Voici les archives de l’Hebdo-Campus du 16 avril 2009 au 20 septembre 2018
Les prix Choix-FM en journalisme radio sont présentés à deux étudiants en information-communication
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Les prix Choix-FM en journalisme radio sont présentés à deux étudiants en information-communication Les prix Choix-FM 2012 sont attribués à Catherine Allard et
Marc-André LeBlanc, des récompenses accordées aux meilleurs
reportages produits par des étudiants du cours « Journalisme radio II »
du Programme d’information-communication de l’Université de
Moncton.
Catherine Allard
À l’automne 2011, Catherine Allard s’est rendue dans la
première maison d’accueil au pays pour des Amérindiens souffrant de
maladie mentale. Située dans la réserve de Whycocomagh, au sud
d’Inverness au Cap-Breton, cette maison est opérée par les Autochtones
eux-mêmes et offre, selon les cas, un accompagnement continu ou pour personnes
à autonomie réduite. Son nom est Mawita’mk, ce qui signifie en micmac
« être ensemble ».
Ce sujet original est traité par l’intermédiaire des
résidents de la maison, d’employés et du cofondateur qui se
présentent eux-mêmes au micro et expliquent leur rôle ou l’aide
qu’ils y ont reçue. Ce reportage-témoignages nous fait connaître
les résultats d’une initiative offrant une aide spécialisée au
sein d’une communauté amérindienne qui veille elle-même sur ce
centre.
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... Marc-André LeBlanc
Lors du 40e anniversaire de la Fédération des jeunes francophones du Nouveau-Brunswick,
Marc-André LeBlanc a profité d’une rencontre de près de 100 jeunes membres de la
FJFNB en février dernier à Saint-Quentin pour dresser un bilan de l’organisme.
C’est dans une atmosphère de fête, mais aussi à travers des discussions portant sur
l’éducation et les conseils étudiants, et des ateliers portant sur le journalisme
scolaire, le parlementarisme et la chanson, qu’il s’est entretenu avec de nombreux
participants et participantes. Ce reportage souligne ainsi l’apport tangible de la FJFNB
à la construction identitaire et à l’implication sociale des jeunes Acadiens et
Acadiennes.
Ces prix annuels sont une gracieuseté de la station radio Choix (CHOY)-FM de Moncton et
comportent une bourse de 500 $ remise à chaque lauréat. Renseignements : François
Giroux, au 858-4149.
| Séminaire de mémoire doctoral en psychologie
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Séminaire de mémoire doctoral en psychologie Daria Ponomartchouk présentera un séminaire de mémoire doctoral en psychologie,
intitulé « Compétence de la femme dans son nouveau rôle de mère : les origines et les
impacts », le mardi 12 juin à 10 heures dans la salle Gérard-Cormier (504) du pavillon
Léopold-Taillon au campus de Moncton.
La directrice de ce séminaire est la professeure Geneviève Bouchard.
Bienvenue à tous et à toutes. Renseignements : 858-4171.
| Marie-Ève Cloutier reçoit une bourse d’excellence du Consortium national de formation en santé
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Agrandir l'imageDans la photo, Marie-Ève Cloutier, au centre, reçoit la bourse nationale d’excellence du Consortium national de formation en santé et le certificat de reconnaissance décerné par le ministère de Santé Canada. Elle est accompagnée de Neil Boucher, vice-recteur à l’enseignement et à la recherche à l’Université de Moncton, à gauche, et de Roger Farley, directeur général par intérim à la Direction des programmes de Santé Canada. |
Marie-Ève Cloutier reçoit une bourse d’excellence du Consortium national de formation en santé Lors de son assemblée générale annuelle qui a eu lieu au Collège communautaire du
Nouveau-Brunswick de Dieppe, le Consortium national de formation en santé (CNFS) a remis
une bourse d’excellence de 1000 $ à une étudiante ou un étudiant de chacun de ses
établissements membres.
Le groupe de candidats retenus était formé d’étudiantes ou étudiants
exceptionnellement méritants inscrits dans un programme d’études postsecondaires en
santé du CNFS et démontrant leur engagement envers une communauté francophone en
situation minoritaire et leur participation active à la vie étudiante ou au sein de leur
établissement.
La bénéficiaire de l’Université de Moncton est Marie-Ève Cloutier, étudiante de
troisième année au baccalauréat en nutrition. Originaire de Saint-Jean-sur-Richelieu au
Québec, elle a complété une technique en diététique au Collège Maisonneuve à
Montréal. Elle s’est distinguée des autres personnes candidates en ce qui a trait à
son engagement exemplaire envers la communauté et la francophonie.
À titre de bénévole au Collège Frontière, Marie-Ève offre ses services aux nouveaux
arrivants dans la grande région de Moncton qui veulent apprendre le français. Le
Collège Frontière est un organisme national à but non lucratif qui œuvre depuis 1899
à élever le niveau d’alphabétisme des Canadiennes et des Canadiens. La coordonnatrice
régionale de cette organisation, Janette Desharnais, rappelle que Marie-Ève est une
personne très attachante qui s’entend très bien avec tous les apprenants avec qui elle
travaille. « Elle démontre une gentillesse et une belle joie de vivre, dit-elle. Elle
démontre aussi beaucoup de potentiel en leadership; elle sait prendre une situation en
main et agit de façon professionnelle face à ses tâches de tutrice. Son assiduité est
excellente. Nous sommes choyés de l’avoir dans notre équipe ! »
Au printemps dernier, Marie-Ève a été capitaine d’une équipe de bénévoles qui
représentait l’Université de Moncton au Relais pour la vie de la Société canadienne
du cancer. Dans le cadre de cet événement, son équipe a permis d’amasser des dons
totalisant plus de 2000 $. Passionnée de sport, elle a également fait partie de
l’équipe de volleyball des Aigles Bleues de l’Université de Moncton pendant sa
première année à l’Université. Elle pratique aussi le surf des neiges et le patin à
roulettes. En plus d’être vice-présidente externe du conseil étudiant de la Faculté
des sciences de la santé et des services communautaires, Marie-Ève est aussi tutrice en
matière de français au sein du Services aux étudiantes et étudiants ayant un handicap.
Elle a choisi d’étudier à l’Université de Moncton pour plusieurs raisons, notamment
parce que les stages sont intégrés au programme de nutrition et parce que le ratio
professeur/étudiants est très favorable. Elle souhaitait également améliorer ses
compétences linguistiques en anglais.
Marie-Ève a décidé de s’établir dans la région de Moncton pour servir nos
communautés francophones en situation minoritaire à titre de diététiste
professionnelle dès qu’elle aura obtenu son diplôme.
Le CNFS est un regroupement de 11 établissements d’enseignement universitaire et
collégial offrant des programmes d’études en français dans diverses disciplines de la
santé, et de six partenaires régionaux permettant d’améliorer l’accès à ces
programmes de formation en santé en français.
Le CNFS compte également un secrétariat national situé à Ottawa qui joue un rôle de
leadership, de développement et de concertation dans la planification et la réalisation
de ses objectifs. Cette alliance stratégique permet d’accroître la présence et
l’apport de professionnels de la santé et de chercheurs francophones afin
d’améliorer l’offre de services de santé en français de qualité et adaptés aux
besoins des communautés francophones en situation minoritaire.
Les programmes et initiatives du CNFS sont possibles grâce au financement et à la
collaboration soutenus de Santé Canada dans le cadre de la Feuille de route sur la
dualité linguistique.
Renseignements : 858-4788 / mai.savoie@umoncton.ca / www.mavieestensante.ca
| Bourses d’accueil pour les gagnants du concours Accros de la chanson
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, 1re rangée : les membres du groupe Razzia, Mathieu Boudreau, Jeremy Fitzgerald, Maxime Roy et Justin Frenette; 2e rangée : Gabrielle Sirois; Marie-Linda Lord, vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales de l’Université de Moncton; et Caroline Savoie. Martine Boisvert était absente lorsque la photo a été prise. |
Bourses d’accueil pour les gagnants du concours Accros de la chanson L’Université de Moncton a offert des bourses d’accueil aux gagnantes et gagnants de
la 8e finale du concours Accros de la chanson, organisée cette année au Monument
Lefebvre de Memramcook par la Fédération des jeunes francophones du
Nouveau-Brunswick.
Le groupe gagnant Razzia, composé de quatre élèves de l’école Népisiguit de
Bathurst, a reçu des bourses d’accueil totalisant 6 000 $ pour avoir remporté les
honneurs dans la catégorie « Groupe ». Caroline Savoie, gagnante dans la catégorie «
Solo » et élève de l’école Mathieu-Martin de Dieppe, a reçu une bourse de 1 500 $;
Martine Boisvert, lauréate du volet « Écriture » et élève de l’école
Marie-Gaétane de Kedgwick, a reçu une bourse de 500 $; et Gabrielle Sirois, gagnante du
volet « Interprétation » et élève à l’école secondaire Thomas-Albert de
Grand-Sault, a reçu une bourse de 500 $.
| Une contribution de 25 000 $ au Fonds de bourses Clément-Cormier
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Antonine Maillet, chancelier émérite; André G. Richard, président du Conseil des gouverneurs; Yvon Fontaine, recteur et vice-chancelier; Linda Schofield, directrice générale des relations universitaires et présidente du comité organisateur de la soirée hommage; et Louis R. Comeau, chancelier. |
Une contribution de 25 000 $ au Fonds de bourses Clément-Cormier Le 23 mai, l’Université de Moncton a organisé une soirée en hommage à Yvon Fontaine,
qui termine un mandat de 12 ans à titre de recteur et vice-chancelier.
Les profits de la soirée, une somme de 25 000 $ (y compris un don de 5 000 $ de
l'Association des anciens, anciennes et amis de l’U de M), ont été versés au Fonds de
bourses Clément-Cormier, le plus important de l’Université de Moncton, qui souligne
cette année son 35e anniversaire de fondation. Ce fonds de bourses s’élève à plus de
trois millions de dollars.
Renseignements : 858-4168 / stephane.leblanc@umoncton.ca
| Bourses Reine Elizabeth II
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Bourses Reine Elizabeth II Le ministère de l’Éducation et du Développement de la petite enfance du
Nouveau-Brunswick offre annuellement cinq bourses d’une valeur de 1 000 $ chacune
(payables à un taux annuel de 500 $ pendant les 3e et 4e années d’études) à des
étudiantes et étudiants inscrits dans des programmes de formation à l’enseignement à
l’Université de Moncton.
Les bénéficiaires des bourses pour l’année 2012-2013 sont Kevin Arseneau, de Moncton,
étudiant au B.A.-B.Ed (majeure en géographie) au campus de Moncton; Michèle Hébert,
d’Edmundston, étudiante au B.Sc.-B.Ed (concentration en mathématiques) au campus de
Moncton; Phémie Maillet, de Bathurst, étudiante au B.A.-B.Ed (primaire) au campus de
Shippagan; Karine Noël, de Pointe-à-Tom, étudiante au B.A.-B.Ed (primaire) au campus de
Shippagan ; et Simon St-Onge, d’Edmundston, étudiant au B.A.-B.Ed (majeure en histoire)
au campus d’Edmundston.
| Les partenaires universitaires du projet transatlantique en gestion de l’information étaient de passage aux campus de Shippagan et de Moncton
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, assis : Anu Harkonen, responsable de la mobilité à l’Université de Turku, en Finlande; Jocelyne Roy-Vienneau, vice-rectrice du campus de Shippagan; et Sandra Vessier, responsable de la mobilité à l’Université de Bretagne-Sud, en France; debout : Sid-Ahmed Selouani, professeur au campus de Shippagan; Bob Travica, professeur à l’Université du Manitoba; Lucille Landry, responsable de la mobilité à l’Université de Moncton; Steve Rose, doyen de l’UOIT, en Ontario; Camille Bourque, du Service de mobilité à l’Université de Moncton; et Peter Dobay, doyen de l’Université de Pesc, en Hongrie. |
Les partenaires universitaires du projet transatlantique en gestion de l’information étaient de passage aux campus de Shippagan et de Moncton Les 23 et 24 mai, le campus de Shippagan a reçu la visite de partenaires canadiens
(Université du Manitoba, University of Ontario Institute of Technology) et européens
(Université de Pecs en Hongrie, Université Bretagne-Sud en France et Université de
Turku en Finlande) impliqués dans le projet de mobilité internationale en gestion de
l’information (Cross Atlantic Partnership in Network Systems and Information
Management).
Des réunions de travail et de coordination ont été programmées aux campus de Moncton
(21 au 23 mai) et de Shippagan (23 et 24 mai) pour faire le bilan des activités
académiques et de mobilité.
Les partenaires ont passé en revue les différents projets bilatéraux en recherche,
ainsi que les échanges d’étudiants et étudiantes en cours.
Mentionnons que grâce à ce projet, une équipe de recherche mixte ontarienne et
finlandaise a réussi à obtenir une subvention du CRSNG canadien dans le domaine de la
sécurité des réseaux. Les partenaires ont également enregistré avec satisfaction les
expériences des étudiantes et étudiants impliqués dans le projet.
Le séjour de la délégation au campus de Shippagan a été mis à profit pour visiter
les installations académiques et de recherche dont l’excellente qualité a été
soulignée de façon unanime. Les membres de la délégation ont également vécu une
expérience exaltante au Centre marin de Shippagan grâce à André Dumas, directeur
scientifique du volet aquaculture à l’IRZC, et à son équipe. Ils ont ensuite assisté
à une présentation très appréciée de Florence Ott, professeure en gestion de
l’information, portant sur la norme ISO 30300 – 30301 ‐ Système de gestion des
documents ainsi que sur les perspectives d'évolution de l'ISO 15489 du Record
Management.
Les universités européennes hôtes espèrent recevoir l’année prochaine des
étudiants et étudiantes du campus de Shippagan car jusqu’à maintenant ce programme
n’a profité qu’à leurs collègues des autres provinces canadiennes et des pays
européens.
| Tournée de conférences dans 13 écoles francophones du Nouveau-Brunswick
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Tournée de conférences dans 13 écoles francophones du Nouveau-Brunswick Encore une fois cette année, Donald Violette, professeur titulaire au Département de
mathématiques, a visité les écoles francophones du Nouveau-Brunswick dans le but de
transmettre sa passion et de faire la promotion des mathématiques.
Il a prononcé une vingtaine de conférences dans 13 écoles et auxquelles ont participé
plus de 1 000 élèves. « C’est toujours un plaisir renouvelé de rencontrer des
élèves intéressés, sympathiques et respectueux, dit-il. Pendant la présentation, les
jeunes réalisent jusqu’à quel point les mathématiques sont partout autour de nous,
autant dans la nature que dans les arts, les sciences ou encore l’architecture. Les
commentaires recueillis après chaque conférence sont certainement la plus belle
récompense qu’un conférencier puisse souhaiter. »
L’an prochain, le professeur Violette pense entreprendre une tournée des écoles
élémentaires pour parler de mathématiques aux élèves de 5e et 6e années. « J’ai
présenté cette année quelques causeries à des jeunes de cet âge; ils sont très
réceptifs et c’est extrêmement plaisant de travailler avec eux. Voilà un autre filon
que je veux développer », conclut-il.
| ICRPAP : conférence portant sur les défis démographiques des politiques publiques canadiennes
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ICRPAP : conférence portant sur les défis démographiques des politiques publiques canadiennes L’Institut canadien de recherche en politiques et administration publiques, en
collaboration avec le Réseau de recherche sur les politiques sociales du
Nouveau-Brunswick et financé en partie par l’Agence de promotion économique de Canada
atlantique et le Conseil de recherche en sciences humaines du Canada, organise une
première conférence d’été de l’Atlantique portant sur les défis démographiques
des politiques publiques canadiennes, aujourd’hui, jeudi 7 juin, de 11 h 30 à 17 h 15
dans la salle Richelieu du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.
Cette conférence a comme objectif de rassembler chercheurs, intervenants communautaires
et décideurs afin de contribuer au développement de politiques publiques basées sur des
données probantes, et d’encourager la collaboration autour d’enjeux clés découlant
du défi démographique.
Elle se veut aussi un carrefour pour encourager le partage des résultats de la recherche
et accroître la capacité des intervenants communautaires et des décideurs en assurant
une mobilisation des connaissances. On désire favoriser des échanges qui permettront
également d’identifier les besoins en matière de recherche et guider le développement
de politiques.
On espère également que ce dialogue entre les différents acteurs permettra
d’établir des liens entre les intervenants du milieu et les chercheurs, et encouragera
l’établissement de nouveaux projets de recherche permettant d’améliorer les
politiques publiques dans le domaine de l’immigration et du défi démographique.
Les présentations se feront dans la langue de choix des personnes ressources et un
service d’interprétation simultanée sera disponible.
Pour le volet strictement académique, deux journées auront lieu à Bouctouche les 8 et 9
juin et auxquelles les personnes intéressées sont invitées à prendre part pour
poursuivre la réflexion. Votre participation à ces deux jours est cependant à vos
frais. Puisque les places sont limitées, il faut s’inscrire dès maintenant.
Renseignements : 858-4506 / lucienne.landry@umoncton.ca
| Le groupe Arseneault lance un tout nouvel album Riguedigue
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Le groupe Arseneault lance un tout nouvel album Riguedigue Le groupe Arseneault, qui regroupe des membres de l’ancienne formation de musique
acadienne La Famille Arseneault, lance un tout nouvel album, Riguedigue!, le samedi 9 juin
à 20 heures dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de
Moncton.
Des musiciens invités joindront le groupe pendant le spectacle : des amis et membres de
la famille, incluant Émerie et Bella Arseneault, parents et anciens membres de La Famille
Arseneault, et quelques surprises.
Riguedigue (vieux mot français signifiant musique) est un album dynamique, transmis par
des musiciens chevronnés dont l’objectif est de faire bouger les gens. On y retrouve
des chansons originales aux origines traditionnelles mais saupoudrées d’influences
modernes. Le choix des pièces a été fait de sorte à plaire aux fans de toujours et à
en attirer de nouveaux, autant les jeunes que les plus vieux.
Celle que l’on nomme la force créatrice du groupe, Linda Arseneault, est l’auteure,
compositrice et interprète principale. Elle s’inspire des expériences de vie, des
chansons qui transmettent la culture acadienne tout en lançant un message clair :
l’objectif est de faire danser les spectateurs. « J’aime écrire des chansons qui
rendent les gens heureux et qui leur donnent espoir, avoue-t-elle. Même lorsque
j’écris sur des sujets qui peuvent à première écoute sembler triste, j’essaie
d’y mettre une tournure plus gaie. »
Aucunement surprenant pour un groupe dont les membres sont d’une même parenté, la
famille est au cœur de certaines chansons dont « L’histoire de nos parents », une
pièce qui rend hommage aux grands-parents, chanson écrite par Linda et Martin Goguen,
percussionniste du groupe et très actif quant à l’organisation de la formation. Il
rappelle que la fierté acadienne est au centre de leur œuvre.
Produit au Studio Belliveau à Grand-Barachois, la réalisation de l’album Riguedigue
est de George Belliveau qui signe également les arrangements musicaux avec Arseneault. La
prise de son et le matriçage sont de Mike Bourgois et la photographie et la conception
graphique de Jocelyne Vautour.
Le groupe a collaboré avec plusieurs musiciens invités : George Belliveau, Joel
Robichaud, Mario Robichaud, Richard Bourque, André Coco McGraw, Benoit Picard et Martin
Gallant.
Les billets sont en vente à 15 $ (plus frais) au 856-4379 ou 1-800-567-1922 ou à
www.admission.com. Une belle soirée en perspective qui promet quelques surprises.
| Soutenance d’une thèse de maîtrise en études de l'environnement
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Soutenance d’une thèse de maîtrise en études de l'environnement Les personnes intéressées sont invitées à assister à la soutenance de thèse de
maîtrise en études de l’environnement de Monique Brideau, intitulée « L’engagement
des femmes envers la protection de l’environnement et la promotion du développement
durable au Nouveau-Brunswick : une perspective écoféminisme? », le mardi 3 juillet à
14 h 30 dans le local B-015 du pavillon Rémi-Rossignol au campus de Moncton.
La thèse de Mme Brideau est effectuée sous la direction d’Omer Chouinard, professeur
à l’Université de Moncton. Les autres membres du jury sont Marie-José Fortin,
professeure à l’UQAR, et Lise Savoie, professeure en travail social à l’Université
de Moncton, qui agit comme évaluatrice interne. Le jury sera présidé par Céline
Surette, directrice de la maîtrise en études de l’environnement.
Bienvenue à toutes et à tous.
Renseignement: 858-4498.
| « Mez'elles... Sois belle et tais-toi ! », une performance mariant la danse, les acrobaties et le théâtre de mouvement
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« Mez'elles... Sois belle et tais-toi ! », une performance mariant la danse, les acrobaties et le théâtre de mouvement Julie Duguay, chorégraphe et danseuse acadienne finaliste dans la catégorie artiste de
l’année en danse au Gala des Éloizes 2012, présente son nouveau spectacle «
Mez'elles... Sois belle et tais-toi! » à la salle Empress du Théâtre Capitol, les
jeudi et vendredi 14 et 15 juin à 20 heures. Ce spectacle est l'aboutissement de deux ans
de recherche et de rencontres entre les disciplines de la danse, du théâtre et de la
vidéo. Cette performance contemporaine qui marie la danse, les acrobaties et le théâtre
de mouvement s’adresse au grand public et est d’une durée de 60 minutes.
« Mez'elles est parfaite! ». C'est l'icône idolâtrée, le modèle à suivre, l'exemple
même du dépassement professionnel et de la réussite. Sous l'apparence première d'un
panneau publicitaire où l'idéal côtoie l'absurde, quatre interprètes vous feront
voyager à travers la course à la perfection... une course menant à d'épuisantes
réalisations. Un drame humain, une quête actuelle, des corps engagés, une danse des
mots, l'humour « jaune » de l'étoile qui vous guide. C’est un détour vers le
succès, fragmenté d'un nouveau souffle.
« Mez’elles… Sois belle et tais-toi! » est un concept et une idée originale de
Julie Duguay qui est également interprète en plus de signer la direction artistique et
les chorégraphies. Le public aura l’occasion de voir sur scène Lou Poirier
(collaboratrice théâtre), Érika Morin et Shannon Leibgott. Les vidéos sont de Julien
Cadieux. La conception de l’éclairage est de Louise Lemieux. La directrice de
répétition est Sophie Michaud.
Les billets sont notamment en vente à la billetterie du campus de Moncton, 18,50 $ pour
les adultes et 16,50 $ pour les étudiants et personnes aînées, frais de service en sus.
On peut également se les procurer en téléphonant au 856-4379 ou encore en ligne au
www.capitol.nb.ca.
| C’est un rendez-vous le 19 juin pour souligner le 49e anniversaire de fondation de l’Université de Moncton
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C’est un rendez-vous le 19 juin pour souligner le 49e anniversaire de fondation de l’Université de Moncton Le 49e anniversaire de fondation de l’Université de Moncton sera souligné le mardi 19
juin et une fête est organisée aux trois campus. Au campus de Moncton, elle relève du
Secteur des ressources humaines avec la collaboration des différentes associations
regroupant les membres du personnel.
Le rassemblement se fera à compter de 11 heures au Café-Campus situé au Centre
étudiant. Tous les membres du personnel, les étudiants et étudiantes, les personnes
retraitées et les sous-traitants sont conviés à la fête.
Les nouveaux membres du Club de 10 ans et du Club de 25 ans seront également honorés
lors d’une présentation de plaques qui aura lieu en présence du nouveau recteur et
vice-chancelier, Raymond Théberge.
Un repas, comprenant du fricot, du poulet, des salades et des hamburgers, sera servi à
tous les membres de la communauté universitaire.
Un spectacle suivra à compter de 13 h 15.
Renseignements : 858-4583.
| Nouveau service de conférence téléphonique
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Nouveau service de conférence téléphonique La Direction générale des technologies a annoncé la mise sur pied d’un nouveau
service de conférence téléphonique qui s’ajoute au système de téléphonie IP du
campus de Moncton et qui est disponible à titre gracieux pour les membres du
personnel.
Il permet de brancher jusqu’à 20 participants et participantes à un même appel
conférence et vous permet également de faire la réservation en ligne.
Pour faire la réservation d’une conférence téléphonique, il suffit de vous
authentifier et de remplir le formulaire disponible à l’adresse
https://www.umoncton.ca/udem-php-dgt-conferencestelephoniques/admin/. À la suite à
votre réservation, votre confirmation ainsi que les instructions pour initier une
conférence téléphonique vous seront communiquées par courriel.
Si vous avez des questions, vous pouvez joindre le Service à la clientèle de la
Direction générale des technologies, au 863-2100 ou à l'adresse dgt@umoncton.ca.
| Un livre qui attire l’attention des soulèvements de masse importants de ces dernières années en Amérique latine
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Un livre qui attire l’attention des soulèvements de masse importants de ces dernières années en Amérique latine Les personnes intéressées sont invitées à faire écho, sous forme de recension
(compte-rendu critique), du livre « L’interpellation plébéienne en Amérique latine.
Violence, actions directes et Virage à gauche », paru chez Karthala – Presses de
l’Université du Québec.
Sous la direction d’André Corten, Catherine Huart et Ricardo Peñafiel, ce livre attire
l’attention sur des soulèvements de masse importants qui ont eu lieu ces dernières
années en Amérique latine, comme l’ont été, par exemple, l’Assemblée populaire
des peuples d'Oaxaca au Mexique en 2006 ou encore le conflit autochtone de Bagua au Pérou
en 2009.
Ces soulèvements des populations sont analysés à travers une réflexion approfondie des
concepts de « plèbe » et d’ « action directe ». Y figure également une postface de
Martin Breaugh, professeur de philosophie politique de l’Université York, auteur de «
L'expérience plébéienne. Une histoire discontinue de la liberté politique » (Payot,
2007).
« L’interpellation plébéienne » est ce moment où la plèbe, masse hétérogène qui
ne peut être réduite à une classe sociale ou à un groupe d’intérêts, s’affirme
comme sujet politique par divers moyens qui confrontent parfois la légalité. Quand la
plèbe s’affirme en descendant dans la rue, voire en la paralysant, elle déborde
consciemment la démocratie représentative et l’ordre politique établi.
Développées dans ce livre pour traiter de l’Amérique latine, les réflexions sur
l’interpellation plébéienne s’articulent certainement au printemps québécois de
2012 et permettent sans doute, par un détour chez nos voisins latino-américains, d’y
apporter un nouvel éclairage.
Pour de plus amples renseignements, visitez le www.gripal.ca ou communiquez avec André
Corten (amcorten@gmail.com) ou la coordination du GRIPAL (coordination.gripal@gmail.com).
| La FJFNB et l’Université de Moncton concluent un premier partenariat
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Jean-Luc Dupuis, élève de 12e année et président du Conseil des élèves de l'école Mathieu-Martin de Dieppe; Marie-Linda Lord, vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales de l'Université de Moncton; Olivier Cormier, président sortant de la FJFNB; Claudie Landry, vice-présidente sortante de la FJFNB; et Matthew Lynch, élève de 12e année et représentant de la FJFNB à l'école Mathieu-Martin. |
La FJFNB et l’Université de Moncton concluent un premier partenariat La Fédération des jeunes francophones du Nouveau-Brunswick (FJFNB) et l’Université de
Moncton concluent un premier partenariat qui favorisera le développement de la jeunesse
sous toutes ses formes, notamment grâce au leadership, à l’engagement communautaire et
à la construction identitaire.
L’annonce a eu lieu le lundi 4 juin lors d’une conférence de presse tenue en
présence d’élèves de l’école secondaire Mathieu-Martin à Dieppe.
Au cours de la prochaine année scolaire, l’Université de Moncton fera une contribution
de 33 500 $ pour soutenir diverses activités de la FJFNB. Ainsi donc, pour souligner
l’excellent travail qu’ils font dans la communauté, les 22 représentants et
représentantes de la FJFNB des écoles secondaires francophones du Nouveau-Brunswick
pourront recevoir une bourse d’études d’une valeur de 500 $ (une par école) s’ils
choisissent de venir étudier à l’Université de Moncton dans l’un ou l’autre des
trois campus d’Edmundston, Moncton et Shippagan. La bourse des cinq jeunes qui se
distingueront le plus deviendra alors une bourse d’accueil qui passera à 1 000 $.
L’Université de Moncton a désigné Amélie Haché, agente de recrutement aux Services
des étudiantes et étudiants du campus de Shippagan, pour siéger au comité de
sélection de ces cinq jeunes leaders. De plus, l’Université de Moncton offrira une
bourse d’accueil de 1 000 $ aux cinq représentants des régions qui sont membres du
comité consultatif provincial. Cela représente un total de 18 500 $.
L’Université s’engage également à devenir un commanditaire platine en participant
jusqu’à concurrence de 15 000 $, dont 8 500 $ sous forme de bourses, au financement du
concours musical Accros de la chanson pour l’année 2012-2013. Les gagnants et gagnantes
de ce concours organisé annuellement par la FJFNB recevront chacun et chacune une bourse
d’études, soit un total de 6 000 $ dans la catégorie Groupe (1 500 $ par membre pour
un maximum de quatre membres), 1 500 $ dans la catégorie Solo, 500 $ dans la catégorie
Écriture et 500 $ dans la catégorie Interprète. L’Université de Moncton, on se
souvient, avait décerné des bourses d’une valeur globale de 8 500 $ lors de la 8e
édition de la finale de l’Accros de la chanson qui a eu lieu au Monument Lefebvre à
Memramcook le
19 mai dernier.
« En s’associant à la FJFNB, l’Université de Moncton favorise une approche qui
tient compte du sentiment d’appartenance et de la construction identitaire chez les
élèves des écoles secondaires francophones de la province, soutient Marie-Linda Lord,
vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales. Ensemble l’Université de
Moncton et la FJFNB réaffirment leur engagement commun envers une jeunesse acadienne et
francophone qui s’affirme fièrement dans sa langue et sa culture. »
« La FJFNB apprécie grandement la reconnaissance et l’appui tangible exprimés par
l’Université de Moncton, souligne Olivier Cormier, président sortant de la
Fédération des jeunes francophones du Nouveau-Brunswick. En participant à ce
partenariat, l’Université de Moncton soutient la FJFNB dans ses efforts de
développement de la jeunesse sous toutes ses formes tout en faisant la promotion des
études universitaires en français au Nouveau-Brunswick. La formation offerte à
l’Université de Moncton permet également d’outiller les futurs leaders de notre
société, dans notre province et dans notre langue. »
Renseignements : 858-4455 / vraei@umoncton.ca
| Vitalité : définir un terrain commun en soins de santé
Article complet
Vitalité : définir un terrain commun en soins de santé Un séminaire de recherche en santé Vitalité, intitulé « Collaboration en soins de
santé : définir un terrain commun », a lieu le vendredi 8 juin de 12 h 30 à 13 h 30
dans l’amphithéâtre de l’Auberge Mgr-Henri-Cormier au Centre hospitalier
universitaire Dr-Georges-L.-Dumont de Moncton.
Les personnes ressources suivantes y participeront : Dre Jacinthe Beauchamp, conseillère
en pédagogie au Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick; Dr Paul Chiasson,
médecin de famille à l’Unité de médecine de famille de Dieppe et professeur au
Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick; Dre Chantal Lemire, chef de service
d’allergologie / immunologie clinique au Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke
et professeure à la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l’Université
de Sherbrooke; Dre Hélène Albert, professeure et directrice de l’École de travail
social de l’Université de Moncton; et Nicole Boudreau, thérapeute respiratoire et
conseillère sectorielle en sciences de la santé au Collège communautaire du
Nouveau-Brunswick.
Nos professionnels diplômés sont-ils prêts à travailler ensemble? Il semble que non.
Deux rapports, celui de la Commission sur l’avenir des soins de santé au Canada (2002)
et, plus récemment, le « Framework for action on interprofessional education and
collaborative practice » de l’OMS (2010), exhortent encore les universités à
développer chez les étudiants et étudiantes les compétences nécessaires à la
collaboration. Celle-ci est jugée essentielle pour affronter plus efficacement les
problèmes souvent multiples et complexes des individus et des communautés ainsi que les
défis liés au système de santé.
Par ailleurs, une grande partie de l’apprentissage des étudiants et étudiantes se fait
aussi dans les milieux cliniques et communautaires. Quel modèle de rôle leur
proposons-nous en termes de collaboration?
L’objectif de l’étude était d’explorer la compréhension de professeurs de termes
couramment utilisés (interdisciplinarité, multidisciplinarité, interprofessionalisme,
etc.) pour décrire les interactions dans le milieu de travail. Une approche qualitative a
été utilisée afin d’expliciter et approfondir leur position. Des entrevues
individuelles ont permis d’identifier caractéristiques, préalables et impacts de la
collaboration telle que décrits par des professeurs/superviseurs cliniques en médecine,
science infirmière, thérapie respiratoire et travail social de quatre institutions
d’enseignement supérieur francophones.
Le cadre conceptuel de Henneman & Cohen (1995), complété de Schoeber & Mackay (2004), a
guidé l’analyse des données. Les résultats suggèrent que la pratique déclarée des
professeurs et professeures reflète les écrits sur la collaboration. La littérature
recensée souligne l’importance d’une culture collaborative. La recherche le suggère
également. Les réflexions nous amènent à nous poser certaines questions : Comment
s’y prendre? Quels changements facilement réalisables dans nos pratiques quotidiennes
auraient un impact sur cette culture? Comment rendre explicite nos processus collaboratifs
auprès de nos étudiants?
Il faut confirmer votre participation avant le vendredi 8 juin au 862-3762 ou par courriel
à tanya.doucet@vitalitenb.ca.
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