Le Prix Boréal 2012 a été remis au chercheur Rodrigue Landry, en reconnaissance de son immense contribution à une meilleure compréhension de la réalité des francophones vivant en situation minoritaire.

Jusqu’à tout récemment directeur de l’Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques (ICRML) logé à l’Université de Moncton, M. Landry est reconnu pour ses recherches sur l’éducation en milieu minoritaire, la petite enfance, l’autodétermination du comportement langagier et la vitalité ethnolinguistique des communautés.

À titre de directeur de l’ICRML, il a aussi été un membre actif et engagé du Forum des leaders, un regroupement de 43 organismes et institutions travaillant ensemble à la mise en œuvre du Plan stratégique communautaire issu du Sommet des communautés francophones et acadienne de 2007. Il a aussi siégé au Comité des suivis au sein de ce Forum.

Depuis 1995, la Fédération des communautés francophones et acadienne du Canada remet chaque année le Prix Boréal à une personne ou un groupe en reconnaissance de sa contribution au développement des communautés francophones et acadienne et au rayonnement de la francophonie canadienne.

L’Alliance des femmes de la francophonie canadienne remettra le prix «Femme remarquable» 2012 à Jeanne d’Arc Gaudet, professeure au Département d’enseignement au secondaire et des ressources humaines de la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Moncton.

La remise de ce prix de l’AFFC, qui se fera par l’entremise de son association membre, Le Regroupement féministe du Nouveau-Brunswick, aura lieu lors d’une activité de reconnaissance d’ici la fin de l’année, sous la présidence de Sylvie Morin.

Depuis plusieurs décennies déjà, Jeanne d’Arc Gaudet est reconnue pour son engagement et son militantisme envers la cause des femmes. Figure dominante en matières d’études féministes grâce à de nombreux projets de recherche, elle exerce également un rôle de leadership, de mentor et de directrice de thèse auprès de plusieurs jeunes femmes étudiantes auxquelles elle enseigne. Son engagement se poursuit encore, notamment dans la défense des droits des Acadiennes et des Acadiens de l’Acadie du Nouveau-Brunswick. Elle est actuellement vice-présidente de la Société de l’Acadie du Nouveau-Brunswick.

Dans le passé, Mme Gaudet a occupé le poste de présidente du Réseau national d’éducation femmes, celui de présidente du Conseil consultatif sur la condition de la femme du Nouveau-Brunswick ainsi que celui de présidente-organisatrice de plusieurs colloques en tant que professeure. Elle est également une activiste reconnue dans la lutte pour vaincre le cancer du sein.

Les femmes présentes à Ottawa lors de l’Assemblée générale annuelle de l’AFFC en septembre dernier n’ont pu que saluer l’attribution de cette distinction hautement méritée à Mme Gaudet qui était, on se souviendra, une personne ressource importante lors de l’amalgame en 2005 de trois groupes nationaux dans le but de fonder l’Alliance des femmes de la francophonie canadienne.

L'Alliance des femmes de la francophonie canadienne rassemble les groupes de femmes francophones du Canada en situation minoritaire. Elle revendique leurs droits et soutient les actions menant à leur épanouissement et au développement de leurs communautés.

Renseignements : Manon Beaulieu, au 1-866-535-9422 / info@affc.ca

Du 19 au 21 septembre, le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact (GRICC) de la Faculté des arts et des sciences sociales de l’Université de Moncton a consacré son 5e colloque international au thème « L’Étranger au prisme des cultures : expériences et problématisations ».

Deux conférenciers de renom étaient présents. Daniel Castillo Durante, romancier, essayiste et professeur de littérature à l’Université d’Ottawa, a prononcé la conférence d’ouverture, alors que la conférence de clôture a été prononcée par Georgette LeBlanc, poète et artiste acadienne de la Nouvelle-Écosse.

Conformément à sa vocation, ce colloque a réuni anthropologues, philosophes, historiens, littéraires, sociolinguistes, politologues, psychosociologues, sociologues et traductologues lesquels provenaient de l’Allemagne, du Cameroun, du Canada, des États-Unis, de la France, de la Guyane française, de l’Italie, du Maroc et de la Tunisie.

Il faut aussi noter une contribution significative des étudiants et étudiantes de troisième cycle ainsi que de postdoctorantes et postdoctorants.

La richesse des communications qui ont été présentées et les échanges qui en ont résulté ont fait que ce colloque a été une grande réussite.

Rappelons que ce 5e colloque a bénéficié d’une subvention du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada, de la Faculté des études supérieures et de la recherche, de la Faculté des arts et des sciences sociales, du bureau du Recteur et de l’Institut d’études acadiennes de l’Université de Moncton, de l’Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques et du Centre Métropolis Atlantique.

Dans le cadre de son programme d’excellence professionnelle, le Consortium national de formation en santé - volet Université d’Ottawa présente, en partenariat avec le CNFS - volet Université de Moncton, une série de conférences qui sont retransmises par vidéoconférence en direct de l’hôpital Montfort, à Ottawa. Ces conférences se veulent une activité de formation continue multidisciplinaire destinée aux personnes professionnelles de la santé.

La deuxième vidéoconférence de la programmation d’automne aura lieu le jeudi 11 octobre de 12 h 30 à 14 heures dans le local A-231 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton. La conférence, intitulée « Surmonter les traumatismes, vaincre l’adversité : les facteurs de résilience chez ceux qui réussissent contre toute attente », sera présentée par Robert Louis, travailleur social et coordonnateur du Centre York à Hawkesbury.

Dans notre pratique professionnelle, il nous arrive d’être en présence d’individus qui, en dépit des circonstances apparemment désespérées, réagissent et évoluent favorablement, et réussissent contre toute attente. Alors que d’autres, dans des situations semblables, s’écroulent ou parfois tentent même de se suicider. Pourquoi certains individus démontrent des capacités de résilience dans leur trajectoire de vie, en présence d’abus ou de négligences graves, alors que d’autres, exposés à des situations parfois moins graves connaissent un développement perturbé ?

Plusieurs chercheurs s’entendent sur le fait que certaines personnes dont la situation paraît désespérée, voire irrécupérable, ont développé des comportements adaptés à leur environnement et utilisent des mécanismes de défense qui leur permettent de se préserver psychiquement malgré un contexte d’adversité majeure. À l’aide de résultats d’études de cas s’étalant sur plusieurs années de recherche rigoureuse tant empirique que théorique, on tentera de répondre aux questions suivantes : Quels sont les facteurs qui favorisent la résilience chez les individus confrontés à l’adversité ? et Que fait-on dans un contexte d’intervention visant à encourager l’émergence de la résilience ?

Cette conférence sera aussi disponible en diffusion Web-conférence (streaming).

Pour s’inscrire (en présentiel ou en mode Web-conférence) ou obtenir plus de renseignements : cnfs@umoncton.ca / 858-4655. Les places sont limitées.

La programmation complète est disponible en naviguant sur le site Internet www.mavieestensante.ca.

Pour souligner la Journée mondiale de l’alimentation et la Journée internationale pour l’élimination de la pauvreté, qui auront lieu respectivement les 16 et 17 octobre, l’École des sciences des aliments, de nutrition et d’études familiales de l’Université de Moncton organise une conférence, intitulée « Préoccupations entourant un système alimentaire juste, accentuant la production locale », le mercredi 10 octobre à 15 h 30 dans le local 227 du Centre des technologies et des sciences de la santé au campus de Moncton.

Cette conférence a pour but de parler de la sécurité ou de l’insécurité alimentaire au Nouveau-Brunswick, et de sensibiliser la population en général sur son impact, en particulier auprès des personnes les plus démunies.

La conférencière sera Sr Auréa Cormier, professeure émérite et cofondatrice de l’École des sciences des aliments, de nutrition et d’études familiales de l’Université de Moncton. Sr Cormier travaille depuis plusieurs années auprès du Front commun pour la justice sociale à lutter contre la pauvreté et contre l’insécurité alimentaire que vivent beaucoup de gens démunis ici même au Nouveau-Brunswick.

Cette conférence s’adresse au grand public et l’entrée est libre.

Renseignements : Pascal Audet, au 858-3796.

Les causeries portant sur l’ergonomie à l’Université de Moncton recommencent et le thème de la prochaine s’intitule « Le travail sédentaire devant l’écran d’ordinateur – l’inconfort et les risques posturaux observés », ce vendredi 5 octobre de 11 h 20 à 11 h 55 dans le 263G1 de la Faculté d’ingénierie.

Le travail sédentaire devant un ordinateur affecte au-delà de 50 pour cent de la population dans les pays développés. La présentation décrira une recherche récente qui quantifie les niveaux d’inconfort sur une période de 12 mois auprès de travailleurs sédentaires faisant un travail intensif devant un ordinateur et les problèmes posturaux qui peuvent s’en suivre.

Cette recherche est le sujet de présentations qui ont été faites à des congrès portant sur l’ergonomie cette année : le Human Factors and Ergonomics Society à Boston et l’Association canadienne d’ergonomie à Halifax.

La conférencière sera Nancy Black, professeure agrégée au Département de génie mécanique et membre de l’Association canadienne d’ergonomie.

L’entrée est libre et bienvenue à tous et à toutes. Vous pouvez apporter votre goûter.

D’autres causeries suivront cet automne. Pour plus de renseignements, vous pouvez joindre Nancy Black à nancy.black@umoncton.ca

Dans le cadre du cours HIST2411, Histoire générale de l’Acadie, le Département d’histoire et de géographie, en collaboration avec la Faculté des arts et des sciences sociales, vous invite à assister à une conférence donnée par Ronnie-Gilles LeBlanc portant sur le concept du Grand dérangement, le jeudi 4 octobre de midi à 13 h 15 dans le local 106 de l’édifice des arts au campus de Moncton.

C’est une conférence d’intérêt général. Bienvenue à tous et à toutes.

Renseignements : 858-4065.

Organisé en marge du 50e anniversaire de fondation de l’Université de Moncton, le Symposium d’art-nature : Moncton 2012 se poursuit jusqu’au 7 octobre à l’Université de Moncton et dans la ville de Moncton.

Le lancement de cette troisième édition a eu lieu le vendredi 28 septembre au pavillon du Parc écologique du Millénaire situé au campus de Moncton. Pendant la durée du Symposium, le travail d’une dizaine d’artistes est diffusé, notamment en land art, intervention, rencontre, sculpture, installation et performance. De plus, le Symposium propose une série de conférences qui explore le thème de l’énergie en tissant des liens entre l’art et l’écologie.

« La tenue de cette troisième édition du Symposium d’art-nature permet à l’Université de Moncton de rappeler son engagement dans le domaine de l’éducation à l’environnement, a souligné Richard Saillant, vice-recteur à l’administration et aux ressources humaines. En 2000, l’Université a d’ailleurs inauguré le Parc écologique du Millénaire qui comprend notamment des arbres, des sentiers et un ruisseau en bordure du campus afin de créer un espace de réflexion et de sensibilisation à l’environnement. Pendant les dix prochains jours, l’Université de Moncton et son Parc écologique du Millénaire vibreront donc d’une belle énergie, comme le veut le thème du Symposium. »

Au sujet du thème, le coordonnateur du symposium, le professeur Ronald Babin, explique que l'énergie constitue le cœur et le moteur de la vie. « Que ce soit en agriculture, dans le transport, en construction immobilière ou encore en développement urbain, tout passe par l’énergie : sa production, sa transformation, sa consommation. Les besoins d’énergie représentent une condition incontournable pour toute action : le développement technique, l’exploration et l’extraction des ressources naturelles, mais aussi la destruction progressive de la nature et des écosystèmes. Le symposium souhaite ainsi provoquer des rencontres entre les artistes, les écologistes et le public qui partagent des réflexions et des actions en lien avec le thème de l’énergie. »

Les projets artistiques sont présentés au Parc écologique du Millénaire ainsi que dans la ville de Moncton lors d’incursions sporadiques. Quant à elle, la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen présente jusqu’au 4 novembre l’exposition « Lieux inusités / Uncommon Ground », avec Magali Babin, Scott Rogers et Scenocosme.

Une visite guidée du symposium est prévue le samedi 6 octobre de 13 heures à 17 heures.

Le Symposium d’art/nature : Moncton 2012 est une initiative du Département des arts visuels de l’Université de Moncton, de la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen, de l’Association acadienne des artistes professionnel.le.s du Nouveau-Brunswick et du Comité du Parc écologique du Millénaire. Le comité organisateur est formé de Ronald Babin, Herménégilde Chiasson, André Lapointe, Marie-Noëlle Ryan, Nisk Imbeault, Jean-Pierre Caissie.

Les partenaires suivants rendent cet événement et la série de conférences possibles : l’Université de Moncton, le Conseil des arts du Canada, la ville de Moncton, la Direction du développement des arts du ministère de la Culture, du Tourisme et de la Vie saine du Nouveau-Brunswick, le Secrétariat aux affaires intergouvernementales canadiennes du Québec, Patrimoine Canada, le Consulat général de France dans les provinces atlantiques, et la Société nationale de l’Acadie dans l’Entente Wallonie-Bruxelles. Merci aux commanditaires : McArthur’s Nurseries et Price Landscaping Services.

Pour connaître la programmation complète du symposium, les personnes intéressées sont invitées à consulter le site web www.ArtNatureMoncton.ca.

Renseignements : 870-0816.

Martin Waltz, président et fondateur du Centre des Jeunesses Musicales du Canada de Dieppe, a reçu la médaille du 60e anniversaire de règne de la Reine Elizabeth II lors d’une soirée spéciale qui a eu lieu au Centre des arts du Mont Orford, au Québec.

M. Martin, professeur retraité au Département de musique de l’Université de Moncton, a été honoré pour son travail de promotion de la musique classique à Dieppe et dans la grande région de Moncton. On l’a spécialement honoré pour les nombreuses années qu’il a consacrées aux JMC dont les buts sont notamment le soutien à la carrière de jeunes musiciens professionnels canadiens et la promotion de la musique classique en général.

Pendant ses 36 ans de carrière à l’Université de Moncton, Martin Waltz a enseigné le piano, la théorie musicale et la composition, et il a dirigé l’ensemble de jazz Opus 006 qu’il avait fondé. Il a exercé le mandat de directeur du Département de musique à trois reprises. Il laisse comme héritage un grand nombre d’étudiantes et étudiants qui ont fait carrière dans le domaine de la musique.

Son rôle de président du Centre des JMC de Dieppe prouve son engagement continu envers la jeunesse et la musique classique. Depuis 1999, les JMC présentent ici des concerts de très grande qualité. Les artistes qui se produisent en solo, dans de petits ensembles ou dans des opéras sont tous et toutes de jeunes musiciens professionnels talentueux du Canada en début de carrière.

Joseph Rouleau, président des JMC du Canada, a présenté la médaille à M. Waltz en reconnaissance notamment pour sa participation à des comités nationaux, dont Vie du mouvement des JMC et Comité de nomination national, et du rôle vital qu’il joue dans la réussite de JMC dans notre région. Les contributions apportées par des bénévoles tels que le professeur Waltz sont essentielles à la réussite de nos jeunes musiciens professionnels en musique classique.

Le ministère de la Culture, du Tourisme et de la Vie Saine, en collaboration avec la Coalition pour une saine alimentation et l’activité physique au Nouveau-Brunswick, le Groupe de travail des Premières Nations et peuples autochtones, la Coalition antitabac du Nouveau-Brunswick, le Mouvement acadien des communautés en santé du Nouveau-Brunswick et la Société santé et mieux- être en français du Nouveau-Brunswick, vous invitent à assister à la Conférence provinciale sur le mieux-être, qui se tiendra les 7 et 8 novembre au Palais des congrès de Fredericton.

Pour accéder au programme de la conférence et au formulaire d’inscription en ligne, il faut visiter le http://www.gnb.ca/0131/conference/

Renseignements : yves.ducharme@gnb.ca

Le coup d’envoi de la saison 2012-2013 du théâtre l’Escaouette aura lieu les 10, 11 et 12 octobre à 20 heures avec la présentation d’une création maison, « Plus vite la charrue ».

Il s’agit d’un texte de David Mamet, auteur américain de renom, dramaturge, scénariste, réalisateur et prix Pulitzer. Cette pièce a connu un immense succès un peu partout dans le monde depuis sa création sur Broadway il y a une vingtaine d’années. L’artiste Herménégilde Chiasson signe avec beaucoup de verve la traduction acadienne de ce classique de la dramaturgie américaine.

« Plus vite la charrue » est une satire brutale de l’industrie du cinéma. Bobby Gould vient d’être promu producteur. Il peut maintenant donner seul le feu vert sur la production d’un film. Ce jour-là, tout à coup, il existe. Son statut lui donne une importance gigantesque, sa boîte vocale déborde de propositions abracadabrantes et il se découvre soudain des amis insoupçonnés. Comment y voir clair entre le projet de son partenaire des anciens jours, qui attire à lui un acteur vedette grâce à un scénario qui fera sûrement le profit du studio, et celui de sa secrétaire par intérim qui, usant de tous ses charmes, lui vantera les mérites d’un autre film à saveur plus artistique. Le commerce versus l’art… on a droit ici à une dissection de la soif du pouvoir et de l’argent, où chacun cherche à satisfaire ses bas instincts.

Le texte de David Mamet et la traduction fidèle d’Herménégilde Chiasson rendent parfaitement compte des ambitions délirantes qui guident les personnages de cette tragicomédie grinçante et percutante. La mise en scène est assurée par
Andréi Zaharia, directeur du Département d’art dramatique de l’Université de Moncton et un proche collaborateur de l’Escaouette.

Le public sera heureux de retrouver sur scène l’artiste acadien Robin-Joël Cool, diplômé du Conservatoire d’art dramatique de Montréal, et dont la carrière connaît un succès retentissant.

La distribution comprend également deux interprètes émergents formés au Département d’art dramatique de l’Université de Moncton, David Losier, de la région de Beresford, diplômé en 2011 et Joannie Thomas, de Shippagan, présentement finissante au programme.

Pour cette création, l’Escaouette s’est entouré de complices de longue date dont Alain Tanguay à la scénographie et aux costumes, Jean-François Mallet à la conception sonore et Marc Paulin aux éclairages.

Vous pouvez vous procurer des billets au guichet du théâtre l’Escaouette situé au 170, rue Botsford ou en composant le 506-855-0001, poste 207. Les billets sont aussi en vente à la billetterie du Centre étudiant du campus de Moncton.

Renseignements : 506-854-6777 / suzcyr@nbnet.nb.ca

La petite Alexa Bellefleur est devenue la dixième à joindre la famille des « Bébés du Salon de la forêt d’Edmundston ».

Une cérémonie a été organisée dans le parc du « Boisé des bébés du Salon de la forêt », aménagé en aval des édifices du campus d’Edmundston afin de procéder à la plantation d’un dixième arbre en l’honneur du premier bébé de la région du nord-ouest du Nouveau-Brunswick né après l’ouverture du Salon de la forêt qui se tient au printemps.

Alexa est née le 30 avril dernier, soit deux jours après la fin du 24e Salon de la forêt d’Edmundston. Elle est la fille de Tania Poitras et de Shawn Bellefleur, de Grand-Sault. En son honneur, un bouleau Royal Frost a été planté.

La Faculté de foresterie organise annuellement une rencontre sociale extérieure à laquelle sont conviés les parents des bébés chanceux. Le 26 septembre dernier, sept des dix bébés étaient d’ailleurs présents à la journée de commémoration de plantation d’un arbre. Le plus âgé du groupe, Joey Lagacé, de Drummond, a maintenant neuf ans. Et il manque rarement le rendez-vous annuel qui coïncide avec la Semaine nationale de l’arbre et des forêts.

Les arbres également aménagés sont un chêne à gros fruits (pour Joey Lagacé, de Drummond - 2003), un noyer noir (pour Marylou Bossé, d’Edmundston - 2004), un pommetier (pour Tatiana Godbout, de Grand-Sault - 2005), un érable rouge (pour Alycia Francoeur, d’Edmundston - 2006), un février (pour Samuel Beaulieu, de Saint-Léonard - 2007), un micocoulier (pour Alexandra Lagacé, de Baker-Brook - 2008), un phellodendron (pour Ramielle Levesque, d’Edmundston - 2009), un marronnier (pour Noah Guay, de Grand-Sault - 2010) et un noyer cendré (pour Nikola Toussaint, d’Edmundston – 2011).

Ciné-Campus présente Monsieur Lazhar, un film de Philippe Falardeau, les jeudi et vendredi 4 et 5 octobre à 20 heures dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton. C’est une présentation du Service des loisirs socioculturels de l’Université de Moncton.

Les élèves de sixième année d'une école de Montréal doivent faire face à un drame inattendu lorsque leur enseignante, Martine, se pend dans leur classe.

Malgré les réticences préalables de la directrice, Bachir Lazhar, un immigrant algérien, est rapidement engagé pour la remplacer. N'étant pas au courant des réformes ministérielles ou même du niveau scolaire de ses nouveaux étudiants, le professeur devra oublier ses propres tragédies pour se concentrer sur l'instruction de ces enfants provenant de différents milieux et visiblement troublés par le départ soudain d'une personne qu'ils aimaient.

Monsieur Lazhar a été le meilleur film canadien au Festival international du film de Toronto et le choix du Canada aux Oscars 2012.

L’entrée est de 5 $ pour les étudiants et étudiantes et de 7 $ pour les autres.

Renseignements : www.umoncton.ca/umcm-sls / 858-3738.

Tom Perlmutter, président de l'Office national du film du Canada, et Monique Simard, directrice générale du programme français, confirment que l’ONF aura trois pôles de création consacrés à l’épanouissement du français en situation minoritaire : à Vancouver, Toronto et Moncton.

De façon plus spécifique, l’ONF annonce que le producteur exécutif responsable de la production française en situation minoritaire sera dorénavant localisé à Toronto et qu’un nouveau poste de producteur interactif sera créé à Vancouver. Celui-ci permettra d’intensifier la collaboration avec les créateurs francophones de l’ensemble du pays autour des nouvelles plateformes qui connaissent une popularité grandissante. Ses deux pôles d’expertise s’ajoutent donc à celui de Moncton, avec le studio Acadie, qui poursuit son mandat en Atlantique.

L’ONF confirme aussi le maintien de ses budgets de production pour les créations franco-canadiennes partout au pays et l’intensification de la recherche de partenariats avec les communautés pour poursuivre la production d’oeuvres porteuses et innovantes d’envergure nationale et internationale.

« L’ONF consolide sa présence francophone à la grandeur du pays en misant sur trois pôles de production et de distribution, dont l’un plus spécifiquement voué à l’expertise numérique, de préciser Tom Perlmutter. De Vancouver à Moncton, en passant par Toronto, c’est un redéploiement de nos forces vives et la poursuite de notre stratégie numérique. Toutes ces ressources mises à la disposition des créateurs et créatrices francophones sont autant de richesse et de diversité que d’échanges d’expertise qui stimuleront les artistes de la grande communauté franco-canadienne. Cette approche s’inscrit dans une stratégie globale pour l’épanouissement du français que l’ONF a lancé il y a deux ans. »

Pour Monique Simard, les cinéastes et les producteurs francophones ont toujours eu accès à une expertise de haut niveau pour la réalisation de leurs œuvres cinématographiques. Cependant, l’arrivée d’un producteur interactif stimulera de nouvelles formes de création. « La région de Vancouver se distingue de plus en plus comme chef de file dans la production de jeux et d’oeuvres interactives, et cette reconnaissance attire de plus en plus d‘artistes francophones, ce qui contribue à la vitalité des communautés françaises déjà en place. L’ONF dispose déjà d’un studio qui loge aussi l’équipe interactive du programme anglais. Ces forces réparties de l’Atlantique au Pacifique engendreront certainement de stimulantes synergies pour tous. »

À ces bonnes nouvelles s’ajoutent celles voulant que malgré les récentes compressions budgétaires, l’ONF ait réussi à conserver les budgets de production des créations francophones partout au pays.

Renseignements : Lily Robert / l.robert@onf.ca

L’humoriste québécois Peter MacLeod sera sur la scène du Théâtre Capitol dans le cadre de sa tournée « Sagesse reportée », le samedi 20 octobre à 19 h 30.

Peter MacLeod a su démontrer au fil des ans un talent inégalable ainsi qu’une polyvalence exceptionnelle. Humoriste de formation, il a su séduire le public sur les ondes radiophoniques pendant quelques années, tout en poursuivant parallèlement sa carrière d’humoriste. Après un succès retentissant et plus de 700 000 billets vendus, MacLeod est présentement en tournée avec son quatrième spectacle solo, « Sagesse reportée », pour lequel la critique est unanime.

Pour ce nouveau spectacle, il dévoile un univers inspiré de la célèbre série télévisée britannique des années 1960, « Le Saint ». À l’époque, l’acteur Roger Moore incarnait un justicier au cœur tendre doté d’un humour moqueur qui appréciait particulièrement la présence de la gent féminine…

C’est confirmé, Peter MacLeod est « Le Saint » version 2012. À la différence près que ce nouveau Saint a choisi volontairement de laisser son auréole de côté pour poursuivre sa quête de liberté. « Sagesse reportée » nous fait découvrir la mission quasi impossible du sympathique humoriste-justicier : convaincre l’auditoire de la pertinence de son choix de vie! La quarantaine vue par l’humoriste de 42 ans, célibataire et sans enfant, qui nous fait réaliser que vieillir n’est pas synonyme de s’assagir.

Les billets sont présentement en vente, de 31,50 $ à 35,50 $ (frais de service en sus). On peut les obtenir en ligne à www.capitol.nb.ca, par téléphone au 506-856-4379 ou 1 800 567-1922 ou en personne au 811, rue Main, à Moncton.

Renseignements : 506-383-6711 / communications@capitol.nb.ca

Les prestigieuses bourses d’études supérieures du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) fournissent de l’aide financière à des étudiantes et étudiants de fort calibre inscrits à temps complet à un programme de maîtrise (BESC M 17 500 $ et ES M 17 300 $ pour un an) ou de doctorat (BESC D 35 000 $ et ES D 21 000 $ par année pendant au plus 3 ans) en sciences naturelles et en génie (génie, informatique, physique et astronomie, chimie, sciences de la terre et écologie, biologie cellulaire et moléculaire, sciences de la vie et psychologie).

Pour être admissible aux programmes des bourses d’études supérieures, vous devez posséder la citoyenneté canadienne ou avoir une résidence permanente au moment de la demande; avoir obtenu au cours des deux dernières années d’études un excellent dossier académique, c’est-à-dire une moyenne d’au moins A- à chacune des deux plus récentes années d’inscription à un programme d’études à temps complet.

Pour présenter une demande de bourses d’études supérieures de deuxième cycle, vous pouvez être à la dernière année de votre programme d’études de 1er cycle; être à la propédeutique d’un programme d’études supérieures; ou être à la première année d’un programme d’études supérieures. Pour présenter une demande de bourses d’études supérieures de troisième cycle, vous pouvez être en deuxième année de maîtrise ou en première année de doctorat.

Cette année, les demandes de bourses seront présentées par voie électronique et complétées au plus tard le vendredi 5 novembre à 16 heures. Une copie papier de la demande de bourse devra quand même être déposée à la Faculté des études supérieures et de la recherche au plus tard le vendredi 5 novembre à 16 heures (soit la même date d’échéance que la soumission électronique).

Pour accéder au formulaire en ligne, il faut aller au site du CRSNG (www.crsng.ca) et cliquer sur « Services en ligne », sous la rubrique « À propos ».

Les tutoriels pour les étudiantes et étudiants qui désirent présenter une demande sont maintenant disponibles en ligne sur le site Web du CRSNG. Ils donnent un aperçu des différents programmes de bourses du CRSNG et peuvent être visionnés en tout temps lors de la préparation de la demande. Ils se retrouvent à l’adresse suivante : http://www.nserc-crsng.gc.ca/Students-Etudiants/Tutorial-Tutoriel/Tutorial-Tutoriel_fra.asp.

On vous recommande aussi de suivre à les instructions sur comment remplir le formulaire fournies au site http://www.nserc-crsng.gc.ca/OnlineServices-ServicesEnLigne/instructions/201/f.asp#appinfofr.

La FESR se chargera de faire une copie pdf des relevés de notes et de la joindre à votre demande électronique. Pour ce faire, vous devrez, dans le formulaire en ligne, inscrire dans l’espace réservé pour la personne-contact des relevés de notes le nom du vice-doyen de la FESR, François Vigneau, et le courriel FESR@umoncton.ca et aller chercher votre relevé de notes officiel au bureau du registraire de l’Université pour l’inclure dans votre demande et apporter le dossier papier au complet à la FESR pour la date d’échéance.

La copie du relevé de notes sera donc faite à partir de la copie originale scellée que la personne candidate soumettra avec son dossier papier. Vous devez produire tous vos documents pour la date d’échéance. Il faudra donc aller chercher votre relevé de notes chez le registraire plusieurs jours avant la date d’échéance. Dans le cas où votre relevé de notes vient d’une institution autre que l’Université de Moncton, il faudra faire votre demande de relevé de notes plusieurs semaines à l’avance.

Pour toute question, vous pouvez vous adresser à Pierre Cormier, agent de liaison principal des bourses du CRSNG, École de psychologie, 858-4516 ou Pierre.Cormier@umoncton.ca.

Vos représentantes et représentants départementaux au comité sont aussi là pour vous aider. Ce sont Carole Tranchant, École des sciences des aliments, de nutrition et d'études familiales; Marc-André Villard, Département de biologie; Jean-François Bisson, Département de physique; Mustapha Kardouchi, Département d'informatique; Fahim Ashkar, Département de mathématiques et de statistique; Abdelaziz Nait Ajjou, Département de chimie et biochimie; Guillaume Fortin, Département d'histoire et de géographie; Gérard Poitras, Faculté d'ingénierie, génie civil; Manuel Lamontagne, Faculté de foresterie au campus d’Edmundston; Yahia Djaoued, Secteur sciences du campus de Shippagan; Gabriel Cormier, Faculté d'ingénierie, génie électrique; et Salah Darenfed, Faculté d'ingénierie, génie mécanique.

Le campus d’Edmundston a été attristé d’apprendre le décès du directeur du Collège communautaire du Nouveau-Brunswick - campus d'Edmundston, Richard Doiron, survenu vendredi dernier à la suite d’une longue maladie.

« Nous perdons un ami et un partenaire exceptionnel, a mentionné le vice-recteur du campus d’Edmundston, Paul Albert. Richard a joué un rôle clé dans l'édification du projet éducatif de cohabitation campus d’Edmundston-CCNB et d'Édupôle Edmundston et il en était tellement fier. Par son professionnalisme, sa vision, ses qualités de leader et son enthousiasme contagieux, il a été au cœur des réussites de son établissement et y laissera de nombreux souvenirs indélébiles. Sur un plan personnel, ses qualités humaines, son optimisme, sa jovialité et sa volonté inébranlable de travailler en équipe me manqueront beaucoup. J'offre à Jocelyne, à ses filles, Chantal et Mireille, et à toute la famille mes plus sincères condoléances et celles de toute la communauté universitaire. »

Lyne C. Boudreau, professeure au campus de Shippagan et étudiante au doctorat en éducation, et Jeanne d’Arc Gaudet, professeure au campus de Moncton et directrice de thèse, ont présenté une communication au Congrès «The sixth Congress of the Mediterranean Society of Comparative Education (MESCE-2012 )», qui vient de prendre fin à Hammamet en Tunisie. Le titre de la communication était « Le leadership scolaire en milieu minoritaire dans un contexte de changement ».

La communication a abordé la problématique des styles de direction d’école en lien avec la mission de l’école francophone en milieu minoritaire au Nouveau-Brunswick. Les conférencières ont tenté de répondre aux questions de recherche suivantes : comment définir le rôle d’une direction d’école oeuvrant dans un milieu minoritaire? Quels styles de leadership sont plus aptes à remplir le mandat de l’école francophone du Nouveau-Brunswick ?

Des recherches en éducation identifient l’importance du rôle clé que jouent les directions d’école dans un processus de changement. Or, dans cette perspective, quelle place les directions d’école œuvrant en milieu francophone minoritaire accordent-elles au changement dans l’exercice de leur leadership, et comment se représentent-elles leurs actions dans leur quotidien afin d’atteindre les éléments définissant le mandat de l’école?

Dans la communication présentée au congrès, Mmes Boudreau et Gaudet présenté quelques résultats qui répondent à certains aspects des questions ci-haut mentionnées à partir d’une recherche réalisée auprès de directions d’école de plusieurs régions du Nouveau-Brunswick.

L'entraîneuse des Aigles Bleues de l'Université de Moncton au volleyball féminin, Monette Boudreau-Carroll, a laissé savoir que quatre joueuses de calibre ont accepté de poursuivre leurs études au campus de Moncton et devraient percer l'alignement de sa formation.

Rachelle Lemoine, de Winnipeg, Judith Desjardins et Danika Landry, de Fredericton, et Catherine Guitard, de Madran, font des séances d’entraînement en vue de la prochaine saison. Guitard est une attaquante alors que Landry joue au centre. Desjardins est une passeuse et Lemoine est une joueuse de milieu avec l'équipe du Manitoba.

« J'ai joué avec le Club Bleu et Or pour cinq mois et j'ai adoré cela, mentionne Lemoine qui est originaire de Winnipeg. Ma force au volleyball est au centre en bloquant des ballons et au service. J'ai choisi l'Université de Moncton parce que je peux étudier en français et également pour son programme de volleyball. » Lemoine mesure 5 pieds 10 pouces et est inscrite en kinésiologie. Elle a complété sa 12e année au Collège Belliveau.

Danika Landry, de Fredericton, est inscrite en 1re année au DSS. « J'ai choisi l'Université de Moncton parce que c'est proche de chez nous et l'institution m'offre le programme et le sport qui m’intéressent, dit-elle. Je joue au volleyball depuis six ans. C'est une passion pour moi et mon seul sport. J'évolue au centre, une position que j'aime beaucoup. J'ai joué un peu partout sur le court mais je reviens toujours au point de départ. »

L'athlète mesure 5 pieds 11 pouces, une taille qui la favorise beaucoup à cette position. Elle a joué avec les Reds de Fredericton pendant cinq ans, une expérience en compétition qui lui a beaucoup plu. « J'aime l'aspect du jeu en équipe alors que chaque joueuse s'entraide et te pousse à aller plus loin, ajoute-t-elle. »

Pour sa part, Judith Desjardins, diplômée de l'école Sainte-Anne de la ville capitale, est inscrite en première année en psychologie. « J'aime beaucoup le volleyball, dit-elle. Cela me permet de rencontrer d'autres personnes. C'est ma passion et je suis venue à l'Université de Moncton pour étudier en français et ne pas trop m'éloigner de la maison. Le programme ici m'accorde l'encadrement nécessaire et le volleyball est excellent. C'est tout un engagement de déménager et de s'organiser afin de bien réussir dans ses études et au volleyball. »

Desjardins mesure 5 pieds et 6 pouces et pratique ce sport depuis six ans. Elle évolue comme passeuse, celle qui distribue le ballon pour les attaquantes. Ce poste est exigent en conditionnement physique parce que l'athlète doit bouger rapidement, avoir un bon cardio et doit être forte physiquement.

Catherine Guitard, qui mesure 5 pieds 8 pouces, s'adonne au volleyball de compétition depuis quatre ans. Elle a reçu son diplôme de l'école L'Odyssée de Moncton en juin et est inscrite en ingénierie. « J'ai joué avec le Bleu et Or pendant la dernière année et j'ai bien aimé ce niveau élevé de compétition, précise-t-elle. J'ai déjà assisté aux championnats de l'est canadien. Le volleyball est mon sport et j'aime tous ses aspects comme attaquante. J'adore être sur le terrain pour jouer et tout donner. »

La saison ordinaire des Aigles Bleues commencera le 28 octobre au Ceps Louis-J.-Robichaud.

Le Service de l’activité physique et sportive du campus de Moncton a choisi les joueurs de soccer Catherine Poirier, de Caraquet, et Harouna Ouedraogo, d’Ouagadougou au Burkina Faso, comme athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed à l’Université de Moncton pour la période du 24 au 30 septembre.

La gardienne recrue Catherine Poirier a limité ses adversaires à un seul but dans une victoire de 2 à 1 des Aigles Bleues aux dépens des Mounties de Mount Allison University vendredi soir dans la seule partie au calendrier. L’équipe s’est ainsi hissée au 6e rang du classement. Poirier a réussi plusieurs arrêts contre une équipe qui devance les Aigles au classement. Elle est étudiante en kinésiologie.

Harouna Ouedraogo a inscrit deux buts pour les Aigles Bleus dans une victoire de 3 à 1 aux dépens des Mounties. La formation est maintenant au quatrième rang du classement. L’attaquant a grandement contribué à l’offensive des Aigles, ratant de peu quelques occasions de plus de marquer d’autres filets. Il est étudiant au baccalauréat en administration-compatibilité coop.

Yves Doucet fera la soutenance d’une thèse de maîtrise en éducation, mention enseignement, intitulée « Accélération et enrichissement en mathématiques : perceptions d’élèves doués », le mardi 16 octobre à 14 heures dans le local A-231 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

Les membres du jury sont les suivants : Viktor Freiman, directeur; Jean LaBelle, examinateur interne; Annie Savard, examinatrice externe; et Raymond Vienneau, président du jury.

Bienvenue à tous et à toutes.

Renseignements : 858-4411 / denise.bourgeois@umoncton.ca

Dans le cadre de la 6e édition des Journées du commerce international, le Centre de commercialisation internationale de la Faculté d’administration a organisé une série de conférences et d’activités qui ont commencé le lundi 1er octobre pour se terminer aujourd’hui, jeudi 4 octobre. Cette année, le thème porte sur l’industrie de l’aquaculture au Nouveau-Brunswick.

Aujourd’hui, jeudi 4 octobre, Andrew Lively, directeur de marketing chez True North Salmon, prononcera une conférence portant sur son entreprise et l’industrie, à compter de midi dans le local 273 du pavillon Jean-Cadieux.

Un léger goûter sera servi. Bienvenue à toutes et à tous.

Renseignements : 858-4228 / egbert.mcgraw@umoncton.ca

Le Bureau du recrutement étudiant a présenté sa nouvelle brochure promotionnelle à la communauté universitaire du campus de Moncton lors d'une réception organisée à cet effet.

Cette brochure, intitulée « Une université qui te ressemble », présente les renseignements de façon à mettre en valeur les qualités que partagent l'Université de Moncton et ses futurs étudiants et étudiantes.

Renseignements : Monique Gallant, au 863-2053.

Le cumul d’emplois, la pauvreté et le stress sont le lot de plusieurs personnes. C’est le sujet qu’aborde Geoff Bowie dans son film « Courage » (2011, 52 minutes) bientôt à l’affiche aux Rendez-vous de l’ONF en Acadie. Documentaire émouvant, éclairant et porteur d’espoir sur la situation précaire de plusieurs Canadiens, c’est un film social participatif qui souligne l’importance de l’entraide et qui réussit admirablement à dénoncer le tabou de la pauvreté.

« Courage » prendra l’affiche le lundi 8 octobre à 19 heures dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton. L’entrée est libre.

La projection principale sera précédée du court métrage d’animation « Paula », de Dominic-Étienne Simard, dans lequel un enfant et une prostituée partagent le même espace, soit un bout de rue dans un quartier populaire. Un court métrage où se croisent l’amour et le commerce, le jeu et la violence, les préjugés et l’incompréhension.

Survivre avec un salaire minimum
En travaillant à plein temps au salaire minimum, ceux que l’on nomme les « travailleurs pauvres » ont de la difficulté à survivre. Plutôt que de se pencher sur les aspects économiques ou politiques, le cinéaste Geoff Bowie se penche sur les effets sociaux de cette situation, sur les moyens de s’en sortir et sur la solidarité. Ainsi, à Toronto, il donne la parole à Izabel, Bebeth, Natasha, Benoît, Grace et Jean : des Ontariens directement touchés par la crise qui ont accepté de participer à des rencontres de groupe sur le sujet de la précarité financière. Le récit de ces personnes très différentes dépeint l’inquiétude et l’isolement ressentis, mais aussi la persévérance et la poursuite du bonheur.

À propos du réalisateur
Le cinéaste torontois Geoff Bowie a scénarisé, réalisé et produit plusieurs films, pour la plupart des documentaires et plusieurs de ses créations ont été primées dans des festivals internationaux. Il fonde en 1985 sa propre compagnie, Elan Productions. Membre de la Guilde canadienne des réalisateurs et rédacteur et fondateur de la revue cinématographique POV, il est entre autres l’auteur de quatre épisodes de la série documentaire « The Nature of Things » (CBC) de même que des films « Waiting for My Real Life », « Walk Naked Singing » et « L’horloge universelle : la résistance de Peter Watkins », film qui prendra l’affiche aux RDV de l’ONF en Acadie en novembre prochain.

Bientôt à l’affiche
Dès la semaine du 14 octobre, le film « Le mystère de Mazo de la Roche » (2011, 52 minutes), de Maya Gallus, prendra l’affiche. Mazo de la Roche compte parmi les écrivaines les plus prolifiques et adulées du 20e siècle. À son décès, on dénombre 11 millions d’exemplaires vendus en 93 langues et Mazo de la Roche reste encore aujourd’hui l’un des principaux auteurs à succès du pays. Malgré cette célébrité, sa vie privée demeure une énigme. Le film sera précédé du court métrage d’animation « Romance », de Georges Schwizgebel (2011, 7 min).

Renseignements : 384-6897 / madoblan@nbnet.nb.ca

L’Institut d’études acadiennes nous présentera chaque semaine une capsule historique rappelant les événements qui ont marqué le devenir de l’Université de Moncton, les personnes qui ont contribué à son essor et les réalisations qui l’ont fait rayonner.

Cette chronique sera également publiée dans le site Web du 50e de même que dans le Facebook institutionnel de l’Université de Moncton à l’adresse http://www.facebook.com/umoncton et ce, jusqu’à la date anniversaire de l’Université de Moncton, le 19 juin 2013.