Voici les archives de l’Hebdo-Campus du 16 avril 2009 au 20 septembre 2018
L’Université de Moncton décernera deux doctorats honorifiques et une médaille d’honneur lors des cérémonies de collation des diplômes en mai
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L’Université de Moncton décernera deux doctorats honorifiques et une médaille d’honneur lors des cérémonies de collation des diplômes en mai L’Université de Moncton décernera deux doctorats d’honneur et une médaille
d’honneur à d’éminentes personnalités qui se sont distinguées grâce à un apport
exceptionnel à leur domaine respectif. Les reconnaissances honorifiques seront remises
lors des cérémonies de collation des diplômes qui ont lieu en mai.
Le chancelier Louis R. Comeau remettra un doctorat honorifique en administration des
affaires à l’entrepreneur et philanthrope James D. Irving et un doctorat d’honneur en
musique à Suzie LeBlanc, soprano de renommée mondiale, lors de la Collation des
diplômes du campus de Moncton qui aura lieu le samedi 21 mai au Ceps
Louis-J.-Robichaud.
Le président du Conseil des gouverneurs, Me André G. Richard, remettra la médaille
d’honneur de l’Université de Moncton au Dr Jeannot Castonguay, ancien membre et
président du Conseil des gouverneurs, lors de la cérémonie de collation au campus
d’Edmundston le samedi 14 mai à la Cité des Jeunes A.-M.-Sormany.
| James D. Irving, docteur d’honneur en administration des affaires
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James D. Irving, docteur d’honneur en administration des affaires Visionnaire, philanthrope et industriel chevronné, James D. Irving, président de J. D.
Irving, Ltd, opère dans une variété de secteurs et de champs d’action qui contribuent
largement au développement économique du Nouveau-Brunswick.
Les activités de J. D. Irving, Ltd incluent la foresterie, les pâtes et papier, les
transports, les chantiers navals, la vente au détail, l’équipement industriel, les
services et les matériaux de construction, l’impression et la traduction ainsi que les
produits de consommation. La portée, l’étendue et la diversité de son conglomérat,
ses innovations et ses investissements stratégiques ont contribué de façon
significative à la productivité et à la croissance économique de la province. Le
groupe Irving est d’ailleurs le plus important employeur de la province.
M. Irving se distingue également par l’importance de ses contributions
philanthropiques, notamment dans le domaine de l’éducation et de l’environnement.
Grâce à sa générosité, l’Université de Moncton a été en mesure de mettre sur
pied deux chaires d’études, soit la Chaire K.-C.-Irving en développement durable et la
Chaire Roméo-LeBlanc en journalisme.
Conscient de l’impact environnemental des industries axées sur les ressources
naturelles, J. D. Irving Ltd a mis en place des mesures pour assurer la durabilité de ses
projets et de l’environnement. À titre d’exemple, le programme de gestion responsable
des forêts permet la plantation annuelle de 20 à 25 millions de jeunes plants. Depuis le
début du programme, il y a 50 ans, plus de 800 millions d’arbres ont été plantés.
Membre actif de la campagne Excellence de l’Université de Moncton, membre du New
Brunswick Business Council, membre du Comité consultatif sur l’économie du
gouvernement fédéral, membre du conseil d’administration de la National Alliance of
Forest Owners, coprésident de la Campaign for Conservation et membre du conseil
d’administration d’U de M Développement Inc., les judicieux conseils de M. Irving
sont sollicités quotidiennement.
L’importance qu’accorde M. Irving à son village natal de Bouctouche est
indéfectible. Connaissant un succès incontestable sur la scène mondiale, la famille a
été au centre de plusieurs projets à Bouctouche, notamment la création de
l’Éco-Centre Irving visant la protection et la restauration d’une des dernières
grandes dunes de la côte est de l’Amérique du Nord.
En reconnaissance de sa contribution exceptionnelle au fil des ans, l’Université de
Moncton a rendu hommage à la famille Irving en 2005 en lui remettant la Médaille
d’honneur.
| Suzie LeBlanc, docteure d’honneur en musique
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Suzie LeBlanc, docteure d’honneur en musique D’origine acadienne, la soprano Suzie LeBlanc connaît une carrière remarquable sur la
scène internationale comme interprète. Possédant la majeure en interprétation au
clavecin de l’Université McGill (1984), elle se spécialise dans les répertoires
baroque et classique.
Au cours de sa carrière, Mme LeBlanc a enregistré une quantité importante de musiques
inédites et couvert un impressionnant répertoire allant du Moyen Âge à la musique
contemporaine. Parmi ses enregistrements récents, il y a « Nobil Donna », une
collection d’airs et de cantates romaines du 17e siècle et des œuvres de Carissimi.
Depuis 25 ans, sa carrière l’a menée aux quatre coins du monde où elle a chanté avec
les principaux ensembles de musique ancienne, orchestres symphoniques et en récital. Elle
a également participé à de prestigieux festivals internationaux l’amenant à se
produire sur les plus grandes scènes du monde.
En plus de sa carrière comme interprète, Mme LeBlanc a enseigné le chant entre 2000 et
2009 à l’Université de Montréal et à l’Université McGill; elle a donné plusieurs
ateliers d’opéra dont un en 2008 à Mount Allison University offert en collaboration
avec l’Université de Moncton.
Sa contribution à la culture acadienne est aussi remarquable. Mentionnons ses disques «
La Mer jolie » et « Tout passe », son documentaire sur la musique ancienne « Suzie
LeBlanc : A Musical Quest » et ses nombreuses prestations au Festival international de
musique baroque de Lamèque. Son enregistrement d’œuvres d’Olivier Messiaen, «
Chants de terre et de ciel », lui a permis de remporter le Prix Opus dans la catégorie
Disque de l’année : musique contemporaine en 2009. Sa contribution à l’Acadie
s’étend aussi au cinéma alors que le long métrage « Lost Song », dans lequel elle
jouait le rôle principal, a remporté le prix du meilleur film acadien en 2008.
Suzie LeBlanc est la fondatrice du Nouvel Opéra, ensemble en résidence au Conservatoire
de musique de Montréal, et l’une des directrices du Elizabeth Bishop Centenary Festival
en Nouvelle-Écosse.
Au fil des ans, la soprano a reçu de nombreux prix et distinctions dont un doctorat
honorifique de Mount Allison University et un autre du King’s College d’Halifax. Elle
a remporté quatre prix Opus entre 2000 et 2010, un prix Félix à l’ADISQ en 2003 et un
prix Cini en Italie pour le meilleur disque d’opéra en 1999.
| Dr Jeannot Castonguay, récipiendaire de la Médaille d’honneur
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Dr Jeannot Castonguay, récipiendaire de la Médaille d’honneur Chirurgien, leader respecté et homme politique, le Dr Jeannot Castonguay a consacré sa
vie à servir sa profession et l’ensemble de la collectivité. Diplômé du Collège
Saint-Louis d’Edmundston, il a obtenu le doctorat en médecine à l’Université Laval
en 1969 et le certificat du Collège royal des chirurgiens du Canada en 1974.
Originaire de Saint-Quentin, Dr Castonguay a exercé en pratique privée pendant 26 ans à
l’hôpital régional d’Edmundston. Il a été chef du Département régional de
chirurgie de 1993 à 1994, puis médecin en chef de 1994 à 1996. Élu à la Chambre des
communes en novembre 2000 à titre de député de Madawaska-Restigouche, il a occupé le
poste de secrétaire parlementaire du ministre de la Santé et a siégé au Comité
permanent de la Santé.
Au fil des ans, la contribution du Dr Castonguay a été exemplaire. Membre du Conseil des
gouverneurs de l’Université de Moncton entre 1997 et 2010, il a accédé à la
présidence en 2004 et son mandat a été renouvelé en 2007. En plus de le présider, il
a œuvré au sein de plusieurs comités de travail du Conseil des gouverneurs.
Profondément engagé dans le bien-être de ses concitoyens et concitoyennes, Dr
Castonguay a siégé à de nombreux comités et conseils. Il a notamment présidé le
conseil d’administration de la Société médicale du Nouveau-Brunswick dont il est
membre depuis plus de 30 ans, et siégé à la Commission de l’enseignement supérieur
des provinces maritimes. Il est président-fondateur de la Fondation Saint-Louis-Maillet
qui a pour objectif d’aider financièrement les étudiants et étudiantes du campus
d’Edmundston. Mentionnons également qu’il membre de l’Ordre des Régents et des
Régentes de l’Université de Moncton.
La Société médicale du Nouveau-Brunswick lui a décerné le Prix d’action politique
Dr-William-F-Roberts en reconnaissance de sa contribution en politique, et lui a accordé
en 2009 sa plus haute distinction, l’Ordre du mérite de la Société médicale du
Nouveau-Brunswick soulignant son engagement exceptionnel envers la profession et sa
contribution remarquable à la société.
La Médaille d’honneur sera attribuée au Dr Jeannot Castonguay en reconnaissance pour
sa contribution remarquable au développement et à l’avancement de la cause, de la
mission et de l’œuvre de l’Université de Moncton.
| Bénéficiaires du Fonds de bourses Clément-Cormier
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir quelques boursiers et boursières. Il s’agit, de gauche à droite, 1re rangée : Jeanne Farrah, directrice des Anciens et amis; Isabelle Thériault, Isabelle Boulay, Paryse Desmeules, Fanny Gueniche, Catherine LeBlanc, Jonathan Landry et Marie-France Doucet, présidente de l'Association des anciens, anciennes et amis de l'Université de Moncton, campus de Moncton; 2e rangée : Chloé Robichaud, Luc LeBlanc, Pruvoste Agoua, Madeleine Arseneau et Marika-Joëlle Arseneau.
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Bénéficiaires du Fonds de bourses Clément-Cormier En 2010-2011, le Fonds de bourses Clément-Cormier, le plus important de l’Université
de Moncton, a octroyé 100 bourses à des étudiants et étudiantes, que ce soit sous
forme de bourses d'entrée, de mérite académique ou d'aide financière, pour un global
de 77 000 $.
Ce fonds est un soutien inestimable pour les étudiants et étudiantes grâce à la
participation de nombreux donateurs et donatrices. Créé en 1977 par l'Association des
anciens, anciennes et amis de l'Université de Moncton, campus de Moncton, il possède
aujourd'hui un capital de près de trois millions de dollars.
L’AAAUM a choisi de donner à ce fonds de bourses le nom de Clément Cormier pour rendre
hommage à celui qui fut recteur-fondateur de l'Université de Moncton, et qui a
longuement lutté pour que les Acadiens et les Acadiennes bénéficient de bourses
d’aide leur permettant d’entreprendre des études à l’Université de Moncton.
L'AAAUM compte sur la collaboration de ses anciens, anciennes et amis pour le faire
fructifier et lui permettre d’attribuer un plus grand nombre de bourses chaque année.
| L’IRZC a organisé un atelier d’envergure internationale portant sur l’omble chevalier
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L’IRZC a organisé un atelier d’envergure internationale portant sur l’omble chevalier L’équipe de recherche du volet aquaculture de l’Institut de recherche sur les zones
côtières (IRZC) a organisé un atelier d’envergure internationale portant sur
l’omble chevalier, un poisson de la famille des salmonidés, du 4 au 6 mai à
l’auberge Future Inn de Moncton.
Plusieurs intervenants y ont pris part dont des commerçants d’omble chevalier venus de
Boston, des producteurs, chercheurs et représentants d’agences gouvernementales
provinciales et fédérales. Il y avait des participants de huit provinces canadiennes,
des États-Unis et de l’Islande, ce dernier représentant le plus gros pays producteur
d’omble chevalier au monde.
L’omble chevalier a été identifié comme une espèce émergente présentant un bon
potentiel de développement en aquaculture au Nouveau-Brunswick et dans le reste du
Canada. A cet effet, l’IRZC élève depuis plusieurs générations l’omble chevalier
grâce à un programme d’amélioration génétique.
L’atelier, intitulé « Aquaculture de l’omble chevalier 2011 : état de la situation
et développement futur », avait trois objectifs qui étaient de rassembler les
principaux intervenants dans le domaine de l’aquaculture de l’omble chevalier pour
identifier les occasions d’affaires et les enjeux que représentent la production
commerciale de cette espèce; établir les priorités de recherche afin d’orienter les
futures étapes et accroître ainsi les chances de succès liées à ce type d’élevage;
et faire connaître rapidement les conclusions de l’atelier.
Cet atelier s’inscrivait dans la démarche de l’IRZC qui désire contribuer à
l’essor de l’aquaculture dans la Péninsule acadienne et dans le reste du
Nouveau-Brunswick, et accroître sa contribution auprès de l’industrie aquacole et de
la communauté scientifique à l’échelle nationale et internationale. À titre
d’organisateur de cet atelier, l’IRZC se positionne ainsi comme chef de file au Canada
dans l’aquaculture de l’omble chevalier et pourra plus facilement développer de
nouvelles collaborations et ainsi créer et maintenir des emplois dans la Péninsule
acadienne.
L’organisation de cet atelier par l’IRZC, en collaboration avec le ministère de
l’Agriculture, Aquaculture et Pêches du Nouveau-Brunswick, a été rendue possible
grâce à la contribution financière de Pêches et Océans Canada et des gouvernements du
Nouveau-Brunswick, de la Nouvelle-Écosse, de l’Île-du-Prince-Édouard et du Québec
impliqués dans l’aquaculture.
| Séminaires de recherche en santé
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir la professeure Jalila Jbilou, première conférencière de la série de séminaires de recherche en santé, accompagnée de Brigitte Sonier Ferguson, coordonnatrice à la recherche et à l’engagement scientifique au Centre de recherche du Réseau de santé Vitalité et coorganisatrice de la série.
|
Séminaires de recherche en santé Une nouvelle série de séminaires de recherche en santé a été lancée le 8 avril en
compagnie de la professeure Jalila Jbilou qui a prononcé la conférence d’ouverture.
Cette série de séminaires a lieu le deuxième vendredi du mois de 12 h 30 à 13 h 30 à
l’amphithéâtre de l’Auberge Mgr-Henri-Cormier (Centre hospitalier universitaire
Dr-Georges-L.-Dumont) avec diffusion simultanée à Campbellton, Edmundston et Bathurst.
Ils sont d’intérêt pour les chercheurs, personnes professionnelles de la santé, le
corps professoral et toute autre personne intéressée par les nouvelles recherches en
santé.
Le prochain séminaire aura lieu le 13 mai et sera présenté par le professeur Marc
Surette. Le titre de sa présentation sera « Contrôle des leucotriènes, médiateurs
importants pour l'immunité et cibles thérapeutiques pour les maladies inflammatoires ».
| Concert de chant choral avec le chœur des Aboiteaux
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Concert de chant choral avec le chœur des Aboiteaux Le chœur des Aboiteaux, une chorale mixte d’une soixantaine de voix sous la direction
de Paula Hébert, professeure au Département de musique de l’Université de Moncton,
vous invite à assister à son concert du printemps, ce dimanche 15 mai à 14 h 30 dans la
salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois.
Ce concert fera le bonheur des amateurs de musique classique puisque le programme comprend
des pièces de Bach, Mozart, Vivaldi, Pachelbel, Rameau, Fauré, Schubert, Brahms, Dvorak,
Sibelius, Offenbach et Verdi.
Il y aura de la musique sacrée en latin, des extraits d’opéra en italien et en
français, des pièces en allemand et de jolis chants populaires français du 16e
siècle.
Les billets sont en vente auprès des choristes au coût de 10 $ ou 12 $ à l’entrée.
Le concert est sans frais pour les enfants de 12 ans et moins.
Renseignements : 859-0402.
| Contribution pour le voyage humanitaire en Haïti
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Agrandir l'imageDans la photo, des membres du Club Right To Play acceptent une contribution de 55 $ de Yasmine Coulombe, Camie Lin Coulomb, Marie-Christine Gendron et Maude Lebel, amassée à la suite d’un spectacle présenté dans leur garage au profit de ce voyage humanitaire en Haïti. |
Contribution pour le voyage humanitaire en Haïti Les membres du Club Right To Play de l’Université de Moncton se sont envolés le 30
avril pour un troisième voyage humanitaire en Haïti. Pendant ce voyage de 12 jours, les
36 étudiants et étudiantes offriront à plus de 4 000 enfants haïtiens des ateliers de
jeux éducatifs afin de combattre la pauvreté et la maladie, en plus de promouvoir la
résolution de conflit. L’équivalent de 5000 livres d’équipement sera également
distribué entre dix écoles, orphelinats et hôpitaux.
| Concert de la guitariste canadienne Emma Rush
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Concert de la guitariste canadienne Emma Rush Le Département de musique de l’Université de Moncton présente Emma Rush en concert,
le vendredi 13 mai à 20 heures dans la salle Neil-Michaud du pavillon des Beaux-arts au
campus de Moncton.
La guitariste canadienne est née à Hamilton, en Ontario. Son intérêt pour la musique
se développe dès son plus jeune âge et l’incite à jouer plusieurs instruments avant
de découvrir son amour pour la guitare. Elle étudie d'abord avec le guitariste Jonathan
Earp avant de s'installer à Halifax où elle travaille avec Douglas Reach à Dalhousie
University, puis obtient le baccalauréat en musique d'interprète-concertiste.
Pendant cette période, Emma Rush participe en tant que soliste à un grand nombre de
concerts et de « masterclasses » et joue également en formation de musique de chambre.
Très vite, on la remarque pour son jeu expressif et son timbre chaleureux. Plusieurs
récompenses lui sont attribuées au cours de ses études, notamment le James and Abby
Campbell Scholarship en 1999 et le prix d'excellence Dalhousie Women’s Alumnae en 2002.
Elle devient la plus jeune guitariste à être invitée en tant que professeure au
Festival de guitare d'Halifax.
De 2002 à 2006, elle étudie à la Hochschule für Musik de Dortmund, en Allemagne, où
elle travaille avec Dale Kavanagh, guitariste de renommée internationale. Elle conclut
ses études en obtenant le meilleur résultat de cette classe. Pendant son séjour, elle a
l'occasion de se perfectionner auprès de nombreux maîtres en participant aux «
masterclasses » de David Russell, Roland Dyens, Carlo Marchione et Tilman Hoppstock pour
n'en citer que quelques-uns. Elle donne de fréquents concerts en tant que soliste en
Allemagne et ailleurs, et joue régulièrement en duo avec le guitariste turc Tuba
Akkaya.
De retour à Hamilton, Emma Rush poursuit sa carrière de concertiste et d'enseignante en
Amérique du Nord en poursuivant ses activités en Europe. Elle se produit régulièrement
dans des festivals internationaux, dont ceux d'Iserlohn en Allemagne et d'Acadia en
Nouvelle-Écosse. Récemment, elle s'est produite dans le sud des États-Unis, dans les
provinces maritimes ainsi qu'au 17e Festival international d'Iserlohn. Les concerts à
venir auront lieu au Canada, au Mexique, en Allemagne et en Turquie.
L’entrée est de 10 $ pour les adultes et de 5 $ pour les étudiants et étudiantes et
les personnes aînées. Bienvenue à tous et à toutes.
Renseignements : 858-4040, michel.cardin@umoncton.ca
| Projet-impôt : 637 déclarations de revenus ont été complétées par les étudiants de la Faculté d’administration
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Projet-impôt : 637 déclarations de revenus ont été complétées par les étudiants de la Faculté d’administration Pendant trois jours consécutifs en mars, des étudiants et étudiantes de troisième et
quatrième années de la Faculté d’administration de l’Université de Moncton, campus
de Moncton, ont rempli sans frais les déclarations de revenus de 637 contribuables ayant
un revenu annuel inférieur à 30 000 $ et dont la situation financière était simple.
C’est 11 déclarations de moins que l’année précédente.
Les étudiants et étudiantes ont rempli 427 déclarations de revenus entre le 18 et le 20
mars. Ils ont également rempli 186 déclarations de revenus dans des foyers et
institutions et ont fait deux visites à domicile pour des personnes ayant un handicap.
Enfin, 22 autres déclarations de revenus ont été complétées sur rendez-vous à la
Faculté d’administration.
Le comité de cette 41e édition du Projet-impôt était composé, à la coordination, de
Pruvoste Agoua, Stéphanie Couturier, Stéphane Chouinard, Stéphanie Thibeault, Fatima
Zahra Leyoussi, Nelly Nezerwe, Dave Clavette, Koffi Nango N’Djore et Sarata Zallé; des
professeurs Edgar Léger maintenant à la retraite, Monique Levesque, Egbert McGraw et
Philippe McGraw; des collaborateurs externes Marie-Ève Godbout, Christian Bouchard et
Julie Ouellette, comptables; André Carroll, étudiant en droit; Christian Girouard,
avocat; Manon Cormier et Monique Blaquière, de la fonction publique.
Le Projet-impôt a aussi obtenu le soutien technique de Gaston LeBlanc, doyen de la
Faculté d’administration; Linda Coulombe, adjointe administrative; André Léger et
Manuel Brun, techniciens; Natalie Allain et Jeannette Gaudet, secrétariat de la Faculté
d’administration; et Nathalie LeBlanc, de l’Agence du revenu du Canada.
| La FSM célébrera Symphonie Nouveau-Brunswick
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La FSM célébrera Symphonie Nouveau-Brunswick La Fondation symphonique de Moncton Inc. célébrera Symphonie Nouveau-Brunswick lors
d’une soirée qui aura lieu le lundi 23 mai à 18 heures et qui comprendra un superbe
repas au restaurant Le Petit Cavalier, au 52, rue Weldon. Ce repas sera suivi du concert
de Symphonie Nouveau-Brunswick au Théâtre Capitol et qui mettra en vedette Jasper Wood
au violon dans le Concerto pour violon de Mendelssohn. Venez appuyer la SNB et passer une
magnifique soirée pour seulement 75 $.
On profitera de cette occasion pour fêter l’anniversaire de naissance d’une grande
amie des arts et de la musique, Thea Borlase.
Pour renseignements et réservation (obligatoire) de billets, vous pouvez joindre Holly
Waltz, au 372-5386, Susan Atkinson, au 384-2332, Donald ou Yolande LeBlanc, au 382-8598,
Jeffrey Deloughery, au 862-1082, Sarah Colwell, au 857-5315, Paul Delaney, au 857-9127 ou
Rita Landry, au 389-8265.
| Le recteur Yvon Fontaine a été bien « rôti » lors d’une soirée-bénéfice organisée par le CNM
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Bernard Poirier, secrétaire administratif du CNM ; Yvon Fontaine, recteur et vice-chancelier; Martin Waltz, chef de choeur du CNM; Jeannot Castonguay, ancien président du Conseil des gouverneurs et l’un des rôtisseurs du « bien cuit »; Conrad Coughlan, président du CNM; et Gilles G. Nadeau, coordonnateur du « bien cuit ». |
Le recteur Yvon Fontaine a été bien « rôti » lors d’une soirée-bénéfice organisée par le CNM C’est sous le signe de l’humour que plus de 400 convives ont participé au «
bien-cuit » annuel de Chœur Neil-Michaud tenu à l’hôtel Delta Beauséjour de
Moncton. La « victime » de cette année était Yvon Fontaine, recteur et vice-chancelier
de l’Université de Moncton.
Cette soirée-bénéfice a été organisée dans le cadre du 20e anniversaire de la
création du Fonds de bourses Neil-Michaud dont les intérêts sont versés en bourses
d’études à des étudiantes et étudiants inscrits en musique à l’Université de
Moncton. Quatre rôtisseurs ont profité de l’occasion pour bien « rôtir » le
recteur Fontaine qui s’était prêté allégrement à cette soirée teintée d’humour.
Toutes les étapes de la carrière de M. Fontaine, à partir de sa jeune enfance jusqu'au
rectorat de l’Université de Moncton et la présidence de l’Agence universitaire de la
francophonie, ont été évoquées par le Dr Jeannot Castonguay, d’Edmundston, ancien
président du Conseil des gouverneurs de l’U de M, Neil Boucher, vice-recteur à
l’enseignement et à la recherche, Dominique, fille de M. Fontaine, et Jean-Marie
Nadeau, un ami de longue date.
Les profits de la soirée seront versés au Fonds de bourses Neil-Michaud dont
l’objectif a été fixé à 100,000 $. De nombreuses personnalités du monde
universitaire et du domaine socioéconomique et politique avaient accepté l’invitation
de venir honorer M. Fontaine, en reconnaissance pour son immense contribution à la vie
universitaire et à la société dans son ensemble.
Des étudiants du Département de musique ont égayé les invités pendant la réception
qui a précédé le banquet.
Le Chœur Neil-Michaud, sous la direction de Martin Waltz, a interprété quelques chants
de son répertoire en plus d’un chant de circonstance préparé expressément pour
l’occasion.
| Conférences portant sur l’habillement traditionnel acadien présentées au Musée acadien
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Conférences portant sur l’habillement traditionnel acadien présentées au Musée acadien Dans le cadre de la Journée internationale des musées le 18 mai, Annette Léger White et
Sally Erskine Doucette prononceront une conférence publique, intitulée respectivement «
Tendances de mode dans l’habillement traditionnel acadien » et « Le costume acadien en
Nouvelle-Écosse en 2005 : aristocrate, paysan, festival et bien plus ... », le mercredi
18 mai à compter de 18 h 30 au Musée acadien du campus de Moncton.
C'est un fait bien établi que les Acadiens et les Acadiennes cultivaient le chanvre et le
lin et élevaient des brebis pour la laine afin que la fibre soit employée de façon
domestique dans la confection de leur habillement. Cette autosuffisance a été employée
pour expliquer le caractère pratique et simple de ce peuple même à partir de sa tenue
vestimentaire.
Voulant identifier les Acadiens et les Acadiennes comme un peuple unique, plusieurs des
représentations du vêtement acadien ont été basées sur la croyance d’une vie simple
dans une société égalitaire et, pour cette raison, ils n’auraient pas eu tendance à
suivre la mode du temps. Cependant, une analyse plus profonde rapporte que certains
éléments dans l’étude du vêtement acadien ont été minimisés afin d’accorder
plus d’importance à l’aspect traditionnel; en effet, les tendances de mode et le
style ont longtemps fait partie du vêtement féminin en Acadie.
Annette Léger White est une enseignante de carrière qui a toujours eu une passion pour
les costumes d’époque. Elle a anciennement été conservatrice en textile et costume
au Musée acadien de l’Université de Moncton, tout en collaborant avec d’autres
musées et villages historiques pour y offrir son expertise, particulièrement dans la
coupe et la confection du costume. Elle a participé à la production d’un film, à la
publication de divers articles, à la fabrication de patrons et d’illustrations, en plus
de donner maintes présentations, ateliers et entrevues sur le costume d’époque. Elle
a été conférencière au Congrès mondial acadien de 2009 où elle a prononcé une
conférence portant sur les tendances de mode dans l’étude de l’habillement acadien.
Grâce à son travail d’auteure, Sally Erskine Doucette a remarqué que de nombreux
habitants néo-écossais se préparant pour le Congrès mondial acadien qui a eu lieu en
Nouvelle-Écosse en 2005 assistaient à des ateliers portant sur la fabrication d’un
costume acadien. Ce qui a attiré son attention car elle ne savait pas qu’il existait un
« costume acadien ». Cette présentation est le résultat de ses recherches, y compris
les visites dans les ateliers, les musées et les festivals afin d’apprendre comment les
gens s’habillent pour exprimer leur identité acadienne.
Sally Erskine Doucette possède deux diplômes de Dalhousie University, le baccalauréat
en histoire du Canada et la maîtrise en planification urbaine et rurale. Elle travaille
toujours dans le domaine du logement, se concentrant davantage sur ceux destinés aux
personnes aînées.
Sally coud depuis l’âge de cinq ans. Adolescente, elle a travaillé chez Goodman’s
for Fabrics à Halifax où elle a été plongée dans le merveilleux monde du textile. En
2004, le Dartmouth Heritage Museum lui a demandé de reproduire le célèbre ensemble de
mariage Bellefontaine pour son exposition sur la culture acadienne. Cette copie a été
achetée pour la collection du Acadian House Museum / L'Acadie de Chezzetcook de la
Nouvelle-Écosse.
Bienvenue à tous et à toutes. Renseignements : Jeanne Mance Cormier, au 858-4088.
| La performance par le plaisir en compagnie de Jean-Luc Tremblay
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La performance par le plaisir en compagnie de Jean-Luc Tremblay Jean-Luc Tremblay, considéré comme le « Patch Adams de l’administration », sera
l’invité du 31e Colloque portant sur la formation professionnelle pour le personnel de
bureau, qui aura lieu le vendredi 3 juin au campus de Shippagan.
Sa conférence, intitulée « La performance par le plaisir », saura convaincre le
participant ou la participante qu’être le meilleur ne relève pas uniquement du talent
et de la chance contrairement à ce que la majorité des gens croient. M. Tremblay
souligne qu’une constante caractérise ces personnes et que certains éléments doivent
être toujours présents. « Tous ceux et celles qui sont les meilleurs et qui brillent
parmi les meilleurs les utilisent consciemment ou inconsciemment, dit-il. La bonne
nouvelle est que l’identification des constituants de cette nouvelle philosophie de
gestion permet maintenant à n’importe qui de devenir le meilleur dans une sphère
d’activité et même de briller parmi les meilleurs. »
Aux antipodes des paradigmes organisationnels et des modèles mentaux traditionnels, ce
modèle de gestion inédit, qui a été développé au Québec par M. Tremblay, transcende
toutes les philosophies de gestion existantes. Il est convaincu que les gens heureux
produisent plus et mieux. « Toute personne normalement constituée vit dans la recherche
du plaisir, ajoute-t-il. La quête du plaisir constitue une préoccupation constante et
omniprésente dans la vie des gens. »
C’est d’ailleurs le plaisir qui a stimulé l’évolution du monde et qui nous a
apporté tout le confort et le modernisme dont nous bénéficions. Son action ne se
dément pas : le plaisir génère la passion qui elle-même engendre à la fois
l’émulation, la créativité et le dépassement professionnel. M. Tremblay proposera
donc une approche de gestion originale truffée d’exemples et de pistes d’action qui
s’appuie sur les constituants du plaisir.
Empreinte d’humour, cette conférence d’un réalisme étonnant démontrera le sérieux
du plaisir. Elle constitue un temps d’arrêt pour réfléchir sur notre qualité de vie
au travail. C’est à voir et à entendre absolument.
Ateliers
Cinq ateliers complètent la programmation du colloque. Il s’agit de « Communications
hautes en couleur avec Insights Discovery », avec Isabelle Butler; « La génération Y
et les relations intergénérationnelles », avec Josée Garceau; « Comment maintenir
l’équilibre vie-travail », avec Lorraine Haché; « PowerPoint 2007 – avancé »,
avec Patrick Kenny; et « À la découverte d’Antidote », en compagnie de Dolorès
Tam.
Il est encore temps de s’inscrire au colloque en visitant le site Internet ci-dessous.
| Le Défi Hockey FrancoFun de Dieppe verse 10 000 $ à des organismes communautaires
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir l’équipe de hockey de l’Université de Moncton, les Aigles Vieux. Il s’agit, de gauche à droite, 1re rangée : Léo Godin, mascotte; Denis Gauvin, Félix Savoie, mascotte; Claude Lavoie, Stéphane LeBlanc et Roger G. LeBlanc; 2e rangée : Philippe Saulnier, Serge Bourgeois, Rémi Landry, Alain Haché, Luc LeBlanc, Steve LeBlanc et Georges Comeau; 3e rangée : la mascotte Roland, Mathieu Bélanger, Luc Tremblay, Nelson Ouellet et Yves Bourgeois. |
Le Défi Hockey FrancoFun de Dieppe verse 10 000 $ à des organismes communautaires La 8e édition de ce tournoi de hockey amical a encore une fois connu un grand succès.
Cette année, des bourses totalisant 10 000 $ ont été octroyées à des organismes
communautaires.
Les deux équipes finalistes dans la division Coors Light, l’APECA et l’Université de
Moncton, ont reçu chacune une bourse de 1 500 $ au profit de leur œuvre de bienfaisance,
la Promotion de dons d’organes Yannick-Degrâce et le Fonds de bourses régime
coopératif de l’Université de Moncton. L’APECA a remporté le match par la marque
de 2 à 1 et elle est championne pour la première fois de son histoire à ce tournoi.
Dans la division Molson, la partie opposait Bell Aliant et le Centre hospitalier
universitaire Dr-Georges-L.-Dumont #2. Bell Aliant a remporté les honneurs par la marque
de 3 à 2 et son nom est inscrit pour la première fois sur le trophée des champions.
Les deux équipes en ressortent gagnantes alors qu’elles versent à leur œuvre de
bienfaisance respective, Les Pionniers d’Aliant et le Centre de ressources familiales du
Grand Moncton, des bourses de 1 500 $ chacune.
Quant aux quatre équipes de la demi-finale, elles ont aussi bénéficié de bourses pour
leurs œuvres respectives, sans pour autant participer aux finales. Dans la demi-finale
Coors Light, la Maison Nazareth, représentée par Radio-Canada Acadie, a récolté 1 000
$. L’équipe a perdu contre l’APECA par la marque de 6 à 1. Dans l’autre
demi-finale de cette division, les Caisses populaires acadiennes ont perdu par la marque
de 4 à 2 contre l’Université de Moncton. L’équipe reçoit tout de même 1 000 $
qui seront remis à Ability Transit.
Dans la division Molson, Centraide/United Way, représenté par Exxon Mobil, a obtenu une
bourse de 1 000 $. Exxon Mobil a perdu son match de demi-finale contre Bell Aliant au
compte de 5 à 3. Dans l’autre demi-finale, Assomption Vie a récolté 1 000 $ pour son
œuvre de bienfaisance, le Mobile One Soup Kitchen. L’équipe a perdu sa partie par la
marque de 2 à 1 contre le Centre hospitalier universitaire Dr-Georges-L.-Dumont #2.
Quatre bourses de 1 500 $ et quatre bourses de 1 000 $ ont été remises à des œuvres de
bienfaisance de la communauté pour un global de 10 000 $. « C’est au-delà de 60 000
$ qui ont été remis depuis la première édition, indique Marc Lanteigne, président du
comité organisateur. Ce tournoi connait toujours une très bonne participation. Grâce
à l’excellente collaboration de toutes les équipes, des bénévoles et de nos
précieux commanditaires, on a encore une fois pu atteindre notre objectif et nous en
sommes très heureux. »
Le but de ce tournoi est de réunir dans un esprit de camaraderie des équipes composées
d’employés de différentes institutions francophones du Grand Moncton tout en faisant
une contribution à la communauté. « Ce tournoi est une bonne occasion de démontrer
une fois de plus l'implication sociale de ces grandes institutions majoritairement
francophones dans notre communauté », ajoute M. Lanteigne.
Cette année encore, 16 équipes étaient au rendez-vous : la ville de Dieppe,
l'Université de Moncton, Radio-Canada Acadie, Pêches et Océans, district scolaire 1,
Bell Aliant, Exxon Mobil, l'école secondaire Mathieu-Martin, Assomption Vie, Banque
Nationale, les avocats francophones, l’APECA, la Croix Bleue Medavie, les Caisses
populaires acadiennes et deux équipes du Centre hospitalier universitaire
Dr-Georges-L.-Dumont.
Les équipes se promettent d’être au rendez-vous pour une autre semaine des plus
amusantes en avril 2012 pour la 9e édition du Défi Hockey FrancoFun de Dieppe.
Renseignements : Marc Lanteigne, au 384-6272, danmarc@rogers.com
| Résultats obtenus dans un laboratoire de recherche dans un cours de laboratoire
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Résultats obtenus dans un laboratoire de recherche dans un cours de laboratoire En cette Année internationale de la chimie, Mohamed Touaibia, professeur de chimie à
l’Université de Moncton, campus de Moncton, vient de publier un article arbitré dans
le Journal of Chemical Education (vol. 88, 2011, p. 473-475), le seul journal dédié à
l'enseignement de la chimie.
Cet article, intitulé « Natural Product Total Synthesis in the Organic Laboratory: Total
Synthesis of Caffeic Acid Phenethyl Ester (CAPE), A Potent 5-Lipoxygenase Inhibitor from
Honeybee Hives », est le parfait exemple de l’exploitation de résultats obtenus dans
un laboratoire de recherche dans un cours de laboratoire.
À la suite d’une optimisation dans le laboratoire de chimie médicinale du professeur
Touaibia, les étudiantes et étudiants du Département de chimie et biochimie inscrits au
cours de synthèse chimique (CHIM 2482) ont réalisé la synthèse de ce produit naturel
avec succès. Avec cette expérience, ils ont été introduits à la synthèse des
composés biologiquement actifs en plusieurs étapes, démontrant ainsi la relation entre
la chimie organique et la découverte de médicaments.
Avec cette expérience, les étudiantes et étudiants ont pu expérimenter l'atmosphère
d'un laboratoire de recherche en chimie médicinale, ce qui peut augmenter leur intérêt
pour la poursuite d’études supérieures en chimie.
| Frenzada Mallet reçoit le Prix d'alphabétisation du Conseil de la fédération
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Agrandir l'imageDans la photo, Mme Mallet reçoit son prix du ministre Craig Leonard au Centre des congrès de St. Thomas University à Fredericton.
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Frenzada Mallet reçoit le Prix d'alphabétisation du Conseil de la fédération Frenzada Mallet, de Caraquet, a reçu le Prix d'alphabétisation du
Conseil de la fédération 2010, distinction qui récompense des
Canadiens et Canadiennes qui contribuent de façon exceptionnelle à
l'alphabétisation, que ce soit au sein des familles, auprès des
Autochtones, dans le milieu de la santé, sur les lieux de travail ou dans les
communautés.
Diplômée du baccalauréat en éducation de
l'Université de Moncton, Mme Mallet a enseigné pendant 35 ans dans les
écoles du Nouveau Brunswick et du Québec, de même qu’aux
collèges communautaires de la Péninsule acadienne.
Pendant 15 ans, elle a offert bénévolement des cours de grammaire
française suivis d'une dictée à la Bibliothèque publique
Mgr Paquet de Caraquet. Et dans le cadre de la Semaine de la fierté
française, elle est responsable depuis une dizaine d'années du concours
de la dictée française destiné aux élèves de 12e
année des écoles secondaires de la Péninsule acadienne,
organisé par les clubs Richelieu de la région et l'Association
France-Canada.
En plus d'aider certaines personnes en difficulté d'apprentissage, elle
se rend depuis de nombreuses années à la Villa Beauséjour de Caraquet
pour aider une dame atteinte d'une maladie incurable à faire des mots
croisés.
| CIAF : sessions de formation et de perfectionnement linguistiques pour des juges de cours provinciales
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CIAF : sessions de formation et de perfectionnement linguistiques pour des juges de cours provinciales Le Centre international d’apprentissage du français situé au campus de Shippagan, en
collaboration avec la Cour provinciale du Nouveau-Brunswick, offrira pour la toute
première fois des sessions de formation et de perfectionnement linguistiques à des juges
de cours provinciales.
La session de formation linguistique a pour but de permettre aux juges de développer leur
assurance pour exercer diverses fonctions judiciaires, tandis que la session de
perfectionnement linguistique vise l’acquisition de compétences en rédaction de
documents juridiques. En tout, une quinzaine de juges de l’Alberta, de la Saskatchewan,
du Manitoba, du Nouveau-Brunswick et de l’Île-du-Prince-Édouard participeront aux
sessions qui se tiennent en mai.
« Nous sommes ravis d’accueillir autant de juges des cours provinciales dans le cadre
de ces sessions qui s’annoncent extrêmement intéressantes », mentionne la directrice,
Marie-Claude Rioux. Et comme nous avons à cœur de répondre aux besoins particuliers de
notre clientèle, nous nous sommes associés à des experts dans le domaine soit le Centre
canadien de français juridique (CCJF) et Mme la juge Louise Mailhot. »
Le Centre canadien de français juridique regroupe des enseignants et des élaborateurs de
programmes de français juridique comptant plus de dix ans d'expérience dans le domaine
de la formation linguistique.
Quant à Mme la juge Mailhot, elle est l’auteure de nombreux ouvrages portant sur la
rédaction juridique et a notamment mis sur pied un programme d'enseignement de rédaction
judiciaire en français à l’intention des juges de nomination provinciale.
Ces sessions de formation et de perfectionnement linguistiques sont rendues possibles
grâce à la contribution financière de Justice Canada.
Fondé en 2001, le CIAF est la seule école de français en Atlantique reconnue par
Langues Canada. Le CIAF offre des cours de français langue seconde et de
perfectionnement en français à une clientèle variée comme le personnel de divers
ordres de gouvernement, les gens d’affaires, les enseignants et les juges.
| Gouvernance locale : il est temps d’agir - le rapport Finn 30 mois plus tard
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Gouvernance locale : il est temps d’agir - le rapport Finn 30 mois plus tard L’Institut canadien de recherche en politiques et administration publiques (ICRPAP), en
collaboration avec le groupe régional de Moncton de l’Institut d’administration
publique du Canada (IAPC) et le Département d’administration publique de
l’Université de Moncton, organise un dîner‐causerie portant sur la gouvernance
locale, le mardi 24 mai à 11 h 45 dans la salle Richelieu du pavillon
Léopold‐Taillon.
Deux ans et demi après la sortie du rapport « Bâtir des gouvernements locaux et des
régions viables : plan d'action pour l'avenir de la gouvernance locale au
Nouveau‐Brunswick » déposé en décembre 2008, on croit qu’il est temps de faire le
point.
Lors de cette conférence, Jean‐Guy Finn, commissaire chargé d'examiner l'avenir de la
gouvernance locale, fera un survol des principales recommandations de son rapport et
pourquoi sa mise en oeuvre complète est indispensable pour assurer la viabilité et le
développement économique des communautés.
Suivra une présentation de Lise Ouellette, directrice générale de l’Association
francophone des municipalités du Nouveau‐Brunswick, qui portera sur la position de
l’AFMNB à propos du rapport.
Cette conférence sera prononcée en français seulement. Le programme est le suivant : de
11 h 45 à 12h15, inscription et goûter; 12 h 15 à 12 h 45, Jean‐Guy Finn; 12 h 45 à
13 h 15, Lise Ouellette; 13 h 15 à 13 h 30, période de questions.
Les frais d’inscription incluant le repas sont payables sur place : 10 $ (sans frais
pour les étudiants et étudiantes). Prière de confirmer votre présence avant le 18 mai
auprès de
Manon Cormier à manon.cormier@umoncton.ca
ou au numéro 506-858-4506.
Bienvenue à tous et toutes.
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