Lors de son banquet annuel, la Faculté des sciences de l’Université de Moncton a remis le Prix Bernard-Vanbrugghe d’excellence en enseignement au professeur Serge Gauvin, du Département de physique et d’astronomie.

Créé en 2002, ce prix est décerné à tous les deux ans à un membre du corps professoral qui s’illustre par la qualité de son enseignement. Il a été nommé en l’honneur d’un pionnier en enseignement des mathématiques de la Faculté, le professeur Bernard Vanbrugghe maintenant à la retraite.

Dans l’hommage rendu au lauréat, le doyen de la Faculté, Francis LeBlanc, a souligné l’apport exceptionnel du professeur Gauvin qui a joint le Département de physique et d’astronomie en 1998 après deux stages postdoctoraux, le premier au Centre national d’études des télécommunications à Bagneux dans la région parisienne, et le deuxième à l’INRS - Énergie et matériaux à Varennes au Québec. M. Gauvin possède le doctorat en biophysique de l’Université du Québec à Trois-Rivières.

« Comme le démontre clairement ses évaluations de cours, souligne le doyen LeBlanc, l’enseignement du professeur Gauvin est extrêmement apprécié des étudiants et étudiantes. D’ailleurs, les lettres d’appui reçues lors de sa mise en candidature sont très élogieuses. On y mentionne que le professeur Gauvin enseigne sa matière avec une passion contagieuse. Ses cours bien structurés et interactifs amènent l’étudiant à une réflexion profonde sur la matière enseignée. Il insiste sur la compréhension des concepts et son approche pédagogique pousse l’étudiant à devenir plus autonome. Tous mentionnent qu’ils sont fiers du travail accompli dans le cadre des cours du professeur Gauvin et ils ont le sentiment d’en ressortir gagnants. Le lauréat est reconnu pour son ouverture d’esprit, sa disponibilité et sa capacité à adapter son approche aux besoins de ses étudiants et étudiantes. »

Le professeur Gauvin est également très actif en recherche qu’il intègre souvent dans ses cours. Il a supervisé un grand nombre d’étudiants à la fois au baccalauréat et à la maîtrise. Il a ainsi influencé très favorablement la trajectoire académique d’un grand nombre d’entre eux. La qualité de sa recherche a également été validée par les agences de subvention de la recherche, notamment par le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada, le Fonds d'innovation de l'Atlantique et la Fondation de l’innovation du Nouveau-Brunswick.

Le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH) vient de communiquer les résultats du dernier concours « Aide aux ateliers et aux colloques de recherche ».

Denise Merkle, professeure au Département de traduction et des langues, et Mourad Ali-Khodja, professeur au Département de sociologie, ont chacun obtenu une subvention pour l’organisation d’un colloque international, qui aura lieu cet automne au campus de Moncton de l’Université de Moncton.

La professeure Merkle reçoit 23 119 $ pour la tenue d’un colloque pluridisciplinaire, intitulé « La traduction dans les contextes de multilinguisme officiel/Translation in Contexts of Official Multilinguism », du 1er au 3 novembre. Les quelque 40 communications présentées traiteront d’au moins un aspect de l’interaction entre la traduction et le multilinguisme officiel au sein de pays, de municipalités et d’organisations internationales.

Ce colloque permettra notamment de favoriser les échanges entre la communauté scientifique et les acteurs sur le terrain, et de faire le lien entre les recherches théoriques et les applications pratiques. Réunissant des chercheurs et chercheuses de renom en provenance du Canada et de plus d’une dizaine d’autres pays, il recevra également des traductrices et traducteurs professionnels ainsi que des étudiantes et étudiants de tous les cycles. Étant située dans la seule ville bilingue de la seule province bilingue d’un pays bilingue, l’Université de Moncton est toute désignée pour accueillir ce colloque international.

Pour sa part, le professeur Ali-Khodja, qui a présenté la demande au CRSH au nom du Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact (GRICC), a obtenu une subvention de 24 499 $ pour l’organisation d’un colloque international qui aura lieu du 19 au 21 septembre prochain et portant sur le thème « L’Étranger au prisme des cultures : expériences et problématiques ».

Il s’agit du cinquième colloque présenté par le GRICC. Au cœur de l’actualité, ce thème s’articule autour des figures de l’étranger dans le contexte canadien et ailleurs dans le monde. Au-delà de son contenu intellectuel et scientifique, ce colloque pluridisciplinaire présente un intérêt pour un plus large public. Une vingtaine de communications de chercheurs et chercheuses et d’étudiants du Canada et d’ailleurs y seront présentées.

La conférence d’ouverture sera prononcée par le philosophe français Guillaume le Blanc alors que l’écrivaine néo-écossaise Georgette LeBlanc présentera la conférence de clôture. Ce colloque, qui s’inscrit dans le droit fil des préoccupations et intérêts des membres du GRICC, établira des liens et des collaborations durables avec des collègues d’ici et d’ailleurs dans le monde.

Renseignements : FESR, au 858-4310.

Dans le cadre d’un projet financé par le Bureau canadien en éducation internationale (BCEI), Jeanne d’Arc Gaudet, professeure titulaire à la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Moncton, a fait deux séjours de travail en Haïti avec des collègues de trois autres facultés des sciences de l’éducation d’universités canadiennes (Laval, Sherbrooke et Ottawa).

Lors du premier séjour en décembre dernier, elle a participé à des séminaires à l’Université publique d’État d’Haïti à Port-au-Prince ainsi qu’à des sessions de travail avec cinq universités haïtiennes. Le deuxième séjour a eu lieu du 7 au 15 février à Port-au-Prince et à la Faculté des sciences de l’éducation au Cap Haïtien afin de continuer le travail amorcé en décembre. Les professeures et professeurs canadiens ont aussi rencontré les responsables du ministère de l’Éducation à Port-au-Prince afin d’échanger sur des collaborations futures. De plus, les collègues en ont profité pour réaliser une étude des besoins auprès des enseignants et enseignantes et des professionnels en éducation susceptibles de poursuivre des études de deuxième cycle afin de connaître leurs besoins de formation.

Lors des séminaires en décembre et en février, la professeure Gaudet a présenté deux communications à l’Université publique d’État en Haïti ainsi qu’à la Faculté des sciences de l’éducation au Cap Haïtien. Elle a aussi animé des sessions de travail dans le cadre de journées d’études dans ces mêmes universités.

Les séminaires organisés sur la formation universitaire en éducation visaient à établir un dialogue avec les collègues haïtiens sur des thématiques telles que les contextes, dispositifs, outils et disciplines de formation dans la formation de formateurs et formatrices en éducation.

Jeanne d’Arc Gaudet en a profité pour présenter les grandes lignes d’un projet soumis à l’Agence canadienne de développement international pour la formation de formateurs et de formatrices d’enseignantes et d’enseignants, élaboré en collaboration avec des collègues des quatre universités canadiennes et de cinq universités haïtiennes. À la demande de l’Université de Moncton et de la Faculté des sciences de l’éducation, la professeure Gaudet a assuré la coordination de la demande de subvention à l’ACDI dont la réponse de l’organisme subventionnaire est toujours attendue.

Dans l’éventualité d’une réponse favorable du bailleur de fonds, l’Université de Moncton assurera la coordination et la gestion du projet sur une période de cinq ans.

À l’invitation de la Chaire Roméo-LeBlanc en journalisme, Dominique Payette, professeure de journalisme à l’Université Laval, présentera une conférence publique portant sur la défense et l’illustration du journalisme, le jeudi 23 février à 19 h 30 dans la salle 010 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton.

Le journalisme contemporain est actuellement à un point tournant de son histoire et de son évolution. Mis à mal par la crise du modèle d'affaires, la supposée concurrence du journalisme amateur et un relatif désintérêt de la population pour la réflexion politique, le journalisme disparaîtra peut-être même aux dires de certains observateurs. Mais pouvons-nous envisager le monde sans lui ? C’est la réflexion que partagera la professeure Payette avec tous ceux et celles qui assisteront à sa conférence.

Responsable des cours de 2e cycle à l’Université Laval en plus d’enseigner le journalisme radiophonique, la presse audiovisuelle et l’actualité internationale, Mme Payette a aussi donné des cours de journalisme radiophonique pendant de nombreuses années à l’Université de Montréal. Journaliste radio et télé au Québec pendant plus de 30 ans, elle a animé pendant huit ans les émissions pour jeunes 275-Allô et Ados-Radio à la radio de Radio-Canada.

Plus récemment, elle a dirigé une enquête portant sur l’avenir du journalisme et de l’information au Québec, rapport commandé par le gouvernement québécois et déposé en décembre 2010.

C’est une conférence d’intérêt général. Bienvenue à tous et à toutes.

Renseignements : 858-4149 / francois.giroux@umoncton.ca

À l’invitation du Centre de commercialisation internationale de la Faculté d’administration de l’Université de Moncton et dans le cadre de la semaine internationale, Pierre Fournier, président de The Triangle Group, a parlé des défis de l’expansion à l’international lors d’une conférence qu’il a prononcée au campus de Moncton. The triangle Group a des opérations manufacturières au sud-est du Nouveau Brunswick et en Chine. Actuellement, la société exporte ses produits aux États-Unis, aux Caraïbes, en Europe, au Japon ainsi qu’en Chine.

Le Bureau du Québec dans les provinces atlantiques et la Société Nationale de l’Acadie sollicitent des candidatures pour le Prix Acadie-Québec 2012, attribué annuellement à un récipiendaire acadien et à un récipiendaire québécois. Créé en 2006 par la Commission permanente de concertation entre l’Acadie et le Québec, il souligne l’apport remarquable de personnes ou d’organismes de l’Acadie et du Québec au développement et à la consolidation des relations Acadie-Québec.

La cérémonie de remise du prix se déroule au moment de la réception offerte à l’Atrium de Dieppe par le Bureau du Québec dans les provinces atlantiques pour célébrer la Fête nationale du Québec, le vendredi 22 juin prochain.

Jusqu’à maintenant, la liste des personnes lauréates du prix comprend :
2011 : La télésérie Belle-Baie et le festival Coup de cœur francophone, en raison de leur resserrement des liens culturels entre l’Acadie et le Québec et de leur contribution à la promotion d’une meilleure connaissance mutuelle entre Acadiens et Québécois.

2010 : Le Mouvement acadien des communautés en santé du Nouveau-Brunswick et le Réseau québécois de Villes et Villages en santé, en raison de leur collaboration exceptionnelle dans les domaines de la santé et du mieux-être en français.

2009 : La Société acadienne de Clare (Nouvelle-Écosse), Sylvain Rivière, directeur artistique du festival international « Contes en Îles » (Îles-de-la-Madeleine), et Marc Laberge, directeur du Festival interculturel du conte du Québec (Montréal), en raison de leur collaboration exceptionnelle qui a mené à la création du Festival de la parole de la Baie Sainte-Marie.

2008 : Paul Aucoin, ancien directeur général du Conseil économique du Nouveau-Brunswick, et Régis Labeaume, ancien président-directeur général de la Fondation de l’entrepreneurship, en tant qu’instigateurs du premier Rendez-vous Acadie-Québec, forum économique francophone réunissant des entrepreneurs de l’Acadie et du Québec.

2007 : Le Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick de l’Université de Moncton et de l’Université de Sherbrooke dans le cadre du partenariat ayant mené à la création du premier programme de médecine francophone au Nouveau-Brunswick, ainsi qu’Entreprise Péninsule et Place aux jeunes du Québec pour leur projet de partenariat « Je reviens! J’y reste! » visant la rétention des jeunes travailleurs francophones en région.

Le dossier de mise en candidature doit obligatoirement contenir une lettre de motivation faisant nettement ressortir le caractère exceptionnel de la contribution de l'organisme ou de la personne, expliquant les raisons qui motivent la proposition de la candidature, faisant état des activités de l’organisme ou de la personne et soulignant l’ampleur et l’impact que ces dernières ont eus sur le développement et la consolidation des relations Acadie-Québec. S’il s’agit d’une personne candidate, il faut un curriculum vitae et/ou des notes biographiques; s’il s’agit d’un organisme candidat, une description de son rôle en faisant ressortir les valeurs qui figurent dans la description du prix, sa mission, son mandat, ses objectifs, ses réalisations, et énumérer tous les honneurs qu’il a reçus; et l'adresse et autres renseignements permettant de joindre le représentant de l'organisme ou la personne (incluant l’adresse courriel). Il faut faire parvenir les documents par courriel et en format papier.

Pour recevoir le prix, les candidats (personnes ou organismes) doivent être de citoyenneté canadienne et âgés d’au moins 18 ans, dans le cas d’une personne; vivre ou être établi, dans le cas d’un organisme, au Québec ou en Acadie depuis au moins cinq ans au moment de la mise en candidature; ne pas être membre de la Commission permanente de concertation entre l’Acadie et le Québec, ni avoir obtenu un soutien financier en vertu de l’Entente entre la Société Nationale de l’Acadie et le gouvernement du Québec au cours des deux années précédant leur mise en candidature, ni appartenir à l’administration publique, ni être une personnalité politique en fonction.

Les mises en candidature à titre posthume ne sont pas acceptées et on ne peut présenter soi-même sa candidature. Les candidatures non retenues seront représentées au jury pendant trois ans après l'année de leur présentation et les récipiendaires ayant déjà reçu le prix ne pourront concourir à nouveau. Les candidatures seront évaluées par un jury composé de membres de la Commission permanente de concertation entre l’Acadie et le Québec.

Veuillez faire parvenir vos dossiers de candidature à l’un des organismes suivants avant le 13 avril (le cachet de la poste en faisant foi) :

Bureau du Québec dans les provinces atlantiques, 777, rue Main, bureau 510, Moncton, N.-B., E1C 1E9 (506 857-9851 / bqmoncton@mce.gouv.qc.ca)

Andrée Cormier, responsable des communications et de la francophonie, Bureau du Québec dans les provinces atlantiques, au 506-857-9851 / andree.cormier@mce.gouv.qc.ca

Société Nationale de l’Acadie, 307, rue Amirault, Dieppe, N.-B., E1A 1G1 (506 853-0404 / info@snacadie.org).

Inaugurée en novembre 2009, la Salle des marchés de la Faculté d’administration permet à des étudiants et étudiantes de poursuivre leur rêve de devenir conseillers ou analystes financiers. Ce véritable laboratoire de la finance recrée un environnement semblable à celui des établissements financiers, offrant une formation intégrée qui couvre tout le processus de l’investissement et qui permet un impressionnant rapprochement entre la théorie et la pratique.

Stéphane LeBlanc, de Saint-Antoine, a découvert sa passion pour la bourse lors d’un concours de simulation boursière organisé dans son école secondaire par les Caisses populaires acadiennes. Quelques années plus tard, il est maintenant finissant au baccalauréat en administration des affaires avec concentration en finance et se prépare en vue de l'accréditation du CFA Institute, un titre reconnu à l'échelle internationale dans le domaine de la finance.

Stéphane a aussi eu la chance d’acquérir une expérience pratique et réelle dans la gestion de portefeuilles grâce au partenariat avec Placements Louisbourg qui a permis la mise en place d'un fonds de placement étudiant. Dans le cadre des activités de la Salle des marchés, il a participé à la gestion de ce portefeuille qui a su fructifier au cours des dernières années malgré un contexte économique difficile.

Pour connaître l’univers des marchés boursiers aux plus jeunes et à titre de coordonnateur du Centre de gestion financière Banque Nationale, Stéphane organise un concours de simulation boursière dans quatre écoles de la région avec le soutien de la Chaire d’études Jeanne et J.-Louis-Lévesque en gestion financière. De plus, le Centre de gestion financière Banque Nationale a organisé le concours de simulation boursière avec marché à la crié tenu récemment à l’Université de Moncton avec la participation d’équipes provenant de six universités de l’Atlantique et du Québec.

Selon Sébastien Deschênes, professeur de finance et instigateur du projet de la Salle des marchés, l’étude du marché boursier amène les étudiants et étudiantes à acquérir des connaissances dans une variété de domaines et contribue à leur culture générale. « Comme il y a de nombreux facteurs qui influencent les marchés, les étudiants doivent être au fait de l’actualité pour faire de bons placements », souligne-t-il.

« Avec la globalisation des marchés, l’analyse des marchés est plus complexe. Quand une catastrophe frappe un pays, tous les marchés sont secoués. Aussi, on n’aurait jamais imaginé la faillite d’un pays dans le passé alors qu’aujourd’hui, c’est une possibilité à envisager, explique le professeur Deschênes. Même les concepts de l’éthique changent avec le temps. Ce qui était un placement éthique dans le passé ne l’est plus nécessairement aujourd’hui. Je pense par exemple à l’investissement dans l’énergie nucléaire qui est passée d’une énergie propre et sans risque à une industrie ayant perdu la cote du point de vue éthique avec la catastrophe nucléaire au Japon. Tous ces facteurs sont pris en compte dans la formation que l’on offre à nos étudiants et étudiantes, sans oublier les questions éthiques dans la pratique du métier de conseiller financier. »

La Salle des marchés est dotée d'outils de travail à la fine pointe de la technologie. Les utilisateurs ont accès à d'importantes bases de données financières et analyses des principales agences dont Reuters. La salle est munie de deux écrans géants affichant les devises, les taux d'intérêt, les métaux, les denrées et les indices boursiers, de même qu'un téléscripteur qui transmet les titres des indices TSX-60 et Dow Jones.

« Fait intéressant à souligner, conclut le professeur Deschênes, la Salle des marchés et les projets qui s’y rattachent créent une dynamique intéressante un peu inattendue à la Faculté d’administration. Les étudiants et étudiantes en parlent entre eux et même ceux qui ne sont pas inscrits en finance s’y intéressent. En ce sens, en plus de rehausser la qualité de la formation offerte en finance, la Salle des marchés crée une belle synergie au sein de la Faculté. »

Le film « Starbuck », de Ken Scott et mettant en vedette Patrick Huard, Antoine Bertrand et Julie LeBreton, est à l'affiche au Ciné-Campus, les jeudi 23 et vendredi 24 février à 20 heures dans l'amphithéâtre 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton.

Tout juste au moment où David Wosniak décide de finalement mettre de grands efforts pour réussir sa vie, cet éternel adolescent de 42 ans voit sa vie bouleversé par l'apparition de nombreux enfants qui sont le fruit de ses dons à une clinique de sperme.

Le Ciné-Campus est présenté par le Service des loisirs socioculturels. Les billets sont en vente à l’entrée avant la présentation du film, 5 $ pour les étudiants et 7 $ tarif ordinaire.

Rendez-vous de l’ONF en Acadie :
Le lundi 27 février, les Rendez-vous de l'ONF en Acadie présentent « Le poids du monde » (51 minutes).

On dit qu'il s'agit de la première épidémie que l'humain s'inflige à lui-même. Or, cette épidémie nous tue. Dans ce documentaire fascinant, le Dr Stephan Rossner, de Stockholm, spécialiste de l'obésité, nous démontre hors de tout doute que notre société a créé elle-même cet environnement toxique. Une production à bon marché, de mégaportions de repas rapides, une industrie de la publicité évaluée à 12 milliards de dollars : voilà une offensive mortelle, surtout si on y ajoute une culture dominée par l'automobile, l'étalement urbain et des technologies qui cherchent à nous simplifier la vie.

Bien que l'Amérique du Nord constitue l'épicentre de l'obésité, la maladie s'exporte sur toute la planète en qualité de produit dérivé de la culture occidentale. Elle s'insinue dans les collectivités à faibles revenus et dans les pays en développement, et mettra tôt ou tard en échec le système de santé. Alliant l'animation vivante et l'information scientifique dynamique, « Le poids du monde » nous révèle que le problème de l'obésité n'est pas individuel, mais qu'il nécessite des changements de politiques et d'attitudes de la part des gouvernements. Présenté en anglais avec sous-titres en français. Le film sera précédé de « La Rue » (10 minutes).

Les projections commencent dès 19 heures dans l'amphithéâtre 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard et l’entrée est libre.

Pour en connaître davantage sur la programmation des Rendez-vous de l'ONF en Acadie ou pour visionner les bandes-annonces : www.onf.ca/rendez-vous.

La Librairie acadienne et le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact (GRICC) de la Faculté des arts et des sciences sociales vous invitent à assister au troisième Jeudi de la Librairie de la saison consacré au roman de Lawrence Hill, « Aminata », paru en 2011 à Montréal en traduction française aux Éditions de la Pleine Lune.

Cette activité aura lieu le jeudi 23 février de 16 h 30 à 18 heures à la Librairie acadienne du campus de Moncton.

Isabelle LeBlanc, doctorante en sciences du langage au Département d’études françaises, présentera l’auteur et il reviendra à Émilie Urbain, également doctorante en sciences du langage au Département d’études françaises, d’en faire le commentaire. L’animation sera assurée par le professeur Mourad Ali-Khodja, du Département de sociologie.

La présentation sera suivie d’une petite réception.

Renseignements : Mireille Thériault, au 858-4140.

Le Musée du Nouveau-Brunswick a annoncé la nomination de plusieurs nouveaux administrateurs et du nouveau président de son conseil, John K. F. Irving qui lui est entré en fonction le 9 février pour un mandat de trois ans.

« Je suis heureux que John Irving ait accepté de relever les défis associés au rôle de président, a mentionné le ministre du Mieux-être, de la Culture et du Sport, Trevor Holder. En raison de sa vaste implication dans des activités liées au patrimoine, je suis convaincu que ses qualités de meneur nous rendront un fier service. »

Les membres du conseil jouent un rôle de surveillance relativement aux grandes orientations, à la planification à long terme et à la gestion financière du Musée. Nommés pour un premier mandat ou un mandat renouvelé, ces membres sont Louise Imbeault, de Moncton; Robert Landry, de Caraquet; Blair Borgerson, de Saint John; Herménégilde Chiasson, de Grand Barachois; Gwendolyn Davies, de Fredericton; Cyril Donahue, de Miramichi; Richard Burpee, de Saint John; Gordon LaBillois, d'Eel River Bar; Camille Roy, de Saint-Basile; et Yves Gagnon, de Moncton.

La plupart des membres siégeront au conseil pour un mandat de trois ans, mais un certain nombre d’entre eux qui ont été renommés auront un mandat plus court afin que l'on puisse par la suite renouveler le conseil par tranches et ainsi garantir le transfert de connaissances entre les membres du conseil. Il reste encore un poste vacant au sein du conseil et des efforts sont faits pour le pourvoir dès que possible.

« Je suis ravi que ces personnes aient accepté de siéger au conseil, affirme M. Holder. Elles joueront un rôle important dans l'orientation et la promotion de notre Musée provincial. »

Le gouvernement du Nouveau-Brunswick a investi 1,2 million de dollars dans la remise en état des locaux du Musée situés sur l'avenue Douglas, à Saint Jean, où des travaux se poursuivent dans le cadre de plusieurs projets.

« Je remercie le président sortant, R. Gary Faloon, pour son travail acharné au cours des cinq dernières années, ajoute M. Holder. Il a joué un rôle déterminant dans la réalisation de plusieurs changements favorables et a été un acteur clé pour l'obtention des fonds nécessaires à la modernisation du centre des collections du Musée. »

John K. F. Irving est président de Commercial Properties Ltd. et de plusieurs autres sociétés, et il occupe plusieurs postes de direction.

Louise Imbeault a récemment pris sa retraite à titre de directrice de la région atlantique à Radio-Canada. Elle est actuellement présidente de la Fondation Sheila Hugh MacKay, et elle joue un rôle actif dans plusieurs organismes culturels. Elle a aussi siégé au conseil d'administration de la Caisse populaire Beauséjour et de la Fédération des caisses populaires acadiennes ltée. Elle entame son deuxième mandat au conseil du Musée.

Robert Landry est un spécialiste des communications et un ancien directeur et coordonnateur du financement pour le Centre culturel de Caraquet. Il a également occupé le poste d'agent du patrimoine pour Caraquet. M. Landry est membre actif de plusieurs organismes culturels et communautaires, occupant notamment le poste de président du Club Richelieu de Caraquet. Il entame son deuxième mandat au conseil du Musée.

Herménégilde Chiasson est un artiste néo-brunswickois et un ancien lieutenant-gouverneur du Nouveau-Brunswick (2003-2009). Il possède le doctorat de la Sorbonne, à Paris. Il a participé à plus de 100 expositions, dont 18 expositions en solo et produit plus de 14 films. Il est également l'auteur de plusieurs livres, pièces de théâtre, textes et autres types de prestations. Lauréat de plusieurs prix internationaux, il a joué un rôle actif dans de nombreuses disciplines artistiques et culturelles au Nouveau-Brunswick.

Camille Roy est un homme d'affaires à la retraite ayant œuvré auprès des aînés dans le domaine du développement social. Il a été membre du conseil d'administration de la Caisse populaire des Trois Rives et de la Caisse populaire de Saint-Basile. M. Roy est présentement membre du conseil d'administration du foyer de soins Résidences Jodin, et il a été membre de nombreux organismes communautaires.

Yves Gagnon est titulaire de la Chaire K.-C.-Irving en développement durable à l'Université de Moncton et professeur associé de génie mécanique à l'Université du Nouveau-Brunswick et à l'École de technologie supérieure à Montréal. C’est chercheur actif dans son domaine et il est membre de divers organismes de développement économique et communautaire. Il est notamment président de la Réserve de biosphère de Fundy.

Renseignements : 444-4454, jane.matthews-clark@gnb.ca.

Dans un souci de valorisation et de reconnaissance du volet enseignement, l'Université de Moncton désire remettre un prix d'excellence à un membre permanent de son corps professoral d'un des trois campus qui s'est distingué grâce à un rendement exceptionnel en enseignement. Ce prix est décerné à la cérémonie de remise des diplômes du printemps au campus où enseigne la personne récipiendaire.

Accompagné d'un certificat de reconnaissance et d'une bourse de 1 000 $, laquelle somme peut notamment être utilisée pour payer des frais de participation à des congrès ou colloques ou encore pour l'achat ou le développement de matériel didactique et informatique. Elle pourrait aussi servir à financer d'autres activités reliées à l'enseignement. La personne choisie est invitée à faire une présentation sur un sujet de son choix à la communauté universitaire au cours de l’année qui suit l’obtention du prix.

Pour être admissible, la personne doit avoir sa permanence, enseigner à l'Université depuis plus de cinq ans et n'avoir jamais reçu ce prix. Elle doit être reconnue pour la qualité et l'impact de son enseignement auprès des étudiantes et étudiants, faire preuve de qualités relationnelles exceptionnelles dans ses activités d'enseignement et d'encadrement, être reconnue par ses collègues pour ses qualités exceptionnelles en enseignement, s'exprimer adéquatement dans la langue française, être capable de susciter une réflexion intellectuelle d'importance chez ses étudiantes et étudiants, démontrer sa capacité de mise à jour constante dans son domaine d'enseignement, faire preuve d’un souci d'innovation dans ses méthodes pédagogiques et démontrer qu'elle peut intégrer la recherche à son enseignement.

Elle doit aussi avoir participé pendant plusieurs années à la conception de cours, à la création et à l'élaboration de programmes d'études ou de nouvelles méthodes pédagogiques, au rayonnement de son programme, de son unité académique ou de l'Université de Moncton.

Le choix de la personne candidate est fait par un Comité de sélection composé de représentantes et représentants du corps professoral, du corps étudiant, de la RDD et de la RVD et présidé par le vice-recteur adjoint à l’enseignement (VRAE).

Les candidatures sont préparées et proposées par les unités académiques (facultés / écoles / départements / secteurs). Elles doivent être soumises par l'instance qui propose la candidature au plus tard le mardi 31 mars 2012 au Bureau du VRAE, pièce 207 du pavillon Léopold-Taillon.

Renseignements : 858-4137.

Le Centre de recherche et de développement en éducation (CRDE) vous invite à assister à son atelier portant sur la rédaction d’articles scientifiques, présenté par Ann Beaton, professeure à l’École de psychologie de l’Université de Moncton, le jeudi 1er mars à 13 heures dans le local B-125 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

Cet atelier est organisé dans le cadre du prix Allard-Landry, un prix du CRDE qui récompense le meilleur article scientifique portant sur l’éducation, rédigé par une étudiante ou un étudiant inscrit au 2e ou au 3e cycle à la Faculté des sciences de l’éducation. Les membres de toutes les facultés sont invités à participer à cet atelier.

La publication est une activité importante dans la démarche scientifique. Elle permet de transmettre les connaissances à la communauté. Le but de cet atelier est de décrire les différentes étapes de publication des travaux de recherche. Quelques conseils du procédé de publication seront également proposés.

Dans le cadre de sa série « Les Grands Explorateurs », le Service des loisirs socioculturels présente le documentaire « Indochine : 2000 km à pied sur la piste Hô Chi Minh », le vendredi 24 février à 20 heures dans la salle de spectacle du pavillon jeanne-de-Valois au campus de Moncton. Les explorateurs Cécile Clocheret et François Picard seront présents pour raconter leur périple à travers l’Indochine.

La piste Hô Chi Minh est reconnue pour avoir permis le ravitaillement en nourriture et en matériel au sud du Vietnam. Cet axe reliant le Vietnam au Laos et au Cambodge a marqué les moments les plus difficiles de la guerre du Vietnam.

C’est sur ce chemin historique que Cécile et François nous transporte tout au long de cette aventure humaine hors du commun. Pendant quatre mois, ils ont parcouru avec une grande détermination cette route mythique et ce, malgré des chaleurs accablantes, la saison des pluies et la barrière de la langue.

Sur 2 000 kilomètres, le couple parcourt trois pays, trois histoires afin de réaliser les trois objectifs qu’ils se sont fixés : un défi sportif en marchant dans des sentiers non balisés, des rencontres et échanges culturels et un film-conférence à présenter dans les pays de la francophonie.

Après avoir été journaliste pendant une dizaine d’années, François Picard fait plusieurs expéditions à travers le monde. En 2009, ce jeune homme réalise le film « Caractères chinois et poussière rouge » dans lequel il sillonne la Chine à vélo sur plus de 5 000 kilomètres. Ce succès a d’ailleurs récemment été présenté au Québec en tournée scolaire. Ce globe-trotter est également le fondateur du Festival Culture-Aventure en France.

De son côté, Cécile Clocheret a traversé avec une amie l’île de Madagascar à pied, une aventure de quatre mois qui lui a d’ailleurs inspiré le film « L'Ile Rouge, pas à pas ».

C’est ensemble qu’ils ont voulu parcourir la piste d’Hô Chi Minh dans le but de marcher pour parvenir jusqu’aux endroits les plus inaccessibles, de parcourir des territoires chargés d’histoire, de vivre les réalités d’un pays au contexte géopolitique troublé, de filmer et d’écrire pour partager l’émotion du voyage et donner leur point de vue.

Les billets sont en vente dans le réseau de la billetterie du Grand Moncton, 10,50 $ pour les étudiants et 17,50 $ pour les autres, frais de service en sus. Les personnes intéressées peuvent aussi s’en procurer par téléphone au 506-858-4554 ou encore au 1-800-363-8336.

Renseignements : Martin Savoie, au 863-2008 / ems8117@umoncton.ca

Le Centre de recherche et de développement en éducation vous invite à assister à une causerie-midi pendant laquelle il y aura une démonstration d’applications pédagogiques du logiciel Excel de Microsoft, proposée par Robert M. Baudouin, professeur à la Faculté des sciences de l’éducation, le mardi 28 février entre midi et 13 heures dans le local B-219 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

Pour plus de renseignements, il faut visiter le site http://www.umoncton.ca/crde/node/19.

Renseignements : 858-4277

Le Chœur du Département de musique de l’Université de Moncton (Monique Richard, directrice) et son groupe invité, le Elliott Choral de Mount Allison University (Gayle Martin, directrice et organiste) présentent la Messe en Sol Majeur et la Messe Allemande de Schubert, le dimanche 25 février à 15 heures en l’église St John’s United Church, 75, rue Alma, à Moncton.

Ce concert de musique sacrée regroupera plus de 80 choristes qui seront accompagnés d’un ensemble de 16 cordes et d’un quintette de cuivres, sous la direction de Monique Richard.

Les billets, 12 $ pour les adultes et 8 $ pour les étudiants, sont en vente à la Librairie acadienne du campus de Moncton, au Département de musique et à l’entrée le jour du concert.

Pour obtenir plus de renseignements, il faut composer le 858-4041.

Debbie Dupuis a reçu le titre d’Ancienne de l’année lors du banquet annuel de la Faculté des sciences de l’Université de Moncton, qui a eu lieu au Delta Beauséjour de Moncton. La Faculté a ainsi remis Le Prisme à Mme Dupuis, originaire de Memramcook, en guise de reconnaissance pour une carrière remarquable dans le domaine des sciences. Elle est aujourd’hui professeure à l’École des hautes études commerciales à l’Université de Montréal.

« C'est tout un honneur pour moi de recevoir Le Prisme et de voir mon nom s’ajouter à la liste impressionnante des récipiendaires, dit-elle. J'aime beaucoup mon travail et j’en retire énormément de satisfaction, mais cette reconnaissance des gens que j’estime et qui ont fait partie de mon parcours a beaucoup de prix à mes yeux. »

Diplômée du baccalauréat ès sciences avec une majeure en mathématiques et une mineure en informatique en 1989, la récipiendaire s’est distinguée dès le début de ses études de premier cycle en obtenant des résultats académiques exceptionnels et en décrochant plusieurs bourses de mérite.

Au terme de ses études de baccalauréat, elle a obtenu la bourse d’études supérieures la plus prestigieuse à l’époque du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada pour poursuivre des études de maîtrise en statistique à la Queen’s University en Ontario.

C’est en 1994 qu’elle a complété ses études doctorales en statistique à l’University of New Brunswick en recevant du même coup la Médaille d’or du Gouverneur général du Canada pour avoir maintenu la plus haute moyenne aux cycles supérieurs.

Au fil des ans, elle a occupé un poste de professeure dans trois différentes universités, Dalhousie, Western Ontario et l’École des hautes études commerciales à l’Université de Montréal. Son parcours professionnel illustre bien sa polyvalence, compte tenu qu’elle a œuvré dans une faculté de génie, dans une faculté de sciences et dans une école d’administration, appliquant ses connaissances en statistique à divers domaines comme en génie civil, en simulation numérique, en médecine, en actuariat, en politique énergétique, en finance, en hydrologie, en météorologie et notamment à l’étude des tremblements de terre.

La professeure Dupuis a aussi obtenu d’excellentes évaluations pour la qualité de son enseignement et elle a supervisé plus d’une douzaine d’étudiants au niveau de la maîtrise et du doctorat. Elle est une chercheuse chevronnée ayant plus de 40 articles arbitrés à son actif. Elle a su maintenir une subvention du CRSNG depuis 1995 en plus de décrocher une importante subvention des Instituts de recherche en santé du Canada en 2000. Elle a aussi reçu le Premier’s Research Excellence Award de l’Ontario en 2002.

L’Association de l’industrie alimentaire de l’Atlantique a annoncé la tenue de la cinquième conférence portant sur la transformation des aliments de la Péninsule acadienne, du 5 au 7 mars à Shippagan. Le thème choisi cette année : Marcher sur les eaux.

Jacques Gagnon, directeur scientifique au volet Pêche et produits marins à l’IRZC, participe à l’organisation de cet événement qui aura lieu au campus de Shippagan. Les membres du comité sont Don Newman, Joël Thibodeau, Laurent Robichaud, Daniel Losier, Maurice Basque, Benoit Ouellette, Fernand Brideau, Alonzo Rail et Nancy Godin.

Plus d’une douzaine de conférenciers aborderont des thèmes regroupés sous trois volets : le marketing (le marché de l’Inde et de la Chine, les nouveaux marchés et la marque Canada Atlantique pour nos produits alimentaires); l’environnement règlementaire et les ressources humaines (un survol des programmes de sécurité alimentaire, une mise à jour règlementaire incluant les aliments prêts à consommer, une mise à jour sur la formation des ressources humaines, les sujets de l’heure au niveau juridique); et regards sur l’avenir (programmes de financement pour les entreprises, l’avenir pour les canneberges et finalement les terres humides, l’eau potable et l’environnement).

Pour chaque volet, une table ronde animée avec les conférenciers permettra aux personnes participantes d’échanger et d’approfondir sur les thèmes présentés lors du colloque.

Ce colloque destiné au public s’adresse aussi aux industriels, aux petites et moyennes entreprises de la région, aux partenaires des divers ordres de gouvernement ainsi qu’à la communauté universitaire. Pour encourager les entreprises à profiter au maximum de ce colloque, les inscriptions pour les personnes additionnelles de la même organisation seront réduites de moitié du montant forfaitaire de 100 $, y compris les présentations, les pauses-santé, le dîner, la réception et le banquet.

Lors du banquet, le conférencier d’honneur sera Paul-Orel Chiasson, directeur général de l’Association coopérative des pêcheurs de l’Ile de Lamèque, leader dans le domaine maritime et ardent promoteur du développement en région.

En plus de vous permettre d’assister à d’excellentes conférences, ce colloque sera également une excellente opportunité de faire du réseautage.

Pour les participants au colloque, il sera possible de faire une visite des nouveaux laboratoires du campus de Shippagan, de l’IRZC et du complexe multifonctionnel de la ville de Shippagan actuellement en construction.

Pour obtenir de plus amples renseignements, il faut communiquer avec Don Newman, en composant le 506-389-7892 ou par courriel à don@atlanticfood.ca ou encore Jacques Gagnon, de l’IRZC,
jacques.gagnon@umoncton.ca.

Le Festival Frye a dévoilé sa liste d’auteurs invités pour sa 13e édition qui promet des moments mémorables pour les amoureux de la lecture. Parmi ceux-ci, il y a Antonine Maillet et France Daigle.

Le plus grand événement littéraire des provinces atlantiques aura lieu dans la grande région de Moncton du 23 au 29 avril. (Renseignements : www.frye.ca).

Une première pour Antonine Maillet
Pour la première fois depuis sa création, elle prononcera la conférence qui porte son nom. La célèbre auteure acadienne, donnera la conférence « Antonine Maillet-Northrop Frye », le samedi 28 avril au théâtre l’Escaouette. La conférence se donnera en français avec interprétation simultanée. Son plus récent roman, « L’albatros », a été publié en 2011.

France Daigle ne cesse d’émerveiller par son habileté de manier les mots et la langue française. Elle vient de faire paraître « Pour sûr », un roman hybride où se déploie la vie du couple Terry et Carmen et de leurs amis dans le quartier des lofts à Moncton. Ce roman de 750 pages, qui fait suite à « Pas pire, Un fin passage et Petites difficultés », est aussi une sorte d'éloge des livres et de la connaissance en général.

Lors du Festival elle fera notamment une lecture à la Soirée Frye le jeudi 26 avril.

La communauté universitaire a été attristée d’apprendre le décès du Dr Roland Maurice, cet homme de tous les instants qui a mené de front une vie professionnelle et communautaire exceptionnelle avec la compréhension et le soutien continu de toute sa famille.

« Fidèle ami du père Clément Cormier, le Dr Maurice a été d’une grande générosité envers l’Université de Moncton, rappelle le recteur Yvon Fontaine. Membre du Conseil des gouverneurs, ancien président de l’Association des anciens, anciennes et amis, Officier de l’Ordre des Régents et des Régentes et membre de plusieurs comités, son inlassable dévouement a été salué alors que notre institution lui a remis un doctorat d’honneur ès arts et ès sciences et lui a présenté sa Médaille d’honneur. »

Sa plus grande contribution aura certainement été son implication dans la mise sur pied du Fonds de bourses Clément-Cormier qui, chaque année maintenant, apporte un soutien financier appréciable à des dizaines d’étudiants et étudiantes qui entreprennent des études.

Je profite de l’occasion pour offrir mes plus sincères condoléances à Janine, son épouse depuis 58 ans, et à toute la famille.

Dans le cadre de la Semaine internationale au campus de Moncton, les personnes intéressées ont assisté à des présentations portant sur la possibilité de faire des études ou des stages, ou encore de l’immersion ou des missions humanitaires à l’international grâce au Service de mobilité internationale, en compagnie de Geoffrey Williams, vice-président aux relations internationales à l’Université de Bretagne-Sud, en France; Benoît LeBlanc, étudiant en ingénierie, études à Poitiers, en France; Marc-André Haché, étudiant en traduction, études à Poitiers et stage de travail à Amiens, en France; Genaro Saldivar et Carolina Doreste, étudiants en échange en ingénierie qui ont présenté leur université, l'Université autonome de San Luis Potosi, au Mexique. Cette activité a eu lieu dans un salon de la Faculté d’ingénierie qui avait été décoré en violet pour refléter le thème de l’Asie.

La photo nous fait voir, de gauche à droite, Carolina Doreste, étudiante en échange à la Faculté d’ingénierie venant de l’Universidad Autonoma de San Luis Potosi, Jiaping Wu, étudiant en génie mécanique dans le cadre d'une entente entre l'Université de Wuhan, en Chine, et l'Université de Moncton; Geoffrey Williams, vice-président aux relations internationales de l’Université de Bretagne-Sud; Benoît LeBlanc, vice-président aux affaires externes de l'Association des étudiants et étudiantes en génie de l'Université de Moncton; Benoît Bourque, directeur du Bureau de relations internationales de l’Université de Moncton; et Ghislain LeBlanc, président de la Fédération étudiante du campus de Moncton.

Neuf étudiantes du cours Loisirs thérapeutiques RETO-2301 ont eu l’occasion de participer le 10 février au projet expérimental, dit l’Incubateur, initié par la professeure Selma Zaiane-Ghalia avec l’artiste peintre Mario Cyr, à la résidence pour personnes à besoins spéciaux de l’Aboiteau, à Dieppe. Lors de cet atelier, quatre nouveaux tableaux ont été réalisés par quatre résidentes, pendant que quatre autres d’entre elles participaient à une discussion inspiratrice autour du thème du pouvoir de l’amitié. C’est une expérience qui a favorablement marqué autant les résidentes que les étudiantes.

Voici des extraits des témoignages de trois étudiantes.

« J’ai été très touchée émotionnellement par quelques discussions que nous avons eues car pour quelques instants, j’ai presque pu ressentir la douleur que quelques-uns ont éprouvé pendant la majeure partie de leur vie. … Ça été une expérience inoubliable pour moi, … et très enrichissante ». Julie

« La visite à la résidence de l’Aboiteau a été une expérience qui m’a surprise. Au début, je pensais que la « peinture thérapeutique » nous permettrait de surveiller les résidents pendant qu’ils peignaient, mais j’ai rapidement réalisé qu’il y avait une technique et des étapes à suivre. J’ai trouvé les discussions touchantes et très intéressantes. Voir les résidentes interagir les unes avec les autres était émouvant, presqu’autant que de les voir rire et avoir du plaisir. « Véronique

« Elles m’ont beaucoup, mais beaucoup touchée! Et croire que le simple fait de peindre ait pu libérer tous ces sentiments est tout simplement incroyable! Ces femmes sont tellement inspirantes et ont tant de choses à apporter à chacun d’entre nous! … En deux heures, notre perception et notre vie ont changé! … Cette activité m’a fait réaliser à quel point un récréologue est important dans la vie de tout être humain! … Je suis heureuse d’avoir pris part à cette activité et vivre cette expérience fantastique qui m’a très touchée! » Amélie

Symphonie Nouveau-Brunswick présente « Magie », avec comme artistes invités David Adams et Laurissa Chitty au violon, Christopher Buckley, alto, Sonja Adams, au violoncelle, Christie Goodwin, au hautbois, et Patrick Bolduc, au basson, le jeudi 1er mars à 19 h 30 en l’église Mount Royal United à Moncton.

Les billets seront en vente à l’entrée, 25 $ pour les adultes, 20 $ pour les personnes aînées et 10 $ pour les étudiants et étudiantes.

Depuis quelque temps, l’Université de Moncton est l’un des cinq milieux de travail En Mouvement de la grande région de Moncton.
Cette année, le Comité de mieux-être universitaire, en partenariat avec le cours de KNEP-4413 (psychologie du sport), a décidé d’implanter la stratégie En Mouvement 30-30-30. Quarante-huit étudiants kinésiologues accompagneront 48 membres du personnel pendant tout le semestre pour leur permettre de diminuer leur niveau de sédentarité.

Cette stratégie 30-30-30, c’est-à-dire 30 minutes d’activité physique par jour au travail, à la maison et dans la communauté, veut améliorer le mieux-être des individus par l’entremise de l’activité physique. Ce lancement officiel a eu lieu le 8 février au Ceps Louis-J.-Robichaud.

Pour ceux qui n’ont pas eu la chance d’assister au premier lancement de la stratégie 30-30-30, les membres du Comité de mieux-être seront présents au Centre étudiant, le mardi 28 février de midi à 13 heures pour en faire un deuxième. Il sera possible également de faire prendre sa tension artérielle. Venez célébrer la stratégie En Mouvement et obtenir des renseignements concernant le mieux-être.

Et dans le cadre des mercredis actifs du Comité mieux-être universitaire pour tous les membres du personnel, venez découvrir l'Ultimate Frisbee lors d'un atelier offert à titre gracieux, le mercredi 29 février de midi à 13 heures dans le gymnase du Ceps. Aucune habileté n’est requise.

Fidèle à sa tradition, l’Association des étudiantes et étudiants internationaux de l’Université de Moncton (AEEIUM), en collaboration avec le Service des loisirs socioculturels, a présenté sa 36e Soirée internationale au Ceps Louis-J.-Robichaud du campus de Moncton. Malgré une température incertaine, ce « Carrefour des civilisations » a encore une fois connu un très grand succès.

Ce thème a d’ailleurs inspiré l’AEEIUM à créer des stands interactifs où la rencontre entre les gens de différentes cultures se faisait plus concrètement. En effet, de stands en stands (de pays en pays), les gens ont été invités à apprendre quelques pas d’une danse folklorique, à dire, parfois même écrire, une phrase dans une langue étrangère, ou encore à jouer d’un instrument typique à une culture, tout en ayant le loisir d’admirer des objets d’art et discuter avec des gens. Un souper a aussi été servi, le tout agrémenté d’un spectacle.

Comme le rappelle le président de l’AEEIUM, Omar Meftah el Khair, cette Soirée est une occasion de rassembler des gens autour d’un même idéal et de valoriser la culture internationale. « L’AEEIUM souhaite que cet événement contribue à l’intégration de la jeunesse internationale, à son émancipation et à son adaptation, dit-il. Il expose aussi à la population de la grande région de Moncton une autre perception de la communauté internationale. »

Renseignements : 850-4340 / executif@aefaum.com

Il y aura une séance d'observation astronomique, le mardi 28 février de 18 h 30 à 19 h 30 à l’Observatoire de l’Université de Moncton situé sur le toit du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.

Les planètes Jupiter, Vénus et Mars seront visibles.

Cette activité est organisée par le Département de physique et d'astronomie. Venez en grand nombre.

Renseignements : 858-4339.

Le campus de Shippagan a reçu la visite d’une délégation française de l’Université Bretagne-Sud (UBS), composée du professeur Geoffrey Williams, vice-président aux affaires internationales, Sandra Vessier, directrice du Service des affaires internationales, et du professeur André Péron, chef de département et responsable de l’Institut universitaire de technologie de Lorient implanté à Pontivy, en France.

Pendant ce séjour, les perspectives de coopération entre l’UBS et le campus de Shippagan ont été examinées. Il a notamment été question de la pérennisation de la collaboration déjà entamée dans le domaine de la gestion de l’information grâce au projet de mobilité internationale Canada-Europe dont les deux institutions ont le leadership.

La vice-rectrice, Jocelyne-Roy Vienneau, a présenté le campus de Shippagan en mettant l’accent sur les nombreux créneaux en enseignement et en recherche susceptibles de constituer le socle d’un partenariat prometteur. La délégation de l’Université Bretagne-Sud a également présenté l’offre d’enseignement et de recherche de cette institution et de nombreux centres d’intérêt ont été identifiés par les deux parties.

Il a aussi été question de la plateforme technologique PRODIABIO (PROcédés-DIAgnostic environnemental-BIOressources) regroupant trois pôles de compétences : enseignement, recherche et transfert de technologie permettent aux étudiants et étudiantes de bénéficier de contacts privilégiés avec le monde de la recherche et de l'entreprise.

Le conservateur Bernard LeBlanc a proposé un nouvel article à l’Encyclopédie du patrimoine culturel de l’Amérique française qui permet au lecteur de découvrir la riche histoire du Musée acadien de l’Université de Moncton depuis les 125 dernières années.

Des objets numériques interactifs en format 3D de la collection du Musée acadien accompagnent également le texte. Parmi ceux-ci, il y a des objets du quotidien, religieux et décoratifs, ainsi que des outils d’entretien et des jouets. Les animations permettent à l’internaute de contempler les détails et de mieux saisir la complexité de ces objets.

Le Musée acadien encourage les enseignants et les agents de développement culturel et communautaire d’optimiser l’utilisation de ces nouveaux ajouts virtuels 3D en salle de classe et d’engager une discussion auprès des élèves.

L’expérience a été enrichissante et les conservateurs apprécient que la collection du Musée acadien prenne un essor en format numérique interactif, et qu’une telle initiative continue à faire avancer la recherche et assurer la diffusion des collections du Musée acadien.

L'Encyclopédie du patrimoine culturel de l'Amérique française en ligne depuis 2008 est un ouvrage de référence multimédia sans frais qui traite de tous les types de patrimoine illustrant maints aspects de l'histoire, de la culture et des territoires des francophones de l’Amérique du Nord.

À l’invitation du Département d’histoire et de géographie, Charles Y. Le Blanc, professeur émérite de l’Université de Montréal et enseignant des cours d’histoire à l’Université de Moncton, a prononcé une conférence portant sur le Premier empereur de Chine (r. 221-210 av. J.-C.) et son armée en terre cuite en présence d’une trentaine de personnes au campus de Moncton.

Le Premier empereur mit fin d’une façon draconienne au système de la royauté et du féodalisme qui avait duré plus de 2 000 ans en Chine (2207-222 av. J.-C.), sous les trois premières dynasties (Xia, Shang et Zhou). Il fonda la première dynastie impériale des Qin et modifia de fond en comble le système politique chinois jusqu’à nos jours.

La plus grande révolution de l’histoire chinoise fut ce changement de régime. Cet empereur construisit la première Grande Muraille et la première Cité Interdite. Près de son immense mausolée (jamais ouvert), on a découvert en 1974 son armée souterraine en terre cuite de quelque 8 000 soldats grandeur nature – certains l’appellent « la huitième merveille du monde ». Cette armée devait protéger l’empereur pour l’éternité. Pour cet empereur, le pouvoir absolu sur le temps allait de pair avec le pouvoir absolu sur l’espace.

La conférence a été accompagnée de diapositives.

Chercheur de renom à l’échelle internationale, M. LeBlanc a notamment publié deux livres portant sur l’histoire et la philosophie chinoise dans la Collection de la Pléiade.

Julie Ronikier fera la soutenance d’une thèse de maîtrise en psychologie, intitulée « Le développement des habiletés en lecture et l’effet de la lettre omise vont-ils de pair ? », le vendredi 2 mars à 13 heures dans la salle Gérard-Cormier (504) du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.

Les professeurs Pierre Cormier et Jean Saint-Aubin sont respectivement directeur et codirecteur de la thèse.

Bienvenue à tous et à toutes.

Renseignements : 858-4864.

L’Université du troisième-âge du Sud-Est présente « Bonne fête Madame Yvonne », le vendredi 9 mars et le samedi 10 mars à 19 h 30 dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.
L’entrée est de 20 $ par personne et les billets sont en vente à la Librairie acadienne du campus de Moncton, à la pharmacie Jean Coutu de Dieppe et à la pharmacie Jean Coutu de Shédiac.

Renseignements : 858-4410 /utase@umoncton.ca

L’Association francophone pour le savoir – Acfas appuie plusieurs des préoccupations des signataires de la lettre ouverte adressée au premier ministre du Canada, Stephan Harper et publiée dans Le Devoir.

En effet, l’Acfas s’inquiète de l’importance des balises imposées à la liberté d’expression des chercheurs employés par le gouvernement fédéral. Les politiques de communication mises en place dans certains ministères fédéraux empêchent les chercheurs d’accorder librement des entrevues aux journalistes sur des résultats de recherche qui ont déjà été publiés dans des revues scientifiques.

« Je crois qu’il est possible de concilier les contraintes inhérentes à la gestion de l’État, le droit à l’information du public et les principes d’intégrité en recherche au Canada » précise Pierre Noreau, président de l’Acfas. D’ailleurs, la National Oceanic and Atmospheric administration aux États-Unis a adopté des pratiques qui vont en ce sens et le rapport du Conseil des académies canadiennes sur l’intégrité en recherche offre des pistes intéressantes pour établir de nouvelles pratiques.

« Dans une société du savoir qui devra relever de nombreux défis environnementaux, démographiques et sanitaires, l’information scientifique financée par le gouvernement doit être facilement accessible aux citoyens comme aux décideurs politiques, afin que nous puissions prendre des décisions éclairées pour une meilleure société », de conclure le président de l’Association.

Créée en 1923, l’Association francophone pour le savoir – Acfas s'attache à promouvoir l'activité scientifique, à stimuler la recherche et à favoriser la diffusion du savoir. Établie au Québec, l’Association regroupe quelque 6 000 scientifiques de tous les secteurs de la connaissance.

On dit qu'il s'agit de la première épidémie que l'humain s'inflige à lui-même. Or, cette épidémie nous tue.
Dans le documentaire fascinant, « Le poids du monde », (Glynis Whiting; 2003, 79 minutes), le Dr Stephan Rossner, de Stockholm, spécialiste de l'obésité, démontre hors de tout doute que notre société a créé elle-même cet environnement toxique. Alliant l'animation vivante et l'information scientifique dynamique, ce film nous révèle que le problème de l'obésité n'est pas individuel mais qu'il nécessite des changements de politiques et d'attitudes de la part des gouvernements. Il prend l’affiche ce lundi 27 février à 19 heures dans la salle de projection 163 au pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton. Il sera projeté en anglais avec sous-titres en français. L’entrée est libre.

Le poids du monde
Une production à bon marché, des mégaportions de repas rapides, une industrie de la publicité évaluée à 12 milliards de dollars : voilà une offensive mortelle, surtout si on y ajoute une culture dominée par l'automobile, l'étalement urbain et des technologies qui cherchent à nous simplifier la vie.
Bien que l'Amérique du Nord constitue l'épicentre de l'obésité, la maladie s'exporte sur toute la planète en qualité de produit dérivé de la culture occidentale. Elle s'insinue dans les collectivités à faibles revenus et dans les pays en développement, et mettra tôt ou tard en échec le système de santé.

La rue
La projection principale sera précédée du court métrage d’animation « La rue », de Caroline Leaf (1976, 10 minutes). Tiré d’une nouvelle de Mordecai Richler, ce court film d’animation raconte le drame qui est vécu tous les jours par les familles où l’un des membres est devenu impotent. Le tout est illustré par de magnifiques dessins où la sobriété s’allie au souci du détail pour insuffler la vie aux personnages.

Prochainement à l’affiche
Dès la semaine du 4 mars, le public pourra découvrir le documentaire « À la guerre comme à la guerre », de Lode Desmet (2010, 87 minutes). Ce documentaire montre ce que les conflits font vivre aux soldats et retrace l’histoire des Conventions de Genève depuis un siècle et demi. Il conjugue témoignages, photos d’archives et jeux vidéo pour nous amener à réfléchir sur la guerre et ses conséquences sur les citoyens du monde ainsi que sur ceux qui la font.


Renseignements : http://www.onf.ca/rendez-vous

Le Service de l’activité physique et sportive a choisi la volleyeuse Véronique Carroll, de Moncton, et le hockeyeur Pierre-Alexandre Marion, de Gatineau, comme athlètes Antonio’s Pizza de la semaine pour la période du 13 au 19 février à l’Université de Moncton.

Carroll a été choisie au sein de l’équipe étoile du Championnat de volleyball féminin de Sport universitaire de l’Atlantique Subway qui a eu lieu en fin de semaine. Elle a été choisie la joueuse du match lors de la victoire de 3 à 1 des Aigles aux dépens des Capers vendredi soir, et a très bien joué lors d’une défaite en demi-finale contre les Huskies samedi. Elle est étudiante en kinésiologie.

Pierre-Alexandre Marion a réussi un blanchissage en repoussant 30 lancers jeudi dernier et il a bloqué 44 tirs lors de la défaite de samedi soir. Il a réussi des arrêts clés lors des deux rencontres et a donné confiance à son équipe. C’est un étudiant en comptabilité.

Les amateurs possédant des billets de saison pour les matchs des Aigles Bleus de l’Université de Moncton au hockey masculin pourront acheter des billets pour les deux parties de la série demi-finale entre les Aigles et les Huskies de Saint Mary’s University, du jeudi 23 au lundi 27 février à la réception du Ceps Louis-J.-Robichaud au campus de Moncton.

Le grand public pourra en acheter à compter du mardi matin 28 février au même endroit.

La troisième partie et une quatrième si nécessaire seront jouées à l’aréna J.-Louis-Lévesque du campus de Moncton les mercredi 29 février et samedi 3 mars à 19 heures.