L’Université de Moncton et sa Faculté des sciences ont procédé le 26 janvier au lancement officiel du doctorat en sciences de la vie lors d’une cérémonie tenue au pavillon Rémi-Rossignol du campus de Moncton.

« Une autre page de l’histoire de l’Université de Moncton s’écrit aujourd’hui puisque la Commission de l’enseignement supérieur des provinces maritimes a approuvé le doctorat en sciences de la vie, le premier programme de doctorat offert à la Faculté des sciences », a souligné le recteur Yvon Fontaine.

« Avec ce nouveau programme, l’Université de Moncton formera des chercheuses et des chercheurs de très haute compétence qui pourront de fait diriger des travaux de recherche dans les domaines de l’écologie, l’évolution, l’environnement, la biologie moléculaire et cellulaire et la physiologie, a expliqué Francis LeBlanc, doyen de la Faculté des sciences. Ces domaines cadrent dans deux des axes prioritaires de l’Université que sont l’environnement et la santé. Tous les membres du corps professoral de l’Université oeuvrant dans ces domaines des sciences de la vie mettront donc à profit leur expertise qui ne pourra qu’être bénéfique aux candidates et aux candidats qui s’inscriront à ce nouveau doctorat. »

Le programme est sous la responsabilité de la Faculté des sciences et de son corps professoral qui est rattaché à différents départements, principalement le Département de biologie et le Département de chimie et biochimie. Des professeures et professeurs associés ou encore d’autres facultés et campus qui travaillent dans l’un des domaines des sciences de la vie pourront également diriger des étudiantes et des étudiants.

Ce programme de doctorat en sciences de la vie comprend trois composantes essentielles, dont le développement des compétences en recherche qui comporte 86 crédits. Il est d’une durée normale de trois ans et maximale de sept ans après l’inscription initiale pour le compléter. La personne candidate devra élaborer un projet de thèse original et innovateur en développant et en approfondissant des thèmes originaux, en plus de générer des connaissances nouvelles ayant des retombées de type fondamental ou appliqué dans la discipline.

La Faculté des sciences peut actuellement compter sur des ressources existantes, qu’elles soient humaines ou matérielles. Dans les cinq départements, il existe des laboratoires de recherche et des équipements qui faciliteront l’offre de ce programme de troisième cycle.

Le doctorat en sciences de la vie est unique en son genre car il est le seul programme relié aux sciences fondamentales qui soit offert en français dans tout le Canada atlantique. Et aucuns des programmes de doctorat qui sont offerts dans les institutions anglophones de l’Atlantique ne regroupent les domaines qui sont proposés dans ce nouveau programme.

Avec les études littéraires, les sciences du langage, l’éducation et la psychologie avec profil professionnel, l’Université de Moncton offre désormais un cinquième programme de troisième cycle, celui-ci faisant référence aux sciences des organismes vivants.

Dans le cadre de la semaine internationale et fidèle à sa tradition, l’Association des étudiantes et étudiants internationaux de l’Université de Moncton (AEEIUM), en collaboration avec le Service des loisirs socioculturels, organise sa 36e Soirée internationale, le samedi 11 février au Ceps Louis-J.-Robichaud du campus de Moncton. La soirée commencera à 17 heures et les portes ouvriront dès 16 heures.

Le thème « Carrefour des civilisations » a inspiré l’AEEIUM à créer des stands interactifs où la rencontre entre les gens de différentes cultures se fera plus concrètement. En effet, de stands en stands (de pays en pays), les gens seront invités à apprendre quelques pas d’une danse folklorique, à dire, parfois même écrire, une phrase dans une langue étrangère, ou encore à jouer d’un instrument typique à une culture, tout en ayant le loisir d’admirer des objets d’art et discuter avec des gens qui pourront élargir leurs horizons. De plus, un souper sera servi aux gens présents, le tout agrémenté d’un spectacle qui commencera à 19 heures.

Le slogan : « Le Carrefour des civilisations »
Comme l’explique le président de l’AEEIUM, Omar Meftah el Khair « de nos jours, la collaboration internationale est de mise, les frontières tombent et les horizons s’élargissent. Le vent de la globalisation souffle sur tous les continents et la tendance mondiale est aux échanges. Nul ne peut nier que désormais, la réussite de tout individu ou entreprise est basée sur son ouverture au monde extérieur. »

« Dans un contexte universitaire, il est du devoir de l’AEEIUM d’y contribuer par le biais d’activités misant sur la diversité culturelle, » ajoute-t-il.

Loin d’être une manifestation de plus, la Soirée internationale est une occasion de rassembler des gens autour d’un même idéal et de valoriser la culture internationale. L’AEEIUM souhaite que cet évènement puisse contribuer à l’intégration de la jeunesse internationale, à son émancipation et à son adaptation. Il exposera aussi à la population de la grande région de Moncton une autre perception de la communauté internationale.

Trente-six ans de découvertes
Depuis 1977, la Soirée internationale est l’un des évènements les plus attendus par la communauté de la grande région de Moncton. Depuis plusieurs années, quelques 1 500 personnes s’y rendent pour découvrir les trésors culturels et la richesse des échanges entre civilisations.

Cet événement a pour objectif de porter haut le flambeau de la culture internationale et d’en faire la promotion. Cette activité étend les perspectives culturelles grâce notamment à un souper, un spectacle comprenant chant, danse et défilé de costumes traditionnels ainsi que des stands interactifs.

Les billets sont en vente à la billetterie du campus de Moncton située au B-150 du Centre étudiant, ainsi qu’au Marché de Dieppe et de Moncton au coût de 15 $ pour les étudiants, 8 $ pour les enfants de 12 ans et moins et 20 $ pour les autres. Les personnes intéressées peuvent aussi s’en procurer par téléphone au 506-858-4554 ou au 1-800-363-8336.

Renseignements : 850-4340 / executif@aefaum.com

Dans le cadre de la semaine internationale, le Centre Métropolis atlantique organise une table ronde portant sur la relation qui existe entre l'Université de Moncton et la ville de Moncton lorsque vient le temps de penser à l'intégration des étudiantes et étudiants internationaux, le jeudi 9 février à 16 h 30 dans la salle 328 du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.

Il s'agira d'explorer le rôle changeant de l’université dans un contexte de mobilité étudiante internationale croissante et de demande accrue d’immigration à l’extérieur des grands centres urbains.

Les personnes participantes seront Marie-Linda Lord, vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales de l’Université de Moncton; Ben Champoux, Développement des affaires communautaires à la ville de Moncton; le professeur Chedly Belkhodja, de l’Université de Moncton - Centre Métropolis atlantique; Michèle Vatz-Laaroussi, de l’Université de Sherbrooke; Mohamed Ali Mhalla, propriétaire du commerce Blue Olive; et Benoît André, directeur du Centre d’accueil et d’accompagnement des immigrants du Sud-Est du Nouveau-Brunswick.

Depuis une dizaine d'années, les universités jouent un rôle de plus en plus important lorsque vient le temps d’attirer des étudiantes et étudiants internationaux et elles sont amenées à développer des stratégies qui leur sont propres et qui répondent aux réalités qui sont les leurs.

On a choisi de se concentrer sur le cas de l’Université de Moncton afin d’explorer quelles sont les motivations derrière l’internationalisation, quelles stratégies sont mises de l’avant, quels services sont offerts et quelles sont les répercussions sur l’immigration municipale et provinciale.

En réunissant un ensemble de personnes ressources impliquées dans le dossier des étudiants internationaux, la table ronde souhaite réfléchir aux enjeux de l'intégration et de la rétention de jeunes souvent définis comme les « immigrants de demain » et de l'importance de permettre aux différents espaces de l'intégration de communiquer entre eux.

Un léger goûter sera servi. Bienvenue à tous et à toutes.

Renseignements : Chedly Belkhodja, au 858-3749, ou le Centre Métropolis, au 858-4529.

À l’invitation du Département de science politique de la Faculté des arts et des sciences sociales, Tim Uppal, ministre d’État (Réforme démocratique) au gouvernement fédéral, a passé en revue les principales initiatives législatives touchant la réforme démocratique au Canada. Il a abordé plus particulièrement la question de la sélection des sénateurs et la limitation de la durée de leur mandat. Le gouvernement Harper veut limiter la durée du mandat à neuf ans non renouvelable.

Les provinces sont aussi invitées à adopter un processus pour la sélection de leurs sénateurs au Parlement canadien. Au retour de l’Assemblée législative en mars, le gouvernement de David Alward entend déposer un projet de loi dans ce sens.

Un autre projet de loi d’importance est celui concernant la représentation équitable. Ce projet prévoit l’ajout de 30 sièges à la Chambre des communes faisant passer son nombre total à 338. Ces nouveaux sièges iront au Québec, en Ontario, en Alberta et en Colombie-Britannique. Les quatre provinces de l’Atlantique ont actuellement 32 sièges au Parlement canadien.

Renseignements : 858-4378 / roger.j.ouellette@umoncton.ca

Karine McLaren, étudiante de deuxième année au programme accéléré du baccalauréat en traduction à l’Université de Moncton, a remporté le prix de la Corporation des traducteurs, traductrices, terminologues et interprètes du Nouveau-Brunswick (CTINB) pour l’année 2011. Ce prix est attribué annuellement à la finissante ou au finissant du Département de traduction et des langues ayant obtenu la moyenne la plus élevée dans les cours de traduction.

D’origine française, Karine a vécu une vingtaine d’années en Angleterre où elle a œuvré comme juriste. Dans le contexte de la crise économique en Europe, avec son mari, ils ont décidé de s’installer au Canada afin d’offrir un meilleur avenir à leurs deux enfants, âgés de huit et douze ans.

« Le baccalauréat en traduction représente pour moi la réalisation d’un rêve que je chérissais depuis longtemps, confie-t-elle. Juriste de carrière, j’ai toujours voulu jumeler mon intérêt pour les langues et le droit. Le programme accéléré m’a permis de faire ce changement de carrière dans une période de temps assez courte. »

« Dans le cadre de mes cours, j’ai saisi toutes les occasions qui m’ont été données pour allier la traduction et le droit. La formation en traduction à l’Université de Moncton a l’avantage de nous permettre d’explorer les thèmes qui nous intéressent, explique-t-elle. Dans mon cas, mes travaux de recherche sur le bijuridisme au Canada et sur la question du bilinguisme des juges de la Cour suprême faits dans le cadre de mes cours de terminologie et de linguistique, m’ont permis d’acquérir les connaissances nécessaires pour pouvoir entreprendre un travail plus détaillé sur le rôle de la traduction dans la langue du droit au Canada, qui a ensuite été publié dans la Revue de la Common Law en français.

« La formation en traduction est exigeante. Il faut aimer la lecture et les langues et porter une attention rigoureuse aux détails. Dans mon cas, dit-elle, j’ai l’avantage d’avoir une formation et une expérience professionnelles en droit. Comme il faut bien comprendre ce que l’on traduit, mon expérience comme juriste constitue donc pour moi un atout important. »

Au terme de ses études en mai, Karine se joindra d’ailleurs à l’équipe du Centre de traduction et de terminologie juridiques (CTTJ), situé dans la Faculté de droit.

Le Centre de recherche et de développement en éducation vous invite à assister à une causerie-midi présentée par Jean Labelle, professeur au Département d’enseignement au secondaire et des ressources humaines à la Faculté des sciences de l’éducation, intitulée «Le management de la qualité en éducation : qu’en pensent les directions d’école? », le mardi 7 février entre midi et 13 heures dans le local B-047 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

En éducation, la qualité constitue un thème récurrent. Les universités proposent des programmes d’études de qualité et les collèges offrent des programmes de formation. Les écoles misent sur la qualité de l’enseignement et de l’apprentissage. Bref, on désire offrir et recevoir une éducation de qualité.

Cependant, bien que cet objectif soit louable, il y a lieu de se demander si on se donne les moyens pour y parvenir. En fait, non seulement il est nécessaire de définir ce que l’on entend par la qualité et d’y adjoindre les ressources nécessaires, mais il faut également assurer la gestion de la qualité. En ce qui a trait aux méthodes pour planifier, maîtriser et évaluer la qualité, on parle de plus en plus d’un modèle qui a fait ses preuves dans plusieurs secteurs, c'est-à-dire le management de la qualité.

Pour plusieurs, ce mode de gestion constitue une alternative intéressante à la bureaucratie jugée inappropriée au sein d’un environnement turbulent et est perçu comme une réaction valable aux nouveaux impératifs éducationnels. Mais qu’en pensent les directions d’école, ces intervenants de première ligne que l’on rend imputables en matière de gestion des établissements scolaires ?

Lors de cette causerie-midi, on mettra en évidence les facteurs qui militent en faveur du management de la qualité en éducation, on présentera les différentes acceptions de la qualité et du management de la qualité, on examinera comment ce modèle de gestion s’articule et on présentera les résultats d’une recherche qui montrent que les directions d’école adhèrent aux principes du management de la qualité, n’utilisent pas ou peu les techniques avancées par ce modèle de gestion et participent peu souvent à des cercles de qualité, malgré le fait qu’un bon nombre d’entre elles les trouvent pertinents.

Renseignements : Jean Labelle, au 858-4167

La Revue de l’Université de Moncton prépare un numéro thématique portant sur le thème « Perspectives sur la santé et le mieux être ».

Ce numéro regroupera des études de nature interdisciplinaire et disciplinaire (nutrition, psychologie, kinésiologie, science infirmière) qui porteront sur les déterminants de la santé, la prévention des problèmes de santé et la promotion et l’amélioration de la santé de différents groups ciblés.

Les personnes intéressées à soumettre un article sont priées de faire parvenir une lettre d’intention dûment complétée et accompagnée d’un bref résumé de la proposition d’article avant le 29 février. Les auteures et auteurs devront soumettre leur manuscrit complet au plus tard le 27 avril.

Les directives de publication de la Revue de l’Université de Moncton sont disponibles à l'adresse ci-dessous.

Pour plus de renseignements sur la Revue de l’Université de Moncton ou sur ce numéro thématique, prière de communiquer avec Phylomène Zangio, au 858-4062 / larevue@umoncton.ca, ou Ann Rhéaume, coordonnatrice du numéro, au 858-4268 / ann.rheaume-bruning@umoncton.ca

Le pianiste Roger Lord et le compositeur Richard Gibson, tous deux professeurs au Département de musique de l’Université de Moncton, se joindront à l’Orchestre symphonique de l’Île-du-Prince-Édouard, sous la direction du chef d’orchestre James Mark, lors d’un concert présenté le dimanche 12 février à 14 h 30 au Centre des arts de la Confédération à Charlottetown.

M. Lord qui, rappelons-le, a récemment complété une tournée sur cinq continents avec un programme de concert consacré aux oeuvres pour piano de Franz Liszt, jouera cette fois-ci la très populaire Rhapsody in Blue, du compositeur américain George Gershwin, décédé il y a 75 ans cette année. Il interprétera également le Concertino pour piano et orchestre, Op. 70, du compositeur Richard Gibson. Le pianiste de Moncton a exécuté cette œuvre en première mondiale en 2005 au prestigieux Auditorium Niccolo Paganini à Parme, en Italie. Un enregistrement sur disque y avait d’ailleurs été réalisé.

Le Concertino pour piano et orchestre, Op. 70, de Richard Gibson, a aussi été présenté en tournée par le pianiste Roger Lord et Symphonie Nouveau-Brunswick en 2009. Le compositeur Richard Gibson avait alors retravaillé l’œuvre pour l’occasion. C’est d’ailleurs cette deuxième version qui sera présentée à Charlottetown le 12 février et dans laquelle la partie de piano est plus étoffée. De plus, l’orchestration a aussi été complètement révisée.

Le trio Lord-Gibson-Mark s’est d’abord retrouvé ensemble en Italie en 2005 pour la présentation en première mondiale du Concertino Op. 70 et c’est avec un grand bonheur qu’ils seront à nouveau réunis à Charlottetown.

Alain Haché, professeur au Département de physique et d’astronomie, a été invité à prononcer une conférence dans la capitale française en avril dans le cadre d’un colloque international portant sur la physique des sports organisé par l’École polytechnique de Paris.

La conférence portera plus spécifiquement sur la friction dans le contexte du hockey sur glace. Le professeur Haché s’est intéressé à cette question en publiant en 2001 un livre de vulgarisation sur la physique du hockey. Il est d’ailleurs en train de rédiger un deuxième ouvrage à ce sujet qui paraîtra cette année. Il collabore actuellement avec Discovery Channel sur le montage d’une émission portant sur le hockey qui sera produite avec les Maple Leafs de Toronto. Des experts se pencheront sur divers aspects du sport tels la nutrition, le conditionnement physique, les lancers frappés et les commotions cérébrales.

Par ailleurs, rappelons que le professeur Haché a obtenu récemment une subvention de 40 000 $ de l'Ontario Center of Excellence, conjointement avec la professeure Li Qian de l'Université de Toronto. Le projet vise à étudier un processus physique dans une nouvelle fibre optique qui pourrait permettre de mesurer la température à divers points sur une distance s'étalant à plus d'un kilomètre. Plusieurs applications de senseurs sont prévues. La fibre optique est produite par la firme IVG Fiber de Toronto.

Le professeur Haché est titulaire de la Chaire de recherche du Canada en photonique, son domaine de recherche. La photonique est le champ d’études qui concerne la génération, la manipulation et la détection de la lumière. Le professeur Haché s’intéresse surtout à l’utilisation de nouveaux matériaux qui peuvent servir à modifier les propriétés de la lumière, comme le spectre. Grâce aux infrastructures dont disposent le Département de physique et d’astronomie et la Chaire de recherche du Canada en photonique, le professeur Haché et ses collègues peuvent fabriquer de nouveaux matériaux en laboratoire aux propriétés différentes pour répondre à la demande de l’industrie de la haute technologie et de la société. Il collabore régulièrement avec le secteur privé, ses recherches fondamentales produisant des connaissances susceptibles de mener à des applications commerciales. Il a récemment obtenu une subvention Partenariat du CRSNG pour travailler avec la compagnie Solartron, d’Amherst en Nouvelle-Écosse, sur le développement un nouveau système à énergie solaire.

Alain Haché a fait ses études de premier cycle à l’Université de Moncton. Après ses études de maîtrise et de doctorat à l’University of Toronto, il est revenu à Moncton en 1997, cette fois comme professeur. Le professeur Haché est présentement en congé de sabbatique à l'Université de Toronto.

On peut lire un profil du chercheur dans l’édition automne 2011 du Bulletin des anciens, anciennes et amis de l’Université de Moncton à l’adresse Internet ci-dessous.

Dans le cadre de la Tournée de conférenciers 2012 de l'Association canadienne des physiciens et des physiciennes (ACP), le Département de physique et d’astronomie vous invite à assister à une conférence, intitulée, « Voir au-delà du Modèle Standard avec le Grand collisionneur de hadrons (LHC) », en compagnie du professeur Thomas Grégoire, de l'Université Carleton, le jeudi 9 février à 9 heures dans le local 206 de l’édifice des arts au campus de Moncton.
C’est une conférence d’intérêt général. Bienvenue à toutes et à tous.

Renseignements : Jean Desforges, au 858-4254.

La Revue de droit de l’Université McGill organise un débat portant sur le thème de la Constitution et réunira les professeurs Benoît Pelletier, de l’Université d'Ottawa, Daniel Turp, de l’Université de Montréal, et Serge Rousselle, de l’École de droit de l’Université de Moncton, le vendredi 3 février à 13 h 30 dans la salle 100 (Moot Court) du New Chancellor Day Hall de la Faculté de droit de McGill à Montréal.

Dans le cadre du 30e anniversaire du rapatriement de la Constitution, du résultat des dernières élections fédérales, de la crise au sein du mouvement souverainiste québécois, du sondage Harris-Decima qui laisse entendre que les Canadiens seraient prêts à rouvrir la Constitution pour y apporter diverses modifications, la Revue se penche sur ces thèmes liés à la Constitution et à la politique québécoise et canadienne.

Alors que certains commentateurs annoncent la fin de la « grille Meech » et prévoient un profond bouleversement du contexte dans lequel les enjeux constitutionnels sont abordés depuis plusieurs décennies, les professeurs invités discuteront de l'éventuelle adhésion du Québec à la Loi constitutionnelle de 1982, de la réforme ou l'abolition du Sénat et des modifications pouvant être apportées au système électoral canadien.

Le débat sera suivi d'une réception.

Le Comité communautaire de prévention du suicide de la région d’Albert-Westmorland, avec qui collabore le Service de psychologie du campus de Moncton, vous invite à participer à une marche au parc Rotary de Dieppe, le samedi 4 février.

Cette marche est organisée afin de se souvenir de ceux et celles qui se sont suicidés, pour réconforter ceux qui ont été touchés par ces pertes tragiques, et pour sensibiliser les gens à la prévention du suicide.

Vous pourrez vous enregistrer à 10 h 30 et la marche commencera à 11 heures. Des prix de participation seront tirés au sort. Le Carnaval d'amitié de Dieppe prendra son envol en après-midi; vous aurez donc l'occasion d'en profiter et de passer du temps précieux en famille et avec des amis.

S’il y a une tempête hivernale, la marche aura lieu le 5 février.

Le Centre d’aide en français (CAF) du campus de Moncton a pour mission d’offrir un encadrement aux étudiantes et aux étudiants de premier cycle qui souhaitent régler certaines difficultés liées à la langue française écrite. Parmi les divers services proposés par le CAF figure notamment le monitorat étudiant, une pratique qui repose sur le principe voulant que l’enseignement par les pairs constitue un complément utile à celui du professeur.

Afin de former les moniteurs et monitrices de français, l’Université de Moncton offre le cours « Enseigner pour apprendre » chaque semestre d’automne. Les étudiants et étudiantes qui se démarquent par l’excellence de leur rendement peuvent être par la suite sélectionnés pour recevoir une bourse de travail leur permettant de revivre une expérience de monitorat au Centre d’aide en français.

Ce semestre-ci, le ministère du Patrimoine canadien a attribué 15 bourses et le Programme d’appui à la réussite des études de l’Université de Moncton a également contribué en offrant trois bourses supplémentaires. Chacun des dix-huit bénéficiaires obtient ainsi la chance de renforcer ses propres connaissances en accompagnant deux personnes dans la compréhension et la correction de leurs difficultés en français écrit.

Carole Bulger, étudiante au baccalauréat en gestion de l’information au campus de Shippagan, présentera sa recherche lors du 80e congrès de l’Acfas, les 7 et 8 mai au Palais des congrès de Montréal.

Sa recherche, intitulée « De l’usage des ontologies pour une gestion pérenne de l’information d’un centre de prévention en santé », porte sur le travail qu’elle a fait lors de son mémoire de fin d’études supervisé par le professeur Sid-Ahmed Selouani.

La communication présente une approche expérimentale originale dont le but est de faciliter l'acquisition, la représentation, l'organisation et l'utilisation des renseignements partagés entre les partenaires d’un centre de prévention en santé.

La démarche adoptée consiste en deux étapes. La première étape construit un corpus textuel en utilisant les documents, l’observation, les entrevues avec la gestionnaire du centre de prévention en santé. Les textes recueillis seront segmentés en unités thématiquement homogènes. Cette homogénéité pourrait être basée sur la fréquence des thèmes et concepts d’usage. La deuxième étape construit l’ontologie sous un format générique utilisant un langage de balisage.

Des règles permettant de paramétrer l’édition de rapports sont ensuite établies. L’application développée est évaluée dans un contexte d’utilisation réelle, à savoir le centre de santé du campus de Shippagan géré par Zénobie Haché. Mme Haché a été d’une aide précieuse pour fournir les explications relatives au fonctionnement du centre de santé.

Le nouveau format de représentation des documents est validé de façon à démontrer la pérennité et la généricité qui permettront l’exploitation des documents (dépliants de prévention, affiches, notes, etc.) et leur réutilisation dans des chaînes de traitements numériques, indépendamment des médias et supports.

Le film « Frisson des Collines », de Richard Roy, mettant en vedette Caroline Dhavernas, Patrice Robitaille, Anick Lemay, Guillaume Lemay-Thivierge, Antoine Bertrand et Paul Doucet, est à l'affiche du Ciné-Campus, le jeudi 2 et vendredi 3 février à 20 heures dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton.

Été 1969. Frisson, un garçon de 12 ans, entrevoit les prochaines vacances scolaires avec une certaine appréhension. Son père vient de décéder tragiquement et la perspective d'un été monotone le pousse à réagir. Il trompe l'ennui de vivre à la campagne auprès de son idole, le motard Tom Faucher, comme lui fan de Jimi Hendrix. Il fait les 400 coups avec son ami le gros Thibault. Frisson le rebelle croit tout possible, même de parvenir à se rendre au Festival de musique de Woodstock et d'obtenir un autographe du dieu Jimi. Réussira-t-il?

Le Ciné-Campus est présenté par le Service des loisirs socioculturels. Les billets sont en vente à l’entrée le jour de la présentation du film, 5 $ pour les étudiants et 7 $ pour les autres.

Rendez-vous de l’ONF en Acadie :
Le lundi 6 février, à 19 heures dans la même salle, les Rendez-vous de l'ONF en Acadie présentent « Le Procureur » (94 minutes). Offrant une perspective privilégiée, ce film accompagne le procureur général pendant les premiers procès de la Cour pénale internationale récemment instaurée.

Luis Moreno-Ocampo enquête et poursuit les responsables des crimes atroces perpétrés contre l’humanité. Si les survivants des génocides voient en lui un héros, il a néanmoins des adversaires acharnés de droite et de gauche.

Le Procureur offre un point de vue exceptionnel sur les événements historiques qui se révéleront déterminants : la CPI constituera-t-elle une arme révolutionnaire au service de la justice mondiale, ou ne sera-t-elle que l’incarnation d’un rêve idéaliste sans conséquence? Inspiré en partie du livre « The Sun Climbs Slow: The International Criminal Court and the Struggle for Justice », d’Erna Paris. L’entrée est libre.

Renseignements : http://www.onf.ca/rendez-vous

À l’invitation du Département d’informatique, Thiery Morineau, professeur en psychologie et ergonomie cognitive à l'Université de Bretagne-Sud (France), a prononcé une conférence portant sur l’apport de l’analyse cognitive du travail aux activités humaines utilisant les technologies de l’information au pavillon Rémi-Rossignol de la Faculté des sciences. Plusieurs professeurs, étudiants, un technicien et une ergothérapeute y ont participé.

Lors de cet exposé, M. Morineau a présenté les apports de l'analyse cognitive du travail ainsi que ses propositions originales dans ce domaine. Si l'ingénierie des connaissances permet aujourd’hui de modéliser les connaissances, l'ergonomie cognitive pour sa part met à disposition des méthodes semi-formelles permettant de faire le lien entre un domaine de connaissances utilisé dans une activité humaine et les formalismes exigeants de l'informatique.

Le professeur Morineau est chargé de mission « projets transversaux » auprès du Vice-président recherche de l’Université de Bretagne-Sud.

Son séjour à l’Université de Moncton, campus de Moncton et de Shippagan, s’inscrivait dans le cadre de la mobilité professorale du Projet CAMIM (Canada-Europe), dirigé par Sid-Ahmed Selouani, professeur en gestion de l’information au campus de Shippagan.

Fernand de Varennes, chercheur invité à l’Observatoire international des droits linguistiques logé à l’Université de Moncton, a prononcé une conférence-midi midi portant sur la mondialisation, le droit et la survie des minorités linguistiques, au pavillon Adrien-J.-Cormier du campus de Moncton.

À l’heure où tout est de plus en plus centralisé dans un monde où le processus de la mondialisation semble mener à la domination de la langue anglaise dans bon nombre d’organisations internationales, qu’advient-il des minorités linguistiques? Se font-elles emporter par la vague ou bien le droit est-il en mesure de servir d’ancre afin de protéger leur survie?

M. de Varennes est professeur invité aux programmes de maîtrise en droits de la personne à l’Université de Pékin, en Chine, à l’Université de Prétoria, en Afrique du sud, et à l’Université nationale des Maldives. Il est de plus rédacteur en chef de la revue « Asia-Pacific Journal on Human Rights and the Law » et lauréat du prix Linguapax de Barcelone, en Espagne, en 2004.

Il a aussi œuvré dans le domaine des droits linguistiques et des droits des minorités au sein d’organisations internationales comme l’OSCE, l’UNESCO, le Conseil de l’Europe et l’ONU.

Renseignements : 863-2136.

La Faculté d’administration de l’Université de Moncton a rendu hommage à Paul J. LeBlanc en le nommant Ancien de l’année lors de son 43e banquet annuel qui a regroupé quelque 500 personnes le 28 janvier au Delta Beauséjour de Moncton. Le thème de cette année était « La jeunesse : la perle de notre avenir ».

Président de l’Agence de promotion économique du Canada atlantique depuis 2010, M. LeBlanc a fait ses études à l’Université de Moncton où il a obtenu le baccalauréat en psychologie en 1975 et la maîtrise en administration des affaires (M.B.A.) en 1977. Originaire de Moncton, il possède une vaste expérience dans la Fonction publique du Canada, notamment dans l’établissement de politiques et la mise en œuvre de programmes favorisant le développement économique des régions.

M. LeBlanc a entrepris sa carrière dans la Fonction publique en 1977 au ministère du Solliciteur général à Ottawa. Il a ensuite œuvré à la Commission de la Fonction publique à compter de 1980 où il a occupé plusieurs postes, notamment celui de directeur régional pour le Nouveau-Brunswick. Il a par la suite été surintendant du parc national Kouchibouguac.

En 1987, il a joint les rangs de l’APÉCA à titre de directeur général des Ressources humaines. Au fil des ans, il y a assumé plusieurs fonctions, dont celles de directeur général du Développement (entrepreneurship, tourisme et commerce), secrétaire général, vice-président du bureau de l’Île-du-Prince-Édouard, vice-président des Finances et Services corporatifs et vice-président des Politiques et Programmes.

M. LeBlanc a quitté l’Agence en septembre 2004 pour joindre les rangs du ministère des Affaires indiennes et du Nord canadien où il a agi à titre de sous-ministre adjoint principal aux Politiques socioéconomiques et opérations régionales.

En septembre 2006, il est revenu à l’APÉCA pour en assumer le poste de premier vice-président.

L’Association des ingénieurs et géoscientifiques du Nouveau-Brunswick (AIGNB) et la firme de génie-conseil exp ont octroyé plusieurs prix et bourses à des étudiantes et étudiants du Nouveau-Brunswick inscrits à la Faculté d’ingénierie du campus de Moncton.

Dans le cadre de son 35e anniversaire de fondation, le théâtre l’Escaouette expose sa collection d’affiches de pièces produites par la compagnie au fil de ses saisons théâtrales.

Le vernissage de l’exposition « 35 ans à l’affiche » aura lieu le jeudi 2 février lors d’un 5 à 7 au théâtre, situé au 170 de la rue Botsford à Moncton. Le 2 février est le jour traditionnel de la Chandeleur, moment où l’on effectuait la danse de l’escaouette qui a donné son nom au théâtre.

Ces affiches - plus d’une cinquantaine - célèbrent et témoignent de la diversité et de la richesse des pièces et des collaborations de l’Escaouette depuis 35 ans.

Cette exposition se veut également un hommage au travail de centaines d’artisans, concepteurs, auteurs, interprètes, administrateurs, qui ont donné à l’Escaouette une présence incontournable dans le paysage culturel acadien.

« Cette exposition constitue un moment de mémoire car le théâtre est un art éphémère et ce qui en reste sont souvent des témoignages fragiles conservés sur du papier, des témoignages comme le texte, le programme ou les affiches, explique le conservateur de l’exposition, Herménégilde Chiasson. L'Escaouette a eu la bonne idée de conserver au moins une affiche de chaque production et cette exposition est un témoignage de sa longévité car il y a peu d'institutions culturelles qui peuvent faire état d'un parcours aussi long et aussi productif. »

Le public aura la chance de voir toutes les affiches des productions de l’Escaouette, de sa première pièce, « Ti-Jean », de Laval Goupil, à sa dernière, « Wolfe », d’Emma Haché; « Le pêcheur ensorcelé », de Roger LeBlanc; « Les sentiers de l’espoir », de Gérald LeBlanc; « Dame Bulle », de Charles Pelletier; « Atarelle et les Pacmaniens », d’Herménégilde Chiasson; « Le gros ti-gars », de Gracia Couturier; « Mon cœur a mal aux dents », de Christiane St-Pierre; « Pépére Goguen, gardien de phare », de Jean Peronnet; « Pique-nique », de Rino Morin Rossignol; « Roger Roger », de Mélanie Léger, et « Les trois exils de Christian E. », de Christian Essiambre et Philippe Soldevila, ne sont que quelques-unes des pièces dont les affiches seront en montre.

Le public peut visiter l’exposition du lundi au vendredi de 10 heures à 16 heures.

La programmation de la 35e saison de l’Escaouette est disponible à l'adresse http://www.escaouette.ca

Renseignements : 855-0001, poste 101

Le Comité olympique canadien a fait un don de 50 000 $ à Moncton à la suite de son gala tenu dans cette ville l’année dernière. La municipalité s’est servie de cette contribution pour acheter le chronomètre qui vient d’être installé à la piscine Jeanne-Lévesque du Ceps Louis-J.-Robichaud au campus de Moncton, de l'équipement pour l’athlétisme et les filets de basketball pour les Miracles de Moncton et la communauté.

Les Rendez-vous de l’ONF en Acadie proposent avec « Le procureur » une incursion dans les coulisses des premiers procès de la Cour pénale internationale et un point de vue inédit sur le travail du procureur général Luis Moreno-Ocampo. Récemment instauré pour poursuivre les responsables de crimes contre l’humanité, ce tribunal constituera-t-il une arme révolutionnaire au service de la justice mondiale ou l’incarnation d’un rêve idéaliste sans conséquence?
Ce film est à l’affiche le lundi 6 février à 19 heures dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton. L’entrée est libre.

Le procureur
Récit fascinant offrant une perspective privilégiée, « Le procureur » accompagne le procureur général pendant les premiers procès de la Cour pénale internationale (CPI). Luis Moreno-Ocampo enquête et poursuit les responsables des pires atrocités : les crimes contre l’humanité. Les survivants des génocides voient en lui un héros mais il a néanmoins des adversaires acharnés, de droite et de gauche. Le procureur offre un point de vue exceptionnel sur des événements historiques qui se révéleront déterminants : la CPI constituera-t-elle une arme révolutionnaire au service de la justice mondiale ou ne sera-t-elle que l’incarnation d’un rêve idéaliste sans conséquence?

Barry Stevens mène une brillante carrière cinématographique depuis 25 ans. À titre de réalisateur, il a signé de nombreuses œuvres, dont « Offspring » (sélectionné pour un Emmy et gagnant du prix du public du Festival international du film documentaire d’Amsterdam 2001, du prix des arts Teleciencia et du prix Donald-Brittain 2002). Les films qu’il a scénarisés, notamment « Gerrie & Louise », couronné d’un Emmy, lui ont valu trois prix Gemini ainsi que trois récompenses de la Writers Guild of Canada.

Pour obtenir la liste complète des films au programme et tous les détails, visitez le site onf.ca/rendez-vous.

L'Éducation permanente invite les personnes intéressées à participer sans frais à deux conférences diffusées en vidéoconférence à partir du campus d'Edmundston, le jeudi 9 février dans la salle 220 du pavillon Pierre-A.-Landry.

De 10 heures à 11 h 30, la première conférence proposée s’intitule « Développer la réflexion dans la formation des enseignants en utilisant un ePortfolio ».

Dans la HEP Fribourg, les étudiants sont invités à élaborer un dossier d’apprentissage dans le but de tisser des liens entre théorie et pratique. Cette démarche est accompagnée par un formateur de l’institution. Conséquence probable des biais de l’autoévaluation socialisée, les étudiants sont partagés entre l’envie de montrer qu’ils sont compétents et celle de creuser des éléments perfectibles.

La recherche présentée tente d’améliorer la quantité et la qualité des traces recueillies en utilisant un gestionnaire de notes multimédias (EverNote) pour faciliter la récolte et le partage des souvenirs d’incidents critiques.

Christopher Gremion a débuté son parcours comme enseignant au primaire, emploi qu'il a quitté après 15 ans de pratique pour la formation continue des enseignants : formation en intégration des TIC et accompagnement des équipes enseignantes en projets d’établissement. Actuellement professeur auprès de la Haute École pédagogique de Fribourg (Suisse), sa thèse - en cours de réalisation - s’intéresse à l’utilisation des ePortfolios et aux biais que représente l’autoévaluation socialisée dans l’accompagnement des futurs enseignants.

De 13 h 30 à 15 heures, la deuxième conférence portera sur « Les fondements et implications associés à une ressource Web de formation à la philosophie pour enfants et adolescents centrée sur la pratique du dialogue argumenté et abstrait ».

Dans la perspective des recommandations de l'UNESCO, développer une ressource Web de formation à la philosophie pour enfants et adolescents (PPEA) amène un remaniement des paradigmes habituels cloisonnant la philosophie et la pédagogie dans des domaines distincts, et modifie mutuellement les approches de la formation à la pratique philosophique autant que de la philosophie des pratiques de formation.

La présentation portera sur le lien entre la modification des fondements philosophiques et pédagogiques, en insistant sur la dimension pédagogique. Elle exposera ensuite les modifications caractéristiques de la démarche de formation.

Depuis qu’il possède le doctorat en philosophie, Samuel Heinzen dirige l’Unité de recherche en philosophie pour enfants de la HEP-FR en Suisse. Cette unité a également pour fonction de produire des ressources de formation en PPEA et d’en garantir la qualité scientifique dans ce domaine. Préalablement, il a été chargé de cours dans cette même institution, également dans le domaine de la déontologie professionnelle et de la culture religieuse.

Les personnes intéressées à y assister sont priées de confirmer leur présence à l'adresse angelette.girouard@umoncton.ca

Du 4 au 11 février, le Bureau des relations internationales, en collaboration avec le Vice-rectorat aux affaires étudiantes et internationales et le Service des loisirs socioculturels, vous invite à participer à la Semaine internationale du campus de Moncton. Le thème de cette année : Carrefour des civilisations/éclats des couleurs !

Programme

Samedi 4 février
Spectacle d’Oumou Soumaré à 21 heures au Café Osmose du Centre étudiant, 8 $ pour les étudiants et 12 $ pour les autres.

Lundi 6 février
Cérémonie d’ouverture officielle de la Semaine internationale à 11 h 30 au rez-de-chaussée du pavillon Rémi-Rossignol.

Participation de diverses missions humanitaires étudiantes dont la Brigade médicale (Honduras) et Right to Play (Haïti).

Musique proposée par le groupe de percussionnistes du Département de musique.

Les restaurateurs suivants offriront des bouchées à titre gracieux au public : Blue Olive (méditerranéen - Afrique du nord), C’est la Vie (coréen) et Green Dragon Sushi (japonais).

Mardi 7 février
Présentations portant sur la mobilité étudiante à l’international à 11 h 30.

Présentations sur la possibilité de faire des études ou des stages, de l’immersion ou des missions humanitaires à l’international grâce au Service de mobilité internationale avec Geoffrey Williams, vice-président des relations internationales, Université Bretagne-Sud, France; Benoist LeBlanc, étudiant en ingénierie, études à Poitiers, France; Marc-André Haché, étudiant en traduction, études à Poitiers et stage de travail à Amiens, France; Genaro Saldivar et Carolina Doreste, étudiants en échange en ingénierie qui présenteront leur université : l'Université autonome de San Luis Potosi, Mexique; dans le salon au G1 de la Faculté d’ingénierie (décoré en violet selon le thème Asie). Un léger goûter sera servi.

Mercredi 8 février
Conférence à 11 h 30 de Pierre Fournier, vice-président de Triangle Kitchens, intitulée « Les défis de l’expansion à l’international », organisée par le Centre de commercialisation internationale dans le local 050 du pavillon Jean-Cadieux. Un léger goûter sera servi et le salon de la Faculté d’administration sera décoré en jaune selon le thème Afrique continentale).

Présentation de la demi-finale de foot (soccer) de la Coupe d’Afrique des Nations à 15 heures au Café Osmose du Centre étudiant. Le visionnement est sans frais.

Jeudi 9 février
Table ronde à 16 h 30, intitulée : « L’Université, la ville et les étudiants internationaux » organisée par le Centre Métropolis atlantique avec la participation de Marie-Linda Lord, vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales; Ben Champoux, Développement des affaires communautaires à la ville de Moncton; Chedly Belkhodja, Université de Moncton-Centre Métropolis atlantique; Michèle Vatz-Laaroussi, Université de Sherbrooke; Mohamed Ali MHalla, propriétaire du commerce Blue Olive; Benoît André, directeur du Centre d’accueil et d’accompagnement des immigrants du Sud-Est du Nouveau-Brunswick, dans le local 328 du pavillon Léopold-Taillon. Un léger goûter sera servi.

Vendredi 10 février
Conférence de Nouzha Chekrouni, ambassadrice du Maroc au Canada, intitulée « Quel est le rôle des femmes dans le Printemps arabe ? », à 13 h 30 dans la salle 136 du pavillon Léopold-Taillon. Un léger goûter sera servi.

Samedi 11 février
À 15 heures, finale de foot (soccer) de la Coupe d’Afrique des Nations au Café Osmose du Centre étudiant. Le visionnement est sans frais.

À 17 heures, Soirée internationale dans le stade du Ceps Louis-J.-Robichaud. Billets : 15 $ pour les étudiants, 20 $ pour les adultes et 8 $ pour les enfants de moins de 12 ans.

Lors de la Semaine internationale, Sodexo vous offrira chaque jour un choix alimentaire d’inspiration internationale à la cafétéria et dans les cantines. Renseignements : 858-4826 / benoit.bourque@umoncton.ca

Une somme globale de 70 000 $ sera investie par les gouvernements du Québec et du Nouveau-Brunswick pour encourager la coopération entre les universitaires des deux provinces.
Ce programme de coopération s'applique à tous les domaines de recherche scientifique. Il s’adresse au corps professoral et aux étudiants ou étudiantes, et comprend les volets de la recherche et de la formation.
Les directives et les formulaires de demande concernant la soumission des projets pour l'année 2012-2013 sont disponibles à l'adresse http://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/ministeres/education_postsecondaire_formation_et_travail/postsecondaire/ content/recherche_et_innovation/ cooperation_universitaireenmatieredenseignementsuperieuretderech.html
La soumission des demandes à la Faculté des études supérieures et de la recherche est le lundi 13 février à 16 h 30 (l'original et une copie pour la FESR).
La soumission des rapports d'activités et des états financiers à la FESR (pour les projets subventionnés l'année précédente) est le 16 avril (l'original et une copie pour la FESR).

Renseignements : 858-4310 / fesr@umoncton.ca

Le Centre de jeunes Q.U.E.S.T., un organisme sans but lucratif, est un programme d’approche communautaire de Foyers de la jeunesse Moncton et veut promouvoir la vente de tuques pour la campagne nationale « Raising the Roof - Chez toit ».

Au Centre Q.U.E.S.T., plusieurs ressources sont disponibles pour aider les jeunes sans-abri ou encore ceux qui sont à risque de le devenir. Parmi ces services, il y a la buanderie, les douches, de la nourriture et un centre d’accès informatique. Les profits amassés lors de la vente de tuques serviront à cibler et à développer des solutions à long terme pour contrer l’itinérance chez les jeunes.

La Journée nationale pour la vente des tuques aura lieu le mardi 7 février. Vous pourrez en acheter une à raison de 10 $ chacune entre 10 heures et 14 heures au Centre étudiant. Il sera possible également d’en acheter en tout temps et vous pouvez voir les différents modèles toujours au Centre étudiant.

Jessica Cameron-Caissy (mailto:ejc8741@umoncton.ca) et Lakshman Jayatilaka, étudiants de 3e année au baccalauréat en travail social et stagiaires chez Youth QUEST, vous invitent à participer généreusement à cette activité de collecte de fonds.

Renseignements : Tracy Arnand, agente de développement de l’agence Foyers de la jeunesse Moncton, au 869-6294 / 227-5382 / ejc8741@umoncton.ca

La Fédération des étudiants et étudiantes du campus de Moncton (FÉÉCUM) a le mandat de sélectionner le ou la porte-parole des finissants et finissantes pour la collation des diplômes de mai prochain.

Les étudiantes et étudiants finissants intéressés doit en faire la demande auprès de la FÉÉCUM avant le vendredi 3 février à 16 h 30. Les règlements et les règles de procédure pour la sélection sont disponibles à la Fédération étudiante ainsi que sur leur site Internet à http://etudiants.umoncton.ca/umcm-feecum/documents/porteparole.pdf
La sélection finale devrait se faire pendant la semaine du 12 mars.

Renseignements : 858-4484 / comfee@umoncton.ca

Le Service de l’activité physique et sportive a choisi Marie-Michelle Poirier, de New-Richmond, et Alexandre Quesnel, de Dorval, comme athlètes Antonio’s Pizza de la semaine pour la période du 23 au 29 janvier à l’Université de Moncton.

La hockeyeuse Marie-Michelle Poirier a mené l’offensive des Aigles Bleues dans une victoire de 4 à 3 de son équipe en tirs de barrage aux dépens des Mounties de Mount Allison University. Elle a marqué deux buts et a été constante tout au long de la rencontre. Elle est étudiante en administration.

Le hockeyeur Alexandre Quesnel a obtenu deux passes dans une victoire des Aigles Bleus aux dépens des X-Men de St. Francis Xavier University, et il a été un joueur clé samedi malgré une défaite contre les Huskies de Saint Mary’s. Il a joué régulièrement en plus d’être efficace au sein des différents trios. Il est étudiant en art, programme général.