Voici les archives de l’Hebdo-Campus du 16 avril 2009 au 20 septembre 2018
L’Université de Moncton connaît une forte croissance en revenus de recherche
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L’Université de Moncton connaît une forte croissance en revenus de recherche L’Université de Moncton se classe au deuxième rang parmi les universités canadiennes
de premier cycle et prend la troisième place au pays, toutes catégories confondues, en
ce qui a trait à la croissance des revenus de recherche selon RE$EARCH Infosource Inc.
RE$EARCH Infosource Inc. rapporte que la croissance du financement pour la recherche à
l’Université de Moncton est de l’ordre de 19,6 %, passant ainsi de 10,08 millions $
en 2015, à 12,06 millions $ en 2016. Elle a également réussi à se tailler une place
parmi les cinquante meilleures universités de recherche au pays en se classant
43e, comparativement à l’année dernière où elle s’était classée au
44e rang.
« Ces résultats nous rendent évidemment très fiers, a déclaré le recteur et
vice-chancelier, Raymond Théberge. La recherche est une priorité de notre plan
stratégique. Les recherches menées par les chercheuses et chercheurs de notre
université — qu’elles soient fondamentales, appliquées ou autres — ont le
potentiel d’enrichir toutes les facettes de notre vie. »
« Il va sans dire que c’est un réel plaisir que de voir cette forte croissance des
revenus de recherche à l’Université de Moncton, souligne Francis LeBlanc, vice-recteur
adjoint à la recherche et doyen de la Faculté des études supérieures et de la
recherche (FESR). Notre université a la chance de compter parmi son personnel des
chercheuses et des chercheurs exceptionnels qui travaillent d’arrache-pied pour voir
leurs recherches porter fruit. L’appui offert à nos chercheuses et à nos chercheurs
par la FESR et le Bureau de soutien à l’innovation a aussi certainement eu un effet
bénéfique. Il est donc logique que tous ces efforts déployés soient reconnus. »
De tout temps, les universités ont été les principaux foyers de production
scientifique. Les travaux que mènent les chercheuses et les chercheurs universitaires
sont à l’origine de très nombreuses innovations dont les bienfaits se font sentir au
quotidien. À l’Université de Moncton, de plus en plus de partenariats sont conclus
avec des entreprises et des organismes sans but lucratif, permettant ainsi une liaison
entre les découvertes et leur mise en marché, le cas échéant. Cet effet
d’entraînement permet à l’ensemble de la communauté de profiter de connaissances de
pointe, de nouveaux produits et de nouvelles technologies.
Au cours des prochaines années, l’Université souhaite continuer à réaliser de tels
succès et à voir sa productivité en matière de recherche s’accroître.
| L’Université de Moncton bénéficie grandement du Fonds de soutien à la recherche
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L’Université de Moncton bénéficie grandement du Fonds de soutien à la recherche Accordé annuellement par le gouvernement du Canada aux établissements d’enseignement
postsecondaire canadiens, le Fonds de soutien à la recherche (FSR) permet à
l’Université de Moncton de maintenir un milieu de recherche concurrentiel et de calibre
mondial. Pour l’année universitaire 2017-2018, elle recevra une subvention de 996 715 $
par l’entremise du Fonds.
La subvention annuelle du FSR aide l’Université de Moncton à assumer une partie des
frais administratifs centraux et départementaux associés aux travaux de recherche
financés par le gouvernement fédéral. La valeur de la subvention annuelle est fondée
sur le financement accordé aux chercheuses et chercheurs de l’Université de Moncton
par les trois organismes subventionnaires fédéraux, soit les Instituts de recherche en
santé du Canada, le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie et le
Conseil de recherches en sciences humaines, au cours des trois exercices financiers
précédents.
Un éventail de coûts peuvent être couverts par le FSR, dont les salaires versés au
personnel ou aux étudiantes et étudiants qui assurent le soutien administratif aux
chercheuses et chercheurs et à leurs projets ; les coûts de formation en santé et
sécurité au travail ; les coûts liés à l’entretien des bibliothèques et des
laboratoires ; les coûts associés au respect des normes réglementaires et éthiques ;
ainsi que les coûts administratifs liés à l’obtention d’un brevet pour une
invention.
Le FSR permet à l'Université de Moncton d’investir les fonds de sa subvention dans
cinq catégories, soit les installations de recherche, les ressources en matière de
recherche, la gestion et l’administration des activités de recherche, les exigences
réglementaires et les normes d'agrément, ainsi que la propriété intellectuelle et la
mobilisation des connaissances.
Pour l’année universitaire 2017-2018, les fonds seront utilisés pour l’entretien et
le fonctionnement des installations de recherche ; l’abonnement aux périodiques et aux
bases de données des bibliothèques ; le soutien à l’obtention de fonds de recherche
et à l'administration des subventions ; le fonctionnement des comités d’approbation
éthique, le soutien technique pour le soin des animaux ainsi que la santé et la
sécurité dans les espaces de recherche ; et pour le soutien à l’innovation et à la
valorisation des résultats de recherche.
Le FSR a été mis sur pied en 2003 dans le cadre de la stratégie du gouvernement
fédéral visant à faire du Canada l’un des meilleurs pays au chapitre de la recherche
et du développement. Il vise à aider les établissements d’enseignement postsecondaire
ainsi que les hôpitaux et instituts de recherche qui leur sont affiliés à couvrir les
dépenses engagées dans la gestion des travaux de recherche financés par les trois
organismes subventionnaires fédéraux.
| Cocktail facultaire de la FSSSC dans le cadre du Rendez-vous de L’alUMni
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Normand Gionet, ancien doyen (2001-2006) ; Sylvie Robichaud-Ekstrand, vice-doyenne ; Natalie Carrier, doyenne ; et Paul-Émile Bourque, ancien doyen (2007-2017).
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Cocktail facultaire de la FSSSC dans le cadre du Rendez-vous de L’alUMni Plus de 80 diplômées et diplômés, professeures et professeurs retraités, anciens
doyens, ainsi que des membres du personnel actuel et du conseil étudiants de la Faculté
des sciences de la santé et des services communautaires (FSSSC) ont participé au
1er Cocktail facultaire de la FSSSC le vendredi 20 octobre.
La doyenne, Natalie Carrier, remercie les participantes et participants ainsi que les
organisatrices qui ont fait de cette soirée un réel succès. Mme Carrier a également
souligné ses prédécesseurs, Normand Gionet et Paul-Émile Bourque, pour leur travail
acharné pendant leur mandat de doyen à la FSSSC.
Cette soirée de retrouvailles, organisée dans le cadre du Rendez-vous de L’alUMni
2017, a permis aux participantes et participants d’échanger et de faire une visite
guidée des laboratoires de simulation en science infirmière au pavillon
Jacqueline-Bouchard, ainsi que des laboratoires de nutrition et d’alimentation au Centre
des technologies et des sciences de la santé.
Cette activité a été une l’occasion parfaite pour la FSSSC de maintenir ses liens
avec ses diplômées et diplômés et d’exprimer sa gratitude aux retraitées et
retraités de la Faculté pour leur contribution à la formation en santé.
| L’Université de Moncton représentée à la Table ronde des experts maritimes
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, l’honorable Catherine McKenna, ministre de l’Environnement et du Changement climatique ; Omer Chouinard, professeur au programme de maîtrise en études de l'environnement ; et l'honorable Dominic LeBlanc, ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne. |
L’Université de Moncton représentée à la Table ronde des experts maritimes L’Université de Moncton était représentée à la Table ronde des experts maritimes,
organisée par le ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne,
l’honorable Dominic LeBlanc, et la ministre de l’Environnement et du Changement
climatique, l’honorable Catherine McKenna. L’événement a eu lieu à Victoria, en
Colombie-Britannique, le samedi 28 octobre dans le brise-glace Polar Prince.
À l’occasion du 150e de la Confédération canadienne, le professeur Omer
Chouinard de l’Université de Moncton a été invité à participer à la Table ronde
des experts maritimes intitulée Un océan de possibilités : établir un programme
d’action pour les océans canadiens. Le professeur Chouinard, engagé dans l’axe
environnement et dans le programme interdisciplinaire de la maîtrise en études de
l’environnement, a souligné que l’Université de Moncton est reconnue dans
l’établissement de partenariats de recherche et d’intervention avec les
collectivités locales.
De tels partenariats se réalisent notamment dans le territoire maritime du Golfe du
Saint-Laurent et de l’Océan atlantique ou dans le territoire Arctique, en vue de
favoriser les innovations scientifiques et sociales à l’échelle locale, régionale ou
nationale.
Durant la Table ronde, le besoin de décentralisation des politiques et de consultations
des communautés a été mis de l’avant, en particulier dans l’établissement des
aires marines protégées. Le professeur Chouinard en a profité pour mettre en valeur les
récents travaux des étudiantes et étudiants de la maîtrise en études de
l’environnement réalisés dans le cadre d’un cours offert par Marie-Andrée Giroux,
titulaire de la Chaire K.-C.-Irving en sciences de l’environnement et développement
durable. Les recommandations ont été formulées par ces étudiantes et étudiants afin
de mitiger les effets des changements climatiques au Nouveau-Brunswick et au Canada. Ces
recommandations ont été transmises aux ministres, qui les ont acceptées avec grand
intérêt.
| Table ronde intitulée Les connaissances du marché, le marketing et les ventes
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, dans la rangée supérieure, Vincent-Luc Brouillard, agent de projets au CARDE ; Luc Jalbert, copropriétaire et fondateur de Prelam Enterprises Ltd. et entrepreneur en résidence au CARDE ; Mélanie Horseman, étudiante en 4e année au BAA, concentration en marketing ; Pauline Roy, directrice du CARDE ; Isabelle Brun, professeure de marketing à la Faculté d'administration et responsable du Laboratoire des médias sociaux ; Vivi Koffi, professeure du cours d'entrepreneuriat et directrice du Département d'administration de la Faculté d'administration ; Alexis Thériault, étudiant en 3e année au BAA, concentration en management ; Michelyne Paulin, consultante principale chez Paulin Business Services Inc. et entrepreneure en résidence au CARDE ; et Oum-Habiba Madjouma Karamoko, étudiante en 4e année au BAA, concentration en marketing. À l'avant, on aperçoit le conférencier Mario Thériault, propriétaire et PDG de l'entreprise ShiftCentral, et Nadine Duguay-Lemay, directrice marketing régional à la Banque Nationale. |
Table ronde intitulée Les connaissances du marché, le marketing et les ventes Le 4 octobre dernier a eu lieu une table ronde intitulée Les connaissances du marché,
le marketing et les ventes. La conférencière et le conférencier étaient Nadine
Duguay-Lemay, directrice marketing régional à la Banque Nationale, et Mario Thériault,
propriétaire et PDG de l’entreprise ShiftCentral.
Mme Duguay-Lemay et M. Thériault ont souligné l’importance d’être compétitif dans
un marché global, d’être en contact constant avec les clientes et clients, d’être
bien informé des tendances courantes et futures. Ayant présenté devant un auditoire
composé majoritairement d’étudiantes et étudiants, ils ont aussi parlé des qualités
recherchées chez les nouvelles diplômées et les nouveaux diplômés dans leurs
organisations respectives. Dans l’ensemble, ils recherchent des qualités
entrepreneuriales comme la créativité, l’engagement et le savoir-faire.
Cette table ronde a été organisée par le Centre Assomption de recherche et de
développement en entrepreneuriat (CARDE), en partenariat avec Laboratoire des médias
sociaux de la Faculté d’administration, le cours ADMN 2220 — Entrepreneuriat de Vivi
Koffi ainsi que le cours ADMK 3368 — Commerce de détail d’Isabelle Brun.
Le CARDE cherche à appuyer le développement de l’entrepreneuriat au Nouveau-Brunswick
auprès des gens d’affaires et dans les trois campus de l’Université de Moncton,
ainsi qu’à assurer la diffusion des connaissances. Le CARDE assure un lien entre
l’Université de Moncton et la communauté d’affaires acadienne et francophone, plus
particulièrement dans le secteur des petites et moyennes entreprises.
Inauguré en avril 2014, le Laboratoire des médias sociaux de la Faculté
d’administration de l’Université de Moncton offre aux étudiantes et étudiants de
premier et de deuxième cycles la possibilité d’enrichir leur programme d’études en
leur apportant des connaissances et des habilités en matière de médias sociaux et
d’avancements technologiques.
| Causerie-midi du CRDE
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Causerie-midi du CRDE Le Centre de recherche et de développement en éducation (CRDE) invite la communauté
universitaire à sa prochaine causerie-midi intitulée Développer des compétences
numériques au service des compétences environnementales. L’événement aura lieu
le mercredi 22 novembre de 12 h à 13 h au local B-047 du pavillon Jeanne-de-Valois.
Michel T. Léger, professeur agrégé à la Faculté des sciences de l’éducation de
l’Université de Moncton fera la présentation.
Résumé de la causerie-midi
Les activités humaines, comme l’usage excessif d’électricité à la maison,
contribuent aux problèmes environnementaux de notre planète, notamment au changement
climatique. Or, intégrer des actions environnementales à ses routines de vie
représente, pour grand nombre d’entre nous, un défi quotidien difficile à surmonter
et une problématique écosociale des plus importants. Cette étude de cas multiples en
éducation relative à l’environnement vise à explorer l’adoption collective de modes
de vie plus écologiques au sein de la famille. Comment amener des familles à harmoniser
davantage leurs rapports avec l’environnement de sorte à adopter des modes de vie plus
écologiques ? La présente étude cherche à répondre à cette question en examinant
le rôle des réseaux sociaux comme Facebook dans la création d’une communauté de
pratique pouvant mener à l’atténuation du changement climatique. Il s’agit de
conjuguer compétences environnementales et compétences numériques. Plus précisément,
nous cherchons à savoir comment Facebook peut contribuer au développement d’une
écocitoyenneté familiale en permettant à des familles voulant vivre plus
écologiquement de s’entraider en tant que communauté de pratique. Nos résultats
préliminaires indiquent que plusieurs des familles de notre Réseau ClimaTIC ont su
réduire leur consommation mensuelle en électricité à la maison pendant la période
d’expérimentation.
| Création d’une oeuvre pour violon solo et électronique d’André Cormier
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Création d’une oeuvre pour violon solo et électronique d’André Cormier La violoniste Nadia Francavilla interprétera montagne flèche arbre oiseau, une
nouvelle œuvre du compositeur André Cormier, ce vendredi 10 novembre, à 19 h, à la
salle Neil-Michaud située au pavillon des Beaux-Arts du campus de Moncton.
La musique d’André Cormier a été présentée au Canada, aux États-Unis, en Europe et
en Nouvelle-Zélande. Il a composé des œuvres pour soliste, pour petites et grandes
formations de chambre, pour opéra et danse, et en collaboration avec des artistes
visuels. Il a reçu des commandes d’une variété d’artistes du Canada, des
États-Unis et de l’Europe.
En 2008, M. Cormier a lancé les Éditions
musique SISYPHE, une maison d’édition musicale spécialisée en musique
expérimentale, de laquelle il assure également la direction du volet interprétation
avec l’Ensemble Sisyphe. En 2011, après près de vingt ans sur la côte ouest partagée
entre la Colombie-Britannique et la Californie, le compositeur revient à l’est du
Canada, d’abord à Montréal, puis pendant l’été 2012, dans son Acadie natale.
Aujourd’hui, André Cormier maintient un horaire chargé avec la composition de
commandes et la présentation de ses œuvres, le tout dans le but de mieux comprendre ce
qui rend son et silence si irrésistibles.
L’oeuvre montagne flèche arbre oiseau pour violon solo et électronique explore
deux formes simultanément : longue et courte. Dans la forme longue, l’interprète joue
à partir d’une partition strictement écrite dans la durée de soixante minutes. Dans
cette partie, le violon au complet est exploré jusqu’aux marges de sa gamme, son
timbre, sa dynamique et sa technique. Comme avec la majorité des pièces d’André
Cormier, le silence joue un rôle clé en tant qu’élément musical fondamental. La
forme courte est une version condensée de la forme longue. Durant l’interprétation de
la violoniste, un ordinateur l’enregistre en segments de six minutes. Au bout de
soixante minutes, les dix segments de six minutes sont stratifiés les uns sur les autres
et diffusés simultanément par des haut-parleurs. On entend ainsi tout ce que la
violoniste vient de jouer au cours d’une heure en six minutes, mais dans un arrangement
très différent. Par une structure et à un plan de composition hautement stratégique,
montagne flèche arbre oiseau fait contracter le temps et reconfigure la perception
de tous les événements précédents.
L’entrée est libre.
| Exposition sur le Territoire dans le cadre du FICFA 2017
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Exposition sur le Territoire dans le cadre du FICFA 2017 La Galerie d’art Louise-et-Reuben-Cohen présente une exposition
intitulée Territoire (Land) dans le cadre du Volet arts médiatiques
du Festival international du cinéma francophone en Acadie 2017 (VAM/FICFA). Le
vernissage aura lieu dans la cadre des activités parallèles du FICFA, le
vendredi 17 novembre, de 16 h à 18 h, en présence des artistes.
Territoire (Land) est une exposition qui réfléchit au territoire
dans le contexte de l’histoire coloniale du Canada. Les artistes, Antoine
Amnotte-Dupuis (Montréal), Hannah Claus (Montréal/Tyendinaga) et Mariana Lafrance (Little Current)
proposent trois paraboles en images qui, mises en relation, suggèrent une
réflexion sur la notion de territoire et de souveraineté dans un contexte de
prise en compte de notre passé collectif.
L’environnement audiovisuel de l’oeuvre Agencements
d’Antoine Amnotte-Dupuis met en scène la majesté du paysage
boréal et subarctique de la Baie-James. Cet environnement typiquement
« canadien » nous incite à constater le sentiment
d’appartenance lié à cette nature et aux notions de territoire qui
s’y rattachent.
L’installation interlacings de Hannah Claus s’inspire d’un
tapis de William Morris, célèbre designer de textiles britannique. Dans une
ronde animée, l’artiste substitue les anneaux aux motifs fleuris du tapis par
des compositions de plantes comestibles indigènes au territoire de la Nation
autochtone Secwepemc.
Dans l’oeuvre de Mariana Lafrance, une tasse de thé en porcelaine dans un
paysage boisé fait l’objet d’une investigation et engendre des
réactions qui s’enchaînent. À boire sans soif est une
allégorie vidéo qui pose un questionnement sur le bagage ancestral du
colonialisme.
L’exposition est en montre jusqu’au 17 décembre 2017.
L’entrée est libre et ouverte à tous.
La Galerie d’art Louise-et-Reuben-Cohen de l’Université de Moncton
est appuyée par le ministère du Tourisme, du Patrimoine et de la Culture du
Nouveau-Brunswick.
Pour de plus amples renseignements, pour des images ou pour une entrevue, prière
de contacter Nisk Imbeault, directrice-conservatrice, en téléphonant au
(506) 858-4687 ou en lui envoyant un courriel à l’adresse nisk.imbeault@umoncton.ca.
Pour des informations générales, prière de contacter la Galerie
d’art Louise-et-Reuben-Cohen en téléphonant au (506) 858-4088, en
envoyant un courriel à l’adresse galrc@umoncton.ca ou en visitant le site Web.
| Vente de pâtisseries au profit de l’Arbre de l’espoir
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Vente de pâtisseries au profit de l’Arbre de l’espoir Il y aura une vente de pâtisseries au profit de l’Arbre de l’espoir le jeudi 23
novembre, de 10 h à 14 h 15, au Centre étudiant du campus de Moncton.
L’activité est organisée par le Centre de jour l’Éveil inc.
Toutes les pâtisseries seront à vendre au coût d’un dollar.
| Gabrielle Forget et Alexi Thibaudeau sont les athlètes de la semaine
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Gabrielle Forget et Alexi Thibaudeau sont les athlètes de la semaine Gabrielle Forget, gardienne de but de Joliette, et Alexi Thibaudeau, gardien de but de
Gatineau, sont les athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed du 30 octobre au 5
novembre. Ils ont été sélectionnés par le Service de l’activité physique et
sportive du campus de Moncton de l'Université de Moncton.
Gabrielle Forget a fait face à 33 lancers dans la victoire de 2 à 1 des Aigles Bleues
face aux X-Women de St. Francis Xavier University, au hockey féminin vendredi soir,
incluant 17 tirs en période médiane. Elle s’est bien défendue en fin de match avec un
désavantage de 6 contre 4 et a gardé son équipe dans la partie. Elle est étudiante au
baccalauréat en kinésiologie.
Alexi Thibaudeau a été la cible de deux équipes durant la semaine, en inscrivant une
victoire et une défaite pour le Bleu et Or. Il a fait face à un barrage de tirs, 59,
vendredi soir dans la défaite des siens, avec 23 en première, et 22 en deuxième
période. Mercredi, il a reçu 38 lancers dans le gain de 6 à 4 des siens, dont 16 en
troisième période. Il est étudiant au baccalauréat en administration-comptabilité.
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