Le Prix Michel-Bastarache a été remis à Iris Imbeault pour le mémoire de fin d’études qu’elle a rédigé en 2015-2016 intitulé « Fermer la porte et jeter les clés : Comment la disposition 745.51 du Code criminel contrevient à la Charte ».

Ce mémoire, dont la direction a été assurée par le professeur Denis Roy et le professeur à la retraite Richard Bouchard, a été soumis par Mme Imbeault alors qu’elle terminait le programme du Juris Doctor à la Faculté de droit de l’Université de Moncton. Le Prix Michel-Bastarache est offert à une étudiante ou à un étudiant qui a réalisé un excellent travail de recherche juridique, jugé de qualité et d’intérêt suffisant pour être susceptible d’être soumis pour publication d’après la conclusion d’un comité de trois juristes à qui son évaluation a été confiée.

Malaïka Bacon-Dussault et Nicholas Léger-Riopel, professeurs à la Faculté de droit de l’Université de Moncton, ont eu l’occasion d’offrir un cycle de conférences à l’occasion des journées de formation professionnelle, organisées par l’Association des juristes d’expression française du Nouveau-Brunswick et par l’Association du Barreau canadien, qui se sont déroulées à Caraquet en octobre dernier.

La professeure Bacon-Dussault, dont l’enseignement porte notamment sur la rédaction juridique, a donné une conférence intitulée « Écrire de manière claire et efficace ». Elle est en préparation d’un recueil sur les difficultés du français juridique à l’usage des étudiants, avocats et magistrats. Rappelons que la professeure Bacon-Dussault est cofondatrice du Comité pour l’excellence du français juridique.

Le professeur Léger-Riopel, intéressé notamment par le droit de la santé, a donné une conférence intitulée « La preuve d’expert : considérations juridiques et pratiques ». Ces travaux trouvent leur continuité dans l’ouvrage Code de déontologie des médecins annoté, publié par les Éditions Yvon Blais en 2016 et coécrit par le professeur Léger-Riopel et Patrice Deslauriers, professeur à l’Université de Montréal.

Une délégation de l’Université de Moncton s’est rendue en Roumanie récemment pour discuter de l’importance du plurilinguisme dans les domaines du droit et de la justice et des leçons à tirer de l’expérience canadienne et néo-brunswickoise.

Une quarantaine de chercheuses et chercheurs d’Europe et d’Amérique du Nord se sont rencontrés pour échanger leurs travaux lors d’une conférence internationale intitulée « Le multilinguisme et le droit », tenue à la Faculté de droit de l’Université hongroise Sapienta de la Transylvanie le 30 septembre dernier.

Karine McLaren, directrice du Centre de traduction et de terminologie juridiques (CTTJ), et Fernand de Varennes, doyen de la Faculté de droit de l’Université de Moncton, étaient parmi les participantes et participants d’une douzaine de pays à intervenir lors de cette conférence.

L’intervention de Mme McLaren portait sur les incidences du bilinguisme juridique sur l’enseignement et la pratique du droit au Canada alors que celle de M. de Varennes traitait des enjeux et effets de l’enseignement du droit en langues minoritaires pour les communautés en cause.

L’Université hongroise Sapienta de la Transylvanie, dont la principale langue d’enseignement est le hongrois, a été créée en 2001 afin de mieux répondre aux besoins en formation postsecondaire de la minorité linguistique hongroise. Cette minorité représente à peu près 6 % de la population en Roumanie, soit plus de 1 200 000 personnes, qui vivent pour la plupart en Transylvanie.

Pour plus d’information, prière de communiquer avec Suzanne Léger, adjointe administrative à la Faculté de droit, par téléphone au (506) 858-4560 ou par courriel à l’adresse suzanne.leger@umoncton.ca

Les professeurs Georges Jabbour et Horia-Daniel Iancu ainsi que l’étudiante Nyomi Robichaud-Lorde, de l’École de kinésiologie et de loisir (ÉKL) de la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires (FSSSC) de l’Université de Moncton, ont participé au huitième Congrès annuel sur la recherche en santé du Nouveau-Brunswick organisé par la Fondation de la recherche en santé du Nouveau-Brunswick (FRSNB) qui s’est déroulé à Saint John les 2 et 3 novembre.

Leurs présentations rapportent de nouveaux résultats issus du programme de recherche établi à l’ÉKL par le professeur Georges Jabbour, en collaboration avec le professeur Horia-Daniel Iancu, qui porte sur la gestion des maladies chroniques auprès d’une population diversifiée. Ces résultats sont présentement publiés ou sous presse dans plusieurs revues scientifiques avec comités de pairs.

L’équipe profite de l’occasion pour féliciter Nyomi Robichaud-Lorde, étudiante en quatrième année au Baccalauréat en sciences de kinésiologie, qui a brillamment présenté les résultats de son projet intitulé « Supramaximal exercise intervention and obesity: an efficient approach for metabolic health » lors de l’évènement.

Guillaume Fortin, professeur au Département d’histoire et de géographie à l’Université de Moncton, a participé au XIIe Symposium de climatologie géographique brésilienne sous le thème « Variabilité et susceptibilité climatique : implications écosystémiques et sociales » et qui s’est déroulé du 25 au 29 octobre à Goinia, dans l’état de Goias au Brésil.

Le professeur Fortin a présenté un travail intitulé « A utilização da abordagem hidrogeomorfológica para a cartografia de zonas de risco de inundação na bacia hidrográfica do Rio Kennebecasis, New Brunswick (Canadá) » qui traite des principaux résultats d’un projet de cartographie des risques d’inondations pour le bassin versant de la rivière Kennebecasis au Nouveau-Brunswick.

Il a par la suite été invité à donner un cours intensif de deux jours à l’École post-graduée du Département de géographie de l’Université fédérale du Paraná à Curitiba. Ce cours portait sur les méthodes et approches utilisées pour faire l’analyse des extrêmes climatiques (particulièrement sur les précipitations extrêmes) et sur les méthodes de cartographie des risques d’inondation. Le cours comportait une partie théorique, qui était suivie de plusieurs études de cas (résultats des travaux de recherche de l’équipe du professeur Fortin), puis des exercices pratiques étaient proposés afin de permettre aux participantes et participants de maîtriser les outils et méthodes présentés.

L’Éducation permanente de l’Université de Moncton a reçu, les 20 et 21 octobre 2016, un groupe de 21 intervenantes et intervenants des domaines de la psychologie, du counseling et de la psychothérapie. Ces intervenants thérapeutiques en provenance des quatre coins du Nouveau-Brunswick ont pris part à la formation offerte par Dre Pascale Brillon intitulée « Intervenir auprès des victimes souffrant du trouble de stress post-traumatique (TSPT) ».

Les participantes et participants ont eu l’occasion d’acquérir des outils axés sur les caractéristiques, la compréhension clinique et l’évaluation du TSPT, de même que sur l’accompagnement des victimes souffrant de stress post-traumatique.

Dre Brillon se spécialise dans le traitement du trouble de stress post-traumatique. Elle est directrice de l’Institut Alpha de Montréal, au Québec. Elle est l'auteure de trois livres : Comment aider les victimes souffrant de stress post-traumatique, Se relever d’un traumatisme et Quand la mort est traumatique.

Dre Brillon a été invitée à partager son expertise lors de nombreuses commissions d’affaires publiques et a été codirectrice du numéro spécial sur le stress post-traumatique de la Revue québécoise de Psychologie. En 2010, elle a reçu la mention de Diplômée émérite pour sa contribution exceptionnelle à la psychologie par l’Université du Québec à Montréal et elle a donné une formation à titre de Master Clinician à l’International Society for Traumatic Stress Studies.

En 2013, Dre Brillon a été nommée Professionnelle émérite de l’Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal pour sa contribution au rayonnement universitaire de l’Hôpital. Elle forme des intervenantes et intervenants dans toute la francophonie.

Le Comité mieux-être universitaire (CMU) encourage les membres de la communauté universitaire à participer aux diverses activités récréatives et de sensibilisation offertes gratuitement à chaque semaine au campus de Moncton.

Les membres de la communauté universitaire sont invités à participer au Club de marche, tous les jours, entre 8 h 30 et 16 h 30, au stade extérieur du campus de Moncton.

Il y a également du patinage familial gratuit tous les samedis, de 11 h 30 à 12 h 30, à l’aréna J.-Louis-Lévesque.

De plus, l’entrée est libre au Ceps Louis-J.-Robichaud pour le personnel et leurs enfants âgés de 15 ans et moins, tous les dimanches, de 10 heures à 11 heures.

Une soirée 5 à 7 avec le jeu Quelques arpents de piège (Trivial Pursuit) aura lieu le 18 novembre au local 138 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton. Pour plus d’information ou pour vous inscrire, prière de communiquer avec Suzanne Harrison par téléphone au (506) 858-4342 ou par courriel à l’adresse suzanne.harrison@umoncton.ca.

Pour en connaître davantage au sujet des activités du Comité mieux-être universitaire, visitez la page Facebook https://www.facebook.com/groups/CMUUDEM/.

Le vice-recteur à l’enseignement et à la recherche (VRER), André Samson, invite les étudiantes et étudiants à se joindre à lui, le 16 novembre à 11 h 15, pour échanger de façon informelle dans l’atmosphère décontractée du resto-lounge Le 63.

Il suffit de s’inscrire à l’adresse http://www.umoncton.ca/rectorat/lunchvrer.

L’Université de Moncton et l’Association des employés de l’Université de Moncton (AEUM) ont procédé récemment à la signature des conventions collectives avec l’Unité du personnel de soutien administratif (PSA) et l’Unité du personnel d’entretien et métiers (PEM).

Ces ententes prendront fin le 30 avril 2017.

La photo nous montre, de gauche à droite, assis, Éric Maltais, président de l’AEUM et membre du comité de négociation ; Raymond Théberge, recteur et vice-chancelier ; et Magella LeBlanc, membre du comité de négociation (AEUM). Debout, Edgar Robichaud, vice-recteur à l’administration et aux ressources humaines ; Rachel Gautreau, membre du comité de négociation (AEUM) ; Nicole Goguen, membre du comité de négociation (AEUM) ; Me Ronald J. LeBlanc, porte-parole du comité de négociation pour l’AEUM ; Jacques Cormier, porte-parole du comité de négociation pour l’employeur ; Carole Hachey, membre du comité de négociation (AEUM) ; Charles Maillet, membre du comité de négociation (employeur) ; et Marc Boudreau, membre du comité de négociation (employeur).

L’Université de Moncton et l’Association des techniciennes et techniciens de l’Université de Moncton (ATTUM) ont procédé récemment à la signature de la convention collective.

Cette entente prendra fin le 30 avril 2019.

La photo nous montre, de gauche à droite, assis, Johanne Dégarie, présidente de l’ATTUM et membre du comité de négociation; Raymond Théberge, recteur et vice-chancelier; et Marthe Brideau, membre du comité de négociation (employeur). Debout, Annie Arseneau, membre du comité de négociation (ATTUM); Robert Cormier, porte-parole du comité de négociation pour l’ATTUM; Jacques Cormier, porte-parole du comité de négociation pour l’employeur; Gabriel Cormier, membre du comité de négociation (employeur); et Edgar Robichaud, vice-recteur à l’administration et aux ressources humaines.

Jean-Guy Boisvert, professeur au Département de musique de l’Université de Moncton, présentera une conférence sur Licht - Lumière de Karlheinz Stockhausen, le mercredi 16 novembre à midi à la salle Neil-Michaud du pavillon des Beaux-arts au campus de Moncton.

Licht - Lumière est une oeuvre extraordinaire au sens premier du terme. Cette oeuvre serait-elle enfin, comme l’a pensé son créateur, l’oeuvre d’art totale telle que rêvée depuis des siècles par tant de compositeurs? Serait-elle aussi l’oeuvre la plus importante et la plus significative de la fin du vingtième siècle?

D’une durée de près de 30 heures en sept parties, chacune portant le nom d’une journée de la semaine, la conception et la réalisation de Licht se sont étalées sur un quart de siècle.

Stockhausen y redéfinit l’opéra, le rôle du chanteur et de l’interprète. Licht est aussi une oeuvre essentiellement religieuse où trois personnages principaux, Michael, Luzifer et Eva s’affrontent dans une lutte entre le bien et le mal, la vie, la mort et la renaissance.

La conférence sera agrémentée de photos et d’extraits musicaux.

L'entrée est libre.

Le Département de musique de l'Université de Moncton, LeHum et Open Arts présentent un spectacle du pianiste Dante Boon. La représentation aura lieu le 22 novembre à 19 h à la salle Neil-Michaud du pavillon des Beaux-arts au campus de Moncton.

Originaire de la Hollande, Dante Boon est de passage à Moncton dans le cadre de sa tournée nord-américaine. Dans une soirée de créations canadiennes, M. Boon interprétera des oeuvres d'Anastassis Philippakopoulos, Eva Maria Houben et de Jurg Frey.

La création canadienne d’une nouvelle œuvre, nommée « Métallurgie » et commandée par André Cormier pour cette tournée, est également au programme.

L’entrée est libre.

Les anciens entraîneurs des Aigles Bleus Léonard (Len) Doucet et Jean Perron ont été immortalisés au Mur de la renommée sportive de Moncton lors d’une récente cérémonie qui s’est tenue au théâtre Capitol de Moncton.


Les deux ont profité de leur séjour pour rencontrer des athlètes des équipes 2016-2017 du campus de Moncton et pour leur partager des expériences vécues comme entraîneurs ou joueurs et leur fierté de porter le gilet des Aigles Bleus et Aigles Bleues à l’époque.

L'ancien joueur et entraîneur des Aigles Bleus, Charles Bourgeois, a été admis au Mur de la renommée sportive du hockey mineur de Lewisville lors d'une récente cérémonie qui s’est déroulée à la patinoire Kay de Moncton.

Charles Bourgeois est le seul ancien membre de l’association à avoir évolué dans la Ligue nationale de hockey (LNH). Après avoir aidé les Aigles Bleus de l’Université de Moncton à gagner le championnat national en 1980-1981, il a eu une carrière professionnelle avec les Flames de Calgary et les Blues de St Louis.

En 290 matchs dans la LNH, il a obtenu 16 buts et 54 mentions d’assistance.

Le Service de l’activité physique et sportive du campus de Moncton a nommé la joueuse de volleyball Christelle Bertin, de Beresford, et le hockeyeur Danick Emond, de Terrebonne au Québec, athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed pour la période du 31 octobre au 6 novembre 2016 à l'Université de Moncton.

Christelle Bertin a joué huit manches en fin de semaine lors des deux parties des Aigles Bleues au volleyball féminin de Sport universitaire de l'Atlantique. Elle a amassé 14 kills, 48 attaques et 25 digs dans la défaite de 3 à 2 vendredi soir à Halifax contre les Huskies. Elle a également récolté 8 kills, 23 attaques et 11 digs lors de la victoire en trois sets samedi face aux Varsity Reds. Elle a été choisie la joueuse du match Subway samedi. Elle est étudiante au Baccalauréat en ingénierie (mécanique).

Le défenseur Danick Emond a récolté une passe dans chacune des deux parties des Aigles Bleus au hockey masculin en fin de semaine. Il a bien joué défensivement lors des deux défaites de son club. Il est étudiant au Baccalauréat en kinésiologie.