Voici les archives de l’Hebdo-Campus du 16 avril 2009 au 20 septembre 2018
L'Université de Moncton adopte un budget de fonctionnement de 115 millions de dollars pour l’année financière 2013-2014
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L'Université de Moncton adopte un budget de fonctionnement de 115 millions de dollars pour l’année financière 2013-2014 Le Conseil des gouverneurs a adopté le samedi 13 avril un budget de fonctionnement qui
prévoit des revenus de 115 112 000 $ pour l'année financière 2013-2014 qui commence le
1er mai et des dépenses de 115 354 000 $, ce qui représente un déficit anticipé de 242
000 $.
Dans la préparation de son budget de fonctionnement, la direction de l’Université de
Moncton examine rigoureusement l’ensemble de ses dépenses afin de réaliser des
économies sans compromettre la qualité de l’enseignement et l’expérience
étudiante. C’est ainsi, par exemple, qu’elle arrive à maintenir ses dépenses
administratives à un niveau inférieur de 25 pour cent à la moyenne canadienne.
Cette année, ce processus d’examen continu a permis d’identifier des économies
totalisant au-delà de 600 000 $. Malgré cela, le budget 2013-2014 prévoit que les
dépenses de l’Université de Moncton augmenteront de 4 369 000 $ par rapport au budget
2012-2013, une hausse de 3,9 pour cent. Les augmentations salariales inscrites dans les
conventions collectives existantes sont le principal facteur expliquant cette hausse
prévue des dépenses.
« Le processus budgétaire interne est rigoureux et tient compte de tous les facteurs
internes et externes auxquels l’Université est confrontée, mentionne le recteur
Raymond Théberge. La situation financière du gouvernement provincial et ses récentes
annonces budgétaires ont certes affecté les décisions que nous avons dû prendre. »
À la suite d’une proposition du représentant étudiant du campus d’Edmundston,
Patrick Lavoie, et en guise de solidarité envers les étudiants et étudiantes, le
Conseil des gouverneurs a choisi de diminuer d’un dollar la hausse des droits de
scolarité qui avaient été prévues à 150 $ et 1 000 $ respectivement.
Ainsi, le budget adopté par le Conseil des gouverneurs prévoit une hausse des droits de
scolarité de 149 $ pour les étudiantes et étudiants canadiens inscrits à temps complet
au premier cycle et une hausse équivalente en pourcentage (soit 2,8 pour cent) pour les
autres catégories d’étudiantes et étudiants canadiens.
Il y aura également une hausse de 999 $ des droits de scolarité pour les étudiantes et
étudiants internationaux inscrits au premier cycle à temps complet et une hausse
équivalente en pourcentage (soit 11,1 pour cent) pour les autres étudiantes et
étudiants internationaux. Malgré cette hausse, les droits de scolarité payés par les
étudiantes et étudiants internationaux demeureront de loin les plus faibles au
Nouveau-Brunswick et parmi les plus faibles au pays.
« L’Université de Moncton ne reçoit aucune subvention gouvernementale pour les
étudiantes et étudiants internationaux inscrits au 1er cycle, rappele le recteur pour
expliquer la hausse. Même avec la hausse adoptée aujourd’hui, les droits de scolarité
pour les étudiantes et étudiants internationaux à l’Université de Moncton se
comparent fort avantageusement à ceux de nos principales concurrentes. En effet, les
droits de scolarité des étudiantes et étudiants internationaux se situent à environ 50
pour cent de la moyenne canadienne. »
Dans un tel contexte, il est clair que l’Université de Moncton continuera d’être
fort attrayante pour les étudiants internationaux. Avec des droits de scolarité
internationaux et un ratio professeur/étudiant parmi les plus faibles au pays, elle
continue d’offrir un excellent rapport qualité/prix et une expérience tout à fait
exceptionnelle.
Le budget global des bourses destinées aux étudiants et étudiantes des trois campus
augmentera de 2,8 pour cent, soit l’équivalent de l’augmentation des droits de
scolarité des étudiantes et étudiants canadiens.
| Ann Beaton est la chercheuse du mois de la Fondation pour la recherche en santé au Nouveau-Brunswick
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Ann Beaton est la chercheuse du mois de la Fondation pour la recherche en santé au Nouveau-Brunswick Ann Beaton, professeure à l'École de psychologie de la Faculté
des sciences de la santé et des services communautaires de l'Université
de Moncton et titulaire de la Chaire de recherche du Canada niveau 2 en relations
intergroupes, nouvellement renouvelée pour cinq ans, est la chercheuse du mois de
la Fondation pour la recherche en santé du Nouveau-Brunswick.
La Fondation souligne ainsi l’excellence et le leadership d’une de nos
chercheuses dans le domaine de la recherche en santé qui sont axés sur le
patient, la médecine appliquée et l’innovation.
La professeure Beaton a obtenu le baccalauréat et le doctorat de
l'Université d'Ottawa avant d'aller faire de la recherche postdoctorale
au Center for Research in Group Processess de l'University of Kent, au Royaume-Uni.
Elle enseigne à l'Université de Moncton depuis 1996.
Sa Chaire de recherche du Canada en relations intergroupes a comme grand objectif
d'examiner les rapports entre différents groupes sociaux pour mieux comprendre
les facteurs qui entravent et qui facilitent l'inclusion sociale. Le programme de
recherche veut élargir notre compréhension des réactions à
l'adversité liée à la stigmatisation sociale et à
découvrir comment ces réactions transforment les individus et leur
environnement social.
Ces questions sont examinées pour trois populations différentes ayant des
défis uniques à relever du point de vue des études et du
marché du travail : les personnes handicapées qui essaient de se tailler une
place sur le marché du travail, les femmes qui font face à de
l'adversité dans les domaines de travail non traditionnels, et les jeunes
Autochtones qui développent de la résilience pour améliorer leurs
résultats scolaires.
L'exclusion sociale de membres de groupes minoritaires prive une
société de leur contribution aux niveaux économique, culturel et
intellectuel. Ces conséquences sont coûteuses pour une petite province comme
le Nouveau-Brunswick appelée à relever les défis que pose
l'économie mondialisée du savoir. Non seulement l'exclusion sociale
nuit à la qualité et aux conditions de vie des individus, elle menace la
santé, tout en diminuant la satisfaction et l'engagement au travail.
Par conséquent, la recherche est effectuée en étroite
collaboration avec des organismes à but non lucratif, des employeurs et des
intervenants du domaine de la santé communautaire afin de contribuer à la
formulation de politiques publiques et à l'élaboration de programmes
axés sur la santé et la prévention. L'écoute et
l'échange de connaissances dans un contexte participatif constituent une
étape importante dans le cheminement vers une société qui se veut
inclusive.
Au cours des 12 dernières années, la professeure Beaton a reçu
plus de 1,5 million de dollars en fonds de recherche d'organismes tels que le Conseil
de recherches en sciences humaines du Canada, la Fondation canadienne pour
l'innovation et les Instituts de recherche en santé du Canada. Elle a
formé et mentoré quelque 40 étudiants diplômés et a fait
une contribution de plus de 75 articles/chapitres d'ouvrage, rapports et
exposés à des congrès nationaux et internationaux.
En attirant des chercheurs talentueux comme Mme Beaton au Nouveau-Brunswick, nous
contribuons à l'effort mondial déployé pour promouvoir un mode de
vie sain et à offrir des services de santé préventifs efficaces. Nous
créons également un milieu de recherche dynamique qui permet de former nos
étudiants pour faire d'eux les chercheurs en santé exceptionnels de
demain.
| Le présent et l’avenir de l’Université de Moncton
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Le présent et l’avenir de l’Université de Moncton Le recteur et vice-chancelier Raymond Théberge était le conférencier lors du Déjeuner
du 2e mardi, qui a eu lieu au restaurant L'Igloo à Moncton.
Ce groupe comprend des personnes retraitées, des membres du corps enseignant et du corps
professoral, des anciens et anciennes de l'Université de Moncton, des fonctionnaires,
conseillers, médecins, juges, avocats et gens d'affaires. Le Déjeuner était présidé
par le secrétaire, Bernard Poirier.
Le recteur Théberge a profité de l’occasion pour parler du présent et de l’avenir
de l’Université de Moncton et de son impact au sein de la société acadienne et
néo-brunswickoise, tout comme sur la scène nationale et internationale. Il a aussi
discuté des enjeux de notre institution, de ses possibilités, de son enseignement et sa
recherche, de ses services à la collectivité, ainsi que le processus de consultation de
l’exercice de planification stratégique.
Une cinquantaine de personnes ont assisté à ce Déjeuner du 2e mardi.
Renseignements : 383-4421 / bernpoir33@hotmail.com
| Une année académique réussie pour le portefeuille de placements étudiants Louisbourg
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Sébastien Deschênes DBA, CA, CFA, directeur du Département de comptabilité; l’étudiante et les étudiants Vanessa Léger, Daniel Robichaud, Julien Gagnon et Maxime Brosseau-Guénette, qui ont à la fois participé au projet et reçu une bourse d’une valeur d’environ 1 000 $ pour écrire le premier des trois examens menant au titre d’analyste financier (CFA); et François Boudreau, CFA, professeur de finance au campus d’Edmundston. |
Une année académique réussie pour le portefeuille de placements étudiants Louisbourg Le fonds de placements étudiants Louisbourg a enregistré un rendement de 9,53 pour cent
pour la période de 12 mois se terminant le 31 mars dernier.
Il s’agit d’un rendement de 3,42 pour cent supérieur à l’indice S&P/TSX qui pour
la même période a progressé de 6,11 pour cent. Le fonds, qui fait suite à un
partenariat entre la Faculté d’administration de l’Université de Moncton et
placements Louisbourg, a été créé en novembre 2009 avec l’injection d’une somme de
100 000 $. Depuis ce temps, les étudiants et étudiantes suivant le cours « États
financiers et placements » font une gestion active de ces fonds de telle sorte que
malgré les conditions économiques difficiles, le portefeuille affiche maintenant une
valeur de 133 014 $. C’est donc dire que sur une base annualisée, les étudiants ont
réalisé en moyenne un rendement de 8,87 pour cent, ce qui est bien supérieur à
l’indice 5,20 pour cent. La valeur ajoutée de 3,67 pour cent a été obtenu dans un
contexte d’une gestion prudente où les fonds étaient investis dans tous les secteurs
de l’économie et pratiquement exclusivement dans les 60 plus grandes capitalisations
canadiennes.
Les étudiants en finance de la Faculté d’administration ont réalisé ces rendements
en utilisant une méthodologie rigoureuse de sélection de titres basée sur l’approche
« Top-Down ». Selon cette stratégie, sous la supervision de leurs professeurs
Sébastien Deschênes CFA et François Boudreau CFA, ils doivent successivement analyser
l’économie, le secteur dont ils ont la charge, les entreprises qui composent ces
secteurs et les états financiers des entreprises retenues pour enfin pouvoir appliquer
des modèles d’évaluation d’actions.
Dans le cadre du cours, les étudiants devaient analyser quatre entreprises d’un
secteur, soit deux entreprises déjà comprises dans le portefeuille et deux entreprises
susceptibles d’être acquises. Pour ce travail, ils ont eu accès à la salle des
marchés de la Faculté d’administration, à la fine pointe de la technologie, leur
permettant d’avoir une véritable expérience dans la gestion de portefeuille. Cette
année, le fonds a pris de nouvelles positions dans Barrick Gold, Gold Corp, Agrium, Major
Drilling, Saputo et Rogers.
Vous pouvez consulter la composition détaillée du portefeuille étudiant Louisbourg à
l’adresse http://www.umoncton.ca/umcm-administration/node/55.
Renseignements : Sébastien Deschênes, au 858-4230.
| Réflexion portant sur le recteur-fondateur, le père Clément Cormier
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Robert Pichette, historien; Stéphane Robichaud, président de l’AAAUM; Isabelle McKee-Allain, directrice de l’Institut d’études acadiennes; Raymond Théberge, recteur et vice-chancelier de l’Université de Moncton; Louise Imbeault, ancienne journaliste et directrice de Radio-Canada Acadie; Fernand Arsenault, ancien de l’Université St-Joseph et professeur émérite de l’Université de Moncton; Marc Robichaud, chercheur à l’Institut d’études acadiennes et historien. Absente sur la photo : Aldéa Landry, ancienne du Collège Jésus-Marie de Shippagan et docteure d’honneur de l’Université de Moncton. |
Réflexion portant sur le recteur-fondateur, le père Clément Cormier Quelque 70 personnes ont participé à une réflexion portant sur le recteur-fondateur, le
père Clément Cormier, par le biais de témoignages de personnes qui l’ont connu et
côtoyé à différents moments de sa vie.
« À la rencontre de Clément Cormier - souvenir et témoignages » était un événement
présenté conjointement par l’Association des anciens, anciennes et amis (AAAUM) et
l’Institut d’études acadiennes, et s’inscrivait dans le cadre des fêtes entourant
le 50e anniversaire de fondation de l’Université de Moncton.
Louise Imbeault, B.A. 1968, B. Ed. A. 1970, Marc Robichaud, B. A. 1994, M. Arts. 1998,
Aldéa Landry, B. A. 1966, et Fernand Arsenault, B. A. 1951, ont évoqué de nombreux
faits intéressants, drôles et émouvants.
Après le dîner-conférence, Robert Pichette a fait l’éloge à son tour du visionnaire
qu’était Clément Cormier en lui rendant hommage.
| Souper de reconnaissance pour les mentors 2012-2013 au campus de Moncton
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir les 39 mentors accompagnés de Marie-Linda Lord, vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales, Carole Essiembre qui coordonne le programme d’appui à la réussite (à droite), et Chantal DeGrâce, qui coordonne le programme de mentorat étudiant depuis 2007 (à gauche). |
Souper de reconnaissance pour les mentors 2012-2013 au campus de Moncton L’équipe des 39 étudiantes et étudiants-mentors de l'Université de Moncton, campus
de Moncton, ont été conviés à un souper de reconnaissance afin de souligner leur
engagement à faciliter l'adaptation des nouveaux étudiants et étudiantes depuis le tout
début de l’année universitaire.
En plus de recevoir une bourse de leadership universitaire, l'Université a remis un
certificat de reconnaissance à chacun et à chacune. La vice-rectrice aux affaires
étudiantes et internationales, Marie-Linda Lord, était présente pour cette occasion.
L’équipe des étudiantes et étudiants-mentors était composé des personnes suivantes
:
Administration
Alima Layale Bamba, gestion des opérations-coop; Gabrielle DeLuca, gestion des
opérations-coop; Iris Gloria Hessou, comptabilité-coop; Sabrina Lapierre, comptabilité;
Ablavi Laetitia Mahinou, comptabilité; et Daniel Saulnier, marketing.
Art et sciences sociales
Jessica Breau, travail social; Delaney Clarke, traduction; Zoé Gagnon, travail social;
Stéfani Tieri George, science politique; Adeline Gnoumou, économie; Carmen LeBlanc,
musique; Christine LeBlanc, anglais; Chérifatou Limane, traduction; Mélanie Morin,
histoire; et Pascale Routhier-LeBlanc, traduction-coop.
Droit
Melissa Sullivan, droit.
Éducation
Natasha Doiron, éducation primaire, et Cynthia Thériault, éducation primaire
Groupe Pont (français langue seconde)
Natalie Chapman, D.S.S.
Ingénierie
Wazy Bayoro, génie-civil-coop; Denise Couture, génie civil; Émilie Pellerin, génie
civil; Dominick Tardif, génie électrique; et Royata Amadou Sidibé, génie civil.
Santé /services communautaires
Tina Albert, science infirmière; Marie-Ève Cloutier, nutrition; Marc-André Comeau,
récréologie; Caroline Lagacé, kinésiologie; Frédérique Cyr, science infirmière; et
Danielle Thériault, psychologie.
Sciences
Adèle Bourgeois, mathématiques; Rym-Dalia Bouhamdani, D.S.S.; Alexandre Coholan,
biochimie; Andrew Kilpatrick, D.S.S.; Maxime Levesque, B.Sc.-B.Ed. (biologie); Danielle
Richard, D.S.S.; Fatoumata Banel Thiam, biochimie-coop; et Marie Alfred Joëlle Vaval,
biochimie.
Renseignements : 858-3716 / chantal.degrace@umoncton.ca
| CNFS : portrait et déterminants de la santé de familles francophones en situation minoritaire qui donnent naissance dans la région d’Ottawa
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CNFS : portrait et déterminants de la santé de familles francophones en situation minoritaire qui donnent naissance dans la région d’Ottawa Dans le cadre de son programme d’excellence professionnelle, le Consortium national de
formation en santé - volet Université d’Ottawa présente, en partenariat avec le CNFS
- volet Université de Moncton, une série de conférences qui sont retransmises par
vidéoconférence en direct de l’hôpital Montfort, à Ottawa. Ces conférences se
veulent une activité de formation continue multidisciplinaire destinée aux personnes
professionnelles de la santé.
La dernière vidéoconférence de la programmation de ce semestre aura lieu le mardi 30
avril de 12 h 30 à 14 heures dans le local A-231 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus
de Moncton. La conférence, intitulée « Portrait et déterminants de la santé de
familles francophones en situation minoritaire qui donnent naissance dans la région
d’Ottawa », sera présentée par Viola Polomeno et Denise Moreau, professeures
agrégées à l’École de sciences infirmières à l’Université d’Ottawa et
chercheuses à l’IRHM.
On présentera les résultats préliminaires d’une enquête portant sur la santé des
couples parentaux francophones en situation minoritaire dans la région d’Ottawa. Cette
étude vise à tracer le profil de ces couples, à identifier les déterminants de la
santé et à caractériser l’accès et les types de services de santé utilisés dans la
transition à la parentalité.
Pour s’inscrire à la vidéoconférence ou obtenir plus de renseignements : cnfs@umoncton.ca / 858-4655. Les places sont
limitées.
Cette conférence est également disponible en mode Web-conférence.
| Être et devenir « Canadien » et « francophone » chez les immigrants africains en milieu minoritaire
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Être et devenir « Canadien » et « francophone » chez les immigrants africains en milieu minoritaire Dans le cadre du séminaire LING7980 Langue, pouvoir et nation, la professeure Amal
Madibbo a prononcé une conférence ayant pour titre Être et devenir « Canadien » et «
francophone » chez les immigrants africains en milieu minoritaire.
Mme Madibbo est professeure au Département de sociologie de l’University of Calgary.
La photo nous fait voir, de gauche à droite, Audrey Roy-Côté, Yannick Nganhou, Isabelle
Violette, professeure du séminaire; Natacha Pominville, Amal Madibbo, conférencière;
Charlène Ava Éléonore Yao, Émilie Urbain et Samuel Vernet.
| Remise des certificats d’excellence Pascal à la Faculté des arts et des sciences sociales
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, 1re rangée : les étudiants Rachelle Comeau, récipiendaire du Prix du Département d’études françaises, Danielle Bilodeau, du programme d’information-communication, Caroline Roy, du Département d’études françaises et Gabriel Côté, Département de philosophie et sciences religieuses; et Lisa Roy, doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales; 2e rangée : les étudiants Normand d’Entremont, du programme d’information-communication, Patrick-Olivier Meunier, du Département d’histoire et de géographie, Xavier Lord-Giroux, du Département d’art dramatique, Ricky McIntyre, récipiendaire du Prix d’excellence de l’École de travail social, et Madeleine Arseneau, du Département de science politique. Absences dans la photo : les étudiantes Danika Caron, du Département d’anglais, et Delaney Clarke, du Département de traduction et des langues. |
Remise des certificats d’excellence Pascal à la Faculté des arts et des sciences sociales Lisa Roy, doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales de l’Université de
Moncton, a tenu à féliciter les finissants et finissantes qui se sont particulièrement
distingués grâce à un rendement académique supérieur et à une participation marquée
à la vie facultaire, universitaire ou auprès de la communauté en général. Les
récipiendaires se sont vus décerner le certificat d’excellence Pascal.
La doyenne a souligné l’apport des finissantes et des finissants au rayonnement de la
Faculté mais aussi de l’impact qu’ils auront dans la société. « Toutes les
disciplines enseignées à la Faculté des arts et des sciences sociales forment des
femmes et des hommes comme vous qui contribuent réellement au développement de la
société et du bien-être de leurs concitoyens », a-t-elle dit.
Le certificat d’excellence Pascal, tradition de longue date à la Faculté des arts et
des sciences sociales, est nommé ainsi en la mémoire de Pascal Poirier (1852-1933),
grand défenseur de la langue et des droits des Acadiennes et Acadiens et premier Acadien
à accéder au Sénat.
| Simulation boursière à la criée : les étudiants du campus d’Edmundston sont les maitres en Atlantique
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir les membres de l’équipe championne du campus d’Edmundston lors de la Simulation boursière à la criée universitaire de l’Université de Moncton présentée au campus de Moncton. Il s’agit, de gauche à droite, de Kurt Pelletier, Jérémie Ouellette, Alex Martin et Julien Levesque. |
Simulation boursière à la criée : les étudiants du campus d’Edmundston sont les maitres en Atlantique Le programme d’administration des affaires du campus d’Edmundston a une fois de plus
frappé un grand coup dans l’univers fascinant de la simulation boursière.
Ses deux équipes ont terminé aux premier et deuxième rangs lors de la Simulation
boursière à la criée universitaire de l’Université de Moncton, présentée au campus
de Moncton et organisée par le Centre de gestion financière Banque Nationale de
l’Université de Moncton.
L’équipe formée de Kurt Pelletier (analyste), Jérémie Ouellette (courtier), Alex
Martin (analyste) et Julien Levesque (courtier) a raflé les grands honneurs parmi les
huit quatuors participants. Les étudiants en administration ont complété la journée
avec un portefeuille totalisant 430 000 $ après une mise de départ de 100 000 $.
Évidemment, ce sont des sommes fictives. Leur brio leur a toutefois valu une récompense,
réelle celle-là, de 1 000 $.
Quant au groupe de Marc-André Gauvin (analyste), Marc-André Laforge (courtier),
Sébastien Guay (analyste) et Jessy Nadeau (courtier), il a terminé en deuxième position
avec un portefeuille de 290 000 $. Les étudiants ont remporté la somme de 500 $.
Activité unique dans les Maritimes, ce concours mettait aux prises des étudiantes et
étudiants en administration des universités du Nouveau-Brunswick et de la
Nouvelle-Écosse. Le campus de Moncton était représenté par quatre équipes, les autres
provenant de l’University of New Brunswick (Fredericton) et de Dalhousie University
(Halifax). Chaque équipe était composée de quatre étudiants, soit deux analystes et
deux courtiers.
Le but de cette simulation est de mettre en compétition plusieurs équipes d’étudiants
universitaires. Cette compétition fait appel à leurs compétences et leurs capacités à
évaluer des titres boursiers dans un contexte économique réaliste.
La simulation boursière est d’une durée de quatre trimestres (en mode accéléré). À
chaque trimestre, plusieurs nouvelles économiques, tant macroéconomiques que
microéconomiques, viennent perturber le marché des capitaux et donc la valeur des
actions en circulation.
Chaque équipe a dû au préalable concevoir un modèle mathématique et financier sur un
chiffrier électronique afin de faciliter l’analyse des informations financières et
économiques.
Les analystes de chaque équipe évaluent les nouvelles économiques et leur impact sur la
valeur des actions de leur portefeuille et transmettent les recommandations à leurs
courtiers respectifs.
Les courtiers doivent transiger à la criée (à haute voix) sur un parquet de bourse
(pit) virtuel où se trouve l’ensemble des courtiers et deux mainteneurs de marchés
professionnels. Cette simulation permet de vivre l'ambiance fébrile d’un parquet de
bourse.
Chaque équipe tente de faire fructifier au maximum leur portefeuille de départ de 100
000 $. Le logiciel utilisé pour la simulation a été conçu par l’Université Laval.
| Bénéficiaires de bourses au Département de traduction et des langues
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir les boursiers et boursières. Sauf indication contraire, les bourses proviennent du PRSLC. 1re rangée : Tanya Sotsky (1re année, 5 660 $), Jolaine Arseneau (3e année, 4 550 $), Marie-Julie Bourque (3e année, 5 000 $), Lise L’Anglais (2e année, programme accéléré, 6 000 $), Camille Goguen (3e année, 5 000 $), Catherine Boulet (3e année, 5 000 $), et Lise Landry, coordonnatrice du programme des bourses; 2e rangée : Carole Hachey, secrétaire du Département de traduction et des langues; Éric Dow (3e année, 5 000 $), Janou-Caroline Bacon (3e année, 5 000 $), Marie-France Paré (4e année, 5 714 $), Jean-Sébastien Landry (2e année, 4 550 $), Jennifer Henry (2e année, 4 550 $) et Denise Merkle, directrice du Département de traduction et des langues; 3e rangée : Marc-André Haché (2e année, programme accéléré, 4 550 $), Chad Comeau (4e année, 5 714 $), Matthieu LeBlanc, professeur au Département de traduction et des langues; et Justin Robichaud (4e année, 5 714 $). Absences dans la photo : Josée Arsenault, Priscilla Belliveau, Rosiane Comeau, Nicole Drouin, Stéphanie Frenette, Marie-Claude Hébert, Karine Lauzon (bourse offerte par le ministère des Affaires intergouvernementales), Paul Pitre, Marc-André Bouchard, Julie Boulianne, Sarah MacNeil, Julie Malchow, Chloé Perreault, Jolène Robichaud, Delaney Clarke, Richard Dignard (bourse offerte par Traduction NB), Vanessa Godin, Marc Landry, Ariel LeBlanc, Marie-Ève Lord, Tressy Ouellet, Élise Pelletier (bourse PRSLC et bourse offerte par l’Université de Moncton), Monyse Robichaud, Stacy Bossé, Zoé Fournier, Marie-Julie Girouard, Marie-Ève Cyr (bourse offerte par l’Université de Moncton), Élisabeth Marchand-Proud (bourse offerte par l’Université de Moncton) et Marie-Hélène Lapierre. |
Bénéficiaires de bourses au Département de traduction et des langues Grâce à un accord conclu entre l’Université de Moncton et le ministère des Travaux
publics et des Services gouvernementaux du Canada (Programme de renforcement du secteur
langagier au Canada, PRSLC), 43 étudiantes et étudiants du Département de traduction et
des langues se sont vu accorder des bourses d’études pour l’année universitaire
2012-2013.
La valeur globale des bourses offertes dans le cadre du PRSLC s’élève à 180 000 $
pour l’année universitaire 2012-2013. À cela s’ajoutent des contributions
supplémentaires de l’Université de Moncton, de Traduction NB et du ministère des
Affaires intergouvernementales qui s’élèvent à 12 500 $, à 5 000 $ et à 6 000 $
respectivement.
La valeur totale du programme de bourses (PRSLC), qui s’échelonne sur quatre ans
(2009-2010 à 2012-2013), est de 767 000 $.
| Dre Jalila Jbilou est cochercheuse d’une recherche génomique sur le cancer du sein
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Dre Jalila Jbilou est cochercheuse d’une recherche génomique sur le cancer du sein Dre Jalila Jbilou, chercheuse au Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick
(CFMNB), participera en tant que cochercheuse à un projet de recherche portant sur la «
Stratification personnalisée des risques pour la prévention et la détection précoce du
cancer du sein ».
Ce projet est financé par Génome Canada, dans le cadre de son programme Projets de
recherche appliquée à grande échelle, et par les Instituts de recherche en santé du
Canada grâce à une subvention du gouvernement du Canada.
C’est une recherche très complexe qui vise l’identification de données probantes
pour une meilleure prévention et un dépistage précoce du cancer du sein chez les femmes
à risque. « La particularité de cette recherche est qu’elle s’intéresse à tous
les volets d’un continuum allant de la recherche génétique jusqu’à l’utilisation
des tests et des outils, qui en découlent, dans les bureaux de médecin ainsi que leur
acceptabilité par les patientes, explique Dre Jbilou. Nous étudierons également les
aspects organisationnels et les avantages sociaux et économiques de ces tests et nous
nous interrogeons aussi grandement sur la portée éthique de nos découvertes. »
La chercheuse du CFMNB travaille sur différents volets du projet : évaluation des
avantages sociaux et économiques, transfert de connaissances, composante clinique et
analyse organisationnelle. « C’est un projet qui a commencé il y a déjà un moment.
La phase dans laquelle nous nous trouvons devrait prendre fin en 2017, »
ajoute-t-elle.
Pour le Centre de formation médicale, avoir une chercheuse qui participe à ce projet
d’envergure a des avantages certains. « Ce projet aura deux portées pour nous. Il sera
une occasion d’exposer nos étudiants en médecine à une équipe de chercheurs de
renommée internationale et de les initier à la recherche clinique et la recherche en
analyse organisationnelle du système de santé. De plus, il nous permettra d’explorer
les possibilités d’implanter ce projet au Nouveau-Brunswick dans le futur, » poursuit
la chercheuse.
Le CFMNB investit et soutient de plus en plus les projets de recherche explorant les
déterminants de la santé et les interventions cliniques et populationnelles. Les divers
projets de recherche qui y sont menés ont pour but d’aider les médecins et les futurs
médecins à mieux comprendre ce qui influence la santé des populations et d’être à
l’affut des percées dans les divers domaines de la médecine. Ils contribuent aussi au
développement des données probantes pouvant renseigner les processus décisionnels et
politiques en santé.
Renseignements : 858-4931 / jalila.jbilou@umoncton.ca
| Journées d’échange de l’École de travail social et du ministère du Développement social
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, assis : Sophie Gaudet, coordonnatrice des stages et membre du comité organisateur; Denis Savoie, gestionnaire au ministère du Développement social et coprésident du comité organisateur; Véronique Roy-Guitard, animatrice; Ricky McIntyre, animateur; et Marie-Lyne Caron, adjointe à la coordination des stages et membre du comité organisateur; debout : Lisa Roy, doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales; Jean-Denis Bernard, travailleur social et conférencier; Sophie Castonguay, gestionnaire de programme au ministère du Développement social; Pierrette Diamond, travailleuse sociale et conférencière; Suzanne Thériault-Savoie, étudiante de 4e année et coproductrice du montage vidéo; Jean-Raphaël Lavoie, étudiant de 5e année et coproducteur du montage vidéo; Chantal Bourassa, professeure et membre du comité organisateur; Catherine Plante, étudiante de 4e année et coproductrice du montage vidéo; et Hélène Albert, directrice de l’École de travail social et coprésidente du comité organisateur. Absence dans la photo : Vanessa Diotte, étudiante de 3e année, conférencière. |
Journées d’échange de l’École de travail social et du ministère du Développement social Les 21 et 22 mars, l’École de travail social, en partenariat avec le ministère du
Développement social, a tenu la 12e édition de ses journées d’échange. Cette
activité a réuni plus de 150 personnes participantes dont des professionnels du travail
social, des étudiantes et étudiants ainsi que les membres de l’équipe pédagogique de
l’École de travail social.
Le thème des échanges cette année était « Logement sécuritaire et travail social :
Comment composer avec ses valeurs et celles des autres ? »
En guise d’amorce aux discussions, un montage vidéo a été conçu et réalisé par
trois étudiants, Jean-Raphaël Lavoie, Catherine Plante et Suzanne Thériault-Savoie,
sous la direction de Marie-Lyne Caron.
Cette journée a, une fois de plus, permis de réaliser de riches échanges et discussions
entre des intervenantes et intervenants du milieu professionnel et des membres du corps
professoral et étudiant de l’École de travail social autour d’un thème rassembleur.
Cette activité est, d’une année à l’autre, fort appréciée par les participantes
et participants.
| Bourse du Club Rotary de Dieppe
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Agrandir l'imageDans la photo, la bénéficiaire, Josée Haché, est accompagnée de Paul Maurice, président du Club Rotary de Dieppe. |
Bourse du Club Rotary de Dieppe La bourse du Club Rotary de Dieppe d’une valeur de 1 000 $ a été octroyée à Josée
Haché, de Moncton, étudiante au programme B.A.-B.Ed avec majeure anglais.
Cette bourse est offerte aux étudiants et étudiantes qui habitent dans la grande région
de Moncton, qui ont un besoin financier et qui possèdent un bon rendement académique.
Le Fonds de bourses Club Rotary de Dieppe a été créé en 1996 pour venir en aide à
ceux et celles qui se distinguent dans leurs études et qui ont besoin d’un coup de
pouce financier alors qu’ils fréquentent l’Université de Moncton.
| Concert du Chœur Louisbourg le 30 avril
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Concert du Chœur Louisbourg le 30 avril Le Chœur Louisbourg, sous la direction de Monique Richard, présentera un concert en
l’église St. James United, 75, rue Alma, à Moncton, le mardi 30 avril à 19 h 30.
Au programme, vous pourrez entendre des œuvres de Mendelssohn-Bartholdy, Brahms et
Lauridsen. De plus, le chœur reprendra la composition du professeur Richard Gibson, «
Alla luna », qu’il a interprété lors du concert soulignant le 50e anniversaire de
fondation de l’Université de Moncton.
Monique Richard est professeure au Département de musique de l’Université de Moncton
où elle est responsable des cours d’éducation musicale et de direction, en plus de
diriger les ensembles vocaux et l’atelier d’opéra avec orchestre. Elle est la
directrice artistique du Chœur Louisbourg depuis huit ans.
Gayle h. Martin accompagnera le chœur à l’orgue.
Les billets sont en vente au Centre des arts et de la culture de Dieppe et à la
billetterie du Centre étudiant au campus de Moncton.
| Séminaire de recherche en santé en compagnie du Dre Miroslava Cusera
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Séminaire de recherche en santé en compagnie du Dre Miroslava Cusera Un séminaire de recherche en santé, intitulé « Métabolomique, épigénomique
métabolique et métabolisme du cancer : There and Back », sera présentée par Dre
Miroslava Cusera, agente de recherche principale à l’Institut de technologie de
l’information du CNRC, le vendredi 19 avril de 12 h 30 à 13 h 30 dans la salle de
vidéoconférence situé au 2e étage du Centre d’oncologie Dr-Léon-Richard de
Moncton.
L'analyse des métabolites fait partie de la recherche en sciences de la vie depuis des
siècles. La métabolomique, définie comme l'étude à haut débit des métabolites,
dispose d'une base solide dans les premières études en métabolisme ainsi que dans la
conception d'outils d'analyse et de calcul. La métabolomique offre les plus grandes
possibilités dans l'analyse des systèmes biologiques puisque les métabolites montrent
les processus de définition de phénotypes.
Le profil des métabolites peut être établi à partir de tissus, de cellules, de
liquides organiques et d’échantillons d’haleine, à la fois in vivo et ex vivo, et il
offre les plus grandes possibilités de diverses applications cliniques.
Les membres du groupe ont pris part à un grand nombre de ces différents types d'analyses
en vue d’élaborer des applications cliniques. Le métabolisme des tumeurs est
extrêmement différent de celui des cellules et des tissus normaux analogues. Les
changements métaboliques sont déclenchés par des oncogènes et sont nécessaires aux
transformations malignes permettant aux cellules cancéreuses de résister à certains
signaux de mort cellulaire, tout en produisant de l'énergie et en répondant à leurs
besoins biosynthétiques avec des ressources limitées.
Le phénotype métabolique distinct des cancers offre une possibilité intéressante en ce
qui a trait au diagnostic et aux traitements. La métabolomique associée à la biologie
des systèmes est un moyen idéal d'analyse du phénotype métabolique du cancer et il
offre de nombreuses applications possibles en recherche contre le cancer et en
applications cliniques.
L’exposé comprendra des exemples des travaux de recherche et de développement
effectués par le groupe, démontrant le sous-typage inédit du cancer du sein et du
glioblastome multiforme et l’examen des différents inhibiteurs d’enzyme comme
d’éventuels agents anticancéreux. En outre, les derniers résultats concernant le
métabolisme et les changements épigénétiques seront présentés. Le séminaire se
déroulera en anglais.
Renseignements : 758-5951 / brigitte.sonier-ferguson@vitalitenb.ca
| Banquet de l’École de psychologie
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Banquet de l’École de psychologie La photo, prise lors du banquet annuel de l’École de psychologie, nous fait voir, de
gauche à droite, Marianne Bourgeois, Hélène Robichaud, Karine Roy, Myriam Pâquet,
Paul-Émile Bourque, doyen de la Faculté des sciences de la santé et des services
communautaires; Guy LeBoeuf, Pierre Nadeau Marchand, Tiffany Raymond, Joanie Gagnon,
Valérie Mallard et Katherine Guérard.
| ABC : bourses d’excellence en droit
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ABC : bourses d’excellence en droit La Division du Nouveau-Brunswick de l’Association du Barreau canadien a offert des
bourses d’excellence de 1 500 $ chacune à deux étudiants de la Faculté de droit de
l’Université de Moncton.
La photo nous fait voir, de gauche à droite, Me Thomas Raffy, représentant de
l’Association du Barreau canadien - Division du Nouveau-Brunswick; André Carroll,
étudiant de 3e année; et Robert L. LeBlanc, vice-doyen de la Faculté de droit.
Samuel LeBlanc, étudiant de 1re année, était absent lorsque la photo a été prise.
| Valois Robichaud prononcera une conférence en Israël
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Valois Robichaud prononcera une conférence en Israël Valois Robichaud, professeur-chercheur au campus de Shippagan, prononcera une conférence,
intitulée « Pour un cognitivisme relationnel », dans le cadre de la conférence
internationale portant sur la modifiabilité cognitive et la neuroscience, qui se tiendra
du 2 au 5 juin à Jérusalem, en Israël, sous les auspices de l'Institut Feurestein,
fondé en 1965 par le professeur Reuven Feuerstein.
Les observations empiriques, à même la salle de cours au campus de Shippagan au cours
des 20 dernières années, ont permis au professeur Robichaud d'observer que le processus
d'apprentissage est grandement facilité par les trois attitudes fondamentales du maitre :
l'empathie, le regard positif inconditionnel et la congruence, toutes trois développées
et appliquées par le psychologue américain Carl Rogers. L'approche relationnelle en
enseignement-apprentissage fait appel au fonctionnement global du cerveau primitif,
limbique et supérieur (néo-cortex) en des phases successives.
| David Alward fait à nouveau connaissance avec les étudiants en administration du campus d’Edmundston
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir le premier ministre David Alward en compagnie des étudiants François Boucher et Alexandre Nadeau.
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David Alward fait à nouveau connaissance avec les étudiants en administration du campus d’Edmundston Pour une deuxième année consécutive, les étudiantes et étudiants en administration
des affaires du campus d’Edmundston ont eu la chance de rencontrer le premier ministre
du Nouveau-Brunswick, David Alward, lors du souper d’affaires de la Chambre de commerce
de la région d’Edmundston, qui a eu lieu au Palais des congrès.
M. Alward était invité à faire connaitre les grandes lignes du dernier budget
provincial présenté le 26 mars à l’Assemblée législative de Fredericton.
Comme l’an dernier, le premier ministre a tenu à s’entretenir avec les 27 étudiants
et étudiantes en administration du campus d’Edmundston. Dans son discours, il n’a
d’ailleurs pas manqué de souligner leur présence à ce repas.
| Bourses du Barreau du Nouveau-Brunswick
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Bourses du Barreau du Nouveau-Brunswick Le Barreau du Nouveau-Brunswick a octroyé des bourses d’une valeur de 1 500 $ chacune
à trois étudiants de la Faculté de droit de l’Université de Moncton.
La photo nous fait voir, de gauche à droite, Robert L. LeBlanc, vice-doyen de la Faculté
de droit; Jean-Rémi Godin, étudiant de 1re année; Me Marc L. Richard, directeur
général du Barreau du Nouveau-Brunswick; Michael Sinclair, étudiant de 2e année; et
Benjamin Nkana Bassi, étudiant de 3e année.
| La dramaturgie acadienne est à l’honneur au Festival à haute voix
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La dramaturgie acadienne est à l’honneur au Festival à haute voix Le théâtre l’Escaouette présente la septième édition de son Festival à haute voix,
du 18 au 21 avril.
Le Festival à haute voix a été créé en 2001 afin d’encourager le développement de
l’écriture pour la scène et par conséquent, d’une nouvelle dramaturgie en Acadie.
Cette activité bisannuelle constitue une formidable vitrine sur la dramaturgie acadienne
où le public peut assister à de premières lectures de textes dramatiques d’auteurs
établis et de la relève. Pour les auteurs, il s’agit également d’un banc d’essai
formidable.
Pendant les quatre jours du Festival, le public aura la chance d’assister à la mise en
lecture d’une dizaine de textes des auteurs Caroline Bélisle, Marilyn Bouchard, Gracia
Couturier, Mélanie Daigle, Alain Doom, Matthieu Girard, Johanne Parent et Gabriel
Robichaud.
Pour la première fois cette année, le Festival à haute voix s’est associé au
Festival Frye pour présenter les textes dramatiques des récipiendaires d’un concours
de rédaction dans les écoles secondaires du Nouveau-Brunswick : Ashley Beaudin, de
l’école secondaire Mathieu Martin de Dieppe, et Adam Godlewski, du Saint John High
School.
La mise en lecture des textes est assurée par des interprètes et des metteurs en scène
professionnels. Marcia Babineau signe la direction artistique de cette septième édition,
appuyée de Gabriel Robichaud, coordonnateur de l’événement et stagiaire à la
direction artistique. Après chaque lecture, le journaliste David Lonergan animera une
discussion de 15 minutes entre le public et l’auteur.
Par ailleurs, le Festival à haute voix étend son rayonnement au-delà des frontières de
la région, grâce à sa collaboration avec le Conseil des arts de l’Ontario et la
Chaire de recherche sur la francophonie canadienne de l’Université d’Ottawa et son
directeur, Joël Beddows, qui prendra part au Festival.
Le Festival a lieu au théâtre l’Escaouette. Laissez-passer pour toutes les lectures :
35 $. Le prix d’admission pour une lecture est de 5 $. (855-0001).
| Don de Stewart McKelvey
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Don de Stewart McKelvey Dans le cadre de la Campagne Excellence de l’Université de Moncton, le cabinet Stewart
McKelvey s’est engagé à fournir à titre gracieux les Règles de procédure du
Nouveau-Brunswick et le Formulaire y afférant aux étudiants et étudiantes de la
Faculté de droit inscrits au cours Procédure civile.
La photo nous fait voir, de gauche à droite, Robert L. LeBlanc, vice-doyen de la Faculté
de droit; l’étudiante Julie Bourassa; Me Chantal A. Thibodeau, du cabinet Stewart
McKelvey de Moncton; l’étudiante Melissa Sullivan; et Me James E. Lockyer, professeur
du cours Procédure civile.
| Annie LeBlanc joint l’équipe des Aigles Bleues au volleyball
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Annie LeBlanc joint l’équipe des Aigles Bleues au volleyball L'entraîneuse des Aigles Bleues de l'Université de Moncton au volleyball, Monette
Boudreau-Carroll, a laissé savoir qu'Annie LeBlanc, de Shédiac, joindra son équipe
pour la saison 2013-2014.
Étudiante de 12e année à l'école secondaire Louis-J.-Robichaud de Shédiac, LeBlanc
est inscrite en science politique au campus de Moncton en septembre. « Je suis heureuse
qu'Annie ait décidé de joindre l’équipe des Aigles Bleues, mentionne
Boudreau-Carroll. Elle fait partie du programme de sports/études et son avenir est
prometteur. »
« J'ai choisi les Aigles Bleues parce que le campus est proche de chez-moi et j’assiste
aux parties depuis quelques années déjà, mentionne LeBlanc. De plus, je connais la
majorité des joueuses des Aigles Bleues, ayant joué avec elles dans le programme Bleu et
Or ou avec le programme de sports/études en volleyball. Je suis heureuse d'avoir la
chance de jouer devant mes parents et mes amis. »
LeBlanc évolue au volleyball depuis sa sixième année scolaire alors que ses amies
avaient décidé de joindre une équipe. Sa progression lui a permis d'évoluer avec
plusieurs équipes élites de la région. Elle tente actuellement de décrocher un poste
au sein de l'équipe qui représentera la province aux Jeux du Canada en août à
Sherbrooke.
« J’aurai un été assez chargé avec divers entraînements et la possibilité de jouer
avec l'équipe des Jeux du Canada, ajoute la joueuse qui évolue au poste hors-terrain et
qui mesure cinq pieds et 10 pouces. Je termine le programme sports/études cette année
et que j'ai beaucoup apprécié depuis trois ans. J'aime bien la position d'attaquante de
côté parce qu'il y a toujours de l'action, que ce soit bloquer, attaquer ou participer
à la réception du ballon. Le plus excitant, c’est lorsque tu réussis à bloquer un
smash de l'équipe adverse ou encore marquer un point sur un smash. »
Le volleyball est un sport exigent pour les joueuses, autant physiquement que mentalement.
Annie LeBlanc rappelle qu'il faut toujours rester alerte et déterminée afin d'appuyer
ses coéquipières pendant toute la partie, ce qui n'est pas toujours facile.
| Soutenance de thèse de maîtrise de Janelle McLaughlin en études de l'environnement
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Soutenance de thèse de maîtrise de Janelle McLaughlin en études de l'environnement Les personnes intéressées sont invitées à assister à la soutenance de thèse de
maîtrise en études de l’environnement de Janelle McLaughlin, intitulée « Conditions
d’établissement d’une espèce envahissante Ciona intestinalis (Linnaeus, 1767) :
Étude comparative des bassins versants de la baie d’Orwell et des rivières Brudenell
et Montague, Île-du-Prince-Édouard, Canada », le jeudi 25 avril à 9 heures dans le
local B-015 du pavillon Rémi-Rossignol au campus de Moncton.
La thèse est effectuée sous la direction de Guillaume Fortin, professeur au Département
d’histoire et de géographie. Les autres membres du jury sont Daniel Bourque, biologiste
en sciences aquatiques à Pêches et Océans Canada, évaluateur externe; Chris McKindsey,
chercheur au ministère de Pêches et Océans Canada, évaluateur externe; Gilles Miron,
professeur au Département de biologie à l’Université de Moncton, évaluateur interne;
et Céline Surette, directrice du programme de la maîtrise en études de
l’environnement, présidente du jury.
Bienvenue à toutes et à tous.
Renseignement: 858-4498.
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