L’Association des anciens, anciennes et amis de l’Université de Moncton, campus de Moncton, rendra hommage à deux de ses diplômés lors d’une cérémonie qui aura lieu le jeudi 13 octobre au Café-Campus.

Bernard Richard, ancien ombudsman et défenseur des enfants et de la jeunesse du Nouveau-Brunswick, recevra l’Ordre du mérite des diplômés et diplômées de l’Université de Moncton. Cet Ordre souligne la contribution exceptionnelle d’un membre qui fait honneur à son alma mater et à sa profession, que ce soit dans le domaine religieux, politique, socioéconomique, scientifique ou encore artistique.

« Homme de conviction, Bernard Richard possède une feuille de route impressionnante et inspirante, souligne la présidente de l’AAAUM, Marie-France Doucet. Que ce soit comme travailleur social, avocat, député, ministre, ombudsman ou encore défenseur des enfants et de la jeunesse, il a toujours plaidé ses idéaux et ses causes avec passion, intégrité et rigueur. »

L’AAAUM remettra également le prix Émergence à Lise Caissie, comptable agréée et associée au sein de la firme Ernst & Young de Dieppe. Institué en 2008, ce prix a pour but de mieux faire connaître cette nouvelle génération de personnes diplômées qui se distingue dans différentes sphères d’activité, que ce soit en menant une carrière exceptionnelle ou encore en s’impliquant activement au sein de la communauté.

« Le cheminement professionnel remarquable de Mme Caissie et son engagement communautaire sont une source d’inspiration pour les jeunes diplômés et diplômées de l’Université de Moncton, ajoute Mme Doucet. L’AAAUM est heureuse de célébrer ses réalisations. »

L’AAAUM a comme mission de favoriser la promotion, le développement et le rayonnement de l'Université de Moncton et, par le fait même, de ses anciens, anciennes et amis.

Né à Toronto, Bernard Richard a grandi à Cap-Pelé. Il a obtenu le baccalauréat ès arts (psychologie) de l’Université de Moncton en 1972. Après avoir œuvré comme travailleur social pendant quelques années, il est retourné aux études pour compléter le baccalauréat en droit à l’University of New Brunswick.

M. Richard a été élu pour la première fois à l’Assemblée législative du Nouveau-Brunswick en septembre 1991. Il y siègera comme député jusqu’en 2003.

Pendant ces années, il a occupé plusieurs postes au Cabinet : ministre d’État aux Affaires intergouvernementales et autochtones, ministre de la Justice, procureur général, ministre de l’Éducation et ministre responsable du renouvellement de la politique sociale. Le 21 mars 2001, il a été choisi comme chef de l’Opposition officielle et chef intérimaire du Parti libéral du Nouveau-Brunswick. Il a également été président du caucus et leader parlementaire. Il s’est retiré de la vie politique en novembre 2003.

En 2004, M. Richard a été nommé sixième ombudsman du Nouveau-Brunswick et en novembre 2006, il est devenu le premier Défenseur des enfants et de la jeunesse. Il a quitté ces deux fonctions en mars dernier.

Il est président du conseil d’administration de Plan Canada, une ONG qui travaille auprès des enfants dans les pays en développement. Tout récemment, il a accepté de superviser l’examen des rôles et responsabilités de divers fonctionnaires et organismes pour le gouvernement du Nouveau-Brunswick.

Lise Caissie est comptable agréée et associée de la firme Ernst & Young à Dieppe depuis 2009.

Originaire de Cocagne, elle a obtenu le baccalauréat en administration des affaires avec une concentration en comptabilité de l’Université de Moncton en 1999. Elle a par la suite complété sa formation de comptable agréée et réussi avec distinction l’examen final uniforme de l’Institut canadien des comptables agréés en 2001. Le prestigieux prix David Hope lui a été décerné pour son excellence académique.

De 1999 à 2008, Mme Caissie a été gestionnaire en vérification au sein du cabinet LeBlanc Nadeau Bujold avant de devenir la première femme associée à son bureau de Dieppe qui depuis a fusionné avec Ernst & Young.

En mars dernier, Mme Caissie a été nommée présidente du conseil d’administration du YMCA du Grand Moncton après y avoir occupé les postes de trésorière et de vice-présidente. Elle est également trésorière de la Fondation Hôpital Dr-Georges- L.- Dumont. Mme Caissie a été chargée de cours en comptabilité à la Faculté d’administration de l’Université de Moncton et a siégé au conseil d’administration d’Énergie NB d’octobre 2008 à octobre 2009.

La saison des arts de la scène 2011-2012 du Théâtre Capitol comprendra plus de 20 spectacles.

La saison prendra son envol le 21 septembre avec le Duo baroque La Tour, qui regroupe Michel Cardin, professeur au Département de musique du campus de Moncton, et Tim Blackmore, deux interprètes exceptionnels qui joignent leurs talents pour présenter des programmes inspirés de duos et de solos pour luth baroque, flûte à bec, théorbe et clavecin des 17e et 18e siècles.

Les billets pour ce spectacle et tous les autres sont en vente dès maintenant et jusqu’au 31 août à la billetterie du Théâtre Capitol. Renseignements : www.capitol.nb.ca

Wayne St-Thomas a pris sa retraite le 19 mai après 37 ans à titre de directeur du Service de sécurité de l’Université de Moncton, campus de Moncton.

Le 30 mai, l’Université McGill de Montréal a remis un doctorat ès lettres honoris causa à Herménégilde Chiasson, poète, cinéaste, peintre et ancien lieutenant gouverneur du Nouveau-Brunswick.

L’École d’éducation permanente lui a conféré cet honneur lors de sa cérémonie de collation des grades du printemps, qui s’est déroulée en la présence du chancelier, Arnold Steinberg, et de Heather Munroe Blum, principale et vice chancelière.

« Herménégilde Chiasson incarne les valeurs de l’éducation permanente universitaire et les idéaux de l’Université McGill par ses réalisations et ses accomplissements de premier plan, a souligné Judith Potter, doyenne de l’éducation permanente à l’Université McGill. Créativité, excellence, service public, engagement en faveur de la connaissance – ainsi que la promotion de ces forces civilisatrices –, telles sont les marques de son illustre parcours. »

Diplômé des universités de Moncton, Mount Allison, State University of New York et Paris Sorbonne, Herménégilde Chiasson est une figure marquante de l’Acadie moderne. Considéré comme l’un des plus grands poètes du Canada francophone, il se distingue également comme cinéaste, dramaturge, peintre, éditeur et professeur. Il a également été lieutenant-gouverneur du Nouveau-Brunswick de 2003 à 2009.

Originale et créative, son oeuvre lui a valu de nombreux prix et distinctions dont le Prix du gouverneur-général dans la catégorie poésie de langue française en 1999. Il a été nommé Chevalier des arts et des lettres par le gouvernement français en 1990 et a reçu l’Ordre des francophones d’Amérique du gouvernement du Québec en 1993. Il a fondé et dirigé de nombreux organismes artistiques et demeure l’un des grands défenseurs de l’art et de la culture, au Canada comme à l’étranger.

Renseignements :; julie.c.fortier@mcgill.ca

Cinq écoles francophones du Nouveau-Brunswick ont pris part au Concours provincial de l’entrepreneuriat qui a eu lieu cette année au campus de Shippagan. Il s’agit de L’Odyssée de Moncton, La Cité des Jeunes A.-M.-Sormany d’Edmundston, Marie-Esther de Shippagan, Grande-Rivière de Saint-Léonard et Alexandre-J.-Savoie de Saint-Quentin.

Alex Battah, Marc Bossé et Olivier Robichaud, de L’Odyssée, ont remporté la première position alors que Marika Beaulieu, Emmanuelle Levesque et Érika Bossé, d’Alexandre-J- Savoie, sont reparties avec le deuxième prix. Christel Mallet, Joanie Comeau et Naomie Savoie, de Marie-Esther, sont arrivées au troisième rang. Julien Levesque, Alex Martin et Jérémie Ouellette formaient l’équipe de la Cité des Jeunes A.-M.-Sormany alors que Kevin Langlais, Zachary Michaud et Kim Caron formaient celle de Grande-Rivière.

Les équipes et leurs accompagnateurs sont arrivés le 26 mai en fin d’après-midi. Ils ont été invités à participer à un rallye pour ensuite rencontrer le propriétaire de l’entreprise du cas à analyser dans le cadre de la compétition. Le tout a pris fin avec un léger goûter et une activité sociale au Centre étudiant, le Baccus. Tous les participants et participantes logeaient en résidence étudiante.

Le vendredi 27 mai, jour de la compétition, les cas ont été distribués aux équipes à 8 h 45 et elles avaient jusqu’à midi pour proposer des solutions. Les présentations devant jury ont eu lieu en après-midi et elles ont été suivies à 15 h 30 de la remise des prix à la cafétéria du campus. Selon les membres du jury, le choix n’a pas été facile. Toutes les équipes ont fait un excellent travail.

L’Université de Moncton a annoncé la création d’un nouveau programme de maîtrise en littérature canadienne comparée, offert conjointement par le Département d’études françaises et le Département d’anglais. Il accueillera ses premiers étudiants et étudiantes en septembre prochain.

Ce programme de maîtrise met l’accent sur les littératures canadienne-française et canadienne-anglaise à l’échelle du pays; mais il a ceci d’unique puisqu’il offre la possibilité aux étudiants et étudiantes de se spécialiser dans les littératures de la région atlantique, qu’elles soient acadienne ou de langue anglaise.

Le gouvernement du Nouveau-Brunswick et Moncton, ville-hôtesse du Festival Frye, seul festival littéraire bilingue au Canada, offrent un environnement bilingue qui constitue un lieu propice pour l’étude des deux grandes cultures du Canada contemporain. Le nouveau programme de maîtrise mettra à profit tout le potentiel de cet environnement.

Le programme s’adresse aux étudiants et étudiantes qui ont complété le baccalauréat avec majeure ou spécialisation en études anglaises ou en études françaises et qui ont une bonne connaissance de la langue et de la littérature anglaises et françaises du Canada.

Le programme proposé est une maîtrise de recherche comportant une scolarité de quatre séminaires dont deux seront suivis en français et deux en anglais. L’étudiant ou étudiante devra aussi rédiger une thèse de recherche de 100 à 120 pages.

Le diplôme proposé offre d’excellentes perspectives d’emploi dans des organismes à caractère culturel qui travaillent dans les deux langues officielles du Canada. Il donne aussi accès aux études doctorales en littérature.

Il n’y a pas de date limite d’inscription.

Renseignements : Dianne Landry, au 858-4050 / def@umoncton.ca

L’un des thèmes importants de la troisième Journée mathématique du Nouveau-Brunswick francophone qui s’est tenue à l’Université de Moncton le 14 mai portait sur « Une journée sans mathématiques ».

Parallèlement à cette journée se tenait le concours « Une journée sans maths » lancé via le site Internet CAMI (www.umoncton.ca/cami) et qui s’adressait aux élèves des écoles du Nouveau-Brunswick : qu’adviendrait-il lors d’une journée sans mathématiques ? On imagine aisément les conséquences les plus évidentes : pas de commerce, pas de technologies numériques, …

« L’objectif était de sensibiliser les jeunes à l’importance des mathématiques et de bien se rendre compte qu’elles sont présentes partout autour de nous, même dans notre quotidien », rappelle les responsables de cette journée, les professeurs Paul Deguire et Viktor Freiman, respectivement du Département de mathématiques et de statistique et du Département de l’enseignement au primaire et de psychopédagogie.

Une cinquantaine de jeunes de la 3e à la 12e année ont envoyé des réponses. Des prix ont été donnés aux neuf meilleurs. Parmi les gagnants, mentionnons une élève de 3e année qui, dans sa conclusion, affirme que « les maths c’est partout ». D’autres ont dit qu’à l’avenir, ils comprendraient mieux pourquoi on leur fait étudier les mathématiques. On estime que le concours a réalisé son objectif principal : tous ceux qui ont réfléchi, ne serait-ce que quelques minutes, à ce que serait une journée sans mathématiques, ont compris l’immense importance de cette discipline dans notre société.

Voici la liste des gagnants :
Jasmine Levesque, 3e année, Nouvelle Écosse; Chanelle Michaud, 5e année, école Mgr-Martin de Saint-Quentin; Émilie Colette, 7e année, école Sainte-Anne de Fredericton; Gabrielle Dupuis, 7e année, école Sainte-Anne de Fredericton; Alex Poitras, 9e année, école Sainte-Anne de Fredericton; Heidi Vienneau, 9e année, CSC Lafontaine de Néguac; Samantha LeBlanc, 9e année, CSC Lafontaine de Néguac; Caroline Lee Ferron Savoie, 11e année, école Marie-Esther de Shippagan; et Robert Forestell, 12e année, école Sainte-Anne de Fredericton.

Le 48e anniversaire de fondation de l’Université de Moncton sera souligné le lundi 20 juin plutôt que le 19 qui cette année est un dimanche.

Une fête est organisée à l’intention des membres du personnel des trois campus. Au campus de Moncton, elle relève du Secteur des ressources humaines avec la collaboration des différentes associations regroupant les membres du personnel.

Le rassemblement se fera à compter de 11 heures au Café-Campus situé au Centre étudiant. Tous les membres du personnel, les étudiants et étudiantes, les personnes retraitées et les sous-traitants sont conviés à la fête.

Les nouveaux membres du Club de 10 ans et du Club de 25 ans seront également honorés lors d’une présentation de plaques qui aura lieu en présence d’Yvon Fontaine, recteur et vice-chancelier.

Un repas comprenant du fricot, du poulet, des salades et des hamburgers sera servi à tous les membres de la communauté universitaire. Un spectacle suivra à compter de 13 h 15 avec la participation de comédiens du Pays de la Sagouine.

Renseignements : 858-4583.


Campus de Moncton

Club de 10 ans : Sylvie Arseneau, Paul Bernier, Rachel Bourgeois, Georges Comeau, Laurie Cooper, Danny Cormier, Chantal DeGrâce, Monique Daigle, Micheline Durepos, Stéphanie Frenette-Bernard, Robert Grégoire, Mustapha Kardouchi, Lucille Landry, Nadine Langis, Caroline LeBlanc (Bibliothèque Champlain), Anne LeGresley, Francine Maillet, Theresa Mea, Rémi Noël, Guy Richard, Lisa Richard, Marie-Josée Robichaud, Lise Rodrigue, Marie-Noëlle Ryan, Nabil Sayari, Jean-François Thibault et François Vigneau.

Club de 25 ans : Gilberte Allain, Ronald Babin, Gloria Belliveau, Pier Bouchard, Roger Boudreau, Nicole Brun, Gemma Gallant, Charline Gaudet, Angelette Girouard, Fernande LeBlanc, Dorine Léger, Michael Maillet, Roger Ouellette, Muriel Sirois et Sylvain Vézina.

Personnel à la retraite 2010-2011 : Ginette Benoit, Gilles Bouchard, Paul Boudreau, Raoul Boudreau, Paul-Édouard Bourque, Michèle Caron, Florence Cormier, Charlotte Dionne, Donald French, Rose-Marie Gallant, Euclide Gautreau, Marielle Gervais, Gaétane Goguen, Camille Hébert, Georgette Landry, Jeannette LeBlanc, Oscar LeBlanc, Raphaël LeBlanc, Hélène Lemieux, Linda Melanson, Oscar Niles, Jean-Guy Ouellette, Pierre Ouellette, Thu Pham-Gia, Yves Poussart et Marie Ulmer.


Campus d’Edmundston

Club de 10 ans : Janet Kennedy et France Nadeau

Club de 25 ans : Anne Chouinard, Yves Gagnon et Yves Martin

Personnel à la retraite 2010-2011 : Gary Long et Jacques Martin


Campus de Shippagan

Club de 10 ans : Richard Vallée.

Club de 25 ans : Rina Robichaud.

Lors du colloque annuel de la Société historique du Canada qui a eu lieu à Fredericton, le Groupe de recherche en patrimoine religieux acadien du campus de Shippagan a présenté quatre communications.

Lors de la session « Le Patrimoine religieux de l'Acadie », les professeurs Nicolas Landry et Florence Ott ont parlé de la commémoration de l'oeuvre éducatrice des Religieuses Jésus-Marie (Shippagan) et des Religieuses hospitalières de
Saint-Joseph (Tracadie).

L'historien Philippe Basque a pour sa part parlé des catégories ou types de mémoires représentées par les lieux historiques religieux du nord-est du Nouveau-Brunswick. Le professeur Landry a aussi présenté une communication portant sur la continuité des relations entre les Micmacs et les missionnaires français au nord-est de la province entre 1760 et 1840. Deux autres membres du GRPRA étaient également sur place, Nicole Lang et Alan Doiron.

Dans le cadre du projet de recherche « Littoraux comparés », les professeurs Thierry Sauzeau, de l’Université de Poitiers, et Michaël Augeron, de l’Université de La Rochelle, ont rencontré des chercheurs au campus de Shippagan. Ce projet conjoint commencé en 2007 a donné lieu à deux colloques à La Rochelle (2007) et à Shippagan (2009). De nature pluridisciplinaire, les travaux du groupe s'intéressent tout particulièrement à la problématique de gestion des littoraux. La rencontre a permis de jeter les bases de l'organisation du troisième colloque qui se tiendra à Rochefort en 2012 sous le titre de « Guerres, crises et échanges dans l'Atlantique Nord (France-Amériques, du 16e au 21e siècle) ». Le professeur Nicolas Landry du campus de Shippagan se rend à un colloque à Royan ce mois-ci et en profitera pour finaliser les derniers détails précédent l'appel de communications.

En avant la musique. Moncton célébrera sans fausse note sa neuvième édition de la Fête de la musique, le mardi 21 juin. Le public est invité à se mettre au diapason et à se joindre aux festivités au Marché de Moncton (120, rue Westmorland) dès 16 heures où des artistes et amuseurs publics divertiront les férus de musique de tous âges.

Mario Lebreton, auteur compositeur interprète et parrain de l'édition 2011 de la Fête de la musique à Moncton, partira le bal de cette cérémonie bien orchestrée. Celui qui a lancé son troisième album le mois dernier est heureux de participer à la fête. « J'ai participé plusieurs fois à cette activité et j'ai bien aimé, dit-il. Pour moi, la Fête de la musique est un partage avec la communauté et ses amis. On célèbre le début de l'été et la joie de vivre. »

Jean Surette, directeur de Musique NB et « chef d'orchestre » de la programmation de la FDM 2011 est heureux de la réaction obtenue à la suite de l'appel aux candidatures en mars dernier. « À cause de la popularité de l'événement, nous recevons tellement de candidatures qu'il est de plus en plus difficile de faire des choix, mentionne-t-il. Nous avons même reçu des candidatures de l'extérieur de la province. Nous sommes convaincus que les musiciens qui participeront à la fête cette année seront plaire aux différents publics. »

De 16 h 30 à 19 heures, le spectacle sera surtout destiné à un public familial. Mario LeBreton donnera le ton avec sa musique ensoleillée. Puis, le public se laissera porter par les mélodies des jeunes de l'Harmonie de l'école Carrefour de l'Acadie. Le Codiac RCMP Pipes and Drums, qui rassemble des membres du corps policier et des citoyens du Grand Moncton, présentera quelques pièces de son répertoire. Le groupe de percussion Triolet d'Nord terminera cette première partie sur une note énergique qui promet de faire bouger les gens. En plus des spectacles musicaux, des animateurs seront là pour maintenir le tempo et divertir petits et grands entre les prestations musicales.

La deuxième partie débutera vers 19 h 30 avec le jazz de la chanteuse de renommée Lina Boudreau. Changement de gamme ensuite avec le violoneux Keith Facey qui enchantera les gens avec des mélodies irlandaises. L'auteur compositeur interprète Denis Michel Haché saura plaire au public avec sa musique folk/pop. La fête prendra fin avec Catharsis, un quatuor pop punk qui a remporté les honneurs lors de la dernière finale du concours Accros de la chanson. Les célébrations se poursuivront au bar Plan B (212, rue St. George) lors d'un jam de musiciens.

La Fête la musique a été lancée en France en 1982 et est maintenant célébrée le 21 juin dans plus de 100 pays, toujours avec les principes fondateurs de gratuité, participation bénévole de la part des musiciens professionnels ou amateurs, diversité des genres musicaux et mise en musique de lieux de patrimoine et d'espace public.

La Fête de la musique à Moncton est une initiative du Consulat général de France dans les provinces atlantiques, en collaboration avec l'Alliance française de Moncton, Musique NB, la ville de Moncton, Downtown Moncton Centreville, la Fédération des jeunes francophones du Nouveau Brunswick, le Centre d'accueil et d'intégration des immigrants et immigrantes du Moncton métropolitain, Carol Doucet Communications, Bo FM et CapAcadie.com/CapTV.

Pour en connaître davantage sur l'horaire et la programmation : www.fetedelamusiquenb.ca

Les amateurs de hockey de l’Université de Moncton sont invités à la toute première Classique de golf Aigles Bleus qui se déroulera le jeudi 23 juin au Club de golf Royal Oaks de Moncton.
C’est un nouveau départ pour ce tournoi, organisé afin de réunir la grande famille des Aigles Bleus dans le but d’amasser des fonds pour le programme de hockey masculin de l’Université de Moncton. Les gens auront la chance de rencontrer les anciens joueurs des Aigles, tout en côtoyant des membres de l’équipe actuelle.

La Classique de golf Aigles Bleus est organisée par un comité d’anciens qui s’est donné comme objectif de réunir des équipes d’anciens joueurs, de gens d’affaires et des amis des Aigles Bleus. Déjà au-delà d’une soixantaine d’anciens joueurs sont inscrits. Le comité lance une invitation au grand public de s’inscrire et de former des équipes de quatre joueurs pour y prendre part. Le départ se fera à 12 h 30 et la ronde de golf sera suivie d’un souper avec musiciens. Un maximum de 144 joueurs sera accepté. Le tournoi est un évènement parrainé par la compagnie Molson Canadian.

Les gens peuvent joindre Phil Lavoie par courriel à lavoie_phil @lilly.com ou Gilles Maltais au 506-866-8693 pour obtenir de plus amples renseignements et s’inscrire. Le coût est de 150 $ par joueur, ce qui comprend la voiturette, le repas, le golf et un prix unique au tournoi. Il y aura des concours intéressants tout au long du parcours.

La Classique de golf est une collecte de fonds annuelle afin d’aider à financer des activités du programme de hockey masculin à l’Université de Moncton. Les participants et participantes ont la chance de remporter divers prix tout en ayant du plaisir entre amis.

Le colloque, ayant comme thème « L'université du 21e siècle : repensons nos pratiques », organisé conjointement par le Programme d’appui à la réussite des études et le Service d’animation et de soutien à l’enseignement, a regroupé quelques 200 personnes au pavillon Jeanne-de-Valois.

Les conférences et les ateliers ont intéressé à la fois le corps professoral, les chargés de cours, la population étudiante, les gestionnaires et le personnel non-enseignant des secteurs administratifs et des services des trois campus de l’Université de Moncton.

La conférence d’ouverture de Chad Gaffield, président du Conseil de recherches en sciences humaines, la conférence et table ronde étudiante de Samuel LeBlanc, chargé de cours et chroniqueur à Radio-Canada, ainsi que la conférence de clôture de Normand Beaudouin, professeur et récipiendaire du Prix d’excellence en enseignement de l’U de M, ont été diffusées par vidéoconférence aux campus d’Edmundston et de Shippagan.

Les avancements dans les domaines des technologies de l’information, des théories de l’apprentissage et de la pédagogie universitaire, de même que les changements démographiques qui amènent une diversité dans la population étudiante transforment les modes de prestations des services et l’enseignement universitaire. Ce cinquième colloque a permis de comprendre les enjeux et les possibilités qu’offrent certains de ces changements. Afin de stimuler cette réflexion, la conférence d’ouverture de M. Gaffield a donné un aperçu des défis auxquels sont confrontées les universités et des transformations qu’elles auront à initier dans l’avenir.

Certaines communications visaient davantage à outiller le corps professoral par rapport à différents défis retrouvés en salle de classe alors que d’autres étaient plutôt d’intérêt général et voulaient inciter les différents membres de la communauté universitaire à réfléchir sur les changements qu’ils peuvent apporter dans leurs pratiques étant donné les nouvelles réalités.

Ce colloque était coprésidé par Jeanne Godin, directrice du Service d’animation et de soutien à l’enseignement, et Carole Essiembre, coordonnatrice du Programme d’appui à la réussite des études. Les autres membres du comité organisateur étaient, du campus d’Edmundston, Pierrette Fortin, doyenne adjointe des études; du campus de Moncton, Roger Boulay, directeur des Services aux étudiantes et étudiants, Giselle Fancy, directrice de la gestion et dotation au Service des ressources humaines, Louise Girard, vice-doyenne de la Faculté des sciences, Serge Jolicoeur, professeur à la Faculté des arts et des sciences sociales, et Jean-Guy Ouellette, vice-recteur adjoint à l’enseignement; et du campus de Shippagan, Claudine Auger et Marthe Robichaud, professeures au Secteur administration, arts et sciences humaines.

Renseignements : carole.essiembre@umoncton.ca / 858-4535 ou jeanne.godin@umoncton.ca / 858-3793.

La photo nous fait voir, de gauche à droite, Ghislain LeBlanc, étudiant de 4e année au baccalauréat en administration des affaires avec concentration en comptabilité et président de la Fédération étudiante du campus de Moncton; Katherine Gravel, étudiante de 3e année au baccalauréat en administration des affaires avec concentration en management et présidente sortante l'Association étudiante de l'Université de Moncton, campus de Shippagan; Carole Essiembre, coordonnatrice du Programme d'appui à la réussite des études et coprésidente du colloque; Madeleine Arseneau, étudiante de 3e année au baccalauréat ès sciences sociales avec majeure en science politique et présidente sortante de la Fédération des jeunes francophones du Nouveau-Brunswick; Jean-Guy Ouellette, vice-recteur adjoint à l'enseignement; Omar Meftah El Khair, étudiant de 2e année à la maîtrise en administration des affaires et président de l'Association des étudiantes et étudiants internationaux de l’Université de Moncton, campus de Moncton; Jeanne Godin, professeure, directrice du Service d'animation et de soutien à l'enseignement et coprésidente du colloque; et Samuel LeBlanc, chargé de cours à l'Université de Moncton, chroniqueur en nouvelles technologies à Radio-Canada, conférencier et animateur de la table ronde étudiante.

La Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen présente l’exposition « Fabriquer des nuages : six artistes en estampe actuelle » du 15 juin au 11 septembre au pavillon Clément-Cormier du campus de Moncton.

Organisée par Jennifer Bélanger, « Fabriquer des nuages » propose des oeuvres en estampe qui explorent tant les limites de la pratique que les paysages inconnus issus de l’imaginaire des artistes.

Le vernissage aura lieu conjointement avec l’exposition « L’Art du conte en Acadie du Musée acadien, le mercredi 15 juin entre 17 heures et 19 heures. En début de vernissage, Mme Bélanger présentera le travail de chaque artiste dans le contexte de l’exposition.

À titre de commissaire invitée, Jennifer Bélanger oriente l’exposition autour d’éléments communs dans le travail des artistes. « En puisant dans la topographie, la notion de l’artificiel et l'assemblage d'éléments du monde temporel et imaginé, ces six estampiers façonnent des paysages singuliers en vue de réinventer et de concevoir le monde dans lequel on vit. Leurs pratiques interdisciplinaires et variées examinent des archétypes et des symboles récurrents dans la nature. Fabriquer des nuages est un aperçu de six mondes divergents. »

Cette exposition regroupe le travail d’artistes estampiers établis au Nouveau Brunswick et en Nouvelle-Écosse, dont Jacques Arseneault, Maryse Arseneault, Mark Bovey, Erik Edson, Mitch Mitchell et le duo d’artistes Yo Rodeo. Jennifer Bélanger maintient une pratique artistique multidisciplinaire et dirige l’Atelier d’estampe Imago depuis 2000.

L’exposition « Fabriquer des nuages » bénéficie du soutien de l’Atelier d’estampe Imago et de la Nova Scotia Printmakers’ Association. L’artiste Mark Bovey remercie le ministère du Tourisme, de la Culture et du Patrimoine de la Nouvelle-Écosse.

La Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen est située au 405, avenue de l’Université. Les visites sont libres et la galerie est ouverte de 10 heures à 17 heures du lundi au vendredi et de 13 heures à 17 heures le samedi et le dimanche.

Pour plus de renseignements sur l’exposition ou toute autre activité de la Galerie d’art, veuillez téléphoner au (506) 858-4088 ou par courriel à galrc@umoncton.ca.

Quatre étudiants au doctorat travaillant au Département de chimie et biochimie de la Faculté des sciences sont les bénéficiaires d’importantes bourses d’études de 3e cycle. Ces étudiants, dont les activités sont menées au laboratoire de leur codirecteur de recherche, le professeur Marc Surette, sont inscrits à des programmes de doctorat à l’Université Laval.

Samuel Poirier et Philippe-Pierre Robichaud sont inscrits au programme de 3e cycle en immunologie et microbiologie. Ils ont tous deux obtenu une bourse de recherche au doctorat des IRSC dans la cadre du Programme de partenariats régionaux du Nouveau-Brunswick. Ces bourses ont une valeur de 30 000 $ par année pour une durée de trois ans. Ces étudiants reçoivent aussi une allocation de 5 000 $ par an pour leurs activités de recherche. Ils étudient le métabolisme des acides gras polyinsaturés lors de l’activation des cellules du système immunitaire.

Jean-Luc Jougleux, inscrit au programme de 3e cycle en nutrition à l’Université Laval, a reçu une bourse de 20 000 $ par année pour deux ans du Fonds québécois de la recherche sur la nature et les technologies dans le cadre du programme des Bourses de la francophonie canadienne. Il étudie l’effet de la déficience en fer alimentaire lors de la grossesse et ses conséquences sur le développement cérébral de la progéniture, incluant le métabolisme des acides gras. Ce projet est sous les codirections de Marc Surette et France Rioux, ancienne professeure de l’École des sciences des aliments, de nutrition et d’études familiales de l’Université de Moncton et maintenant professeure à l’Université d’Ottawa.

Luc Boudreau, aussi inscrit au programme de 3e cycle en immunologie et microbiologie, a reçu une bourse du Réseau canadien de l’arthrite. Les bénéficiaires de cette bourse d’une valeur de 20 000 $ par année bénéficient aussi d’un voyage annuel payé pour assister au congrès annuel du Réseau où ils présentent leurs travaux de recherche et assistent à des ateliers les préparant à une carrière en recherche. M. Boudreau étudie le contrôle des médiateurs lipidiques qui jouent un rôle important dans la progression des maladies inflammatoires telles que l’arthrite rhumatoïde et l’athérosclérose.

Ces quatre étudiants se sont inscrits à l’Université Laval puisqu’il n’y a pas de programme de 3e cycle en sciences à l’Université de Moncton. Avec la venue du nouveau programme de Ph.D en sciences de la vie, ceux et celles voulant étudier dans ces domaines pourront dorénavant s’inscrire à l’Université de Moncton pour leurs études doctorales et ainsi bénéficier de la direction de professeurs et professeures d’ici.

Renseignements : 506-858-4293 / marc.surette@umoncton.ca

Jean-Guy Ouellette, actuel vice-recteur adjoint à l’enseignement, prendra sa retraite à la fin juin après 41 ans au service de l’Université de Moncton. Il a été nommé à ce poste en 2001 après l’avoir assumé à mi-temps pendant six mois.

Professeur à l'École de psychologie et d'éducation de 1970 à 1973 et professeur à la Faculté des sciences de l'éducation à compter de 1973, M. Ouellette a été directeur du Département d'orientation pendant un an et directeur du Département d'administration scolaire, enseignement secondaire et orientation pendant un mandat de trois ans. Responsable du programme de la maîtrise en éducation (mention orientation) et du programme de baccalauréat en éducation pendant quatre ans, il a aussi occupé le poste de directeur adjoint au Département des fondements et ressources humaines en éducation pendant un an.
En 1987, M. Ouellette a été nommé vice-doyen de la Faculté des sciences de l'éducation, poste qu'il a occupé pendant un peu plus de dix ans. Il a accepté à nouveau la responsabilité du programme de la maîtrise en orientation de 1998 à 2000 et des programmes en développement et en counseling de carrière de 1997 à 2000.

Pierre Laplante présentera son séminaire de thèse de maîtrise en études de l'environnement, intitulé « Développement durable dans le comté de Restigouche», le mardi 14 juin à 9 heures dans le local B-015 au pavillon Rémi-Rossignol au campus de Moncton.

La thèse de M. Laplante est supervisée en direction par le professeur Majella Simard de l’Université de Moncton.

Bienvenue à toutes et à tous.

Renseignements : 858-4498.

Dans le but d'aider les personnes ayant une déficience à planifier leur voyage d'été, l'Office des transports du Canada offre l’une de ses publications les plus populaires, « Soyez maître de votre voyage : Un guide à l'intention des personnes ayant une déficience ».

Cette publication aide les Canadiens et les Canadiennes qui vivent avec une déficience à planifier et à exécuter leurs plans de voyage plus facilement en décrivant les services accessibles et les dispositions qui existent à l'intention des personnes ayant une déficience.

En plus de fournir des renseignements comme ce qu'il faut rechercher et ce dont il faut être à l’écoute lorsqu’on voyage, elle contient une liste de choses à vérifier détachable. Ce guide étape par étape peut aider les personnes ayant une déficience à planifier leur voyage avec des détails sur les services potentiels dans des domaines comme les sièges accessibles, la mobilité et les aides techniques, de même que les animaux aidants.

« Soyez maître » est offert en médias substituts, y compris DAISY – un livre audio électronique reconnu mondialement qui permet un meilleur accès aux personnes aveugles ou ayant une déficience visuelle. L'Office a à coeur d'offrir ses publications à l'intention des personnes ayant une déficience en médias substituts, et il est devenu un chef de file de l'industrie à cet égard.

Le format DAISY (Digital Accessible Information System) va plus loin que les livres audio traditionnels grâce à ses fonctions améliorées de navigation et de recherche. Avec un lecteur DAISY, l'utilisateur peut sauter d'un point à un autre d'une publication de la même façon qu’une personne voyante peut passer d'une page à l'autre. Dans la plupart des livres audio traditionnels, l'utilisateur ne peut qu'avancer ou reculer.

L'Office est en ce moment l’un des seuls ministères du gouvernement fédéral à offrir certaines de ses publications importantes dans la plus récente version de DAISY.

Cet été, si vous voyagez en avion, en train, en traversier ou en autobus interprovincial et que vous avez une déficience, « Soyez maître » peut vous aider à prendre les bonnes mesures pour rendre votre voyage plus agréable.

Pour obtenir un exemplaire imprimé, communiquez avec l'Office des transports du Canada en composant le 1-888-222-2592, par ATS, le 1-800-669-5575, par courriel à l'adresse info@otc-cta.gc.ca ou par courrier à l'adresse Office des transports du Canada, Ottawa (Ontario) K1A 0N9.

Renseignements : www.otc.gc.ca/fra/soyez-maitre