L’Université de Moncton a rendu hommage à Raoul Dionne, administrateur de la première heure à l’Université et professeur émérite, et à son épouse Yolande lors d’une cérémonie tenue le mardi 20 octobre au pavillon des Arts au campus de Moncton.

Des dons totalisant 145 000 $, dont la valeur marchande s’élève à 157 000 $, ont été versés pour créer le Fonds de bourses Yolande et Raoul-Dionne. Un don de 20 000 $ a d’abord été versé en 2010 à la mémoire de M. Dionne ; puis en 2014, un don de 125 000 $ s’est ajouté au Fonds de bourses au nom de la succession de Mme Dionne. M. Dionne est ainsi ambassadeur au sein de l’Ordre des Régentes et des Régents de l’Université et Mme Dionne est compagnon.

Grâce à ces Fonds, entre 2011 et 2015, trois bourses s’élevant à 1 800 $ ont été octroyées. Ces bourses sont destinées à des candidates et des candidats du campus de Moncton qui sont inscrits en quatrième année au premier cycle ou au deuxième cycle dans un programme d’histoire et qui ont un rendement académique supérieur à la moyenne.

Raoul Dionne est au nombre des premiers bâtisseurs de l’Université de Moncton. Professeur d’histoire dès la fondation de l’Université, il a aussi été secrétaire général et registraire, de 1965 à 1968, vice-recteur à l’enseignement, en 1967-1968, et doyen de la Faculté des arts, de 1973 à 1980, avant de prendre sa retraite en 1990. Mme Dionne, pour sa part, a aussi connu une longue carrière à l’Université de Moncton. Entre autres, elle a été infirmière au Service de santé de 1965 à 1969 et, à ce titre, a été à l’origine de la fondation de la clinique médicale du campus.

Comme le souhaitait le couple, une salle de séminaire au pavillon des Arts (local 143) portera le nom du professeur Dionne. Une plaque commémorative a également été placée à l’entrée de la salle. Quelque 80 personnes, dont plusieurs étudiantes et étudiants, ont assisté à la cérémonie tenue le 20 octobre afin d’inaugurer la salle Raoul-Dionne au pavillon des Arts.

Tenue en présence de Raymond Lanteigne, président du Conseil des gouverneurs, Raymond Théberge, recteur et vice-chancelier, Normand Dionne et Victor LeBlanc, représentants de la famille, et de deux récipiendaires de la bourse Yolande et Raoul-Dionne, la cérémonie a permis de dévoiler une plaque et de rendre hommage à cet administrateur et professeur émérite décédé en 2005.

« M. Dionne était passionné par la mission de notre jeune université, soit de transmettre le savoir à la relève acadienne. Ainsi, il est tout à fait de mise qu’une salle de séminaire, où justement cette mission d’enseignement se poursuit, porte son nom. L’Université de Moncton reconnaît et apprécie sa contribution à tous les niveaux », a souligné le recteur et vice-chancelier, Raymond Théberge.

Chaque année, le prix de la meilleure thèse de recherche ainsi qu’un certificat de reconnaissance sont décernés à une étudiante ou à un étudiant de l’Université de Moncton grâce à un fonds de dotation créé à partir d’un don de 20 000 $ fait en septembre 2003 par My-Lien et Truong Vo-Van. Le montant attribué est déterminé par les intérêts générés selon le rendement du fonds de dotation.

Toute étudiante ou tout étudiant de l’Université de Moncton dont la thèse (de type recherche) de maîtrise ou de doctorat a été complétée entre le 1er septembre 2014 et le 31 août 2015 est admissible à ce prix et tous les domaines d’études sont considérés.

Un jury pluridisciplinaire composé de chercheuses et chercheurs, y compris d’une étudiante ou d’un étudiant de cycle supérieur nommé par le conseil de la Faculté des études supérieures et de la recherche (FESR), fera l’étude des candidatures soumises. Les critères d’attribution du prix sont la qualité globale du travail, la rigueur scientifique et l’originalité.

Le Prix Vo-Van sera décerné lors des Journées des études supérieures et de la recherche (JESR) en mars prochain lors d’une séance publique avec une présentation du travail de recherche par la personne lauréate.

Le Prix Vo-Van ne sera pas décerné si le conseil de la FESR juge qu’aucune des candidatures soumises n’est méritante. Chaque faculté peut recommander une seule candidature par l’entremise de sa doyenne ou de son doyen.

Cette année, les dates limites pour présenter une candidature sont le lundi 16 novembre pour la lettre d’intention et le lundi 14 décembre pour le dossier complet.

L’alUMni de l’Université de Moncton a salué les accomplissements remarquables de deux de ses diplômés lors de la Soirée Ovation qui a eu lieu le 22 octobre à l’hôtel Delta Beauséjour de Moncton.

L’Ordre du mérite des diplômées et diplômés de l’Université de Moncton, qui souligne la contribution exceptionnelle d’un membre qui fait honneur à son alma mater et à sa profession, a été remis cette année à l’honorable Brian Gallant, 33e premier ministre du Nouveau-Brunswick, afin de souligner son ascencion à ce poste. Détenteur du Baccalauréat en administration des affaires et du Baccalauréat en droit de l’Université de Moncton, ainsi que de la Maîtrise en droit de l’Université McGill, monsieur Gallant a entrepris sa carrière dans la sphère politique provinciale en octobre 2012 en devenant chef du Parti libéral du Nouveau-Brunswick.

Triple diplômé en sciences de l’Université de Moncton, Philippe St-Onge s’est quant à lui vu décerner le prix Émergence 2015, qui a pour but de mieux faire connaître cette nouvelle génération de diplômées et diplômés qui se distingue dans différentes sphères d’activité. Chercheur accompli, monsieur St-Onge est de retour au Nouveau-Brunswick, où il a accepté un poste au Parc national Kouchibouguac suite à un stage postdoctoral au centre de biologie marine de l’Université Sao Paulo au Brésil.

Fondé en 2005, le club Toastmasters International de l’Université de Moncton, campus de Moncton, célèbre cette année son dixième anniversaire. Le club AcadiUM était le premier club universitaire francophone au pays.

Mis sur pied au campus de Moncton par les Services aux étudiantes et étudiants, le Service de recherche de travail et un groupe d’étudiantes et d’étudiants, ce programme de formation a pour but d’aider ses membres à faire des présentations devant un groupe, à parler devant le public, à être plus à l’aise et plus convaincant à l’oral et à améliorer ou développer son leadership.

De plus, Toastmasters est un programme éducatif reconnu par les employeurs à l’échelle internationale. Depuis la fondation d’AcadiUM au campus de Moncton, plus de 200 étudiantes et étudiants ont suivi le programme.

Au campus de Moncton, le programme est offert aux étudiantes et étudiants ainsi qu’aux membres de la communauté. Il en coûte annuellement 40 $ pour la clientèle étudiante, 100 $ pour les autres personnes et comprend la formation, les rencontres hebdomadaires, le manuel de formation et les magazines Toastmasters. Les rencontres ont lieu une fois par semaine, de 18 h 30 à 19 h 45 au campus de Moncton. Les personnes intéressées sont invitées à observer gratuitement le déroulement d’une rencontre ou à se joindre au groupe.

Le Club étudiant Toastmasters AcadiUM soulignera son 10e anniversaire à l’occasion d’un vin et fromage au local B-149 du Centre étudiant le lundi 16 novembre de 18 h 30 à 19 h 30. Les membres du club ainsi que des représentantes et représentants de l’Université et de Toastmasters International seront présents pour l’occasion.

Pour confirmer sa présence ou pour obtenir des renseignements, prière de communiquer avec Daniel Grant, au 858-3707 ou daniel.grant@umoncton.ca

Pour renseignements au sujet du club étudiant, consultez la page Facebook https://www.facebook.com/groups/104597976361727 et le http://www.umoncton.ca/umcm-saee/Toastmasters

Alexandre Pepin, étudiant au Baccalauréat avec majeure en mathématiques (régime coopératif) à l’Université de Moncton, a reçu deux prix lors de la 38e édition de la conférence Science Atlantique en mathématiques, statistique et sciences informatiques qui a eu lieu à l’Université Acadia les 23 et 24 octobre.

Il a reçu le prix de la meilleure présentation pour la modélisation numérique des matériaux de même que le prix pour la troisième meilleure présentation en mathématiques intitulée « An updated Lagrangian method with error estimation and adaptive remeshing for very large deformation elasticity problems : the three-dimensional case».

Son travail a été complété sous la supervision de la professeure Sophie Léger.

Des étudiantes chercheuses de l’Université de Moncton, affiliées à la Chaire de recherche en santé CNFS-Université de Moncton sur le vieillissement des populations et au Centre d’études du vieillissement, ont livré des présentations scientifiques récemment en Alberta.

C’est lors de la 44e réunion scientifique de l’Association canadienne de gérontologie, tenue du 23 au 25 octobre, que Danielle Thériault, étudiante au programme de Maîtrise en gestion des services de santé, a présenté deux affiches sur un projet de recherche menée avec la titulaire de la chaire dans le cadre de son stage en recherche au printemps et à l’été 2015. Son projet sur la planification future des organismes communautaires pour le maintien à domicile a suscité l’intérêt des congressistes.

L’étudiante Valerie McLaughlin, inscrite au programme de Doctorat en psychologie (profil professionnel), a présenté, quant à elle, une affiche sur la traduction d’outils de collecte des données pour son étude sur la conduite automobile chez les personnes âgées.

De plus, la titulaire de la chaire, Suzanne Dupuis-Blanchard, a fait des présentations sur la thématique du maintien à domicile.

La professeure Dupuis-Blanchard, présidente de l’Association canadienne de gérontologie, se dit très satisfaite des discussions et des présentations des quelque 600 gérontologues dans le cadre de la conférence.

Miguel Rojas, professeur au Département de comptabilité de l’Université de Moncton, a prononcé deux conférences sur les coopératives financières au Costa Rica. Lors des conférences, M. Rojas a présenté les résultats des recherches menées par l’équipe qu’il dirige, secondé par Sébastien Deschênes et André Leclerc, tous deux professeurs à l’Université de Moncton, et par Lovasoa Ramboarisata, professeure à l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Les conférences ont été rendues possibles grâce au financement du Centre de la francophonie des Amériques, dans le cadre de son Programme de mobilité des chercheurs dans les Amériques.

Une première conférence, destinée à un public scientifique intitulée «La croissance des coopératives d’épargne et de crédit (CEC) au Costa Rica : de la répression financière aux risques des nouvelles modalités de régulation », a eu lieu le 9 octobre 2015 à l’UQAM, au Centre de recherche Organisations, sociétés et environnements. La deuxième conférence s’adressait à un public communautaire et elle s’est tenue le 16 octobre au siège social de Développement international Desjardins (DID), un organisme qui depuis 45 ans s’emploie à partager avec les pays en développement l’expertise du Mouvement Desjardins, le plus grand groupe financier de nature coopérative au Canada. La conférence prononcée chez DID à Lévis avait pour titre « Résilience des coopératives d’épargne et de crédit vis-à-vis d’autres institutions financières : Le cas du Costa Rica ».

L’équipe de recherche a étudié l’effet des réformes des années 1990 du secteur financier costaricien sur l’ensemble des coopératives financières ou CEC. Ils ont soumis l’hypothèse que les CEC ont émergé au Costa Rica comme une réponse collective à l’insuffisance de crédit qui touchait à des parties importantes de la population pendant la période de 1950 à 1980. Cette période a été caractérisée par un interventionnisme accru de l’état au niveau des marchés financiers (la répression financière), lequel a entraîné des contraintes importantes sur la disponibilité du crédit. Les réformes du secteur financier de 1985 à 1996 étaient sensées éliminer, ou du moins atténuer, les effets négatifs de la répression financière qui avait engendré la restriction du crédit dans de nombreux foyers. Ce changement de politiques aurait pu nuire aux CEC en les reléguant à une position de joueur mineur, et même extrêmement marginale.

Cependant, l’ensemble des CEC ont vu leur part de marché tripler, pendant que celles des banques commerciales d’état diminuait de façon drastique et que celle des banques du secteur privé accusait une croissance plutôt modérée. L’équipe a également investigué les facteurs qui pourraient expliquer cette bonne performance. Cette recherche pourrait s’avérer utile pour la prise de décisions stratégiques chez les CEC du monde entier qui regroupaient plus de 207 millions de membres en 2013.

Renseignements : Miguel Rojas, miguel.rojas@umoncton.ca, 858-4219.

Grâce à l’appui de l’Institut canadien de conservation (ICC), instigateur du projet RE-ORG : Canada, le Musée acadien et la Galerie d’art Louise-et-Reuben-Cohen s’investissent dans un projet de réorganisation de leurs collections respectives. À partir de l’automne 2015, ces deux instances de l’Université de Moncton travailleront de pair au cours de la prochaine année pour réaliser des améliorations à l’environnement physique et organisationnel de leurs remises.

Le Musée acadien se consacre à la collecte, à la conservation, à la mise en valeur et à la diffusion du patrimoine matériel acadien. Afin de bien remplir ce mandat, le projet RE-ORG sera l’occasion d’améliorer les espaces contenant leurs pièces de textiles, les accessoires vestimentaires et plusieurs autres pièces de culture matérielle. Une fois l’exercice complété, le musée aimerait réaliser des activités publiques qui viendront faire connaître leurs collections à un public plus vaste.

La Galerie d’art Louise-et-Reuben-Cohen a l’unique mandat de collectionner l’art acadien et détient une collection qui compte aujourd’hui près de mille pièces. Ce corpus modeste, mais riche du patrimoine canadien, suit le parcours du développement de l’art moderne et contemporain, avec un regard particulier sur l’Acadie. La programmation de l’hiver et du printemps 2016 de la galerie portera sur une étude de cette collection, préparée par l’exercice RE-ORG. Ce projet de réaménagement permettra de mieux utiliser l’espace de rangement qui est actuellement à pleine capacité, afin d’assurer de bonnes conditions de conservation et d’évaluer les besoins futurs en terme d’espace.

La méthodologie du programme RE-ORG visant la réorganisation des collections de petits musées a été développée par le Centre international d’études pour la conservation et la restauration des biens culturels (ICCROM) et l’UNESCO. RE-ORG : Canada (Atlantique) est le deuxième volet de l’initiative de formation qui s’étendra éventuellement sur toutes les régions du pays. Les autres organismes de l’Atlantique qui participent au projet sont : le Baile nan Gàidheal Highland Village Museum, le Nova Scotia Museum, le PEI Museum and Heritage Foundation et le Musée du Nouveau-Brunswick.

Un colloque sur l’accès à la justice en langue anglaise au Québec a eu lieu à Montréal le 21 octobre 2015. Organisé par le Barreau de Montréal, le Commissariat aux langues officielles, le Programme d’appui aux droits linguistiques et le Quebec Community Groups Network, le colloque s’est intéressé aux enjeux liés à la méthode de production des lois bilingues au Québec et au manque de traduction des décisions judiciaires.

Karine McLaren, dont les écrits portent sur ces questions, y a donné deux communications. Karine est étudiante à la Maîtrise en droit à l’Université de Moncton et dirige le Centre de traduction et de terminologie juridiques.

Graham Fraser, commissaire aux langues officielles, Gérard Hernando, directeur des services législatifs en français pour la province de l’Ontario, Philippe Hallée, premier conseiller législatif du ministère de la Justice du Canada, et Michel Robert, ancien juge en chef du Québec, ont également pris la parole.

Le Département de biologie de la Faculté des sciences de l’Université de Moncton présente une conférence du professeur Claude Lavoie, Ph.D., directeur de l’École supérieure d'aménagement du territoire et de développement régional (ÉSAD) de la Faculté d’aménagement, d’architecture, d’art et de design de l’Université Laval.

Intitulée « Qui a peur des plantes envahissantes ? », la conférence sera prononcée le jeudi 12 novembre à 8 h 45 dans le local A-102, du pavillon Rémi-Rossignol.

Résumé de la conférence :
Les espèces envahissantes attirent de plus en plus l’attention des chercheurs et des médias. Certains soutiennent qu’elles sont la deuxième plus importante cause de perte de biodiversité sur la planète. Mais existe-t-il des preuves tangibles de leur impact sur la diversité biologique? Les propos alarmistes rapportés par les médias sont-ils soutenus par des études scientifiques solides ? Nous ferons le point sur la situation particulière des plantes envahissantes dans le nord-est américain, statistiques à l’appui. Grâce à quelques exemples, nous verrons s’il existe un fondement quelconque aux hypothèses avancées quant aux impacts présumés des plantes envahissantes sur l’équilibre des écosystèmes. Nous comparerons notamment les propos véhiculés par les médias sur certains envahisseurs à la réalité scientifique dûment documentée, en prenant notamment pour exemple le cas particulier de la berce du Caucase, une plante toxique qui a beaucoup retenu l’attention des médias du Québec et du Nouveau-Brunswick au cours de l’été 2015. Nous nous demanderons enfin si les plantes envahissantes constituent un réel problème ou plutôt des symptômes de maux plus profonds affectant notre environnement.

Dans le cadre de la troisième édition de la semaine Guerre et cinéma, qui aura lieu du 9 au 13 novembre 2015, le public est invité au visionnement de films portant sur le thème de la guerre. Les projections auront lieu à la Bibliothèque Champlain, au local 029, à compter de 19 heures.

À l’affiche, on retrouve le film Run Silent, Run Deep (Robert Wise, 1958, 93 minutes), le lundi 9 novembre; La honte (Ingmar Bergman, 1968, 103 minutes), le mardi 10 novembre; Hiroshima mon amour (Alain Resnais, 1959, 92 minutes), le mercredi 11 novembre; No Man’s Land (Danis Tanović, 2001, 98 minutes), le jeudi 12 novembre; et Valse avec Bachir (Ari Folman, 2008, 90 minutes), le vendredi 13 novembre.

Renseignements : Denis Roy, professeur à la Faculté de droit, denis.roy@umoncton.ca, 863-2126.

Des résidentes en médecine de famille et des étudiantes du Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick (CFMNB) ont offert une soirée d'information et d’échanges sur la fièvre chez l'enfant aux membres du Centre d’accueil et d’accompagnement francophone des immigrants (CAFI) du sud-est du Nouveau-Brunswick.

Offerte en collaboration avec le CAFI, sous la direction de Dre Karine Bouffard, avec le soutien de Dre Natacha Hébert et de Véronique Landry, infirmière praticienne, cette activité visait à favoriser les échanges entre la communauté et les étudiantes et étudiants en médecine du CFMNB et à répondre aux besoins des personnes immigrantes francophones de la région.

Plus de 25 personnes ont participé à cette session d’information livrée par les résidentes Marie-Andrée Thériault et Mélanie Léger, et par les étudiantes Loradena Fontanini, Rym-Dalia Bouhamdani et Myriam Nait Anjou.

Selon Sadek Oulk-Aci, représentant du CAFI, la fièvre et le rhume chez les enfants préoccupent les nouveaux arrivants. Dans le cas de symptômes, ils se demandent s’ils doivent consulter un médecin; s’ils doivent se rendre à l’urgence; et ils se demandent quoi faire s’ils n’ont pas de médecin de famille surtout pendant la première année dans la région. La tenue de cette activité d’échanges et de discussion visait à démystifier la fièvre et les maladies bénignes chez l’enfant et à mieux outiller les parents immigrants francophones avant la saison hivernale.

Une prochaine session portant sur la santé des femmes sera offerte en février aux membres du CAFI.

La Librairie acadienne et le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact (GRICC) de la Faculté des arts et des sciences sociales présentent le premier Jeudi de la Librairie de la saison 2015-2016 ce 5 novembre à la Librairie acadienne du campus de Moncton de 16 h 30 à 18 heures.

L’invité est Daniel Dugas, artiste multidisciplinaire et poète acadien. Cet automne, il est en résidence au Département d’études françaises de l’Université de Moncton.

Daniel Dugas est l’auteur d’une dizaine de recueils de poésie dont Des ravins au bout des lèvres (Éditions Prise de parole, 2014), The Moss Theory (Basil Bruegel Éditions, 2012) et de Au large des objets perdus (Éditions Prise de parole, 2011).

Marilou Potvin-Lajoie, chargée de cours et doctorante au Département d’études françaises, présentera le programme des Jeudis de la Librairie de la saison 2015-2016 et Nicolas Nicaise, chargé de cours et doctorant au Département d’études françaises, présentera Daniel Dugas en plus d’animer la rencontre.

Tous les Jeudis de la librairie sont suivis d’une réception.

Pour toute question, s’adresser à Mireille Thériault de la Librairie acadienne au 858 4140.

Le Cercle philo du Département de philosophie tiendra un café philosophique sous le thème « La pratique du consentement : un processus de médiation entre intériorité et extériorité », le jeudi 12 novembre à 16 h 30 au resto-lounge Le 63 au Centre étudiant.

La discussion sera animée par Lise Savoie, professeure à l’École de travail social, et par Sarah Grandisson, étudiante en travail social à l’Université de Moncton.

Renseignements : Paul Bernier, paul.bernier@umoncton.ca.

Un stand d’information de la Société canadienne du sang sera installé à l’atrium du Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick (CFMNB), situé au pavillon J.-Raymond-Frenette au campus de Moncton, le mardi 10 novembre de midi à 13 h 15.

Cette activité vise à sensibiliser les étudiantes, les étudiants et les membres du personnel au don de sang et à les convaincre de devenir donneurs. De plus, elle permettra aux gens de découvrir leur groupe sanguin.

Renseignements au sujet de l’activité au CFMNB : lise.duguay@umoncton.ca

Renseignements au sujet des dons de sang : https://www.blood.ca/fr/sang/don-sang

L’historienne Sally Ross prononcera une conférence intitulée « Les cimetières acadiens de la Nouvelle-Écosse », le jeudi 5 novembre à 19 heures au Musée acadien de l’Université de Moncton.

En s’appuyant sur son étude de tous les cimetières acadiens établis en Nouvelle-Écosse après la Déportation, Sally Ross explorera le cimetière comme lieu de patrimoine et lieu de changement.

Née à Halifax, Sally Ross a fait ses études universitaires au Canada et en France. Elle vit de sa plume depuis une trentaine d’années. Elle a écrit, en collaboration avec Alphonse Deveau, Les Acadiens de la Nouvelle-Écosse. Son livre Les écoles acadiennes en Nouvelle-Écosse, 1758- 2000 suit le cheminement des écoles publiques en milieu acadien. En 2003, elle a reçu une subvention du Musée de la Nouvelle-Écosse pour faire une étude des cimetières acadiens établis après la Déportation. Elle est secrétaire des Amis de Grand-Pré et membre de la commission de l’Odyssée acadienne.

L’entrée est libre et les salles d’exposition seront ouvertes au public dès 18 h 30. À cette occasion, le public est invité à visiter l’exposition temporaire Toujours aimé, jamais oublié : la mort et le deuil en Acadie.

Le Musée acadien de l’Université de Moncton est situé au 405, avenue Université. Renseignements : (506)858-4088, www.umoncton.ca/umcm-maum ou encore maum@umoncton.ca .

Les départements d'anglais et d'études françaises invitent les membres de la communauté universitaire à la soutenance de thèse de Matthew Cormier, la première thèse du programme de Maîtrise en littérature canadienne comparée, qui est offert conjointement par les deux départements.

Le titre de sa thèse est « The postmodern Canadian epic : Works by Timothy Findley and France Daigle » et la soutenance aura lieu le vendredi 13 novembre à 13 heures, dans la salle 178 de la Bibliothèque Champlain.

Le jury est composé de Paul Curtis de l'Université de Moncton, président du jury; Andrea Cabajsky de l'Université de Moncton, directrice de thèse; Thomas Hodd de l'Université de Moncton, examinateur interne; Benoit Doyon-Gosselin de l'Université de Moncton, examinateur interne; et Anthony Tremblay de l'Université Saint-Thomas à Fredericton, examinateur externe.

Renseignements : 858-4250.

Le duo baroque La Tour, formé du professeur Michel Cardin, du Département de musique de l’Université de Moncton, au luth baroque et au théorbe, et de Tim Blackmore, au clavecin et aux flûtes à bec, lance un nouveau disque intitulé Quelque chose de choix et d’excellent.

À l’occasion des lancements qui auront lieu à Moncton, Fredericton et Saint-Jean, le duo présentera un concert. À Moncton, l’événement aura lieu le 8 novembre à 14 heures au théâtre Capitol.

Le titre du disque est inspiré du mémorandum rédigé par Jean Sébastien Bach pour le Conseil municipal de Leipzig, dans lequel il fait référence aux performances des musiciens virtuoses à la cour du roi Auguste II à Dresde comme étant « quelque chose de choix et excellent d’entendre». Dans ce programme captivant, le duo baroque La Tour interprète des oeuvres de Jean Sébastien et Wilhelm Friedemann Bach, Johann Gottlieb et Carl Heinrich Graun, Johann Adolph Hasse, Sylvius Léopold Weiss, Christian Pezold et Georg Philipp Telemann et explore les rapports personnels entre ces grands musiciens et Bach.

Le duo baroque La Tour présente des programmes inspirés de musique des 17e et 18e siècles joués sur les instruments d’époque. Le nom du duo vient de Charles St-Étienne de La Tour, lieutenant-général de la colonie française d’Acadie au 17e siècle.

L’Entrepôt du rire présente une autre soirée hilarante mettant en vedette l’humoriste Robert Gauvin et ses invités le mercredi 18 novembre à 20 heures au resto-lounge Le 63 au campus de Moncton.

Jusqu’au 11 novembre, les internautes peuvent voter sur le sujet qu’abordera Robert Gauvin dans son monologue en se rendant sur le groupe Facebook de l’Entrepôt du rire. Le thème qui aura récolté le plus de votes sera au coeur d’un nouveau numéro de 20 minutes.

Les humoristes invités pour cette soirée sont Marc Lamontage, Joe dans la nouvelle télésérie Le Clan à Radio-Canada, qui fera un retour à l’Entrepôt avec du nouveau matériel; Jean-Sébastien Levesque qui nous parlera des super-vilains et de leur quotidien et Christian Essiambre qui en sera à sa première tentative dans la formule stand-up en comparant l'humour et le théâtre. La soirée sera animée par André Roy.

Ces soirées d’humour genre stand-up sont présentées en collaboration avec les Productions l'Entrepôt et mettent en vedette des humoristes de la région en plus de faire place à la relève.

L’entrée est de 8 $ pour les étudiantes et les étudiants et de 15 $ pour les autres personnes. La billetterie du Service des loisirs socioculturels de l’Université de Moncton est située au Centre étudiant et est ouverte du lundi au vendredi de 9 heures à 16 heures. On peut aussi se procurer des billets par téléphone au 506-858-4554.

Le Musée acadien de l’Université de Moncton, campus de Moncton, présente l’exposition Toujours aimé, jamais oublié : la mort et le deuil en Acadie jusqu’au 17 avril 2016. La conservatrice invitée de l’exposition est Deborah Robichaud.

Cette exposition retrace le parcours des traditions populaires et des rites et coutumes entourant la mort et le deuil en Acadie. La religion catholique régissait les croyances religieuses et les pratiques entourant la préparation à la mort, les funérailles et l'inhumation au cimetière. Pour les Acadiennes et les Acadiens, les croyances et les traditions populaires ayant trait aux présages de la mort, aux esprits et aux âmes permettaient de mieux comprendre le monde qui les entourait.

Des débuts de la colonie jusqu’au milieu du XXe siècle, le corps de la personne décédée était préparé, veillé et exposé à la maison. Avec la multiplication des salons funéraires, les Acadiennes et les Acadiens adoptèrent la pratique de l'embaumement du corps.

De nos jours, nous sommes à la croisée des chemins. L'exode rural vers les villes, le déclin de la pratique religieuse et la pratique de la crémation ont modifié la façon dont nous faisons nos derniers adieux à l’être cher.

L’exposition traitera de la spiritualité avant la mort, des préparatifs à la mort, de la mort, de la dépouille mortelle, des funérailles, du cimetière et du souvenir du défunt. Par de nombreux objets, des photographies et des éléments interactifs, le visiteur sera invité à se pencher sur ce sujet inusité.

Les visiteurs seront invités à visionner le documentaire Little Houses: A Small Film About Death du réalisateur Jeremy Broussard.

Renseignements : (506) 858-4088, www.umoncton.ca/umcm-maum ou maum@umoncton.ca.

La Galerie d’art Louise-et-Reuben-Cohen de l’Université de Moncton présente l’exposition L’origine d’un mouvement, de l’artiste Manon Labrecque, organisée par Nicole Gingras, commissaire indépendante. Cette exposition est présentée dans le cadre du Volet arts médiatiques du Festival international du cinéma francophone en Acadie (FICFA) 2015.

L’origine d’un mouvement réunit cinq installations récentes. Manon Labrecque poursuit son exploration de thèmes qui lui sont chers : le mouvement et ce qui en découle, comme l’animation, le ralentissement, l’arrêt, la question du double, le mutisme d’un corps, la relation entre le toucher et le regard, la prégnance d’un souvenir, le présent et l’expérience. Une figure est au centre de toutes les œuvres. Le visiteur découvre un corps, des fragments du corps d’une femme; celle-ci retient un mouvement, relance une action, observe, dessine, s’estompe. Elle pense son ombre et l’apprivoise. Depuis Les témoins, exposition présentée en 2003 à la Galerie de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), L’origine d’un mouvement est, à ce jour, le projet le plus ambitieux de l’artiste.

De Montréal, Manon Labrecque, artiste multidisciplinaire, réalise des vidéos (mono-bandes et installations), des performances, des images fixes ainsi que des installations cinétiques et sonores depuis 1991. Ses œuvres sont diffusées au Canada et à l’étranger. En 2013, elle reçoit le Prix Louis-Comtois, décerné pour l’ensemble de son travail. Nicole Gingras, également de Montréal, est chercheuse, commissaire indépendante et auteure. Ses projets traitent du temps, des processus de création, des traces et de la mémoire.

L’exposition est en montre jusqu’au 22 novembre 2015. La Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen est située au 405 avenue Université, dans le pavillon Clément-Cormier au campus de Moncton. L’entrée est libre et la galerie est ouverte de 13 heures à 16 h 30 du mardi au vendredi et de 13 heures à 16 heures le samedi et le dimanche.

Renseignements : (506) 858-4088; galrc@umoncton.ca; www.umoncton.ca/umcm-ga

Présentée par le Service des loisirs socioculturels de l’Université de Moncton, campus de Moncton, la comédie québécoise Les maîtres du suspense, du réalisateur Stéphane Lapointe, sera à l’affiche du Ciné-Campus le jeudi 5 novembre et le vendredi 6 novembre.

Synopsis : Hubert Wolfe, auteur à succès, est victime du syndrome de la page blanche. Ainsi, il a souvent fait appel à un écrivain fantôme, le talentueux, mais taciturne Dany. Alors que la date de tombée de son prochain roman approche, Wolfe nécessitera encore l'aide de son complice secret. Mais ce dernier traverse des moments difficiles et se trouvera lui-même devant une page blanche. http://bit.ly/1vHBoYQ

Les films sont présentés les jeudis et les vendredis à compter de 20 heures dans l’amphithéâtre du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton. L’entrée est de 5 $ pour les étudiantes et les étudiants et de 7 $ pour les autres personnes.

On peut suivre le Service des loisirs socioculturels de l’Université de Moncton à www.facebook.com/slsmoncton et à @slsmoncton sur Twitter.

Le joueur de hockey Alex Saulnier, de Cap-Pelé, et la coureuse de cross-country Kamylle Frenette, de Dieppe, sont les athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed pour la période du 26 octobre au 1 novembre 2015 à l'Université de Moncton.

Au hockey masculin, la fin de semaine dernière, le joueur de centre Alex Saulnier a réussi quatre buts et a ajouté le même nombre de passes dans les deux victoires des siens. Il a également fait quatre lancers au but à chaque match en plus de remporter 11 des 22 mises au jeu, décrochant une fiche de +3, vendredi. Il est étudiant à la Maîtrise en administration des affaires.

Kamylle Frenette a mené son équipe à un podium dans un championnat de cross-country de SUA. Avec sa 9e position et sa marque personnelle de 23m38s sur un parcours de 6 kilomètres, elle a aidé son équipe à prendre la troisième position au classement final. Elle avait terminé 17e l’an dernier. Elle est étudiante au Diplôme des sciences de la santé (DSS).