Le doyen, Jean-François Richard, invite les personnes intéressées par la pédagogie au lancement d’un guide pédagogique, intitulé « La pédagogie actualisante : du discours à la pratique », le jeudi 25 novembre à 16 h 30 dans le salon du personnel de la Faculté des sciences de l’éducation au Campus de Moncton.

Ce collectif pratique d’environ une centaine de pages a été élaboré par des enseignants et enseignantes et des directions des écoles francophones du Nouveau-Brunswick dans le cadre du cours de maîtrise « Tendances nouvelles et pédagogie actualisante », dirigé par Jeanne d’Arc Gaudet, professeure au Département d'enseignement au secondaire et des ressources humaines. Les auteures et auteurs du guide sont Ian Jason Arsenault, Mélissa Beaupré, Gisèle Cormier, Éric Godin, Éric Desjardins, Anik Duplessis, Marielle Greer, Sophie Lacroix, Charlyne Lavoie et Lise Vienneau.

Les étudiants et étudiantes du cours se sont inspirés des principes de la pédagogie actualisante, un cadre théorique et réflexif constituant la mission et la vision de l’enseignement et de l’apprentissage à la Faculté des sciences de l’éducation. À partir des huit volets composant cette vision, ils ont élaboré une trousse d’activités pédagogiques qu’ils ont voulu mettre à la disposition de toute personne qui désire améliorer ses pratiques en salle de classe.

La mission même de l’école francophone en milieu minoritaire fait appel à la créativité de son personnel enseignant pour les inciter à utiliser une pédagogie qui soit à la fois conscientisante et communautarisante. Il s’agit donc d’explorer des idées novatrices afin de guider les élèves à développer leur autonomie ainsi que la dimension socialisante de leur formation.

On convient que ce guide ne peut couvrir tous les aspects d’une pédagogie actualisante. Cependant, on propose, à titre d’exemples, des outils qui peuvent servir d’inspiration à celles et ceux qui éprouvent le besoin d’aller plus loin. Les auteurs n’ont pas la prétention de croire qu'ils peuvent résoudre tous les problèmes mais ils veulent partager quelques idées pratiques susceptibles de mieux répondre aux besoins des apprenantes et apprenants. Le lancement sera suivi d’une réception.

Vous pouvez consulter le guide à l’adresse http://www8.umoncton.ca/umcm-grip/La%20pedagogie%20actualisante_%20du%20discours%20a%20la%20pratique__14juillet.pdf. Renseignements : Jeanne d’Arc Gaudet, au 858-4414.

Lors de la 40e conférence de l’Atlantic Schools of Business (ASB) qui a eu lieu à la Sobey School of Business de St. Mary’s University à Halifax, la Faculté d’administration de l’Université de Moncton a reçu le prix général de la meilleure productivité en recherche. Ce prix récompense collectivement la Faculté d’administration et ses chercheurs et chercheuses qui se sont illustrés avec le plus grand nombre de communications acceptées et publiées dans les actes de la conférence. Cette reconnaissance est le résultat de l’implication de plus en plus soutenue du corps professoral dans la publication auprès des revues scientifiques et dans la diffusion de leurs résultats de recherche lors de conférences et colloques, tant au niveau national qu’international.

Le premier numéro de la Revue d’études sur le Nouveau-Brunswick propose un texte de l’artiste multidisciplinaire Herménégilde Chiasson (Une Acadie triangulaire : Essai de géo-esthétique”) et un autre de Donald Savoie, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en administration publique et en gouvernance à l’Université de Moncton (Le Nouveau-Brunswick : pour que cette crise serve à quelque chose / New Brunswick: Let’s Not Waste a Crisis).

La Revue d’études sur le Nouveau-Brunswick /Journal of New Brunswick Studies (RENB/JNBS) est une revue pluridisciplinaire dans laquelle sont publiés des articles et essais originaux, évalués par les pairs, portant sur la province et ce, en français ou en anglais.

On s’intéresse aux sujets de recherche provenant de secteurs à la fois traditionnels et émergents. La Revue vise à publier des articles intéressants et captivants qui explorent la vie culturelle ou sociale du Nouveau-Brunswick historique ou actuel et qui intéresseront un vaste lectorat dans le but de ranimer les débats portant sur la province.

Vous pouvez lire ces textes à l’adresse http://w3.stu.ca/stu/sites/jnbs/index.html.

Les finissants et finissantes du Département d’art dramatique présentent « Quatuor d’automne », le tout dernier texte d’Herménégilde Chiasson, du samedi 4 au mercredi 8 décembre à 20 heures au studio théâtre La Grange du Campus de Moncton.
Cette production marquera le 26e texte pour la scène de cet auteur prolifique acadien et sa quatrième collaboration avec le département.

Répondant à la demande des étudiants du département qui souhaitaient produire une création, M. Chiasson s’est intéressé à mettre en valeur les particularités des futurs comédiens et comédiennes. De plus, l’écriture d’un tel projet fait appel à certaines contraintes (nombre de personnages, équilibre des rôles, âge des comédiens) auxquelles l’auteur a du répondre pour créer un spectacle qui ne sacrifie en rien à la dimension et à la pertinence dramatique de son sujet. La complexité des caractères et des situations de cette pièce représentent un défi artistique de taille pour les étudiants et étudiantes et ils se considèrent privilégiés par la confiance qu’on leur fait.

« Quatuor d’automne » prend place dans une petite ville où quatre personnages accompagnés de leurs conjoints et conjointes se retrouvent pour un dernier hommage à leur père qui vient de décéder. Les personnages passent en revue leurs vies et refont le parcours où leur père a joué un rôle à la fois tragique et problématique. À travers leur témoignage parfois drôle et souvent touchant, il y a lieu de voir un parallèle entre la société et le milieu qui les a formés et le passé accablant dont ils essaient de se libérer. Si le texte fait souvent référence à des événements familiaux, on y retrouve aussi la recherche d’une dimension spirituelle où les personnages cherchent à donner un sens à leurs vies et celui d’une réflexion historique où le présent n’est jamais loin.

« Quatuor d’automne » s’inscrit aussi dans un cycle de pièces qualifié par l’auteur de « tragi-comédie » et qui mettent en scène des préoccupations actuelles de l’Acadie mais en voulant insérer cette dimension dans un paysage plus grand. L’avant-dernier texte de M. Chiasson, « Des nouvelles de Copenhague », s’inscrivait aussi dans cette perspective. Dans cette approche, l’auteur a voulu aborder des sujets à résonance universelle. C’est le cas ici avec sa toute nouvelle création, un texte où la dimension humaine des personnages, leur relations avec leur environnement et leur parcours de vie prend l’allure d’un panorama aux couleurs d’automne, une saison où l’on fait des bilans, comme c’est un peu le cas ici.

La professeure et metteure en scène Marcia Babineau n’est pas étrangère à l’œuvre de l’auteur dont elle a été à la fois témoin et interprète depuis le tout début. Elle faisait déjà partie des interprètes des deux premiers textes qu’Herménégilde Chiasson a écrit pour les étudiants et étudiantes du Département d’art dramatique et elle a continué au théâtre l’Escaouette dont la vocation est la promotion de la dramaturgie acadienne.

La scénographie du spectacle est signée par le professeur Alain Tanguay et la conception des éclairages par la professeure Louise Lemieux.

L’entrée est de 5 $ pour les étudiants et étudiantes et 10 $ pour les autres. Les billets sont en vente à la Librairie acadienne ou au guichet du théâtre avant chaque représentation.

Pour réserver, il faut appeler au 858-4404 ou au 858-4471.

L’Association des anciens, anciennes et amis de l’Université de Moncton, campus de Moncton (AAAUM) a rendu hommage à Christine St-Pierre, ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine du Québec depuis 2007, en lui décernant l’Ordre du mérite des diplômés et diplômées de l’Université de Moncton, ainsi qu’à Éric Mathieu Doucet, directeur général de la Société Nationale de l’Acadie, en lui remettant le prix Émergence lors d’une cérémonie qui a eu lieu le 12 novembre à l’hôtel Delta Beauséjour à Moncton.

L’assemblée générale annuelle de l’Association des anciens, anciennes et ami-e-s de l’Université de Moncton, campus de Moncton (AAAUM) aura lieu le jeudi 25 novembre à midi dans la Salle des anciens, au local 155 du pavillon Léopold-Taillon. Un petit goûter suivra la réunion.
Les personnes intéressées à y assister sont priées de confirmer leur présence au secrétariat de l’AAAUM, au 858-4130, aaaum@umoncton.ca.

Le Centre de recherche en linguistique appliquée (CRLA) a organisé au Campus de Moncton un colloque international avec comme objectif de dresser le bilan des recherches sur la situation linguistique en Acadie et de s’interroger sur leurs enjeux tant sur le plan scientifique que social. En d’autres mots, il s’agissait d’une part de faire le point sur les recherches réalisées dans différents domaines (description du français parlé et écrit en Acadie, aspects sociolinguistiques, aménagement linguistique, politiques linguistiques) et d’autre part, de s’interroger sur le rôle du chercheur et de la chercheuse dans la construction du savoir et d’en examiner les retombées dans l’espace social acadien.

Le colloque avait comme deuxième objectif de rendre hommage à Louise Péronnet, à son travail pionnier qui a inspiré bien des recherches sur les pratiques linguistiques en Acadie. En effet, consciente que langue et société sont inextricablement liées, Mme Péronnet a toujours abordé le français en usage en Acadie sous des angles multiples.

Plus d’une trentaine de chercheurs et de chercheuses en provenance de huit pays ont donné des communications portant sur différents aspects de la situation linguistique, tant ses aspects sociaux que politiques. Certaines communications ont traité des points précis du français acadien (sa prononciation, son lexique, sa syntaxe).

La conférence d’ouverture a été prononcée par Françoise Gadet, de l’Université de Paris-10 Nanterre, et a porté sur « Les terrains acadiens comme illustration de l’actuelle dynamique des français ». Mme Gadet est professeure en sociolinguistique au Département de sciences du langage de l’Université de Paris-X Nanterre. Ses champs d’expertise sont à la sociolinguistique du français, la francophonie, les variétés non standard et non centrales du français et l’histoire de la sociolinguistique. Elle a publié de nombreux livres dont « La variation sociale en français ».

Ce colloque ne s’adressait pas seulement aux linguistes et aux sociolinguistes mais aux chercheurs d’autres disciplines qui s’intéressent aux phénomènes linguistiques en Acadie. Une invitation avait aussi été lancée aux étudiants des cycles supérieurs.

Dans le cadre du Coup de cœur francophone, le Service des loisirs socioculturels présente l’auteure-compositrice-interprète québécoise Marie-Pierre Arthur, le vendredi 26 novembre à 20 heures dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois au Campus de Moncton.
L’une des étoiles montantes de la chanson acadienne, Marie-Philippe Bergeron, en assurera la première partie. Les billets sont en vente au coût de 15 $ pour les étudiants et étudiantes et 20 $ pour les autres (frais de service en sus).

Marie-Pierre Arthur
Marie-Pierre Arthur est originaire de Petite-Vallée, en Gaspésie. Elle s’est fait connaître sur la scène musicale, tout d’abord en tant que bassiste-choriste pour des artistes bien connus comme Ariane Moffat, Mara Tremblay, Steffie Shock, Karkwa et même Édith Butler. De par sa voix, son regard magnétique, son énergie et surtout sa façon de pincer les cordes de Höfner, il était évident qu’elle allait être plus qu’une musicienne-accompagnatrice.

En hiver 2009, elle sort son premier album éponyme sur étiquette Bonsound. Depuis, on se l’arrache : nominations à l’ADISQ ainsi qu’au Indie Music Awards, présence dans les palmarès de fin d’année du Devoir, de La Presse et de Rue Frontenac. Cette année, elle est l’une des révélations Radio-Canada Musique 2009-2010 et les éloges se poursuivent toujours. Plusieurs de ses spectacles donnés au Québec étaient présentés à guichet fermé. Elle a également eu l’occasion de donner des concerts en Ontario ainsi qu’en France. Sa musique est à l’image de son parcours : base folk très personnelle aux accents « countrysants », étoffe nord-américaine qui vibre au son d’une basse chaleureuse et groovante.

Marie-Philippe Bergeron
Non, elle n’est pas jalouse, ce sont plutôt les autres qui peuvent l’être du fabuleux talent de la jeune auteure-compositrice-interprète de Petit-Rocher, Marie-Philippe Bergeron.

D'une simplicité lumineuse sur scène, elle désarme et charme par un amalgame de lucidité et de naïveté qui fait sa couleur unique. Marie-Philippe écrit ses premières chansons en 2006. Au cours de cette même année, elle remporte le prix auteur-compositeur-interprète au Gala de la chanson de Caraquet. En 2007-2008, l'artiste poursuit sa démarche artistique dans le cadre d'une formation intensive à l'École nationale de la chanson de Granby. En avril 2009, elle se rend en France pour un séjour de trois mois en Bretagne où elle offre des prestations et participe à des émissions de radio.

Son passage à la FrancoFête en Acadie en novembre l’année dernière lui sert de réel tremplin. Après la présentation d'une courte vitrine, elle remporte le prestigieux Prix Rideau et le Prix Acadie-Granby.

En avril dernier Marie-Philippe Bergeron est consacrée Découverte de l'année à la Soirée des Prix Éloizes, un événement qui souligne l'excellence dans les arts en Acadie. En octobre dernier, elle nous présente son tout premier album « Le complexe du gémeau », réalisé par Éloi Painchaud. Cet album qui fait voyager avec ses rythmes entraînants et ses textes étonnants empreints d’émotions. C’est une artiste à découvrir.

Kevin Parent
Il reste encore quelques billets pour le spectacle du chanteur gaspésien Kevin Parent avec l’Ontarienne Tricia Foster en première partie, le jeudi 25 novembre à 20 heures dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois. Le prix du billet est de 20 $ pour les étudiants et étudiantes et 30 $ pour les autres.

Le groupe Xeno, composé de jeunes de Moncton, présentera un concert au Café-Campus ce vendredi 19 novembre à 20 heures. Jacques Boudreau et Katrine Noël assureront la première partie.

Zachary Richard
Un rappel également que le spectacle de Zachary Richard, qui devait avoir lieu le samedi 27 novembre, a été remis au printemps. Ceux qui possèdent déjà leurs billets peuvent les garder jusqu’au prochain spectacle. Une nouvelle date sera annoncée dès que possible. Le Service des loisirs socioculturels remboursera ceux qui ne pourront assister au spectacle ce printemps. Ils peuvent joindre la billetterie au 506-858-4554.

La messe de la Nativité sera célébrée le samedi 27 novembre à 22 heures en l'église Notre-Dame d'Acadie. L'animation du chant sera dirigée par Joannie Benoit, Nancy Breau et la chorale internationale. Cette célébration sera précédée d'un mini-récital de Noël en compagnie de la chorale internationale à compter de 21 h 15. Le réveillon suivra la célébration eucharistique.

Venez célébrer Noël avant la période des examens et perpétuer cette tradition à Notre-Dame d'Acadie.

Renseignements: Rose-Mai Roussel, animatrice de pastorale, au 858-4460

Dans le cadre du cours Séminaire de musicologie et suite aux séminaires annuels consacrés à la musique de tradition orale au Département de musique de l’Université de Moncton, le compositeur, interprète et musicologue Dariush Zarbafian a décidé de consacrer le séminaire de cette année à la musique traditionnelle acadienne. Une soirée séminaire/concert de musique traditionnelle acadienne aura donc lieu le samedi 27 novembre à compter de 20 heures dans la salle Neil-Michaud au pavillon des Beaux-arts du Campus de Moncton.

« Cela fait deux ans que j’essaie de sensibiliser les étudiants et étudiantes à la discipline ethnomusicologique, mentionne M. Zarbafian. Les efforts commencent à porter ses fruits à tel point qu’une relation est créée entre le Département de musique, la Chaire de recherche McCain en ethnologie acadienne et le Centre d'études acadiennes Anselme-Chiasson de l’Université de Moncton. Cette relation a même favorisé un début de collaboration et un éventuel projet ambitieux autour de la culture acadienne. »

Les événements des années précédentes et l’intérêt accru montré par les étudiants et étudiantes encouragent M. Zarbafian à poursuivre les activités dans ce domaine. L’histoire, la diversité et la richesse de la musique acadienne au Nouveau-Brunswick, dans le reste du Canada et même ailleurs montrent que ce patrimoine mérite d’être pris en considération et qu’il soit l’objet d’une étude plus approfondie.

« La recherche sur ce patrimoine peut attirer l’attention des étudiants aussi bien que des chercheurs, ajoute M. Zarbafian. La recherche sur cette musique peut amener à créer des projets et des perspectives très intéressants dans le futur. Ces activités peuvent même conduire vers la création d’un centre de recherches scientifiques portant sur la diversité de ce patrimoine culturel. Le centre pourra aussi mener des recherches sur les pionniers qui ont donné leurs lettres de noblesse à la sauvegarde et au développement de cette musique. »

Cette année, il a donc organisé avec le Département de musique ce séminaire-concert pour sensibiliser plus d’étudiants et le public pour mettre en route une base de travail continuel et un travail de développement durable pour les années à venir. Il dit espérer ainsi attirer l’attention des responsables, des amateurs et des passionnés de cette culture afin de créer un centre d’ethnomusicologie de la musique acadienne.

Pour enrichir le séminaire, des invités prestigieux tels que Ronald Labelle, Michel Deschênes, Roger Castonguay, Robert Richard et Eddie Poirier seront présents. Ces invités feront aussi partie du débat de la soirée.

Franco-iranien, installé depuis un certain temps à Moncton, M. Zarbafian est devenu l’une des références en matière de musique iranienne. Maître de Tombac (zarb) et de Santour remarquable, il en a acquis la maîtrise auprès des plus éminents maîtres : Mohamed Esmaïli, Morteza Ayan et Bahman Radjabi. Sa connaissance des rythmes anciens lui ont permis de composer pour cet instrument un langage renouvelé qui, tout en s’émancipant des obligations traditionnelles, en préserve à la fois le caractère et l’authenticité.

Cette démarche confère au tombac un rôle et un rayonnement qui s’étendent au-delà de la musique persane pour aborder un langage beaucoup plus universel. Virtuosité, sensibilité et profondeur donnent à chacune de ses prestations une intensité particulière, aussi bien au tombac qu’au santour. Connaisseur de la tradition, il propose une relecture subtile du répertoire persan, le radif, qu’il enrichit de ses propres compositions. À ce jour, il a produit un grand nombre d’œuvres pour tombac et/ou santour, d’inspiration traditionnelle ou libre. Ces œuvres font de lui l’une des figures majeures de la musique persane.

Bienvenue à toutes et à tous. Renseignements : 858-4041.

Dans le cadre du cours LITT 2701 - Littérature et société donné par Jimmy Thibeault, l’auteur acadien Fredric Gary Comeau, écrivain en résidence au Département d’études françaises de l’Université de Moncton, prononcera une conférence publique, intitulée « Errances et égarements : réflexions autour d’une œuvre aléatoire », le mardi 30 novembre de midi à 13 h 15 dans la salle 170 du pavillon Jean-Cadieux au Campus de Moncton.

En s’appuyant sur les principaux jalons de sa carrière littéraire et musicale, M. Comeau parlera des axes majeurs caractérisant ses créations. L’évocation des contextes géographiques, culturels et artistiques entourant l’élaboration de son œuvre lui permettra d’aborder les thèmes du voyage, de l’errance, de la sensorialité et de l’exultation amoureuse présents dans son travail.

La crédibilité artistique de Fredric Gary Comeau a été maintes fois soulignée au cours des dernières années sous la forme de bourses données par le Conseil des arts du Nouveau-Brunswick (1997), le Conseil des arts du Québec (2006) et le Conseil des arts du Canada (2000 et 2007). Dès les premières années de sa carrière d’écrivain (1995), l’excellent recueil « Ravages » a été finaliste du prix Émile-Nelligan. Ses œuvres poétiques sont très appréciées pour leur authenticité et leur exigence par des publics d’ici et d’ailleurs. De plus, son expérience connexe de chanteur et de parolier et la visibilité qui en résulte présentent un attrait indéniable pour le Département d’études françaises et l’Université de Moncton dans son ensemble.

Fredric Gary Comeau est né aux abords de la Baie de Népisiguit en 1970. Il a publié dix recueils de poésie entre 1991 et 2009 et fait paraître quatre albums de chansons entre 1999 et 2009. Il est également l'auteur d'une fiction radiophonique diffusée à Radio-Canada en 1997. Souvent inspiré par le mouvement, ses nombreux voyages ont eu une influence incontournable sur son écriture.

La conférence de M. Comeau est rendue possible grâce à une subvention de Conseil des arts du Nouveau-Brunswick dans le cadre de son programme d’artiste en résidence et à une généreuse contribution financière de l’U de M. Cette résidence d’écrivain représente indéniablement un apport précieux à la formation des étudiants et étudiantes, leur permettant de compléter le point de vue professoral et critique par celui, souvent plus intuitif, de l’écrivain.

Il est possible de rencontrer M. Comeau à son bureau, au local 129A de l’édifice des arts, le mercredi après-midi ou sur rendez-vous. Renseignements : 858- 4050.

L’Institut d’études acadiennes et les recteurs de l’Université de Moncton et de Mount Allison University, Yvon Fontaine et Robert M. Campbell, invitent le public à assister au lancement du livre « Entre textes et images : Constructions identitaires en Acadie et au Québec », sous la direction de Monika Boehringer, Kirsty Bell et Hans R. Runte, le jeudi 2 décembre de 16 h 30 à 18 heures à la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen au Campus de Moncton.

Cet ouvrage collectif rassemble des textes de Denis Bourque, Herménégilde Chiasson, Carola David, Jean-Luc Desalvo, Ingo Kolboom, Denise Lamontagne, Julie LeBlanc, Corrie Level-Scott, Irène Oore, Joëlle Papillon, François Paré, Claudine Potvin, Amy J. Ransom, France St-Jean, Jimmy Thibeault, Emmanuelle Tremblay et Ania Wroblewski.

Leurs textes examinent les enjeux multiples de l'identitaire dans des écrits littéraires en lien avec diverses expressions iconiques de l'Acadie et du Québec dont ceux d’Antonine Maillet, Michel Roy, Dano LeBlanc, Jean Babineau, France Daigle, Nelly Arcan, Pauline Harvey, Monique Bosco, Régine Robin, Stanley Péan, Dany Laferrière, Monique Proulx, Marie-Claire Blais, Roméo Savoie et Roland Giguère. Un léger goûter sera servi. Renseignements : Marie-Linda Lord, au 858-4426

L’Université de Moncton a pour mandat de recevoir les demandes d’admission des candidats et candidates francophones du Nouveau-Brunswick aux programmes offerts dans trois universités du Québec.

L’admission est assujettie au rendement académique et à l’entretien ou au test d’admission. Elle ne comporte aucune obligation de la part des trois universités.

À l’Université de Montréal, les programmes offerts sont la médecine, la médecine dentaire, la médecine vétérinaire, l’optométrie, la physiothérapie, l’ergothérapie, l’audiologie et la pharmacie. À l’Université Laval, il s’agit de la médecine, la médecine dentaire, la pharmacie, la physiothérapie, l’ergothérapie et l’orthophonie (maîtrise).

Et à l’Université de Sherbrooke, la médecine est offerte.

Pour obtenir de plus amples renseignements et obtenir les formulaires de demande d’admission, il faut s’adresser le plus tôt possible à Stéphan Reebs, responsable des programmes spéciaux à la Faculté des sciences de l’Université de Moncton, au 506-858-4447.

Toutes les personnes francophones du Nouveau-Brunswick qui désirent s’inscrire à ces programmes doivent obligatoirement passer par le bureau de M. Reebs.
L’inscription par Internet (en ligne) ne sera pas considérée.

Les formulaires de demande d’admission dûment remplis doivent être retournés avant le 12 janvier 2011 à l’adresse suivante : Stéphan Reebs, responsable des programmes spéciaux, Faculté des sciences, Université de Moncton, Moncton, N.-B., E1A 3E9.

L’Université de Moncton acheminera les dossiers vers les universités concernées où le choix sera fait.

Deux chorales exceptionnelles, le Chœur Neil-Michaud et le Greater Moncton Chorale présenteront un « Sing Noël », le dimanche 12 décembre à 15 heures en l’église St. John’s United située au 75, rue Alma à Moncton.

Plus de 100 voix s’uniront pour vous interpréter de la musique de Noël. La rencontre sera animée par le comédien Marshall Button.

L’entrée est de 15 $ pour adultes, 10 $ pour étudiants et 5 $ pour les enfants de 12 ans et moins. Les billets sont en vente chez Jean Coutu à Riverview, Rae Fraser Florist au Highfield Square et Read’s Newsstands, rue Main à Moncton et Riverview.

Pour bien commencer la saison des Fêtes, quoi de mieux qu’un bon concert en compagnie d’une chorale?

Le Chœur des Aboiteaux, une chorale d’une soixantaine de voix mixtes sous la direction de Paula Hébert, professeure au Département de musique du Campus de Moncton, vous invite à assister à son concert de Noël, le dimanche 5 décembre à 14 h 30 dans la salle de spectacle (A-119) du pavillon Jeanne- de-Valois.

Les choristes présenteront des chants de Noël très connus comme Adeste Fideles, Sainte Nuit, Nouvelle Agréable, Minuit Chrétien et des chants en langues étrangères dont pour la première fois un chant (mieux connu sous le nom The Huron Carol) en une langue huronne, le Wandat. Laissez-vous charmer par des airs qui ont chanté Noël depuis le 14e siècle. Louisette Godbout accompagnera la chorale au piano.

Les billets au coût de 10 $ sont en vente auprès des choristes. Le prix à l’entrée sera de 12 $, sans frais pour les enfants de 10 ans et moins. Renseignements : 859-0402.

La fantaisie biographique française Gainsbourg (vie héroïque) (2010, 135 minutes), du réalisateur Joann Sfar et mettant en vedette Eric Elmosnino, Lucy Gordon et Laetitia Casta, est à l'affiche au Ciné-Campus, le jeudi 25 et vendredi 26 novembre à 20 heures dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard.
De son enfance dans les rues de Paris pendant l'Occupation allemande à sa carrière de chanteur de renommée internationale, le pianiste Lucien Ginsburg (mieux connu sous le nom de Serge Gainsbourg) vit, à travers la rencontre de femmes aussi belles qu'intimidantes à qui il écrira des chansons - France Gall, Juliette Gréco et Brigitte Bardot - les moments marquants de sa vie qui influenceront son oeuvre musicale. Aidé de son alter ego imaginaire, Gainsbourg a créé le personnage qui séduira une jeune actrice britannique venue travailler à Paris, Jane Birkin.

Le Ciné-Campus est présenté par le Service des loisirs socioculturels. Les billets sont en vente à l’entrée à compter de 19 h 30 le jour de la projection au coût de 5 $ pour les étudiants et étudiantes et de 7 $ pour les autres.

Rendez-vous de l’ONF en Acadie
Les Rendez-vous de l'ONF présentent le dimanche 28 novembre, à 19 heures le documentaire « Rip : Remix Manifesto », du réalisateur Brett Gaylor (2008, 84 minutes).

Ce film explore les complexités de la notion de propriété intellectuelle à l’ère du partage de fichiers pair-à-pair, et l’internaute militant et cinéaste interviewe des acteurs importants du débat. Création composite en soir, RiP fracasse les barrières entre utilisateurs et producteurs et conteste les limites de l’utilisation équitable. Ce long métrage sera précédé du court-métrage « Bryan Adams : L’Essentiel », de David Battistella (2010, 5 minutes).

L’entrée est libre. Renseignements : http://www.umoncton.ca/umcm-sls.

La hockeyeuse Mariève Provost, originaire de Laval au Québec, a établi un nouveau record au hockey universitaire de l’Atlantique et pourrait très bien en établir un autre au niveau du Sport interuniversitaire canadien (SIC).

L’étudiante de quatrième année en kinésiologie a d’ailleurs été nommée athlète de la semaine pour la période du 8 au 14 novembre, alors qu’elle établissait le record du plus grand nombre de points réalisés par une joueuse de hockey des Sports universitaires de l’Atlantique. Elle a établi la nouvelle marque le 10 novembre, dépassant ainsi l’ancienne marque qui était de 196. Une présentation spéciale lui a d’ailleurs été faite avant la rencontre de vendredi dernier pour souligner son exploit.

Mariève Provost souligne qu’elle est heureuse d’avoir établi une nouvelle marque mais son objectif en est un d’équipe et « je veux que nous gagnions en Atlantique pour nous rendre le plus loin possible au championnat canadien. Je suis fière de mon record mais l’année n’est pas terminée. Je dois continuer à travailler fort et je n’ai franchi qu’une étape. »

L’entraîneur de l’équipe, Denis Ross, se réjouit de cet exploit. «Mariève est l’un des piliers importants au sein de notre programme de hockey féminin à l’Université de Moncton. Elle a été au cœur de la progression de l’équipe en Atlantique et au niveau national. Nous avons remporté la médaille de bronze au championnat du SIC en 2009 et nous comptons être présents cette saison grâce, en partie, à ses exploits. »

Alors que le record national du SIC est de 213 points, la jeune attaquante pourrait bien établir une nouvelle marque à ce niveau dans les prochaines semaines.

Chacun de nous a le potentiel d’être un bâtisseur de paix comme le souligne le thème de la Semaine de la paix du YMCA, « Insuffler la paix - pensez-y, parlez-en, faites-la! ». De concert avec les autres YMCA du Canada, celui du Grand Moncton insuffle la paix et aide les enfants, les jeunes et les adultes à avoir une influence positive, spécialement pendant la Semaine de la paix qui se poursuit jusqu’au 27 novembre.

Cette année, la Semaine de la paix est particulièrement spéciale pour le Y de Moncton grâce à la visite de Gwénaël Apollon, secrétaire général national du YMCA d’Haïti. Au déjeuner de la paix ce vendredi 26 novembre, M. Apollon racontera comment après huit mois seulement, le YMCA d’Haïti a reconstruit un édifice complètement écologique à l’aide de matériaux à l’épreuve des séismes et des ouragans.

La Médaille de la paix du YMCA est accordée à une personne ou à un groupe qui, sans ressources spéciales, démontre un engagement à l’égard de la paix par le biais de sa contribution au sein de la collectivité ou à l’étranger. La Médaille de la paix sera décernée pendant le déjeuner à Maurice Henri, Robert Thibault, Emily Miller et Breanna Saulnier.

L’Université de Moncton accueille également M. Apollon le jeudi 25 novembre. Il rencontrera les étudiants et les professeurs à midi au Ceps Louis-J.-Robichaud. L’ancien médaillé de la paix, le professeur Roger LeBlanc, mentionne que l’Université se réjouit de la visite de M. Apollon qui rencontrera des étudiants et des membres du personnel de l’École de kinésiologie ainsi que des études en loisir en général, y compris les étudiants haïtiens en particulier. « L’Université de Moncton jouit de liens très étroits avec Haïti », rappelle-t-il.

À titre d’organisme de bienfaisance axé sur les valeurs et voué à la promotion de la santé et de la vie saine, le YMCA du Grand Moncton sert plus de 8000 personnes de tous les horizons. Renseignements : 857-0606, http://www.ymcamoncton.com.

Chaque année, de nombreux membres de la communauté universitaire - étudiants et étudiantes, corps professoral et autres membres du personnel - souscrivent à la campagne de l’Arbre de l’espoir au profit du Centre d’oncologie Dr-Léon-Richard de l’hôpital Dr-Georges-L.-Dumont.

Cette générosité se manifeste par des collectes de fonds organisées par des groupes étudiants ou encore des membres du personnel regroupés dans les divers services et unités académiques des trois campus.

Le recteur, Yvon Fontaine, rappelle que l’Université de Moncton tient à souligner les efforts de ces nombreux groupes et s’engage à verser à la campagne un montant supplémentaire équivalent à dix pour cent de la valeur globale des dons qui seront amassés aux trois campus. Il doit cependant s’agir de dons recueillis dans le cadre d’activités organisées par des groupes de l’Université et versés directement à la campagne de l’Arbre de l’espoir.

Afin de connaître le montant global qui aura été versé à la campagne de cette année par la communauté universitaire, les personnes responsables des activités de groupe sont priées d’informer le Service des ressources humaines de leur campus respectif du montant recueilli au plus tard le jeudi 25 novembre à 16 h 30, soit la veille du radiothon de l’Arbre de l’espoir. L’Université pourra à son tour annoncer le montant supplémentaire qu’elle versera à la campagne. Au Campus de Moncton, la personne à joindre est Debbie Martin, au 858-4136,debbie.martin@umoncton.ca.

Encore une fois bravo pour cette générosité et merci à l’avance de votre participation.