Voici les archives de l’Hebdo-Campus du 16 avril 2009 au 20 septembre 2018
L’Université de Moncton décernera six grades honorifiques lors des cérémonies de collation des grades ce printemps
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L’Université de Moncton décernera six grades honorifiques lors des cérémonies de collation des grades ce printemps L’Université de Moncton décernera six grades honorifiques à d’éminentes
personnalités qui se sont distinguées grâce à un apport exceptionnel à leur domaine
respectif lors des cérémonies de collation des grades qui auront lieu aux trois
campus.
À la collation des grades du campus de Shippagan, qui aura lieu le vendredi 15 mai à
compter de 14 heures au Pavillon sportif, le chancelier, Jean-Claude Savoie, remettra un
doctorat d’honneur en travail social à Claude Snow.
Au campus d’Edmundston, le chancelier remettra un doctorat d’honneur en administration
des affaires à Lily Durepos alors que Gilles Long deviendra secrétaire général
émérite. La cérémonie aura lieu le samedi 16 mai à 14 heures à la Cité des jeunes
A.-M.-Sormany d’Edmundston.
À la collation des grades du campus de Moncton, l’Université remettra un doctorat
d’honneur en droit à l’honorable Thomas A. Cromwell, juge à la Cour suprême du
Canada. Un éméritat en sciences sera accordé à Christophe Jankowski alors que Rodrigue
Landry deviendra professeur émérite en éducation. La cérémonie aura lieu le samedi 23
mai à 13 h 30 dans le stade du Ceps Louis-J.-Robichaud.
Claude Snow
Docteur d’honneur en travail social
Travailleur social communautaire, Claude Snow a toujours eu à cœur le mieux-être des
gens les plus démunis. Par ses actions et ses écrits, il est parvenu à sensibiliser de
nombreux hauts fonctionnaires, politiciennes et politiciens du bien-fondé de la justice
sociale. Son engagement et son dévouement dépassent les frontières néo-brunswickoises.
Diplômé en philosophie de l’Université de Montréal et en éducation de
l’Université de Moncton, monsieur Snow est titulaire d’une maîtrise en service
social de la University of Manitoba et d’un certificat de l’École nationale
d’administration de Paris. Il a commencé sa carrière avec la création du régime
provincial d’aide social et il compte plus de 45 ans d’expérience dans le domaine.
Monsieur Snow a été employé dans diverses agences de service social provinciales et à
la Commission des accidentés du travail. Il a œuvré à mettre sur pied le département
de service social du Centre hospitalier Restigouche à Campbellton ainsi qu’une
résidence pour les jeunes aux prises avec des problèmes de santé mentale dans la
Péninsule acadienne. En 2011, il a collaboré avec le ministère du Développement social
et Énergie Nouveau-Brunswick à l’élaboration d’un protocole visant à éviter le
débranchement de l’électricité dans la province.
Depuis 20 ans déjà, Claude Snow travaille à son compte comme travailleur social
communautaire. La lutte à la pauvreté constitue son principal cheval de bataille. Il
offre gratuitement ses services professionnels aux bénéficiaires de l’aide sociale,
aux jeunes atteints de troubles émotionnels, aux accidentés du travail, aux travailleurs
à domicile et à des organismes à caractère social.
Reconnu par la Cour du Banc de la Reine du N.-B. comme témoin expert en travail social
lors de causes de garde d’enfants, monsieur Snow est aussi agréé par Service
correctionnel Canada pour agir à titre d’évaluateur indépendant, et agréé par la
Province du Nouveau-Brunswick pour offrir des services d’intervention de crise dans les
centres de santé mentale. Il a enseigné à l’Université de Moncton et au Collège
communautaire du N.-B.
Membre fondateur du Comité des 12, il en est le porte-parole depuis 1993. L’objectif du
groupe communautaire est d’aider les citoyennes et les citoyens éprouvés à mieux
s’affirmer et à obtenir l’égalité de statut pour l’ensemble de la population.
Parmi ses ouvrages les plus connus : Défendre les moins nantis, Plaider pour la
dignité, Secourir les mal-aimés et Marche la tête haute! Il rédige
régulièrement des mémoires qui sont présentés lors de consultations prébudgétaires
et de rencontres avec les dirigeantes et dirigeants politiques et les cadres supérieurs.
Lily Durepos
Docteure d’honneur en administration des affaires
Originaire de Grand-Sault, Lily Durepos a terminé ses études en sciences sociales à
l’Université de Moncton en 1972. Dès lors, elle fonde avec son mari la compagnie Place
Broadway ltée et fait l’acquisition de la société Alliance Assurance, maison de
courtage d’assurance automobile, d’assurance habitation, d’assurance voyage et
d’assurance entreprise. Animée d’une grande passion pour les affaires, elle gère
avec son conjoint, de façon progressive, la gestion du personnel et toutes les activités
connexes d’une jeune entreprise. L’équipe de travail grossit et le chiffre
d’affaires de la compagnie connaît un essor fulgurant, passant de 135 000 $ en 1973 à
plus de 30 M $ aujourd’hui. La compagnie compte 50 employés répartis dans neuf
succursales au Nouveau-Brunswick.
Grande avant-gardiste, travailleuse, dynamique et engagée, Lily Durepos ne laisse rien au
hasard. Déjà en 1979, Alliance Assurance figurait parmi les premiers de l’industrie au
Nouveau-Brunswick à se doter d’un système informatique.
La réussite financière et sociale d’Alliance Assurance a permis au couple Durepos de
faire d’autres projets, dont l’acquisition d’actions dans les compagnies Advantage
Financing et Technologie Keal. Place Broadway, qui évolue sous la gérance de son fils
Denis, compte aujourd’hui quarante édifices commerciaux de location.
Au fil des ans, madame Durepos s’est engagée dans sa communauté. Dans les années
1980, elle a été membre du Centre de développement des affaires, membre de la
Commission des chutes et gorge de Grand-Sault, secrétaire du Club de patinage artistique
Malobiannah et membre du conseil d’administration du Secteur science infirmière de
l’Université de Moncton – campus d’Edmundston entre 1988 et 1990. Entre 1990 et
2015, elle siège à sept conseils consultatifs de différentes compagnies d’assurance,
entre autres, celle de la compagnie Zurich Insurance où son expertise lui a valu la
présidence nationale entre 1997 et 2000. Dans les années 2000, elle devient membre de la
Fondation de l’hôpital régional d’Edmundston et membre du conseil d’administration
de la Women in Business Network, dont elle assume la présidence depuis 2007. Elle a
également siégé au sein du conseil d’administration de l’APÉCA de 2007 à 2013. De
2008 à 2009, à titre de coprésidente, madame Durepos a mené une campagne de
financement majeure pour le Manoir de Grand-Sault en amassant plus d’un million de
dollars. Depuis 2013, elle est vice-présidente du conseil d’administration de
FacilicorpNB. Elle siège également à ce jour au conseil d’administration de
l’agence de développement économique Opportunités NB.
Au cours de sa carrière, madame Durepos a reçu de nombreux prix prestigieux dont, entre
autres, le Prix de l’Entrepreneur(e) de l’année 2006, région de l’Atlantique, du
cabinet Ernst & Young et elle a reçu le « Top 50 CEO Award » de l’Atlantic Business
Magazine en 2006. Elle est également récipiendaire du prix provincial de la Femme
entrepreneure de l’année 2011.
De plus, à diverses occasions au cours des dernières années, madame Durepos a été
invitée à prononcer des conférences un peu partout en Atlantique.
Gilles Long
Secrétaire général émérite
Gilles Long a travaillé à l’Université de Moncton pendant 33 ans. Au campus
d’Edmundston, il a été directeur fondateur du Centre d’orientation, professeur
agrégé, directeur adjoint des études, secrétaire général du campus et vice-recteur.
En 1979, il devient secrétaire général du réseau de l’Université de Moncton, poste
qu’il occupa pendant 16 ans.
Natif de Clair, dans le comté de Madawaska au Nouveau-Brunswick, il possède le
baccalauréat ès arts (mention lettres) de l’Université Saint-Louis (Edmundston), le
baccalauréat en pédagogie de l’Université Saint-Joseph, et la maîtrise en
psychologie (orientation) de l’Université de Moncton.
Dès le début de sa carrière, Gilles Long se démarque comme administrateur de premier
plan. En 1969, il devient président du comité d’étude et coauteur du mémoire du
Collège Saint-Louis à la commission de planification académique de l’Université de
Moncton. Toujours au campus d’Edmundston, en tant que secrétaire général, il
deviendra un joueur clé en tant que secrétaire du conseil d’administration, du bureau
de direction et de la commission des études. Pendant cette période, il sera président
du comité d’admission des étudiantes et des étudiants, du comité de recrutement des
étudiantes et des étudiants, du comité d’attribution des bourses et représentant
patronal au comité de négociation de la convention collective des professeures et
professeurs.
En 1979, il déménage à Moncton et devient membre de l’équipe de direction
institutionnelle. Membre du cabinet du recteur, il sera de tous les dossiers en tant que
secrétaire du Conseil des gouverneurs et du Sénat académique et de nombreux comités.
En tant que secrétaire général, il a accumulé une connaissance très approfondie des
mécanismes décisionnels de l’Université. En 1991, on lui confie un dossier fort
important, soit celui de présider le comité de gestion de la planification stratégique
de l’Université de Moncton. D’autres grands dossiers suivront. On ne peut non plus
passer sous silence son travail dans l’organisation des collations des grades et des
installations de chanceliers et de recteurs. En tant que signataire officiel de
l’Université de Moncton, Gilles Long aura signé plus de 10 000 diplômes ainsi que
rédigé et signé plus de 1500 procès-verbaux.
Gilles Long a longtemps été considéré comme étant la « mémoire » de
l’Université.
Les recteurs et vice-recteurs ainsi que les membres de la grande famille universitaire ont
reconnu et reconnaissent toujours son intégrité, son efficacité, son bon jugement, son
grand sens d’équité et de justice, son intelligence, son grand respect du protocole
ainsi que sa contribution exceptionnelle à l’évolution, à l’épanouissement et au
rayonnement des trois campus.
Thomas A. Cromwell
Docteur d’honneur en droit
C’est en décembre 2008 que l’honorable Thomas Albert Cromwell accède au plus haut
tribunal du pays, la Cour suprême du Canada. En tant que juge bilingue, il remplace
l’honorable Michel Bastarache en tant que représentant de la région atlantique. La
nomination du juriste, dont l’excellence et l’engagement ont été reconnus à maintes
reprises, est chaudement accueillie à l’échelle nationale.
Au cours d’une longue carrière, l’éminent juriste et universitaire touche à tous
les aspects de la profession juridique : il a été avocat, arbitre, professeur et juge.
Il impressionne par son sens de la justice, ses capacités d’analyse et de communication
et son importante contribution à la formation juridique et judiciaire. Ses réalisations
sont nombreuses et partagent le même objectif : assurer la confiance des Canadiennes et
Canadiens envers leur système judiciaire.
Thomas Albert Cromwell a fait ses études à Kingston en Ontario. Il est titulaire d’un
baccalauréat en musique et en droit de Queen’s University. Il détient un diplôme
d’Associate of the Royal Conservatory of Music of Toronto et un baccalauréat en droit
civil d’Oxford University.
En plus d’avoir exercé le droit à Kingston et à Toronto, le juge Cromwell a enseigné
à la faculté de droit de Dalhousie University de 1982 à 1992 et de 1995 à 1997. Il a
été adjoint juridique au Cabinet du juge en chef à la Cour suprême du Canada de 1992
à 1995. Il a été nommé juge à la Cour d’appel de la Nouvelle-Écosse en 1997.
Thomas Albert Cromwell est toujours demeuré actif au sein de sa profession et a
grandement contribué à son avancement. Il a été président de l’Association
canadienne des professeurs de droit et du conseil du Forum canadien sur la justice civile.
Il a été commissaire de la Commission de réforme du droit de la Nouvelle-Écosse de
2000 à 2007 et a siégé à de nombreux comités au sein du Conseil canadien de la
magistrature, dont celui qui a élaboré les Principes de déontologie judiciaire.
Monsieur Cromwell a souvent enseigné dans le cadre de programmes de formation pour les
nouveaux juges de nomination fédérale et provinciale. Il est particulièrement reconnu
et apprécié pour son rôle en tant que président du Comité d’action nationale sur
l’accès à la justice en matière civile et familiale.
Il est l’auteur ou a participé à la rédaction de six ouvrages sur la profession et a
rédigé de nombreux articles. Il a siégé au comité de rédaction de la revue
Canadian Journal of Administrative Law and Practice et est président du conseil de
rédaction de la Revue du Barreau canadien. Orateur chevronné, il prononce
régulièrement des conférences dans les facultés de droit du pays.
Christophe Jankowski
Professeur émérite en sciences
Depuis 40 ans, Christophe Jankowski ne cesse de contribuer au rayonnement de
l’Université de Moncton. Professeur et chercheur prolifique, il maintient des
collaborations fructueuses avec plusieurs groupes de recherche à l’international.
Titulaire d’une maîtrise ès sciences en chimie organique de l’Université de
Varsovie (1963), d’un Ph. D. en chimie organique de l’Université de Montréal (1968)
et d’un doctorat d’État en physique de l’Université de Paris XI (1985), Christophe
Jankowski amorce sa carrière à l’Université de Moncton en 1968.
En tant que professeur au Département de chimie et biochimie, il enseigne la chimie
générale et organique et dirigera plus de 90 étudiantes et étudiants en thèses de
maîtrise et de doctorat. De 1978 à 1982, il agit à titre de directeur du département
et pendant 10 ans (1985 à 1995), il est membre du Sénat académique et doyen de la
Faculté des études supérieures et de la recherche (FESR). C’est au cours de ses deux
mandats à la FESR que la faculté adopte sa structure actuelle. M. Jankowski mettra sur
pied le Concours des jeunes chercheuses et chercheurs de la FESR.
Grâce à ses travaux scientifiques et sa recherche, il deviendra une référence
incontournable dans le domaine. M. Jankowski a publié plus de 260 articles dans des
revues évaluées par les pairs, en synthèse chimique et en spectroscopie. Il a été
membre du conseil de rédaction de la revue Bioelectricity et est éditeur nord-américain
et membre du conseil de rédaction de la revue Spectroscopy International.
Le professeur Jankowski s’est vu octroyer des subventions du Conseil de recherche en
sciences naturelles et en génie du Canada sur une période de 19 années. Il a aussi
décroché des subventions de recherche de Santé Nouveau-Brunswick, d’Environnement
Canada et de l’OTAN. Il a établi des liens avec diverses institutions et certaines de
ces collaborations sont toujours actives, notamment avec le Centre CEA (Commissariat à
l’énergie atomique et aux énergies alternatives) de Saclay en France et l’Instituto
de Quimica de l’Université nationale autonome du Mexique.
Très engagé au sein de la communauté scientifique, M. Jankowski a été président de
la Section atlantique de l’Institut de chimie du Canada de 2004 à 2005, organisme dont
il est membre de l’exécutif pendant plus de 20 ans. Il a occupé le poste de
vice-président du conseil d’administration de l’Association francophone pour le
savoir durant trois mandats.
Le professeur Jankowski compte près de 200 communications et conférences à son actif et
est l’auteur de cinq chapitres dans des ouvrages scientifiques. Au cours de sa
carrière, il fait enregistrer six brevets au Canada et sept brevets dans d’autres pays.
À la retraite depuis 2005, Christophe Jankowski enseigne toujours des cours de chimie
organique à titre de chargé de cours/professeur associé à l’Université de Moncton.
Il demeure accrédité à diriger des thèses de doctorat pour les universités Paris VI
et d’Orléans, en France.
Rodrigue Landry
Professeur émérite en éducation
Dans ses rôles de professeur, de chercheur et d’administrateur, Rodrigue Landry a
exercé une grande influence sur le système d’éducation publique au Nouveau-Brunswick
et en milieu minoritaire canadien au cours des 25 dernières années.
Chercheur prolifique, les travaux du professeur Landry ont contribué de façon
remarquable à une meilleure compréhension de la réalité des francophones vivant en
situation minoritaire.
Véritable sommité, il s’est taillé une renommée enviable à l’échelle
provinciale, nationale et internationale. Rodrigue Landry est l’auteur et coauteur de
plus de 190 publications et rapports de recherche portant sur la vitalité
ethnolinguistique, l’autonomie culturelle, la petite enfance, le bilinguisme, la
construction identitaire, l’enseignement en milieu linguistique minoritaire,
l’apprentissage scolaire et l’éducation.
La carrière professorale de Rodrigue Landry à l’Université s’échelonne sur près
de quatre décennies. Il a été, de 1975 à 2002, professeur à la Faculté des sciences
de l’éducation à l’Université de Moncton et doyen de cette faculté de 1992 à
2002. C’est d’ailleurs au cours de son mandat comme doyen que le doctorat en
éducation a été implanté accueillant ses premières étudiantes en 2000. M. Landry a
par ailleurs été le directeur fondateur du Centre de recherche et de développement en
éducation de la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Moncton. De
2002 jusqu’à sa retraite en 2012, il a été le directeur général de l’Institut
canadien de recherche sur les minorités linguistiques, un organisme devenu une
référence au pays.
Plusieurs organismes gouvernementaux et non gouvernementaux ont fait appel aux services du
professeur Landry à titre d’expert conseil. Il a également été témoin expert dans
plusieurs causes ou procès liés à la revendication de droits linguistiques dans
plusieurs provinces et territoires canadiens.
Conférencier recherché, il a donné au-delà de 200 communications scientifiques et plus
de 250 conférences et ateliers un peu partout au monde. Au cours de sa carrière, il a
siégé à de nombreux comités universitaires, communautaires et gouvernementaux.
Rodrigue Landry est titulaire d’un baccalauréat ès arts (psychologie); d’un
baccalauréat en éducation (général); d’une maîtrise (psychologie éducationnelle)
de l’Université de Moncton et d’un Ph. D. (psychologie éducationnelle) de Wisconsin
University.
| L’Université de Moncton lance un programme de majeure en criminologie ainsi qu’un nouveau programme articulé en science infirmière
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L’Université de Moncton lance un programme de majeure en criminologie ainsi qu’un nouveau programme articulé en science infirmière À compter de septembre 2015, les personnes qui choisiront d’étudier à l’Université
de Moncton pourront s’inscrire à un nouveau programme. Il s’agit du Baccalauréat en
sciences sociales (majeure en criminologie). Ce programme vient s’ajouter à la mineure
en criminologie qui était offerte depuis maintenant deux ans grâce à un partenariat
avec Service correctionnel Canada en atlantique.
Le domaine de la criminologie suscite un grand intérêt chez les jeunes du
Nouveau-Brunswick depuis quelque temps. Déjà, plusieurs d’entre eux choisissaient de
poursuivre leurs études dans ce domaine en s’inscrivant à une université anglophone
de la province ou encore à des universités francophones ailleurs au pays.
Le programme de baccalauréat avec majeure en criminologie a pour objectif d’offrir une
solide formation générale qui permettra à l’étudiante et à l’étudiant
d’acquérir des connaissances approfondies sur les savoirs criminologiques, de
développer sa compréhension ainsi que sa capacité d’analyse critique du phénomène
criminel. Pour atteindre cet objectif, le programme de baccalauréat avec majeure en
criminologie est articulé autour de quatre axes fondamentaux : les théories
criminologiques, la criminologie appliquée, les institutions juridiques et pénales et
les thèses criminologiques.
« Le Baccalauréat en sciences sociales avec majeure en criminologie sera un programme de
haute qualité fondé sur les besoins tant de la société que de la population
étudiante, en lien avec notre plan stratégique », a déclaré le recteur et
vice-chancelier, Raymond Théberge.
En plus de présenter plusieurs débouchés vers le marché du travail, ce baccalauréat
préparera l’étudiante et l’étudiant aux études de deuxième cycle.
Par ailleurs, un nouveau programme de passerelle menant au Baccalauréat en science
infirmière entrera en vigueur en janvier 2016. Il s’agit de l’aboutissement d’un
projet lancé en 2013 grâce à un financement reçu des Programmes des langues
officielles dans l’enseignement (LOE).
En vertu de cette passerelle, les infirmières ou infirmiers auxiliaires pratiquant qui
sont diplômés du Collège communautaire du Nouveau-Brunswick (CCNB) pourront accéder à
la troisième année du programme de Baccalauréat en science infirmière de
l’Université de Moncton.
« Ce programme vient s’ajouter à l’offre de programmes articulés déjà existants
entre l’Université de Moncton et le CCNB, a poursuivi M. Théberge. De tels programmes
qui combinent formation universitaire et formation collégiale offrent aux diplômées et
diplômés un accès à des emplois et à des salaires intéressants, le tout dans un
délai raisonnable. »
| L’alUMni dévoile sa nouvelle image de marque et inaugure une salle multimédia destinée aux étudiantes et étudiants
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Pascal Haché, président de la FÉÉCUM, et Stéphane Robichaud, B.Sc.Soc. 1982, M.B.A. 2009, président du conseil d’administration de L’alUMni. |
L’alUMni dévoile sa nouvelle image de marque et inaugure une salle multimédia destinée aux étudiantes et étudiants Portée par un vent de renouveau et inspirée de sa nouvelle appellation, L’alUMni de
l’Université de Moncton fait peau neuve et se dote d’une nouvelle image de marque.
L’alUMni a dévoilé son nouveau logo, aux allures minimalistes et modernes, dans le
cadre de l’inauguration d’une nouvelle salle multimédia à la fine pointe de la
technologie, aménagée dans les locaux de la Fédération des étudiantes et étudiants
du campus universitaire de Moncton (FÉÉCUM), au Centre étudiant. L’aménagement de la
salle multimédia est le résultat d’une entente conclue entre L’alUMni et la
FÉÉCUM. Le nouvel espace portera le nom Salle de L’alUMni.
Selon le président de L’alUMni, Stéphane Robichaud, le désir d’inculquer un
sentiment d’appartenance et de fierté auprès des étudiantes et étudiants est au
centre de ce renouvellement de marque et s’inscrit dans sa volonté de créer un
rapprochement avec les futurs diplômés et diplômées.
« L’alUMni de l’Université de Moncton a pris un virage important en faisant de
l’expérience étudiante sa stratégie prioritaire pour les trois prochaines années. La
salle multimédia est un projet novateur qui vient enrichir la vie du campus en permettant
aux étudiantes et étudiants de l’Université de Moncton d’accéder à des
technologies de pointe, et ce, sans aucuns frais», se réjouit Stéphane Robichaud,
président du conseil d’administration de L’alUMni.
Image renouvelée et nouveau logo
Contemporain et d’une grande sobriété, le logo de L’alUMni emprunte une forme
sinueuse et pure qui inspire le mouvement, l’action. Bien distinctives par leur forme et
leur couleur, ainsi que par leur emplacement au centre de la dénomination, les lettres
« U » et « M » interpellent le caractère intrinsèque de l’Université de Moncton
pour L’alUMni. La représentation graphique de ces deux lettres renvoie par ailleurs à
la notion de réseau, une notion au cœur de la mission de L’alUMni. En ce qui a trait
aux couleurs retenues, le bleu et le jaune doré renvoient aux couleurs de l’Université
de Moncton, alors que le gris et le noir apportent une touche classique et inspirante. Les
mots réseau, fierté et succès constituent la signature promotionnelle et reflètent de
façon concise la raison d’être de L’alUMni.
« Nous sommes choyés et reconnaissants de l'appui de L'alUMni ainsi que de la volonté
de ses membres de participer à l'essor de la vie étudiante et au bien-être des
étudiantes et des étudiants, explique Pascal Haché, président de la FÉÉCUM. La salle
multimédia de l'alUMni n’est qu’un exemple de leur générosité. »
L’alUMni de l’Université de Moncton a pour mission de contribuer au développement de
l’institution par l’engagement et l’appui de ses diplômées, diplômés, amies et
amis.
| La Direction générale de l’Éducation permanente se dote d’un plan stratégique pour cibler ses priorités et ses objectifs
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La Direction générale de l’Éducation permanente se dote d’un plan stratégique pour cibler ses priorités et ses objectifs La Direction générale de l’Éducation permanente (DGÉP) de l’Université de Moncton
se dote d’un plan stratégique qui s’inscrit dans l’exercice de réflexion et
d’orientation de l’Université de Moncton dans le cadre de sa planification
stratégique 2020 intitulée « Un rêve qui nous appartient ».
Le plan stratégique 2020 de la DGÉP est lié aux cinq chantiers contenus dans le plan
stratégique 2020 de l’Université, soit l’enseignement de qualité et l’expérience
étudiante; l’engagement; l’internationalisation; la recherche, le développement, la
création et l’innovation; et la gouvernance responsable et l’excellence
organisationnelle.
La planification stratégique de la DGÉP est une étape cruciale au succès de cette
dernière puisqu’elle permet de définir ses orientations stratégiques, ses objectifs,
ses projets stratégiques et ses moyens pour accroître la mobilisation de son personnel.
« La planification stratégique de la DGÉP est un processus de développement de moyens
pour atteindre les objectifs qu’elle s’est fixés. C’est le point de départ du
cycle de gestion axé sur les résultats. Son succès est conditionnel à l’implication
de chacun des membres de son personnel ainsi qu’au suivi régulier de l’avancement de
ses travaux et de ses objectifs », affirme Jean-Jacques Doucet, directeur général de
l’Éducation permanente.
La planification stratégique de la DGÉP est le résultat de l’analyse de multiples
éléments propres à ses environnements interne et externe qui s’est concrétisée dans
le cadre d’une consultation et d'une participation de l’ensemble de son personnel dans
les trois campus, soit de Moncton, Edmundston et Shippagan. Elle permet de cibler des
priorités ainsi que de se doter d’objectifs organisationnels clairs et mesurables qui,
à leur tour, tracent la voie aux activités retrouvées dans chacun des plans de travail
des membres du personnel.
La carte de planification stratégique de la DGÉP est disponible à l’adresse http://www.umoncton.ca/edperm/files/edperm/wf/plan-strategique-DGEP.pdf.
L’Éducation permanente est un service académique de l’Université de Moncton. Elle
soutient et organise pour l’ensemble du réseau universitaire les programmes d’études
et les cours crédités ainsi que la formation continue et le perfectionnement
professionnel. Sa mission consiste à promouvoir une éducation aux adultes qui est au
service de l’essor social, économique, technologique et culturel des sociétés
acadienne et canadienne. Son mandat lui permet de constituer un véritable prolongement de
l’Université de Moncton auprès de la communauté en général. Elle assure à ce titre
un rayonnement régional, national et international.
| L’U de M bien représentée au premier congrès mondial des droits linguistiques
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L’U de M bien représentée au premier congrès mondial des droits linguistiques Le premier congrès mondial des droits linguistiques aura lieu à Teramo, en Italie, du 19
au 23 mai 2015. À cette occasion, les professeurs Michel Doucet et Denis Roy de la
Faculté de droit représenteront l’Université de Moncton.
Ce congrès réunit la XIVe Conférence internationale de l’Académie internationale de
droit linguistique (AIDL) sur le droit et la langue et les IXes Journées des droits
linguistiques. En plus de l’AIDL et de l’Association LEM-Italia, cette manifestation
est organisée en collaboration avec l’Observatoire européen du plurilinguisme,
l’Observatoire international des droits linguistiques, le Gruppo di studio sulle
politiche linguistiche de la Società di Linguistica Italiana, le DORIF-Università ainsi
que de nombreuses équipes de recherches d’Universités du monde entier, notamment de
l’Université de Teramo qui accueille le Congrès.
Le directeur de l’Observatoire international des droits linguistiques, le professeur
Michel Doucet, agira en tant que président d’une séance intitulée « Les
représentations des identités en contexte multilingue : pourquoi et comment intervenir?
», en plus de donner une conférence plénière intitulée « Regard sur les droits
linguistiques : l’importance du territoire vs le respect de la règle de droit ». Le
professeur Denis Roy participera, pour sa part, à une séance intitulée « Enjeux et
acteurs de la reconnaissance » ou il présentera une communication intitulée «
Connaissance humaine et droit ».
| Des étudiants de la Faculté d’ingénierie présentent des travaux de biomécanique à la Journée de recherche interdisciplinaire en santé
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir la classe du cours de Biomécanique (GMEC5370) avec l’affiche gagnante. De gauche à droite, on voit Jonathan Cormier, Simon Boudreau, Éric Michaud, Stéphane LeBlanc, Gino Allard, Miguel Gilles Brideau, Pierre Gautreau et la professeure Nancy Black. |
Des étudiants de la Faculté d’ingénierie présentent des travaux de biomécanique à la Journée de recherche interdisciplinaire en santé Trois affiches réalisées par des étudiants de la Faculté d’ingénierie ont été
présentées dans le cadre de la 7e édition de la Journée de recherche
interdisciplinaire en santé (JRIS) à l’Université de Moncton. Les affiches ont été
faites dans le cadre du cours de Biomécanique (GMEC5370) à l’hiver 2105.
L’affiche de Gino Allard et Miguel Gilles Brideau intitulée « Influence de la hauteur
d’un siège de bicyclette » a remporté le deuxième prix. Deux autres affiches
intitulées « Le soulevé de terre (deadlift)» (par Pierre Gautreau, Stéphane
LeBlanc et Éric Michaud) et « Analyse biomécanique de l’actionnement d’un parachute
sportif moderne » (par Simon Boudreau et Jonathan Cormier) ont aussi été
présentées.
Les étudiants ont appliqué les technologies disponibles au Laboratoire d’ergonomie de
la biomécanique et de génie industriel de la Faculté d’ingénierie pour leur collecte
de données décrites dans les affiches. Ils ont notamment employé le système
d’analyse de mouvement en trois dimensions, Simi Motion Systems, le logiciel d’analyse
de force statique, 3DSSP, et un transducteur de force numérique, Chatillon, permettant de
mesurer les forces de pousser et tirer.
La professeure du cours, Nancy Black, est très heureuse des résultats de ces
expériences présentées à la Journée de recherche interdisciplinaire en santé.
| Prix méritas en génie mécanique
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Prix méritas en génie mécanique La Faculté d’ingénierie a remis les Prix méritas en génie mécanique aux cinq
étudiantes et étudiants qui ont obtenu la meilleure moyenne annuelle dans leur année
respective d’étude (de la première à la cinquième année). Les récipiendaires ont
reçu un certificat soulignant leur excellence académique.
La photo nous fait voir, de gauche à droite, Roger Boudreau, directeur du Département de
génie mécanique; Mathieu Dupuis, étudiant en quatrième année; Hakim Tinaou,
étudiant en troisième année coop; Pierre Martin, étudiant en deuxième année coop;
Mathieu Albert, étudiant en cinquième année; et Gilles Roy, vice-doyen de la Faculté.
Samuel LeBreton, étudiant en première année, était absent au moment où la photo fut
prise.
| Les gagnants des concours de mathématiques Poincaré et Möbius sont couronnés
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, le professeur Donald Violette, fondateur des concours Poincaré et Möbius et des deux camps mathématiques; Everett Patterson, gagnant du 2e prix du concours Poincaré; Jacob Brown, gagnant du 2e prix du Concours Möbius; Mohamed Farhloul, directeur du Département de mathématiques et de statistique; Isaac Lee, gagnant du premier prix du Concours Poincaré; et Marie-Linda Lord, vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales. Les autres gagnants, Damien Larocque, Vincent Haché et Eliot Bergeron étaient absents au moment où la photo fut prise. |
Les gagnants des concours de mathématiques Poincaré et Möbius sont couronnés Une trentaine de personnes ont assisté à la cérémonie de remise des prix aux gagnants
des concours de mathématiques Poincaré et Möbius, édition 2015. À cette occasion, des
bourses ont également été remises aux gagnants.
En ce qui a trait au Concours Poincaré, le premier prix a été remis à Isaac Lee,
élève de la 11e année de l’école Mathieu-Martin de Dieppe. Il a reçu la médaille
d’or, un certificat d’excellence, le prix « Société mathématique du Canada »
d’une valeur de 500 $, une bourse d’accueil de 2 000 $ de l’Université de Moncton
ainsi que la bourse Poincaré d’une valeur de 1 000 $.
Le deuxième prix a été décerné à Everett Patterson, élève de la 11e année de
l’école L’Odyssée de Moncton. On lui a remis la médaille d’argent, un certificat
d’excellence, le prix du Département de mathématiques et de statistique d’une valeur
de 350 $ et une bourse d’accueil de 1 500 $ de l’Université de Moncton.
Le récipiendaire du troisième prix est Damien Larocque, élève de la 12e année de
l’école Sainte-Anne de Fredericton. Il reçoit la médaille de bronze, un certificat
d’excellence, le prix de la Banque nationale du Canada d’une valeur de 150 $ et une
bourse d’accueil de 1 000 $ de l’Université de Moncton. À noter que ces trois jeunes
participeront gracieusement à la quatrième édition des Camps mathématiques de
l’Acadie qui aura lieu à Saint-Quentin du 2 au 5 juillet 2015.
En ce qui a trait au concours Möbius, le premier prix a été remis à Vincent Haché,
élève de la 5e année de l’école Domaine étudiant de Petit-Rocher. Il a reçu un
certificat d’excellence et le prix Or de la Banque nationale du Canada d’une valeur de
150 $.
Le deuxième prix a été remporté ex-aequo par Jacob Brown, élève de la 5e année de
l’école Mgr-François-Bourgeois, de Shediac, et par Eliot Bergeron, élève de la 5e
année de l’École des bâtisseurs, de Fredericton. Les deux reçoivent un certificat
d’excellence et le prix du fondateur Donald Violette d’une valeur de 100 $. À noter
que ces élèves sont invités à participer gracieusement à la 2e édition du camp
Séjour vacances : à la découverte des mathématiques qui aura lieu à Saint-Quentin du
5 au 7 juillet.
| Conférence de Bertrand Westphal sur la traduction et la mondialisation
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Conférence de Bertrand Westphal sur la traduction et la mondialisation Le Département d’études françaises et la Chaire de recherche du Canada en études
acadiennes et milieux minoritaires présentent une conférence portant sur la
traduction et la mondialisation, le vendredi 29 mai, de 11 heures à midi, dans le
local 178 de la Bibliothèque Champlain, au campus de Moncton.
Le conférencier, Bertrand Westphal, est professeur de littérature comparée à
l’Université Limoges, où il dirige une équipe de recherche. Il a jeté les bases de
la géocritique dans plusieurs ouvrages collectifs parus aux Presses universitaires de
Limoges : La Géocritique mode d’emploi (2000) et Le rivage des mythes, une
géo-critique méditerranéenne. Le lieu et son mythe (2001). Il est aussi l’auteur
de L’œil de la Méditerranée. Une odyssée littéraire (Éditions de l’Aube,
2005) et de La géocritique. Réel, fiction, espace (Éditions de Minuit,
2007).
Bertrand Westphal animera aussi le même jour un atelier de travail sur la géocritique à
compter de 14 heures dans la salle 107A du pavillon des Arts.
Renseignements : Jean Morency au 858-4050.
| Activité de réseautage entourant le CRSNG
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir les participantes et les participants à une activité de réseautage entourant le CRSNG tenue le mercredi 6 mai dernier. |
Activité de réseautage entourant le CRSNG Une activité de réseautage tenue le mercredi 6 mai a permis à des chercheuses et
chercheurs de l’Université de Moncton et de la Mount Allison University d’échanger
entre eux en plus de rencontrer le nouveau gestionnaire régional du Conseil de recherches
en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), Gordon Deveau.
M. Deveau est en poste au Bureau régional de l’Atlantique du CRSNG depuis le 9 février
2015. Avant de se joindre CRSNG, il était gestionnaire de l'innovation à l'Agence de
promotion économique du Canada atlantique (APECA) et il était directement impliqué dans
la gestion du Fonds d'innovation de l'Atlantique (FIA) de l'Agence. Le FIA est un
programme de recherche et développement qui aide les entreprises, les universités, les
collèges et les instituts de recherche à développer et à commercialiser des produits
et services nouveaux ou améliorés.
| Deux camps de musique sont offerts à l’Université de Moncton cet été
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Deux camps de musique sont offerts à l’Université de Moncton cet été Le Département de musique de l’Université de Moncton offrira cet été deux camps de
musique pour jeunes. Ces deux différentes semaines de camps seront axées sur la musique
de chambre, c’est-à-dire la musique pour petits ensembles. Les élèves âgés de 12
à 22 ans ayant un minimum de deux ans d’enseignement en musique ou qui font partie
d’une harmonie scolaire sont invités à y prendre part.
La première semaine, du 6 au 10 juillet, est destinée aux instrumentistes en guitare,
voix, saxophone, violon, percussion ou en piano. Les élèves auront la chance de
travailler avec les maîtres de musique et professeures et professeurs du Département de
musique de l’Université de Moncton. L’atelier « Les Maîtres des Vents », sous la
supervision du quintette à vent Ventus Machina, sera présenté encore cette
année, lors de la deuxième semaine du camp, du 13 au 17 juillet.
Les deux semaines, remplies de plaisir et de défis, sont conçues pour aider les élèves
à élever leur niveau musical grâce à la compréhension de la relation entre le corps
et l’esprit, le développement d’éléments fondamentaux comme la production de son et
la technique, de même que l’exposition à un répertoire nouveau et inspirant. Les
élèves recevront des cours privés par les spécialistes du Département de musique,
ainsi que de la formation en groupe dans le contexte de musique de chambre.
Chacune des semaines se terminera avec récital offert au public à la salle Neil-Michaud
de l’Université de Moncton. Le coût est de 350 $. Un prix spécial est accordé si
deux enfants de la même famille fréquentent le camp ou si un enfant désire fréquenter
les deux camps.
Pour plus de détails ou pour vous inscrire, veuillez visiter le www.umoncton.ca/umcm-fass-musique ou communiquez avec la professeure
Monique Richard à monique.richard@umoncton.ca , (506)
858-4020.
| Un grand concert gala présenté à l’U de M dans le cadre de l’Été musical de Barachois
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Un grand concert gala présenté à l’U de M dans le cadre de l’Été musical de Barachois Pour donner le coup d’envoi à sa 35e saison, l’Été musical de Barachois propose un
grand concert gala présenté en collaboration avec le Département de musique de
l’Université de Moncton, ce jeudi 14 mai à 19 h 30, dans la salle de spectacle du
pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.
Les pianistes Julien LeBlanc et Pierre-André Doucet, directeurs artistiques de l’Été
musical de Barachois, se retrouvent sur scène en compagnie de Françoise Enguehard. Les
deux pianistes interprèteront d’abord le Concerto en do mineur BWV 1062 pour
deux pianos de Bach, puis, en compagnie de grands noms de la scène musicale canadienne,
feront découvrir au public le monde animal à travers la somptueuse musique de
Saint-Saëns et son Carnaval des animaux.
Les violonistes Isabelle Fournier et Catherine Gagné, l’altiste Susan Sayle, le
violoncelliste Benjamin Marmen, le contrebassiste Max Kasper, le flûtiste Jack Chen et le
percussionniste Michel Deschênes seront également de la partie.
Les billets pour ce concert gala sont en vente à la billetterie du Service des loisirs
socioculturels de l’Université de Moncton, au local B-150 du Centre étudiant.
Renseignements : 858 4554.
| L’humoriste Lise Dion en spectacle à Moncton le 19 mai
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L’humoriste Lise Dion en spectacle à Moncton le 19 mai L’humoriste Lise Dion sera à Moncton le mardi 19 mai pour présenter son « one woman
show » intitulé Le temps qui court. Le spectacle présenté au Centre du Casino
du Nouveau-Brunswick à Moncton est une présentation du Service des loisirs
socioculturels (SLS) de l’Université de Moncton, campus de Moncton.
Les billets sont en vente au coût de 60 $ (tout compris, places réservées). On peut se
les procurer à http://www.casinonb.ca/fr/lise-dion ou http://www.ticketbreak.com
(1-866-943-8849). On peut aussi se rendre sur place à la boutique du Casino, ouverte de
10 heures à 23 heures tous les jours.
Le temps qui court, récipiendaire du Félix « Spectacle de l’année –
Humour» et de l’Olivier « Spectacle le plus populaire », est tout à fait à
l’image de Lise Dion. Le temps qui passe l’amène à se questionner sur les étapes de
la vie, le passé, le présent, l’avenir et que se passe-t-il après tout ça? Beaucoup
de choses ont changé dans sa vie depuis. Qu’est-ce qu’il advient de Marcel et de ses
ados... qui ne sont plus tout à fait ados! Ce spectacle est une occasion de retrouver
l’une des plus grandes humoristes au Canada francophone.
Afin d’obtenir plus de renseignements au sujet de la programmation du Service des
loisirs socioculturels de l’Université de Moncton, consultez le http://www.umoncton.ca/umcm-sls/spectacles. Il est possible de suivre
le SLS sur http://www.facebook.com/slsmoncton et à @slsmoncton sur Twitter.
| Le dernier numéro de l’année d’Hebdo-Campus sera publié le 28 mai
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Le dernier numéro de l’année d’Hebdo-Campus sera publié le 28 mai Le dernier numéro de l’année 2014-2015 de l’Hebdo-Campus sera publié le 28 mai. Le
Service des communications, affaires publiques et marketing reprendra la publication du
bulletin hebdomadaire en septembre 2015.
Prière de nous soumettre vos communiqués au plus tard le vendredi précédent la sortie
du bulletin à l’adresse servcomm@umoncton.ca.
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