Voici les archives de l’Hebdo-Campus du 16 avril 2009 au 20 septembre 2018
L’École réseau de science infirmière célèbre ses 50 ans cet automne
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L’École réseau de science infirmière célèbre ses 50 ans cet automne À l’occasion de la Semaine nationale des soins infirmiers, qui se déroule du 11 au 17
mai, l’École réseau de science infirmière de l’Université de Moncton annonce
qu’elle soulignera son 50e anniversaire cet automne.
Cette année, la semaine sera soulignée sous le thème « Le personnel infirmier :
toujours à vos côtés ». De plus, la Journée internationale de l'infirmière sera
célébrée dans le monde entier le 12 mai, jour anniversaire de la naissance de Florence
Nightingale.
En septembre 1965, 14 étudiantes s’inscrivent au programme de Baccalauréat en
sciences hospitalières sous la direction de sœur Jacqueline Bouchard, dont le nom a
été donné au pavillon abritant l’École de science infirmière au campus de Moncton.
Afin de répondre aux besoins de la profession, trois ans plus tard, en 1968, le programme
offre son premier Baccalauréat en science infirmière, une formation de trois ans.
Trente ans plus tard, en septembre 1995, le programme de baccalauréat devient obligatoire
pour l’entrée dans la profession infirmière au Nouveau-Brunswick, entraînant ainsi la
création de l’École réseau de science infirmière qui offre son programme de
baccalauréat de quatre ans dans les trois campus de l’Université de Moncton.
Pour souligner ses 50 ans de cheminement, l’École organise des activités le samedi 7
novembre 2015, notamment un déjeuner de retrouvailles, un colloque avec conférenciers,
une exposition d’articles et de documents historiques ainsi qu’un conventum en
soirée.
La création d’une page Facebook (50e anniversaire de l’École de science infirmière,
Université de Moncton) permettra aux personnes intéressées de se renseigner au sujet
des activités et de partager des idées, des histoires et des photos.
Des communiqués seront aussi envoyés par courriel aux anciennes et anciens. Pour
renseignements, prière de joindre l’École de science infirmière par téléphone au
858-4255 ou par courriel à 50eEcolescienceinfirmiere@umoncton.ca.
| La FESR organise un atelier sur la mobilisation des connaissances les 13 et 14 mai
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La FESR organise un atelier sur la mobilisation des connaissances les 13 et 14 mai La Faculté des études supérieures et de la recherche (FESR) invite
les membres du corps professoral des trois campus de l’Université de Moncton
de même que les étudiantes et les étudiants des cycles
supérieurs à prendre part à un atelier portant sur la mobilisation
des connaissances, les 13 et 14 mai, de 9 heures à 16 heures, dans la salle 136 du
pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.
Cette formation intensive de 15 heures propose une introduction à la
mobilisation, au transfert, à la gestion, à l’échange, au
partage et à la coconstruction des connaissances. Elle fournit un cadre de
réflexion et d’application permettant de situer ces démarches et leurs
manifestations au sein de différents milieux : universitaire, gouvernemental,
paragouvernemental, communautaire et entrepreneurial. Cette formation vise
également à s’instruire des tendances, expériences, pratiques,
politiques et stratégies nationales et internationales développées
à cet égard depuis le début des années 2000. Des études
de cas illustrant des pratiques ciblées sont exposées et discutées
avec les participantes et les participants.
Cet atelier sera animé par Carole Lévesque, de l’Institut national
de la recherche scientifique (INRS). Elle étudie et travaille avec les populations
autochtones depuis 1972. Ses expériences de recherche de même que ses
expériences de terrain sont nombreuses et l'ont amené à
séjourner plusieurs années dans les communautés cries, inuit,
naskapies et innues. Parmi les thèmes étudiés, il faut noter la
technologie culturelle, l'éducation, la famille contemporaine, la tradition
orale, l'alimentation, le changement social, l'intégration communautaire,
la présence en ville, le travail, le développement durable,
l’autonomie politique, la gouvernance, la modernité, la société
des savoirs et la mobilisation des connaissances. Depuis une dizaine
d’années, elle contribue de manière régulière à
la constitution et au développement du dossier des savoirs des Autochtones. Avec
les années, Carole Lévesque a expérimenté et mis au point
plusieurs formules de recherche participative et collaborative dans lesquelles les
populations, à titre individuel ou communautaire, jouent un rôle
actif.
Pour vous inscrire, communiquez avec Natalie LeBlanc (fesr@umoncton.ca) d’ici au vendredi 8 mai
à 16 h 30. Les places sont limitées. Le repas du midi sera fourni pour les
deux jours.
| Le RRPSNB a tenu un Forum sur les politiques publiques de la province
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Agrandir l'imageLa photo prise au Forum nous fait voir, de gauche à droite, Nick Scott, directeur général du Réseau de recherche sur les politiques sociales du Nouveau-Brunswick; David Burns, vice-recteur (recherche), University of New Brunswick; David Phipps, directeur ResearchImpact, York University; Dragana Martinovic, professeure et titulaire de la chaire de recherche en leadership, University of Windsor; Raymond Théberge, recteur et vice-chancelier, Université de Moncton; et Viktor Freiman, professeur, Université de Moncton, et directeur, Réseau CompéTICA. |
Le RRPSNB a tenu un Forum sur les politiques publiques de la province Le Réseau de recherche sur les politiques sociales du Nouveau-Brunswick (RRPSNB) a tenu
un forum sur les politiques publiques de la province le 27 avril à l’Université de
Moncton, campus de Moncton. Organisé en marge du cinquième anniversaire de
l’organisme, ce forum a mis l’accent sur la recherche de ses membres provenant des
quatre universités publiques du Nouveau-Brunswick, du secteur communautaire et du secteur
gouvernemental.
Pendant le forum, des chercheuses et chercheurs du milieu universitaire, des intervenantes
et intervenants communautaires et des représentantes et représentants du gouvernement
ont présenté leurs projets de recherche en lien avec le thème de la journée.
L’activité a créé un lieu d’échanges et de réseautage entre les participantes et
participants provenant de divers secteurs et disciplines permettant la mobilisation des
connaissances et la réalisation de projets de recherche en collaboration qui serviront à
mieux rendre compte des problématiques liées aux politiques sociales et au
développement économique de la province.
| La 4e édition des conférences L’Acadie 2020 de L’alUMni sur le leadership connaît un grand succès
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Agrandir l'imageDe gauche à droite, on voit Gaetan Lanteigne; Alexis Couture; Denis Robichaud; Jeanne Farrah, directrice du Bureau des diplômés et de L’alUMni; Mario Thériault, président du comité organisateur; Stéphane Robichaud, président de L’alUMni; Rachel Schofield Martin; Camille Thériault; Linda Schofield, directrice générale des relations universitaires et du développement philanthropique; et Raymond Théberge, recteur et vice-chancelier. |
La 4e édition des conférences L’Acadie 2020 de L’alUMni sur le leadership connaît un grand succès Plus de 120 personnes ont assisté à la quatrième édition de la série de conférences
L’Acadie 2020, présentée par L’alUMni de l’Université de Moncton le 24 avril dans
la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.
Pour le comité organisateur, cet événement constitue une excellente tribune qui permet
de réfléchir et d’échanger sur des enjeux qui façonnent l’Acadie contemporaine, et
celle en devenir, tout en favorisant l’émergence du débat public. Il espère que les
discussions amorcées dans le cadre de l’activité se poursuivront au sein de
différents réseaux en Acadie.
« Qu’en est-il du leadership en Acadie en 2015? » fut le thème retenu cette année.
Qu’est-ce qui le caractérise? La résistance au changement freine-t-elle
l’innovation?
Pour aborder cette vaste thématique, L’alUMni a choisi de donner la parole à des
personnes qui ont fait preuve de vision et d’audace en menant des projets novateurs dans
différents secteurs d’activités, des gens qui contribuent au changement de manière
positive : Gaetan Lanteigne, porte-parole d’Ensemble vers l’avenir, projet de
rassemblement de 18 districts de services locaux avec la ville de Tracadie-Sheila; Rachel
Schofield Martin, coordonnatrice – saine alimentation et entrepreneuriat social au
District scolaire francophone Sud; et Camille Thériault, président et chef de la
direction des Caisses populaires acadiennes.
Durant la conférence, les panélistes ont souligné l’importance pour nos institutions
de vaincre l’inertie, de se transformer et d’innover pour poursuivre leur
développement. Tous ont indiqué que les solutions à nos défis se trouvent ici même et
qu’il est essentiel pour la communauté de se remettre en question pour éviter
d’être déphasée par rapport aux nouvelles réalités.
Prenant la parole en début de conférence, Alexis Couture, diplômé de la Faculté de
droit de l’Université de Moncton et jeune militant acadien, a livré un essai inspirant
sur le leadership en Acadie. « Pour continuer de progresser, il nous faut changer
d’approche, de paradigme, a déclaré Alexis Couture. Certains changements ont déjà
commencé, mais nous résistons. Le statu quo semble l’option privilégiée. Il est
grand temps pour l’Acadie de passer de la revendication à l’action. »
La conférence a été animée par Denis Robichaud, directeur des affaires provinciales
pour le Nouveau-Brunswick à la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante et
ancien journaliste.
L’alUMni de l’Université de Moncton a pour mission de contribuer au développement de
l’institution par l’engagement et l’appui de ses diplômées, diplômés, amies et
amis.
| La Revue canadienne de santé mentale communautaire publie un numéro spécial portant sur le site de Moncton du projet At Home / Chez Soi
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La Revue canadienne de santé mentale communautaire publie un numéro spécial portant sur le site de Moncton du projet At Home / Chez Soi La Revue canadienne de santé mentale communautaire publie un numéro spécial
portant sur le site de Moncton du projet At Home / Chez Soi. Plusieurs chercheuses et
chercheurs de l’Université de Moncton y ont d’ailleurs contribué.
Le Projet pancanadien At Home / Chez Soi (AHCS), lancé par la Commission de la santé
mentale du Canada en 2008, visait à étudier rigoureusement l’implantation,
l’efficacité et l’efficience de l’approche Logement d’abord sur le plan
national. Financé par le gouvernement fédéral à travers Santé Canada, AHCS impliquait
un essai randomisé comparant l’approche Logement d’abord aux services déjà
existants au sein de la communauté dans cinq villes canadiennes, soit Moncton, Montréal,
Toronto, Winnipeg et Vancouver.
Le point central de ce numéro spécial de la Revue canadienne de santé mentale
communautaire est la portion du projet menée à Moncton. En particulier, ce numéro
présente un ensemble d’articles en français et en anglais qui explorent les
caractéristiques uniques du site de Moncton, incluant le processus de planification,
l’implantation et les résultats de récits narratifs. Ces articles offrent une
contribution originale aux connaissances sur l’approche Logement d’abord en
fournissant des résultats de recherche sur son implantation dans une petite ville.
Les chercheuses et chercheurs de l’Université de Moncton qui ont contribué à ce
numéro sont Jimmy Bourque, Paul-Émile Bourque, Stéphanie Daigle, Linsay Flowers, Lise
Gallant, Charles Gaucher, Jalila Jbilou, Liette-Andrée Landry, Jacinthe LeBlanc, Stefanie
Renee LeBlanc, Danielle Nolin, Sarah Pakzad et Julie Ringuette.
Ce numéro spécial de la Revue canadienne de santé mentale communautaire est
disponible en ligne à l’adresse suivante : http://cjcmh.com/toc/cjcmh/current.
Renseignements : Centre de recherche et de développement en éducation (CRDE), crde@umoncton.ca , (506) 858-4277.
| Prix méritas en génie civil
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Prix méritas en génie civil La Faculté d’ingénierie a remis les Prix méritas en génie civil aux cinq étudiantes
et étudiants qui ont obtenu la meilleure moyenne annuelle dans leur année respective
d’étude (de la première à la cinquième année). Les récipiendaires ont reçu un
certificat soulignant leur excellence académique.
La photo nous fait voir, de gauche à droite, Buquan Miao, directeur du Département de
génie civil; Amélie Larivière, étudiante en cinquième année coop; Renée LeBlanc,
étudiante en quatrième année; Armel Stanislas Teega-Wendé Nabolle, étudiant en
première année; Nicolas Demers, étudiant en troisième année coop; Philippe Goguen,
étudiant en deuxième année; et Gilles Roy, vice-doyen de la Faculté.
| Sylvie LeBlanc et Nicolas Demers se distinguent à la Faculté d’ingénierie
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Roger Boudreau, directeur du Département de génie mécanique; Sylvie LeBlanc, récipiendaire de la médaille d’or de la SCGC; Nicolas Demers, récipiendaire du Prix Cancam ’81; et Gilles Roy, vice-doyen de la Faculté. |
Sylvie LeBlanc et Nicolas Demers se distinguent à la Faculté d’ingénierie Sylvie LeBlanc, étudiante de cinquième année en génie mécanique, régime coopératif,
à la Faculté d’ingénierie de l’Université de Moncton, est la récipiendaire de la
médaille d’or de la Société canadienne du génie mécanique (SCGM). Ce prix est
accordé annuellement à la finissante ou au finissant ayant obtenu la meilleure moyenne
cumulative en génie mécanique.
Par ailleurs, Nicolas Demers, étudiant de troisième année coop en génie civil, a reçu
le Prix Cancam ’81. Cette distinction est accordée à l’étudiante ou à
l’étudiant ayant obtenu les meilleures notes dans les cours de mécaniques appliquées.
| Valentin Dépret du Programme d’information-communication reçoit la bourse CHOIX-FM
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Valentin Dépret du Programme d’information-communication reçoit la bourse CHOIX-FM Le Programme d’information-communication a remis la bourse CHOIX-FM pour le meilleur
reportage produit dans le cadre du cours Journalisme Radio II. Le lauréat est
Valentin Dépret qui obtient ainsi une bourse de 500 $.
Son sujet portait sur les fermetures du campus de Moncton lors des multiples tempêtes de
neige qui ont marqué la session d’hiver 2015. Un débat a entouré cette situation. Le
reportage, diffusé à la radio étudiante CKUM, a fait entendre des professeures et
professeurs, des étudiantes et étudiants ainsi que le vice-recteur à l’enseignement
et à la recherche, André Samson, qui commentait les suggestions faites pour remplacer
les journées d’enseignement perdues.
D’une construction efficace, ce reportage aura permis à l’auditoire de mieux
comprendre la problématique de la fermeture du campus. De plus, Valentin Dépret a
réalisé une version télévisuelle de ce reportage rejoignant ainsi l’un des buts du
programme d’information-communication, celui de préparer les étudiantes et étudiants
en journalisme à la production multimédia.
| Modifications aux normes linguistiques : mise en application dès le 1er juillet 2015
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Modifications aux normes linguistiques : mise en application dès le 1er juillet 2015 Lors de la réunion du Sénat académique du 5 mars dernier, des modifications aux normes
linguistiques ont été adoptées. Ces changements ont été proposés par le Conseil de
la langue française dont l’un des mandats est de recommander les modifications qu’il
faut apporter à la politique et aux normes linguistiques.
Ces normes linguistiques concernent tous les cours donnés sur les trois campus, dans
toutes les facultés et unités académiques incluant les cours sous la responsabilité de
l’Éducation permanente. Les normes donnent des indications précises sur la façon de
tenir compte de la qualité de la langue écrite des étudiantes et étudiants. Ce document doit faire partie intégrante de tous les plans de cours à
partir du 1er juillet à moins que les unités académiques n’aient adopté des normes
plus sévères pour des raisons de préparation liées à la discipline.
Voici la description des changements qui ont été adoptés et leurs justifications :
• Dorénavant, seuls les travaux rédigés à la maison seront pris en compte pour la
qualité de la langue. En effet, l’évaluation de la langue écrite lors des examens ne
permet pas de mesurer la compétence à écrire de façon juste et équitable à cause,
principalement, de la contrainte du temps et le stress de performance. De plus, selon les
résultats du sondage auquel une centaine de membres du corps professoral a participé, la
qualité de l’écriture lors des examens n’était pratiquement jamais évaluée même
si elle devait l’être selon les anciennes normes.
• Les professeures et professeurs peuvent choisir de corriger une tranche de 200, 400,
600 ou 800 mots au lieu de la seule option actuelle de 400 mots. Lors des consultations
que le Conseil a menées, les membres du personnel académique ont demandé à avoir des
choix de la longueur du texte à évaluer pour tenir compte des disciplines et de la
taille de la classe.
• L’évaluation de la clarté de l’énoncé a été retirée de la prise en compte
de la qualité de la langue puisque les étudiantes et les étudiants perdaient déjà des
points à cet égard dans l’évaluation du contenu faite par leurs professeures et
professeurs. Seules les erreurs d’orthographe, de ponctuation, d’impropriété
(anglicismes), de syntaxe (construction de la phrase) ou grammaticales (accord en genre,
nombre, terminaison des verbes) sont dorénavant prises en compte.
• Les nouvelles normes donnent l’occasion au personnel enseignant de diriger les
étudiantes et les étudiants plus faibles au Centre d’aide en français afin de faire
de ces normes linguistiques un outil de formation et pas seulement de sanction.
Si vous avez des questions au sujet de ces modifications des normes linguistiques,
n’hésitez pas à contacter le Conseil de la langue française au clf@umoncton.ca ou les personnes responsables pour
chaque campus :
Marc Basque : marc.basque@umoncton.ca pour le
campus d’Edmundston
Éric Hervet : eric.hervet@umoncton.ca pour
le campus de Moncton
Carole Boucher : carole.boucher@umoncton.ca pour le campus de
Shippagan
Renseignements : http://www.umoncton.ca/clf .
| L’Université de Moncton remet quatre bourses d’études à des participantes et participants du Festival de théâtre jeunesse en Acadie
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir de gauche à droite, Noémie Roy Lavoie, responsable de la coordination du FTJA; Samuel Bouchard, élève de la 11e année de la Cité des jeunes A.-M.-Sormany d’Edmundston et récipiendaire du prix Meilleur comédien dans un rôle de soutien – niveau secondaire; Rémika Bérubé, élève de la 12e année de la Cité des jeunes A.-M.-Sormany et récipiendaire du prix Meilleure comédienne dans un rôle principal – niveau secondaire; Arielle Wyatt, élève de la 9e année de la Cité des jeunes A.-M.-Sormany et récipiendaire du prix Meilleure comédienne dans un rôle de soutien – niveau secondaire; Andréi Zaharia, directeur du Département d’art dramatique de l’Université de Moncton, et Dominic Geneau, élève de la 12e année du Carrefour Beausoleil de Miramichi et récipiendaire du prix Meilleur comédien dans un rôle principal – niveau secondaire. |
L’Université de Moncton remet quatre bourses d’études à des participantes et participants du Festival de théâtre jeunesse en Acadie Pour une troisième année consécutive, l’Université de Moncton a offert des bourses
d’études s’élevant à 4 000 $ lors de la cérémonie de remise des prix du Festival
de théâtre jeunesse en Acadie (FTJA), édition 2015, qui s’est déroulé à Caraquet
du 25 au 27 avril dernier.
Les quatre élèves qui ont reçu une bourse d'études de 1 000 $ chacune sont Rémika
Bérubé, élève de la Cité des jeunes A.-M.-Sormany d’Edmundston et récipiendaire du
prix Meilleure comédienne dans un rôle principal – niveau secondaire; Dominic
Geneau, élève du Carrefour Beausoleil de Miramichi et récipiendaire du prix Meilleur
comédien dans un rôle principal - niveau secondaire; Arielle Wyatt, élève de la
Cité des jeunes A.-M.-Sormany et récipiendaire du prix Meilleure comédienne dans un
rôle de soutien – niveau secondaire; et Samuel Bouchard, élève de la Cité des
jeunes A.-M.-Sormany et récipiendaire du prix Meilleur comédien dans un rôle de
soutien – niveau secondaire.
| Simon St-Onge était de passage au campus de Moncton
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Diane LeBreton, vice-doyenne de la Faculté des sciences de l’éducation; Simon St-Onge, et Marianne Cormier, doyenne de la Faculté. |
Simon St-Onge était de passage au campus de Moncton Simon St-Onge, ce jeune homme originaire d’Edmundston qui traverse le Canada à vélo
pour sensibiliser la population au suicide et pour amasser des fonds pour une bourse à la
mémoire de son beau-père, Michel McSween, était de passage au campus de Moncton le
lundi 4 mai 2015.
Âgé de 22 ans et finissant au Baccalauréat en éducation de l’Université de Moncton,
Simon a fait une brève présentation de son projet et a rencontré la presse avant de
reprendre la route vers Sydney en Nouvelle-Écosse.
Pour réaliser son projet d’envergure, Simon compte sur la contribution financière de
commanditaires et donateurs. Les gens peuvent aider Simon et faire un don en ligne en se
rendant sur le site web de la Fondation Saint-Louis-Maillet ( https://www.nb-shoppingonline.com/fondationslm/don.php). Il sera
également possible de suivre Simon dans son périple de deux mois et demi à vélo en le
suivant sur la page Facebook Projet Michel McSween.
| Sébastien Gauthier sera de l'alignement des Aigles Bleus en septembre
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Sébastien Gauthier sera de l'alignement des Aigles Bleus en septembre Le défenseur Sébastien Gauthier, de Sainte-Julie au Québec, sera de l'alignement de
l’équipe de hockey des Aigles Bleus pour la prochaine saison de Sport universitaire de
l'Atlantique (SUA).
Gauthier a partagé sa dernière campagne entre les Saguenéens de Chicoutimi et les
Cataractes de Shawinigan de la Ligue de hockey junior majeure du Québec.
«Avec le départ de deux vétérans, nous avons besoin de renfort à la défense, a
souligné l’entraîneur Serge Bourgeois. Nous savons que Sébastien est en mesure de
jouer défensivement et offensivement. Il est un solide défenseur qui pourra aider notre
équipe.»
«J'ai choisi l'Université de Moncton parce que l'équipe a démontré un grand intérêt
pour moi, a dit Gauthier. Je n'ai pas encore visité le campus, mais je n'ai pas de doute
que ce sera très bien pour combiner les études et le hockey.»
Le robuste défenseur a joué 38 parties avec Chicoutimi et 26 avec Shawinigan durant la
saison 2014-2015. «Je suis un défenseur qui aime le jeu robuste, a-t-il ajouté. Je sais
que je pourrai continuer à m'améliorer avec les Aigles Bleus. Ma période d'adaptation
du hockey junior majeur au hockey universitaire devrait être assez courte. J'apporte mon
leadership et mon jeu constant aux Aigles Bleus.»
Gauthier a fait des études en administration des affaires au CÉGEP et prévoit faire de
même à l’Université de Moncton.
| Le père Paul Breau célèbre ses 60 ans de sacerdoce
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, soeur Ida Nowlan, agente de pastorale; Rosalie Boudreau, présidente du Conseil de pastorale de la paroisse Notre-Dame d’Acadie; Père Paul Breau, aumônier et jubilaire; Marie-Linda Lord, vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales de l'Université de Moncton; et monseigneur Valéry Vienneau, archevêque du diocèse de Moncton. |
Le père Paul Breau célèbre ses 60 ans de sacerdoce Une fête en l’honneur du père Paul Breau, aumônier de la paroisse Notre-Dame
d’Acadie depuis 15 ans, a eu lieu dimanche dernier à la chapelle du campus de Moncton.
Père Paul Breau célébrait un jalon important de sa vie : 60 ans de sacerdoce. À cette
occasion, une messe a été célébrée par monseigneur Valéry Vienneau, archevêque du
diocèse de Moncton.
La fête s’est poursuivie après la messe avec un repas servi au resto-lounge Le 63, au
Centre étudiant. Plusieurs hommages ont été rendus, notamment par Marie-Linda Lord,
vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales, au nom de l’Université.
Nombreux étaient ceux et celles qui ont voulu remercier le père Paul Breau de son
engagement soutenu envers la communauté universitaire et les paroissiennes et paroissiens
de Notre-Dame d’Acadie.
| Exposition des finissantes et finissants en arts visuels de l’Université de Moncton
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Exposition des finissantes et finissants en arts visuels de l’Université de Moncton La Galerie d’art Louise-et-Reuben-Cohen présente l’exposition annuelle des
finissantes et finissants du Département des arts visuels de l’Université de Moncton
jusqu’au 31 mai.
En peinture, Claudie Landry, de Shédiac, s’intéresse à la narration décousue,
créant un assemblage d’objets juxtaposés, mais reconnaissables, dont les proportions
sont incongrues et déroutantes. En estampe, elle explore la répétition de motifs dans
une grille où le support fait intégralement partie de l’image.
Originaire de Dieppe, François Bordeleau propose un travail architectural en céramique
où la simplicité et la géométrie se côtoient pour donner libre cours à
l'interprétation de l'observateur.
Née à Québec d’origine acadienne, Marie-France Robichaud s’intéresse aux espaces
et aux territoires habités en analysant les déménagements de trois personnes. En
céramique, elle explore la condition humaine avec humour et pathos, comparant les ères
classique et contemporaine, toutes deux axées sur l’excès.
Que ce soit en sculpture ou en estampe, Jennifer-Anne Rousselle de Tracadie-Sheila fait de
la critique sociale. Elle crée des mises en scènes qui apportent le spectateur à se
questionner sur son rôle dans la société.
La Galerie d’art Louise-et-Reuben-Cohen est située au 405 avenue Université, dans le
pavillon Clément-Cormier au campus de Moncton. La galerie est ouverte de 13 heures à 16
h 30 du mardi au vendredi et de 13 heures à 16 heures le samedi et le dimanche.
L’entrée est libre.
Renseignements : galrc@umoncton.ca, (506) 858-4088.
| L’artiste Paul Édouard Bourque présente un atelier à des étudiantes du Baccalauréat en éducation
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Agrandir l'imageLa photo nous montre l’artiste Paul Édouard Bourque, au centre, en présence d’étudiantes du B.A.-B.Éd. (Primaire) et de la professeure Lise Robichaud, à l’extrême droite, qui avait organisé cette visite éducative en présence de l’artiste. |
L’artiste Paul Édouard Bourque présente un atelier à des étudiantes du Baccalauréat en éducation Les 1er et 2 avril 2015, l’artiste acadien Paul Édouard Bourque a présenté une
causerie devant deux groupes du programme de B.A.-B.Éd. (Primaire). Il a parlé du
processus de création de sa série Les Mickeys qui était en montre à la Galerie d’art
Louise-et-Ruben Cohen de l’Université de Moncton.
Cette visite avait lieu dans le cadre du cours de Didactique des arts visuels au
primaire offert au Département d’enseignement au primaire et de psychopédagogie
de la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Moncton. Le but de
l’atelier d’appréciation esthétique était en lien avec la formation des
enseignantes et enseignants à l’enseignement des arts visuels au primaire.
| L’exposition itinérante L’Acadie mythique est en montre au Musée acadien de l’Université de Moncton
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L’exposition itinérante L’Acadie mythique est en montre au Musée acadien de l’Université de Moncton Le Musée acadien de l’Université de Moncton présente jusqu’au 17 mai L’Acadie
mythique, une exposition collective itinérante regroupant des œuvres d’artistes du
Nouveau-Brunswick, du Maine, de l’Île-du-Prince-Édouard, de la Nouvelle-Écosse et de
la Louisiane.
Organisée et mise en circulation par la Galerie d’art de la Saint Mary’s University
à Halifax, L’Acadie mythique présente des œuvres d’art inspirées d’objets
et de documents historiques des collections des archives et musées participants : les
Archives acadiennes de l’Université du Maine à Fort Kent, le Musée historique du
Madawaska à Edmundston, le Musée acadien de l’Université de Moncton, le Centre
acadien de l’Université Sainte-Anne, en Nouvelle-Écosse, le Musée acadien de
l’Île-du-Prince-Édouard, à Miscouche, et le Musée Acadien de la Louisiane.
Réalisée en collaboration avec Mireille Bourgeois, l’exposition s’inspire d’un
concept de l’artiste Harlan Johnson.
Le mot « mythique » se rapporte à un récit culturel partagé qui met souvent en relief
des thèmes universels, tels que la création, la genèse ou encore les relations entre
les humains et les forces naturelles et surnaturelles. Au fil du temps, les évènements
de l’histoire acadienne ont démontré un pouvoir quasi-mythologique qui engendre des
récits grandioses. En donnant à chacun des artistes participants libre cours face à
l’objet historique choisi, l’exposition crée un espace où l’artiste explore sa
vision individuelle d’une des grandes cultures fondatrices du Nouveau Monde.
Le Musée acadien est ouvert au public du mardi au vendredi entre 13 heures et 16 h 30 et
le samedi et le dimanche de 13 heures à 16 heures.
Renseignements : (506) 858-4088, maum@umoncton.ca,
http://www.umoncton.ca/umcm-maum/.
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