Voici les archives de l’Hebdo-Campus du 16 avril 2009 au 20 septembre 2018
Julie Bérubé soutient sa thèse de doctorat en études françaises
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Annette Boudreau, directrice du Centre de recherche en linguistique appliquée et directrice de thèse; Françoise Gadet, examinatrice externe de l’Université de Paris-10 Nanterre; Marie-Ève Perrot, examinatrice externe de l’Université d’Orléans; Julie Bérubé, doctorante; Laurence Arrighi, professeure au Département d’études françaises et évaluatrice interne; et Isabelle McKee-Allain, doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales et présidente du jury. |
Julie Bérubé soutient sa thèse de doctorat en études françaises Julie Bérubé, de Québec mais autrefois de Bathurst, a soutenu avec succès sa thèse de
doctorat en études françaises (linguistique) à la Faculté des arts et des sciences
sociales de l’Université de Moncton.
Dans son travail d’analyse, intitulé « Discours et idéologies linguistiques en Acadie
du Nouveau-Brunswick : l’exemple de la presse et du milieu scolaire », Mme Bérubé
souhaite contribuer à prolonger la réflexion sur les idéologies linguistiques et leurs
conséquences sur les représentations, plus particulièrement en contexte scolaire.
Puisque peu d’études au Canada ont été consacrées aux représentations linguistiques
et aux idéologies qui contribuent à les forger, Mme Bérubé a tenté d’apporter un
éclairage particulier aux relations qu’entretiennent les locuteurs avec leur langue.
Pour ce faire, elle a opté pour une étude de cas, celle de l’Acadie du
Nouveau-Brunswick, où elle a exploré à l’aide d’une recension de la presse et du
matériel pédagogique l’évolution des perceptions du français sur une période de 75
ans, en tenant compte du contexte sociohistorique qui a vu naître les diverses
idéologies linguistiques en cause.
La première partie de la thèse a été consacrée à l’étude du discours sur la
langue dans trois types de publications, soit L’Émerillon (1930-1965), les journaux
étudiants de l’Université de Moncton (1967-1999) et le quotidien L’Acadie nouvelle
(1984-2006). Ce corpus, riche par la diversité de son lectorat et par son étendue dans
le temps, lui a permis de cerner l’évolution et l’articulation des idées sur la
langue, de même que leur inscription dans un contexte sociohistorique particulier.
La seconde partie s’est intéressée aux idéologies linguistiques recensées dans le
matériel pédagogique utilisé au Nouveau-Brunswick francophone, soit les programmes de
français du ministère de l’Éducation de cette province ainsi que cinq manuels
scolaires et guides d’utilisation publiés aux Éditions d’Acadie.
Les discours dominants sur la langue affectent grandement les représentations
linguistiques des locuteurs. Les idéologies linguistiques qui sont à la source de ces
discours sont le plus souvent véhiculées par les médias et se retrouvent également
dans le matériel pédagogique destiné à l’enseignement de la langue.
L’éducation en milieu plurilingue ou minoritaire soulève de ce fait des
questionnements qui intéressent de près plusieurs disciplines des sciences humaines. En
sociolinguistique, la question des idéologies linguistiques diffusées par certains
médias et instances institutionnelles ne peut manquer de stimuler les chercheurs et les
chercheuses qui souhaitent mieux comprendre les enjeux liés aux représentations
diglossiques.
| AAAUM : Christine St-Pierre et Éric Mathieu Doucet sont honorés
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AAAUM : Christine St-Pierre et Éric Mathieu Doucet sont honorés L'Association des anciens, anciennes et amis de l'Université de Moncton, Campus de
Moncton, rend hommage à deux de ses diplômés lors d'une cérémonie qui a lieu demain,
vendredi 12 novembre, entre 17 heures et 19 heures à l'hôtel Delta Beauséjour à
Moncton.
Ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine du Québec depuis
2007, Christine St-Pierre recevra l'Ordre du mérite des diplômés et diplômées de
l'Université de Moncton. Créé en 1998, cet Ordre souligne la contribution
exceptionnelle d'un membre qui fait honneur à son alma mater et à sa profession,
que ce soit dans le domaine religieux, politique, socioéconomique, scientifique ou encore
artistique.
L'AAAUM remettra également le prix Émergence à Éric Mathieu Doucet, directeur
général à la Société Nationale de l'Acadie. Institué en 2008, ce prix a pour but de
mieux faire connaître cette nouvelle génération de personnes diplômées qui se
distingue dans différentes sphères d'activité, que ce soit en menant une carrière
exceptionnelle ou encore en s'impliquant généreusement au sein de la communauté.
Christine St-Pierre
Née à Saint-Roch-des-Aulnaies, au Québec, Christine St-Pierre a obtenu le baccalauréat
en sciences sociales de l'Université de Moncton en 1976. Elle a ensuite fait des études
en démographie, en économie et en droit avant de faire le saut en journalisme.
Journaliste chevronnée pendant plus de 30 ans à Radio-Canada, elle a été courriériste
parlementaire à Québec de 1992 à 1997, à Ottawa de 1997 à 2001 et de 2005 à 2007, et
à Washington de 2001 à 2005. Pendant qu'elle était à la SRC, elle a été déléguée
syndicale des communications de Radio-Canada de 2001 à 2005.
Élue députée de la circonscription de l'Acadie aux élections générales du 26 mars
2007 au Québec, Mme St-Pierre est devenue ministre de la Culture, des Communications et
de la Condition féminine le 18 avril de la même année.
Elle s'est intéressée au patrimoine, notamment en ce qui a trait à la modernisation de
la Loi sur les biens culturels et à l'augmentation des sommes investies dans la
restauration du patrimoine religieux. Elle a aussi fait de l'amélioration des conditions
de vie des femmes une priorité en proposant un amendement à la Charte des droits et
libertés du Québec pour y inclure la notion d'égalité entre les hommes et les
femmes.
Éric Mathieu Doucet
Diplômé du baccalauréat en récréologie (BL 2000) et de la maîtrise en administration
publique (MAP 2004) de l'Université de Moncton, Éric Mathieu Doucet possède également
la maitrise en géographie/développement touristique de l'Université de Poitiers en
France.
Natif de Bathurst, il est directeur général de la Société Nationale de l'Acadie depuis
septembre 2009. Il a auparavant occupé le poste de directeur général de la
Fédération des jeunes francophones du Nouveau-Brunswick (FJFNB) pendant six ans. Avant
d'assumer des fonctions au sein d'organismes sans but lucratif, M. Doucet a été
impliqué dans diverses causes étudiantes pendant ses études à l'Université de
Moncton, notamment à la Féécum.
Il est reconnu par ses pairs comme un grand instigateur du développement de la jeunesse
francophone dans la province, dans le reste du Canada et même au sein la Francophonie
internationale. Il a mis sur pied des initiatives d'envergure tel Accros de la
chanson, Arts sur Roues et Animaction, en plus d'avoir initié le processus de
développement de la Stratégie jeunesse du Nouveau-Brunswick qui est présentement en
cours et touchera l'ensemble des jeunes de cette province.
Renseignements : Jeanne Farrah, au 858-4130.
| Sept bénéficiaires de bourses du CRSH et des IRSC
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Sept bénéficiaires de bourses du CRSH et des IRSC La Faculté des études supérieures et de la recherche a annoncé que sept étudiants et
étudiantes de l’Université de Moncton sont les bénéficiaires de bourses du Conseil
de recherches en sciences humaines (CRSH) et des Instituts de recherche en santé du
Canada (IRSC), deux organismes subventionnaires parmi les plus prestigieux au pays.
Mélanie Léger, en psychologie, et Raymond Blanchard, en histoire et géographie, sont
les bénéficiaires d’une bourse d’études supérieures du Canada
Joseph-Armand-Bombardier (maîtrise) du CRSH.
Ces bourses non renouvelables d’une valeur de 17 500 $ sont valables pendant 12 mois.
Elles doivent être utilisées dans des universités canadiennes reconnues par des
étudiants et étudiantes ayant l’intention de poursuivre des études de maîtrise à
temps complet dans une discipline financée par le CRSH.
En accordant ces bourses, le programme veut ainsi élargir les aptitudes en recherche et
aider à former un personnel très compétent en finançant des étudiants et étudiantes
en sciences humaines qui ont démontré d’excellentes aptitudes académiques lors de
leurs études de premier cycle ou en débutant leurs études de deuxième cycle.
Denis Lajoie, en psychologie, est le bénéficiaire d’une bourse d’études
supérieures du Canada Joseph-Armand-Bombardier - demande liée au domaine des affaires
(maîtrise) du CRSH d’une valeur de 17 500 $ valable pendant 12 mois.
Un étudiant et une étudiante sont les bénéficiaires d’une bourse d’études
supérieures du Canada Joseph-Armand-Bombardier (doctorat) du CRSH d’une valeur de 105
000 $ valable pendant 36 mois. Il s’agit d’Hubert Noël, en études françaises, et
Josée LeBlanc, en psychologie.
Deux autres étudiantes sont les bénéficiaires d’une bourse de doctorat du CRSH. Il
s’agit de Marie-Laure Tending, en études françaises, pour une valeur de 40 000 $
valable pendant 24 mois, et Corina Crainic, en études françaises, pour une valeur de 20
000 $ valable pendant 12 mois.
Annik Plourde, en psychologie, est la bénéficiaire d’une bourse d’études
supérieures du Canada Frederick Banting et Charles Best (maîtrise) des IRSC d’une
valeur de 17 500 $ valable pendant 12 mois. Renseignements : FESR, au 858-4310.
| Prix et bourses AIGNB et ADI
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Jason LeBlanc, 2e année en génie civil, récipiendaire du prix AIGNB pour le meilleur rendement en 1re année d’un programme d’ingénierie (1 500 $); Edward Smith, président du conseil d’administration de la Fondation pour les études de l’AIGNB; Sébastien Mallet, 1re année en génie civil, bénéficiaire d’une bourse d’entrée AIGNB de 3 000 $; le professeur Gilles Hébert, membre du conseil d’administration de la Fondation pour les études de l’AIGNB; Natalie Cormier, 5e année en génie électrique, bénéficiaire de la bourse Memorial Graham MacDonald attribuée pour le meilleur rendement académique à un étudiant ou étudiante finissant (3 000 $); David Crandall, de la firme ADI Ltd; Pierre Gautreau, 1re année en génie mécanique, bénéficiaire d’une bourse d’entrée AIGNB de 3 000 $; Gilles Roy, vice-doyen de la Faculté d’ingénierie; Serge Johnson, 1re année en génie civil, bénéficiaire d’une bourse d’entrée ADI de 1 500 $; Paul Chiasson, doyen de la Faculté d’ingénierie; et Rémi Noël, 1re année en génie électrique, bénéficiaire d’une bourse d’entrée ADI de 1 500 $. |
Prix et bourses AIGNB et ADI L’Association des ingénieurs et géoscientifiques du Nouveau-Brunswick (AIGNB) et la
firme de génie-conseil ADI Ltd ont attribué plusieurs prix et bourses à des étudiants
et étudiantes du Nouveau-Brunswick inscrits à la Faculté d’ingénierie du Campus de
Moncton.
| Michel Cardin et Tim Blackmore présentent un concert
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Michel Cardin et Tim Blackmore présentent un concert Le professeur Michel Cardin, du Département de musique du Campus de Moncton, présente
quatre concerts au Nouveau-Brunswick cet automne avec son partenaire du Duo baroque La
Tour, Tim Blackmore.
On peut les entendre dans des pièces pour luth et clavecin ou encore pour luth ou
théorbe et flûte à bec, avec des solos de chacun des instruments.
Le duo s'est déjà produit depuis la rentrée universitaire au Festival Martello Tower à
St-Jean, au Festival de Barachois où il a été présenté comme la « révélation du
festival 2010 », et au Festival de musique ancienne de Sackville.
Le dimanche 14 novembre à 14 heures, le duo présentera son concert au Early Music Studio
au Centre d'arts de St-Jean, qui possède un cachet particulier dans un cadre artistique
chaleureux.
Les billets sont en vente au coût de 20 $, 15 $ pour les personnes aînées et 5 $ pour
les étudiants et étudiantes, et vous permettront de participer à un petit buffet qui
suivra le concert.
Le répertoire du Duo baroque La Tour est riche et varié avec des oeuvres de Sermisy,
Gabrieli, Hotteterre, Corelli, Rebel et autres, en plus de quelques pièces en solo.
| Art dramatique : classes ouvertes d’interprétation et d’expression corporelle
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Art dramatique : classes ouvertes d’interprétation et d’expression corporelle Les étudiants et étudiantes du Département d’art dramatique de l’Université de
Moncton, campus de Moncton, présentent leurs classes ouvertes d’interprétation et
d’expression corporelle du 19 au 23 novembre inclusivement.
Les étudiants et étudiantes de 2e année présenteront plusieurs courtes scènes prises
dans les pièces de théâtre dit de l’absurde ou appartenant à ses contemporains et
prosélytes, mais également de pièces d’aujourd’hui, de la dramaturgie québécoise,
illustrant l’absurdité de certains aspects de la condition humaine actuelle.
Les pièces et les auteurs étudiés sont Eugène Ionesco (La Leçon, Délire à deux),
Jean Tardieu (Il y avait foule au manoir, Oswald et Zénaïde ou les apartés, Eux seuls
le savent), Fernando Arrabal (Fando et Lis), Harold Pinter (L’Amant), Bernard-Marie
Koltès (Quai West), François Archambault (Code 99, La Nostalgie du Paradis) et Carole
Fréchette (Jean et Béatrice).
La présentation de ces courtes scènes, d’une durée de 1 h 40, aura lieu le dimanche
21 novembre à 19 heures, et le lundi 22 novembre à 14 h 30 dans le local A-207, studio
II, du pavillon Jeanne-de-Valois. Cet exercice est répété sous la direction du
professeur Andréi Zaharia.
Les étudiants et étudiantes de 3e année présenteront Andromaque, de Jean Racine,
d’une durée d’une heure, le lundi 22 novembre à 19 heures et le mardi 23 novembre à
14 h 30 dans la salle de spectacle A-119 du pavillon Jeanne-de-Valois.
La guerre de Troie est terminée depuis un an. Nous sommes en Épire dans le palais de
Pyrrhus, vainqueur de Troie. Pyrrhus est fiancé pour des raisons politiques à Hermione,
fille d'Hélène et de Ménélas. Pyrrhus aime sa captive, Andromaque, la veuve d'Hector,
le héros de Troie. Oreste, fils d'Agamemnon (le roi des rois pendant la guerre de Troie)
vient réclamer au nom de la Grèce, le fils d'Andromaque afin de l'exécuter. Les grecs
redoutent un relèvement de Troie.
Pyrrhus refuse de rendre l'enfant. Ça va mal. Oreste aime Hermione qui aime Pyrrhus qui
aime Andromaque qui aime Hector son défunt époux. Ça va très mal. La roue infernale se
met en mouvement. Qui vivra? Qui mourra? Cet exercice est répété sous la direction de
la professeure Diane Ricard.
Les étudiants et étudiantes présenteront une expression corporelle, ceux et celles de
2e année le vendredi 19 novembre à 10 heures, et ceux et celles de 1re année le lundi
22 novembre à 10 heures dans la salle de danse (148) du Ceps Louis-J.-Robichaud. Cet
exercice est travaillé sous la direction de la professeure d’expression corporelle
Chantal Cadieux.
Bienvenue à tous et à toutes. Renseignements : 858-4444.
| Blanca Navarro Pardiñas présente ses recherches portant sur la romancière Antonine Maillet
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Blanca Navarro Pardiñas présente ses recherches portant sur la romancière Antonine Maillet Blanca Navarro Pardiñas, professeure en études françaises et hispaniques et chef du
Secteur des arts et lettres au Campus d’Edmundston, a présenté ses recherches portant
sur la romancière et dramaturge Antonine Maillet lors d’un colloque international qui a
eu lieu à la University of New Brunswick à Fredericton.
Réunissant une cinquantaine de chercheurs et chercheuses en provenance d’une quinzaine
de pays, ce colloque a été une occasion exceptionnelle de réfléchir sur un sujet bien
d’actualité dans le domaine des recherches en littérature : les trajectoires et les
dérives de la « littérature-monde » en français.
Issu d’un manifeste signé par 44 écrivains dont le Prix Nobel de littérature
Jean-Marie-Gustave Le Clézio, qui a été publié en 2007 dans le journal français Le
Monde, le concept de « littérature-monde » se veut l’affirmation de la pluralité
et de l’hétérogénéité des nouvelles poétiques qui s’affirment à l’extérieur
de la France.
Les invités d’honneur du colloque, les romanciers Michel Le Bris et Alain Borer, tous
deux écrivains signataires du « Manifeste pour une littérature-monde en français »,
se sont montré très intéressés par la communication de la professeure Navarro
Pardiñas, qui présentait le rôle essentiel qu’a joué Antonine Maillet dans
l’avènement de cette nouvelle réalité de la littérature. La chercheuse a proposé de
nouvelles pistes de recherche pour l’œuvre d’Antonine Maillet, une littérature qui,
pour reprendre les mots du manifeste, a la tâche « de donner voix et visage à
l’inconnu du monde - et à l’inconnu en nous. »
Antonine Maillet, « écrivaine-monde »? Oui et non, répond la professeure Navarro
Pardiñas avec une pointe d’ironie. « Oui, si on convient que l’œuvre de Maillet
donne voix et visage à un monde qui n’a d’autres limites que celles de la liberté de
l’imaginaire. Et non, parce qu’en l’étiquetant de la sorte, ajoute la professeure,
nous risquons d’enlever à l’imaginaire mailletie` tout son pouvoir évocateur,
toute son ambigüité. »
| Soutenance de thèse de doctorat en cotutelle avec l’Université François-Rabelais de Tours
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Soutenance de thèse de doctorat en cotutelle avec l’Université François-Rabelais de Tours La Faculté des études supérieures et de la recherche, en collaboration avec le Comité
des études supérieures du Département d’études françaises de la Faculté des arts
et des sciences sociales, vous invite à assister à la soutenance de thèse de doctorat
en sciences du langage d’Isabelle Violette, intitulée « Immigration francophone en
Acadie du Nouveau-Brunswick : langues et identités. Une approche sociolinguistique des
parcours d'immigrants francophones à Moncton », le vendredi 12 novembre à 13 h 30 dans
la salle 136 du pavillon Léopold-Taillon au Campus de Moncton. Cette thèse a été
réalisée dans le cadre d'une entente de cotutelle entre l'Université de Moncton et
l'Université François-Rabelais de Tours.
La composition du jury est la suivante : Souad H’Mida, vice-doyenne de la Faculté des
études supérieures et de la recherche, présidente; Didier de Robillard, de
l’Université François-Rabelais, directeur de thèse; Annette Boudreau, du Département
d'études françaises de l’Université de Moncton, directrice de thèse; Alexandre
Duchêne, directeur de l’Institut de plurilinguisme à l’Institut de Fribourg, en
Suisse, examinateur externe; Philippe Blanchet, de l’Université Rennes 2 en France,
examinateur externe; et Chedly Belkhodja, de l’Université de Moncton, examinateur
interne.
Une réception suivra. Bienvenue à toutes et à tous. Renseignements : 858-4050.
| Inuk Simard est invité au Congrès annuel et au salon professionnel de l'ACEE
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Inuk Simard est invité au Congrès annuel et au salon professionnel de l'ACEE Inuk Simard, superviseur des laboratoires en gestion intégrée des zones côtières au
Campus de Shippagan, a été choisi par le comité de sélection de l'édition 2010 du
Congrès annuel et salon professionnel de l'Association canadienne de l'énergie éolienne
afin d'y présenter ses travaux de recherche.
Dans le cadre de son projet de recherche à la maîtrise en études de l'environnement, M.
Simard développe une méthode permettant d'évaluer l'impact des changements climatiques
sur la disponibilité de l'énergie éolienne dans l’avenir selon les scénarios de
changements climatiques proposés par le Groupe d’experts intergouvernemental sur
l’évolution du climat.
Ce projet de recherche est financé par le Réseau stratégique du Conseil de recherches
en sciences naturelles et en génie du Canada sur l’énergie éolienne et est fait en
collaboration avec la Section de recherche en prévision numérique atmosphérique
d'Environnement Canada et la Chaire K.-C.-Irving en développement durable de
l'Université de Moncton.
Le 26e Congrès annuel et salon professionnel de l'Association canadienne de l'énergie
éolienne a eu lieu au Palais des congrès de Montréal. M. Simard a fait une
présentation sur ses travaux, intitulée « Développement d'une méthodologie pour
évaluer l'évolution du climat passé et son impact sur la ressource éolienne ».
| Roméo Savoie lance un premier roman
Article complet
Agrandir l'imageLa toile en couverture du roman « Le mensonge caméléon » est une œuvre de Roméo Savoie, intitulée « Corniche » (technique mixe 1987).
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Roméo Savoie lance un premier roman Le public est invité à assister au lancement du premier roman de l’artiste Roméo
Savoie, intitulé « Le mensonge caméléon », publié aux Éditions Perce-Neige, le
vendredi 12 novembre à compter de 17 heures à la Galerie E dans l’A, au 126, rue
Archibald, à Moncton.
Docteur d’honneur en arts visuels de l’Université de Moncton, Roméo Savoie s’est
fait connaitre comme architecte avant de se consacrer entièrement aux arts visuels et à
l’écriture. Il a publié six recueils de poésie avant de se consacrer à son premier
roman.
« L’écriture de Roméo Savoie est élégante, espiègle et coquine, souligne Serge
Patrice Thibodeau, directeur littéraire aux Éditions Perce-Neige. L’auteur nous
entraine dans une histoire aux apparences trompeuses et dans laquelle des personnages
intrigants nous renvoient à nos propres questionnements. »
Non seulement est-ce là le premier roman de Roméo Savoie mais c’est aussi le premier
ouvrage publié sous la direction de Joël Boilard, directeur de la collection Prose. M.
Boilard est un jeune doctorant à l’Université de Moncton qui a remis sur pied la revue
de création Ancrages en s’entourant d’une excellente équipe.
Cofondateur de la Galerie 12 au Centre culturel Aberdeen, Roméo Savoie a obtenu le prix
Miller Brittain en 1994, le prix Strathbutler en 1998, et le Prix du Lieutenant-gouverneur
du Nouveau-Brunswick en 2009.
| Loisirs socioculturels : série de spectacles en novembre
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Loisirs socioculturels : série de spectacles en novembre Ce mois-c-i, le Service des loisirs socioculturels présente une série de spectacles Coup
de cœur, une pièce de théâtre remplie d’humour et d’espoir, et un concept de
spectacle de danse peu conventionnel.
Le vendredi 12 novembre, place à la danse de 17 heures à 19 heures au Café Campus. La
Compagnie DansEncorps est en tournée avec sa nouvelle production « 5 à 7 particip-actif
», un spectacle à formule unique avec comme but de rendre l’art de la danse accessible
à tous. Il est présenté dans des lieux non-conventionnels où les gens ne sont pas
habitués à se rendre pour voir des spectacles de danse. On promet une soirée animée
avec des numéros de danse contemporaine.
Vous pourrez apprécier quatre nouvelles créations des chorégraphes canadiens
Pierre-Paul Savoie (Montréal), LiisaSaario (Montréal) et Chantal Cadieux (Moncton).
Étant le fruit de trois chorégraphes, ces créations divertiront le public grâce à
l’humour et la sensualité en passant par le dramatique !
Les billets sont en vente, 5 $ à l’avance et 7 $ à l’entrée.
Le jeudi 18 novembre, vous pourrez voir Lucien aux éparlans à compter de 20
heures à la Caserne de Dieppe.
Personnifié par Éric Butler, Lucien est un sympathique col bleu philosophe. Il se
retrouve dans son refuge préféré, sa cabane à éperlan sur la Baie des chaleurs où il
commente la société d’aujourd’hui, l’environnement, l’amour, le sexe et la
politique dans une langue acadienne aussi colorée que mordante. Mais la glace est bien
mince et lorsque sa cabane part à la dérive, il sera forcé de réfléchir à de bien
plus grandes questions.
Présenté par le Théâtre populaire d’Acadie, Lucien aux éparlans a été traduit et
mis en scène par Maurice Arseneault d’après un texte de Marshall Button. Les billets
sont en vente au coût de 15 $ pour les étudiants et étudiantes et 20 $ pour les autres
personnes.
Du 19 au 26 novembre, une série Coup de cœur présente Xeno, avec en première partie
Jacques Boudreau et Katrine Noël - vendredi 19 novembre à 20 heures au Café-Campus - 5
$ étudiants / 10 $ autres;
Kevin Parent, avec en première partie Tricia Foster - jeudi 25 novembre à 20 heures dans
la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois - 20 $ étudiants / 30 $ autres;
Marie-Pierre Arthur, avec en première partie Marie-Philippe Bergeron - vendredi 26
novembre à 20 heures dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois - 15 $
étudiants / 20 $ autres.
Les billets sont présentement en vente dans le réseau de billetterie du Grand Moncton
(858-4554). Des frais de service s'appliquent. Renseignements : 863-2008 / melissa.thibodeau@umoncton.ca
| Appel public : Avez-vous vu ?
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Appel public : Avez-vous vu ? Au nom de la firme Young-Maxwell, la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen du Campus de
Moncton sollicite tout renseignement relatif à la disparition de Jean-Denis Boudreau et
Paul Bossé, deux artistes-chercheurs qui se sont fait enlevés le 1er octobre à 23 h 03
alors qu'ils faisaient des tests de projection sur une façade extérieure du Centre
culturel Aberdeen de Moncton.
Voici le profil des artistes-chercheurs disparus : Jean-Denis Boudreau, 35 ans, père de
une, 5 pieds 9 pouces, 165 livres, cheveux noirs, yeux verts, vit et travaille à Moncton.
Finaliste du Prix Sobey en 2007, il cherche des solutions aux difficultés quotidiennes
par la récupération et la transformation de matériaux. Paul Bossé, 39 ans, père de
une, 5 pieds 11 pouces, 185 livres, cheveux bruns, yeux marrons, vit et travaille à
Moncton. Poète, dramaturge et cinéaste, il invente un monde parallèle haut en rythmes
et en effronteries.
Au moment de leur disparition, tous deux portaient une chemise de laboratoire et des
lunettes.
Les autorités artistiques soupçonnent que l'enlèvement ait été motivé par la nature
arcane, potentiellement révolutionnaire des recherches en Ultra Super Duper hyper
Définition (USDhD) menées par Boudreau et Bossé.
Selon certains, la première démonstration publique réussie de leur prototype à
l'hôtel de ville de Moncton le 28 septembre précédant aurait attiré l'attention de
partis investis dans le domaine, conscients comme aucun du potentiel technologique voir
métaphysique de la nouvelle découverte.
La firme Young-Maxwell sollicite l’appui de la communauté en présentant à la Galerie
d’art Louise et Reuben-Cohen du 10 novembre au 17 décembre les vestiges matériels de
la démarche scientifique et artistique de Jean-Denis Boudreau et Paul Bossé qui ont
contribué à leur mystérieuse disparition. Il est à espérer que des indices qui en
ressortiront permettront de retrouver les inventeurs et de réassembler leur prototype
carbonisé.
Tim Travis, contrôleur chez Young Maxwell, sera présent à la galerie le mercredi 10
septembre, de 17 heures à 19 heures pour un échange de renseignements.
La Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen est ouverte de 13 heures à 16 h 30 du mardi au
vendredi, et de 13 heures à 16 heures le samedi et le dimanche.
Renseignements : 858-4088.
| Concours de dissertations portant sur les questions constitutionnelles
Article complet
Concours de dissertations portant sur les questions constitutionnelles L’Institut de recherche en politiques publiques vient de lancer son concours de
dissertations pour l’année 2010-2011, qui a pour but de stimuler le débat portant sur
les questions constitutionnelles au Canada. Il s’adresse à tous les étudiants et
étudiantes du premier cycle inscrits à temps complet dans une faculté de droit
canadienne. La longueur du texte soumis, qui peut être rédigé en français ou en
anglais, ne doit pas dépasser 2 500 mots.
Les dissertations seront évaluées en fonction de l’exactitude de l’information
qu’elles renferment au sujet du droit et des débats constitutionnels, ainsi que de leur
pertinence par rapport à l’évolution actuelle des questions constitutionnelles au
Canada, notamment en ce qui a trait aux enjeux du fédéralisme et de l’identité
nationale, et de l’originalité du raisonnement ou de l’approche des auteurs.
Les dissertations doivent être transmises à l’adresse constitution@ogilvyrenault.com
au plus tard le 31 mai 2011. Chaque texte doit être accompagné d’une copie de la carte
étudiante de l’année en cours.
Pour obtenir plus de renseignements, écrivez à l’adresse constitution@irpp.org
| Prix Stewart McKelvey
Article complet
Agrandir l'imageDans la photo, Marie-Aude, au centre, est accompagnée de Robert L. LeBlanc, vice-doyen de la Faculté de droit, et de Marie-Claude Bélanger-Richard, avocate chez Stewart McKelvey à Moncton. |
Prix Stewart McKelvey Marie-Aude Gosselin, de Dieppe, a remporté le prix Stewart McKelvey pour l’année
universitaire 2009-2010 à la Faculté de droit du Campus de Moncton. Ce prix est
attribué à l’étudiante ou étudiant qui obtient la note la plus élevée dans le
cours Sociétés commerciales.
| Campagne de financement au Centre culturel Aberdeen
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Campagne de financement au Centre culturel Aberdeen Le Centre culturel Aberdeen de Moncton a procédé au lancement de la plus importante
campagne de financement de son histoire. Au cours des cinq prochains mois, une trentaine
de bénévoles solliciteront des entreprises et le grand public pour les inviter à y
participer. L'objectif a été fixé à 750 000 $, un montant qui viendra s’ajouter aux
quelque deux millions de dollars déjà investis par les gouvernements fédéral,
provincial et municipal pour la rénovation et la restauration du Centre.
Le président du cabinet de la campagne de financement, Gino LeBlanc, également chercheur
associé à l’Institut canadien de recherche en politiques et administration publiques
logé au Campus de Moncton, a profité de l'occasion pour inviter le grand public ainsi
que les chefs d'entreprises du sud-est du Nouveau-Brunswick à donner généreusement à
la campagne.
M. LeBlanc a également laissé savoir que la partie silencieuse de la campagne qui a
été amorcée en avril dernier auprès des grandes entreprises et organismes de la
région avait connu un vif succès avec des engagements d'un peu plus de 400 000 $. La
partie publique de la campagne qui vient d’être lancée cherchera davantage à obtenir
l'engagement du plus grand nombre possible de personnes. Ce sont plus de 2 900 000 $ qui
seront investis dans les travaux de rénovation et de revitalisation qui permettront
d’assurer l’avenir de cet édifice presque centenaire et dont le chantier est en
marche depuis février dernier. Renseignements : 506-857-9597.
| Soirée amicale pour le personnel à la retraite
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, 1re rangée : Évelyne Foëx (27 ans et dix mois); Georgette Landry (34 ans et six mois); Betty Ann LeBreton (33 ans et quatre mois); Raymonde Léger (37 ans et cinq mois); Carole LeBlanc (32 ans et trois mois); et Marie Reine Ulmer (32 ans); 2e rangée : Paul-Émile Benoit, 30 ans et quatre mois); Charles Bourque (33 ans et cinq mois); Michel Massiéra (41 ans); Marielle Bossé (20 ans et cinq mois); Paul Collette (31 ans et six mois); Frédéric Grognier (35 ans et trois mois); et Michel Legault (16 ans et neuf mois); 3e rangée : Rodrigue Landry (35 ans et un mois); Jean-Roch Goupil (33 ans et neuf mois); Paul Delaney (14 ans); Euclide Gautreau (36 ans et cinq mois); et Charles Antoine LeBlanc (35 ans). Absences dans la photo : Léo Blanchard (38 ans et neuf mois); Murielle Cormier (22 ans); Ronald Daigle (37 ans et 11 mois); Léonard Doucet (23 ans et 11 mois); Maurice Durepos (26 ans et quatre mois); Marielle Gervais (25 ans et six mois); Verena Haldemann (16 ans); Christian Kant (25 ans); Hélèna Landry (19 ans et 11 mois); David Lonergan (sept ans et dix mois); Gérard Muise (40 ans et cinq mois); Ward O’Neil (36 ans et 11 mois); Simonne Pellerin (21 ans et trois mois); Diane Pelletier (sept ans et cinq mois); Catherine Phlipponneau (31 ans et six mois); et Jacques Saindon (18 ans). |
Soirée amicale pour le personnel à la retraite Le Service des ressources humaines a organisé une soirée amicale dans un restaurant du
centreville pour souligner le départ à la retraite de 34 membres du personnel entre 2008
et 2010 au Campus de Moncton.
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