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Voici les archives de l’Hebdo-Campus du 16 avril 2009 au 20 septembre 2018
Travail social : un laboratoire de recherche dédié à Katherine Marcoccio
Article complet
Agrandir l'imageDans la photo prise lors de la cérémonie, Hélène Albert, directrice de l’École de travail social, est accompagnée du recteur, Raymond Théberge.
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Travail social : un laboratoire de recherche dédié à Katherine Marcoccio Le laboratoire de recherche situé dans le local 368 du pavillon
Léopold-Taillon porte désormais le nom de Laboratoire Katherine-Marcoccio,
en reconnaissance de la contribution exceptionnelle de cette professeure au
développement de l’École de travail social de
l’Université de Moncton.
Professeure agrégée à l’École de travail social
affectée aux programmes de premier et deuxième cycles, Mme Marcoccio est
entrée à l’emploi de l’École de travail social en 1987.
Elle en a été directrice de 1998 à 2003, directrice adjointe de 2005
à 2006 et à nouveau directrice de 2006 à 2007.
En plus de ses responsabilités administratives et d’enseignement, la
professeure Marcoccio a mené, au cours de sa carrière, des activités
de recherche et participé à des groupes de recherche et d’intervention
sociale, notamment dans le domaine du harcèlement sexuel et sexiste dans le milieu
de l’enseignement francophone. Elle s’est également
intéressée à la question des femmes et l’écologie ainsi
qu’à la diversité et aux questions touchant les Autochtones.
Mme Marcoccio a été membre du Bureau d’agrément des
programmes de l’Association canadienne des écoles de service social de 1994
à 2000, et coprésidente du Bureau d’agrément des programmes de
1997 à 1999. Tout au long de sa carrière, elle est restée active au
sein du réseau canadien des écoles de formation en service social.
D’origine américaine, de descendance italienne, citoyenne canadienne et
Acadienne d’adoption, Katherine Marcoccio a marqué beaucoup de gens, tant sur
le plan personnel qu’au niveau professionnel.
Son décès le 19 mars 2007 a laissé un grand vide dans la vie de
plusieurs qui l’ont connue.
| Lancement de la version en ligne du glossaire différentiel « Les mots pour parler des maux »
Article complet
Lancement de la version en ligne du glossaire différentiel « Les mots pour parler des maux » Gisèle Chevalier, professeure et chercheuse au secteur linguistique du Département
d’études françaises à l’Université de Moncton, et le Consortium national de
formation en santé (CNFS) - volet Université de Moncton, ont annoncé le lancement de la
version en ligne du glossaire différentiel des termes de la santé « Les mots pour
parler des maux », disponible à l’adresse www.mots-maux.ca.
Cet outil de dépannage développé à l’intention des professionnels de la santé
répertorie des expressions régionales qui sont présentées en versions française et
anglaise, dont certaines sont accompagnées d’enregistrement sonores. Le glossaire
différentiel des termes de la santé vise donc à réduire l’écart linguistique entre
les professionnels de la santé et les patients qui ne maîtrisent pas le français
standard en les sensibilisant au vocabulaire lié à la santé et aux accents de
différentes régions.
« Dans la majorité des communautés acadiennes, il faut prendre en considération le
fait que plusieurs variétés ou registres de langue coexistent en même temps, explique
Mme Chevalier. Bien entendu, chaque variété peut comporter ses propres manières de
parler des malaises, maladies, parties du corps, symptômes, etc. »
Visant à l’origine une clientèle acadienne, la version en ligne du glossaire « Les
mots pour parler des maux » est maintenant appelée à prendre une envergure
pancanadienne en réaction à l’accueil enthousiaste à la première version imprimée
du lexique, qui avait été diffusée à plus de 2 000 exemplaires dans de nombreuses
communautés francophones du Canada. C’est d’ailleurs à la suite de cette chaude
réception de l’ouvrage au sein des divers milieux de la santé au niveau national que
la base de données a été mise en ligne, en l’élargissant à toutes les variétés de
français parlées au Canada. Le glossaire est également conçu de manière à permettre
aux internautes de collaborer à sa mise à jour en soumettant de nouveaux mots qui se
disent dans leur communauté.
Rappelons que le lexique « Les mots pour parler des maux » est le résultat d’un des
projets de recherche subventionnés par le CNFS - volet U de M en phase II (2003-2008)
dans le cadre de l’axe recherche. L’élaboration du glossaire acadien a par la suite
mené à l’automne 2009 à la publication du livre « Les mots pour parler des mots -
Lexique différentiel des termes reliés à la santé », produit par Gisèle Chevalier et
Lise Rodrigue, professeures à l’Université de Moncton, et dont le CNFS - volet U de M
est l’éditeur.
La mise en ligne du contenu du glossaire « Les mots pour parler des maux », disponible
via l’hyperlien www.mots-maux.ca, est rendue possible grâce à une contribution
financière de Santé Canada dans le cadre des projets de Formation linguistique et
d’adaptation culturelle du CNFS.
Renseignements : gisele.chevalier@umoncton.ca /
506-858-4054.
| La première biennale du Laboratoire international sur l’inclusion scolaire a eu lieu à Lausanne
Article complet
Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Mireille Leblanc, professeure au Département d’enseignement au primaire et de psychopédagogie de l’U de M et membre du Conseil scientifique du LISIS; Luc Prud’homme, professeur à l’Université du Québec à Trois-Rivières et codirecteur du LISIS; Serge Ramel, professeur-formateur à la Haute école pédagogique de Lausanne et codirecteur du LISIS; et Raymond Vienneau, également professeur au Département d’enseignement au primaire et de psychopédagogie de l’U de M et chercheur régulier au LISIS depuis sa création en 2010. |
La première biennale du Laboratoire international sur l’inclusion scolaire a eu lieu à Lausanne La première biennale du Laboratoire international sur l’inclusion scolaire (LISIS) a eu
lieu du 22 au 26 octobre à Lausanne, en Suisse.
Le mouvement vers une école plus inclusive, qui valorise la diversité et accorde une
place de choix à la gestion de cette diversité en classe ordinaire, réclame une
collaboration étroite de chercheurs et chercheuses socialement engagés dans cette façon
de concevoir et faire l’école. Le LISIS réunit présentement une trentaine de ces
chercheurs et chercheuses issus d’une dizaine d’universités canadiennes dont
l’Université de Moncton, de deux universités italiennes (Bologne et Milan), d’une
université espagnole (Castello de la Plana, Catalogne) et de deux Hautes écoles
pédagogiques de Suisse romande (HEP-Vaud et HEP-Bejune).
Les quatre axes de recherche du Laboratoire tels que définis dans son plan stratégique
pour 2010-2015, sont les suivants : fondements de l’inclusion scolaire; identité
professionnelle; actions et instrumentation; et formation à et par la recherche. En plus
de permettre de dresser un bilan prospectif des besoins en recherche dans le domaine de
l’inclusion scolaire tant aux échelles nationales respectives qu’à l’échelle
internationale, cette première biennale aura également permis de définir et de
préciser les orientations des travaux des différentes équipes de recherche à partir
des projets en cours et de projets émergents.
La soirée d’ouverture de la Biennale, le lundi 22 octobre, était l’occasion toute
rêvée pour le lancement du numéro thématique de la revue « Éducation et francophonie
» (automne 2011), « Valorisation de la diversité en éducation : défis contemporains
et pistes d’action », numéro dirigé par trois chercheurs du LISIS, Luc Prud’homme,
Serge Ramel et Raymond Vienneau, et auquel auront contribué pas moins de 28 chercheurs et
chercheuses en inclusion scolaire en provenance du Canada, de la Suisse, de la Belgique et
de France.
Signalons enfin que l’Université de Moncton a signé récemment une entente de
collaboration avec la Haute école pédagogique du Canton de Vaud (UER Développement de
l’enfant à l’adulte) dans le but notamment de conduire conjointement des travaux de
recherche et de développement en lien avec la thématique de l’inclusion scolaire, et
de promouvoir l’organisation d’activités scientifiques entre les institutions
partenaires (ex. : symposiums, colloques, congrès, etc.).
L’Université de Moncton est également signataire d’un accord de coopération
scientifique et de mobilité avec la HEP-Vaud dans le but cette fois d’établir un
programme d’échange d’étudiants et étudiantes en favorisant le principe de la
réciprocité.
| Mesurer l’espace économique francophone des entreprises et des entrepreneurs
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Mesurer l’espace économique francophone des entreprises et des entrepreneurs Le Forum pancanadien sur le développement économique en francophonie canadienne s’est
tenu du 31 octobre au 2 novembre à Gatineau, au Québec. Il a rassemblé plus de 250
personnes provenant des secteurs gouvernementaux, associatifs et privés impliqués dans
le développement économique francophone au Canada. Il faisait suite aux conférences
ministérielles portant sur la francophonie canadienne de 2009 et 2010 au cours desquelles
les ministres responsables ont identifié le dossier du développement économique comme
l’un des axes prioritaires d’intervention.
C’est dans le cadre de cet événement d’envergure que Marc Duhamel, directeur
général de l’Institut canadien de recherche en politiques et administration publiques
et professeur associé au Département d’économie de l’Université de Moncton, a
présenté les grandes lignes de deux études réalisées expressément pour le Forum et
qui visaient à mesurer l’espace économique francophone des entreprises et des
entrepreneurs au Canada.
Ces deux études, qui soulèvent la piètre qualité des connaissances sur le sujet,
estiment tout de même à près de 430 000 le nombre d'entreprises au Canada qui
appartiennent à des propriétaires-majoritaires de langue maternelle française en 2007,
dont 86 pour cent étaient établies au Québec. Ce nombre représente un peu plus de 18
pour cent de toutes les entreprises au Canada, soit près de 4 pour cent inférieur au
poids démographique de la population et des travailleurs de langue maternelle française.
Au Canada atlantique, l’étude estime ce nombre d’entreprises à près de 14 000. De
plus, le nombre d'entreprises francophones serait inférieur à ce qu'il était en
2004.
Ces études ont soulevé beaucoup d’intérêt auprès des personnes participant au Forum
et également auprès des médias nationaux. Marc Duhamel a d’ailleurs accordé une
entrevue à Gisèle Quenneville, animatrice de l’émission 360 sur les ondes de TFO.
| Euclide Gautreau présente le deuxième tome de « La voix des Aigles Bleus »
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Euclide Gautreau présente le deuxième tome de « La voix des Aigles Bleus » Le lancement du livre « La voix des Aigles Bleus Tome 2 : 2000-2012 », publié par son
auteur Euclide Gautreau, a lieu ce vendredi 23 novembre à 17 heures à l’aréna
J.-Louis-Lévesque au campus de Moncton. Il est organisé en marge des célébrations
entourant le 50e anniversaire de fondation de l’Université de Moncton.
Cet ouvrage fait suite à « La voix des Aigles Bleus » publié en 2003 qui, à l’aide
de nombreuses statistiques, illustrations et photos, trace l’histoire de l’équipe
masculine de hockey depuis ses débuts. Le deuxième tome de cet ouvrage rappelle les
grands moments du cheminement des Aigles Bleus depuis 2000. De plus, l’auteur trace
l’histoire de l’équipe féminine de hockey depuis ses débuts dans le circuit
universitaire.
Fervent partisan des équipes de hockey des Aigles Bleus et annonceur-maison pour
l’équipe masculine depuis plus d’une trentaine d’années, Euclide Gautreau est un
retraité de l’Université de Moncton.
Renseignements : joanne.bourque@umoncton.ca / 858-4533.
| Rencontre avec le cinéaste Paul Bossé
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Rencontre avec le cinéaste Paul Bossé Dans le cadre du cours LITT2900 Théorie et histoire du cinéma, il y aura une rencontre
avec le cinéaste Paul Bossé, le mardi 27 novembre de 18 heures à 21 heures dans la
salle 214 de l’édifice des arts au campus de Moncton.
Paul Bossé rencontrera les étudiants et le public autour de son film « Moncton Vinyle
» (2011, 47 minutes). Il présentera et commentera ensuite des extraits d’œuvres de
cinéastes qui comptent pour lui (Jean Vigo, Guy Maddin, Jean Renoir et Jacques Tati).
« Moncton, ville bilingue, ville si dingue, transposée en disque vinyle audio-vidéo, 33
révolutions par minute. »
Ce film s’est distingué au FIFCA 2011 à Moncton. « Pour son montage inventif, la
singularité de sa démarche, l’efficacité des moyens utilisés et la ténacité de son
auteur, le jury a été impressionné et a remis le Prix La Vague / Léonard Forest pour
la meilleure œuvre acadienne, moyen et long métrage à « Moncton Vinyle », de Paul
Bossé (réalisation, scénario, son, musique, image, montage, production). »
Bienvenue à ce cours exceptionnellement ouvert à tous et à toutes.
Renseignements : claude.guiguet@umoncton.ca / 858-4475 /
381-1635 / 858-4050.
| La Faculté d’ingénierie souligne le départ à la retraite du professeur Gilles Hébert
Article complet
Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Gilles Roy, vice-doyen de la Faculté d’ingénierie; Buquan Miao, directeur du Département de génie civil; Paula Hébert, épouse à Gilles; Gilles Hébert, professeur retraité du Département de génie civil; et Paul Chiasson, doyen de la Faculté d’ingénierie. |
La Faculté d’ingénierie souligne le départ à la retraite du professeur Gilles Hébert Gilles Hébert, professeur à la Faculté d’ingénierie, a pris sa retraite le 30 juin
dernier après une vie professionnelle bien remplie. Il y a quelques jours, la Faculté a
organisé une réception pour souligner son départ.
« Ingénieur renommé pour son expertise, respecté par ses pairs et un professeur
apprécié, il aura contribué à former et à préparer de nombreux ingénieures et
ingénieurs à tirer leur épingle du jeu dans le monde du génie-conseil », a rappelé
le doyen, Paul Chiasson.
L’un des premiers à posséder le baccalauréat en ingénierie de l’Université de
Moncton, Gilles Hébert a commencé sa carrière au service du ministère des Transports
du Nouveau-Brunswick à titre d’ingénieur au bureau du district de Moncton. Son talent
est rapidement remarqué car il est dès l’année suivante muté au bureau central de
Fredericton et promu à titre d’ingénieur des tracés. Les dix années qui suivent
seront une succession de promotion avec de plus en plus de responsabilités.
À l’hiver 1983, il accepte de donner un cours de conception géométrique des routes.
Son expérience lui permet de créer un cours couvrant le sujet à fond et qui prépare
l’étudiant à la pratique. C’est pour lui la piqure pour l’enseignement. Comme un
poste de professeur d’ingénierie des transports est à pourvoir, il décide de
postuler. Son talent est tout de suite reconnu et le poste lui est offert. Les cours en
transport et celui en arpentage lui sont confiés. Il constatera rapidement que le
laboratoire du cours d’arpentage n’atteint pas ses objectifs. Il crée donc un camp
d’arpentage de fin de session. Les étudiants et étudiantes en génie civil apprendront
ainsi à manier les technologies d’arpentage à partir de travaux de terrain. Ce sera
pour plusieurs une compétence essentielle pour décrocher un bon emploi d’été en
ingénierie et un poste d’ingénieur à la fin de leurs études.
Homme très engagé dans la communauté professionnelle et universitaire, il est actif
tout au long de sa carrière au sein de nombreux comités et conseils d’administration
dont l’Association des ingénieurs et géoscientifiques du Nouveau-Brunswick et
vice-président de l’Association des ingénieurs-conseils du Nouveau-Brunswick. Membre
de la Société canadienne de génie civil, il sera président de la section est du N.-B.
et de l’I.-P.-É. En reconnaissance pour sa contribution à la profession, la SCGC
l’élèvera d’ailleurs au rang de Fellow lors de son 33e Congrès annuel tenu à
Toronto en 2005.
Reconnu pour son expertise unique en transport, M. Hébert a été approché par des
bureaux de génie-conseil dès sa nomination comme professeur. Il aura eu tellement de
succès qu’il décidera de fonder en 1990 Comtrac Ltée, un bureau
d’ingénieurs-conseils qui emploiera d’ailleurs plusieurs de nos finissants.
Comme chercheur, il a plusieurs plumes à son chapeau. Au cours de sa carrière, il a fait
des travaux sur l’interprétation des données de trafic en vue de planifier et
concevoir les autoroutes; sur l’utilisation rationnelle des graveleux latéritiques dans
la construction des routes au Niger et au Mali; et sur le contrôle de la qualité des
matériaux de construction des assises de chaussées.
Grand architecte de la reconfiguration du programme de baccalauréat en ingénierie civil,
il laissera sa marque sur les futurs finissants et finissantes en ingénierie de
l’Université de Moncton.
| Le Musée acadien propose un atelier portant sur les décorations de Noël
Article complet
Le Musée acadien propose un atelier portant sur les décorations de Noël Dans le cadre de sa série Zone artisanale, le Musée acadien de l’Université de
Moncton propose un atelier public portant sur les décorations de Noël en compagnie de
Véronic Comeau, le dimanche 2 décembre de 13 h 30 à 15 heures au pavillon
Clément-Cormier. Cette activité s’adresse tant aux adultes qu’aux enfants.
Véronic Comeau est guide-interprète au Musée acadien depuis près de deux ans. Elle
aime la musique et la culture acadienne. Ayant fait des études dans le domaine du travail
social, elle se dirige vers l’intervention communautaire. Bonne communicatrice, elle
tentera de mieux faire connaître les traditions acadiennes liées au temps des Fêtes.
Pour ceux et celles qui ne peuvent participer aux activités, on tiendra un blogue pour
vous permettre de suivre le cheminement.
Les activités sont proposées aux visiteurs de tous âges. On exige cependant des frais
de 3 $ par personne. Il faut réserver sa place avant le 29 novembre.
Le Musée acadien est ouvert du mardi au vendredi de 13 heures à 16 h 30 et le samedi et
dimanche de 13 heures à 16 heures. Profitez-en pour visiter les différentes expositions.
Renseignements : Véronic Comeau ou Jeanne Mance Cormier, au 858-4088 / jeanne-mance.cormier@umoncton.ca.
| Ciné-Campus présente le drame sentimental « Laurence Anyways »
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Ciné-Campus présente le drame sentimental « Laurence Anyways » Ciné-Campus présente le drame sentimental « Laurence Anyways », du réalisateur Xavier
Dolan, mettant en vedette Melvil Poupaud, Suzanne Clément, Monia Chokri, Nathalie Baye,
Susie Almgren et Magalie Lépine-Blondeau, les jeudi 22 et vendredi 23 novembre à 20
heures dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de
Moncton.
Montréal, 1989. À l'âge de 35 ans, Laurence Alia, professeur de littérature au cégep,
annonce à sa conjointe Fred qu'il souhaite maintenant vivre sa vie comme la femme qu'il a
toujours été. Cette dernière accepte difficilement ce changement mais décide quand
même de rester auprès de lui, par amour. Au travail, dans son quotidien, auprès de sa
mère, le changement de Laurence est essentiel à son identité. Mais la situation devient
insoutenable pour Fred, qui disparaît. Bien des années plus tard, Laurence la retrouve
à Trois-Rivières, mariée et mère de famille. Leur amour du passé existe-t-il toujours
?
L’entrée est de 5 $ pour les étudiants et 7 $ tarif ordinaire.
Renseignements : 858-3738.
| Club de mathématiques : conférence de Salah El Adlouni
Article complet
Club de mathématiques : conférence de Salah El Adlouni Salah El Adlouni, professeur au Département de mathématiques et de statistique de
l’Université de Moncton, prononcera une conférence, intitulée « Notion de Copule
pour la modélisation multivariée », le mercredi 28 novembre à 11 h 20 dans la salle
B-103 du pavillon Rémi-Rossignol au campus de Moncton.
Dans plusieurs domaines de la modélisation statistique, « on prie pour que le monde soit
normal et linéaire ». Ce qui s’avère ne pas être vrai dans toutes les situations.
L’étude de certains phénomènes aléatoires nécessite l’analyse de la structure de
dépendance qui existe entre deux ou plusieurs variables. La régression linéaire en est
un cas particulier. Mais souvent la structure de dépendance n’est pas linéaire et/ou
les variables n’ont pas une distribution normale. Dans ces cas, d’autres modèles qui
ne se limitent pas aux conditions de normalité et de dépendance linéaire sont
disponibles.
Dans cette présentation, on discutera du théorème de Sklar (1959) et de comment il a pu
rendre accessible l’application de l’analyse statistique multivariée par le biais des
copules, et ce dans plusieurs domaines telles que la finance, l’hydrologie et
l’analyse du risque en général. Bienvenue à toutes et à tous.
Renseignements : 858-4298 / martine.arsenault@umoncton.ca
| Mieux comprendre la spécificité des déterminants comportementaux de maladies chroniques pour mieux intervenir
Article complet
Mieux comprendre la spécificité des déterminants comportementaux de maladies chroniques pour mieux intervenir Un séminaire de recherche en santé sera présenté le vendredi 23 novembre de 12 h 30 à
13 h 30 dans l’amphithéâtre de l’Auberge Mgr-Henri-Cormier du Centre hospitalier
universitaire Dr-Georges-L.-Dumont.
La conférence, intitulée « Mieux comprendre la spécificité des déterminants
comportementaux de maladies chroniques pour mieux intervenir », sera prononcée par
Mathieu Bélanger, directeur de la recherche au Centre de formation médicale du
Nouveau-Brunswick, professeur au Département de médecine familiale à l’Université de
Sherbrooke et épidémiologiste pour le Réseau de santé Vitalité.
Malgré toutes les preuves indiquant qu’une diète mal équilibrée, un manque
d’activité physique, le tabagisme, et la consommation excédentaire d’alcool
augmentent le risque de développer des maladies chroniques et de mourir précocement, une
grande proportion de la population continue d’adhérer à ces comportements malsains.
Même si plusieurs organismes recommandent l’adoption de bonnes habitudes de vie, très
peu d’interventions ont démontré leur efficacité pour améliorer les comportements.
Ces résultats insatisfaisants proviennent d’une mauvaise compréhension des
déterminants du risque. Le développement de connaissances dans ce domaine a été
restreint par un manque de précision dans les définitions de comportements liés à la
santé. Pour réagir efficacement face aux forces qui éloignent la population des
comportements sains, il est essentiel de délaisser nos approches globales pour devenir
plus spécifique.
Le programme de recherche de Mathieu Bélanger vise justement à développer une meilleure
compréhension de la spécificité des comportements liés à la santé. Ce programme est
basé sur une combinaison de projets, incluant une étude de cohorte longitudinale, une
série de macrosimulations, une étude interventionnelle et des analyses secondaires
d’importantes bases de données.
Il est possible d’assister à ce séminaire par vidéoconférence à l’hôpital
régional Chaleur, à l’hôpital régional de Campbellton et à l’hôpital régional
d’Edmundston.
| Sébastien Lord prononce une conférence en mathématiques avancées
Article complet
Sébastien Lord prononce une conférence en mathématiques avancées Sébastien Lord, étudiant de première année inscrit au programme de baccalauréat avec
majeure en mathématiques, a fait des travaux en mathématiques pendant l’été sous la
direction du professeur Donald Violette.
À la suite de sa participation à la première édition des Camps mathématiques de
l’Acadie tenue à Saint-Quentin cet été et à son désir d’étudier de la topologie,
le professeur Violette a décidé de l’embaucher. Il lui a fait faire des
mathématiques au niveau de troisième année du baccalauréat en mathématiques.
La conférence de Sébastien prononcée le 15 novembre - une première à l’Université
de Moncton - était excellente et brillamment présentée. Plusieurs professeurs et
étudiants ont assisté à sa présentation et ont pu voir ce jeune prodige de 18 ans à
l’oeuvre. Tous sont unanimes pour dire qu’il expose magnifiquement bien sa matière
et que ça prenait beaucoup de courage et de maturité pour relever un tel défi.
Au-delà de cette conférence, les gens ont réalisé à quel point le travail et la
préparation ont été importants, autant de la part de Sébastien que du professeur
Violette. « Sébastien a un intérêt et un don manifestes pour les mathématiques,
mentionne M. Violette. C’est la première fois que je vois dans ma carrière de plus de
35 ans à l’Université de Moncton un jeune de cet âge avec autant de maturité et de
passion pour les mathématiques. »
« Sébastien m’a fait honneur et je suis très fier de lui et de son rendement,
poursuit-il. Je suis très exigeant mais ça porte ses fruits; je l’ai poussé au
maximum pour qu’il puisse se dépasser comme jamais il n’a eu la chance de le faire
jusqu’à présent. »
| Concert de chants de Noël en compagnie du Chœur des Aboiteaux
Article complet
Concert de chants de Noël en compagnie du Chœur des Aboiteaux Pour entreprendre la saison des fêtes du bon pied, quoi de mieux que de passer un
après-midi dans un beau décor en écoutant des chants de Noël de tous les temps et de
tous les styles.
Le Chœur des Aboiteaux, une chorale de 57 voix mixtes sous la direction de Paula Hébert,
vous invite à assister à son concert de Noël, le dimanche 2 décembre à 14 h 30 en
l’église St. John’s United à l'angle des rues Alma et Victoria à Moncton.
Il y aura des chants très connus comme « Il est né le divin enfant », « Adeste
Fideles », « Sleigh Ride » et autres et d’ailleurs, en espagnol et en allemand. Pour
agrémenter la performance, le chœur sera accompagné des musiciens Louisette Godbout au
piano, Patrick Gaudet et Joey Roy aux instruments de percussion, Sébastien Sirois à la
contrebasse, et Thérèse Landry-Laflamme à la flûte traversière.
Les billets sont en vente au cout de 10 $ auprès des choristes ou 12 $ à l’entrée
avant le concert. L’entrée est libre pour les enfants de dix ans et moins.
Renseignements : 859-0402.
| Les enjeux et les défis du multiculturalisme en Occident
Article complet
Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Chedly Belkhodja, professeur au Département de science politique; Chloé Arsenault, étudiante en science politique; et Jean François Caron, professeur au Département de science politique. |
Les enjeux et les défis du multiculturalisme en Occident Le Département de science politique a organisé une conférence publique au campus de
Moncton portant sur les débats autour du multiculturalisme au Canada et en Europe de
l'Ouest, en compagnie des professeurs Chedly Belkhodja et Jean-François Caron qui ont
présenté leurs réflexions sur le sujet.
Ces dernières années aux yeux de certains observateurs, les sociétés démocratiques
paraissent moins lisibles qu’auparavant et, par conséquent, plus difficiles à
représenter. Devant la montée de soi-disant nouvelles menaces, notamment le terrorisme
et le fondamentalisme religieux musulman mais aussi les demandes d’accommodement
répétées de groupes ethnoculturels, le sentiment de vivre en harmonie, la fameux «
vivre-ensemble », dans une culture commune, fondement de l’appartenance à
l’État-nation, paraît de plus en plus fragilisé et surtout, remis en question.
Dans ce contexte, un discours plus ouvertement critique souligne que les politiques du
multiculturalisme sont allées trop loin en acceptant trop facilement les valeurs et
coutumes des nouveaux arrivants sans pour autant définir les bases d’une identité
commune.
Cette conférence des professeurs Belkhodja et Caron a examiné les formes que peuvent
prendre cette réaction « conservatrice » aux valeurs des sociétés pluralistes au
Canda et en Europe de l'Ouest.
Renseignements : Chedly Belkhodja, au 858-3749.
| « L’horloge universelle - La résistance de Peter Watkins » est présenté aux Rendez-vous de l’ONF en Acadie
Article complet
« L’horloge universelle - La résistance de Peter Watkins » est présenté aux Rendez-vous de l’ONF en Acadie Le film « L’horloge universelle - La résistance de Peter Watkins » (2001, 76
minutes), de Geoff Bowie, sera à l’affiche des Rendez-vous de l’ONF en Acadie, le
lundi 26 novembre à 19 heures dans la salle de projection 163 du pavillon
Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton. L’entrée est libre.
En cette ère d’information-spectacle, le documentaire plaît aux téléspectateurs en
quête d’authenticité, mais doit répondre à son tour aux impératifs de la
télévision. Au banc des accusés, l’horloge universelle, qui impose les thèmes et la
durée selon les exigences d’un marché mondialisé.
La projection principale sera précédée du court métrage « Deepa Mehta de profil »,
de Nettie Wild (2012, 6 minutes). « Deepa Mehta », récipiendaire cette année d’un
Prix du Gouverneur général pour les arts du spectacle, se décrit comme un hybride
culturel. Si la cinéaste puise sa passion et ses récits en Inde, c’est au Canada
qu’elle trouve la liberté de choisir la façon dont elle réalisera ses films. Elle
parle de ses allers et retours entre ces deux univers.
L’horloge universelle - La résistance de Peter Watkins
Pour nourrir sa réflexion, le réalisateur Geoff Bowie retrouve à Paris le cinéaste
britannique Peter Watkins, qui réfute comme lui cette uniformisation des esprits. Ce
dernier y tourne « La Commune », un film de six heures retraçant les journées
d'insurrection qui ébranlèrent en 1871 la capitale française. En contrepoint, nous
sommes transportés à Cannes, au MIPTV, marché international de la télévision où les
stratèges de l'industrie rajustent leur fameuse horloge selon les diktats de la
mondialisation.
Comment dès lors assurer la prééminence de valeurs universelles, au sens premier du
mot, qui englobe l'ensemble des êtres humains ? Peut-être en réactivant cet esprit de
résistance qui a animé les insurgés de la Commune, comme le suggère l'insurgé
permanent qu'est le grand Peter Watkins.
À propos du réalisateur
Réalisateur et producteur torontois, Geoff Bowie a depuis le début des années 1980
signé une vingtaine d'oeuvres francophones et anglophones, dont une majorité de
documentaires ainsi que quelques fictions et vidéos éducatives.
Formé en beaux-arts, en cinéma et en télévision, il s'est graduellement consacré à
la scénarisation, à la réalisation et à la production de documentaires par le biais de
sa compagnie Elan Productions, fondée en 1985. Membre de la Guilde canadienne des
réalisateurs et rédacteur fondateur de la revue cinématographie POV, il est aussi
l'auteur d'oeuvres télévisuelles, dont quatre épisodes de la série documentaire « The
Nature of Things » (CBC), de courts métrages de fiction et documentaire ainsi que du
moyen métrage « Courage » (2011). Plusieurs de ses créations ont été présentées et
primées par des festivals cinématographiques internationaux au Canada et aux
États-Unis.
Bientôt à l’affiche
Dès la semaine du 2 décembre, le film « Déshonneur » (2010, 91 minutes), de Nelofer
Pazira, et le court métrage d’animation « Une vie sauvage » (2011, 13 minutes),
d’Amanda Forbis et Wendy Tilby, seront à l’affiche aux Rendez-vous de l’ONF.
Portrait éloquent et nuancé de la vie en Afghanistan, le film de fiction « Déshonneur
» constitue à la fois une complainte contre l’injustice et un hommage à l’esprit
d’un peuple qui a vécu la guerre durant des décennies.
Renseignements : 384-6897 / madoblan@nbnet.nb.ca
| Un Jeudi de la Librairie consacré au romancier kényan Ngugi Wa Thiong’o
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Un Jeudi de la Librairie consacré au romancier kényan Ngugi Wa Thiong’o La Librairie acadienne et le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en
contact (GRICC) de la Faculté des arts et des sciences sociales vous invitent au prochain
Jeudi de la Librairie, qui aura lieu le 22 novembre de 16 h 30 à 18 heures à la
Librairie acadienne du campus de Moncton.
Il sera consacré à « Décoloniser l’esprit », un essai du romancier et dramaturge
kényan Ngugi Wa Thiong’o, traduit de l’anglais par Sylvain Prudhomme et paru à Paris
aux Éditions de la Fabrique.
Il reviendra à Marie-Noëlle Ryan, professeure au Département de philosophie, de
présenter l’auteur, et à Mourad Ali-Khodja, professeur au Département de sociologie,
de faire un commentaire de l’oeuvre. L’animation sera assurée par Émilie Urbain.
Tous les Jeudis de la Librairie sont suivis d’une réception.
Renseignements : Mireille Thériault, au 858-4140
| Présentation de quatre projets étudiants du cours GMEC5950
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Présentation de quatre projets étudiants du cours GMEC5950 Il y aura une présentation de quatre projets étudiants du cours « GMEC5950 - Mesure et
conception du travail », le vendredi 30 novembre de 11 h 20 à 12 h 25 dans la salle
263G1de la Faculté d’ingénierie au campus de Moncton.
Ces projets évaluent des situations de travail considérant le temps, l’efficacité des
méthodes observées et l’ergonomie. Chaque présentation prendra environ dix minutes
et sera suivie par une période de questions de cinq minutes.
Voici les présentations :
Michaël Dubé et Jiaping Wu, « Les étapes pour nettoyer les serviettes et couvertures
dans une hôtellerie de Moncton (Super 8) ».
Daniel Cormier et Alexandre Gosselin, « Changer les pneus de voiture dans un garage
commercial (Coast Tire) ».
François Pelletier, «Les procédures de travail chez Wajax Composants Industriel
(distributeur de composants industriels)».
Ariel Agossa, «Réaliser un mixage audio en studio ».
Cette causerie est parrainée par la région Atlantique de l’Association canadienne
d’ergonomie. Elle fait partie d’une série dont le but est de partager des
connaissances utiles avec le public.
Un goûter sera servi. Bienvenue à tous et à toutes.
Renseignements : 858-4079 / nancy.black@umoncton.ca
| Femmes et pouvoir : de l’intention à l’action
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Femmes et pouvoir : de l’intention à l’action À l’ère de notre postmodernité démocratique, les femmes sont de plus en plus souvent
amenées à participer à la gestion des affaires publiques. Alors que l’espace du
débat politique, là où se décide l’avenir de la Cité, était jusqu’à récemment
exclusivement occupé par les hommes, aujourd’hui, il s’ouvre résolument à la
mixité. Bien des questions se posent à cette ouverture : Comment le débat politique,
mené si longtemps par des semblables, accueille-t-il la différence des sexes et des
genres ? Quel regard les hommes, habitués à s’affronter, portent-ils sur les nouvelles
venues, les femmes, qui font nécessairement valoir d’autres systèmes de valeur et
d’autres stratégies ? Comment le féminin, et sa culture politique toute récente,
parvient-il à s’imposer au masculin qui gère les affaires communes depuis si longtemps
?
Pour débattre de cet important sujet de société, six Académies de leadership ayant
pour thème «Femmes et pouvoir : de l’intention à l’action » se tiennent dans
différentes régions du Nouveau-Brunswick. Destinées aux femmes désireuses
d’accéder à des postes d’influence dans la sphère publique et aux hommes que la
question intéresse, ces Académies visent à encourager la mixité dans la gestion des
affaires publiques.
La prochaine rencontre a lieu ce samedi 24 novembre de 9 heures à 16 heures dans la salle
136 du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.
Après l’inscription qui se fera à 8 h 30, Anne Decerf, docteure en psychologie et
chercheure associée au Département de science politique de l’Université de Moncton,
présentera une réflexion sur le sujet « Comment construire la mixité dans l’espace
public ? ». Sa conférence sera suivie à 10 h 50 par un débat interactif animé par
Marie-Thérèse Seguin, professeure au Département de science politique de
l’Université de Moncton, qui discutera d’expériences de femmes dans l’exercice de
la citoyenneté.
Le thème de l’après-midi portera sur « Se former pour l’action citoyenne ». À 13
h 30, Anne Godin, coordonnatrice du projet, parlera des capacités qui sont nécessaires
à cette action. Son allocution sera suivie à 14 h 15 de témoignages de citoyennes
engagées dans l’action politique et publique.
La synthèse et les perspectives d’avenir se feront à compter de 15 h 30. Et
l’activité prendra fin à 16 heures.
Il n’y a aucun frais d’inscription (le repas du midi est compris) mais vous devez
absolument vous inscrire pour que l’on puisse prévoir la logistique de la salle et le
nombre de repas.
Renseignements : 506-727-7102 / annegodinconsultation@gmail.com
| Travail social : journée de réflexion portant sur la sécurité alimentaire
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Travail social : journée de réflexion portant sur la sécurité alimentaire Dans le cadre d’un projet de justice sociale, l’École de travail social organise une
Journée de réflexion portant sur la sécurité alimentaire, le vendredi 23 novembre de
10 heures à 15 heures dans le local 136 du pavillon Léopold-Taillon au campus de
Moncton.
Le programme de la journée est le suivant : à 10 heures, projection du film « We Feed
the World; à 11 h 15, table ronde portant sur la sécurité alimentaire dans le monde; à
12 h 15, dîner; à 13 h 30, présentation de Sr Auréa Cormier, du Front commun pour la
justice sociale; et à 14 20, présentation de Patricia Sirois, de la Banque alimentaire
de Shédiac.
L’entrée est de 6 $ (repas compris) et les billets sont en vente auprès de Danielle
Drapeau (années préparatoires), Kim Robichaud (3e année), Lakshman Jayatilaka (4e
année) et Marie-Lyne Caron (5e année).
Renseignements : charles.gaucher@umoncton.ca
| Classe ouverte d’interprétation et d’expression corporelle en art dramatique
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Classe ouverte d’interprétation et d’expression corporelle en art dramatique En ce qui a trait aux classes ouvertes d’interprétation et d’expression corporelle en
art dramatique, la classe ouverte des étudiants et étudiantes de deuxième année
explore la pièce de l’auteur italien Fausto Pravidino, « Nature morte dans un fossé
». À la suite de la découverte d’un corps de jeune femme dans un fossé, on suit les
personnages et le déroulement de l’enquête à travers une série de monologues.
Cet exercice pédagogique dirigé par Karène Chiasson a lieu le jeudi 22 novembre à 15 h
30 dans le local A-205 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.
Bienvenue à tous et à toutes. Renseignements : 858-4444.
| BGIZC : lancement du livre « Développement comparé des littoraux du golfe du Saint-Laurent et du Centre-Ouest français : d’hier à aujourd’hui »
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BGIZC : lancement du livre « Développement comparé des littoraux du golfe du Saint-Laurent et du Centre-Ouest français : d’hier à aujourd’hui » L’équipe du baccalauréat en gestion intégrée des zones côtières (BGIZC) du campus
de Shippagan invite la population à assister au lancement du livre « Développement
comparé des littoraux du golfe du Saint-Laurent et du Centre-Ouest français : d’hier
à aujourd’hui », dirigé par Nicolas Landry, Jacques Péret et Thierry Sauzeau, le
jeudi 22 novembre à 16 heures dans l’amphithéâtre Gisèle-McGraw. Ce livre est le
fruit du colloque ayant eu lieu au campus de Shippagan en 2009 dans le cadre du Congrès
mondial acadien.
L’ouvrage, édité dans la collection Pascal-Poirier de l’Institut d’études
acadiennes, présente un regard croisé sur les littoraux du Centre-Ouest français et
ceux du golfe du Saint-Laurent. Au-delà des spécificités de chaque rivage, canadien et
français, se dégagent d’incontestables convergences, reflet d’une histoire
atlantique commune et plus largement, d’enjeux économiques et environnementaux
mondialisés. Sous la lorgnette de la pluridisciplinarité, des chercheurs en histoire, en
géographie et dans plusieurs autres disciplines ont arrêté un regard éclairant sur
l’importance des échanges de part et d’autre de l’Atlantique Nord,
l’omniprésence des pêches et l’environnement littoral.
Afin de poursuivre sur la thématique, l’équipe du BGIZC invite la population à
plonger dès 17 h 15 (local 309) dans l’histoire acadienne de l’Union des pêcheurs
des Maritimes (UPM) en assistant à la diffusion du documentaire de Marie Cadieux, «
Petits Bateaux et Grande Vision », présenté dans le cadre de la tournée mobile du
Festival international du cinéma francophone en Acadie (FICFA).
L 'Union des pêcheurs des Maritimes est peut-être la première et la dernière des
véritables résistantes en matière de droit au travail digne et bien rémunéré. C'est
une histoire « acadienne » qui pourtant rayonne sur un échiquier mondial. Ce sont
essentiellement des francophones qui ont bâti « l'union » et qui encore aujourd'hui,
après près de 40 ans d'existence, mènent toujours sa destinée. L'histoire de sa
fondation résonne de saveurs locales et pourtant, ce mouvement s'inscrit dans un grand
courant politique et économique. C'est une histoire fascinante, dont les héros se
partagent également entre hommes rudes, fiers et jeunes intellectuels inspirés par de
grands idéaux. (Canada, 2012, documentaire, 54 minutes).
| Conférences de la psychologue Anne Decerf
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Agrandir l'imageDans la photo, Mme Decerf est accompagnée, à gauche, de Chedly Belkhodja, professeur au Département de science politique, et, à droite, des étudiants Mickaël Arseneau et Rachel Richard. |
Conférences de la psychologue Anne Decerf Le Département de science politique et le Laboratoire de recherche en éthique dans les
organisations, avec le soutien de la Faculté des arts et des sciences sociales, ont
organisé une série de trois conférences en compagnie de la psychologue Anne Decerf,
chercheuse associée au Département de science politique.
La première conférence de Mme Decerf a porté sur le métier de chercheuse / chercheur
» alors que la deuxième parlait de la mixité hommes/femmes dans l’espace
politique.
Pour sa troisième conférence, elle a abordé le thème, intitulé « Autour de la
pensée de Marcel Gauchet, La démocratie contre elle-même ». Possédant le doctorat en
psychologie, Mme Decerf a suivi une longue formation en philosophie politique. Elle a
notamment participé pendant une année aux séminaires offerts par M. Gauchet au Centre
de recherche Raymond Aron de Paris. En lien épistolaire avec lui, elle l’a reçu dans
le séminaire qu’elle a organisé à Liège autour du thème de la dépression dans nos
sociétés postmodernes.
Dans le cadre de cette conférence publique, la professeure Decerf a exposé les
réflexions sur la démocratie que Marcel Gauchet a rassemblées dans son livre, « La
démocratie contre elle-même ».
| Assemblée générale annuelle de l’AAAUM
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Assemblée générale annuelle de l’AAAUM L’assemblée générale annuelle de l’Association des anciens, anciennes et amis de
l’Université de Moncton (AAAUM) a lieu le jeudi 22 novembre à midi dans la Salle des
anciens et anciennes, local 155 du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.
L’ordre du jour est le suivant : ouverture de l’assemblée; adoption de l’ordre du
jour; lecture et adoption du procès-verbal de l’assemblée générale annuelle 2011;
affaires découlant du procès-verbal de l’assemblée générale annuelle 2011; rapport
de la présidente, Marie-France Doucet; rapport du secrétaire-trésorier, Luc Gaudet;
choix du vérificateur; rapport du Fonds de bourses Clément-Cormier; élection du conseil
d’administration; et affaire nouvelle (amendement aux Statuts et règlements :
proposition du changement de nom de l’AAAUM).
Renseignements : AAAUM, au 858-4130.
| Kaitlyn Gallaway et Adrien Lemay sont les athlètes de la semaine
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Kaitlyn Gallaway et Adrien Lemay sont les athlètes de la semaine Le Service de l’activité physique et sportive du campus de Moncton a choisi la joueuse
de centre Kaitlyn Gallaway, de Stratford à l’Île-du-Prince-Édouard, et le gardien de
but Adrien Lemay, de Moncton, comme athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed pour
la période du 12 au 18 novembre à l’Université de Moncton.
Kaitlyn Gallaway a marqué le but égalisateur et le gagnant dimanche dans une victoire de
3 à 2 des Aigles Bleues au hockey sur les Huskies de Saint Mary’s University. Elle a
obtenu l’unique filet des siennes samedi dans une défaite de 4 à 1 aux dépens des
X-Women de St. Francis Xavier University. Son travail, même si elle souffrait d’un
rhume, a été exemplaire pour ses coéquipières. Elle est étudiante au baccalauréat
ès arts multidisciplinaire.
Le gardien Adrien Lemay au hockey a certes aidé son équipe à obtenir trois de quatre
points en fin de semaine. Il a fait face à 38 lancers lors d’un revers en prolongation
contre les X-Men de St. Francis Xavier University samedi à Antigonish. Vendredi, les
Huskies de Saint Mary’s University l’ont bombardé de 51 lancers; il a néanmoins
permis à son équipe d’effacer un déficit d’un but pour remporter une victoire de 3
à 2. Il a donc reçu 89 lancers en deux rencontres. Il est étudiant en kinésiologie.
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Article de journal : L’Évangéline, 28 juillet 1969, p. 2
Toile : Toile réalisée par l’artiste Claude Picard et située à l’entrée principale du pavillon Léopold-Taillon.
Livre : L’une des publications les plus connues du frère Taillon, c.s.c.
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Un pionnier de la présence universitaire à Moncton
On s’y rend pour aller à la banque, à la cafétéria, à la Librairie acadienne, aux Sciences sociales, à l’École de psychologie ou encore pour avoir accès à l’un des nombreux services universitaires qui s’y trouvent. Désigné communément sous le nom de Taillon, le pavillon Léopold-Taillon commémore la mémoire d’un des pionniers de l’Université. Il s’agit du frère Léopold Taillon de la communauté des Frères de Sainte-Croix. Né en 1895, ce Canadien français fut professeur à l’Université Saint-Joseph de Memramcook et, par la suite, à la nouvelle Université de Moncton. Il fut à l’origine de la création de nombreux cours et structures universitaires, notamment les cours d’été. Pédagogue reconnu, il fut l’auteur de plusieurs articles et livres liés au monde des langues et du bilinguisme, l’un de ses domaines de spécialisation. Quelques mois avant son décès survenu le 13 novembre 1969, la direction de l’Université désigna l’ancien édifice du Bon-Pasteur (le pavillon Léopold-Taillon avait été à l’origine un couvent dirigé par les sœurs du Bon-Pasteur) sous le nom de pavillon Léopold-Taillon.
Institut d’études acadiennes
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