La rentrée universitaire 2016-2017 se fait sous le signe de l’inclusion au campus de Moncton de l’Université de Moncton. On y verra bientôt l’apparition de toilettes sexuellement inclusives un peu partout dans les édifices.

Un pictogramme servira désormais à identifier près de 60 toilettes qui seront ouvertes aux hommes, aux femmes et à ceux et celles qui remettent en question leur identité de sexe ou de genre. De celles-ci, 16 seront également accessibles pour les personnes à mobilité réduite qui doivent se déplacer en fauteuil roulant.

« Il est très important pour l’Université de Moncton d’assurer la sécurité physique, mais également émotive et psychologique, de nos étudiantes et étudiants de la communauté transgenre », a déclaré le recteur et vice-chancelier, Raymond Théberge.

Pour Roxann Guerrette, présidente de la Fédération des étudiantes et des étudiants du Campus universitaire de Moncton (FÉÉCUM), il était important de se faire partenaire dans cette initiative : « Il est tout à fait normal pour un campus universitaire d’avoir une telle ouverture à la réalité de ses étudiants. »

L’installation des pictogrammes se fera au cours des prochaines semaines.

Le Prix de l’Institut d’études acadiennes a été remis à Vincent Auffrey, étudiant au premier cycle en histoire, pour son travail intitulé Le journal étudiant « L’Insecte » à l’Université de Moncton et la crise de l’idéologie nationale acadienne, 1968-1969, rédigé dans le cadre du cours HIST 4120 – Séminaire en Acadie contemporaine, enseigné par la professeure Phyllis E. LeBlanc, du Département d’histoire et de géographie.

Les membres du comité de sélection, constitué de Corina Crainic, directrice scientifique intérimaire de l’Institut d’études acadiennes (IEA); Benoit Doyon-Gosselin, professeur de littérature au Département d’études françaises, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en études acadiennes et milieux minoritaires, et Christophe Traisnel, professeur de science politique et directeur adjoint de l’École des hautes études publiques, tiennent à féliciter l’étudiant de la pertinence et de l’originalité de son travail, de la maturité intellectuelle et de l’élégance de son texte.

Le Prix de l’Institut d’études acadiennes d’une valeur de 500 $ est remis annuellement au meilleur travail portant en études acadiennes réalisé par une étudiante ou un étudiant dans le cadre d’un cours de premier cycle dans un des trois campus de l’Université de Moncton. Ce prix vise à encourager les recherches en études acadiennes au premier cycle à l’Université de Moncton.

Pour plus d’information, prière de consulter le site web de l’IEA à l’adresse http://www.umoncton.ca/iea/accueil

Le projet de recherche, intitulé « Intégration de l’Internet des objets dans des produits de qualité de l’air » et mené par une équipe de la Faculté d’ingénierie de l’Université de Moncton en partenariat avec l’entreprise ClairiTech Innovations, figure parmi les dix sujets les plus pertinents et les plus intéressants au Canada par Academica.

Academica est le plus grand groupe de recherche et de conseil au Canada qui se consacre exclusivement au secteur de l'enseignement postsecondaire et à l'innovation universitaire en marketing.

L’équipe de chercheurs d’Academica évalue des milliers de projets pour mettre la main sur les dix sujets les plus pertinents et les plus intéressants affectant les professionnels des universités et des collèges en affaires publiques, en recrutement, en marketing et en matière d’avancement.

L’équipe de recherche de la Faculté d’ingénierie est dirigée par les professeurs Mohsen Ghribi et Yassine Bouslimani et fait appel à des étudiantes et étudiants de premier et deuxième cycles de l’Université de Moncton.

Pour plus d’information, prière de consulter le site http://www.academica.ca/topten/20160919.

Michel T. Léger, professeur au Département d’enseignement au primaire et de psychopédagogie de l’Université de Moncton, a reçu une subvention du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) d’une valeur de 65 000 $ pour une étude exploratoire intitulée « Un réseau ClimaTIC pour atténuer le changement climatique : une étude de cas multiples des réseaux sociaux au service de l’écodéveloppement en contexte de famille ». L’étude bénéficie aussi d’un financement complémentaire de 16 000 $ du Fonds en fiducie pour l’environnement du Nouveau-Brunswick.

Le projet de recherche se déroule dans la région de Moncton et dans la Ville de Montréal et est réalisé avec la professeure Lucie Sauvé, de l’Université du Québec à Montréal, qui agit à titre de collaboratrice au site d’expérimentation à Montréal.

Le groupe de recherche Littoral et vie joue également un rôle dans le projet sur le plan de la conception pédagogique des activités de formation en changement climatique auprès des familles participantes. Enfin, deux étudiants de 2e cycle participent activement à l’étude, soit Shawn Martin, étudiant à la Maîtrise en études de l’environnement, et Vincent Guérette, étudiant à la Maîtrise ès arts en éducation.

Nous savons que les activités humaines telles l’utilisation intensive de l’automobile et l’usage excessif d’électricité contribuent aux problèmes environnementaux de notre planète, notamment le changement climatique. Or, intégrer des actions environnementales à ses routines de vie représente, pour grand nombre d’entre nous, un défi quotidien difficile à surmonter et une problématique écosociale des plus importants. Cette initiative de recherche en éducation relative à l’environnement vise à explorer l’adoption collective de modes de vie plus écologiques au sein de la famille, un contexte de transformation socioécologique peu examiné dans les écrits scientifiques. Cette recherche étudie la mise en place d’une écocitoyenneté familiale en se penchant sur les concepts de transition écologique et d’écodéveloppement, c’est-à-dire sur l’amélioration des conditions de vie en conciliant les rapports entre l’être humain et l’environnement.

Comment faire pour contribuer à un mouvement de transition écocitoyenne sur le plan familial et, ultimement, sur le plan communautaire? Comment amener les familles à harmoniser davantage leurs rapports avec l’environnement de sorte à adopter des modes de vie plus écologiques? La présente recherche tente de répondre à ces questions en examinant le rôle potentiel des médias sociaux (Twitter, Facebook) dans la création d’une communauté de pratique écologique pouvant mener à l’atténuation du changement climatique. Il s’agit de conjuguer compétences environnementales aux compétences numériques. Plus précisément, l’équipe cherche à savoir comment les réseaux sociaux peuvent contribuer au développement d’une écocitoyenneté familiale en permettant à des familles voulant vivre plus écologiquement de s’entre-aider en tant que communauté de pratique, tout en recevant des conseils et de l’encouragement de la part de familles modèles vivant déjà selon les fondements de l’écodéveloppement.

Dans le cadre du cours ADMK3352 – Recherche commerciale 1 -, les étudiantes et étudiants du Département d’administration de la Faculté d’administration de l’Université de Moncton mènent une étude de marché dans l’industrie des médias.

Lors d’une visite récente de Francis Sonier, éditeur-directeur général de l’Acadie Nouvelle, ils ont eu la chance d’en apprendre davantage concernant le positionnement du quotidien néo-brunswickois au sein de l’industrie.

L’échange entre l’Acadie Nouvelle et la Faculté d’administration permet aux étudiantes et étudiants d’appliquer le côté pratique et réel des théories présentées en classe.

Maud Gonne, post-doctorante affiliée à la K. U. Leuven, en Belgique, prononcera une conférence intitulée « Langues, littératures et enjeux identitaires en Belgique : raccourcis et complexité » le mercredi 5 octobre de midi à 13 heures au local 207 de l’édifice des Arts au campus de Moncton.

La conférence sera suivie d’une période de questions d’une quinzaine de minutes.

Pour plus d’information, prière de communiquer avec Denise Merkle, professeure titulaire au Département de traduction et des langues, par courriel à l’adresse denise.merkle@umoncton.ca.

La Société historique acadienne (SHA) organise, conjointement avec les Collèges communautaires du Nouveau-Brunswick (CCNB), un colloque sur la francisation des collèges communautaires du Nouveau-Brunswick. L’activité aura lieu le mercredi 5 octobre au CCNB – Campus de Dieppe, de 9 h 30 à 19 heures.

Les conférenciers seront Jean-Guy Finn, sous-ministre à la retraite; Michel Richard, directeur fondateur du collège de Dieppe, et Liane Roy, directrice générale du CCNB.

Cette rencontre sera la troisième organisée par la SHA sur la francisation des trois niveaux d’enseignement de la province du Nouveau-Brunswick. Les luttes visant à la francisation de l’enseignement professionnel et technique seront présentées par des éducateurs et administrateurs qui ont œuvré dans le secteur de l’enseignement professionnel.

En 2008, le thème de l’enseignement universitaire avait été touché sous le thème des événements de 1968 et en 2014, le thème de la francisation de l’enseignement public avait été abordé.

Les trois campus de l’Université de Moncton ont grandement participé à la formation des maîtres en enseignement industriel et commercial.

L’entrée est libre.

Les préinscriptions doivent se faire auprès de Mélanie David par courriel à l’adresse melanie.david@ccnb.ca ou par téléphone au (506) 547-7208.

Annette Boudreau, sociolinguiste, membre du Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact (GRICC) et professeure au Département d'études françaises (sciences du langage) de l’Université de Moncton, présentera une conférence intitulée « À l’ombre de la langue légitime : les voix (voies) des marges », le vendredi 30 septembre de 13 h 30 à 15 heures au local 178 de la Bibliothèque Champlain.

Partant de son livre À l’ombre de la langue légitime, l’auteure rendra compte d’éléments qui ont fortement motivé son écriture, à savoir une réflexivité aiguisée à l’égard des pratiques linguistiques dans la francophonie en raison de son parcours social et académique, une « nécessité » de rendre compte d’expériences sociolinguistiques par différentes voix qui expliquent ce que veut dire « vivre dans les marges de la francité », et finalement une volonté de montrer les voies d’émancipation proposées et mises en action par des acteurs sociaux divers.

Les questions suivantes serviront de fil conducteur au propos : Comment se construit la légitimité sociale à partir de la langue ? Comment le savoir savant construit-il le locuteur francophone qui ne correspond pas au modèle standard ? Est-ce que le statut du chercheur provenant des marges est équivalent à celui du chercheur des « centres » dans le champ de la linguistique ou dans la francophonie, cette dernière instance étant reconnue pour la rigidité de ses normes ?

Le Service de mobilité internationale lance pour une sixième année le programme Passeport international, qui a comme objectif d’enrichir le programme d’études des étudiantes et étudiants en leur apportant des connaissances, des compétences et des habiletés à l’international qui leur permettront d’améliorer leur communication interculturelle, leur sensibilité aux autres cultures ainsi que leur employabilité.

L’ensemble des activités du programme auront une saveur internationale. Ce programme est offert aux étudiantes et étudiants de tous les cycles et peut être effectué tout au long du séjour de l’étudiante ou l’étudiant à l’Université de Moncton.

Le programme de Passeport international consiste à accumuler un total de points par le biais d’ateliers, de conférences, de présentations, de bénévolat, de séjour à l’international, d’activités d’intégration internationale, etc., qui permettront à l’étudiante ou l’étudiant d’obtenir un certificat attestant qu’elle ou il a acquis des connaissances et des compétences en interculturel lors de ses études à l’Université de Moncton.

Ce programme est offert gratuitement à tous les étudiantes et étudiants, peu importe leur domaine d’études, et le programme est valide pour toute la durée de leurs études à l’Université de Moncton. Il s’agit d’une belle valeur ajoutée aux études universitaires.

Vous pouvez vous inscrire en vous présentant à l’une des activités ou en communiquant avec le Service de mobilité internationale par courriel à l’adresse smi@umoncton.ca.

Les activités du Comité mieux-être universitaire (CMU) deviennent de plus en plus populaires grâce à la participation croissante des membres du personnel et du corps professoral à ses nombreuses activités.

Le CMU vous propose, le 4 octobre prochain, une séance d’initiation au Tchoukball, de midi à 13 heures, au gymnase B du Ceps Louis-J.-Robichaud. À noter que les étudiantes et étudiants diplômés des 2e et 3e cycles sont invités à faire partie de la famille du Comité mieux-être universitaire.

Le Comité propose des activités en encourageant la population universitaire à y participer gratuitement, librement et en grand nombre, peu importe les niveaux d’habiletés.

Pour toute question, suggestion ou commentaire, prière de consulter la page Facebook du CMU à l’adresse https://www.facebook.com/groups/CMUUDEM/

Dans le cadre de son Programme d’excellence professionnelle (PEP), le Consortium national de formation en santé (CNFS) - Volet Université d’Ottawa présente, en partenariat avec le CNFS - Volet Université de Moncton, une série de conférences qui sont retransmises par vidéo, en direct de l’Hôpital Montfort, à Ottawa.

Ces conférences se veulent une activité de formation continue multidisciplinaire destinée aux professionnelles et professionnels de la santé.

La deuxième conférence de la programmation Automne 2016 aura lieu le jeudi 6 octobre 2016 de 12 h 30 à 14 heures à l’amphithéâtre (B-206) du Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick (CFMNB), pavillon J.-Raymond-Frenette. La conférence intitulée «Psychologie positive – Introduction à la science du bonheur» sera présentée par Natalie Poulin-Lehoux, consultante en éducation à Simplify Happiness.

L’approche de la psychologie positive est une approche à la santé mentale où nous examinons les traits et les caractéristiques de la personne heureuse plutôt que d’étudier les maladies telles l’anxiété et la dépression. Le but de cette approche est d’identifier le chemin le plus efficace vers le mieux-être en se basant sur des individus qui sont déjà heureux, c’est-à-dire en regardant des pratiques gagnantes pour être heureux.

Dans cette formation, nous explorons ce qu’est le bonheur, ce qu’il n’est pas, ses ingrédients ainsi que les obstacles pour l’atteindre. Nous examinerons aussi les caractéristiques, les croyances et les états des gens heureux. Finalement, nous identifierons les méthodes propices à cultiver le bonheur dans la vie d’un individu qui ont été démontrées par les recherches.

Cette conférence sera aussi disponible en diffusion Web-conférence (streaming).

Pour s’inscrire à la conférence (en présentiel ou en mode Web-conférence) ou obtenir plus de renseignements, prière de communiquer avec Joëlle Caissie : joelle.caissie@umoncton.ca / 863-2250. Les places sont limitées.

Veuillez noter que si nous n’avons pas un nombre suffisant de participantes et participants confirmés deux jours avant l’événement, la conférence ne sera malheureusement pas diffusée. Les personnes intéressées seront invitées à se brancher par web-conférence.

La programmation complète est disponible à l’adresse www.mavieestensante.ca.

Présenté par le Service à la vie étudiante et socioculturelle de l’Université de Moncton, campus de Moncton, Les quatre cents coups, de François Truffaut, sera à l’affiche du Ciné-Campus ce jeudi 29 septembre et vendredi 30 septembre.

Synopsis : Largement autobiographique, le film raconte l'enfance difficile d'Antoine Doinel, ses relations avec ses parents, ses petits larcins qui lui vaudront d'être enfermé dans un centre pour mineurs délinquants.
À la fin des années 1950, Antoine Doinel, 12 ans, vit à Paris entre une mère peu aimante et un beau-père futile. De plus, malmené par un professeur de français autoritaire et injuste, il passe, avec son camarade René, de l'école buissonnière au mensonge. Puis c'est la fugue, le vol d'une machine à écrire et le commissariat. Ses parents, ne voulant plus de lui, le confient à l'« Éducation surveillée ».

Les films du Ciné-Campus sont présentés tous les jeudis et les vendredis à compter de 20 heures dans l’amphithéâtre du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton. L’entrée est de 5 $ pour les étudiantes et les étudiants et de 7 $ pour les autres personnes.

On peut suivre le Service à la vie étudiante et socioculturelle de l’Université de Moncton à www.facebook.com/svesmoncton et à @svesmoncton sur Twitter.

Le Symposium d’art/nature : Moncton 2016 se déroule présentement jusqu’au 2 octobre, principalement au Parc écologique du millénaire du campus de Moncton avec quelques incursions ailleurs dans la Ville de Moncton.

L’événement permet au public de suivre sur place le processus de création des artistes et de s'en informer. Neuf artistes et collectifs du Nouveau-Brunswick, du Canada et de la France réaliseront des projets d’art public non permanents conçus et aménagés à même l’espace public et seront réalisés dans divers lieux du parc.

Une série de conférences et une table ronde auront lieu durant le symposium avec des professionnels de diverses spécialisations. Cette série a pour thème Négocier le territoire et permettra de voir différentes approches qui ont cours pour aborder le territoire par l'action artistique.

Des visites guidées du Symposium et des projets d’artistes seront offertes le samedi 1er octobre de 11 heures à 15 heures et le vernissage des œuvres produites aura lieu de 14 heures à 16 heures. Toujours la même journée, une soirée présentations-flash est prévue où la plupart des artistes participants présenteront leurs projets réalisés lors du symposium. Celle-ci se tiendra à la Salle Bernard-LeBlanc du Centre culturel Aberdeen, à 20 heures. Elle sera suivie d’une soirée dansante avec Marquis de Mont-Royal et DJ Art Nature.

Le Symposium d’art/nature : Moncton 2016 est une initiative du Département d’arts visuels et du Département de sociologie de l’Université de Moncton, de la Galerie d’art Louise-et-Reuben-Cohen, de l’Association acadienne des artistes professionnel.le.s du Nouveau-Brunswick et du Comité du Parc écologique du millénaire. Les membres du comité organisateur sont Ronald Babin, Jean-Pierre Caissie, Nisk Imbeault, Elise Anne LaPlante et André Lapointe. Le projet est appuyé par le Conseil des arts du Canada, la Fondation Sheila Hugh Mackay, le ministère du Tourisme, Patrimoine et Culture du Nouveau-Brunswick, artsnb, la Ville de Moncton, Patrimoine canadien, le Secrétariat aux affaires intergouvernementales canadiennes du Québec et l’Université de Moncton.

Pour plus d’information, prière de communiquer avec Elise Anne LaPlante, coordonnatrice, par téléphone au (506) 227-1237 ou par courriel à l’adresse projet@artnaturemoncton.ca.

Une exposition commémorative, intitulée De Vimy à Juno : le Canada en France 1914-1945, est en montre jusqu’au 9 octobre au Musée acadien de l’Université de Moncton.

Cette exposition itinérante explore les liens entre les moments charnières de l’histoire canadienne et les expériences des Canadiens qui se sont battus dans les deux guerres mondiales. L’exposition a été conçue par le Centre Juno Beach, le seul musée canadien à traiter des débarquements du Jour J en Normandie.

« Cette exposition est une occasion en or pour la communauté acadienne et le grand public d’en apprendre davantage au sujet du Canada et de son implication dans les deux guerres mondiales entre 1914 et 1945 », affirme Jeanne Mance Cormier, conservatrice au Musée acadien.

« Pendant les deux guerres mondiales, des centaines de milliers de Canadiens se sont battus en France, où leurs réalisations ont aidé à façonner notre identité nationale, affirme la directrice générale du Centre Juno Beach, Jenna Zuschlag Misener. Le Centre Juno Beach est fier d’apporter l’héritage du sol sacré de la crête de Vimy et de Juno Beach à tous les Canadiennes et Canadiens d’un océan à l’autre par l’entremise de ce programme. »

Cette initiative a été lancée pour commémorer un grand nombre d’événements canadiens importants, y compris le 100e anniversaire de la bataille de la crête de Vimy en 2017 et le 75e anniversaire du Jour J et des débarquements en Normandie en 2019.

Pour plus d’information, prière de communiquer avec Jeanne Mance Cormier, conservatrice, par téléphone au (506) 858-4690 ou par courriel à l’adresse Jeanne-Mance.Cormier@umoncton.ca.

Une conférence de l’artiste Georgette Bourgeois aura lieu le vendredi 14 octobre de 10 heures à 13 h 15 au local 178 de la Bibliothèque Champlain au campus de Moncton.

Madame Bourgeois, originaire de Moncton, est diplômée du Baccalauréat en éducation élémentaire ainsi que du Baccalauréat en éducation de l’Université de Moncton. Elle a également fait des études en beaux-arts à la University of New Brunswick ainsi qu’à Mount Allison University. Ses œuvres ont été exposées en Louisiane, en France et au Canada et elle compte à son actif une cinquantaine d’expositions en solo.

Dans le cadre de sa conférence, madame Bourgeois abordera les points suivants : la création artistique; la protection de l’artiste et de ses œuvres; la promotion de l’art et de l’artiste créateur et le financement des arts\artistes; et elle fera une présentation de deux documentaires.

La conférence, offerte dans le cadre du cours GLST2411 – Loisir et culture, est ouverte à toutes et à tous.

Prière de vous inscrire à l’avance en communiquant avec la professeure Selma Zaiane-Ghalia par courriel à l’adresse selma.zaiane-ghalia@umoncton.ca ou par téléphone au (506) 858-3760. Pour plus d’information : www.georgettebourgeois.com

Le Musée acadien de l’Université de Moncton présente l’exposition Toujours aimé, jamais oublié : la mort et le deuil en Acadie au Musée du Nouveau-Brunswick au Centre d’exposition du Market Square, à Saint-Jean, jusqu’au 8 janvier 2017.

Cette exposition retrace le parcours des traditions populaires, des rites et coutumes entourant la mort et le deuil en Acadie. La religion catholique régissait les croyances religieuses et les pratiques entourant la préparation à la mort, les funérailles et l'inhumation au cimetière. Pour les Acadiennes et Acadiens, les croyances et les traditions populaires ayant trait aux présages de la mort, aux esprits et aux âmes permettaient de mieux comprendre le monde qui les entourait.

Des débuts de la colonie jusqu’au milieu du XXe siècle, le corps de la personne décédée était préparé, veillé et exposé à la maison. Avec la multiplication des salons funéraires, les Acadiennes et les Acadiens adoptèrent la pratique de l'embaumement du corps.

De nos jours, nous sommes à la croisée des chemins. L'exode rural vers les villes, le déclin de la pratique religieuse et la pratique de la crémation ont modifié la façon dont nous faisons nos derniers adieux à l’être cher.

L’exposition traite de la spiritualité avant la mort, des préparatifs à la mort, de la mort, de la dépouille mortelle, des funérailles, du cimetière et du souvenir du défunt. Par de nombreux objets, des photographies et des éléments interactifs, le visiteur est invité à se pencher sur ce sujet inusité.

Les athlètes de cross-country Kamylle Frenette, de Dieppe, et Jérémie Pellerin, de Cocagne, sont les athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed pour la période du 19 au 25 septembre à l'Université de Moncton.

Kamylle Frenette a terminé en septième position universitaire dans le 6 km féminin de la 34e Classique annuelle de l’Université de Moncton, samedi. Elle a inscrit un temps de 24m29s30. L’équipe des Aigles Bleues a pris le 5e rang au classement final. Son temps et sa course lui permettent d’entrevoir une bonne saison. Elle est étudiante au Baccalauréat avec majeure en biologie et mineure en psychologie.

Le coureur Jérémie Pellerin participait à sa première compétition de la saison et a pris le 7e rang universitaire de la course masculine de 8 km. Il a réussi un temps de 27m20s90 et a mené son équipe à la troisième position au classement final. Un coureur d’expérience, il est étudiant au Baccalauréat multidisciplinaire.