Voici les archives de l’Hebdo-Campus du 16 avril 2009 au 20 septembre 2018
Signature du protocole d’entente entre l’Université de Moncton et Shannex Inc.
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, à l’avant, Raymond Théberge, recteur et vice chancelier et Jason Shannon, président directeur de l’exploitation, Shannex Inc. À l’arrière, Suzanne Dupuis-Blanchard, titulaire de la Chaire de recherche en santé CNFS-Université de Moncton sur le vieillissement des populations, directrice du Centre d’études du vieillissement et professeure agrégée de l’École de science infirmière et Christina Cormier, directrice générale du Faubourg du Mascaret. |
Signature du protocole d’entente entre l’Université de Moncton et Shannex Inc. L’Université de Moncton et l’entreprise Shannex Inc. ont conclu aujourd’hui un
protocole d’entente.
Le protocole d’entente permettra, entre autres , aux étudiantes et étudiants de
l’Université de Moncton de profiter du Centre collaboratif d’apprentissage sur le
vieillissement, un partenariat entre l’Université de Moncton et Shannex, afin de
bonifier leur formation universitaire. Cette entente permettra également aux chercheures
et aux chercheurs de bénéficier de ce partenariat pour des projets de recherche sur des
thématiques relatives à la santé et au vieillissement.
Cette entente entre en vigueur dès sa signature et se poursuit pour une durée de cinq
années après quoi l’entente sera révisée par les deux parties.
| Le professeur Michel Cardin au Japon
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Le professeur Michel Cardin au Japon Le professeur Michel Cardin, du Département de musique de la Faculté des arts et des
sciences sociales de l’Université de Moncton, a été conjointement invité par le
Tokyo Art Museum et la Société de luth Japonaise à donner deux concerts à ce musée
ainsi qu’une classe de maître au Conservatoire de Chofu-Tokyo.
Les prestations ont eu lieu les 9, 10 et 11 septembre dernier. C’était la deuxième
visite de M. Cardin au Japon et il a pu constater que l’engouement pour la musique de
luth y était toujours aussi présent.
Pour ces concerts, il a joué en duo avec la flûtiste japonaise réputée Risa Kawabata.
C’est une riche collaboration qui pourrait se répéter dans un futur proche, le Tokyo
Art Museum ayant souhaité que le duo se produise à nouveau dans une prochaine série de
concerts. Le succès des disques de luth en solo de Michel Cardin ne se dément pas non
plus. On peut toujours les voir dans les magasins de disques de Tokyo, comme à leur
sortie il y a maintenant une vingtaine d’années déjà. La série Weiss de 12 albums de
Michel Cardin a été republiée par la maison Brilliant Classics en 2015 et est
disponible partout sur la planète.
| Remise du Prix de l’ambassade de Suisse
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Agrandir l'imageSur la photo, on voit Jessica Bernier, recevant le roman Herr Brechbühl sucht eine Katze de l’écrivain suisse allemand Tim Krohn, publié aux éditions Galiani-Berlin en 2017. De gauche à droite : Julie Arsenault, directrice du Département de traduction et des langues ; Jean-François Thibault, doyen de la Faculté des arts et des sciences sociales ; Michel Mallet, professeur d’allemand au Département de traduction et des langues ; et Jessica Bernier, la lauréate. |
Remise du Prix de l’ambassade de Suisse Le Département de traduction et des langues de la Faculté des arts et des sciences
sociales a remis le Prix de l’ambassade de Suisse à Jessica Bernier, finissante au
baccalauréat en traduction à l’Université de Moncton. Elle s’est distinguée dans
les cours d’allemand, une des quatre langues officielles de la Confédération
helvétique.
| Cours intensifs d’allemand et de traduction à la Hochschule Augsburg, en Allemagne
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Angélie Essiembre Guitard, Naorën Vernouillet, Chanel Brideau, Maëlly Haché Chiasson et Jocelyn Landry. |
Cours intensifs d’allemand et de traduction à la Hochschule Augsburg, en Allemagne Le 2 mai dernier, après avoir passé sept mois à organiser des activités mensuelles de
collecte de fonds et à préparer leur voyage, quatre étudiantes et un étudiant de la
Faculté des arts et des sciences sociales sont partis pour l’Europe. Ils ont d’abord
fait un séjour touristique de trois jours à Prague qui leur a permis de découvrir
l’architecture magnifique et l’héritage historique à la fois germanophone et slave
de la capitale de la République tchèque. Puis, ils sont partis pour Augsbourg, en
Allemagne, la principale destination de leur voyage. Durant deux semaines, ils ont suivi
deux cours intensifs à la Hochschule Augsburg : un cours d’allemand axé sur le
tourisme et le commerce, dispensé par le professeur Michel Mallet; un cours de traduction
commerciale centré sur le domaine de l’automobile, donné par la professeure Julie
Arsenault.
C’est grâce à une initiative du professeur Mallet et de sa collègue Marie-Hélène
Lamarche, professeure de français à la Hochschule Augsburg, que ce projet de nature
expérientielle a vu le jour. Cette initiative, qui a mené à la signature d’une
entente entre les deux institutions, a permis aux professeurs Arsenault et Mallet du
Département de traduction et des langues d’utiliser les locaux de le Hochschule
Augsburg pour donner leurs cours. Or, sans le soutien des différentes instances
subventionnaires, à savoir le Décanat de la Faculté des arts et des sciences sociales,
le Vice-rectorat à l’enseignement et à la recherche, le Service de mobilité
internationale, et le Bureau des diplômés et de L’alUMni, le projet novateur qui a eu
d’importantes retombées positives n’aurait pas pu se concrétiser.
Les professeurs Lamarche et Mallet ont également travaillé en collaboration afin
d’organiser des activités culturelles qui ont mis en contact les étudiantes et
l’étudiant de l’Université de Moncton avec celles et ceux de la Hochschule Augsburg.
La visite d’une brasserie suivie d’un repas traditionnel dans l’établissement, la
soirée au restaurant de l’hôtel de ville d’Augsbourg qui offre une carte de plats
typiques, le verre pris sur la terrasse du toit d’un immeuble du centre-ville, le tour
de bateau sur l’un des nombreux canaux de la ville et le tour de ville à vélo ont
été autant d’occasions pour les étudiantes et l’étudiant de parler allemand, de
nouer de nouvelles amitiés et de découvrir de nouvelles facettes de la culture
germanophone dans des contextes variés et stimulants.
Elles et il ont enrichi leur connaissance de la culture germanophone et ont multiplié les
occasions de pratiquer leur allemand lorsqu’elles et il se sont rendus à Salzbourg en
Autriche pour passer la fin de semaine qui a suivi leur première semaine de cours, mais
également lorsque, une fois leurs cours terminés, elles et il ont découvert deux autres
villes d’Allemagne, Heidelberg et Stuttgart, et la ville de Luxembourg. La visite des
musées des grands constructeurs automobiles que sont Mercedes et Porsche à Stuttgart a
été une belle façon de conclure les deux semaines de cours.
Il n’y a aucun doute, les voyages forment la jeunesse. La visite de quatre pays en trois
semaines et deux semaines de cours intensifs à la Hochschule Augsburg ont permis aux
quatre étudiantes et à l’étudiant d’acquérir de nouvelles connaissances
académiques et culturelles, et de gagner en autonomie, mais également de développer
leur capacité à travailler en équipe et à se débrouiller.
| Tenue du Congrès annuel de l’Association des politologues des provinces de l’Atlantique
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Tenue du Congrès annuel de l’Association des politologues des provinces de l’Atlantique Les 14 et 15 octobre 2017, le Congrès annuel de l’Association des politologues des
provinces de l’Atlantique se tiendra au pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton
de l’Université de Moncton.
Tous les membres de la communauté universitaire sont invités à assister, gratuitement,
aux activités scientifiques du Congrès.
Il y aura une table ronde qui proposera un regard critique sur les grands enjeux de
l’Acadie d’aujourd’hui. Participeront à cette table ronde : Mathieu Wade, Joel
Belliveau, Michelle Landry, Maurice Basque et Roger Ouellette. Cet événement aura lieu
le samedi 14 octobre au local 434 du pavillon Léopold-Taillon, de 14 h 30 à 16 h 30.
Le programme détaillé est disponible en ligne.
Pour de plus amples renseignements, prière d’envoyer un courriel à l’adresse appsa2017@gmail.com.
| Conférence du groupe d’intérêt des infirmières praticiennes du Nouveau-Brunswick
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Agrandir l'imageDans la rangée du haut, la photo nous fait voir, de gauche à droite, Véronique Landry, chargée d’enseignement clinique; Vickie Noël, étudiante; Gina Lavallée, étudiante; Éva Cormier-Langford, étudiante; et Stéphanie Ouellette, étudiante. Dans la rangée du bas, de gauche à droite, Céline Michaud, étudiante; Marisol Beaudry, étudiante; et Linda Arseneault, chargée d’enseignement clinique.
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Conférence du groupe d’intérêt des infirmières praticiennes du Nouveau-Brunswick Les 21 et 22 septembre dernier, un groupe d’étudiantes inscrites au programme de
maîtrise en science infirmière - infirmières et infirmiers praticiens est allé à la
dixième conférence du groupe d’intérêt des infirmières praticiennes du
Nouveau-Brunswick.
Cette conférence a permis aux étudiantes d’en apprendre davantage sur les nouveautés
dans la pratique comme l’aide médicale à mourir, les soins de fin de vie, la crise des
opioïdes, la santé des transgenres, etc. De plus, les étudiantes ont eu la chance de
faire du réseautage avec l’ensemble des infirmières praticiennes du
Nouveau-Brunswick.
| Tenue de la conférence Du « choc des civilisations » au racisme décomplexé
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Tenue de la conférence Du « choc des civilisations » au racisme décomplexé Le Cercle philo du Département de philosophie de l’Université de Moncton invite la
communauté universitaire à la présentation de la conférence Du « choc des
civilisations » au racisme décomplexé, par Siegfried Mathelet, chercheur de la
Chaire UNESCO d’études des fondements philosophiques de la justice et de la société
démocratique à l’Université du Québec à Montréal. Cette conférence aura lieu le
jeudi 12 octobre 2017 à 16 h 30, au local 178 de la Bibliothèque Champlain du campus de
Moncton.
| L’islamophobie contemporaine au Québec : de la banalisation au surgissement des extrêmes et de la violence
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L’islamophobie contemporaine au Québec : de la banalisation au surgissement des extrêmes et de la violence Le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact (GRICC) tiendra une
conférence-atelier intitulée L’islamophobie contemporaine au Québec : de la
banalisation au surgissement des extrêmes et de la violence avec Siegfried Mathelet,
chercheur de la Chaire UNESCO d’études des fondements philosophiques de la justice et
de la société démocratique, UQAM et Ibrahim Ouattara, professeur de philosophie à
Université de Moncton. L’événement aura lieu le vendredi 13 octobre 2017, de 15 h à
17 h, au local 178 de la Bibliothèque Champlain du campus de Moncton.
On y proposera de revenir sur le processus de progression de l’islamophobie au Québec
amorcé lors de la « crise » des accommodements raisonnables et précipité pendant
le débat sur la Charte de la laïcité (2013-14). Un processus qui donne lieu à
l’activation militante de groupes d’extrême droite, dont plusieurs de création
récente ; ainsi qu’à une augmentation des crimes contre des institutions ou des
personnes en vertu de leur appartenance réelle ou alléguée à l’islam ; dont
l’attentat au Centre culturel islamique de Québec (CCIQ). On y plaidera donc que les
schèmes idéologiques liés à l’islamophobie furent d’abord portés au centre du
débat politique québécois, avant de se radicaliser vers les extrêmes ou de se traduire
par une augmentation de violences verbales ou physiques. La première partie de
l’exposé portera sur la phase de banalisation, le deuxième sur la phase de
radicalisation.
Après avoir défini et explicité les origines du concept d’islamophobie, la première
partie examinera les principaux schèmes idéologiques qui ont participé à son
développement contemporain au Québec. On y verra que l’idée centrale à cette forme
de (néo)racisme, aussi dit « différentialiste », soit l’incompatibilité entre
les personnes pratiquant l’islam et les cultures nationales d’ascendance européenne,
s’est installée à droite comme à gauche de l’échiquier politique. À la faveur du
débat sur un projet de loi aux aspects discriminatoires qui présentait la laïcité
comme rempart pour protéger la culture nationale, l’islamophobie s’est
passablement banalisée dans le discours public et politique.
Dans la deuxième partie, on reviendra rapidement sur le concept de radicalisation et le
processus menant à la violence, avant d’aborder le développement des extrêmes droites
et la situation des crimes islamophobes. Les extrêmes droites, déjà alimentées par une
« fachospère » mondialisée, ont profité du contexte de banalisation pour se
mobiliser sous diverses bannières. Parallèlement, les données rejoignent les
témoignages et montrent une augmentation des crimes islamophobes depuis 2014. La clé de
compréhension de ce phénomène social de radicalisation, plaidera-t-on, ne réside pas
tant dans l’idéologie, que dans le fait qu’il s’alimente aux mêmes causes
socioéconomiques que le développement de l’idéologie islamophobe.
Dans un contexte de subordination du politique à l’économique, de perte relative de
pouvoir des parlements comme des individus et d’appauvrissement des classes moyennes et
populaires, le tout fond de conflits incessants au Moyen-Orient et de progression du
terrorisme lié au djihadisme salafiste : l’idéologie islamophobe répond à la
quête de sens d’individus pouvant par ailleurs être psychologiquement disposés à la
violence et leur fournit une cible, alors que l’extrême droite véhicule ce sens,
l’exulte et est susceptible de leur apporter un réseau social renforçant leurs
motivations envers des expressions violentes. Heureusement, le groupe social peut
également contenir la violence. Si c’est le cas d’une extrême droite en quête de
normalisation, ce n’est pas généralisé chez elle. Le danger actuel est donc que la
radicalisation continue de progresser dans ce bassin pour se diriger vers une violence
dirigée contre les musulmans qui, si elle n’était organisée, serait sciemment
cultivée.
| Vidéoconférence PEP : L’influence du contexte sur le développement des enfants d’âge préscolaire : résultats d’une recherche-intervention
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Vidéoconférence PEP : L’influence du contexte sur le développement des enfants d’âge préscolaire : résultats d’une recherche-intervention Dans le cadre de son Programme d’excellence professionnelle (PEP), le Consortium
national de formation en santé (CNFS) - Volet Université d’Ottawa présente, en
partenariat avec le CNFS - Volet Université de Moncton, une série de conférences qui
sont retransmises par vidéo, en direct de l’Hôpital Montfort, à Ottawa.
Ces conférences se veulent une activité de formation continue multidisciplinaire
destinée aux professionnelles et professionnels de la santé.
La deuxième conférence de la programmation Automne 2017 aura lieu le jeudi 12 octobre
2017 de 13 h à 14 h. Elle s’intitule L’influence du contexte sur le développement
des enfants d’âge préscolaire : résultats d’une recherche-intervention et sera
présentée par Louise Legault, chercheure associée à la Société de recherche sociale
appliquée à Ottawa.
Devenir francophone est l’aboutissement d’un processus de socialisation prenant place
dans les milieux familial, préscolaire, scolaire et socio-institutionnel. Or, la
réalité d’un contexte minoritaire fait en sorte que les enfants d’âge préscolaire
sont exposés à deux cultures à un moment où leur identité se définit et leurs
habiletés langagières sont en développement. D’où l’importance de les exposer au
français dans l’ensemble des contextes sociaux dès la petite enfance. C’est dans cet
esprit que le projet Capacité d’apprentissage a évalué rigoureusement un programme
visant à influencer les principaux milieux – garderie et foyer – dans lesquels
l’enfant grandit, avec une attention particulière au développement des compétences
langagières, de l’identité et du sentiment d’appartenance envers la communauté
francophone, en plus de l’acquisition de compétences associées à la réussite
scolaire. Au-delà de ces retombées, cette stratégie est l’une parmi d’autres sur
laquelle comptent les communautés francophones minoritaires pour assurer leur vitalité
ethnolinguistique.
À noter que cette conférence est diffusée en mode webinaire (de votre poste de
travail). Toutefois, il est possible de réserver une salle médiatisée pour diffuser la
conférence pour les groupes d’au minimum huit personnes qui en feront la demande au
moins une semaine avant la diffusion.
Pour obtenir le lien permettant de visionner la conférence ou pour plus de
renseignements, prière de communiquer avec Myriam Cormier ou Rachelle Lanteigne au CNFS -
Volet Université de Moncton : cnfs@umoncton.ca/858-4655.
La programmation complète est disponible en ligne.
| L’équipe CONNECT à l’Expo 2017 sur l’autisme à Dieppe
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L’équipe CONNECT à l’Expo 2017 sur l’autisme à Dieppe L’Expo 2017 sur l’autisme à Dieppe, tenue le dimanche 1 er octobre, fut un
succès. Première exposition de ce genre au Nouveau-Brunswick, l’Expo 2017 a été
organisée par le Centre de ressources sur l’Autisme et a permis de rassembler les
organisations offrant des services aux familles touchées par l’autisme. L’équipe
CONNECT était sur place.
Les bénévoles ont distribué et promu l’enquête CONNECT sur l’évaluation des
besoins des adultes autistes et le Sommet sur les adultes autistes de novembre. Dre
Caroline Jose, chercheuse à l’Unité de SUPPORT SRAP des Maritimes (USSM) et à
l’Université de Moncton, était l’une des conférencières. Elle a présenté le
projet CONNECT devant une salle bondée de parents, de professionnelles et de
professionnels avides d’en apprendre davantage sur les services pour les adultes
autistes au Nouveau-Brunswick.
D’excellentes conférences ont été données tout au long de la journée. Entre autres,
Louise Tardif d’Autism Connections Fredericton a mis de l’avant les dix raisons
essentielles pour lesquelles les autistes doivent faire partie du récit entourant les
services et la recherche en autisme.
Pour en apprendre davantage sur le projet CONNECT et ce premier sommet interprovincial sur
les adultes autistes, veuillez consulter le site
Web ou envoyer un courriel à connect@mssu.ca.
| S’épanouir sous la pression : La résilience au travail
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S’épanouir sous la pression : La résilience au travail Pour souligner la Journée mondiale de la santé mentale 2017, le Comité Mieux-être
universitaire, en collaboration avec le Service des ressources humaines et le programme
d’aide aux employés et la famille Shepell, vous invite à son premier dîner-causerie,
nommé S’épanouir sous la pression : La résilience au travail.
Cet atelier enseigne aux participantes et participants qu’une meilleure connaissance de
soi et de la pratique les aideront à renforcer leur résilience lorsqu’elles et ils
sont aux prises avec des situations difficiles. L’atelier a comme objectifs de
comprendre pourquoi certaines personnes gèrent facilement des situations difficiles
tandis que d’autres en sont accablées, de reconnaître que l’attitude, les gestes et
les choix ont des répercussions sur la résilience, de comprendre le lien qui existe
entre l’esprit et le corps et son effet sur la résilience et de mettre en œuvre des
stratégies pour s’épanouir sous pression.
Cet atelier d’une heure, animée par Stéphanie Maillet, se déroulera au local 250 du
CEPS Louis-J.-Robichaud au campus de Moncton le mardi 10 octobre 2017. Un léger goûter
sera servi. L’inscription est gratuite, mais vous devez vous inscrire avant le
vendredi 6 octobre 2017.
| Lorsque l’art en dit plus que les mots
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Lorsque l’art en dit plus que les mots Dre Jalila Jbilou et son équipe de recherche, de l’Université de Moncton et du Centre
de formation médicale du Nouveau-Brunswick (CFMNB) mènent le projet Mind The Heart/Cœur
à l’Esprit. Ce projet vise à faire la promotion et la sensibilisation du bien-être
mental ainsi qu’à encourager l’adoption de pratiques saines et positives chez les
personnes ayant vécu un événement cardiaque grave. Ce projet de recherche-action se
penche sur le lien entre la dépression, l’anxiété et le syndrome post-traumatique
avec les maladies cardiaques, en particulier chez les hommes. Une série d’interventions
novatrices, intitulées InfoCardio, ont été développées en collaboration avec les
patients et les professionnels de la santé du Programme Coeur en santé.
Le lundi 25 septembre 2017, plus d’une trentaine de personnes ont participé à
l’exposition Des photos, des peintures, au-delà des mots. Les participants aux
sessions PhotoVoice et PaintNight ont eu l’occasion d’y exposer leurs
oeuvres et d’en discuter avec les invités. Ces interventions, développées sous la
direction de Dre Jbilou, font partie d’une série d’activités artistiques de groupe
menées au sein du programme Coeur en santé. Ces interventions reposent sur l’échange
d’expériences, la discussion des défis ainsi que des stratégies d’adaptation
positives en suite à un événement cardiaque grave. De plus, l’exposition a permis le
lancement de capsules vidéo de sensibilisation sur les besoins psychologiques des hommes
ayant vécu un événement cardiaque grave. Ces vidéos mettent en vedette des
participants du programme Coeur en santé.
L’équipe Mind The Heart/Cœur à l’Esprit tient à remercier les artistes, les
membres de la communauté qui ont assisté à cette exposition ainsi que Monique Dufour
Doiron et Michèle Cormier, du programme Coeur en santé, pour leur précieuse
collaboration.
Une entrevue, menée par Radio-Canada, a été faite avec Dre Jbilou.
Pour de plus amples renseignements, prière de communiquer avec Rana Sughayar,
coordonnatrice nationale du projet, par téléphone au (506) 858-4721 ou par courriel à
l’adresse rana.sughayar@umoncton.ca.
| Cours donné à l’amphithéâtre extérieur de la Bibliothèque Champlain
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Cours donné à l’amphithéâtre extérieur de la Bibliothèque Champlain En septembre, Michel J. Johnson, professeur à l’École de kinésiologie et de loisir du
campus de Moncton, a donné son cours d’Introduction à la kinésiologie à
l’amphithéâtre extérieur de la Bibliothèque Champlain. M. Johnson a donné à ses
étudiantes et étudiants un cours sur les Jeux olympiques et a décidé de faire un
retour dans le temps de la Grèce antique et de réunir son groupe dans
l’amphithéâtre. M. Johnson prévoit en refaire l’expérience dans les années à
venir.
| La recrue Maëlle Rioux des Aigles Bleues s’alignera avec l’équipe de hockey de France
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La recrue Maëlle Rioux des Aigles Bleues s’alignera avec l’équipe de hockey de France L’attaquante recrue des Aigles Bleues de l’Université de Moncton au hockey féminin,
Maëlle Rioux, s’alignera avec l’équipe nationale féminine de la France pour le
Tournoi de la Coupe des quatre nations, en Hongrie, du 6 au 13 novembre, à Miskolc.
Rioux a appris la nouvelle cette semaine. « C’est une expérience que je ne peux pas
manquer, a dit la joueuse de 5 pieds et 2 pouces. C’est un nouveau départ pour moi.
L’entraîneur-chef de l’équipe me donne une chance et je dois performer. »
Il y aura environ 22 filles qui y seront invitées et Rioux va tout mettre de son côté
pour jouer. En 2013, elle avait été membre de l’équipe nationale -18 ans au
Championnat du monde. Elle a aussi été convoquée à deux autres occasions, en Suisse et
en Allemagne avec la formation française.
« J’ai bien joué et j’ai été rappelée, a-t-elle ajouté. Je suis excitée d’y
aller et j’ai hâte. C’est une fierté de représenter mon pays. Je suis née en
France et j’y ai vécu plusieurs années, tout comme au Canada. C’est important pour
moi de représenter mon pays de naissance. »
La force de Rioux est sa vision du jeu. Elle est capable d’ouvrir le jeu, de faire de
bonnes passes, de faire preuve d’intelligente avec la rondelle et de ne pas faire trop
d’erreurs. La Hongrie, la France, le Danemark et la Corée du Sud seront du tournoi des
quatre nations.
L’entraîneur des Aigles Bleues, Denis Ross, se dit heureux de cette chance pour sa
joueuse, même s’il va la perdre pour quelques parties. « C’est un honneur pour
notre programme de hockey, a dit Ross. Je suis bien heureux qu’elle puisse jouer sur la
scène mondiale et acquérir cette expérience. »
| Serge LeBlanc vivra l’expérience olympique
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Serge LeBlanc vivra l’expérience olympique Serge LeBlanc, préposé à l’équipement de l’Université de Moncton, de
Grande-Digue, va vivre sa première expérience olympique. Ayant accepté un des deux
postes de gérant de l’équipement de l’équipe canadienne de hockey sénior féminin,
il participera aux Jeux olympiques de Pyeongchang, en Corée du Sud, en février.
LeBlanc a débuté son emploi à Calgary lundi et sera de retour au campus de Moncton le 2
avril 2018. L’équipe canadienne a un calendrier bien chargé au cours des prochains
mois pour bien se préparer aux Jeux olympiques. La formation va disputer des rencontres
face à des équipes masculines de catégorie midget AAA en Alberta, en plus de six matchs
contre la formation américaine un peu partout en Amérique du Nord. L’équipe se rendra
en Floride, en novembre, pour le tournoi des quatre nations. Les Jeux olympiques seront
présentés en février 2018.
« J’ai accepté le poste de gérant d’équipement avec une autre personne, a dit
LeBlanc avant son départ. On s’occupe de toute la logistique reliée à l’équipement
des joueuses lors des voyages. On prépare le vestiaire et on veut éliminer tous soucis
des athlètes en ce qui concerne leur équipement afin qu’elles puissent se concentrer
sur leur tâche sur la glace. C’est ma première expérience avec l’équipe nationale
séniore. J’ai travaillé avec l’équipe canadienne des -18 ans pendant deux saisons.
J’aime aider les athlètes à se rendre au plus haut niveau possible dans leur sport.
J’aime bien travailler avec la crème de la crème et j’ai hâte de commencer.
C’était une très grande surprise d’avoir eu l’appel. Le fait qu’ils m’ont
approché est un signe que j’ai fait quelque chose de bien dans mon domaine. »
Serge LeBlanc travaille avec le Service de l’activité physique et sportive du campus de
Moncton depuis cinq ans. « Je suis heureux que Serge LeBlanc puisse vivre cette
expérience, a dit le directeur Marc Boudreau. C’est une expérience unique qui saura
l’aider dans ses tâches avec nos équipes. Je lui souhaite, ainsi qu’à toute
l’équipe, le meilleur des succès. »
L’équipe canadienne accueillera ses grandes rivales américaines le 22 octobre, à
Québec, lors d’un rendez-vous préolympique. Elles en découdront également le 25
octobre à Boston, le 3 décembre à St. Paul, au Minnesota, le 5 décembre à Winnipeg et
le 15 décembre à San Jose. Il reste à confirmer une troisième date pour un match au
Canada. Les États-Unis, le Canada, la Suède et la Finlande s’affronteront du 5 au 12
novembre à Tampa, en Floride, dans le cadre de la Coupe des quatre nations.
Le Canada a gagné quatre médailles d’or olympiques d’affilée en hockey féminin,
mais les Américaines ont remporté sept des huit derniers titres mondiaux. Vingt-huit
joueuses canadiennes sont actuellement réunies à Calgary pour se préparer en vue des
Jeux. Les Américaines font de même avec 23 hockeyeuses rassemblées à Tampa.
| Catherine Dupuis et Alexandre Thériault sont les athlètes de la semaine
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Catherine Dupuis et Alexandre Thériault sont les athlètes de la semaine Catherine Dupuis, joueuse de soccer de St-Mathias, et Alexandre Thériault, joueur de
soccer de Dieppe, sont les athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed du 25
septembre au 1er octobre 2017. Ils ont été sélectionnés par le Service de
l’activité physique et sportive du campus de Moncton de l’Université de Moncton.
Au soccer féminin, l’attaquante Catherine Dupuis a marqué deux buts et effectué une
passe dans la victoire de 4 à 0 des Aigles Bleues sur les Mounties de Mount Allison
University, dimanche. Elle a pris 11 bottés, dont cinq bien cadrés au but. Son jeu
offensif a grandement contribué aux efforts du Bleu et Or. Elle a marqué les deuxième
et quatrième filets de son équipe en deuxième demie. Elle a été nommée joueuse
Subway du match. Elle est étudiante au baccalauréat en gestion du loisir, sport et
tourisme.
Au soccer masculin, le capitaine Alexandre Thériault a été un joueur clé dans le
blanchissage de 8 à 0 des Aigles Bleus sur les Mounties. Le défenseur a été à
l’origine de plusieurs montées en attaque pour les Aigles. Il a travaillé
d’arrache-pied pour limiter le nombre de bottés vers son but et seulement un seul a
atteint le gardien. Il est étudiant au baccalauréat en sciences
sociales-criminologie.
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