Le 48e banquet annuel de la Faculté d’administration a eu lieu le samedi 21 janvier à l’hôtel Delta Beauséjour de Moncton, sous le thème « Croire en soi pour réussir ». Près de 500 étudiantes et étudiants, membres du corps professoral de la Faculté et gens d’affaires de la région étaient également de la soirée qui s’est déroulée en présence du recteur et vice-chancelier, Raymond Théberge, et du premier ministre du Nouveau-Brunswick, Brian Gallant.

Au cours du banquet, M. Gallant a reçu le titre de l’ancien de l’année, tandis qu’Andrée Savoie, PDG de la compagnie Propriétés Adelin, était la conférencière invitée.

La soirée a également permis de remettre des prix de mérite aux étudiantes et étudiants qui se sont illustrés au cours de l’année.

Suite à l’entente bilatérale sur le financement des soins de santé entre le Nouveau-Brunswick et Ottawa, la ministre de la Santé du Canada, l’honorable Jane Philpott, était en tournée à Moncton le 19 janvier pour une consultation auprès d’une vingtaine de personnes.

Le but de cette table ronde était de faire connaître les améliorations possibles pour réduire le nombre de personnes âgées dans les lits d’hôpitaux et de faire valoir la province comme un lieu d’innovation relié au vieillissement.

À cette occasion, la professeure Suzanne Dupuis-Blanchard, titulaire de la Chaire de recherche en santé CNFS sur le vieillissement des populations, a présenté les résultats de ses recherches dans le domaine et a proposé un projet prototype dans la région.

L’honorable Ginette Petitpas Taylor, députée fédérale de la circonscription Moncton-Riverview-Dieppe, l'honorable Victor Boudreau, ministre de la Santé du Nouveau-Brunswick et l'honorable Lisa Harris, ministre des Aînés et des Soins de longue durée, étaient également présents.

La communauté universitaire est invitée au lancement de l’ouvrage Langue et légitimation : la construction discursive du locuteur francophone, une publication dirigée par Laurence Arrighi et Annette Boudreau du Département d’études françaises de l’Université de Moncton. Le lancement aura lieu le 2 février à 16 h 30 à la Librairie acadienne, située dans le pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.

Dans cet ouvrage, publié en décembre 2016 aux Presses de l’Université Laval, les contributrices et contributeurs, soit Ozouf Sénamin Amedegnato, Laurence Arrighi, Annette Boudreau, Cécile Canut, David Correia Saavedra, Alfonso Del Percio, Sylvie Dubois, Gilles Forlot, Olga Galatanu, Jean-Marie Klinkenberg, Fanny Martin, Salikoko S. Mufwene, Cristina Petras et Alexei Prikhodkine, proposent un éclairage inédit sur les rôles joués par les institutions, les discours et les idéologies dans la construction de ce que d’aucuns appellent « un francophone ».

Pour plus d’information, prière de communiquer avec Lise Landry par téléphone au (506) 858-4057 ou par courriel à l’adresse lise.landry@umoncton.ca.

Un concours de plan d’affaires, qui a comme objectif de reconnaître la qualité et le savoir-faire des étudiantes et étudiants dont les projets entrepreneuriaux sont porteurs d’avenir, s’est déroulé le 7 décembre dernier à la Faculté d’administration de l’Université de Moncton.

L’un des objectifs du cours Entrepreneuriat est d’amener les étudiantes et étudiants à identifier une occasion d’affaires, à la transformer en projet d’affaires et à rédiger un plan d’affaires qui doit être présenté de façon structurée et convaincante devant un jury.

Six équipes ont eu l’occasion de faire valoir leurs plans d’affaires auprès des expertes et experts issus de la communauté d’affaires du Nouveau-Brunswick.

Trois de ces équipes ont obtenu des bourses des institutions suivantes : Centre Pond Deshpande (500 $), Scieries Chaleur (350 $), Bureau de soutien à l’innovation (500 $), Centre de commercialisation internationale (500 $), Centre Assomption de recherche et de développement en entrepreneuriat (400 $), Chaire d’études Jeanne et J.-Louis-Lévesque en gestion financière (250 $) et le bureau du doyen de la Faculté d’administration (1000 $).

Les jeunes franco-manitobains auront désormais un meilleur accès aux études de droit. C’est le résultat d’une entente tripartite ratifiée, le 18 janvier dernier, entre l’Université de Saint Boniface, la Faculté de droit de l’Université de Moncton et la Société franco manitobaine.

De par cette entente, la Faculté de droit de l’Université de Moncton s’engage à admettre chaque année au moins cinq étudiantes ou étudiants ayant obtenu un diplôme de premier cycle à l’Université de Saint-Boniface et répondant aux exigences de base d’admission à son programme de Juris Doctor.

Cette entente est un bel exemple de coopération entre deux communautés francophones du Canada.

« Toutes les parties sont gagnantes au sein de ce protocole, croit le doyen de la Faculté de droit de l’Université de Moncton, Fernand de Varennes. La mission de notre Faculté a toujours été, depuis sa création, de répondre aux besoins, de protéger les droits et de défendre les intérêts de nos communautés francophones hors Québec, en particulier ceux du Manitoba. Notre programme de common law en français offre une formation de qualité permettant de pouvoir maîtriser et de pratiquer le droit dans les deux langues officielles. »

Les trois partenaires s’engagent également à explorer des modalités pour financer la création de bourses visant spécifiquement les étudiantes et étudiants francophones du Manitoba admis dans le cadre de cette entente, et ce dans le but d’encourager des stages et des cléricatures au Manitoba.

Le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact (GRICC) de la Faculté des arts et des sciences sociales présente une conférence du post doctorant à l’Institut d’études acadiennes, Mathieu Wade, le vendredi 27 janvier de 13 h 30 à 15 h dans le local 176 de la Bibliothèque Champlain au campus de Moncton. La conférence a pour titre « L’aménagement du territoire en Acadie : acteurs et indicateurs d’un lieu de pouvoir impensé ».

Résumé

L’idée d’un pouvoir francophone hors Québec est indissociablement liée au régime linguistique. Celui-ci structure non seulement les formes d’organisation et d’action collectives des francophones en tant que groupe distinct, mais il balise le discours nationaliste des élites et structure la production des savoirs. Les concepts les plus couramment mobilisés par les chercheurs travaillant dans le champ de la francophonie canadienne sont en même temps ceux du régime et du milieu associatif : vitalité, complétude institutionnelle, gouvernance communautaire et espace francophone. L’efficacité de ces concepts pour faire agir l’État dans certains domaines – éducation, santé – n’est plus à démontrer; ils donnent accès à un certain pouvoir. Cependant, ils évacuent de leur horizon des pans entiers de l’expérience des communautés, notamment le territoire.

Le territoire figure comme impensé majeur des sciences sociales, qui tendent à limiter leur analyse territoriale à sa seule dimension démolinguistique, à l’inscription des communautés francophones dans un contexte plus large. De ce fait, on écarte les questions de savoir qui gouverne, avec quels dispositifs et quels indicateurs. Cette évacuation du territoire comme construction sociale et politique est due à l’effet structurant et hégémonique du régime linguistique sur les représentations identitaires des Acadiens.

La communication proposera une critique du régime linguistique et de son rapport au territoire ainsi que les résultats préliminaires d’une recherche en cours sur l’aménagement du territoire acadien.

Offerte à distance par le Consortium national de formation en santé (CNFS) – Volet Université d’Ottawa, une conférence nationale sur la santé mentale sera diffusée au Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick, au campus de Moncton, le jeudi 23 février 2017.

Ayant pour thème « Puiser à même ses racines », l’activité d’une journée sera diffusée par vidéoconférence dans l’amphithéâtre B206 du pavillon J.-Raymond-Frenette.

Les frais d’inscription sont de 20 $ pour les étudiantes et les étudiants et de 35 $ pour les autres participantes et participants.

L’activité s’adresse aux professionnelles, professionnels, étudiantes, étudiants et gestionnaires des domaines de la santé et de l’éducation.

Pour plus de renseignements et pour vous inscrire, prière de visiter l’adresse http://www.cnfs.ca/puiser-a-meme-racines.

Dans le cadre de son Programme d’excellence professionnelle (PEP), le Consortium national de formation en santé (CNFS) - Volet Université d’Ottawa présente, en partenariat avec le CNFS - Volet Université de Moncton, une série de conférences qui sont retransmises par vidéo, en direct de l’Hôpital Montfort, à Ottawa.

Ces conférences se veulent une activité de formation continue multidisciplinaire destinée aux professionnelles et professionnels de la santé.

La première conférence de la programmation Hiver 2017 aura lieu le mardi 31 janvier 2017 de 13 h à 14 h au local A231 du pavillon Jeanne-de-Valois du campus de Moncton. La conférence intitulée « La participation des patients dans la conception de technologies de télésanté : un projet de télésurveillance de patients cardiaques » sera présentée par Mme Sylvie Grosjean, professeure agrégée au Département de communication à l’Université d’Ottawa.

Dans cette présentation, l’objectif est de proposer dans un premier temps une réflexion autour des notions de patient partenaire (Patient Engagement) et de savoirs du patient (Knowledge Patient) dans la conception de technologies de télésanté. À partir d’une revue systématique de la littérature, on verra que l’approche du patient partenaire, qui est pourtant au coeur du processus d’innovation en santé (télésanté), reste un oubli majeur dans les modèles de conception mobilisés actuellement. Ensuite, dans un second temps, on montrera en quoi une méthodologie sur le design participatif permet de créer les conditions de l’engagement des patients et de l’émergence d’un savoir expérientiel rendu communicable et partageable. Pour illustrer notre propos, on présentera la méthode d’intervention proposée dans le cadre de la conception d’un dispositif de télésurveillance de patients cardiaques. On soulignera en quoi le dispositif méthodologique mis en œuvre fait du patient un véritable acteur de l’innovation en télésanté.

Cette conférence sera aussi disponible en diffusion Web-conférence (streaming).

Pour s’inscrire à la conférence (en présentiel ou en mode Web-conférence) ou pour obtenir plus de renseignements, prière de communiquer avec Yvette Cormier ou Rachelle Lanteigne au CNFS - Volet Université de Moncton : cnfs@umoncton.ca / (506) 858-4655. Les places sont limitées.

Veuillez noter que si nous n’avons pas un nombre suffisant de participantes et participants confirmés deux jours avant l’événement, la conférence ne sera malheureusement pas diffusée. Les personnes intéressées seront invitées à se brancher par Web-conférence.

La programmation complète est disponible à l’adresse www.mavieestensante.ca.

Des représentants des facultés de droit, d’ingénierie et d’administration de l’Université de Moncton ont participé, le 11 janvier dernier, au lancement du « Labo des jeunes \ Lab of Youth », qui s’est déroulé à la Bibliothèque publique de Dieppe.

Un peu plus d’une vingtaine de participantes et participants étaient présents à cette première activité, qui consistait en deux séances de travail de laboratoire informatique d’une heure chacune avec un groupe de 8 à 12 ans et un autre de participantes et participants âgés entre 13 à 18 ans.

Dans son discours d’ouverture, Patricia Arsenault, représentante de la Ville de Dieppe, a salué cette initiative de bénévoles de l’Université de Moncton, qui offre un cadre d’épanouissement aux jeunes.

Fernand de Varennes, doyen de la Faculté de droit de l’Université de Moncton, a souligné que le « Labo des jeunes \ Lab of Youth » contribue à un changement social positif auquel sa faculté est heureuse de s’associer.

Gilles Roy, doyen de la Faculté d’ingénierie, a quant à lui rappelé l’engagement de sa faculté envers le « Labo des jeunes \ Lab of Youth » puisque l’une des missions de la Faculté d’ingénierie est la sensibilisation des technologies auprès des jeunes (surtout chez les jeunes filles).

« Labo des jeunes \ Lab of Youth » est une organisation à but non lucratif dont l’objectif est d'exposer les jeunes et jeunes adultes aux défis technologiques et entrepreneuriaux de l'heure afin de réduire le décrochage scolaire et de préparer les jeunes à relever les défis de l’avenir.

Pour plus d'information, prière de communiquer avec Jules César, membre du conseil d'administration du « Labo des jeunes\ Lab of Youth », par téléphone au (902) 210-5441 ou par courriel à l’adresse eck4100@umoncton.ca.

L’Association des collèges et universités de la francophonie canadienne (ACUFC), en collaboration avec les collèges et universités membres de son réseau, est heureuse d’annoncer que la campagne de promotion du Programme de bourses de mobilité étudiante interprovinciale est débutée.

Les bourses de mobilité étudiante interprovinciale s’adressent à toutes les étudiantes et à tous les étudiants canadiens ou résidents permanents qui fréquentent un collège ou une université francophone ou bilingue des communautés francophones minoritaires au Canada.

Une entente entre les universités et collèges participants permet à l’étudiante ou à l’étudiant de recevoir une bourse de 5000 $ afin de couvrir ses frais de déplacement et de subsistance, tout en allant poursuivre ses études dans l’une des universités partenaires francophones dans une autre province du Canada.

La bourse est destinée à faire la promotion de la francophonie et à encourager la découverte de ses différentes formes d’expression. La mobilité et l’ouverture à d’autres cultures régionales contribuent à la valeur ajoutée du programme.

Le programme permet aussi le développement de liens et les échanges entre les établissements de langue française et assure un plus grand rayonnement de leurs programmes et de leur singularité.

La date limite pour faire une demande est le 14 février 2017. Il est recommandé de procéder assez tôt afin de pouvoir faire analyser son dossier par l’université d’accueil avant cette date.

Pour des informations supplémentaires sur le programme et pour poser votre candidature, vous pouvez consulter le site de l’AUFC ( www.aufc.ca) ou l’adresse www.umoncton.ca/smi/boursesaufc.

Pour plus d’information, prière de communiquer avec Lucille Landry, responsable du Service de mobilité internationale, par téléphone au (506) 858-4413 ou par courriel à l’adresse smi@umoncton.ca.

Le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) accordera près de 15 bourses de recherche de premier cycle pour l’été 2017 aux étudiantes et étudiants de l’Université de Moncton.

Pour poser leur candidature à ces bourses de recherche, les étudiantes et étudiants de premier cycle désirant travailler en recherche fondamentale au cours de l’été doivent compléter les deux parties du formulaire 202 du CRSNG en ligne avant le 3 mars 2017 à 16 h à l’adresse
http://www.nserc-crsng.gc.ca/Students-Etudiants/UG-PC/USRA-BRPC_fra.asp

Le concours s’adresse à toutes les étudiantes et tous les étudiants inscrits à un diplôme de premier cycle qui ne touche pas le domaine de la santé. Vous pouvez étudier, par exemple, en musique et faire un stage de recherche en mathématiques (de la musique) avec une chercheuse ou un chercheur de l’Université. Cette bourse vous permettra de travailler durant l’été auprès d’une chercheuse ou d’un chercheur en sciences naturelles et génie. Le CRSNG vous offrira 4500 $, qui seront bonifiés par votre superviseur à l’aide d’un montant égal au moins au quart de cette somme.

Pour obtenir la bourse, les étudiantes et étudiants doivent avoir un superviseur reconnu par le CRSNG et une moyenne cumulative d’au moins B.

Dans le cas où votre relevé de notes proviendrait d’une autre institution que l’Université de Moncton, vous devrez faire votre demande de relevé de notes à cet établissement plusieurs semaines à l’avance.

Pour plus d’information, prière de communiquer avec Pierre Cormier, agent de liaison du CRSNG à l’Université de Moncton, par téléphone au (506) 858-4516 ou par courriel à l’adresse Pierre.Cormier@Umoncton.ca.

La Librairie acadienne de l’Université de Moncton est heureuse de vous faire part de ses nouvelles heures d’ouverture, en vigueur depuis le 9 janvier.

Située au rez-de-chaussée du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton, la Librairie acadienne est maintenant ouverte de 8 h 30 à 17 h le lundi, mardi et vendredi; de 8 h 30 à 19 h le mercredi et jeudi; et de 11 h à 17 h le samedi.

En plus d’offrir des manuels scolaires pour les cours enseignés à l’Université de Moncton, la librairie propose une excellente sélection de livres acadiens, jeunesse et généraux ainsi qu’une gamme d’ouvrages spécialisés. Vous y trouverez également des disques compacts, des DVD, un large éventail de marchandise à l’effigie de l’Université, des articles de papeterie et un tout nouveau coin dépanneur.

La Galerie d’art Louise-et-Reuben-Cohen présente l’exposition Richard Ibghy & Marilou Lemmens. La vie mise au travail, en partenariat avec la Owens Art Gallery de l’Université Mount Allison. Cette exposition regroupe des projets performatifs, des sculptures, de la vidéo et des installations produits depuis 2009, réunis par la commissaire Véronique Leblanc.

La pratique artistique de Richard Ibghy et Marilou Lemmens questionne les manières dont les sciences économiques et les théories du « management » représentent le monde. Selon une approche à la fois conceptuelle et pragmatique, ancrée dans une démarche de recherche et misant sur le détournement d’éléments de l’expérience ordinaire, le duo cherche à dévoiler et à désactiver l’influence de l’idéologie néolibérale sur les aspects les plus intimes de nos vies.

Le vernissage et une présentation de la commissaire Véronique Leblanc auront lieu le vendredi 27 janvier à 17 h suivis d’un vernissage à la Owens Art Gallery à 19 h. L’exposition sera présentée jusqu’au 26 mars 2017.

L’ensemble des activités liées à l’exposition sont gratuites et ouvertes au public.

Cette exposition a été produite par la Galerie Leonard & Bina Ellen de l’Université Concordia avec l’appui du Conseil des arts du Canada.

Pour plus d’information, prière de communiquer avec Nisk Imbeault, directrice-conservatrice, par téléphone au (506) 858-4687 ou par courriel à l’adresse nisk.imbeault@umoncton.ca.

Le Comité mieux-être universitaire (CMU) encourage les membres de la communauté universitaire à participer aux diverses activités récréatives et de sensibilisation offertes gratuitement à chaque semaine au campus de Moncton.

Les membres de la communauté universitaire sont invités à participer au patinage familial gratuit tous les samedis, de 11 h 30 à 12 h 30, à l’aréna J.-Louis-Lévesque.

De plus, l’entrée est libre au Ceps Louis-J.-Robichaud pour le personnel et leurs enfants âgés de 15 ans et moins, tous les dimanches, de 10 h à 11 h. Par ailleurs, la salle de musculation est réservée aux femmes tous les mercredis et vendredis, de 15 h à 16 h.

Pour en connaître davantage au sujet des activités du Comité mieux-être universitaire, visitez la page Facebook https://www.facebook.com/groups/CMUUDEM/.

Le Musée acadien de l’Université de Moncton présente « Frontières contestées & Familles retrouvées », une exposition itinérante à caractère historique et ethnologique conçue à partir des collections et des archives du Musée historique du Madawaska ainsi que d’archives et de cartes géographiques provenant notamment des Archives provinciales du Nouveau-Brunswick. Un vernissage aura lieu le vendredi 27 janvier à 17 h au Musée acadien de l’Université de Moncton.

La tenue, en août 2014, du 5e Congrès mondial acadien constitua une occasion privilégiée de se pencher sur les surprenants liens historiques et géographiques unissant les communautés participantes de cinq comtés voisins du Nouveau-Brunswick, du Maine et du Québec.

Qu’est-ce que l’Acadie des terres et forêts? Comment s’est constituée cette région unique, maintenant fracturée par une frontière internationale et une frontière interprovinciale?

L’exposition « Frontières contestées & Familles retrouvées », qui sera en montre au Musée acadien de l’Université de Moncton jusqu’au 19 mars 2017, jette un regard nouveau sur ces questions en mettant en valeur des documents d’archives particulièrement intéressants, mais peu connus jusqu’à maintenant. Par exemple, le visiteur verra tout un atlas de cartes cadastrales anciennes, géoréférencées et projetées sur une carte moderne. Les amateurs de généalogie trouveront des données sur les individus et les familles, rendues accessibles par la retranscription, la numérisation et la traduction d’informations inédites.

Un numéro spécial de la Revue de la Société historique du Madawaska (2014), qui lui est entièrement consacré, constitue aussi le catalogue de cette exposition. Quatre personnes sont les principaux artisans de la recherche et de la réalisation de ce numéro de la revue, soit Adrien Bérubé, géographe; Benoît Bérubé, historien; Allen Doiron, archiviste francophone aux Archives provinciales du Nouveau-Brunswick; et Christian Michaud, directeur du Musée historique du Madawaska.

Pour plus d’information, prière de joindre le Musée acadien de l’Université de Moncton par téléphone au (506) 858-4088 ou par courriel à l’adresse maum@umoncton.ca.

Patrice Nicolas, professeur au Département de musique de l’Université de Moncton, prononcera une conférence intitulée « Musique et musiciens en Acadies, XVIIe-XIXe siècles : un premier état de la recherche », le mercredi 1er février à midi dans la salle Neil-Michaud située au pavillon des Beaux-arts du campus de Moncton.

Le projet Musique et musiciens en Acadies, xviie–xixe siècles entend rendre compte de l’activité musicale en Acadies. Plus précisément, l’étude porte sur la musique « savante » de tradition européenne et sa passation en Acadies par le biais de musiciens professionnels venus d’Europe, qu’il s’agisse de laïcs ou de missionnaires catholiques et protestants. Il s’agit notamment de voir comment des pratiques acquises et bien établies, comme les services religieux rehaussés de polyphonies et les salons musicaux, se sont perpétuées loin des milieux où elles se sont développées (églises cathédrales et collégiales, chapelles princières, résidences nobiliaires), et comment, le cas échéant, elles ont été adaptées à un nouveau contexte sociogéographique. Parallèlement, il s’agit également d’étudier la réception de ces pratiques et des répertoires musicaux associés tout en en mesurant le décalage temporel. Dans ce cadre, deux grands axes de recherches sont privilégiés.

Le premier entend pallier la méconnaissance presque générale des musiciens professionnels actifs en Acadies, dont les quelques noms publiés dans des travaux épars sont, pour la plupart, cruellement absents des ouvrages musicologiques de références (Encyclopédie de la musique au Canada, New Grove Dictionary of Music and Musicians, et Die Musik in Geschichte und Gegenwart), sans compter les nombreux « anonymes » complètement passés sous silence. Ce volet donnera lieu à une base de données prosopographique des musiciens enrichie de cartes géographiques interactives qui montreront leurs pérégrinations.

Le second est né du constat de l’absence quasi totale de dimension musicale dans les expositions muséales et autres manifestations de ce genre dédiées à l’art en Acadies. Il s’inspire des panoramas du xixe siècle, c’est-à-dire de ces « peintures développées circulairement sur le mur intérieur d’une rotonde et donnant l’illusion de la réalité par des effets de perspective et de trompe-l’œil ». Il s’agira ici de reconstituer, à l’aide des descriptions conservées dans les documents d’archives, de petits moments musicaux ayant pris place en Acadies ou durant la traversée y menant, notamment par la modélisation en trois dimensions.

À l’intérieur d’une structure immersive médiatisée conçue spécialement à cet effet, les spectateurs pourront ainsi remonter le temps et se retrouver, par exemple, en 1699 sur le pont du Royalle-Paix où les musiciens faisant le voyage transatlantique divertissent Dièreville et les autres membres de l’équipage en interprétant des airs d’opéra avec clavecin, luth, hautbois et viole de gambe.

Le projet Musique et musiciens en Acadies, xviie–xixe siècles comporte donc non seulement une dimension musicologique mais aussi patrimoniale, touristique et éducative.

Pour plus d’information, prière de communiquer avec le professeur Nicolas par téléphone au (506) 858-4042.

Les joueurs de hockey Katherine Dubuc, de Victoriaville, au Québec, et Pierre Durepos, de Shediac, sont les athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed pour la période du 16 au 22 janvier 2017 à l'Université de Moncton.

L’attaquante Katherine Dubuc a récolté une passe dans la défaite de 2 à 1 de son équipe, ce qui a réduit l’avance des Panthers de moitié en troisième période. Elle a réussi quatre lancers avec une fiche de +1. Elle a remporté 6 des 11 mises au jeu. Elle est étudiante au Baccalauréat en éducation physique (éducation).

Le défenseur Pierre Durepos a connu deux bons matchs dans les deux revers des siens au cours de la semaine. Il a marqué deux buts en avantage numérique mercredi contre les Tigers. Il a pris 4 lancers avec une fiche de +1. Il est étudiant au Baccalauréat en administration des affaires (finances).