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Voici les archives de l’Hebdo-Campus du 16 avril 2009 au 20 septembre 2018
L’Université de Moncton et le Collège communautaire du Nouveau-Brunswick concluent une entente de collaboration
Article complet
Agrandir l'imageLa photo nous fait voir Raymond Théberge, recteur et vice-chancelier de l’Université de Moncton, et Liane Roy, présidente-directrice générale du Collège communautaire du Nouveau-Brunswick (CCNB), au moment de signer l’entente cadre. Debout, de gauche à droite, on voit Haoua Seyni, étudiante de deuxième année au programme Administration des affaires – planification financière au CCNB; Gaston LeBlanc, doyen de la Faculté d’administration de l’U de M; Neil Boucher, vice-recteur à l’enseignement et à la recherche de l’U de M; Jean-Jacques Doucet, vice-président à la Formation et à la Réussite étudiante du CCNB; Claude Allard, directeur du CCNB - Campus de Dieppe; et Denis Cormier, étudiant de deuxième année au programme Administration des affaires – planification financière au CCNB. |
L’Université de Moncton et le Collège communautaire du Nouveau-Brunswick concluent une entente de collaboration Le recteur et vice-chancelier de l’Université de Moncton, Raymond Théberge, et la
présidente-directrice générale du Collège communautaire du Nouveau-Brunswick (CCNB),
Liane Roy, s’engagent dans une démarche de rapprochement entre les deux institutions.
Lors d’une conférence de presse tenue au CCNB - campus de Dieppe, les deux dirigeants
ont signé une entente cadre, dévoilé un plan d’action et lancé le nouveau programme
de baccalauréat appliqué en gestion des services financiers.
« Nous sommes heureux de ce partenariat grandissant avec le Collège communautaire,
souligne M. Théberge. Cette mise en commun de nos efforts favorise ainsi l’accès aux
études universitaires, bonifie la formation offerte aux francophones du Nouveau-Brunswick
et répond du même coup aux besoins du marché de l’emploi. »
« Les ententes avec l’Université de Moncton comme celles d’aujourd’hui illustrent
bien l’importance de la complémentarité sur le plan de la formation postsecondaire
pour nos deux institutions, rappelle Mme Roy. Le plan d’action qui est dévoilé mise
sur des priorités et des efforts conjoints, notamment la valorisation des études
postsecondaires, le recrutement, la recherche et l’innovation, la réussite étudiante,
la mobilité interinstitutionnelle, la planification académique et bien entendu, les
activités étudiantes conjointes. »
L’entente cadre prévoit une plus grande collaboration entre l’Université de Moncton
et le CCNB afin d’augmenter le niveau d’éducation au Nouveau-Brunswick et de
favoriser l’accès aux études postsecondaires. Cette collaboration comprend le partage
de ressources entre les deux institutions et l’élaboration de projets conjoints. Parmi
les objectifs de l’entente, on vise une plus grande intégration des programmes de
formation et l’augmentation de la mobilité étudiante entre les deux établissements.
Nouveau programme conjoint
Le nouveau baccalauréat appliqué en gestion des services financiers (B. APPL. G.S.F.)
est maintenant offert au campus de Moncton de l’Université de Moncton aux personnes
diplômées du programme Administration des affaires - planification financière du CCNB.
Le programme jumelle la formation collégiale en finance personnelle à la formation
universitaire en finance corporative; il offre donc une excellente formation en gestion
des services financiers.
La formation du baccalauréat appliqué en gestion des services financiers peut
déboucher sur des carrières de conseiller en planification financière ou en
investissement, d’agent d’assurance-vie et de biens, de directeur de comptes et de
courtier en valeurs mobilières.
Pour l’étudiante ou l’étudiant du CCNB qui a complété un programme de deux ans, la
durée du nouveau programme menant au baccalauréat est de deux années universitaires.
Pour inciter les anciens étudiants et étudiantes du CCNB à s’inscrire,
l’Université de Moncton offre une bourse d’accueil de 1 000 $ à celui ou celle qui
s’inscrira en septembre prochain.
| Le professeur Michel Johnson est le chercheur du mois de la Fondation pour la recherche en santé du Nouveau-Brunswick
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Le professeur Michel Johnson est le chercheur du mois de la Fondation pour la recherche en santé du Nouveau-Brunswick Michel Johnson, professeur adjoint à l’École de kinésiologie et de récréologie de
l’Université de Moncton, directeur des Groupes de recherche en conduite sécuritaire et
directeur de recherche du programme Coeur en santé, est le chercheur du mois de la
Fondation pour la recherche en santé du Nouveau-Brunswick. La FRSNB souligne ainsi
l’excellence et le leadership de l’un de nos chercheurs dans le domaine de la
recherche en santé qui sont axés sur le patient, la médecine appliquée et
l’innovation.
Le programme de recherche du professeur Johnson est surtout centré sur l’élaboration
de modèles psychobiologiques de la conduite incorporant la fonction autonome, des mesures
cognitives et de la performance de conduite au sein de populations asymptomatique et
symptomatique.
Il y a environ une dizaine d’années, il a entrepris ses études à titre de cochercheur
dans deux initiatives nationales, soit le projet AUTO21, mené dans le cadre du programme
des Réseaux de centres d’excellence du Canada (www.auto21.ca) et appuyé par au-delà
de 200 partenaires des secteurs de l’industrie, du gouvernement et des établissements,
et le projet Canadian Driving Research Initiative for Vehicular Safety in the Elderly
(www.candrive.ca), financé par les Instituts de recherche en santé du Canada et
l’Institut de recherche de l’hôpital d’Ottawa. Il a occupé le poste de professeur
adjoint aux universités Lakehead et Nipissing.
Le professeur Johnson a réussi à obtenir plus de 2,5 millions de dollars pour le
financement de la recherche depuis qu’il est à l’emploi de l’Université de Moncton
il y a maintenant trois ans. Cette somme provient en grande partie du Fonds d'innovation
de l'Atlantique (FIA) de l'Agence de promotion économique du Canada Atlantique (APÉCA).
Il a participé à d’autres projets dont la valeur s’élève à huit millions de
dollars. Il a formé et a agi comme mentor pour une douzaine d’étudiants de premier
cycle et des cycles supérieurs de diverses universités, a apporté sa contribution à
plus d’une vingtaine d’articles et de rapports, et a présenté de nombreux exposés
à des congrès nationaux et internationaux. En plus de ses travaux en laboratoire, il
dirige une étude visant à proposer des stratégies pour renforcer la participation de la
population aux soins de santé (Voix des patients) et à étudier des façons novatrices
d’offrir des soins de santé aux patients du Nouveau-Brunswick souffrant d’une maladie
chronique ou à risque d’en souffrir (Connected Voices).
En attirant des chercheurs talentueux comme le professeur Johnson au Nouveau-Brunswick, la
FRSNB estime que « nous contribuons à l’effort de la communauté internationale qui
vise à promouvoir un mode de vie sain et à offrir des services de santé efficaces. Nous
créons également un milieu de recherche dynamique qui permet de former nos étudiants et
étudiantes pour faire d’eux les chercheurs en santé talentueux de demain. Joignez-vous
à nous pour rendre hommage à M. Johnson dont les travaux visent à améliorer la santé
et l’autonomie des Néo-brunswickois et des Néo-brunswickoises. »
Michel Johnson a obtenu le baccalauréat ès arts de l’Université de Moncton avant de
poursuivre ses études de maîtrise ès sciences à l’Université Laval et de Ph.D. en
kinésiologie à l’University of Western Ontario.
Renseignements : 858-4811 / michel.johnson@umoncton.ca www.nbhrf.com a>
| Les 8es Jeux de la traduction auront lieu du 15 au 17 mars à l’Université de Moncton
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Les 8es Jeux de la traduction auront lieu du 15 au 17 mars à l’Université de Moncton Dans le cadre du 50e anniversaire de fondation de l’Université de Moncton, le
Département de traduction et des langues organise les 8es Jeux de la traduction qui
auront lieu du 15 au 17 mars. Depuis ses débuts, cet évènement unique s'est taillé une
place de choix au sein de la communauté des étudiantes et étudiants en traduction au
pays. Aujourd’hui, il s’agit à la fois d’un point de rencontre prisé et d’une
expérience inoubliable pour toutes les personnes participantes.
Les Jeux de la traduction visent avant tout à réunir les étudiants et étudiantes en
traduction des différentes universités pour leur permettre de mieux se connaître et de
créer des liens entre eux. Le corps professoral du Département de traduction soutient
fortement cette activité et aide les étudiants et étudiantes en faisant des séances de
« coaching » en dehors des cours.
L’Université de Moncton a toujours aligné une équipe depuis les premiers Jeux en
2006. D’ailleurs, l’équipe de Moncton a remporté les grands honneurs et la coupe des
Jeux lors des éditions de 2007 et 2008 et elle s’est classée au deuxième rang lors
des Jeux de 2012. Il va sans dire que cet évènement remporte un vif succès auprès des
participants et participantes qui se créent des amitiés et qui vivent une expérience
enrichissante. Ainsi, nous pouvons compter sur une tradition déjà bien établie, sur le
succès de nos prédécesseurs et sur le réseau sans cesse grandissant de la communauté
des Jeux.
Pour plus de renseignements, vous pouvez communiquer avec Pascale Routhier LeBlanc, membre
du comité organisateur des Jeux de la traduction 2013, au 506-227-8635 / epr1501@umoncton.ca
| La 43e édition du Projet-impôt aura lieu du 22 au 24 mars au campus de Moncton
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, la professeure Monique Lévesque, Sélassi Aholou, Ashley Aubie, Wielfrid Boris N’Guessan, Aurélie Juste, Debbie Boulay, Sophie Breau, Gerlinde Agoua, Tahara Diallo, Samuel Charron et Edgar Léger, professeur à la retraite. Absents dans la photo : le professeur Philippe McGraw et l’étudiante Annie Finn. |
La 43e édition du Projet-impôt aura lieu du 22 au 24 mars au campus de Moncton Pendant trois jours consécutifs en mars, des étudiants et étudiantes de troisième et
quatrième années de la Faculté d'administration de l'Université de Moncton rempliront
sans frais des déclarations de revenus qui sont inférieures à 30 000 $ et dont la
situation financière est simple.
Pour cette 43e édition du Projet-impôt, le service sera offert le vendredi 22 mars de 13
heures à 19 h 30, le samedi 23 mars de 10 heures à 16 heures, et le dimanche 24 mars de
11 heures à 15 h 30 au pavillon Jean-Cadieux du campus de Moncton.
Afin de faciliter leur tâche, les étudiants et étudiantes utiliseront encore une fois
un logiciel informatique fiscal.
Les étudiants et étudiantes bénévoles ne rempliront cependant pas les déclarations de
revenus et de prestations pour les personnes décédées, pour les particuliers en
faillite ou encore pour ceux et celles qui ont des gains en capital/pertes ou des revenus
et dépenses d'entreprise ou de location et des revenus de placement de plus de 1 000
$.
Grâce à un accord conclu entre la Faculté d'administration et l'Agence du revenu du
Canada, ce projet s'inscrit à l'intérieur d'un programme communautaire de personnes
bénévoles en matière d'impôt avec le Collège communautaire du Nouveau-Brunswick à
Moncton et certains clubs d'âge d'or de la région.
Comme par le passé, les étudiants et étudiantes de la Faculté d'administration
accepteront pendant le mois de mars de remplir des déclarations de revenus pour les
personnes habitant des foyers de soins.
Les dons reçus seront remis à des organismes de charité ou utilisés pour des projets
étudiants.
Depuis les 43 dernières années, le Projet-Impôt a permis à 1 800 étudiants et
étudiantes de remplir au-delà de 32 000 déclarations de revenus.
Vous pouvez obtenir d'autres renseignements au 858-4273 ou encore au 858-4383.
| La Semaine internationale se poursuit jusqu’au 17 février au campus de Moncton
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La Semaine internationale se poursuit jusqu’au 17 février au campus de Moncton Sous le thème « Regard sur le monde… à travers les yeux de l’autre », la Semaine
internationale au campus de Moncton se poursuit jusqu’au 17 février. Voilà
l’occasion de faire connaître les différents pays d’où sont originaires les
étudiantes et étudiants internationaux fréquentant l’Université de Moncton ainsi que
leurs cultures et leurs traditions.
Le Burkina Faso est à l’honneur le jeudi 14 février. Des représentants du Collège
communautaire du Nouveau-Brunswick présenteront divers projets internationaux en cours,
à 10 h 30 dans la salle 136 du pavillon Léopold-Taillon. À 15 heures dans le même
local, les professeures Carole Tranchant et Lise Savoie présenteront le projet d’Appui
aux écoles pratiques d’agriculture du Burkina Faso.
Un spectacle présenté à titre gracieux du conteur Kientenga Pingdéwindé, originaire
du Burkina Faso, sera présenté jeudi toujours à 19 heures dans la salle de spectacle du
pavillon Jeanne-de-Valois, tandis que le Ciné-campus présentera le film « Rebelle »,
du réalisateur Kim Nguyen, en nomination dans la catégorie meilleur film étranger aux
Oscars, les jeudi et vendredi 14 et 15 février à 20 heures dans la salle de projection
163 du pavillon Jacqueline-Bouchard.
Le vendredi 15 février, le pays à l’honneur sera le Mali. À 11 h 15, le professeur
Ibrahim Ouattara présentera quelques réflexions portant sur la crise actuelle dans ce
pays, dans la salle 136 du pavillon Léopold-Taillon.
La 37e Soirée internationale de l’AEEIUM aura lieu le samedi 16 février au Ceps
Louis-J.-Robichaud. Un Village international sera installé dans le gymnase du Ceps dès
15 heures et le grand public pourra y visiter sans frais le Souk international ainsi que
des stands de commerce équitable de l’organisme Dix Mille Villages. Un repas à saveur
internationale sera servi dès 17 heures dans le stade et sera suivi d’un spectacle
multiculturel riche en couleurs. Les billets pour la soirée sont en vente à la
billetterie du Centre étudiant, 15 $ pour les étudiants, 20 $ pour les adultes et 8 $
pour les enfants de 12 ans et moins.
La Semaine internationale prendra fin avec un spectacle de l’humoriste ivoirien Le Grand
Maître, le dimanche 17 février à 19 heures dans la salle de spectacle du pavillon
Jeanne-de-Valois. Les billets, 5 $ pour les étudiants et 7 $ tarif ordinaire, sont en
vente à la billetterie du Centre étudiant.
| Le Service aux étudiantes et étudiants internationaux lance un guide d’adaptation interculturelle
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Le Service aux étudiantes et étudiants internationaux lance un guide d’adaptation interculturelle Le Service aux étudiantes et étudiants internationaux de l’Université de Moncton
vient de faire paraître un guide d’adaptation interculturelle, intitulé « À la
rencontre de soi et de l’autre ».
D’abord destiné à la clientèle étudiante internationale, ce guide s’adresse aussi
aux étudiantes et étudiants canadiens de même qu’à tous les membres de la
communauté universitaire. Il a été publié grâce à une contribution financière du
ministère de l’Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail du
Nouveau-Brunswick.
« Ce projet a été réalisé dans le but de favoriser la compréhension entre les
cultures, souligne le recteur et vice-chancelier Raymond Théberge. Alors que
l’Université de Moncton célèbre son 50e anniversaire de fondation, la présence
internationale qui s’est bâtie au fil des ans au sein de nos trois campus est aussi à
célébrer. Avec la publication de ce guide, l’Université de Moncton démontre
qu’elle prend en compte la diversité culturelle qui l’habite et cherche à faciliter
les échanges et la communication à même cette diversité. »
« Ce guide est un outil précieux pour développer une meilleure appréciation de la
richesse et des défis de l’interculturel, explique Marie-Linda Lord, vice-rectrice aux
affaires étudiantes et internationales. Je tiens par ailleurs à souligner l’excellent
travail du responsable du projet, Hermel Deschênes, conseiller aux étudiantes et
étudiants internationaux, et de la rédactrice Isabelle Violette, professeure de
linguistique à la Faculté des arts et des sciences sociales, qui ont très bien réussi
à transmettre la démarche d’adaptation interculturelle. »
Le guide a été développé en trois parties. La première partie est consacrée à la
définition de la notion de « culture » dans une perspective anthropologique. Elle
permet d’élargir notre compréhension de la culture en abordant le choc culturel ainsi
que d’autres mécanismes de défense qui constituent des réactions normales et
spontanées face à la différence.
La deuxième partie fait ressortir certains malentendus qui relèvent des différences
culturelles au niveau des normes communicationnelles et des valeurs sociales. Dans cette
perspective, elle présente également un ensemble de compétences interculturelles à
mettre en pratique par toute personne qui souhaite s’adapter à un nouveau milieu
culturel et surmonter la période de désorientation qui accompagne ce processus.
La troisième et dernière partie consiste à donner des points de repère culturels pour
celles et ceux qui arrivent en sol canadien et plus particulièrement en milieu
universitaire acadien. Il s’agit de présenter les divers savoir-faire qui ont cours
dans le nouveau milieu d’accueil allant de la façon de saluer, d’entamer une
conversation, de naviguer dans le système universitaire acadien, de reconnaître et de
comprendre les particularités linguistiques du français acadien. De plus, ce guide
comprend un lexique qui regroupe les principales notions employées dans la littérature
interculturelle.
Disponible aux Services aux étudiantes et aux étudiants des trois campus de
l’Université de Moncton, ce guide est aussi publié en format électronique à
l’adresse www.umoncton.ca/umcm-saee/node/276.
Pour de plus amples renseignements, prière de communiquer avec Hermel Deschênes,
conseiller aux étudiantes et étudiants internationaux au campus de Moncton, au
506-858-3713 ou par courriel à l’adresse hermel.deschenes@umoncton.ca.
| Mélissa Clavette et Myriam Duff coordonnent la venue de l’organisme Dix Mille Villages au campus de Moncton
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Mélissa Clavette et Myriam Duff coordonnent la venue de l’organisme Dix Mille Villages au campus de Moncton Depuis plusieurs semaines, deux étudiantes de troisième année en travail social,
Mélissa Clavette et Myriam Duff, travaillent d’arrache-pied pour que l’événement
soit un succès. Elles sont les organisatrices de la vente de produits de commerce
équitable qui aura lieu le samedi 16 février de 15 heures à 18 heures dans le gymnase
du Ceps Louis-J.Robichaud.
Cette activité fait partie du projet Justice sociale, qui existe depuis quelques années
à l’École de travail social de l’Université de Moncton. Si les thématiques mises
de l’avant sont différentes chaque année, les objectifs restent les mêmes. Il
s’agit de sensibiliser les futurs travailleurs sociaux aux questions d’inégalités et
d’injustices sociales qui risquent d’être au cœur de leur future profession.
Mélissa et Myriam ont choisi de se porter volontaire pour sensibiliser les gens à la
cause du commerce équitable. « Au départ, je voulais m’impliquer dans ce projet pour
que les gens soient davantage au courant de ce qu’est réellement le commerce
équitable, affirme Myriam. C’est un sujet qui est encore méconnu, moi-même j’en ai
appris beaucoup en travaillant à l’organisation. »
L’organisme Dix Mille Villages a pour objectif d’offrir un revenu aux artisans de pays
en développement grâce à la commercialisation de leurs produits. L’organisme a déjà
visité le campus de Moncton l’an dernier, à l’invitation de l’École de travail
social. À la suite du succès obtenu, des démarches ont été entreprises pour que
l’organisme revienne, mais cette fois dans le cadre de la Semaine internationale. Les
membres de la communauté universitaire et les gens de la région pourront ainsi visiter
les nombreux stands de l’organisme et se procurer divers objets, qu’il s’agisse de
vêtements, de bijoux ou d’œuvres d’art.
Toute la logistique entourant l’organisation d’un événement de cette envergure a
constitué un beau défi pour les deux étudiantes. « La promotion et le recrutement de
bénévoles ont été parmi les tâches les plus difficiles, mais cela nous a permis de
mettre en pratique notre sens de l’organisation, ajoute Mélissa. C’est la première
fois que l’on organise un événement de cette ampleur et ce n’était pas toujours
évident parce qu’il y avait énormément de gens à contacter. »
Les deux étudiantes espèrent que les gens qui visiteront les différents stands de Dix
Mille Villages en apprendront davantage sur le trajet habituellement effectué par les
différents objets de consommation, comparé aux objets provenant du commerce équitable
qui requièrent beaucoup moins d’intermédiaires et qui permettent aux producteurs de
recevoir une rémunération beaucoup plus juste. Elles souhaitent que les gens aient ainsi
davantage conscience de la valeur réelle de chaque dollar, et qu’ils réalisent qu’il
existe très souvent un équivalent équitable pour chaque objet de consommation courante
et à un prix abordable.
Justice Sociale : un projet très populaire
Cette année, une trentaine d’étudiants et étudiantes ont souhaité participer au
projet Justice Sociale. Cinq thématiques ont été choisies par le groupe : la diversité
culturelle, la sécurité alimentaire, le commerce équitable, l’intimidation à
l’université et le bénévolat. Pour chacun des thèmes choisis, les étudiants et
étudiantes organisent diverses activités de sensibilisation tout au cours de l’année
universitaire.
Grâce à leur participation à ce projet, les étudiants et étudiantes ont ainsi
l’occasion de mettre en pratique les principes théoriques qu’ils apprennent en classe
et à agir de façon concrète pour contribuer à rétablir la justice sociale.
| Programme de coopération universitaire en matière d'enseignement supérieur et de recherche entre le Québec et le Nouveau-Brunswick
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Programme de coopération universitaire en matière d'enseignement supérieur et de recherche entre le Québec et le Nouveau-Brunswick Une somme globale de 70 000 $ sera investie par les gouvernements du Québec et du
Nouveau-Brunswick afin d'encourager la coopération entre les universitaires des deux
provinces.
Ce programme de coopération s'applique à tous les domaines de recherche scientifique. Il
s’adresse au corps professoral, aux étudiants et étudiantes et comprend les volets
recherche et formation.
Les directives et les formulaires de demande concernant la soumission des projets pour
l'année 2013-2014 sont disponibles à l'adresse Internet ci-dessous.
Les dates limites internes sont les suivantes : soumission des demandes à la FESR : le
lundi 18 février à 16 h 30 (l'original plus une copie pour la FESR); soumission des
rapports d'activité et des états financiers à la FESR (pour les projets subventionnés
l'année précédente), le 15 avril (l'original plus une copie pour la FESR).
Renseignements : FESR, au 858-4310 / fesr@umoncton.ca
http://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/ministeres/ education
_postsecondaire_formation_et_travail /postsecondaire/content/ recherche_et_innovation/
cooperation_universitaireenmati eredenseignementsuperieuretderech.html
| Lancement de l’édition critique du livre « Sans jamais parler du vent : roman de crainte et d’espoir que la mort arrive à temps » de France Daigle
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Isabelle McKee-Allain, directrice de l’Institut d’études acadiennes; le recteur et vice-chancelier Raymond Théberge; Denis Bourque, directeur du Groupe de recherche en édition critique de l’Université de Moncton; l’auteure France Daigle; la professeure Monika Boehringer, de Mount Allison University, auteure de l’édition critique; le recteur et vice-chancelier de Mount Allison University Robert Campbell; et Amélie Giroux, coordonnatrice des collections à l’Institut d’études acadiennes. |
Lancement de l’édition critique du livre « Sans jamais parler du vent : roman de crainte et d’espoir que la mort arrive à temps » de France Daigle Le lancement de l’édition critique du livre « Sans jamais parler du vent : roman de
crainte et d’espoir que la mort arrive à temps », de l’auteure France Daigle, a eu
lieu le 7 février au campus de Moncton.
Cette édition critique a été établie par la professeure Monika Boehringer, de Mount
Allison University de Sackville. C’est le premier titre de la collection «
Bibliothèque acadienne » de l’Institut d’études acadiennes et du Groupe de
recherche en édition critique de l’Université de Moncton qui réunit en éditions
critiques les textes fondamentaux de la littérature acadienne.
« Dans le contexte de la littérature franco-canadienne, France Daigle n’a plus à
établir sa renommée : son œuvre est étudiée en Amérique du Nord et en Europe. Elle a
une douzaine de romans à son actif dont plusieurs ont été couronnés par des prix
nationaux et internationaux. Son dernier roman, l’œuvre magistrale « Pour sûr », a
notamment remporté le Prix littéraire du Gouverneur général du Canada en 2012. Or,
lors de la parution de son premier roman, « Sans jamais parler du vent », en 1983,
personne ne pouvait encore savoir que Mme Daigle laisserait une marque indélébile sur la
littérature acadienne. »
« Résolument moderne, ce premier roman présente une facture expérimentale devenue
l’une des caractéristiques de l’écriture daiglienne. Depuis longtemps épuisé, il
fallait le rendre de nouveau accessible : chacun pourra ainsi mesurer toute la trajectoire
de l’auteure, de ses débuts jusqu’à l’ opus magnum le plus récent. La
présente édition critique de « Sans jamais parler du vent » présente non seulement
les variantes, mais aussi un choix de fragments textuels qui permet d’en retracer la
genèse. Ainsi, on saisira mieux la valeur de ce texte dont la relecture seule fait
ressentir tous ses effets polysémiques. »
Ce lancement a été organisé dans le cadre des activités entourant le 50e anniversaire
de fondation de l’Université de Moncton.
Renseignements : 506-858-4726 / maurice.basque@umoncton.ca
| Festival del cine : découvrir le cinéma espagnol et hispano-américain
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Festival del cine : découvrir le cinéma espagnol et hispano-américain Les cinéphiles amoureux de culture hispanique seront comblés avec le premier festival de
films en espagnol à Moncton ce mois-ci. Le samedi 23 et le dimanche 24 février, le
Festival Del Cine prendra l’affiche dans la salle de projection 163 du pavillon
Jacqueline-Bouchard. En tout, cinq films seront projetés au grand écran devant public en
version originale espagnole avec sous-titres en anglais.
Le Festival del cine est présenté en collaboration avec le Service des loisirs
socioculturels du campus de Moncton.
Une première au campus
Depuis plusieurs années, l’idée d’un festival de films en espagnol trotte dans la
tête de celle qui est à la tête du projet, Cynthia Potvin, professeure d’espagnol au
Département de traduction et des langues de l’Université de Moncton. Elle souhaite
faire découvrir les réalités socioculturelles, historiques et linguistiques du monde
hispanique. « Quand on va en voyage, on revient généralement la tête pleine de beaux
paysages, de plages au sable blanc, de soleil, mais on ne constate pas toujours l’envers
de la médaille : la réalité sociale et le quotidien des gens qui y habitent. »
C’est cette réalité qui sera projetée à l’écran lors du premier Festival del cine
et qui aborde le thème des défis à relever du monde hispanique dans son évolution. «
Tous les sujets dont font l’objet les films à l’affiche peuvent nous toucher de près
ou de loin, avance Mme Potvin. On invite les gens à découvrir et à réfléchir à ces
enjeux à travers la loupe hispanique ». Celle qui espère voir plusieurs éditions du
Festival del cine défiler à l’écran au fil des ans, souligne que l’idée d’un
thème sera ancrée dans le projet. « C’est un bon point de départ pour découvrir la
culture hispanique. Pour les prochaines éditions, on pourrait se concentrer sur
d’autres facettes comme la culture, la famille, etc. »
Des films primés à l’affiche pour une première fois à Moncton
D’excellents films qui ont remporté plusieurs honneurs sont à l’affiche lors de ce
premier Festival del cine dont le coup d’envoi aura lieu le samedi 23 février à 15
heures. C’est « También la Lluvia » (Even the Rain), d’Icíar Bollaín
(2011), film mettant en vedette Gael García Bernal, qui lancera le bal. Le film dont
l’intrigue se passe en Bolivie a récolté 13 nominations aux Prix Goya (l’équivalent
des Oscars en Espagne) en 2011 et a remporté le prix du public pour meilleur film de
fiction au Berlin International Film Festival (2011). « Tambien la Lluvia » permet
également de voir à l’écran le talent de Luis Tosar et Carlos Aduviri.
Une occasion à ne pas manquer, « La Yuma » (Florence Jaugey, 2011) est la première
réalisation du Nicaragua depuis 20 ans. Le film prendra l’affiche le samedi 23 février
à 18 heures. Incarnant une jeune fille qui rêve de quitter son village et devenir
boxeuse, la comédienne principale, Alma Blanco, a remporté la palme de la meilleure
actrice au Festival de films de Cartagena de Indias en Colombie (2010). Le film met
également en vedette les comédiens Gabriel Benavides et Rigoberto Mayorga.
« Contracorriente » (Undertow) (Javier Fuentes León, 2010), drame romantique qui
traite de l’homosexualité, a remporté six nominations et neuf prix depuis sa sortie
dont le prix du public au Chicago Latino Film Festival et au Festival de films
latino-américains de Lima en 2010. La projection est à l’horaire le samedi 23 février
à 20 heures. Les cinéphiles pourront découvrir le jeu du trio d’acteurs Cristian
Mercado, Manolo Cardona et Tatiana Astengo.
« El Hombre de Al Lado » (The Man Next Door) (Mariano Cohn et Gastón Duprat,
2010) prendra l’affiche le dimanche 24 février à 18 heures. Cette comédie noire qui
traite des différences entre les classes sociales a été honorée de six récompenses de
l’Academy of Motion Picture Arts and Sciences of Argentina en 2010 (en plus de trois
autres nominations) dont meilleur film, meilleur réalisateur, meilleur acteur principal
et meilleur scénario. Le film met en vedette Rafael Spregelburg, Daniel Araoz et Eugenia
Alonso.
Un sujet qui a capté l’attention sur la scène internationale il y a de cela quelques
années clôturera le Festival le dimanche 24 février à 20 heures grâce au documentaire
« La Muerte de Pinochet » (The Death of Pinochet), de Bettina Perut et Ivan
Osnovikoff (2011). Un portrait entre le tragique et le comique qui décrit incroyablement
bien la société du Chili. Le film met en vedette Otilia Carrillo, Juan González, Manuel
Castro et Manuel Carrillo.
Billets
Les billets pour les projections sont en vente au coût de 5 $ pour chaque entrée (tarif
ordinaire) et 2 $ (tarif étudiant). Il est possible de se procurer un laissez-passer pour
les cinq projections au coût de 20 $ (ordinaire) et 8 $ (étudiant). Les laissez-passer
sont en vente à la billetterie du Centre étudiant, au 858-3738. Les billets individuels
seront en vente à l’entrée seulement.
Une aide précieuse
Les films présentés ont été choisis parmi la sélection offerte par le Spanish Film
Club, ce qui a permis aux organisateurs de mettre la main sur des films primés jamais
encore diffusés dans la région. Les séries Spanish Film Club existent grâce à
l’appui de Pragda, du secrétariat de la Culture de l’Espagne ainsi que du Programme
de coopération culturelle entre le ministère de la Culture de l’Espagne et les
universités américaines.
Pour mener à terme le projet du Festival del cine, Cynthia Potvin bénéficie de l’aide
précieuse du Comité d’étudiantes et d’étudiants volontaires en espagnol. Le
Comité compte des étudiants d’espagnol des niveaux supérieurs et des étudiants ayant
terminé leur formation en espagnol.
Plusieurs activités promotionnelles ont lieu tout au long de l’année universitaire
afin de sensibiliser et familiariser la population à certains aspects culturels,
historiques et sociaux du monde hispanique en guise de promotion pour le festival.
Les collaborateurs et partenaires pour cette édition 2013 du Festival del cine sont le
Spanish Film Club de PRAGDA, Louis Doucet et le Service des loisirs socioculturels de
l’Université de Moncton, Maurice Oviedo et le Festival international du film
ethnographique du Québec (FIFEQ), Paul Arseneau, réalisateur indépendant, et Brenda
Comeau, graphiste.
Le Festival del cine tient également à remercier ses généreux commanditaires et
donateurs : la Faculté des études supérieures et de la recherche, la Faculté des arts
et des sciences sociales, le Département de traduction et des langues et le Conseil
étudiant du Département de traduction et des langues.
| ECO-ICRPAP : les déterminants de l’innovation des entreprises au Canada en compagnie de l’économiste Dany Brouillette
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Marc Duhamel, chercheur principal à l’Institut canadien de recherche en politiques et administration publiques; le conférencier, Dany Brouillette, d’Industrie Canada; Ronald C. LeBlanc et Michel Deslierres, respectivement professeur et directeur du Département d’économie à la Faculté des arts et des sciences sociales de l’Université de Moncton. |
ECO-ICRPAP : les déterminants de l’innovation des entreprises au Canada en compagnie de l’économiste Dany Brouillette À l’invitation conjointe du Département d’économie de l’Université de Moncton et
de l’Institut canadien de recherche en politiques et administration publiques,
l’économiste Dany Brouillette a prononcé une conférence au campus de Moncton le 31
janvier dernier qui portait sur les déterminants de l’innovation et la performance des
entreprises au Canada.
Comme en témoigne le discours sur l’état de la province prononcé le soir même par le
premier ministre David Alward, l’innovation est au cœur des enjeux de politiques
publiques au Nouveau-Brunswick et « la clé pour augmenter la productivité de chaque
secteur, depuis la fabrication industrielle jusqu’à la mise en valeur des ressources
naturelles. » Le séminaire portait ainsi sur l’un des enjeux majeurs du gouvernement
qui cherche à stimuler la croissance de l’économie du Nouveau-Brunswick et la
création d’emplois.
M. Brouillette utilise un nouvel environnement de données de Statistique Canada pour
démontrer la complexité des stratégies d’innovation mises en œuvre par les
entreprises au Canada depuis 2005 : les entreprises innovantes n’effectuent pas
exclusivement de la recherche-développement (R.-D.) qui vise les innovations de
procédés et de produits, mais procèdent également à des innovations
organisationnelles et de marketing. Les résultats présentés à l’auditoire présent
composé d’une quinzaine d’étudiants, de fonctionnaires de l’APÉCA et de
professeurs d’économie et des sciences de la gestion, suggèrent qu’un soutien
gouvernemental principalement axé sur la R.-D. pourrait être inefficace. Puisque le
processus d'innovation des entreprises est beaucoup plus complexe, favoriser la
complémentarité entre les différentes formes d’innovation pourrait améliorer le
rendement de l’innovation en ce qui a trait à la productivité du travail des
entreprises.
| « Pour sûr » : séance de signature de l’auteure France Daigle à la Librairie acadienne
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« Pour sûr » : séance de signature de l’auteure France Daigle à la Librairie acadienne La Librairie acadienne du campus de Moncton reçoit l’auteure France Daigle, le jeudi 28
février de 11 h 30 à 13 h 30 pour une séance de signature de son dernier roman « Pour
sûr », lauréat en 2012 d’un prix littéraire du gouverneur général du Canada et
publié aux Éditions Boréal.
Cette activité consiste à rencontrer l’auteure et à offrir une grande visibilité au
livre qui a été primé ainsi qu’à ses ouvrages précédents. L’auteure en profitera
pour discuter de son processus d’écriture ainsi que de son cheminement littéraire. Cet
événement correspond avec la parution de « Pour sûr » en livre de poche.
L’animation sera assurée par Mireille Thériault, libraire à la Librairie acadienne,
et il reviendra à Monika Boehringer, auteure de l’édition critique du livre « Sans
jamais parler du vent : roman de crainte et d’espoir que la mort arrive à temps » de
France Daigle, de présenter l’auteure.
Un léger goûter et des boissons seront servis.
Renseignements : Mireille Thériault, au 858-4140.
| Ibtissam Nkaili préside l’Association des étudiantes et des étudiants internationaux de l’Université de Moncton
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Ibtissam Nkaili préside l’Association des étudiantes et des étudiants internationaux de l’Université de Moncton Originaire du Maroc, Ibtissam Nkaili est présidente de l’Association des étudiantes et
étudiants internationaux de l’Université de Moncton (AEEIUM) depuis avril 2012.
À sa cinquième année à l’U de M, elle terminera sous peu son mandat avec la
satisfaction d’avoir contribué à offrir une très bonne représentation des
étudiantes et des étudiants internationaux.
L’étudiante de 4e année au baccalauréat en comptabilité, régime coopératif, a
toujours été très impliquée dans la vie étudiante. Depuis le tout début de son
séjour à l’U de M, elle a organisé une manifestation pour la paix au Moyen-Orient et
a participé à chacune des soirées internationales, à la fois comme participante au
défilé et au spectacle, animatrice de stand ou maîtresse de cérémonie. Elle a
également été membre du conseil étudiant de la Faculté d’administration et du
conseil d’administration de l’AEEIUM et a participé à deux reprises aux Jeux du
commerce. Son engagement dépasse la sphère universitaire puisqu’elle s’est
également impliquée auprès du YMCA, du YWCA et de Centraide. Mme Nkaili complète
actuellement un stage au sein de la firme comptable Boudreau Porter Hétu et associés.
Elle souhaite par la suite poursuivre des études pour obtenir sa certification de
comptable agréée.
Elle a souhaité jouer un rôle au sein de l’AEEIUM pour apporter des changements et
mettre son potentiel au profit de la communauté internationale. Au cours de son mandat,
elle a organisé un mariage culturel pour l’intégration, un banquet pour les finissants
internationaux et le 35e anniversaire de l’AEEIUM, en plus de participer à l’accueil
des nouveaux étudiants et étudiantes. Elle a également créé plusieurs partenariats
entre l’AEEIUM et des organismes de la région tels que le Centre d'accueil et
d'accompagnement francophone des immigrants du sud-est du Nouveau-Brunswick (CAFI).
Son mandat comme présidente de l’association a permis de continuer le travail déjà
entamé au cours des années précédentes, surtout en ce qui a trait à l’intégration
des étudiantes et des étudiants. Un comité de concertation a été mis en place pour
aborder cette question, même si elle estime qu’il reste encore du travail à faire.
« Il est parfois difficile d’encourager les étudiants internationaux et canadiens à
se mêler entre eux, dit-elle. On le voit souvent dans le cadre de travaux d’équipe
dans les cours, les étudiants restent souvent chacun de leur côté sans se mêler entre
Canadiens et étudiants internationaux. Il faut continuer à améliorer la communication
et à éliminer les préjugés pour que les étudiants de toutes origines se sentent à
l’aise de se côtoyer et d’échanger entre eux. »
Bien que son mandat se termine dans quelques mois, elle souhaite que l’AEEIUM continue
à grandir et à se développer, question de jouer un plus grand rôle encore au sein du
campus. Un poste officiel de représentant des étudiants internationaux au sein de
l’exécutif de la Féécum pourrait même être une bonne idée selon elle, permettant
ainsi à l’association d’avoir un plus grand impact, d’autant plus que le nombre
d’étudiants internationaux au campus est en constante évolution.
Une soirée internationale qui promet
La 37e soirée internationale, qui aura lieu le samedi 16 février au Ceps
Louis-J.-Robichaud, sera des plus authentiques selon Mme Nkaili. Elle espère que les gens
vivront une expérience qu’ils n’oublieront pas. « La soirée sera encore plus
diversifiée que par le passé avec la participation de divers groupes culturels de la
communauté. Beaucoup de pays seront représentés, à la fois dans le menu du repas et
dans le spectacle. »
Pour la première fois cette année, l’organisme Dix Mille Villages sera présent pour
faire la promotion du commerce équitable. De nombreux stands offrant des produits
artisanaux équitables seront installés dans le gymnase qui sera transformé pour
l’occasion en immense Souk permettant aux gens d’interagir avec les exposants et
d’obtenir des renseignements sur divers commerces locaux et plusieurs organismes
multiculturels.
| Le film « Le peuple de la rivière Kattawapiskak » prend l’affiche aux Rendez-vous de l’ONF en Acadie
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Le film « Le peuple de la rivière Kattawapiskak » prend l’affiche aux Rendez-vous de l’ONF en Acadie Le film « Le peuple de la rivière Kattawapiskak » (2012, 50 minutes)
prendra l’affiche aux Rendez-vous de l’ONF en Acadie, le lundi 18
février à 19 heures dans la salle de projection 163 du pavillon
Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton. L’entrée est libre.
Ce film, réalisé et produit par Alanis Obomsawin à l’ONF,
brosse le portrait d’une terrible crise du logement en 2011 et de la pauvreté
grandissante des Cris du nord de l’Ontario. Des images choc de froidure et de
cambuses font écho aux discours politiques sans effet. Malgré la situation
désastreuse, l’espoir renaîtra-t-il un jour pour cette
communauté?
La projection principale sera suivie de deux courts métrages
complémentaires portant sur les suites de la crise du logement à
Kattawapiskak, réalisés par Alanis Obomsawin : « Le peuple de la
rivière Kattawapiskak - six mois plus tard » (2012, 6 minutes) et «
Audience de la Cour fédérale » (2012, 19 minutes).
Le peuple de la rivière Kattawapiskak
Kattawapiskak, ou « place entre deux rochers » en cri, est un village de 1
700 habitants situé au nord de l’Ontario et dont personne n’avait
entendu parler avant l’automne 2011. Mieux connu sous le nom de
d’Attawapiskat, ce village fait alors la une des médias quand la chef de
bande Theresa Spence doit déclarer l’état d’urgence et demander
à la Croix-Rouge canadienne d’intervenir pour aider la communauté
à régler la terrible crise du logement qui sévit dans cette
agglomération subarctique.
Le documentaire « Le peuple de la rivière Kattawapiskak » nous
plonge au centre de cette communauté crie de la Baie James dont les conditions de
vie sont comparables à celles qui prévalent dans un bidonville,
située pourtant dans l’un des pays les plus riches du monde. La
réalisatrice Alanis Obomsawin œuvre depuis 40 ans pour la reconnaissance de
la culture des Amérindiens du Canada et retrace ici l’histoire et les causes
de cette crise du logement.
Dès les premières images, le débat est lancé à la
Chambre des communes. Des centaines de familles cries vivent dans des « shacks
» délabrés sans eau courante ni électricité et à
moins de 40 °C. John Duncan, ministre des Affaires autochtones, déplore la
situation mais rien ne semble avancer pour autant, malgré les protestations de la
chef de bande, Theresa Spence.
Alanis Obomsawin
Alanis Obomsawin, membre de la nation abénaquise, est l’une des plus
éminentes documentaristes du Canada. Elle a réalisé avec
l’Office national du film du Canada 37 documentaires relatant la vie et les
préoccupations des Premières Nations. Cinéaste militante, elle est
poussée par le désir de donner une tribune aux peuples autochtones du
pays.
Toute sa filmographie en témoigne. Depuis « Christmas at Moose Factory
» (1971), qui montre la vie d’un village cri de la Baie James racontée
à travers des dessins d’enfants, à « Quand toutes les feuilles
seront tombées » (2010), qui explore la puissance du rêve et la force
de l’esprit humain, la cinéaste n’a eu de cesse de montrer
l’importance de ses origines et la force des liens intergénérationnels
pour préserver la culture amérindiennes au Canada. Avec « La Couronne
cherche-t-elle à nous faire la guerre? » (2002), elle jette un regard intense
sur le conflit entre les Mi’gmaqs et leurs voisins Acadiens au sujet des droits de
pêche à Burnt Church au Nouveau-Brunswick. En 2010, Alanis Obomsawin a
été intronisée au Temple de la renommée du cinéma et de
la télévision du Canada.
Bientôt à l’affiche
Ce sera l’occasion de revivre le 75e de l’Orchestre symphonique de
Montréal avec le maestro Kent Nagano et le film « Montréal Symphonie
» bientôt à l’affiche des Rendez-vous de l’ONF en Acadie
pendant la semaine du 24 février. Pour souligner cet anniversaire important de
l’OSM, le maestro a prévu un programme mémorable. Le film de Bettina
Ehrhardt (2010, 98 minutes) témoigne des temps forts de cette saison.
| Une quatrième conférence pour souligner l’Année internationale de la statistique
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Une quatrième conférence pour souligner l’Année internationale de la statistique Dans le cadre des célébrations soulignant l’Année internationale de la statistique et
à l’invitation du Département de mathématiques et de statistique, les professeurs
Viktor Freiman et Jimmy Bourque, de la Faculté des sciences de l’éducation,
prononceront une conférence, intitulée «Les jeux sont faits : un simulateur de jeux de
hasard pour l’enseignement des probabilités », le jeudi 21 février à 13 h 30 dans le
local A-102 du pavillon Rémi-Rossignol au campus de Moncton.
Les jeux de hasard gagnent actuellement en popularité, surtout auprès des jeunes, à la
suite notamment de la multiplication des casinos en ligne. Or, les jeunes présentent
régulièrement des conceptions erronées mais durables relatives aux probabilités
réelles associées aux jeux de hasard. Ainsi, ils tendent à sous-estimer le rôle de la
chance, à surestimer le rôle de l’habileté et à surestimer les probabilités de
gain.
Dans le cadre d’une recherche financée par le FQRSC et dirigée par le professeur
François Larose, l’équipe de recherche a conçu un simulateur de jeux de hasard en
ligne lié aux concepts probabilistes présents dans les programmes d’études de
mathématiques du secondaire et pouvant servir d’outil didactique. En permettant un
grand nombre d’essais, le simulateur aide les utilisateurs de prendre conscience des
probabilités réelles de gain pour plusieurs types de jeux que l’on retrouve dans les
casinos.
Bienvenue à toutes et tous. Du café et des beignes seront servis après la conférence.
| Conférence publique de Jacques Dubé prononcée dans le cadre de la Semaine de kinésiologie et de récréologie
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Conférence publique de Jacques Dubé prononcée dans le cadre de la Semaine de kinésiologie et de récréologie Dans le cadre de la Semaine de kinésiologie et de récréologie et du cours RETO3002
Design en récréo-tourisme, l’École de kinésiologie et de récréologie de
l’Université de Moncton reçoit Jacques Dubé, directeur général de la ville de
Moncton, qui prononcera une conférence publique, intitulée « Le processus menant à la
construction d’un nouveau Colisée à Moncton », le jeudi 21 février à 11 h 30 dans
la salle 226 du Ceps Louis-J. Robichaud au campus de Moncton.
La conférence portera notamment sur le processus de consultation, le choix du site, le
budget, l’ébauche et les défis entourant la réalisation d’un tel projet.
Jacques Dubé compte à son actif plus de 25 ans d’expérience au niveau de la haute
direction des trois ordres de gouvernement : municipal, provincial et fédéral. Il a agi
comme représentant des services municipaux du comté de Gloucester pendant sept ans,
comme directeur des services municipaux à St. Andrews pendant cinq ans, comme premier
président de la Corporation de développement économique du Grand Fredericton desservant
14 municipalités pendant cinq ans, comme sous-ministre au sein du gouvernement du
Nouveau-Brunswick pendant cinq ans; et comme chef de cabinet du ministre fédéral des
Anciens combattants siégeant à Ottawa et du ministre régional du Nouveau-Brunswick
pendant plus de trois ans.
C’est une conférence d’intérêt général. Bienvenue à tous et à toutes.
Renseignements : 858-4165.
| Le campus de Shippagan signe une entente de coopération internationale avec l’Université Bretagne-Sud en France
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Le campus de Shippagan signe une entente de coopération internationale avec l’Université Bretagne-Sud en France Le campus de Shippagan a signé une entente de coopération internationale avec
l’Université de Bretagne-Sud en France qui permet aux étudiantes et étudiants
inscrits au baccalauréat en gestion intégrée des zones côtières de remplacer une ou
deux sessions de leur troisième ou quatrième année en suivant des cours du master 1 en
aménagement et développement des territoires maritimes et littoraux donnés par
l’Université de Bretagne-Sud.
De leur côté, les étudiantes et étudiants inscrits au master de l’Université de
Bretagne-Sud pourront remplacer un semestre de leur master 1 en suivant des cours de la
troisième et/ou de la quatrième année du baccalauréat en gestion intégrée des zones
côtières donnés par le campus de Shippagan. Il sera également possible pour eux de
faire un stage obligatoire (trois mois en master 1) au Nouveau-Brunswick.
À titre d’exemple, Johane Gillet, étudiante de master 2, est à Shippagan pour un
stage de cinq mois avec la professeure Julie Guillemot pour travailler sur le projet
ARUC-DCC : adaptation aux changements climatiques.
| Colloque des jeunes chercheurs : il faut soumettre le formulaire d’inscription d’ici le 18 février
Article complet
Colloque des jeunes chercheurs : il faut soumettre le formulaire d’inscription d’ici le 18 février Le Comité organisateur invite les étudiantes et étudiants universitaires des provinces
atlantiques à participer au 24e Colloque des jeunes chercheures et chercheurs, qui aura
lieu le mercredi 20 mars à l’Université de Moncton.
Le comité incite également les membres du corps professoral à encourager leurs
étudiantes et étudiants à soumettre leur candidature dans l’une des catégories
suivantes : sciences humaines et sociales - 1er cycle ou cycles supérieurs, et sciences
naturelles et génie - 1er cycle ou cycles supérieurs.
Comme par le passé, les étudiantes et étudiants présenteront leurs résultats de
recherche par l’entremise d’exposés oraux. Tenant à encourager ceux et celles qui
préfèrent la diffusion des résultats en utilisant une affiche, le comité organisateur
a aussi prévu une vitrine consacrée à cette forme de diffusion savante.
La date limite pour soumettre le formulaire d’inscription est le 18 février à 16
heures. La transmission du formulaire d’inscription doit être faite par courriel en
utilisant l’adresse cjcc@umoncton.ca. Les formulaires d’inscription reçus en retard
ne seront pas acceptés.
Vous trouverez le formulaire d’inscription sur le site Web de la Faculté des études
supérieures et de la recherche (www.umoncton.ca/fesr).
Pour de plus amples renseignements, vous pouvez consulter le site Web de la FESR sous la
rubrique « Colloque des jeunes chercheures et chercheurs ». Vous pouvez aussi composer
le numéro 858-4310.
| Une exposition d’oeuvres récentes de Natalie Morin est en montre jusqu’au 28 mars à la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen
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Agrandir l'image La photo nous fait voir, de gauche à droite, Nisk Imbeault, directrice-conservatrice de la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen; l’artiste Natalie Morin; et Geneviève Sivret, artiste ayant performé dans la chorégraphie de Natalie Morin présentée lors du vernissage de « Lollipops and Rainbows : dessins, peintures et films de Natalie Morin ». |
Une exposition d’oeuvres récentes de Natalie Morin est en montre jusqu’au 28 mars à la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen Jusqu’au 28 mars, la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen présente « Lollipops and
Rainbows : dessins, peintures et films de Natalie Morin », une exposition d’oeuvres
récentes réalisées dans le cadre d’une résidence d’artiste de quatre mois à
l’été et à l’automne 2012.
Formée en danse, Natalie Morin réalise aussi des dessins, des peintures et des films
super 8 qui s’imbriquent dans sa pratique performative. Dotée d’un plus grand espace,
la résidence lui a permis de travailler en grand format, réalisant une série
d’oeuvres monumentales sur toile et sur papier. Ses oeuvres sont issues de
l’observation et de la documentation de son quotidien qui est peuplé de personnages
colorés et d’environnements enchantés. « Lollipops and Rainbows » regroupe aussi une
série d’oeuvres de nature théâtrale qui sont inspirées des répertoires classiques,
dont la Divine comédie de Dante et les Ballets modernes de Stravinsky.
Née à Kinston, en Ontario, elle a reçu sa formation en danse à l'Atelier de danse
moderne de Montréal. De 1986 à 1992, elle a dansé avec la compagnie O'Vertigo un peu
partout dans le monde, notamment au Centre national des arts à Ottawa, au Centre
Harbourfront à Toronto, au Lincoln Center à New York et au Centre Pompidou à Paris,
tout en passant par Londres, Madrid et Grenade.
Installée à Moncton depuis 2000, elle collabore avec de nombreux artistes et a
présenté des projets de performance indépendants à Moncton, New York, Montréal et
Terre Neuve. Depuis 2005, elle a participé à diverses expositions en solo ou de groupe.
Au cours de sa carrière, elle a reçu de nombreuses bourses de création, notamment du
Conseil des arts et des lettres du Québec et du Conseil des arts du Canada.
La Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen est située au pavillon Clément-Cormier au
campus de Moncton. Les visites sont libres et la galerie est ouverte de 13 heures à 16 h
30 du mardi au vendredi et de 13 heures à 16 heures le samedi et le dimanche.
Renseignements : 858-4088 / galrc@umoncton.ca /
www.umoncton.ca/umcm-ga.
| Il est temps de s’inscrire au Symposium francophone 2013
Article complet
Il est temps de s’inscrire au Symposium francophone 2013 Les associations de la profession enseignante des provinces de l’Atlantique (AEFNB,
NSTU, PEITF et NLTA), la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de
Moncton et la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants vous invitent à
participer au Symposium francophone 2013, avec comme thème cette année « Célébrons
nos progrès : assurons notre succès ».
L’inscription à cette activité de formation d’envergure nationale, qui se déroulera
les 2 et 3 mai au pavillon Jeanne-de-Valois du campus de Moncton, est maintenant
ouverte.
Vous pouvez accéder au formulaire d’inscription à partir du site Web grand public de
l’AEFNB (www.aefnb.ca) sous la rubrique « Nouvelles » à la gauche de la page. Le
programme officiel, les descriptions d’ateliers et les biographies des personnes
ressources s’y trouvent aussi.
Pour obtenir d’autres renseignements, il faut communiquer avec Gilles Saulnier ou Nadia
Roze : gilles.saulnier@aefnb.ca ou nadia.roze@aefnb.ca, ou par téléphone au
506-452-1729.
| La famille de Julien Daigle remercie la communauté universitaire
Article complet
La famille de Julien Daigle remercie la communauté universitaire M. Raymond Théberge, recteur et vice-chancelier, votre geste respectueux en l’honneur
de notre fils bien-aimé, Julien Daigle, de mettre les drapeaux des trois campus en berne
jusqu’après les funérailles, nous a profondément touchés. Merci à toute la
communauté universitaire d’avoir appuyé les étudiants et étudiantes, les amis et
amies de Julien, et de leur avoir permis de partager leur peine ainsi que leurs mots
d’amour et d’affection à son égard et avec nous.
À la Faculté d’ingénierie, au doyen, M. Paul Chiasson, au corps professoral, aux
membres du personnel, merci d’avoir si bien accueilli Julien à la faculté. Merci pour
les fleurs, vos visites, vos pensées et vos prières ainsi que pour le soutien apporté
aux étudiants et étudiantes pendant cette période si difficile. Julien avait vraiment
hâte de devenir diplômé, ingénieur civil. Nous, la famille, pensons qu’avec ses
qualités, il aurait fait honneur à l’Université de Moncton partout où il serait
passé.
À ses chers amis et chères amies de la faculté, Julien avait tissé avec vous des liens
d’amitié qui auraient duré longtemps, mais la vie en a décidé autrement. À toute la
communauté universitaire et à tous ses amis et amies de toutes les facultés, merci de
toutes vos gentillesses, de vos gestes d’amitié et de votre grande générosité. Tous
ces gestes de respect et d’amitié pour Julien resteront gravés à tout jamais dans nos
cœurs.
Julien, nous l’avons beaucoup aimé, nous l’aimons plus que jamais et nous
l’aimerons toujours.
Avec le plus grand respect et toute notre considération,
La famille de Julien, Patrice, Roberte (Gibbs), Louise et Jean-François.
| L’Université de Moncton est ouverte sur le monde depuis 50 ans
Article complet
L’Université de Moncton est ouverte sur le monde depuis 50 ans Avec les semaines internationales tenues à l’Université de Moncton ce mois-ci, les
trois campus sont vibrants d’activités qui mettent en valeur la diversité culturelle
qui les habite. En cette année où l’Université de Moncton célèbre son 50e
anniversaire de fondation, il est tout à fait de mise de rappeler son cheminement au fil
des ans en matière internationale et de jeter un regard sur son avenir.
Chose certaine, l’Université de Moncton a eu un souci pour l’international dès sa
création en 1963. À ses débuts, l’institution souhaitait surtout répondre à un
besoin urgent d’enseignement supérieur de langue française en Acadie. Mais étant
jeune, l’Université n’avait pas ici toutes les ressources nécessaires pour former
son corps professoral. Elle s’est donc naturellement tournée vers l’international
pour recruter de nombreux professeures et professeurs. Dotée d’un corps professoral
provenant de divers coins du monde, l’Université de Moncton fait toujours figure de
proue en Acadie avec une pratique d’embauche faisant preuve d’ouverture sur le
monde.
Marie-Thérèse Seguin est professeure titulaire au Département de science politique de
la Faculté des arts et des sciences sociales depuis 1983. Possédant une longue
expérience en coopération internationale, la professeure Seguin a été au cœur des
réflexions et des discussions entourant la place de l’international à l’Université
de Moncton. « L’Université de Moncton est d’abord et avant tout acadienne et au
service de la communauté acadienne, mais elle a dû se redéfinir avec le temps,
explique-t-elle. Un comité formé dans les années 1980 avait d’ailleurs permis de
conclure que l’Université devait être ouverte sur le monde et ses démarches en ce
sens devaient se faire progressivement. »
La présence de professeures et professeurs provenant de tous les continents avait déjà
permis de créer et de nourrir des liens avec l’international, autant dans le domaine de
la recherche, des conférences et colloques que des échanges étudiants. Au départ, ces
projets étaient davantage le fruit d’initiatives personnelles de la part de
professeures et professeurs. La communauté universitaire s’est rapidement rendu compte
de la richesse de ces échanges interculturels.
« C’est au début des années 1990 que l’Université s’ouvre institutionnellement
vers le monde. À la même époque, explique Mme Seguin, le gouvernement du
Nouveau-Brunswick faisait aussi des efforts dans le domaine de la coopération et
cherchait à inscrire sa présence à l’international. Des projets de coopération ont
vu le jour dont un projet de coopération avec les femmes fumeuses de poisson en
Guinée-Conakry en 1993, financé par le gouvernement du Nouveau-Brunswick, ainsi qu'un
important projet de sécurité alimentaire en Haïti, financé par l’Agence canadienne
de développement international.»
Avec le développement du volet international, un besoin de structure et de financement
s’est fait sentir. C’est donc en 1997 que le Bureau de la coopération et des
relations internationales a vu le jour. Les années qui ont suivi ont permis de définir
son mandat et ses priorités. Ainsi, il a développé trois champs d’action principaux,
soit celui de la coopération internationale grâce à des projets financés entre autres
par l’ACDI, l’élaboration d’ententes avec d’autres universités afin
d’encourager la mobilité étudiante à l’étranger et la réalisation de travaux de
recherche au niveau international.
À cette même époque, la tenue du 8e Sommet de la Francophonie en 1999 à Moncton a
donné un élan significatif à l’Université de Moncton. En plus de contribuer au
rayonnement de l’institution et de l’Acadie sur la scène nationale et internationale,
cet événement a aussi généré une plus grande ouverture sur le monde au sein de la
communauté universitaire.
Aujourd’hui, les partenariats entre l’Université de Moncton et d’autres
établissements d’enseignement et de recherche se multiplient et se diversifient :
projets de la Faculté des sciences de l’éducation en Haïti, de la Faculté des
sciences de la santé et des services communautaires au Burkina Faso, de la Faculté des
sciences au Vietnam, de la Faculté d’administration en France, pour n’en nommer que
quelques-uns. L’Université joue aussi un rôle de premier plan au sein de l’Agence
universitaire de la Francophonie (AUF) présidée par son ancien recteur, Yvon
Fontaine.
Sur le plan du recrutement, les efforts se sont intensifiés au fil des ans faisant en
sorte qu’aujourd’hui, en se promenant à l’un ou l’autre des campus de
l’Université, on constate rapidement la présence internationale. Alors que
l’Université de Moncton ne comptait qu’une soixantaine d’étudiantes et étudiants
internationaux en 1980, aujourd’hui, c’est 800 étudiantes et étudiantes, soit 16,8
pour cent de la population étudiante, qui proviennent de plus d’une quarantaine de
pays.
« Cette présence internationale crée un milieu d’apprentissage très enrichissant,
explique le recteur et vice-chancelier, Raymond Théberge. De plus, le fait de côtoyer
des gens de diverses cultures pendant les études universitaires donne une longueur
d’avance aux étudiants lorsqu’ils entrent sur le marché du travail. Ils font déjà
preuve d’adaptation interculturelle, une compétence de plus en plus recherchée dans le
monde d’aujourd’hui. »
« Face au cheminement de l’Université de Moncton en matière internationale, nous
pouvons être fiers de notre institution qui a taillé sa place et celle de l’Acadie
dans la Francophonie internationale, dit-il. Quant à l’avenir, l’Université de
Moncton continuera d’être au diapason de ce que devient l’humanité, où
l’international occupe une place de choix. L’Université a prouvé qu’elle est de
son temps et elle continuera de l’être. »
Selon Marie-Linda Lord, vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales,
l’Université demeurera ouverte sur le monde et ne perdra pas de vue l’essence même
de l’international qui réside dans la coopération. « Parmi nos objectifs, dit-elle,
il y a le recrutement aux cycles supérieurs et l’augmentation de la mobilité
internationale, tant chez les étudiants que chez les professeurs, et bien sûr, la
coopération internationale. Tout ça, dit-elle, se réalise grâce à l’appui et
l’accompagnement qu’offre le Bureau des relations internationales et à l’engagement
collaboratif de nos professeures et professeurs. »
Mme Lord conclut en rappelant le caractère visionnaire et audacieux de l’Université de
Moncton qui s’est montrée à l’avant-garde dans de nombreux projets et qui continuera
de l’être. Par exemple, mentionnons le championnat mondial féminin de la FIFA
(Fédération internationale de football association) qui aura lieu à l’Université de
Moncton en 2014 faisant de Moncton la plus petite ville à accueillir cet événement
sportif de grande d’envergure. L’Université de Moncton démontre encore une fois
qu’elle a sa place parmi les grands.
| La 37e Soirée internationale de l’AEEIUM a lieu ce samedi 16 février
Article complet
La 37e Soirée internationale de l’AEEIUM a lieu ce samedi 16 février L’Association des étudiantes et étudiants internationaux de l’Université de Moncton
(AEEIUM) présente la 37e édition de la Soirée internationale, le samedi 16 février
dans le stade du Ceps Louis-J.-Robichaud au campus de Moncton. Le thème cette année :
« Regard sur le monde… à travers les yeux de l’autre ».
L’animation commencera dès 15 heures dans le gymnase alors que le public pourra visiter
sans frais le village international regroupant plusieurs stands animés et interactifs qui
permettront d’en apprendre davantage sur les différentes cultures. L’organisme de
commerces équitables Dix Mille Villages sera présent et les gens pourront voir,
découvrir et possiblement acheter des articles fabriqués par des artisans des quatre
coins de la planète.
Pour assister au souper et le spectacle, les frais sont de 20 $ tarif ordinaire, l5 $ pour
étudiants et 8 $ pour les enfants de 12 ans et moins. Les billets sont présentement en
vente à la billetterie du Centre étudiant (858-4554). Le souper sera servi à compter
de 18 heures et le spectacle commencera à 19 heures.
Chaque édition de la Soirée internationale reçoit plus de 1 400 personnes.
| « Rebelle » prend l’affiche au Ciné-Campus
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« Rebelle » prend l’affiche au Ciné-Campus Le film canadien « Rebelle » (drame, 2012, 1 h 30), du réalisateur Kim Nguyen, prend
l’affiche au Ciné-Campus le jeudi 14 février et le vendredi 15 février à 20 heures
dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton.
La distribution est composée de Rachel Mwanza, Alain Lino Mic Eli Bastien, Serge Kanyinda
et Ralph Prosper. « Rebelle » est en lice pour l'Oscar 2013 du meilleur film étranger.
Projeté au Festival international du cinéma francophone en Acadie, il il a remporté la
Vague du meilleur long métrage fiction canadien en novembre dernier.
Rebelle
En pleine guerre civile en Afrique sub-saharienne, Komona, une jeune fille de 14 ans,
raconte au bébé qui grandit dans son ventre les événements qui ont mené à son
implication comme enfant-soldat dans le conflit armé. Enlevée à 12 ans, forcée
d'abattre ses parents à bout portant et considérée comme une sorcière par les chefs de
la cellule, Komona se bat contre l'armée nationale. Elle fait la rencontre de Magicien,
un jeune soldat de son âge qui a la ferme intention de l'épouser. Ensemble, ils
désertent afin de vivre paisiblement, tant qu'ils le pourront, leur bonheur.
L’entrée est de 5 $ pour les étudiants et 7 $ tarif ordinaire.
Programmation hiver 2013 du Ciné-Campus
21 et 22 février : Camion
23 et 24 février : Festival del Cine
28 février et 1er mars : Et si on vivait tous ensemble
14 et 15 mars : Un bonheur n’arrive jamais seul
21 et 22 mars : De rouille et d’os
Programmation du Ciné-Campus : 858-3738
| Conférence de Jean-Pierre Le Glaunec dans le cadre du Mois de l'histoire des Noirs
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Conférence de Jean-Pierre Le Glaunec dans le cadre du Mois de l'histoire des Noirs Dans le cadre du Mois de l'histoire des Noirs, Jean-Pierre Le Glaunec, professeur
d’histoire à l’Université de Sherbrooke, prononcera une conférence, intitulée «
Tant qu'il resterait un nègre : de la destruction de l'Autre pendant la guerre
d'indépendance haïtienne, 1802-1803 », le vendredi 15 février de 13 h 30 à 15 h 30
dans le local 143-A de l’édifice des arts au campus de Moncton.
Cette conférence d’intérêt général est organisée par le Groupe de recherche
interdisciplinaire sur les cultures en contact (GRICC). Bienvenue à tous et à toutes.
| Invitation à prendre un café en compagnie du recteur
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Invitation à prendre un café en compagnie du recteur Le recteur et vice-chancelier Raymond Théberge invite les membres de la communauté
universitaire à prendre le café en sa compagnie dans le cadre de la série de «
cafés-rencontres » qui se tiendront à différents endroits au campus au cours des
prochaines semaines.
Les dates choisies sont les suivantes :
Le mercredi 20 février de 10 heures à 10 h 45 à l’étage du Ceps
Louis-J.-Robichaud (près de la cantine).
Le jeudi 21 février de 10 heures à 10 h 45 à l’étage (mezzanine) du Centre
des technologies et des sciences de la santé.
Le lundi 25 février de 10 heures à 10 h 45 au café-étudiant Le Coude au Centre
étudiant.
Le mardi 26 février de 10 heures à 10 h 45 dans le local 178 de la Bibliothèque
Champlain.
Renseignements : 858-4129.
| Féécum : une première campagne des finissants et finissantes de l’Université de Moncton
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Féécum : une première campagne des finissants et finissantes de l’Université de Moncton Dans le cadre du 50e anniversaire de fondation de l’Université de Moncton, la Féécum
lance la première Campagne des finissantes et finissants de l’Université de Moncton
qui offre toute une gamme de produits commémoratifs à la classe de 2013 du campus de
Moncton qui arborent fièrement le nouveau logo « Université de Moncton Classe de 2013
».
Les profits de la vente des produits commémoratifs serviront à améliorer
l’aménagement paysager du campus en y plaçant un banc de parc avec une plaque
commémorative remerciant la cohorte de 2013, leur donnant ainsi la chance de léguer
quelque chose de permanent aux étudiantes et étudiants de l’avenir. Tous les fonds
amassés en plus du coût de ce banc public iront dans un fonds en fiducie pour des
bourses à être octroyées l’année suivante. Les parents et amis qui désirent
contribuer sont également invités à participer à la campagne grâce à un formulaire
de don en ligne (https://www.umoncton.ca/udem-php-anciensetamis/Donations_classe2013.htm).
« La Fédération étudiante du campus de Moncton et les conseils des facultés sont
heureux de lancer cette toute première campagne, mentionne Karina Langis,
vice-présidente interne de la Féécum. Elle sera en quelque sorte un héritage pour ceux
et celles qui suivront mais servira aussi à montrer notre fierté envers notre
université ».
La campagne a été organisée en collaboration avec le bureau de Développement
philanthropique de l’Université et la Libraire acadienne. Tous les objets promotionnels
seront en vente à la Librairie acadienne.
Renseignements : 858-4484 / comfee@umoncton.ca
| Conférence de Paul Deguire pour la première Fête des mathématiques au Nouveau-Brunswick francophone
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Conférence de Paul Deguire pour la première Fête des mathématiques au Nouveau-Brunswick francophone Dans le cadre de la première Fête des maths au Nouveau-Brunswick francophone qui a lieu
le mardi 19 février, le Club de mathématiques vous invite à assister à une conférence
publique en compagnie de Paul Deguire, directeur du Département de mathématiques et de
statistique, qui parlera des trois grands problèmes de l’Antiquité », à compter de
15 heures dans le local A-002 du pavillon Rémi-Rossignol au campus de Moncton.
Pour dire qu’une chose est impossible on dit souvent que c’est comme la quadrature du
cercle. On pourrait aussi bien dire que c’est comme la trisection de l’angle ou la
duplication du cube. Ensemble, ces trois questions forment les trois grands problèmes de
l’Antiquité. La nature des problèmes étant de réaliser les constructions
mentionnées en respectant certaines règles. Le livre le plus important de l’histoire
des mathématiques et des sciences, les Éléments d’Euclide, définit les règles du
jeu : ces constructions doivent être faites à la règle et au compas. Les trois
grands problèmes de l’Antiquité n’ont été résolus qu’au 19e siècle en
utilisant des outils mathématiques bien plus sophistiqués que ce dont les grecs
disposaient.
Dans cette conférence, le professeur Deguire établira d’abord les outils
élémentaires qui nous permettront de bien comprendre ces problèmes. Il fera des
constructions qui permettent de résoudre des problèmes apparentés plus simples et il
présentera les outils mathématiques développés aux 17e et 19e siècles qui ont permis
de résoudre ces problèmes. Ça vous rappellera quelques souvenirs même si votre niveau
mathématique ne dépasse pas l’école secondaire.
On présentera également des solutions sans respecter les règles du jeu. En d’autres
termes, pour les résoudre, on trichera, suivant en cela l’exemple des grecs anciens qui
eux-mêmes trichaient régulièrement à ce sujet, mais qui sont quand même toujours
restés conscients qu’ils trichaient et que les vraies solutions leurs échappaient.
C’est une conférence d’intérêt général. Bienvenue à tous et à toutes.
| Le théâtre l’Escaouette présente « Le Magnolia »
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Le théâtre l’Escaouette présente « Le Magnolia » Février est le mois de l’amour et l’Escaouette présente « Le Magnolia », une
pièce dans laquelle l’amour est conjugué au pluriel. Cette toute nouvelle production
du Théâtre populaire d’Acadie prendra l’affiche à Moncton le 21 février à 20
heures.
Quatre jeunes interprètes de la relève acadienne se partage la scène dans cette
comédie de moeurs de l’auteur belge Jacques De Decker dans une mise en scène de
Maurice Arsenault.
Marie-Hélène McGraw interprète Marie-Antoinette, une jeune fille qui fréquente
simultanément deux amoureux. L’un, incarné par Kevin Doyle, est architecte de jardin
et habite la campagne et l’autre, joué par Frédéric Melanson, est historien et vit
dans un petit appartement du centre-ville. Comme elle le confie à son amie
Joséphine-Charlotte, interprétée par Audrey Blanchard, il lui est trop difficile de
faire un choix. Elle préfère donc garder les deux hommes dans sa vie. Heureusement,
ceux-ci paraissent naviguer aux antipodes. Mais, c'est évidemment sans compter sur les
hasards de la vie… Derrière la farce, Jacques De Decker nous offre un texte subtil,
tout en douceur malgré les quelques belles réparties et les petites pointes d’humour
qui l’émaillent.
Luc Rondeau signe les décors; Jean-François Mallet la bande sonore originale et
Mathieu-Julien Duguay les éclairages.
Vous pouvez vous procurer des billets au guichet du théâtre l’Escaouette situé au
170, rue Botsford ou en composant le 506-855-0001, poste 207. Les billets sont aussi en
vente au Centre étudiant du campus de Moncton.
| Loisirs thérapeutiques : la zoothérapie et la musique thérapeutique, vous connaissez ?
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Loisirs thérapeutiques : la zoothérapie et la musique thérapeutique, vous connaissez ? Maurice Henri, photographe de renom et concepteur du projet « Caméra pour guérir », a
parlé de ses aventures en Afrique et en Haïti dans le cadre du cours RETO 2301, loisirs
thérapeutiques.
Une étudiante du cours, Angèle Boudreau, en dit ceci : « Pendant sa présentation,
j’ai été extrêmement intéressée tant par son organisation que par ses voyages et sa
photographie, dit-elle. Sa présentation et ses histoires étaient touchantes et
m’incite à vouloir aller vers les gens qui vivent dans les pays où il travaille.
»
« M. Henri a été une inspiration pour moi, ajoute-t-elle. Grâce à sa présentation,
il a su démontrer que certaines personnes ont surtout besoin de notre aide. J’ai
toujours voulu offrir mon expérience et mon aide dans des pays en voie de développement
et, après avoir écouté sa présentation, je me sens prête à aider. »
« Merci Maurice Henri d’avoir partagé aventures et histoires avec nous. Votre
photographie est extraordinaire et elle aide surtout à changer le monde. »
La page Facebook du projet Caméras pour guérir de Maurice Henri : https://www.facebook.com/camerasforhealingcanada
Deux autres personnes aussi inspirantes seront invitées dans le cadre du cours portant
sur les loisirs thérapeutiques et des places sont encore disponibles. Alors si vous
êtes étudiantes ou étudiants en travail social ou en science infirmière et que vous
souhaitez en savoir davantage sur ce type de thérapie, il faut communiquer avec la
professeure Selma Zaiane-Ghalia ( selma.zaiane-ghalia@umoncton.ca), à
l’École de kinésiologie et de récréologie.
Les prochaines dates sont les suivantes :
Le mercredi 20 février à 10 heures, de la zoothérapie avec Paula J Sears, bénévole
auprès de l’organisme Therapeutic Paws of Canada à Moncton ( http://tpoc.ca/contact/team-leaders/ ), qui sera accompagnée de son
caniche croisé Beau de trois ans qui possède une certification de chien thérapeute.
Elle sera peut-être accompagnée également de la première personne à Moncton
possédant une certification pour la thérapie avec le chat.
La page FB de l’organisation à Moncton : https://www.facebook.com/TheraputicPawsOfCanadaMonctonNb
Le lundi 8 avril à midi, de la musique thérapeutique avec la harpiste et thérapeute
Laurence Marie. Elle présentera les bienfaits de la musique en thérapie à travers les
cordes d’une de ses harpes. Pour en savoir davantage, visites le site http://harpsylon.ca/
La page Facebook est de la Harpe thérapeutique : https://www.facebook.com/therapeutic.harp
| Tirage hebdomadaire 50/50 des Amis des Aigles
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Tirage hebdomadaire 50/50 des Amis des Aigles Le public et les anciens et amis de l’Université de Moncton sont invités à participer
au tirage hebdomadaire 50/50 des Amis des Aigles Bleu.es.
Ce tirage, organisé par l’organisme de soutien aux programmes de hockey masculin et
féminin, destine ses profits à l’encadrement des deux équipes de hockey du campus de
Moncton. Le coût est de 1 $ par semaine et il est possible de payer sa cotisation
jusqu’à 52 semaines à l’avance.
Pour participer au tirage hebdomadaire 50/50 des Aigles Bleu.es, il suffit d’envoyer un
courriel à amisdesaigles5050@gmail.com
avec votre nom, adresse, courriel et numéro de téléphone ainsi que le nombre de
semaines de participation. Un membre de l’organisation vous communiquera un numéro de
participation. Vous pourrez ensuite faire parvenir votre paiement par la poste à
l'adresse suivante : Les Amis(es) des Aigles, C.P. 27037, Dieppe, N.-B., E1A 6V3.
Pour toute question ou commentaire concernant ce tirage hebdomadaire 50/50 des Aigles
Bleu.es, faire parvenir un courriel à
amisdesaigles5050@gmail.com ou composez
le 506-866-3258.
| Véronique Carroll et Christian Gaudet sont les athlètes de la semaine
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Véronique Carroll et Christian Gaudet sont les athlètes de la semaine Le Service de l’activité physique et sportive du campus de Moncton a choisi la passeuse
Véronique Carroll, de Moncton, et l’attaquant Christian Gaudet, de Memramcook, comme
athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed pour la période du 4 au 10 février à
l’Université de Moncton.
Au hockey masculin, Christian Gaudet s’est distingué à la défensive malgré une
défaite des Aigles Bleus contre les Varsity Reds. Le Bleu et Or a terminé la saison
ordinaire au 6e rang du classement et jouera contre les Axemen d’Acadia University en
quart de final à compter de mercredi soir. Capitaine de l’équipe, Gaudet est appelé
à jouer un rôle important lors des séries. Il est étudiant au programme libre.
Véronique Carroll a repris ses forces à la suite d’une absence de deux mois en raison
d’une blessure; elle a été tenace malgré deux défaites des Aigles Bleues au
volleyball féminin, jeudi et vendredi contre les Tigers de Dalhousie University et les
Huskies de Saint Mary’s University. Les Aigles complètent le calendrier ordinaire au
troisième rang et participeront au championnat de Sport universitaire de l’Atlantique
à compter de vendredi à St John’s, Terre-Neuve et Labrador. Elle est étudiante en
kinésiologie.
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Image no 1 : Annuaire de l’Université de Moncton, 1968-1969, [p. 313], Archives de l’Université de Moncton, campus de Moncton.
Image no 2 : Annuaire de l’Université de Moncton, 1969-1970, [p. 301], Archives de l’Université de Moncton, campus de Moncton.
Images no 3, 4 et 5 : Revue de l’Université de Moncton, 6e année, no 2 (mai 1973).
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De grandes ambitions
En feuilletant les premiers annuaires de l’Université de Moncton, on découvre de bien intéressantes représentations de ce que ses dirigeants concevaient comme développement potentiel de l’institution. Ainsi, dans l’annuaire de 1968-1969, une carte du campus n’indique pas seulement les pavillons existants, mais aussi ceux qui, éventuellement, devaient abriter de nouvelles facultés et résidences. L’année suivante, soit en 1969-1970, l’annuaire présente la photo d’une maquette presque futuriste illustrant un campus de Moncton avec mini gratte-ciels, dans un aménagement pouvant réellement porter le titre de cité universitaire. Même la Revue de l’Université de Moncton ne se prive pas de proposer des articles projetant ses lecteurs dans l’avenir. En mai 1973, elle publiait un Spécial Acadie 2055 dans lequel le professeur de philosophie Serge Morin, directeur de la revue, y signait une présentation qu’il faut lire pour bien saisir le zeitgeist monctonien de ces années d’effervescence.
Institut d’études acadiennes
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