divers programmes pour aider les entreprises à surmonter les différents défis auxquels elles sont confrontées lorsqu’elles veulent se développer sur le plan international.

Le 10 octobre dernier, l’équipe de MindTheHeart/CœurÀl’Esprit était présente au Faubourg du Mascaret, le nouveau complexe de retraite à Moncton, pour la Journée mondiale de la santé mentale. Le kiosque avait pour but de sensibiliser les résidentes et résidents, les visiteuses et visiteurs ainsi que les employées et employés du complexe à la santé mentale et à son lien avec les maladies cardiaques.

MindTheHeart/CœurÀl’Esprit est un projet de recherche-action qui se penche sur le lien entre la santé mentale et la santé cardiaque, spécifiquement chez les hommes. Le projet est subventionné par la Fondation de la recherche en santé du Nouveau-Brunswick et par la Fondation Movember Canada. Le projet est mené par Dre Jalila Jbilou à l’Université de Moncton et au Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick. L’équipe de recherche travaille de concert avec les gestionnaires, les professionnelles et professionnels de la santé ainsi que les communautés afin de développer ou d’adapter les services de santé mentale aux besoins et aux attentes des différents groupes de personnes atteintes de maladies cardiaques.

Les troubles de santé mentale, comme l’anxiété et la dépression, sont très courants malgré que plusieurs gens qui en souffrent les cachent ou que les cas demeurent non diagnostiqués. Dans nombreuses parties du monde, l’accès aux soins pour les maladies mentales est très limité et les services ne sont pas adaptés aux préférences ou aux besoins des différentes populations, par exemple les hommes versus les femmes.

Le thème de la Journée mondiale de la santé mentale 2017 était La santé mentale au travail. Selon l’Organisation mondiale de la santé, plus de 300 millions de personnes souffrent de dépression, tandis que l’anxiété touche 260 millions de personnes à travers le monde. Ces maladies représentent environ un cas d’invalidité sur trois, et cette perte de productivité coûte environ un billion de dollars américains à l’économie mondiale annuellement.

Il y a donc un besoin évident de sensibiliser la population aux troubles de santé mentale, et de développer ou d’adapter des services de soins de santé mentale pour les milieux de travail.

Pour de plus amples renseignements, prière de communiquer avec Rana Sughayar, coordonnatrice nationale du projet, par téléphone au (506) 858-4721 ou par courriel à l’adresse rana.sughayar@umoncton.ca.

Dans le cadre de son Programme d’excellence professionnelle (PEP), le Consortium national de formation en santé (CNFS) — Volet Université d’Ottawa présente, en partenariat avec le CNFS — Volet Université de Moncton, une série de conférences qui sont retransmises par vidéo, en direct de l’Hôpital Montfort, à Ottawa.

Ces conférences se veulent une activité de formation continue multidisciplinaire destinée aux professionnelles et professionnels de la santé.

La troisième conférence de la programmation Automne 2017 aura lieu le lundi 23 octobre 2017 de 13 h à 14 h. Elle s’intitule Favoriser l’adoption de l’activité physique auprès des personnes atteintes de troubles mentaux sévères : une étude de cas à l’Hôpital Montfort et sera présentée par Eva Guérin de l’Institut du savoir Montfort et Jean Pierre Dupuis de l’Équipe communautaire de traitement intensif (ÉCTI) de l’Hôpital Montfort d’Ottawa.

Les personnes souffrant de troubles de santé mentale sévères ont des difficultés importantes sur les plans psychologique, cognitif et social. On remarque souvent des niveaux élevés d’obésité et un état de santé physique diminué. L’activité physique (AP) a le potentiel d’améliorer la qualité de vie par le biais d’une amélioration de la santé physique et d’une réduction des difficultés psychiatriques et sociales. En dépit de ces bienfaits, un grand nombre de personnes atteintes de troubles de santé mentale sévères présentent un mode de vie sédentaire. Ainsi, l’Équipe communautaire de traitement intensif (ÉCTI) de l’Hôpital Montfort a mis en œuvre un programme d’AP individualisé à leur clientèle qui a fait l’objet d’une étude pilote. Lors de cette conférence, on présentera des résultats importants concernant les objectifs principaux de cette recherche, soit documenter les éléments facilitateurs de ce programme (nature de l’intervention) ainsi que les déterminants motivationnels et les bienfaits biopsychosociaux.

À noter que cette conférence est diffusée en mode webinaire (de votre poste de travail). Toutefois, il est possible de réserver une salle médiatisée pour diffuser la conférence pour les groupes d’au minimum huit personnes qui en feront la demande au moins quelques jours avant la diffusion.

Pour obtenir le lien permettant de visionner la conférence ou pour plus de renseignements, prière de communiquer avec Rachelle Lanteigne au CNFS — Volet Université de Moncton : cnfs@umoncton.ca/858-4655.


La programmation complète est disponible en ligne.

Une conférence publique, organisée par le Centre de recherche en linguistique appliquée, aura lieu le lundi 23 octobre de 13 h 30 à 15 h. L’événement, qui sera diffusé par vidéoconférence à partir du local PSL-600 au campus d’Edmundston, sera diffusé au local PAL-220 du campus de Moncton et au local PIL-308 du campus de Shippagan.

Le conférencier invité sera Louis Hébert, professeur à l’Université du Québec à Rimouski. Ses recherches portent principalement sur la sémiotique, la sémantique interprétative, la méthodologie de l’analyse littéraire, Magritte et le bouddhisme. Il a fait paraître plusieurs livres, dont Cours de sémiotique (sous presse), L’analyse des textes littéraires : une méthodologie complète (Paris, Classiques Garnier). Il est directeur de Signo — Site Internet bilingue de théories sémiotiques et d’une base de données Internet sur la quasi-totalité des œuvres et thèmes de Magritte.

La conférence comportera cinq parties. D’abord, puisqu’une des définitions de la sémiotique en fait la science des signes (textuels, imagiques, etc.), on abordera quelques parties d’un signe (signifiant, signifié, sème, etc.) et quelques parties reliées à ce signe (stimulus physique, représentation mentale, etc.). Ensuite, on situera la sémiotique dans les disciplines ; la sémiotique apparaît alors comme une des sciences du sens (avec, par exemple, l’herméneutique), plus précisément, de la « sémiose » (la relation constitutive d’un signe). Puis, on verra les grands angles d’approches pour aborder la sémiotique : auteurs, concepts, théories, textes marquants, etc. Par la suite, on présentera sommairement — certains à l’oral, d’autres dans le document d’accompagnement — quelque 25 dispositifs sémiotiques pour l’analyse des textes, des images, etc., célèbres, méconnus ou inédits : modèle actanciel, fonctions du langage, zones anthropiques, analyse du rythme, etc. Enfin, on montrera comment la sémiotique peut rendre compte du texte et de l’image en analysant une œuvre du peintre Magritte qui contient mots et images.

Pour de plus amples renseignements, prière de communiquer avec Éric Trudel par téléphone au (506) 737-5205 ou par courriel à l’adresse eric.trudel@umoncton.ca (campus d’Edmundston) ou avec Lise Landry au (506) 858-4057 ou par courriel à l’adresse crla@umoncton.ca (campus de Moncton).

Les étudiantes et étudiants de l’Université de Moncton ont été invités à prendre part à des sondages en ligne au cours de l’année 2016-2017 auxquels plus de vingt-cinq universités canadiennes ont participé. Ces sondages visent à identifier les tendances et les changements affectant les étudiantes et étudiants au Canada. Les résultats fourniront une vue d’ensemble des réalités étudiantes à l’Université de Moncton.

Un premier sondage, réalisé auprès des étudiantes et étudiants aux années intermédiaires du baccalauréat, abordait différents thèmes reliés à leur expérience universitaire et à la façon dont elles et ils se développent en progressant dans leur programme d’études. Les personnes ayant participé au sondage en ligne ont été automatiquement inscrites au tirage au sort d’une nouvelle tablette iPad Air 2.

Un autre sondage, intitulé Enquête nationale sur la participation étudiante, a été effectué auprès des étudiantes et étudiants qui en sont à leur première et à leur dernière année du baccalauréat. Ce sondage visait à recueillir de l’information sur l’expérience en classe et en dehors de la salle de classe. Les personnes ayant participé au sondage en ligne ont également été automatiquement inscrites au tirage au sort d’une nouvelle tablette iPad Air 2.

Pour toutes questions relatives à ces sondages, veuillez communiquer avec Isabelle Cormier, chercheuse institutionnelle au Registrariat de l’Université de Moncton, par courriel à l’adresse isabelle.cormier@umoncton.ca ou par téléphone au (506) 858-4409.

La soprano Caroline Schiller et le Duo Concertante, formé de la violoniste Nancy Dahn et du pianiste Timothy Steeves, présenteront le drame musical Your Daughter Fanny le mercredi 25 octobre prochain, à 12 h, à la salle Neil-Michaud située au pavillon des Beaux-Arts du campus de Moncton.

Cette nouvelle œuvre de la compositrice canadienne Alice Ping Yee Ho, sur un livret de Lisa Moore, fut commandée par le biais du programme commémoratif WW100 afin de marquer le centenaire de la Première Guerre mondiale, et fut créée en août dernier à Saint-Jean de Terre-Neuve.

Your Daughter Fanny s’inspire des lettres de Frances Cluett, une Terre-Neuvienne qui a participé à l’effort de guerre en se joignant au Détachement des auxiliaires volontaires en 1916. Ces nombreuses lettres qu’elle envoie à sa famille et à ses amies et amis relatent de façon détaillée les atrocités de la guerre qu’elle a connues durant son déploiement.

L’entrée est libre.

Il y aura une séance d'observation astronomique le mardi 24 octobre 2017 de 19 h à 21 h à l’observatoire situé sur le toit du pavillon Léopold-Taillon (local 535-C) du campus de Moncton. La Lune et la planète Saturne seront visibles.

Cette activité est organisée par le Département de physique et d'astronomie. La personne responsable est le professeur Viktor Khalack. Pour plus d’information, prière de téléphoner au (506) 858-4339 ou au (506) 858-4771.

L’entrée est libre.

Le Service de l’activité physique et sportive de l’Université de Moncton a rendu hommage aux 48 étudiantes et étudiants athlètes inscrits au Tableau d’honneur académique d’U SPORTS pour la saison universitaire 2016-2017.

Ces étudiantes et étudiants athlètes ont maintenu une moyenne d’au moins 3,7 durant la dernière année universitaire. Le recteur et vice-chancelier, Raymond Théberge, a tenu à féliciter les étudiantes et étudiants pour leur dévouement et leurs aptitudes académiques et sportives. « Il est exigeant de combiner études, entraînements, compétitions et voyages. Il faut être déterminé pour franchir les plus hauts sommets académiques et sportifs. »

Le vice-recteur à l’administration et aux ressources humaines, Edgar Robichaud, a vanté le travail académique et sportif des étudiantes et étudiants. Le directeur du Service de l’activité physique et sportive, Marc Boudreau, a reconnu les sacrifices exigés pour exceller et a applaudi le travail des athlètes.

Les 48 étudiantes et étudiants athlètes sont :
• Athlétisme : André Arsenault et Jean-Luc Bastarache, de Moncton ; Raphaël Choquette et Alain Doucet, de Dieppe ; Amélie Doucet, de Tétagouche Nord ; Isabelle Morris, de Miramichi ; François Pelletier, de Dalhousie ; Daniel Saucier, de Riverview et Miriook St-Arnauld-Hivon, de Bouctouche.

• Hockey masculin : Pierre Durepos, de Shédiac ; Danick Emond, de Terrebonne ; Steve Lebel, de Lemoyne ; Jean-François Pante, de Richmond ; Mitchell Robillard, de Saint-Eustache ; Alex Saulnier et Allain Saulnier, de Cap-Pelé ; Marc-Anthony Therrien, de Bécancour ; Alexi Thibaudeau, de Calgary et Brandon Thibeau, de Riverview.

• Hockey féminin : Dominique Bérubé, de Trois-Pistoles ; Marie-Pier Corriveau, de Magog ; Sarah-Ève Mailhot, de Repentigny ; Sabrina LeBlanc, de Lévy ; Samantha McLaughlin, de Losier Settlement; Brittany Poitras, de Saint-André ; Janie Poitras, de New Maryland; Karine Roy, de Nigadoo et Julie Thériault, de Kedgwick.

• Cross-country: Kamylle Frenette, Marie-Christine Noël et Vanessa Rowe, de Dieppe et Fanny Tournay, de Paris.

• Soccer masculin : Miguel Bryar, de Madran ; Dominic Girard, de Saint-Basile et Alex Laperrière, de Québec.

• Soccer féminin : Adèle Cormier, de Grand-Barachois ; Alexandra Duguay, de Shippagan ; Natalie Fleming et Renée Gauvin, de Moncton ; Élise Godin, de Beresford ; Marilou Larocque, de St-Raphaël ; Alexie LeBlanc, de Dieppe ; Christine Martin, d’Edmundston ; Yvette Tougouri, de Moncton et Danièle Walters, d’Atholville.

• Volleyball féminin : Judith Desjardins, de Fredericton ; Tania Martin-Gagné, de Québec et Mila Walliser, de Peace River.

Plusieurs personnes étaient présentes à la réception tenue au Bar Le Coude au Centre étudiant du campus de Moncton.

La joueuse de soccer Dominique LeBlanc, de Dieppe, et le joueur de soccer Félix Robichaud, de Pont-Landry, au Nouveau-Brunswick, sont les athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed du 9 au 15 octobre 2017. Ils ont été sélectionnés par le Service de l’activité physique et sportive du campus de Moncton de l’Université de Moncton.

La gardienne Dominique LeBlanc a inscrit un jeu blanc et a gardé son équipe dans la deuxième partie lors d’une défaite pendant les deux matchs de la fin de semaine. Elle a fait face à cinq lancers pour le blanchissage, vendredi soir, dans le gain contre les Mounties et dix lancers au but, samedi, face aux Varsity Reds, dont quatre arrêts clés. Elle est étudiante au baccalauréat en éducation-éducation physique.

La recrue Félix Robichaud a marqué deux filets dans la victoire des siens contre les Mounties, vendredi soir, au soccer masculin. Il a pris trois lancers au but, bien cadrés. Samedi, Robichaud s’est distingué sur le terrain avec deux bottés, malgré le revers subi face aux Varsity Reds. Il s’adapte bien au niveau universitaire. Il est étudiant au baccalauréat en arts-général.