Marc Surette, professeur titulaire au Département de chimie et biochimie de l’Université de Moncton et titulaire de la Chaire de recherche en innovation du Nouveau-Brunswick en biosciences, a été nommé président du comité d’évaluation dans le cadre du Programme de bourses d’études supérieures du Canada Vanier.

Administrées par les trois organismes subventionnaires de la recherche du Canada, soit le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH), le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie (CRSNG) ainsi que les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), les prestigieuses bourses Vanier sont d’une valeur de 50 000 $ par année et sont d’une durée de trois ans.

Les membres du comité qui aura la responsabilité de sélectionner les récipiendaires ont tous été sélectionnés en raison de leur notoriété en recherche et enseignement. À la présidence du comité d’évaluation, le professeur Surette contribuera à mettre de l’avant les meilleures candidates et meilleurs candidats à faire preuve d’excellence en recherche.

Le Programme de bourses d'études supérieures du Canada Vanier a été mis sur pied pour recruter et garder au pays les meilleures étudiantes et les meilleurs étudiants de doctorat du monde en leur offrant des bourses d'études d'une valeur financière considérable. Les candidates et candidats doivent faire preuve de leadership et avoir obtenu d'excellents résultats dans leurs études supérieures en sciences humaines, en sciences naturelles, en génie ou en sciences de la santé. Les étudiantes et étudiants canadiens et étrangers y sont admissibles.

Rappelons que M. Surette est professeur à l’Université de Moncton depuis 2004. Ses travaux de recherche portent sur l’étude des lipides, incluant les acides gras oméga-3 à base de plantes pour le développement de produits comestibles et pharmaceutiques. Il est reconnu comme un leader en recherche dans la province et à l’échelle du pays. La Fondation de la recherche en santé du Nouveau-Brunswick l’a d’ailleurs nommé chercheur senior en santé de l’année 2014.

Monsieur Surette possède le baccalauréat ès sciences et la maitrise de l’Université Dalhousie et de l’Université technique de la Nouvelle-Écosse respectivement. Il a obtenu le doctorat de l’Université Cornell avec une majeure en chimie alimentaire et une mineure en biochimie nutritionnelle et immunologie. Il a ensuite poursuivi sa formation comme stagiaire postdoctoral au Centre de recherche en rhumatologie et immunologie du Centre hospitalier de l'Université Laval, et comme Fellow à la Division de pneumologie et soins intensifs de médecine au Département de médecine de la Bowman Gray School of Medicine de l’Université Wake Forest.

Son mandat à la présidence du comité d’évaluation du Programme de bourses d’études supérieures du Canada Vanier est d’une durée de trois ans. Les rencontres d’évaluation auront lieu les 26 et 27 janvier à Ottawa.

Renseignements : marc.surette@umoncton.ca, www.vanier.gc.ca

Le Département de science politique de l’Université de Moncton, en collaboration avec la Fédération des étudiantes et des étudiants du campus universitaire de Moncton (FÉÉCUM), organise une table ronde qui se veut une réflexion à la suite des attentats de Paris.

Trois professeurs du Département de science politique, Jean-François Thibault, Christophe Traisnel et Félix Grenier, et le professeur Denis Roy, de la Faculté de droit, développeront quatre sous-thèmes en lien avec les événements. «Acte de guerre, troisième guerre mondiale. Qu’en est-il? »; « Coexistence entre droits fondamentaux et sécurité - est-ce possible? »; « Immigration – un atout ou une menace? »; et « Effets sur la politique étrangère canadienne » sont les sous-thèmes proposés.

L’activité aura lieu au resto-lounge Le 63 situé au Centre étudiant, le vendredi 20 novembre de 13 heures à 15 heures.

La communauté universitaire et le public sont invités à cette table ronde qui sera modérée par la professeure Marie-Thérèse Seguin du Département de science politique.

Renseignements : Roger Ouellette, directeur Département de science politique, roger.j.ouellette@umoncton.ca.

Un groupe de cinq experts désignés par l’Organisation internationale de la Francophonie a séjourné récemment dans la région de Moncton et de Dieppe afin d’évaluer la candidature du Nouveau-Brunswick pour la tenue des Jeux de la Francophonie de 2021. Plusieurs rencontres ont eu lieu avec les membres du comité de candidature ainsi que des représentants du gouvernement provincial et des deux municipalités où se dérouleraient les jeux.

La Commission d’évaluation technique a passé la semaine à visiter les sites proposés pour les épreuves sportives et culturelles, ainsi que les installations ciblées pour l’hébergement et d’autres volets de l’événement. Dans le cadre de cette visite, l’Université de Moncton a accueilli la délégation le 4 novembre.

« L’Université de Moncton est très enthousiaste face à la tenue dans la région de cette manifestation sportive et culturelle d’envergure, a souligné le recteur et vice-chancelier, Raymond Théberge. Nous possédons, à l’université, des infrastructures qui ont déjà servi à la tenue d’événements internationaux et la communauté a déjà fait ses preuves en matière de leadership dans l’organisation de tels événements. Nous avons donc mis tout en œuvre pour transmettre cet enthousiasme aux membres du comité d’évaluation. »

Les Jeux de la Francophonie attireraient 3000 artistes et athlètes dans la province et généreraient des retombées économiques de 25 millions de dollars.

Si la candidature du Nouveau-Brunswick est retenue, les municipalités de Dieppe et Moncton seraient les villes hôtesses. Les autres candidates pour l’obtention de la tenue des Jeux de la Francophonie sont la ville de Sherbrooke, pour le Québec, et la Guadeloupe.

Titulaire de la Chaire de recherche du Canada en écologie polaire et boréale et professeur au Département de biologie de l’Université de Moncton, Nicolas Lecomte revient d’un périple au Groenland où il a étudié, sur une période de six semaines, les changements climatiques du Grand Nord. La logistique de l’expédition était assurée par le Swedish Polar Institute. Le professeur Lecomte était le seul Canadien à faire partie de l’aventure basée sur une forte collaboration avec des chercheurs suédois et américains.

L’expédition a permis de mesurer l’ampleur des changements climatiques dans le Grand Nord ainsi que sur les glaciers du Groenland, dont le glacier Petermann, situés à la limite-nord de l’Arctique. Ce glacier est l’un des derniers de l’Arctique qui ont encore une partie de glace flottante. Juste au début de l’expédition, une grande partie de cette glace s’est séparée du glacier. L’expédition a permis de découvrir, entre autres, que l’eau chaude de l’océan Atlantique est à l’origine de la fonte des glaces accélérée de la région.

L’aspect logistique de l’expédition était très important. C’est pourquoi une soixantaine de scientifiques d’un peu partout dans le monde ont pris part à l’opération qui s’est déroulée à l’aide de l’un des plus gros et plus puissants brise-glace au monde, l’Oden.

« L’aspect central de notre périple scientifique au Groenland était d’étudier les océans, la glace ainsi que la géologie des montagnes. Avec mes proches collaborateurs, nous nous sommes penchés principalement sur les écosystèmes terrestres de la région qui comprennent, entre autres, des populations de caribous, de bœufs musqués et de loups arctiques. Nous avons été déposés sur la terre ferme par hélicoptère à plusieurs reprises afin d’étudier la résistance de ces écosystèmes aux perturbations climatiques présentes et passées. La durée de nos campements était d’environ une dizaine de jours par site et nous devions marcher en moyenne de vingt à vingt-cinq kilomètres quotidiennement afin de couvrir une grande surface de terrain », a expliqué le professeur Lecomte.

Les résultats, combinés à ceux des glaciologues et géomorphologues, contribueront à alimenter les discussions dans le cadre de la conférence sur le climat, qui aura lieu à Paris à la fin novembre.

Cette expédition fait suite à celle d’Igloolik, au Nunavut, où la chaire de recherche du professeur Lecomte est active afin de mesurer à long terme les changements de la dynamique des espèces migratrices. Ce projet est aussi un vecteur important de formation pour les étudiantes et étudiants afin d’acquérir une expertise en changements climatiques, un savoir essentiel dans notre société et une compétence académique et professionnelle en grande demande.

Le professeur Nicolas Lecomte cherche à détecter les changements clés qui se produisent dans les écosystèmes polaires et boréaux en menant des études à court et à long terme ainsi que des études à grande échelle spatiale dans plusieurs stations situées un peu partout dans l’Arctique.

Le Service des loisirs socioculturels de l’Université de Moncton, campus de Moncton, est le premier récipiendaire du Prix Excellence Louis Doucet remis par RADARTS, le Réseau atlantique de diffusion des arts de la scène.

En plus de remettre le prix Excellence Louis Doucet à l’équipe des loisirs socioculturels, la communauté artistique a aussi voulu rendre hommage à M. Doucet, celui qui a été le directeur du Service des loisirs socioculturels de l’Université de Moncton depuis 1982 et membre fondateur du Réseau et de la FrancoFête en Acadie.

« Encore chargé d'émotion devant tant de témoignages et de reconnaissance à mon endroit, je m'en voudrais de ne pas réitérer toute mon appréciation pour la petite équipe des Loisirs socioculturels qui m'appuie au quotidien et qui rend nos nombreux projets réalisables. Merci à RADARTS pour cet honneur qui rejailli sur toute la communauté universitaire », a exprimé Louis Doucet qui prendra sa retraite sous peu.

Remis lors de l’ouverture de la FrancoFête en Acadie, le prix Excellence est destiné aux diffuseurs qui comptent plusieurs années d’expérience et qui démontrent, dans le cadre de leurs fonctions, leur professionnalisme et leur attachement à RADARTS ainsi que leur passion de la diffusion des arts de la scène.

Le Cercle philo organise un café philosophique sur le thème Cheikh Anta Diop et les enjeux de l'historiographie, le jeudi 26 novembre à 16 h 30, au local 139 du pavillon des Arts.

La discussion sera animée par Ernest-Marie Mbonda, professeur de philosophie à l’Université de Moncton.

Renseignements : Paul Bernier, directeur du Département de philosophie, paul.bernier@umoncton.ca, 506-858-4390.

Dans le cadre du cours Travail social et vieillissement de l’École de travail social, un atelier intergénérationnel a permis à un groupe d’étudiantes et d’étudiants de rencontrer des personnes âgées qui ont partagé avec eux leur vécu.

Parmi les invités, Louis Richard, Hector Cormier, Armand Bannister, Willy Lirette et Noëlla Maillet ont discuté avec les étudiantes et les étudiants des nouvelles technologies, de la perception des gens plus âgés face aux jeunes adultes et de la question des LGBTQ (lesbienne, gai, bisexuelle, transgenre et queer).

Les participantes et les participants ont constaté qu’il y a bel et bien des différences d’opinions entre les générations, mais il y a aussi de grandes similitudes.

Natacha Boyle, étudiante et membre du comité d’organisation, a constaté que leurs invités étaient bien conscients des enjeux et défis qui touchent la jeunesse. « Je trouve par ailleurs que nous ne sommes pas suffisamment conscients de leur réalité, a-t-elle souligné. Cette rencontre a été fort enrichissante et touchante. Ils ont fait preuve d’enthousiasme et d’authencité ».

La pertinence d’une telle activité de sensibilisation a été soulevée par la majorité des participantes et participants ainsi que par les personnes ressources. Selon un des participants, Charles MacDoughall, étudiant au campus de Moncton, « c’est important que non seulement les jeunes adultes et les aînés s’informent au sujet des autres générations, mais qu’ils développent de l’empathie pour les gens de chaque groupe prenant en compte leur diversité », dit-il.

Deux étudiants du Laboratoire d’analyse du mouvement de l’École de kinésiologie et de loisir (ÉKL) ont participé au 7e Congrès annuel sur la recherche en santé du Nouveau-Brunswick à Fredericton les 3 et 4 novembre. Le professeur Grant Handrigan de l’ÉKL y était également.

Jean-Philippe Cyr, un étudiant de 3e année en kinésiologie, a présenté une affiche intitulée « Déterminer les contributions cognitives au contrôle de l’équilibre en position debout ». Pour sa part, Mathieu Mallet, étudiant à la maîtrise sous la direction des professeurs Mathieu Bélanger, du Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick, et Grant Handrigan, a quant à lui présenté une affiche intitulée « Les mécanismes de chute à travers une étude de cas ».

Les travaux présentés par les étudiants ont été effectués dans le cadre de leur emploi d’été au Laboratoire d’analyse du mouvement de l’ÉKL. Ces étudiants ont été soutenus par des subventions de recherche de l'Université de Moncton (concours régulier) et des fonds de l’Institut de leadership de l’ÉKL.

La soutenance de thèse de doctorat professionnel en psychologie de l’étudiante Jolaine Gallant, sous la direction du professeur François Vigneau, aura lieu le mardi 24 novembre à 15 heures dans le local 536 du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton. La thèse a pour titre « Une analyse expérimentale du test de rotation mentale ».

La professeure Joceline Chabot, du Département d’histoire et de géographie; Sylvia Kasparian, professeure au Département d’études françaises de l’Université de Moncton, de même que Richard Godin, de l’Université Laval, et Stefanie Kappler, de la Durham University, viennent de publier un ouvrage collectif intitulé Mass Media and the Genocide of the Armenians. One Hundred years of Uncertain Representation aux editions Palgrave MacMillan.

Dans le cadre de la commémoration du centenaire du génocide des Arméniens (1915-2015), cet ouvrage jette un regard sur la place et le rôle des médias, plus particulièrement la presse, dans la connaissance et la reconnaissance du génocide des Arméniens de l’Empire Ottoman durant la Première Guerre mondiale. L’approche privilégiée est à la fois multidisciplinaire, comparative et internationale, avec des contributions portant sur les médias allemands, polonais, russes, canadiens, turcs, américains, italiens et français.

Le Centre de recherche et de développement en éducation (CRDE) invite les membres de la communauté universitaire à assister à une table ronde intitulée Déconstruire les piliers théoriques et pratiques de la construction identitaire... pour mieux les comprendre. Cette table ronde aura lieu le jeudi 26 novembre, de midi à 13 heures, dans le local B-219 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

Les panélistes invités sont Diane Gérin-Lajoie, professeure à l’Université de Toronto; Réal Allard, professeur émérite de la Faculté des sciences de l’éducation; Yves Doucet enseignant de mathématiques à l’école L’Odyssée de Moncton, et Gilberte Godin, enseignante de français à l’école Mathieu-Martin de Dieppe. Les modérateurs seront Marilyne Gauvreau, étudiante au Doctorat en éducation, et Mathieu Lang, professeur à la Faculté des sciences de l’éducation.

Résumé :
Depuis le début du troisième millénaire, l’Association canadienne d'éducation de langue française (ACELF) ne cesse de déployer des efforts notables pour outiller les intervenantes et intervenants en éducation en ce qui concerne la construction identitaire. Tout au long de ce cheminement, de nombreux documents d'appui ont été créés par des experts pour venir en aide à toutes les professionnelles et tous les professionnels œuvrant dans le domaine de l'éducation qui s'intéressent à une démarche identitaire saine et humaine. Toutefois, la réalité francophone du Canada est plurielle, c'est-à-dire que les communautés francophones connaissent des réalités spécifiques en référence à leur contexte social, historique et politique. En conséquence, nous pouvons nous poser quelques questions par rapport aux expériences vécues et aux représentations qui nous touchent particulièrement dans notre milieu face à ce concept et à cette pratique. Quand il est question de construction identitaire dans le contexte de l’école francophone et acadienne du Nouveau-Brunswick, de quoi parle-t-on au juste ? S’agit-il de faire des efforts de préservation de la langue? De la culture? Y a-t-il un consensus au sujet d’une définition de la construction identitaire? Que peuvent être les effets du statut minoritaire ou majoritaire d'une communauté francophone sur le sentiment identitaire d'un élève? Comment la construction identitaire peut-elle faire une différence en termes de vitalité linguistique dans nos communautés francophones? Telles sont des questions qui seront abordées par nos panélistes.

Sylvain Vézina, professeur et directeur du Département d’administration publique (DAP), et Manon Cormier, agente de recherche au même département, se sont rendus au campus St-Jean de la University of Alberta les 16 et 17 octobre dernier, pour y livrer deux ateliers de sensibilisation à l’offre active de services de santé en français.

Le premier, s’étalant sur journée complète, s’adressait aux formatrices et formateurs des programmes de formation en santé afin, d’une part, de les sensibiliser aux risques et avantages des barrières linguistiques, et, d’autre part, de les outiller afin qu’ils puissent intégrer les notions d’offre active dans leurs cours. Une douzaine de participantes et participants y ont pris part.

Le second atelier était offert à un groupe d’étudiantes et d’étudiants inscrits à ces mêmes programmes. Le matériel utilisé pour la livraison de ces ateliers est tiré du site www.offreactive.com conçu par l’équipe du DAP et mis à la disposition des formatrices et formateurs, étudiantes et étudiants, professionnelles et professionnels de la santé et gestionnaires.

Les deux membres du DAP en sont à leur septième atelier du même genre, s’étant déplacés jusqu’à Vancouver et Iqaluit au cours de la dernière année. La demande est constante et les évaluations de ces ateliers montrent un excellent niveau de satisfaction. Les participantes et les participants se disent mieux informés, interpelés et mieux outillés pour agir en faveur de l’offre active.

S’inscrivant dans la démarche du Consortium national de formation en santé (CNFS) qui souhaite intégrer les notions d’offre active dans ses programmes en santé, ces ateliers permettent de répondre aux préoccupations soulevées quant à une meilleure préparation de nos futures professionnelles et futurs professionnels de la santé à œuvrer en contexte minoritaire. Rappelons qu’en 2013, tous les recteurs et dirigeantes et dirigeants des 11 institutions membres du CNFS ont signé un énoncé d’engagement à cet effet.

Soulignons enfin que l’équipe du DAP poursuit d’autres initiatives en lien avec le dossier de l’offre active, dont une formation en ligne s’adressant plus particulièrement aux professionnelles et professionnels de la santé et aux gestionnaires déjà présents dans les milieux (en français et en anglais), un projet d’attestation de compétences d’envergure nationale et, entre autres, le lancement d’un ouvrage collectif.

Renseignements : Manon Cormier, manon.cormier@umoncton.ca.

Dans le cadre de son Programme d’excellence professionnelle (PEP), le Consortium national de formation en santé (CNFS) - Volet Université d’Ottawa présente, en partenariat avec le CNFS - Volet Université de Moncton, une série de conférences qui sont retransmises par vidéo, en direct de l’Hôpital Montfort, à Ottawa.

Ces conférences se veulent une activité de formation continue multidisciplinaire destinée aux professionnelles et professionnels de la santé.

La troisième conférence de la programmation Automne 2015 aura lieu le jeudi 26 novembre 2015 de 12 h 30 à 14 heures au local A231 du pavillon Jeanne-de-Valois. La conférence intitulée « L’expérience des enfants et des adolescents vivant dans un contexte de violence conjugale : mieux comprendre pour mieux intervenir » sera présentée par Simon Lapierre, professeur agrégé à l’École de service social de l’Université d’Ottawa.

Dans le cadre de cette conférence, on présentera les principaux résultats d’une recherche réalisée avec des enfants et des adolescents franco-ontariens et québecois vivant dans un contexte de violence conjugale. Cette recherche participative, de nature qualitative, visait à mieux comprendre la diversité et la complexité des expériences vécues par ces enfants et ces adolescents, à partir de leur propre point de vue. Les données permettent également d’identifier des pistes pour les interventions dans les champs de la santé et des services sociaux, dans le but d’assurer leur sécurité et leur bien-être.

Cette conférence sera aussi disponible en diffusion Web-conférence (streaming).

Pour s’inscrire à la conférence (en présentiel ou en mode Web-conférence) ou pour obtenir plus de renseignements, prière de communiquer avec Melissa Johnson ou Rachelle Lanteigne au CNFS - Volet Université de Moncton : cnfs@umoncton.ca / 858-4655. Les places sont limitées.

La programmation complète est disponible en ligne à www.mavieestensante.ca.

Bon nombre de Canadiennes et Canadiens éprouveront des symptômes d’anxiété et de dépression au cours de leur vie. Malgré la prévalence élevée de ces conditions, l'accès aux traitements psychologiques traditionnels en face à-face est limité. Cet accès est encore plus problématique chez les minorités linguistiques.

La télépsychothérapie implique l’utilisation de technologies de l’information et des communications pour offrir des services de santé mentale à distance. Elle pourrait ainsi être une option efficace pour accroître l'accès aux services de santé mentale.

Le Laboratoire de psychologie clinique de l’adulte de l’Université de Moncton propose un programme de recherche axé sur la télépsychothérapie (www.etherapies.ca ). Dans le cadre d’une thèse doctorale menée dans ce laboratoire par Daniella DaPonte, sous la direction de la professeure France Talbot, les membres des communautés francophones en situation minoritaire du Nouveau-Brunswick sont invités à participer à une étude qui évalue une thérapie de huit semaines offerte sous forme de cours en ligne : le Cours Mieux-être. Ce cours vise à aider les gens à mieux gérer la dépression et l’anxiété et à retirer davantage de satisfaction de leur vie.

Ce projet implique, entre autres, une collaboration internationale avec la Macquarie University, de Sydney, en Australie, où le cours a été développé et testé. Il est d’ailleurs offert présentement à l’échelle nationale par le gouvernement australien. Il s’insère dans un programme de recherche qui vise à implanter ce cours au Nouveau-Brunswick, en débutant par une version canadienne-française. Il s’agit d’un projet de recherche novateur, peu de programmes de télépsychothérapie fondés sur des données probantes étant disponibles au Canada. L’étude est financée par la Fondation de la recherche en santé du Nouveau-Brunswick et le Consortium national de formation en santé. Elle est de plus conduite en collaboration avec le réseau de santé Vitalité et le réseau de recherche ACCÈS NB (ACCÈS Canada) qui vise à faciliter à travers le Canada l’accès des jeunes aux services de santé mentale.

Dans le cadre des programmes de thérapie à distance, le Cours Mieux-être présente un intérêt particulier. Il s’agit d’une thérapie transdiagnostique, c’est-à-dire qu’elle permet le traitement à la fois de l’anxiété et de la dépression, deux problèmes souvent associés l’un avec l’autre. Cette thérapie est de plus autogérée en ce sens que la guidance d’une clinicienne ou d’un clinicien n’est pas requise pour une administration efficace et sécuritaire. Ces caractéristiques en font non seulement une option rentable, mais aussi une option facile d’accès en tant qu’intervention de première ligne.

Pour de plus amples renseignements, prière de communiquer avec Daniella DaPonte (mieuxetre@etherapies.ca, 506-858-4406).

Veuillez également consulter le site Web du Laboratoire de psychologie clinique de l’adulte (www.etherapies.ca).

Dans le cadre de la série Vendredis midis de l’Institut d’études acadiennes de l’Université de Moncton, Michel de Waele, doyen de la Faculté des lettres et des sciences humaines de l’Université Laval, prononcera une conférence intitulée « Honneur national et destin colonial : le sort de l’Amérique française, 1627-1632 », le vendredi 20 novembre à midi au local A231 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

Professeur titulaire au Département des sciences historiques de l’Université Laval et doyen de la Faculté des lettres et des sciences humaines, Michel De Waele est un spécialiste de l’histoire de la France moderne. Ses travaux portent particulièrement sur les conflits civils et leur résolution ainsi que sur les relations entre conflits nationaux et internationaux.

Le 19 novembre, le conseil étudiant des sciences sociales de l’Université de Moncton tiendra une soirée Agora (terme grec désignant un lieu de rassemblement pendant la Grèce Antique où des citoyens parlaient des enjeux sociaux) sous le thème de la liberté d’expression dans le monde.

L’événement se déroulera dans la salle Richelieu du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton, à compter de 19 heures. L’entrée est libre pour les étudiantes et étudiants et de 2 $ pour les autres personnes. La soirée débutera avec une présentation de Colette Lelièvre, agente de projet au sein de la campagne d’Amnistie internationale Canada francophone. Par la suite, un petit goûter à saveur grecque et du vin seront servis pendant la composition de cartes de la Campagne Écrire, ça libère! d’Amnistie internationale. Le tout sera accompagné d’une prestation musicale du groupe Les Improbables.

Renseignements : Marie-Michèle Vienneau, emv9426@umoncton.ca .

La Fondation de l’innovation du Nouveau-Brunswick (FINB) organise un concours à l’intention des jeunes chercheuses et chercheurs intitulé le «Défi d'innovation des étudiants R3». Pour y participer, il faut être inscrit en troisième ou quatrième année au premier cycle d’études et avoir l’intention de poursuivre ses études dans une université publique du Nouveau-Brunswick l’an prochain.

La personne qui décrochera les honneurs recevra une bourse de 10 000 $ pour réaliser un projet d’innovation, tandis que celles et ceux qui arriveront en deuxième ou troisième place recevront une bourse de 5 000 $. Une bourse de 1 000 $ sera aussi offerte en tirage parmi toutes les personnes qui ont proposé un projet.

Il faut soumettre sa proposition de projet au plus tard le 25 janvier 2016.

André Pelletier, agent de développement de la recherche au sein de la FINB, donnera des séances d’information au sujet du concours dans les campus de Moncton, Edmundston et Shippagan. Pour connaître les dates des séances d’information et pour obtenir plus détails au sujet du concours, visitez le http://www.finb.ca .

La Fédération des étudiantes et étudiants du campus universitaire de Moncton (FÉÉCUM) a mis sur pied une banque alimentaire sur le campus de Moncton pour venir en aide aux étudiantes et aux étudiants dans le besoin.

Des boîtes bleues ont été placées dans la plupart des pavillons du campus afin de recevoir les dons de nourriture non périssable.

La banque alimentaire fonctionne entièrement grâce aux dons des membres de la communauté universitaire et au travail des bénévoles étudiants, qui se sont présentés en grand nombre pour contribuer à cette initiative de la FÉÉCUM. Il s’agit d’offrir une aide d’urgence afin de permettre aux étudiantes et aux étudiants bénéficiaires de se nourrir convenablement le temps de se remettre sur pieds.

Tout excédent sera donné à la banque alimentaire de Moncton, qui est partenaire de ce projet.

Jusqu'au 9 décembre, Gisèle L. Ouellette, professeure adjointe au Département des arts visuels à l’Université de Moncton, présente de nouvelles oeuvres à la Galerie 12, du Centre culturel Aberdeen situé au 140, rue Botsford à Moncton. Le vernissage aura lieu le samedi 21 novembre à 17 heures.

Intitulée Études de zostères, cette série de nouvelles oeuvres découle d'une résidence faite en Espagne en mai 2104. Pendant plusieurs années, soit de 2008 à 2014, elle a principalement travaillé sur du film translucide avec le noir. En 2014, elle a commencé à ressentir le besoin de réintroduire la couleur dans son travail sans vraiment savoir quelle forme prendrait cette réinsertion. Comme le monde naturel a souvent été un point de repère pour sa pratique artistique, elle s’en est inspirée pour cette série. Afin de limiter les possibilités, elle s’est imposé des contraintes.

Les chanteuses Salomé Leclerc et Caroline Savoie seront en spectacle le vendredi 20 novembre à 20 heures dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton. Le spectacle fait partie de la série Coup de cœur francophone à Moncton.

Salomé Leclerc est rapidement devenue une figure reconnue de la relève musicale québécoise. 27 fois l’aurore, son second album, a été lancé en 2014. Au Québec, il a fait partie des coups de cœur de plusieurs critiques musicaux.

On dit de Caroline Savoie qu’elle est lumineuse, authentique, pétillante, éblouissante, géniale, une perle rare … Le public, la presse, et ses pairs de l'industrie musicale ne tarissent pas d'éloges pour cette jeune artiste acadienne de 20 ans au charisme fou.

L’entrée est de 10 $ pour les étudiantes et les étudiants et de 20 $ pour les autres personnes. La billetterie du Service des loisirs socioculturels de l’Université de Moncton est située au Centre étudiant et est ouverte du lundi au vendredi de 9 heures à 16 heures. On peut aussi acheter des billets par téléphone au 506-858-4554.

Dans le cadre de la série Coup de cœur francophone, une soirée en compagnie de l’artiste Gaël Faure, de France, et de l’acadienne Marie-Jo Thério aura lieu le vendredi 27 novembre à 20 heures dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois. Une soirée où les mots, les mélodies et l’énergie captiveront le public.

« Les chansons trouvent là leurs couleurs folk, limpides et vastes comme un ciel d’hiver. » C’est ainsi qu’on décrit la musique de Gaël Faure. Son album « De silences en bascules » a été lancé en 2015. Gaël a ravi les foules aux Francofolies de Montréal en novembre 2014 et prépare son premier arrêt en terre acadienne qui a très bien démarré au début novembre alors qu’il présentait une vitrine à la FrancoFête en Acadie devant une foule ravie. Il est présentement en tournée nationale dans le cadre de Coup de cœur francophone.

Contre vents et marées, Marie-Jo Thério a choisi d'emprunter, une route guidée d’abord par la curiosité, par une soif insatiable d’aventure et de découvertes. Ce qui en fait indéniablement une artiste au caractère unique. Marie-Jo a joué au théâtre, performé au grand écran et est incontestablement une des étoiles de la scène musicale francophone. En 2011, elle lance le double album « Chasing Lydie ». Ce projet prendra naissance sur scène en février 2016 au Centre culturel Aberdeen de Moncton, puis au Théatre de quat'sous à Montréal. Marie-Jo vit entre Montréal, Moncton, et un petit village sur la côte atlantique du Costa Rica.

L’entrée est de 10 $ pour les étudiantes et les étudiants et de 20 $ pour les autres personnes.

Rares sont ceux qui peuvent se vanter d’avoir franchi le mythique passage du Nord-Ouest qui relie l'océan atlantique à l'océan pacifique. C’est tout un périple qui sera présenté au public avide de voyages le jeudi 19 novembre à 20 heures dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

L’occasion de vivre une grande expédition sur le voilier Balthazar pour un périple de 10 000 kilomètres en mer avec comme guide un couple hors du commun. Le départ a lieu à Gaspé et l’objectif est de se rendre jusqu’à la mer de Béring en passant par le glacial océan arctique et le mythique passage du Nord-Ouest. Les spectateurs découvriront un paysage de glaciers, de banquises et de nature sauvage qui vibre au son des chants de gorge. Une aventure humaine plus grande que nature.

Après avoir construit leur voilier, les explorateurs Claire Roberge et Guy Lavoie ont entrepris un grand périple autour du monde en famille : 5 ans, 34 pays et 3 océans. Ils ont à leur actif plus de 75 000 kilomètres parcourus sur l’eau et plus de 400 conférences.

L’entrée est de 10 $ pour les étudiantes et les étudiants et de 20 $ pour les autres personnes. La billetterie du Service des loisirs socioculturels de l’Université de Moncton est située au Centre étudiant et est ouverte du lundi au vendredi de 9 heures à 16 heures. On peut aussi acheter des billets par téléphone au 506-858-4554.

Présentée par le Service des loisirs socioculturels de l’Université de Moncton, campus de Moncton, la comédie dramatique belge et française Tokyo Fiancée du réalisateur Stefan Liberski, sera à l’affiche du Ciné-Campus ce jeudi 19 novembre et vendredi 20 novembre.

Synopsis : La tête pleine de rêves, Amélie, 20 ans, revient dans le Japon de son enfance. Elle propose des cours particuliers de français et rencontre Rinri, son premier et unique élève, un jeune Japonais qui devient bientôt son amant. http://bit.ly/1gUF1M6.

Les 26 et 27 novembre, le drame français 3 cœurs sera à l’affiche.

Synopsis : Marc vient de manquer son train. Il devra dormir dans une ville de province. Attablé au restaurant, il remarque Sylvie qui lui propose de lui trouver un hôtel. Au fil d'une discussion qui s'étend toute la nuit, les flèches de Cupidon font leur effet et ils se donnent rendez-vous à Paris. Une rencontre que Marc est incapable de respecter. http://bit.ly/1Me55NH

Les films sont présentés tous les jeudis et les vendredis à compter de 20 heures dans l’amphithéâtre du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton. L’entrée est de 5 $ pour les étudiantes et les étudiants et de 7 $ pour les autres personnes.

On peut suivre le Service des loisirs socioculturels de l’Université de Moncton à www.facebook.com/slsmoncton et à @slsmoncton sur Twitter.

Les joueurs de hockey Alex Noël, de Dieppe, et Marie-Pier Corriveau, de Magog au Québec, sont les athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed pour la période du 9 au 15 novembre 2015 à l'Université de Moncton.

La semaine a été fructueuse pour les Aigles Bleues, au hockey féminin, avec trois victoires en autant de rencontres. Marie-Pier Corriveau a bien contribué à ces victoires avec quatre buts et une passe, dont deux filets gagnants. Elle a réussi 12 lancers et a terminé avec +3. Elle est étudiante en Programme d’information-communication.

Alex Noël a marqué un but et a récolté deux passes lors des deux parties de son équipe en fin de semaine dernière. Il a amassé six lancers et a terminé le match de vendredi à +3. Il est étudiant à la Maîtrise en études de l’environnement.