Depuis le mercredi 5 septembre, les étudiants et étudiantes du campus de Moncton ont un nouveau café-bar nommé Le Coude à l’intérieur du Centre étudiant. Cet endroit se veut une alternative pendant que des rénovations majeures seront entreprises dans la section autrefois connue comme étant L’Osmose.

Selon la présidente de la Fédération étudiante du campus de Moncton, Joëlle Martin, il est impossible de concevoir le campus ou le Centre étudiant sans un endroit pour permettre aux étudiants et étudiantes de socialiser. « C'est pourquoi nous avons conçu ce nouvel espace qui sera à la fois un lieu de rencontre relaxant, un café, un bar, une scène ou encore une salle de jeux », dit-elle.

Pourquoi Le Coude ? « C'est l’un des noms que portait jadis la ville de Moncton en raison de sa localisation dans l’angle de la rivière Petitcodiac. Ce nom a changé après la Déportation des Acadiens de la région à The Bend, puis à Monckton, et enfin Moncton.

« Nous nous réapproprions le (vrai) nom de Moncton », ajoute la présidente de la Féécum. On peut aussi se permettre de faire plusieurs jeux de mots : c'est la partie du corps qui sert à porter une boisson à ses lèvres; on « lève le coude » pour trinquer entre amis; on est « coude à coude » dans une salle bondée; et on se « serre les coudes » pour faire preuve de solidarité. Le Coude a presque déjà été choisi pour d’autres bars étudiants dont L'Osmose (deuxième dans le sondage de l'époque) et le Tonneau.

L’ouverture officielle du Coude a eu lieu en présence du recteur Raymond Théberge qui a rappelé que le café Osmose et le Tonneau sont fermés cette année en raison d’importants travaux de rénovation. « Mais ce petit café est maintenant le lieu de rencontre pour les étudiants et étudiantes, un salon où vous pourrez donner rendez-vous à des amis, faire de la lecture ou encore échanger entre vous. C’est une dimension essentielle à la vie étudiante », dit-il.

C’est en septembre 2013 que l’espace anciennement occupé par L’Osmose deviendra un nouveau resto-bar. Ce ne sera pas une cafétéria mais plutôt un restaurant/casse-croute un peu comme le café Osmose l’était mais avec une plus grande superficie et une plus grande cuisine. Le nouveau resto-bar qui remplacera le café Osmose sera aussi géré en partie par les étudiants et étudiantes. Les services alimentaires deviendront un service institutionnel intégré qui sera supervisé et géré par les Entreprises auxiliaires de l’Université.

Une offre sera lancée et divers traiteurs pourront offrir leurs services. Le traiteur retenu sera ensuite responsable de l’ensemble des services alimentaires au campus. En ce qui a trait à la gestion partagée, le traiteur (sous la direction des Entreprises auxiliaires de l’Université) dirigera les services alimentaires le jour tandis que la Fédération étudiante coordonnera les activités socioculturelles au resto-bar en soirée.

« Nous sommes d’ailleurs très heureux de cette belle collaboration avec la Féécum qui permettra d’offrir aux étudiants et étudiantes tout comme aux membres du personnel un service alimentaire qui répond mieux à leurs besoins et à leurs attentes », ajoute M. Théberge.

En ce qui a trait à la cafétéria au pavillon Léopold-Taillon, elle sera fermée. Une partie de l’espace disponible sera ensuite occupée par une cuisine pour les services traiteurs; la vocation de l’autre partie est toujours à l’étude.

Renseignements : 858-4484 / presfee@umoncton.ca

Après avoir reçu plusieurs critiques internationales enthousiastes pour leur premier album, le Duo baroque La Tour s’est fait remarquer tout l’été lors de nombreux concerts dans les Maritimes.

On pense notamment à leur participation très attendue au Festival international de musique ancienne de Lamèque dans l’église Sainte-Cécile de Petite-Rivière-de-l’Ile remplie plus qu’à l’accoutumée (selon la direction du festival), et aussi à leur tournée de six concerts en six jours/six lieux pour la série Musique Royale et qui les menés partout en Nouvelle-Écosse. Cette tournée s’est pertinemment terminée le 21 juillet à la forteresse de Louisbourg par un concert aux chandelles dans la chapelle. Un moment inoubliable où tous avaient l’impression d’être transportés au 18e siècle alors que non seulement la salle et l’éclairage étaient d’époque, mais aussi l’acoustique, les instruments et l’esthétique musicale.

Le dernier concert estival du duo aura lieu à Dalhousie ce 22 septembre à 19 h 30 et sera présenté par les Jeunesses musicales du Canada au Théâtre LER.

Michel Cardin, professeur au Département de musique, et Tim Blackmore viennent parallèlement de terminer leur deuxième album, « The Last Time I Came O’er the Moor », consacré entièrement à la musique baroque écossaise, et qui aura bientôt un triple lancement-concert : à Fredericton le 14 octobre à la Chapelle historique Ste-Anne; à Moncton le 17 octobre dans la salle Neil-Michaud du pavillon des Beaux-arts au campus de Moncton; et à St-Jean le 21 octobre dans la salle Hughes Hall, reconnue pour son acoustique parfaite. L’album sera parallèlement mis en marché par la maison de distribution Plages.

Notons que le premier album du Duo baroque La Tour, « Les caractères de la danse », vient d’être mis en nomination dans quatre catégories pour le prochain gala des prix de MusiqueNB qui aura lieu le 14 octobre à 20 heures au Crowne Plaza de Moncton, rue Main (les artistes auront à peine le temps de venir assister au gala après leur concert de Fredericton en après-midi).

Rappelons aussi que le Duo La Tour développe avec succès sa présence nationale et internationale. En effet, après avoir joué à Paris, Montréal, Hamilton, dans les Territoires du Nord-ouest, Rouyn-Noranda puis en Ohio aux États-Unis, ils sont attendus cet automne au Early Music Center de Toronto, aux Midtown Concerts de New-York et au printemps prochain pour une deuxième fois à Paris aux Concerts de l’église St-Merry, puis à Londres dans la série des concerts de St James’s Church de Picadilly.

Le nouveau projet du Duo La Tour pour 2013 est un concert et un album commémoratifs du 300e anniversaire de la fondation de Louisbourg (1713-2013), avec un programme extrêmement original et qui sera soigneusement choisi en rapport avec la vie et les réalités de Louisbourg à sa glorieuse époque. Un répertoire riche et abondant en référence à la vie de l’époque existe et mérite notre attention.

Parcs Canada et l’Association historique de Louisbourg ont déjà dit être intéressés à recevoir le duo en résidence pour aider à réaliser ce projet unique.

Renseignements :
Michel Cardin au 859-6015 / 875-3345
Tim Blackmore au 506-634-8442

Du 31 octobre au 2 novembre, la Direction générale de l’Éducation permanente de l’Université de Moncton sera l’hôte des journées d’étude de l’Association canadienne d’éducation des adultes des universités francophones (ACDEAULF), avec comme thème cette année « L’innovation pédagogique en enseignement aux adultes… et la réalité de demain ». Le colloque réunira des personnes professionnelles du domaine de l’éducation aux adultes au campus de Moncton.

Tenu pour la première fois dans la région atlantique, cet événement présentera de nombreux conférenciers de renom dont Harold Jarche, Bruno Poellhuber, Thierry Karsenti, Adel El Zaïm, Sylvie Blain, Sylvain Vézina, Vincent Tanguay et Christian Blanchette.

Les journées d’étude porteront un regard sur les recherches, les pratiques et les tendances en matière d’innovation pédagogique en enseignement aux adultes. Les thématiques touchées seront l’innovation pédagogique, la classe d’aujourd’hui et celle qui est à venir, l’international, le bilan et les perspectives.

Les personnes intéressées peuvent obtenir de plus amples renseignements à l’adresse www.acdeaulf.ca/colloques.php. Et vous pouvez vous inscrire jusqu’au dimanche 30 septembre.

L’Éducation permanente organise pour l’ensemble du réseau de l’Université de Moncton des cours, journées, ateliers, conférences et séminaires de formation continue et de perfectionnement professionnel à l’intention de la population étudiante à temps partiel.

Renseignements : Julie Albert, au 858-4122, www.umoncton.ca/edperm

Pour la troisième année consécutive, un étudiant de l’Université de Moncton, Jolain Goulette, a remporté le premier prix dans la catégorie percussion au Festival national de musique lors de la compétition qui s’est déroulée récemment à Fort McMurray, en Alberta.

Étudiant au baccalauréat en interprétation avec concentration percussions, l’étudiant de 22 ans a triomphé lors des concours régional et provincial pour être finalement sélectionné pour le Festival national de musique, organisé par la Fédération canadienne des festivals de musique, où il a remporté la compétition en devançant un collègue terre-neuvien dans la catégorie des percussions.

Son programme comprenait des pièces aux timbales, aux percussions multiples, au marimba et au vibraphone. Pour s’assurer du bon cheminement de ses étudiants, le professeur aux instruments de percussion au Département de musique de l’Université de Moncton, Michel Deschênes, s’occupe personnellement de faire un suivi rigoureux, en laissant toutefois beaucoup de liberté aux étudiants quant au choix de leur répertoire.

« Ce festival représente des années d’efforts, des centaines d’heures de pratique, quatre années de leçons privées et un choix méticuleux du répertoire. Il se veut un tremplin vers une carrière d’interprète professionnel et une reconnaissance d’un grand talent comme musicien, souligne le professeur Deschênes. Jolain est très sérieux dans son apprentissage et il continue une tradition qui contribue à l’évolution des percussions à l’Université de Moncton. »

Le succès que remportent les percussionnistes de l’Université de Moncton au Festival national de musique depuis les dernières années est en partie attribuable à la passion du professeur Deschênes à transmettre son amour pour les percussions. Ce festival est la seule reconnaissance que reçoivent les étudiants et étudiantes en musique classique au Canada.

Jolain Goulette succède donc à Joey Roy et à Patrick Gaudet, du Département de musique de l’Université de Moncton, qui ont eux aussi été gagnants lors des deux dernières éditions du festival.

Le gagnant de chacune des catégories du festival remporte une distinction nationale et un prix en argent de 1 500 $.

Après un été bien rempli, la troupe de théâtre communautaire Les femmes de cœur montera sur les planches de la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois, le jeudi 13 septembre à 20 heures pour y présenter la pièce « Bonne fête Mme Yvonne ».

Il y a quelques semaines, les membres de la troupe ont rencontré le 10 000e spectateur. « C’est absolument extraordinaire, mentionne Yolande Poirier, coauteure de la pièce et comédienne incarnant le rôle principal. Lorsque nous avons créé le personnage de Mme Yvonne, nous n’aurions jamais pu imaginer qu’elle aurait autant de succès. »

Rire pour une bonne cause
Partout où elle va, Mme Yvonne fait un tabac. Mais ce que les gens ne savent peut-être pas, c’est que la troupe a non seulement réussi à faire rire bien des spectateurs, mais a également contribué à l’épanouissement de la communauté. Jusqu’à présent, plus de 75 000 $ ont été versés à divers organismes et ça continue.

Pour la présentation du 13 septembre, la troupe s’est associée à la fondation les Ailes du papillon qui soutient l’Unité de soins néonatals intensifs de l’Hôpital de Moncton ainsi que l’Arbre de l’espoir.

Les billets
Le public peut se procurer des billets auprès du Service des loisirs socioculturels du campus de Moncton, au 506-858-4554, ou encore au Centre des arts et de la culture de Dieppe, chez Frank’s Music, au Monument Lefebvre et au théâtre l’Escaouette.

« Bonne fête Mme Yvonne »
Voilà que Mme Yvonne à 85 ans. Il faut fêter cela. Sa fille Jojo surtout veut souligner l'événement. Elle a donc la brillante idée de sortir sa mère du foyer par un beau dimanche après-midi puis lui organise une petite fête. Elle invite donc ses tantes Rosalice, Clarinda et Jeanita à prendre part à la fête. On devine bien qu'elles auront bien des choses à se raconter et bien des souvenirs de jeunesse à se remémorer.

La fondation Ailes du papillon
La fondation Ailes du papillon est un organisme sans but lucratif qu’Isabelle Bujold a créé en mémoire de son fils, Justin Raymond Boudreau, qui est décédé à la naissance, mais également en l'honneur de mon père, André Bujold (cofondateur des Ailes du papillon), qui a livré une brave lutte contre le cancer jusqu'au 29 février dernier, jour où il a décidé d'entreprendre son dernier voyage.

La mission des Ailes du papillon est simple : aider, donner espoir, faire briller la vie. De manière plus concrète, l’organisme amasse des fonds qui sont versés à la campagne de l'Arbre de l'espoir (Fondation de l'hôpital Dr-Georges-L.-Dumont) et à l'Unité de soins néonatals intensifs de l'Hôpital de Moncton (Fondation des amis de l'Hôpital de Moncton). En versant ces fonds à ces deux organismes, des personnes atteintes de cancer ainsi que de petits bébés gravement malades obtiendront les meilleurs soins possibles.

« La mission des Ailes du papillon ne s'arrête cependant pas là, explique la fondatrice, Isabelle Bujold. On cherche également à offrir de l'aide à des parents qui ont perdu un enfant in vitro, à la naissance ou peu après. Par l’entremise de notre site Web, du forum de discussion et des témoignages, on veut permettre à des parents de se rencontrer. On offre le même type de soutien à des parents dont un enfant nécessite des soins néonataux ainsi que pour des survivants du cancer ou encore des personnes luttant contre cette terrible maladie. Une mission immense qui se résume à une chose : faire du bien! »

Renseignements : Isabelle Bujold, au 855-8557 ou Yolande Poirier, au 576-6732

Un article d’Annette Boudreau, professeure au Département d’études françaises, et de Lise Dubois, vice-rectrice adjointe à la recherche et doyenne de la Faculté des études supérieures et de la recherche, a été sélectionné pour constituer un chapitre dans un important recueil de lectures qui servira dans plusieurs universités américaines dans les cours portant sur la langue, la culture et l’anthropologie linguistique.

Le volume, qui en est à sa deuxième édition (2013), est intitulé « Making Sense of Language, Readings in Culture and Communication ». Il est édité par Susan D. Blum, professeure à l’University of Notre Dame et est publié aux éditions Oxford University Press.

Le chapitre a pour titre « Acadjonne : Competing Discourses on Language Preservation on the Shores of the Baie Sainte-Marie » et est accompagné de pistes de lectures et de réflexions, d’un relevé des principaux concepts utilisés par les auteures et d’une liste de lectures complémentaires.

Ce texte a d’abord été publié en 2007 par Mmes Boudreau et Dubois dans le volume « Discourses of Endangerment, Ideology and Interest in the Defence of Languages », édité par Alexandre Duchêne et Monica Heller et publié aux éditions Continuum (Angleterre).

Après deux ans d’un travail intense dans les archives des Religieuses hospitalières de Saint-Joseph, Florence Ott et Nicolas Landry, tous deux professeurs au campus de Shippagan, ont présenté leur livre portant sur l’œuvre éducative des religieuses lors des fêtes du 100e anniversaire de l’Académie Sainte-Famille de Tracadie-Sheila.

Ce livre de 506 pages a été écrit à la demande de l’Association des anciens et amis de l’Académie Sainte-Famille pour conserver une trace écrite d’une œuvre qui a marqué la région et contribué au développement de l’éducation en français. Plus de 300 personnes ont participé au lancement en l’église de Tracadie-Sheila montrant ainsi leur l’intérêt pour l’histoire qui s’est déroulée entre les murs de cet édifice centenaire et qui reste un important témoin de l’œuvre immense des religieuses hospitalières au Nouveau-Brunswick.

Les auteurs ont pu évoquer la belle complicité qu’ils ont partagée pour l’écriture de ce livre qu’ils considèrent comme un ouvrage collectif ayant permis de belles rencontres, car ils ont grandement bénéficié des témoignages des religieuses et des anciennes pensionnaires encore vivantes. Ainsi, un vibrant hommage a été rendu à Sr Corinne LaPlante, archiviste et historienne de la communauté qui, pour des raisons de santé, n’a malheureusement pu se rendre à Tracadie-Sheila mais qui a été d’un précieux secours pour l’accès aux archives et surtout pour cibler les grandes religieuses hospitalières qui ont contribué à l’édification et au développement de l’Académie.

Avec son aide, plus d’une cinquantaine de biographies ont été réalisées, tirant ainsi de l’oubli des enseignantes qui se sont dévouées pour la jeunesse acadienne. Sr Yvonne Thibodeau a pour sa part offert ses talents de généalogiste afin de vérifier dans les registres d’entrée et les dossiers individuels les parcours des religieuses dont certaines portent le même nom. On a ainsi recensé plus de six fois le nom Robichaud. L’élaboration de nombreux tableaux sera utile aux amateurs de généalogie. Les sœurs de Montréal et leur archiviste, Sr Nicole Bussières, ont été mises à contribution afin de compléter les recherches.

La richesse des sources et l’apport de témoins encore vivants ont permis de raconter des anecdotes. De plus, les témoignages d’anciennes élèves laissent imaginer l’activité studieuse, très réglementée et minutée des pensionnaires dont certaines sont heureuses d’avoir étudié à l’Académie même si la discipline et le silence, ainsi que l’éloignement de leur famille ont pesé sur leurs années d’études. Mais la plupart continuent de montrer de l’attachement envers les religieuses et de leur vouer un profond respect.

Les auteurs n’oublieront pas non plus l’accueil chaleureux des religieuses hospitalières, les repas pris en commun auprès des religieuses soucieuses de veiller au bien-être de leurs chercheurs et toute cette gentillesse qui fait comprendre pourquoi les habitants de Tracadie-Sheila aiment tant leurs « bonnes sœurs ».

Enfin, les auteurs espèrent que le livre permettra de mieux faire découvrir ce pan d’histoire très riche, l’arrivée des religieuses, la première école, l’orphelinat, la fondation de l’Académie et sa survie. Les religieuses nous laissent un bel héritage et il nous appartient maintenant de le préserver en faisant de l’Académie un monument toujours vivant.

Le Service de mobilité internationale de l’Université de Moncton a laissé savoir que la Journée de la mobilité internationale aura lieu le mercredi 19 septembre de 10 heures à 15 heures à la salle 149B du Centre étudiant au campus de Moncton.

Le Service de mobilité internationale est un centre de ressources pour les étudiants et étudiantes et la communauté universitaire. On y trouve les renseignements et les outils pour satisfaire aux intérêts et aux besoins des étudiants et étudiantes et du corps professoral qui désirent séjourner à l’international dans le cadre de leurs activités académiques.

Lors de cette journée, les étudiants et étudiantes pourront voir ce que les institutions partenaires ont à offrir, un vaste choix de possibilités à l’international : programmes d’immersion, semestres d’études ou encore des stages.

Plusieurs stands d’information portant sur les universités partenaires et sur les différents services vous seront proposés, en plus de la présentation de témoignages d’étudiants et étudiantes qui sont de retour à la suite d’études, d’immersion ou de stages à l’international.

Pour de plus amples renseignements, il faut communiquer avec Camille Bourque, au 858-4409, camille.bourque@umoncton.ca.

Renseignements : 863-2052 / smi@umoncton.ca

Le mathématicien Donald Violette, professeur au Département de mathématiques et de statistique, a été invité à prononcer une conférence lors du congrès provincial de l’Association des enseignants et enseignantes francophones du Nouveau-Brunswick (AEEFNB), qui a eu lieu à Campbellton.

Sa conférence d’une durée de trois heures portait sur la passion, la beauté et la magie des mathématiques. Une trentaine d’enseignants ont assisté à sa présentation.

Cette conférence donnait le ton à une nouvelle année scolaire pour les enseignants et enseignantes francophones de la province. Plusieurs participants et participantes se sont prêtés au jeu de la « mathémagie » et tous en ont retiré beaucoup de plaisir. Le professeur Violette mentionne que ça été un grand honneur pour lui d’être invité à ce congrès provincial.

Quarante-six étudiants et étudiantes de l’Université de Moncton ont fait le choix de vivre une expérience à l’international en faisant des études ou un stage soit en Allemagne, en Belgique, au Burkina Faso, en Chine, aux États-Unis, en France, au Mexique, en République dominicaine et en Suisse entre mai 2011 et avril 2012.

Voici la liste de ces étudiants et étudiantes ayant fait un stage, de l’immersion ou des études à l’international pendant cette période :

Allemagne (stage coop à Wetzlar)
Alexandre Cormier, en génie mécanique (hiver 2012).

Belgique (Université catholique de Louvain)
Alain Gautreau, en histoire (hiver 2012).

Belgique (stage pratique à Namur)
Céline Rousselle, en travail social (automne 2011); Jessika Hébert, en travail social (automne 2011); et Josée Guitard, en travail social (automne 2011).

Burkina Faso(stage pratique à Ouagadougou)
Mohammed Dicko, au M.B.A. (printemps-été 2011).

Burkina Faso (stage coop à Ouagadougou)
Samuella Bonou, en biochimie (printemps-été 2011).

Chine(stage coop à Beijing)
Marie-France Paré, en traduction (automne 2011).

États-Unis (California State University, East Bay)
Dominique Corbin, en kinésiologie (hiver 2012); et Julie-Anne O’Neil, en information-communication (hiver 2012).

États-Unis(stage coop à San Francisco)
Marie-Soleil Blais, en administration (été 2011).

États-Unis(stage coop en Louisiane)
Jérémie Léger, en génie mécanique (hiver 2012).

États-Unis(stage coop en Arkansas)
Jonathan Robichaud, en génie mécanique (printemps-été 2011).

France (Université de Poitiers)
Alexandre Doucet, en administration, M.B.A. (automne 2011); Alexandre Dumas, en kinésiologie (hiver 2012); Gavin Leitch, en droit (hiver 2012); Joëlle-Andrée Duguay, en récréologie (automne 2011); Marie-Pier Savoie, en psychologie (automne 2011); Pascale D’Astous, en psychologie (hiver 2012); et Patrick-Olivier Duguay, en histoire (automne 2011- hiver 2012).

France(stage coop à l’Université de Poitiers)
Guillaume Chiasson, au M.B.A. (hiver 2012).

France(stage pratique à Poitiers)
Hélène Manuel, en éducation (printemps 2011); Jessica Branch, en éducation (printemps 2011); Renelle Levesque, en éducation (printemps 2011); et Jolène Léger, en éducation (printemps 2011).

France (École supérieure de commerce d’Amiens)
Gabriel Sonier, en administration (hiver 2012); et Pascal Robichaud, en administration (hiver 2012).

France(stage coop à l’École supérieure de commerce d’Amiens)
Alexandre Doucet, au M.B.A. (hiver 2012).

France (Université de Caen)
Aurélie Édith Pannier, en administration (hiver 2012).

France (Institut d’études politiques de Lille)
Madeleine Arseneau, en science politique (automne 2011- hiver 2012); et Mickaël Arseneau, en science politique (automne 2011- hiver 2012).

France (Université de Nantes)
Myriem Sahouli, au programme multidisciplinaire (hiver 2012).

France (Université de Lyon)
Mathieu Arseneau, en administration (hiver 2012).

France (Université Aix Marseille III)
Emanuel Robichaud, en administration (automne 2011- hiver 2012).

France-(stage de recherche à l’Université d’Avignon)
Jérémie Doiron, en biochimie (automne 2011)

Mexique (Universidad Panamericana, Guadalajara)
Alexandre Normandeau, en administration (été 2011); et Mathieu Arseneau, en administration (été 2011).

Mexique(stage coop à l’Universidad Autonoma de San Luis Potosi)
Joël Vallée, en génie civil (été 2011).

Mexique (Universidad Autonoma de Queretaro)
Philippe Sivret, au M.B.A. trilatéral (printemps-été 2011).

Mexique (Universidad de Colima, Manzanillo)
Pascale Savoie-Brideau, en études littéraires (été 2011).

République dominicaine (stage pratique à Ocoa)
Chad Doucet, en science infirmière (printemps 2011).

Suisse (Haute école spécialisée de la Suisse Occidentale)
Luc-André Larocque, en administration (automne 2011).

Suisse (Université de Fribourg)
Marie LeBlanc, en études françaises (automne 2011- hiver 2012); Maxime Olivier Duguay, en kinésiologie (automne 2011); et Roxanne Pelletier, en chimie (hiver 2012).

Suisse (stage de recherche à l’Université de Fribourg)
Jonathan Landry, maîtrise en sciences du langage (hiver 2012).

Pour de plus amples renseignements ou si vous manifestez de l’intérêt pour des études, de l’immersion ou un stage à l’international, veuillez communiquer avec le Service de mobilité internationale, local 223 du Centre Étudiant, au 863-2052 / smi@umoncton.ca / www.facebook.com/smiumoncton

Pour souligner son 40e anniversaire, la garderie Centre de jour l’Éveil inc. du campus de Moncton vous invite à assister à une soirée portes ouvertes, qui aura lieu le vendredi 14 septembre de 18 heures à 20 heures.

Le Centre de Jour l’Éveil inc., situé au pavillon Pierre-Amand-Landry, est l’une des plus anciennes garderies de la région. Plusieurs anciens et anciennes qui l’ont fréquenté seront présents à cette soirée afin de se remémorer les bons moments passés à la garderie.

Renseignements : Janice Gauvin-Leger, au 858-4270 / eveil@umoncton.ca

Cette année, l'Association des anciens, anciennes et amis du campus de Moncton (AAAUM) a augmenté le montant de sa bourse para-académique qui passe de 1 000 $ à 2 500 $. Cette initiative a été prise dans le but de valoriser l'implication d'une étudiante ou d'un étudiant qui s'est distingué grâce à ses activités para-académiques pendant l'année universitaire.

Cette bourse est octroyé à l'étudiante ou à l'étudiant qui reçoit le titre de l'impliqué de l'année lors du Gala para-académique de la Fédération étudiante du campus de Moncton.

Brunia Doiron, de Berry Mills, étudiante de 3e année en récréologie, est la bénéficiaire de cette bourse pour 2012. Son parcours est remarquable puisqu'elle a exercé, au cours de la dernière année universitaire, de nombreuses fonctions autant diversifiées que gratifiantes : vice-présidente externe du Conseil étudiant de kinésiologie et récréologie, membre du comité exécutif de Right To Play, du comité externe du conseil d’administration de la Féécum et du comité du 40e anniversaire de CKUM, participante aux Jeux de la communication alors que son équipe a remporté le coup de cœur du jury en communication événementielle, et bénévole émérite, autant au campus avec la rentrée universitaire, les portes ouvertes et la dégustation de bière de la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires, qu’à l’extérieur avec le Festival Frye, le FICFA et communautés, et Loisirs Nouveau-Brunswick.

La présidente, Marie-France Doucet, rappelle que l'AAAUM est heureuse de participer à l’épanouissement des étudiantes et étudiants avec l’attribution de cette bourse annuelle qui récompense leur implication parmi leurs pairs.

La Direction générale de l’Éducation permanente de l’Université de Moncton annonce la tenue de la deuxième édition du programme de formation « Le fonctionnaire provincial et territorial sur la scène internationale », du 30 octobre au 1er novembre à Moncton. Conçue d’abord pour les fonctionnaires des gouvernements provinciaux et territoriaux du Canada, cette formation est également ouverte aux fonctionnaires fédéraux et aux gens d’autres institutions qui oeuvrent sur la scène internationale.

Ce programme de perfectionnement professionnel a pour objectif d’augmenter la capacité des personnes participantes à oeuvrer plus efficacement sur la scène internationale, et de favoriser la coopération entre les diverses institutions gouvernementales à l’échelle du pays. Il leur permettra d’acquérir les connaissances et les compétences facilitant l’atteinte de leurs objectifs sur la scène internationale grâce à une plus grande connaissance de la gouvernance internationale, de la politique étrangère canadienne et de la pratique de la diplomatie.

Dans le cadre de cette activité de trois jours présentée sous forme de séminaires, la Direction générale de l’Éducation permanente et ses partenaires feront appel à des experts de renom du domaine des relations internationales en provenance du secteur gouvernemental et universitaire. Cette formation, une première du genre à l’échelle nationale, a connu un immense succès l’an dernier avec plus d’une cinquantaine de participantes et de participants.

La Direction générale de l’Éducation permanente de l’Université de Moncton offre ce programme de formation en partenariat avec le ministère des Affaires intergouvernementales du Nouveau-Brunswick et le ministère des Affaires étrangères et Commerce international Canada.

Renseignements : Julie Albert, au 506-858-4122

Le décompte est commencé pour les célébrations de la Fête de la culture au Nouveau-Brunswick. Déjà 90 activités culturelles présentées à titre gracieux sont prévues pour les 28, 29 et 30 septembre. Les célébrations ont été lancées à Fredericton en présence de Graydon Nicholas, lieutenant-gouverneur du Nouveau-Brunswick.

Du nord au sud et de l’est à l’ouest
Le public est invité à découvrir la culture sous toutes ses couleurs aux quatre coins de la province. « Nous avons une grande diversité culturelle dans notre province et la Fête de la culture est un excellent véhicule pour permettre à toute cette créativité de briller au grand jour, souligne Marie-Thérèse Landry, coprésidente de la Fête e la culture au Nouveau-Brunswick et directrice générale du Conseil provincial des sociétés culturelles. Ce mouvement qui part des communautés et des individus rassemble amoureux de la culture un peu partout - artistes, musées, étudiants, galeries d’art, centres communautaires - et démontre à quel point la culture est d’une grande importance au Nouveau-Brunswick à la fois dans les communautés rurales que dans les centres urbains. »

Le ministre de la Culture, du Tourisme et de la Vie saine, Trevor Holder, encourage les citoyens à prendre part aux célébrations. « La forte identité culturelle du Nouveau-Brunswick contribue grandement à notre qualité de vie, affirme-t-il. La Fête de la culture est l’occasion pour les Néo-Brunswickois de prendre part à une myriade d’activités culturelles sans frais dans leur communauté dans le cadre de cette célébration nationale. J’encourage tout le monde à participer à cette Fête et ainsi célébrer la nature unique et diversifiée de la culture dans notre province. »

Pour une deuxième année, la ville de Moncton propose sa tournée des galeries d’art.. Ce sera l’occasion pour le public de découvrir des recoins aux multiples trésors dans leur communauté; 15 lieux d’expositions sont inscrits et proposent d’accueillir le public de midi à 17 heures le samedi 29 septembre.

Le Musée acadien de l’Université de Moncton propose un atelier portant sur le tricot, l’École des arts de la scène du Théâtre Capitol invite le public, jeunes et moins jeunes, à des classes ouvertes, et l’Alliance française organise une soirée Catch d’impro, le 28 septembre.

À propos de la Fête de la culture
Cette fête pancanadienne est la plus vaste campagne de participation populaire jamais entreprise par la communauté des arts et de la culture au Canada. La première édition a eu lieu en septembre 2010 d’un océan à l’autre.

La Fête de la culture est un mouvement bénévole pancanadien axé sur la collaboration dont le but est de favoriser la sensibilisation, l’accessibilité, la participation et l’engagement de tous les Canadiens et Canadiennes à la vie artistique et culturelle de leurs communautés. Avec le soutien du comité directeur national et des groupes de travail provinciaux et territoriaux formés de bénévoles, des milliers d'organisateurs d'activités se mobilisent à l'échelle locale afin de présenter et de coordonner des activités sans frais qui encouragent chaque année la participation du public pendant la dernière fin de semaine de septembre partout au pays.

Renseignements : 506-384-6897

Cet été, le Registrariat du campus de Moncton a préparé une nouvelle trousse d’inscription en prévision de la rentrée universitaire (http://www.umoncton.ca/umcm-registrariat/ ).

Pour encourager les étudiants et étudiantes à consulter cette trousse, un concours a été proposé en donnant la chance aux personnes participantes de gagner un iPad 2.

La gagnante est Michelle Arseneault, de Moncton, étudiante de 2e année en spécialisation biochimie à la Faculté des sciences.

Le mardi 18 septembre, l’Association des étudiants et étudiantes de la Faculté d'ingénierie organise un pont payant aux trois entrées du campus de Moncton afin d’amasser des fonds qui serviront à financer certaines activités dont des congrès en ingénierie, des activités sociales et diverses compétitions d’ingénierie où les étudiants et étudiantes représenteront l’Université de Moncton.

Merci pour votre générosité.

Renseignements : Pierre Gautreau, vice-président externe de l’AEEGUM
epg2354@umoncton.ca

Une conférence, ayant pour thème « L’énergie éolienne : enjeux pour un développement local », aura lieu les 19 et 20 septembre au campus de Shippagan.

Organisée par l’équipe du baccalauréat en gestion des zones côtières, la conférence veut permettre au public de découvrir divers enjeux du développement de l’énergie éolienne, notamment les aspects socioéconomiques, financiers et environnementaux. Elle veut aussi renseigner les développeurs potentiels et les communautés sur les défis qui sont liés à la mise en oeuvre des projets de développement de l’énergie éolienne.

Une réception-cocktail de bienvenue est prévue pour le mercredi soir 19 septembre. Le professeur Yves Gagnon, titulaire de la Chaire d’études K.C. Irving en développement durable, présentera l'état actuel de l'énergie éolienne et les perspectives d'avenir.

Lors de la journée du jeudi 20 septembre, plusieurs conférenciers aborderont les thématiques suivantes : perspectives de développement économique et local; enjeux sociaux et environnementaux; et approche communautaire: le cas du parc éolien de Lamèque.

Le film « Lamèque en mouvement », produit par Bosco Médias (Patrick Gauvin), sera projeté à l’heure du dîner.

Cette conférence s’adresse au grand public et elle est sans frais. Vous pouvez vous renseigner et vous inscrire en ligne à l’adresse http://eolien.umcs.ca. Il sera possible également de s’inscrire à l’entrée lors de la conférence.

Renseignements : Julie Guillemot, au 506-336-3400, # 3650.

Le choeur de clarinettes de l’Université de Moncton reprend ses activités pour l’année 2012-2013. Ce choeur est un ensemble formé uniquement de clarinettes, de la petite clarinette à la clarinette contrebasse.

Si vous aimez jouer de la clarinette et que vous êtes libre le mardi de 18 heures à 20 heures, vous pouvez vous joindre au groupe dans la salle Niel-Michaud au pavillon des Beaux-arts.

Étudiants et étudiantes, membres du corps professoral ou simplement amateurs de musique et de clarinette, on vous souhaite la bienvenue.

Si vous êtes étudiant ou étudiante à l’Université de Moncton et à la suite d’une courte audition, vous pourrez, si vous le désirez, vous inscrire au cours de musique de chambre MUSI-1813 et obtenir deux crédits pour votre participation à cet ensemble.

Tout comme pour les lecteurs de Tintin, il n’y a pas d’âge pour aimer la clarinette et vous pouvez joindre le groupe à partir de 10 ans et jusqu’à 90 ans et plus...

Pour plus de renseignements, vous pouvez assister à une répétition ou communiquer avec Jean-Guy Boisvert par courriel à jean-guy.boisvert@umoncton.ca.

Ça vous ennuie d’avoir à rédiger des bibliographies pour vos projets de recherche?

RefWorks peut faire le travail pour vous en quelques secondes, selon le style bibliographique de votre choix. De plus, le plugiciel Write-n-Cite vous permettra de gérer les citations dans le texte et les notes de bas de page.

Venez apprendre à utiliser RefWorks efficacement à la Bibliothèque Champlain. La prochaine formation sera offerte le mardi 18 septembre de 15 heures à 16 h 15.

Pour plus de renseignements et pour vous inscrire : http://tinyurl.com/chyhgbf.

Claire Ifrane professeure au Département d’art dramatique à compter de 1969 et pendant plusieurs années, faisant partie également des bâtisseurs du programme, est décédée en France le 4 septembre dernier.

Au nom de la communauté universitaire, le directeur du Département d’art dramatique, Andréi Zaharia, offre ses sincères condoléances à la famille et aux amis.

Le Réseau canadien des centres de données de recherche tiendra sa conférence annuelle, les 23 et 24 octobre au Wu Conference Centre situé au campus de l'University of New Brunswick à Fredericton.

Cette conférence vise à mieux comprendre comment la recherche permet d’influencer et d’évaluer les politiques publiques notamment, mais non exclusivement, dans le domaine de l’immigration, du marché du travail, du développement des enfants, de l’éducation, des pensions, de la santé et du soutien du revenu.

L’adoption de politiques publiques qui s’appuient sur les connaissances probantes les plus récentes est l’une des principales composantes d’un processus législatif efficace. Toutefois, des années d’austérité fiscale et de crises budgétaires dans de nombreuses juridictions ont limité la capacité des autorités gouvernementales de formuler et d’adopter de telles politiques; elles ont non seulement réduit la capacité des fonctionnaires d’évaluer les politiques, mais aussi leurs capacités d’interpréter les connaissances disponibles d’une manière adéquate.

Dans ce contexte, les chercheurs et chercheuses universitaires ont un rôle de plus en plus important à jouer. Ils peuvent mener des recherches qui sont pertinentes du point de vue des gouvernements et travailler de concert avec les fonctionnaires pour mieux faire comprendre les implications de ces recherches. Ils peuvent ainsi influencer de manière significative les décideurs et contribuer à définir les priorités d’une façon qui soit bénéfique à tous les Canadiens et les Canadiennes.

Pour en savoir davantage sur la conférence et vous inscrire, visitez
le site http://www.rdc-cdr.ca/crdcn-2012-national-conference.

Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec Ted McDonald, directeur académique au Centre de données de recherche du Nouveau-Brunswick, à tedmcdon@unb.ca.

Le Club de marche et de course au Stade Moncton 2010 Stadium est une activité populaire qui se poursuivra jusqu'à la fermeture du stade pour l'hiver en octobre.

Le grand public a accès à la piste pour la marche ou la course de 11 h 30 à 13 heures du lundi au vendredi, sauf les jours où il y a des compétitions. C’est une activité sans frais mais il faut néanmoins s’inscrire lorsque vous arrivez au stade.

Les gens qui utilisent leur voiture peuvent se garer sans frais pour deux heures dans le parc de stationnement situé entre le stade et le pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.

En fonction depuis la mi-juillet, Angelo Jean-Baptiste dirige les destinées des équipes féminine et masculine de soccer de l’Université de Moncton évoluant au sein de Sport universitaire de l’Atlantique (SUA).

« Je suis heureux d'avoir brisé la glace et dirigé mes premiers matchs des Aigles Bleues et des Aigles Bleus en fin de semaine, mentionne M. Jean-Baptiste. Avec ces rencontres préparatoires, j'ai eu la chance de mieux connaître mes joueuses et mes joueurs dans le contexte d'une partie. J'ai hâte au début de la saison ordinaire en fin de semaine prochaine. »

Possédant le baccalauréat ès arts de l’Université du Québec à Montréal, M. Jean-Baptiste possède 14 ans d’expérience comme entraîneur et joueur de haut niveau au soccer. Il possède également la licence provinciale B et la licence internationale FA.

Ancien joueur professionnel, il a été entraîneur de diverses équipes de soccer de développement AAA dans la région de Montréal, en plus de guider des équipes collégiales. Il a également évolué avec l’Olympique de Montréal de 2002 à 2005 et avec l’Édo-Maracana pour quatre saisons. Il a joué au Venezuela, en République dominicaine et aux États-Unis.

Le Centre d’aide en français (CAF) vise à offrir de l’aide aux étudiantes et étudiants désireux d'enrichir leurs connaissances et leur habileté en français écrit et d'améliorer leur rendement universitaire en cette matière. Ce service est conçu comme un complément aux cours de langue.

Date d’inscription : On est présentement en période d’inscription pour le service de monitorat. Il faut faire vite car les places sont limitées.

Coût d’inscription : 5 $ par semestre (ces frais doivent être payés lors de l’inscription).

Durée des rencontres : Les étudiantes et étudiants inscrits au CAF bénéficieront d’une aide individuelle hebdomadaire pendant huit ou neuf semaines en raison d’environ 45 minutes par rencontre.

Renseignements : Cynthia Létourneau, Bibliothèque Champlain, local 182, au 858-4319

Plus d’une centaine de personnes ont pris part au vin et fromage de l’Association des anciens et amis de Saint-Louis-Maillet (AAASLM), qui a eu lieu au campus d’Edmundston.

Ce succès de foule a été particulièrement apprécié par l’Association qui compte sur le soutien des anciens, anciennes et amis pour organiser d’autres activités qui perpétueront la mémoire et célébreront les succès de l’établissement universitaire qui a vu le jour en 1946.

Les personnes qui ont répondu à l’appel de leur alma mater ont pu socialiser et visionner les mosaïques numérisées des cohortes des années passées.

De plus, des dons totalisant 3 600 $ ont été amassés à la suite de l’encan silencieux regroupant une vingtaine d’articles fort prisés. Les organisateurs tiennent d’ailleurs à remercier les commerces du Nord-Ouest pour leur généreuse contribution.

En partenariat avec la Fondation Saint-Louis-Maillet, l’AAASLM a procédé au tirage de neuf bourses d’études des commanditaires du tournoi-bénéfice de golf qui a eu lieu le lendemain.

Le Service de l’activité physique et sportive a choisi les joueurs de soccer Donya Salomon-Ali, de Lasalle au Québec, et Florian Ntima-Nsiemi, de Verneuil-en-Halatte en France, comme athlètes de la semaine à l’Université de Moncton pour la période du 3 au 9 septembre.

Donya Salomon-Ali a joué avec détermination lors des deux parties des Aigles Bleues contre les Axewomen et les Panthers. Les Aigles Bleues ont perdu 2 à 1 vendredi et ont fait match nul 0 à 0 dimanche. L’athlète recrue a démontré ses capacités à l’attaque en marquant le premier but de l’année de son équipe vendredi soir.

Florian Ntima-Nsiemi a été performant comme joueur de défense lors des deux parties des Aigles Bleus qui ont perdu 2 à 1 vendredi et fait match nul 0 à 0 dimanche. Ntima-Nsiemi a fait preuve de leadership sur le terrain lors des deux parties.

La 30e Classique de cross-country de l'Université de Moncton aura lieu le samedi 15 septembre à compter de 9 h 30.

Il y aura des courses pour les gens de tous âges qui prendront fin avec l'épreuve universitaire et libre à midi pour les femmes (5 000 m) et à 12 h 45 pour les hommes (8 000 m).

Les jeunes de moins de cinq ans pourront participer à une course de 450 m tout comme ceux de 6 et 7 ans. Les jeunes de 8 à 11 ans pourront parcourir 1 450 m alors que ceux de 12 et 13 ans auront une distance de 2 000 m à faire.

Une course de 3 000 m pour les élèves des écoles secondaires aura lieu en fin de matinée.

Les personnes intéressées à s'inscrire ou qui veulent obtenir de plus amples renseignements peuvent communiquer avec Gabriel LeBlanc à anb@anb.ca. Il sera possible de s'inscrire le jour même au site de la compétition.

Le Dr Richard Dumais, anesthésiste et directeur de la clinique de douleur au Centre hospitalier universitaire Dr-Georges-L.-Dumont et professeur au Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick, participera à un séminaire de recherche où il présentera les méthodologies et les résultats de ses principaux projets de recherche portant sur la prolothérapie, le vendredi 14 septembre de 12 h 30 à 13 h 30 dans l’amphithéâtre de l’Auberge Mgr-Henri-Cormier à Moncton. Sa présentation portera sur les effets de la prolothérapie dans la gestion de l’ostéoarthrite du genou et du fascia plantaire.

Les résultats de Dr Dumais suggèrent que cette approche thérapeutique est prometteuse. Ses études démontrent notamment une association importante entre l’utilisation de la prolothérapie et l’amélioration considérable de la fonction et de la douleur liée à l’ostéoarthrite du genou chez les patients pour qui les thérapies de première ligne n’ont pas été efficaces.

Renseignements : 506-862-3762 / tanya.doucet@vitalitenb.ca

Le Groupe de réflexion pour l’éducation au Nouveau-Brunswick organise un Forum citoyen pour l’éducation au Nouveau-Brunswick, le mercredi 19 septembre de 13 heures à 15 heures dans l’amphithéâtre A-119 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

Ce forum vise à jeter les bases d’un débat provincial portant sur l’éducation. Des représentants québécois de la Coalition large pour une solidarité syndicale étudiante (CLASSE) y participeront.

Selon Kevin Arseneau, porte-parole du Groupe de réflexion pour l’éducation au Nouveau-Brunswick, ce forum sera un moyen de stimuler une véritable réflexion et une discussion quant à l’état actuel de l’éducation au Nouveau-Brunswick. « Plusieurs étudiants et étudiantes ont été inspirés ou encore choqués par le mouvement au Québec, dit-il. On veut profiter de l’expérience des conférenciers pour alimenter notre réflexion et faire évoluer l’enjeu. Cet événement se veut aussi un tremplin vers une discussion plus large auprès des citoyens, des étudiants, des médias et des politiciens. Les conférenciers inviteront la foule à réfléchir en fonction du contexte néo-brunswickois mais aussi du contexte à l'extérieur du Nouveau-Brunswick, notamment de la situation au Québec. »

Les conférenciers seront Mathieu Lang, professeur à la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Moncton; Louise Imbeault, ancienne directrice de Radio-Canada Acadie; et Chloé et Alexandra Zawadzki-Turcotte, coporte-parole de la CLASSE.

Après la présentation des conférenciers, le forum sera suivi d’une période de questions et d’échanges animé par Marco Morency, militant lui aussi pour une plus grande accessibilité aux études postsecondaires.

Le Groupe de réflexion pour l’éducation au Nouveau-Brunswick souhaite également inviter la population à assister à une soirée d’art engagé, le mercredi 19 septembre dès 21 heures à la salle Empress du Théâtre Capitol de Moncton. Les prestations comprennent le groupe de musique Les Hôtesses d’Hilaire ainsi que le porte-parole de l’événement et conteur, Kevin Arseneau.

Renseignements :
Sylvain Bérubé, au 613-612-5871
Rémi Frenette, au 506-380-8865