Vol. 42, no 15
12 janvier 2012
Les Instituts de recherche en santé du Canada accordent des subventions à deux professeures chercheuses
Ann M. Beaton, professeure à l’École de psychologie et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en relations intergroupes, et Suzanne Dupuis-Blanchard, professeure à l’École de science infirmière et directrice du Centre d’études du vieillissement, ont obtenu chacune une subvention des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) dans le cadre du dernier concours « Subvention catalyseur : Communautés de langue officielle en situation minoritaire ».

Les deux projets financés aborderont des enjeux brûlants d’actualité en santé, soit la santé mentale chez les jeunes adultes et le maintien à domicile des personnes aînées. Il est à noter que seulement cinq projets ont reçu des fonds dans le cadre de cette possibilité de financement à l’échelle du Canada. Renseignements : FESR, au 858-4310.
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Anne M. Beaton
La professeure Anne M. Beaton recevra 98 340 $ pendant un an pour réaliser le projet intitulé
La professeure Anne M. Beaton recevra 98 340 $ pendant un an pour réaliser le projet intitulé « Double minorisation, profils identitaires collectifs et santé mentale : quels sont les dispositifs de soutien chez les jeunes adultes francophones? ».

Réalisé en collaboration avec une équipe de chercheuses et chercheurs d’autres universités canadiennes, dont Diane Morin, professeure à l’École de science infirmière (campus de Shippagan, site de Bathurst), ce projet pancanadien mettra en lumière les spécificités du vécu langagier des francophones vivant en contexte minoritaire comme déterminants de la santé mentale et de la façon de recourir à des services de santé. L’analyse se déroulera dans différentes régions du pays auprès de jeunes adultes francophones vivant en contexte minoritaire fréquentant un établissement universitaire. Les résultats qui découleront de cette étude serviront de repères essentiels dans l’élaboration des pratiques et des politiques en matière de santé des francophones en milieu minoritaire.
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Suzanne Dupuis-Blanchard
La professeure Suzanne Dupuis-Blanchard bénéficie d’une subvention de 93 057 $ pendant la prochaine année pour mener l’étude intitulée
La professeure Suzanne Dupuis-Blanchard bénéficie d’une subvention de 93 057 $ pendant la prochaine année pour mener l’étude intitulée « L’influence du contexte sociolinguistique majoritaire/minoritaire sur le maintien à domicile des aînés en perte d’autonomie ». Elle sera épaulée par cinq cochercheuses et cochercheurs, y compris Majella Simard, professeur au Département d’histoire et de géographie, et Lita Villalon, professeure à l’École des sciences des aliments, de nutrition et d’études familiales.

L’étude-pilote a pour objectif de cerner l’influence de la langue sur les moyens mis en place ou utilisés par les personnes aînées pour demeurer à domicile malgré la présence d’incapacités. Elle se déroulera dans différentes localités urbaines et rurales du Nouveau-Brunswick auprès de personnes aînées francophones en situation minoritaire et d’anglophones en situation majoritaire ainsi que des membres de leur famille. Ces travaux produiront des connaissances essentielles à l’élaboration et à la réalisation d’une étude de plus grande envergure portant sur le maintien à domicile des personnes aînées en contexte sociolinguistique minoritaire à l’échelle nationale.
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Fernand de Varennes

Fernand de Varennes est chercheur invité à l’Observatoire international des droits linguistiques

L’Observatoire international des droits linguistiques logé à l’Université de Moncton accueille Fernand de Varennes en tant que chercheur invité.



M. de Varennes est professeur invité aux programmes de maîtrise en droits de la personne à l’Université de Pékin, en Chine, à l’Université de Prétoria, en Afrique du sud et à l’Université nationale des Maldives. De plus, il est rédacteur en chef de la revue Asia-Pacific Journal on Human Rights and the Law et lauréat 2004 du prix Linguapax de Barcelone, en Espagne. Il a aussi œuvré dans le domaine des droits linguistiques et des droits des minorités au sein d’organisations internationales comme l’OSCE, l’UNESCO, le Conseil de l’Europe et l’ONU.



Pendant son séjour, l’expérience internationale du professeur de Varennes en matière de droits linguistiques sera mise à profit. En plus de prononcer une conférence-midi, intitulé « Droits linguistiques et conflits ethniques à travers le monde : leçons d’Asie, d’Afrique et d’Europe », qui aura lieu à une date qui sera annoncée plus tard, M. de Varennes travaillera sur différents projets de recherche, notamment sur la possibilité de mettre en place une maîtrise internationale en droits linguistiques et minoritaires dans le cadre du programme ERASMUS MUNDUS, ainsi que la consolidation de la portée internationale du Réseau de chercheurs et chercheuses de l’Observatoire avec l’ajout d’intervenants et d’organisations outre-mer.



Par son entremise, l’Observatoire interviendra également aux Nations Unies dans un rapport portant sur les droits linguistiques des peuples autochtones.



Renseignements : Me Michel Doucet, au 863-2136.


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Shawn LeBlanc et Patrick Lanteigne sont tous deux inscrits en génie civil à la Faculté d’ingénierie.
Shawn LeBlanc et Patrick Lanteigne ont fait belle figure à la finale mondiale de Red Bull Racing Can en Angleterre
Shawn LeBlanc et Patrick Lanteigne, tous deux inscrits en génie civil à la Faculté d’ingénierie, se sont rendus récemment au site des quartiers généraux de Red Bull Racing, à Milton Keynes, en Angleterre, pour y affronter les champions nationaux des 25 pays invités.

Le duo de l’Université de Moncton s’est classé huitième sur les 16 équipes qui étaient en Angleterre pour la grande finale. L’équipe baptisée Team Hardwear pour l’événement a récolté un total de 35 points, soit huit pour l’idée, cinq pour le design, six pour l’assemblage et 16 pour la course.

Afin de prendre part à cette compétition internationale, les étudiants avaient d’abord remporté la finale canadienne tenue au HEC Montréal. En plus de Moncton, les étudiants des universités canadiennes de Montréal, McGill, Toronto, Lethbridge, McMaster et Queens avaient eu la chance de démontrer leurs talents d’ingénieurs, leurs côtés techniques et leurs compétences de conduite après avoir construit leurs propres bolides de compétition pour affronter leurs pairs en qualifications régionales. D'un océan à l'autre, les étudiants ont fait preuve de créativité, d'imagination et de vitesse. En Formule Un, c’est la haute technologie qui fait la course mais lors du Red Bull Racing Can, c'est la canette qui vole la vedette.

Des équipes de deux (un chauffeur et un chef technique – Shawn LeBlanc) n'ont pas seulement coursé contre la montre, mais ont aussi été jugés sur l'apparence, le style et la performance technique de leurs voitures de course fabriquées à la main, exclusivement à partir de canettes de Red Bull. Les bonnes roues, un design sophistiqué et les compétences d'ingénierie ont été la clé du succès.

Trois juges, dont Sébastien Toutant, planchiste professionnel et médaillé d’or en snowboard slopestyle chez les hommes au Jeux d’hiver X Games 15, ont accordé des points pour le design, la créativité et la réalisation technique des cannettes de course. Une cannette qui se retrouvait trop souvent hors circuit obtenait moins de points qu’une autre qui glissait en douceur à travers les virages et les épingles du parcours.

Red Bull Racing Can est une série de courses universitaires. Un maximum de 24 compétiteurs participent par course sur un parcours établit avec des voitures personnalisées. Afin d’être juste, le châssis de toutes les voitures sont les mêmes. C'est la carcasse des bolides, son aérodynamisme et plus particulièrement son design qui font la différence. Et c'est là que le métal se joint à la course. Le corps, les caractéristiques aérodynamiques et le design sont exclusivement faits de canettes de Red Bull parce que lorsqu’il s'agit du pointage dans cette course, une canette peut faire la différence.

La voiture la plus rapide et avec le meilleur style remporte et catapulte les gagnants des qualifications régionales à la finale nationale et ensuite à la finale mondiale de Red Bull Racing Can.
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Dans la photo, M. Boghen est accompagné, à gauche, de son fils et petit-fils, Robert et Jonah Hecker, et de sa conjointe, Marilyn Boghen, et, à droite, de sa fille et petite-fille Alina Boghen et Kira Hecker; à l’arrière : Jacques Nuckle, directeur du Département de biologie; Yvon Fontaine, recteur; et Francis LeBlanc, doyen de la Faculté des sciences.
Andrew Boghen prend sa retraite après 37 ans au service de l’Université de Moncton
Andrew Boghen, professeur titulaire au Département de biologie du campus de Moncton et à l’emploi de l’Université de Moncton depuis 1974, a pris sa retraite à la fin du semestre d’automne.

Au cours des ans, M. Boghen a été directeur du Département de biologie et directeur du Centre de recherche en sciences de l’environnement. Entre janvier 2003 et juillet 2009, il a occupé le poste de vice-recteur adjoint à la recherche et doyen de la Faculté des études supérieures et de la recherche. Comme doyen, il a siégé aux nombreux conseils d’administration, tant sur le plan régional que national.

Ses recherches se situent surtout dans le domaine de l'écophysiologie, la parasitologie des organismes marins et l'aquaculture des mollusques. Au cours des 15 dernières années, M. Boghen a accordé de l’importance à la création d’alliances entre les scientifiques, le secteur privé et les communautés côtières. En 1996, il a mis sur pied un programme multicommunautaire et multidisciplinaire dans le bassin versant de Richibouctou, le Projet environnemental et de mise en valeur des ressources de Richibouctou (PEMVRR). En collaboration avec d’autres collègues, il a travaillé de très près avec quelques communautés amérindiennes de la région de Richibouctou pour les aider à développer des industries aquicoles locales.

Sur le plan national, M. Boghen a participé à la création de la nouvelle Stratégie fédérale de développement de l'aquaculture au Canada entre 1993 et 1995. Au cours des années, il a souvent été invité à participer aux divers ateliers nationaux portant sur le développement de l’aquaculture au Canada.

En juin 2000, M. Boghen a été élu président de l'Association aquacole du Canada, un organisme national de plus de 1 000 membres (y compris des membres d’autres pays). La même année, il a été l’organisateur en chef de la conférence millénaire internationale de l’AAC à Moncton – Aquaculture Canada 2000.

Son intérêt pour le domaine de l'aquaculture s’est traduit par le livre qu’il a édité en 1989, « Cold-Water Aquaculture in Atlantic Canada ». Une réédition beaucoup plus élaborée a été lancée en avril 1995. Cet ouvrage, publié par l’Institut canadien de recherche sur le développement régional, a été bien accueilli sur la scène internationale. Il était considéré comme le document de base par toutes les institutions atlantiques offrant des cours en pêche et aquaculture.

Sur le plan international, le PEMVRR a été choisi comme projet canadien modèle dans le cadre d'une entente de coopération bilatérale entre le Canada et l'Allemagne dans le domaine de la gestion des zones côtières. Ceci a abouti dans des échanges, des visites réciproques et des demandes de subventions auprès d’organismes internationaux de la part de M. Boghen et ses autres collègues fondateurs du PEMVRR.

Au cours des années, M. Boghen a supervisé ou a participé à la cosupervision d’une trentaine de mémoires et de thèses aux trois cycles d’études. Plusieurs de ses étudiants et étudiantes ont remporté des prix prestigieux pour la qualité de leur travail tant sur le plan national qu’international. À différents moments pendant sa carrière, il a reçu des subventions de diverses instances nationales (CRSNG, FCI), provinciales et internationales. Le montant global reçu, que ce soit en groupe ou à titre individuel, dépasse trois millions dollars depuis le début de sa carrière à l'Université de Moncton.

Plus récemment (2008-2011), M. Boghen a été invité par le CRSNG à siéger à titre de président du Comité de sélection des projets stratégiques en aquaculture et en pêches de capture.

M. Boghen est l’auteur ou coauteur de quelque 50 publications avec comité de lecture et de plus de 150 communications scientifiques (conférencier principal ou en collaboration). Il est aussi l’auteur, seul ou en collaboration, de 57 rapports scientifiques (comité avec et sans lecture) et d’une vingtaine de publications (sans comité de lecture). Des résumés portant les mêmes titres que plusieurs communications scientifiques ont souvent été, mais pas toujours, publiés sous forme de comptes rendus dans des périodiques arbitrés.

M. Boghen a toujours accordé une grande importance à la composante pédagogique. Son enseignement à l’U de M comprenait, au niveau du 1er cycle, des cours en biologie générale, l’anatomie et la physiologie, l'être humain et l'environnement, la gestion intégrée des zones côtières, la physiologie humaine, l’histologie animale, la biologie cellulaire, l’aquaculture, la parasitologie, l’initiation à la recherche et thèmes choisis en biologie contemporaine; au 2e cycle, les cours enseignés étaient le séminaire de recherche, le séminaire de lecture dirigée, le séminaire de zoologie et les écosystèmes aquatiques.

Parmi les organismes professionnels dont il a fait partie, il y a la Société des zoologistes canadiens, l’American Fisheries Society, l’American Microscopical Society, le New York Academy of Sciences, l’Asian Aquaculture Society, l’American Society of Parasitologists, l’Association canadienne française pour l'avancement des sciences, le National Shell Fisheries Association et le Crustacean Society, le Conseil des provinces atlantiques pour les sciences et Aquaculture Without Frontiers. Présentement, il est membre de la World Aquaculture Society, de la World Sturgeon Society et de l’Association aquacole du Canada depuis sa fondation en 1984.
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La photo, prise lors de la signature de l’accord, nous fait voir, de gauche à droite, assis : le recteur Zhiqian Duan, de l'Université des sciences et des technologies de Luoyang, et le recteur Yvon Fontaine; debout : le professeur Shaowen Zhang, la professeure Dongmei Chen; Runtang Lei; le professeur Yunxing Shu; le professeur Buquan Miao, directeur du Département de génie civil de l’Université de Moncton, initiateur du projet de collaboration entre les deux institutions; Aohui Duan, interprète; et Paul Chiasson, doyen de la Faculté d'ingénierie de l’Université de Moncton.
Un accord de partenariat avec une université chinoise
L'Université de Moncton vient de signer un accord de partenariat avec l'Université des sciences et des technologies de Luoyang en Chine qui facilitera l'accueil d'étudiants chinois qui veulent s’inscrire à la maîtrise en sciences appliquées de la Faculté d'ingénierie du campus de Moncton.
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Ludger Beaulieu, un seul comédien, sept personnages et un public comblé
Ludger Beaulieu a eu la piqûre du théâtre alors qu’il a monté sur les planches pour la première fois à l’école secondaire. Lorsqu’il a appris que l’Université de Moncton offrait une formation en théâtre, il savait tout de suite qu’il voulait se diriger dans ce domaine.

Étant le seul finissant en art dramatique cette année, cet étudiant originaire de Campbellton a présenté en solo la pièce « Cul-de-sac », de l’auteur Daniel McIvor. Cette pièce tournait autour du personnage principal, Léonard, et de personnages qui habitent dans le même cul-de-sac que lui. C’est avec brio que le jeune comédien a réussi à donner vie à sept différents personnages dans cette pièce de 90 minutes tissée de monologues.

« Avant de présenter la pièce, j’étais un peu nerveux, confie-t-il, mais je me sentais prêt à relever ce défi de taille. La réaction des professionnels du milieu et du public en général a été excellente. Les dernières représentations ont d’ailleurs été présentées à guichet fermé. Mon bilan est donc plutôt favorable », dit-il.

Pour lui, cette occasion a permis de faire valoir ses talents devant des professionnels du milieu. « C’était effectivement une très belle carte de visite pour moi, mais cette pièce m’a aussi amené à me développer encore davantage comme personne et comme artiste. J’ai travaillé de très près avec la professeure Marcia Babineau pendant plusieurs semaines à raison de 25 à 30 heures par semaine. Je me sens extrêmement choyé d’avoir vécu cette expérience de développement personnel et d’avoir bénéficié d’un encadrement et d’une formation personnalisée. C’était exigeant, mais l’ampleur de la tâche, même sur le plan physique, a rendu cette expérience d’autant plus enrichissante», conclut-il.

Ludger Beaulieu obtiendra le baccalauréat spécialisé en art dramatique en mai prochain. Il souhaite exercer le métier de comédien ou travailler dans le domaine soit comme régisseur ou encore comme scénographe, par exemple.
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Concours d’initiative environnementale organisé par Symbiose
Vous êtes des personnes passionnées par la nature, concernées par l’avenir de l'environnent et vous voulez faire une différence dans notre société.

Alors, vous êtes invitées à participer au premier concours d’initiative environnementale organisé par l’organisme Symbiose, qui consiste à mettre en oeuvre un plan écologique qui fera une différence auprès de la communauté universitaire. Ce concours est ouvert à tous les étudiants et étudiantes du campus et le prix pour l’idée qui aura eu le plus d’impact sera une bourse de 1 500 $.

Il faut soumettre votre idée dans une enveloppe indiquant les détails du plan ainsi que tous les noms des personnes participantes au plus tard le mardi 17 janvier à 16 heures à la Billetterie du Centre étudiant. Chaque équipe devra faire un rapport mensuel décrivant son progrès (janvier, février et mars). Le concours prendra fin le 23 mars alors que chaque équipe devra soumettre son rapport final indiquant l’impact de ses actions sur le milieu universitaire. L’équipe gagnante sera annoncée lors du Gala para-académique qui aura lieu le 29 mars; elle y recevra son prix.

Une session d’information à propos du concours aura lieu le mardi 10 janvier de 11 h 15 à midi dans la salle multifonctionnelle du Centre étudiant.

Renseignements : Mathieu Ouellette, emo8446@umoncton.ca

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La photo nous fait voir, de gauche à droite, assises : Odette Gould, Suzanne Dupuis-Blanchard et Lita Villalon; debout : Majella Simard et Jean-Luc Bélanger (AAFANB). Absences dans la photo : Sophie Éthier et Anne Leis.
L’influence du contexte sociolinguistique majoritaire/minoritaire sur le maintien à domicile d’aînés en perte d’autonomie
Une équipe de recherche nationale, dont la chercheuse principale est Suzanne Dupuis-Blanchard, professeure à l’École de science infirmière et directrice du Centre d’études du vieillissement de l’Université de Moncton, a obtenu du financement des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) dans le cadre du concours Communautés de langue officielle en situation minoritaire pour le projet intitulé « L’influence du contexte sociolinguistique majoritaire/minoritaire sur le maintien à domicile d’aînés en perte d’autonomie ».

L’étude tentera de mieux comprendre l’influence de la langue sur les moyens mis en place ou utilisés par les personnes aînées pour demeurer à domicile malgré leurs incapacités. Par le biais d’entretiens réalisés auprès d’aînés francophones et anglophones vivant tant en milieu rural qu’urbain et appartenant à différents groupes d’âge, l’équipe développera une liste des moyens utilisés par eux afin de favoriser le maintien à domicile. Elle rencontrera aussi les membres de la famille pour discuter du maintien à domicile.

Les autres membres de l’équipe sont, de l’Université de Moncton : Majella Simard, professeur au Département de géographie, et Lita Villalon, professeure à l’École des sciences des aliments, de nutrition et d’études familiales; Odette Gould, professeure au Département de psychologie de Mount Allison University; Anne Leis, professeure au Département de santé publique et d’épidémiologie de l’University of Saskatchewan; et Sophie Éthier, professeure au Département de travail social du Collègue universitaire de Saint-Boniface.

Notons aussi la collaboration de l’Association acadienne et francophone des aînées et aînés du Nouveau-Brunswick (AAFANB) comme partenaire communautaire.
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La campagne Centraide amasse 29 300 $ au campus de Moncton
La campagne Centraide au campus de Moncton a permis d’offrir plus de 29 300 $ à cet organisme si important pour la région et que nous soutenons depuis de nombreuses années. Malgré l’incertitude économique qui prévaut actuellement, le personnel et les personnes retraitées ont répondu généreusement à l’appel.

Tel que mentionné pendant la campagne, il y avait des prix de participation. Voici la liste de ceux et celles dont le nom a été tiré au hasard :

Danny Cormier, un chèque-cadeau de 25 $ de la Librairie acadienne; Jeanne Godin, une carte de membre de trois mois du Ceps Louis-J.-Robichaud; Zénon Chiasson, une carte de membre de trois mois du Ceps Louis-J.-Robichaud; Jean Desforges, un chèque-cadeau de 25 $ de Sodexho; Diane Savoie, un chèque-cadeau de 25 $ de Sodexho; Alfred Bourgeois, un permis de stationnement d’un an; et Cécile Bourque, permis de stationnement d’un an.

Le recteur, Yvon Fontaine, et le président au campus de Moncton, James Lockyer, remercient chaleureusement toutes les personnes bénévoles qui ont apporté leur soutien lors de cette campagne de financement. C’est une participation qui est toujours très appréciée. Merci également à chacun et chacune d’entre vous pour votre générosité.
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Dans la photo, Nathalie Boivin, à droite, est accompagnée de Barbara Losier.
Nathalie Boivin et le MACS-NB participent à la rencontre internationale des écoles en santé
Dans le cadre de la 15e édition des Journées annuelles de santé publique (JASP) qui ont eu lieu à Montréal, Nathalie Boivin, professeure chercheuse au campus de Shippagan, en collaboration avec Barbara Losier, directrice générale du Mouvement acadien des communautés en santé du Nouveau-Brunswick (MACS-NB), a présenté la démarche entreprise dès le début des années 2000 au Nouveau-Brunswick francophone pour développer les écoles en santé.

Les leaders d'un groupe communautaire, le Mouvement acadien des communautés en santé du Nouveau-Brunswick, ont l'idée de transposer l'approche Communautés, Villes en santé en milieu scolaire francophone. Deux régions deviennent des sites d'expérimentation du modèle Écoles en santé. Une condition est cependant incontournable : les élèves doivent être au coeur de la démarche.

Au départ, plusieurs regardent avec scepticisme ce groupe communautaire qui a l'audace de penser qu'il peut devenir un allié, un outil dans leur domaine de compétence. Encore plus, oser suggérer que sans la participation des jeunes, le succès ne peut être garanti.
Dix ans plus tard, à force de tissage de partenariats et d'actions concrètes avec les forces du milieu, la vague des Écoles en santé contribue à sa modeste façon à la transformation du système scolaire au Nouveau-Brunswick.

S'alliant à des acteurs comme la Société Santé et Mieux-être en français du Nouveau-Brunswick, la Fédération des conseils d'éducation, les écoles communautaires du ministère de l'Éducation, les districts scolaires, la Fédération des jeunes francophones, les intervenants scolaires du Réseau de santé Vitalité et du ministère provincial du Mieux-être, de la Culture et du Sport, le MACS-NB devient catalyseur et rassembleur.

Un nombre croissant d'écoles se déclarent « Écoles en santé » et joignent le MACS-NB créant une effervescence sans précédent. Le rapprochement tant souhaité entre les acteurs en santé se consolide. Alors qu'on s'apprête à lancer un guide pratique pour outiller les écoles en santé, l'expérience du Nouveau-Brunswick capte l'intérêt ailleurs au pays. Notre province est invité par la Société Santé en français du Canada à faire partie d'un projet pancanadien portant sur les Écoles en santé jumelant les actions des réseaux de l'Alberta, du Nord de l'Ontario, de l'Île-du-Prince-Édouard et du Nouveau-Brunswick, projet appuyé par la stratégie d'innovation de l'Agence de santé publique du Canada.
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Le 23e Concours des jeunes chercheuses et chercheurs FESR aura lieu le 21 mars
La Faculté des études supérieures et de la recherche (FESR) de l’Université de Moncton présente le 23e Concours des jeunes chercheuses et chercheurs FESR, le mercredi 21 mars au campus de Moncton.

Ce concours est destiné aux étudiantes et étudiants de premier cycle et des cycles supérieurs des universités de l’Atlantique qui souhaitent présenter en français les résultats de leurs travaux de recherche dans le cadre d’un congrès étudiant.

Le Comité organisateur incite les membres du corps professoral à encourager leurs étudiantes et étudiants à soumettre leur candidature dans l'une des quatre catégories suivantes : premier cycle et cycles supérieurs en sciences humaines et sociales, et premier cycle et cycles supérieurs en sciences naturelles et génie.

Les communications doivent être présentées oralement. Le logiciel permis pour accompagner la présentation est Powerpoint. Les concurrents et concurrentes seront évalués sur la qualité de l’exposé, la présentation et les réponses aux questions. Des prix allant jusqu'à 500 $ seront accordés dans chaque catégorie.

Pour participer, il faut soumettre la fiche d’inscription au plus tard le lundi 13 février à 16 h 30 à l’adresse cjcc@umoncton.ca. Les fiches d'inscription reçues en retard ne seront pas acceptées.

Les propositions seront choisies par un comité qui évaluera le résumé de la communication et les résultats de la sélection seront annoncés pendant la semaine du 20 février.

Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter le site Web de la FESR (www.umoncton.ca/fesr) sous la rubrique « Concours des jeunes chercheures et chercheurs ».
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9930
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, en avant : Brian Newbold, Jeanne Farrah, Suzanne Drapeau-McNally, Ginette Morin, Yolande Castonguay-LeBlanc, Yvon Fontaine, recteur et vice-chancelier; Antonine Maillet, chancelier émérite; André Richard, président du Conseil des gouverneurs; Louis R. Comeau, chancelier; Yolande Dionne, et Marie-Linda Lord; à l’arrière : Denis M. Boucher, Richard Saillant, Gilles Hébert, (Ordre du Chancelier), Dave Crandall (Ordre du Chancelier), Wilfred Alliston, Martin Waltz (Ordre du Chancelier), Yvon Melanson, Sébastien Deschênes, juge Joseph Michaud et Marc Lapointe.
Admis à l’Ordre des Régents et des Régentes et à l’Ordre du Chancelier
Lors d’une soirée de reconnaissance qui a eu lieu le 25 novembre, l’Université de Moncton a admis plus d’une quinzaine d’individus et organismes à l’Ordre des Régents et des Régentes et à l’Ordre du Chancelier.

« Cette soirée en est une qui est dédiée à la générosité, a mentionné le recteur Yvon Fontaine. C’est une reconnaissance importante pour ces individus et organismes qui participent de façon significative à l’épanouissement de l’Université de Moncton et de ses étudiants et étudiantes. Ces dons sont d’une très grande importance pour assurer la pérennité et la viabilité de notre institution. »

Trois organismes ont été admis à l’Ordre du Chancelier. Institué en 2004, cet Ordre souligne l’apport exceptionnel des entreprises, fondations, municipalités, associations et groupes religieux qui offrent un soutien financier exceptionnel à l’Université de Moncton. Pour être admis, un don minimal de 25 000 $ doit être fait. Jusqu’à présent, 132 entreprises, fondations, municipalités ou groupes ont été admis à l’un des quatre paliers de cet Ordre.

De plus, pas moins de 15 personnes ont été admises à l’Ordre des Régents et des Régentes. Créé il y a une quinzaine d’années, cet Ordre a pour but de souligner l’apport de ces gens qui acceptent de faire un don personnel appréciable d’un minimum de 10 000 $ à l’Université de Moncton. Jusqu’à présent, 476 personnes ont été admises à l’un des quatre paliers de l’Ordre.

Ces généreux dons serviront à créer de nouveaux fonds de bourses ou bonifier ceux qui existent déjà.

Les personnes intéressées à obtenir d’autres renseignements sur la possibilité de faire un don à l’Université de Moncton peuvent communiquer avec le bureau du Développement universitaire, au 506-858-4130 ou visiter le site www.umoncton.ca/dons.
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Fonds France-Acadie : un appel pour des projets artistiques, culturels, éducatifs et/ou visant la jeunesse
Dans le cadre du Fonds France-Acadie 2012, le Consulat général de France dans les provinces de l’atlantique et la Société Nationale de l’Acadie lancent un appel pour des projets artistiques, culturels, éducatifs et/ou visant la jeunesse. La date limite d’envoi des candidatures est le 1er mars.

Les projets financés par le Fonds France-Acadie doivent avoir trait aux arts, à la culture, à la jeunesse et/ou à l’éducation, à l’exclusion toutefois des jumelages de villes et des échanges scolaires (pour les échanges scolaires, vous pouvez communiquer avec la Fondation franco-acadienne pour la jeunesse, au 506-853-0404.

Ces projets doivent également répondre aux critères suivants : ne pas avoir bénéficié d’un soutien sur deux années consécutives lors des deux années précédant la nouvelle demande (2010 et 2011); être d'un intérêt commun pour la France et pour l'Acadie et concourir au renforcement des liens entre les deux peuples; faire l'objet d'un cofinancement par une tierce partie; être portés par un organisme disposant d’un statut juridique, de statuts et règlements et d’un compte bancaire; se dérouler sur le territoire des provinces atlantiques et du territoire français; et être comptabilisés financièrement avant le 1er novembre 2012.

Le soutien apporté par le Fonds France-Acadie se situe en général entre 1000 $ et 4000 $ par projet, et les salaires ne peuvent être pris en charge par le fonds.

Les formulaires sont disponibles sur le site Web de la Société Nationale de l’Acadie à www.snacadie.org et sur le site Web du Consulat général de France dans les provinces atlantiques à l'adresse Internet ci-dessous.

Pour de plus amples renseignements concernant les Fonds France-Acadie, communiquez avec Jacques Boudreau, au 506-857-4191/ jacques.boudreau@diplomatie.gouv.fr
Renseignements : 853-4252 / martin.arseneau@snacadie.org
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9939
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Dans la photo, M. Derome est accompagné du recteur Yvon Fontaine, à gauche, et de Michel Cormier, directeur de Radio-Canada en Acadie, à droite.
Bernard Derome parle du 75e anniversaire de CBC/Radio-Canada
Bernard Derome était de passage au campus de Moncton récemment où il a donné une conférence dans le cadre des célébrations du 75e anniversaire de CBC/Radio-Canada dont il assure la coprésidence. Plus d’une centaine de personnes étaient venues l’entendre.

Après 45 ans au service de Radio-Canada dont 33 passés à la barre du Téléjournal, M. Derome est l’une des personnalités les plus connues de la télévision canadienne-française, et l'ambassadeur par excellence du diffuseur public. Il est entré au service de l'information de Radio-Canada en 1965. Il a commencé sa carrière en tant que chef d'antenne du Téléjournal à Montréal en 1970, l'animant tous les soirs en semaine. Il a commenté le déroulement de plus de 23 élections fédérales, provinciales et municipales. Il a également animé des émissions d'information spécialisées, comme 5 sur 5 et Le monde à RDI.

En septembre 2007, il s'est rendu en Afghanistan pour y faire une série de reportages portant sur la présence canadienne dans ce pays.

Bernard Derome a pris sa retraite le 18 décembre 2008 au studio de Radio-Canada après une longue et fructueuse carrière.

Lors de sa conférence, il a discuté du métier de journaliste et de chef d'antenne, en plus de commenter la riche histoire du diffuseur public.
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Un numéro de la Revue de l’Université de Moncton qui porte sur la gestion des coopératives
Avec la publication de ce numéro thématique en gestion des coopératives, la Revue de l’Université de Moncton entre dans une nouvelle ère.

En effet, il s’agit du premier numéro uniquement disponible en version numérique. Depuis son association avec Érudit, la diffusion des articles publiés dans la Revue s’est grandement élargie. C’est en partie ce qui explique la décision de mettre un terme à la publication imprimée.

Ce numéro a été réalisé sous la direction du professeur André Leclerc, titulaire de la Chaire des caisses populaires acadiennes en gestion des coopératives. Le professeur Pierre Cormier en a assuré la préparation à titre de secrétaire à la rédaction de la Revue. Comme le souligne le professeur Leclerc, il se publie peu « de numéros spéciaux sur l’expérience coopérative dans les revues généralistes à caractère humaniste comme la Revue de l’Université de Moncton ». À l’heure où l’actuelle crise financière et économique nous amène à réfléchir sur les modèles de développement, la contribution du mouvement coopératif aux efforts de démocratisation de la vie économique ne peut être négligée.

Publié à la veille de l’Année internationale des coopératives, ce numéro thématique s’intéresse aux méthodes déployées par les coopératives pour répondre aux réalités du nouveau contexte social et économique. Cette adaptation s’est faite d’abord dans l’innovation. Pour permettre une plus large inclusion des forces vives de la communauté, une nouvelle forme de coopératives a été créée, la coopérative à partenaires multiples. Les Italiens ont joué un rôle de leadership dans la naissance de ce modèle coopératif. Les chercheurs Pezzini et Zandonai analysent l’évolution récente de l’expérience italienne. Au Canada, c’est le mouvement coopératif québécois qui a popularisé cette option avec la création d’un important réseau de coopératives de solidarité. Le texte de Jean-Pierre Girard dresse le portrait du chemin parcouru au Québec.

Cette adaptation se fait aussi par une réactualisation des grands principes de la coopération. Cela se fait de diverses façons. Les textes de ce numéro s’intéressent à la mise en œuvre de l’intercoopération (Omer Chouinard, André Leclerc, Maurice Beaudin, Gilles Martin et Pricette Donovou-Vinagbe), à la contribution des caisses populaires à la vitalité des communautés acadiennes (Monique Levesque et Sébastien Deschênes), à l’exploitation de l’identité coopérative comme avantage concurrentiel (Claire Gagnon) et à la mise en place d’un processus démocratique de planification stratégique (André Leclerc).

La contribution des professeurs et professeures de l’Université de Moncton à ce numéro illustre bien l’intérêt qu’on y porte pour le rôle joué par les institutions coopératives dans le développement de la société acadienne.

Tous les articles sont accessibles en ligne en format PDF sur le site Web d’Érudit à l’adresse http://www.erudit.org/revue/rum/2010/v41/n1/index.html.

Renseignements : 506-737-5193 / andre.leclerc@umce.ca
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La photo nous fait voir la cohorte 2007-2011 du Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick.
Les étudiants et étudiantes du Centre de formation médicale du N.-B. se classent au deuxième rang au pays
Le Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick (CFMNB) a laissé savoir que les étudiantes et étudiants du programme de doctorat en médecine de l'Université de Sherbrooke ont décroché le deuxième rang parmi les 17 facultés de médecine canadiennes aux examens d'aptitude du Conseil médical du Canada (LMCC), partie 1. Ceci constitue l'examen final pour l’obtention du diplôme md.

La performance des étudiants et étudiantes du site de Moncton a été tout aussi bien que celle de leurs collègues de Sherbrooke et de Saguenay.

La cohorte de Moncton est la deuxième classe de finissants du Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick et la direction se dit très heureuse de cette réalisation.

« Toutes nos félicitations à l'ensemble de la cohorte 2007-2011 et tout particulièrement aux étudiants et étudiantes du Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick pour cet excellent résultat, mentionne le doyen associé et directeur du CFMNB, Dr Aurel Schofield. Leur succès rayonne sur tous les membres de l’équipe - les médecins professeurs, le personnel, les professeurs et les professionnels qui participent à la mise à jour du curriculum, à l'enseignement, à l'évaluation et au soutien et à la coordination du programme d'études médicales prédoctorales. »

Le Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick est un projet innovateur et sociétal qui a un impact important sur la communauté francophone minoritaire de tout l’Atlantique, et plus particulièrement sur le recrutement et la rétention des professionnels de la santé, ainsi que sur l’organisation et la prestation des services de santé. Le partenariat Acadie-Sherbrooke a permis d’établir la première école de formation médicale au Nouveau-Brunswick. Basée à l’Université de Moncton, elle délivre l’enseignement d’un curriculum entièrement en français, une réussite qui ne serait pas possible sans la collaboration de l’Université de Sherbrooke, l’Université de Moncton et du gouvernement du Nouveau-Brunswick.

Sous le thème « Le savoir crée la santé de notre communauté », le CFMNB a comme mission d’assurer l’excellence en formation médicale et en recherche en santé afin de mieux répondre aux besoins de notre communauté.

« Ce résultat confirme que nous sommes sur la bonne voie », conclut le Dr. Schofield.

Pour en connaître davantage :
http://www.usherbrooke.ca/medecine/accueil/nouvelles/nouvelles-details/article/17000/
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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Symposium d'art/nature
Un symposium d'art/nature aura lieu cet automne au Parc écologique du millénaire
Un Symposium d'art/nature aura lieu du 28 septembre au 7 octobre prochain au Parc écologique du millénaire avec des incursions ailleurs dans la ville de Moncton.

Avec comme thème l'énergie, le parc et la ville deviendront pendant dix jours des laboratoires de création et d'intervention in situ et seront les hôtes d'ateliers et de conférences. L'énergie désigne le moteur de l'organisation de notre société (alimentation, transport, construction immobilière, développement urbain), le prétexte principal pour toute action (développement technique, exploration et extraction des ressources naturelles, pollution de la nature) et le transfert de capacité d'une entité à l'autre (entre êtres humains et avec l'environnement naturel et construit).

Le Parc écologique du millénaire n'est pas un îlot de verdure en milieu urbain comme les autres. Inauguré en 2000, il a pour mission d'être un outil d'éducation à l'environnement vous invitant à des actions et engagements réels et réfléchis pour inverser la crise écologique contemporaine. Il héberge plus de 600 arbres/arbustes indigènes. On y retrouve des sentiers, un pavillon, un étang et un ruisseau en bordure du campus de Moncton de l’Université de Moncton, d'un quartier résidentiel et de l’autoroute Wheeler.

Le comité d’organisation est composé de Ronald Babin, Herménégilde Chiasson, André Lapointe, Marie-Noël Ryan, Nisk Imbeault et Jean-Pierre Caissie, avec le soutien de l'Association acadienne des artistes professionnel.les du Nouveau-Brunswick, l'Université de Moncton, la Galerie d'art Louise et Reuben-Cohen et le Parc écologique du millénaire.

Renseignements : André Lapointe, au 1-418-737-4694, ou Jean-Pierre Caissie, au http://www.sulago.net
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Pascal Robichaud, représentant de l’Université de Moncton; Manon Deslauriers, deuxième vice-présidente; Marie-France Doucet, présidente; Luc Gaudet, B.A.A., secrétaire-trésorier; Jeanne Farrah, directrice des Anciens et amis; et Adélard Cormier, représentant des anciens présidents et anciennes présidentes. Absences dans la photo : Michel Rivard, premier vice-président; Marc-Antoine Chiasson, conseiller; Stéphane Robichaud, conseiller; Michelyne Paulin, conseillère; Claude Gallant, représentant des Aigles Bleus; et Ghislain LeBlanc, représentant étudiant.
AGA : un bilan favorable pour l’AAAUM
L’Association des anciens, anciennes et amis de l'Université de Moncton, campus de Moncton (AAAUM) a tenu son assemblée générale annuelle dans la salle des anciens et anciennes au pavillon Léopold-Taillon.

« L’AAAUM a connu une autre année riche en activités diverses, indique la présidente, Marie-France Doucet. Au nombre de ses réalisations, l’Association a poursuivi ses efforts pour favoriser le rapprochement avec les étudiants et étudiantes, et a mis des initiatives en place pour maintenir très actif le réseau des diplômées et diplômés et à l’élargir. »

L’AAAUM a aussi procédé à l’élection d’un nouvel exécutif. Marie-France Doucet, directrice générale du Pays de la Sagouine, diplômée au B.A.A. en 1994 et au M.B.A. en 2003, poursuit la deuxième année de son mandat à titre de présidente; Michel Rivard, B.A. 1974, Manon Deslauriers, B.A.A. 1996 et Luc Gaudet, B.A.A. (finances) 1992 poursuivent également la deuxième année de leur mandat de deux ans, respectivement à titre de premier vice-président, deuxième vice-présidente et secrétaire-trésorier.

Marc-Antoine Chiasson, L.L.B. 1997, et Stéphane Robichaud, B.Sc.Soc 1992, M.B.A.2009, ont été réélus pour un mandat d’un an à titre de conseillers. Michelyne Paulin, B.A.A 1978, a été nouvellement élue comme conseillère pour un mandat d’un an.

Le conseil est également composé de représentants de comités de l’AAAUM, soit celui des anciens présidents et anciennes présidentes, représenté par Adélard Cormier, B.A. 1970, B.Ed. 1976, M.Ed. 1988, et des Aigles Bleus, représenté par Claude Gallant, B.S.A. 1984.

Le président de la Fédération étudiante, Ghislain LeBlanc, ainsi que le représentant de l’Université de Moncton, Pascal Robichaud, B.Sc.Soc 1992 (science politique), M.A.P 1993, complètent la composition du conseil d’administration.

L’AAAUM, un organisme à but non lucratif qui regroupe plus de 40 000 personnes, a pour mandat d’assurer des liens entre les diplômées, diplômés et amis de l'Université de Moncton et leur alma mater.

Pour consulter le rapport annuel 2010-2011, visitez le www.umoncton.ca/umcm-anciens.

Renseignements : Jeanne Farrah, au 858-4130.
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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Xavier Lord-Giroux participe au Parlement jeunesse pancanadien
Xavier Lord-Giroux, étudiant en art dramatique à l’Université de Moncton, a participé en fin de semaine au Parlement jeunesse pancanadien tenu à Ottawa en tant que ministre des Affaires du Nord.

L’étudiant de troisième année originaire de Dieppe était au nombre de la centaine de jeunes âgés de 16 à 25 ans provenant de partout au pays qui ont pris part aux quatre jours d’activités sur la colline parlementaire. Cette rencontre annuelle de personnes politiques en herbe se veut une occasion d’échanges et de débats enrichissants entre de jeunes leaders. En plus de la simulation parlementaire, les personnes participantes ont droit à des conférences, ateliers de formation et rencontres privilégiées avec des hommes et des femmes politiques et des journalistes d’expérience.

Rappelons que Xavier Lord-Giroux a été élu premier ministre du prochain Parlement jeunesse de l’Acadie qui aura lieu en 2013 à Halifax. M. Lord-Giroux a été le choix de la quarantaine de jeunes qui ont pris part au Parlement jeunesse de l’Acadie tenu à Saint-Jean de Terre-Neuve et Labrador en août dernier.

En plus de son expérience au Parlement Jeunesse pancanadien et au Parlement de l’Acadie, il a siégé à d’autres rencontres du genre, notamment au Parlement législatif jeunesse du Nouveau-Brunswick à Fredericton en 2009.



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Jean-François Desrosby
Récital de guitare en compagnie de Jean-François Desrosby
Le Département de musique de l’Université de Moncton vous invite à assister à un récital de guitare en compagnie de Jean-François Desrosby, le jeudi 19 janvier à 20 heures dans la salle Neil-Michaud de l’édifice des Beaux-arts au campus de Moncton.

Reconnu pour son jeu énergique « Equaling the energy of a rock band - move aside Hetfield! » (Classical Guitar Canada), « Whoever chose the term energetic wasn’t kidding. » (Classical Guitar Magazine), le guitariste a démontré son talent tant aux États-Unis qu’au Mexique, en France, en Allemagne et au Canada.

Décrit par le magazine Infopéra comme un musicien possédant «...beaucoup de goût et le vrai sens de la musique...», le compositeur Pascal Sasseville-Quoquochi souligne également chez lui «...une technique complètement maîtrisée et d'une musicalité empreinte d'une grande profondeur...». Il fait de plus en plus sa marque dans le milieu de la guitare classique grâce à son sens musical exceptionnel, sa présence scénique de musicien rock, sa grande virtuosité et finalement, «...à la pureté de ses interprétations et à sa capacité de captiver son auditoire.» (R. Servin. Dir. F.I.G.I, Mexique).

Son premier enregistrement a été reçu avec enthousiasme et a suscité plusieurs commentaires élogieux. En plus de sa carrière de concertiste, Jean-François Desrosby est aussi reconnu comme un pédagogue recherché, enseignant la guitare classique à l'Université de Sherbrooke et donnant plusieurs classes de maîtres et conférences chaque année. Ses recherches dans le domaine de la biomécanique et de la psychologie de la performance l'ont mené à l'écriture du livre « Guitaristes classiques: Les secrets de votre potentiel! » ainsi que du blogue « The Modern Guitarist ».

Possédant le doctorat de l'Université de Montréal et récipiendaire d'un prix avec grande distinction du Conservatoire de musique de Montréal, il a aussi eu la chance de se perfectionner avec les plus grands guitaristes de notre époque en plus de recevoir plusieurs prestigieux prix et bourses au cours de sa carrière.

L’entrée libre et bienvenue à tous et à toutes.

Renseignements : Michel Cardin, au 858-4040
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9961
Littoral et vie : incitatifs financiers pour améliorer l’efficacité énergétique de sa maison
Le Groupe Littoral et vie, en collaboration avec le programme de maîtrise en études de l’environnement, présente une conférence-midi en compagnie de Rachel Lanteigne, coordonnatrice de l’information au public à Efficacité NB, qui discutera des incitatifs financiers offerts pour améliorer l’efficacité énergétique de sa maison ainsi que des ressources disponibles en ligne, le lundi 16 janvier de midi à 13 heures dans le local B-225 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

Renseignements : 858-4408/ littoral-vie@umoncton.ca
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9962
Séminaire de recherche en santé en compagnie du professeur Alain Simard
Dans le cadre de la série de séminaires de recherche en santé Vitalité, le professeur Alain Simard, du Département de chimie et biochimie de l’Université de Moncton, présentera une conférence, intitulée « La communication entre le système nerveux central et les cellules immunitaires : rôle dans les maladies neurologiques », le vendredi 13 janvier de 12 h 30 à 13 h 30 dans l’amphithéâtre de l’Auberge Mgr-Henri-Cormier du Centre hospitalier universitaire Dr-Georges-L.-Dumont.

Le système nerveux central (SNC) possède un système immunitaire unique : en état de santé, on y retrouve seulement les microglies qui assurent la protection contre les pathogènes, la survie neuronale et le bon fonctionnement général du SNC.

Cependant, ces cellules jouent un rôle très important dans le développement de plusieurs maladies neurologiques telles que la sclérose en plaques et la maladie d’Alzheimer. En outre, elles peuvent soit être bénéfiques ou néfastes selon les circonstances.

Récemment, on a découvert que plusieurs cellules immunitaires, y compris les microglies, expriment les récepteurs nicotiniques de l’acétylcholine qui sont surtout reconnus pour leur rôle dans la transmission neuronale. Le fait que ces récepteurs sont aussi retrouvés dans les cellules immunitaires pourrait expliquer comment le SNC communique avec le système immunitaire et contrôle la réponse inflammatoire. Effectivement, on a démontré que l’activation de ces récepteurs inhibe la réponse inflammatoire et diminue considérablement les symptômes chez un modèle animal de la sclérose en plaques.

Dans cette présentation, on discutera du concept de la voie anti-inflammatoire du système cholinergique, les mécanismes impliqués et son potentiel thérapeutique.
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UTASE : des cours universitaires sont offerts gratuitement
L'Université du 3e âge du Sud-Est (UTASE), en collaboration avec l’Éducation permanente de l’Université de Moncton, offre deux cours gratuits pour les personnes de 50 ans et plus commençant pendant la semaine du 16 janvier. « Le Canada depuis 1850 », du professeur Clarence Jr. LeBreton, et « L'introduction à la nutrition », en compagnie du professeur Khaled Abed, sauront vous plaire.

L'UTASE offrira également la deuxième conférence portant sur les grandes religions avec la participation de la professeure Denise Lamontagne, le vendredi 27 janvier. L'inscription à l'avance est obligatoire pour les sessions.

Pour obtenir plus de renseignements ou vous inscrire, il faut appeler au 858-4410 ou faire parvenir un courriel à utase@umoncton.ca au plus tard le vendredi 13 janvier à 16 heures.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9964
CNFS : construire sa résilience au-delà des mots
Dans le cadre de son programme d’excellence professionnelle, le Consortium national de formation en santé - volet Université d’Ottawa présente, en partenariat avec le CNFS - volet Université de Moncton, une série de conférences qui sont retransmises par vidéoconférence en direct de l’hôpital Montfort, à Ottawa. Ces conférences se veulent une activité de formation continue multidisciplinaire destinée aux personnes professionnelles de la santé.

La première vidéoconférence de ce semestre aura lieu le mardi 17 janvier de 12 h 30 à 14 heures dans le local A-231 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton. La conférence, intitulée « Construire sa résilience au-delà des mots : la puissance d’agir », sera présentée par Rachel Thibeault, professeure titulaire du programme d’ergothérapie à l’Université d’Ottawa.

Les théories modernes sur la résilience mettent principalement l’accent sur les aspects cognitivo-comportementaux ou d’autres formes de psychothérapie, mais négligent les stratégies d’ordre spirituel et physique.

La présentation portera sur une analyse d’une centaine récits de vie recueillis auprès de survivants de guerre et de torture, de personnes atteintes de sida ou de lèpre, de jeunes femmes réduites à l’esclavage et de grands-mères du sida, ces femmes âgées qui doivent élever seules les orphelins laissés par leurs enfants morts du sida. En dépit d’avoir traversé des traumatismes extrêmes, une bonne partie de ces participants ont non seulement développé une résilience remarquable, mais ils ont su aussi atteindre une forme de bonheur.

Accessibles à tous, leurs stratégies dominantes relèvent plus du domaine de l’agir que de celui de l’introspection et les éléments clefs de leur cheminement sont étudiés à la lumière des travaux de Seligman en psychologie et de ceux de Lutz, Davidson et Ricard en neurophysiologie. Leur exemple offre une approche thérapeutique simple et pertinente pour une vaste gamme de cultures.

Pour s’inscrire à la vidéoconférence ou obtenir plus de renseignements, prière de communiquer avec Melissa Richard ou Stéphanie Collin, cnfs@umoncton.ca / 858-4655.

Les places sont limitées.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9967
L’exposition « déconstruction imagée » est présentée dans la Salle Sans Sous par les étudiantes d’un cours de photographie
La Galerie Sans Nom présente trois expositions uniques : l’œuvre d’Amélie Brisson-Darveau, « Une garde-robe pour mon ombre », dans la Galerie Sans Nom; le projet de commissariat de Mireille Bourgeois, « My precious Novella », diffusé dans l’Espace audio/vidéo; et « déconstruction imagée », présentée dans la Salle Sans Sous par les étudiantes d’un cours de photographie de l’Université de Moncton. Et jusqu’au 27 avril également, le Centre culturel Aberdeen présente une exposition d’œuvres de l’artiste peintre Yvon Gallant, « La visite des États ».

Le vernissage de la GSN aura lieu le vendredi 20 janvier à 19 heures (à la suite du vernissage d’Yvon Gallant qui aura lieu au deuxième étage du Centre culturel Aberdeen de 17 heures à 19 heures). La soirée comprendra également des conférences d’artiste vers 19 h 30. L’exposition sera en montre jusqu’au 24 février.

Dans la Salle Sans Sous, cinq étudiantes d’un cours de photographie argentique présentent « déconstruction imagée ». À la suite de quelques séances de remue-méninges, ces artistes de la relève, Alisa Arsenault, Christine Pitre, Françoise Morin, Renée-Claude Marquis et Valérie Aucoin Laflamme concluent de capter deux pellicules tout en suivant leurs procédés et processus individuels, après quoi elles choisirent l’image identifiant davantage la thématique du projet de groupe. En incorporant les images de leur collègue, elles créèrent un ensemble photographique argentique qui leur est propre. Une seule contrainte : intégrer leur propre image, sans la manipuler, à l’ensemble présenté. Le produit, déconstruction imagée, comprend cinq œuvres très différentes les unes des autres, créées à partir des cinq mêmes images tout en gardant le sens propre de leur pratique photographique.

La Galerie Sans Nom est située au 140, rue Botsford, à Moncton. L’entrée est libre et les espaces sont ouverts du mardi au vendredi de 11 heures à 17 heures (jusqu’à 20 heures le jeudi) et le samedi de 10 heures à 14 heures.

Renseignements : 854-5381.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9968
Financement pour l’embauche d’assistants et de techniciens affectés à la recherche
La Fondation de l’innovation du Nouveau-Brunswick (FINB) a annoncé un financement de 1,1 million de dollars pour embaucher plus d’assistants et de techniciens affectés à la recherche dans les universités et les collèges communautaires du Nouveau-Brunswick. Le financement sera distribué par le biais de deux initiatives de la FINB.

L’Initiative d’assistants à la recherche (IAR) recevra 600 000 $ et l’Initiative de techniciens et techniciennes à la recherche (ITR) en recevra 500 000 $.

Dans le cadre des programmes d’IAR et d’ITR, des fonds sont accessibles à toutes les universités, ainsi qu’aux collèges communautaires et instituts de recherche admissibles du Nouveau-Brunswick. La date limite pour soumettre une demande dans le cadre de l’IAR est le 3 février et le 1er mars pour ce qui est de l’ITR.

Pour obtenir de plus amples renseignements, il faut consulter le site Web à l'adresse ci-dessous.

Initiative d'assistanats à la recherche
Date limite interne à la FESR : le vendredi 20 janvier
http://www.nbif.ca/fre/recherche/iar/

Initiative de techniciens à la recherche
Date limite interne à la FESR : le vendredi 17 février
http://www.nbif.ca/fre/recherche/itr/

Renseignements : FESR, au 858-4310
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9969
Vaincre les statistiques et tenir ses résolutions du Nouvel An
Le coup de minuit a sonné le 31 décembre et nous sommes entrés dans la Nouvelle Année. Pour plusieurs d’entre nous, c’est l’heure des résolutions. Certains choisissent de manger davantage de fruits et de légumes, d’autres tentent d’éviter la malbouffe, de faire davantage d’exercice ou encore d’en finir avec la cigarette.

Selon une étude, moins de 12 pour cent d’entre nous réussiront à faire de notre résolution une réalité. Malgré le faible taux de réussite, cette volonté collective de faire du Nouvel An un temps de renouveau et une occasion de changement est profondément ancrée dans notre culture. Certains disent d’ailleurs avec cynisme que les résolutions prometteuses du Nouvel An sont davantage un phénomène de masse qui nous permet de nous livrer sans culpabilité aux excès du temps des Fêtes.

« La popularité du premier jour de l’an pour adopter un nouveau comportement est plutôt symbolique et nous permet de cibler une date butoir», souligne le professeur Roger G. LeBlanc de l’École de kinésiologie et de récréologie de l’Université de Moncton. Afin de vaincre les statistiques et d’augmenter ses chances de réussite, le professeur LeBlanc recommande plutôt de se donner des objectifs et des buts à longueur d’année et de les envisager comme un projet personnel continu que l’on n’abandonne pas au premier signe de découragement. « Si ce n’est toujours, commençons par un jour à la fois», dit-il.

La clé du succès
« Afin de changer un comportement, explique M. LeBlanc, il faut d’abord identifier les bienfaits du changement que l’on envisage et reconnaître les raisons qui nous motivent à le faire. Ensuite, on doit établir des objectifs réalistes à partir d’un point de départ et évaluer son progrès sur une base régulière. Afin d’augmenter ses chances de réussite, il ne faut pas sous-estimer l’importance des partenariats et demander de l’aide et de l’encadrement auprès de professionnels de la santé ou encore s’associer à d’autres personnes qui ont des buts similaires. Finalement, il faut célébrer ses succès! »

Roger LeBlanc est convaincu qu’une vie saine et active est non seulement bonne pour le tour de taille mais contribue à une meilleure qualité de vie au travail. C’est d’ailleurs dans cet esprit qu’il est devenu l’un des membres fondateurs du Comité mieux-être universitaire, maintenant présidé par Suzanne Harrison, professeure à l’École de science infirmière de la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires.

De plus, le professeur LeBlanc, en partenariat avec le Conseil de la santé du Nouveau-Brunswick, vient de produire le rapport d’une étude sur le mieux-être au travail à l’Université de Moncton qui démontre que les employés qui sont actifs et qui ont une saine alimentation ressentent une plus grande satisfaction au travail; ils sont davantage productifs et plus heureux; ils éprouvent moins de problèmes de santé et ils sont moins souvent absents.

« Une vie saine et active pour tous les membres de la communauté universitaire, voilà mon souhait pour la Nouvelle Année, conclue-t-il. Il ne reste qu’à chausser les espadrilles et profiter des installations sportives et de loisir à notre disposition sur le campus! »
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Bénéficiaire de la bourse de l’Association des forestiers agréés du Nouveau-Brunswick
Bénéficiaire de la bourse de l’AFANB
Pierre Escalet, de la France, est le bénéficiaire de la bourse de l’Association des forestiers agréés du Nouveau-Brunswick. Dans la photo, il est accompagné de Paul Albert, vice-recteur du campus d’Edmundston, à gauche, et de Roger Roy, professeur à la Faculté de foresterie et représentant de l’AFANB, à droite.
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La Revue Acadienne – L’art de rire du meilleur… et du pire!
« Pour le meilleur et pour le pire », voici le titre choisi par les humoristes André Roy, Samuel Chiasson, Mireille Blanchard, Jean-Sébastien Levesque et Robert Gauvin pour le spectacle soulignant le 10e anniversaire de La Revue Acadienne.

Le quintet d’humoristes acadiens présentera deux spectacles, les 13 et 14 janvier à 20 heures dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

Le titre, « Pour le meilleur et pour le pire », se veut un clin d’œil au mariage royal et à la visite du duc et de la duchesse de Cambridge en Atlantique, en plus d’être une façon de souligner le 10e anniversaire de la troupe.

Fidèle à sa tradition, La Revue Acadienne présentera avec humour les faits marquants de l’année précédente. Qu’il s’agisse de l’affaire Dominique Strauss-Kahn, des déboires à la Chambre des communes ou même des controverses de l’expansion de la Coopérative de Caraquet, l’année 2011 aura été inspirante pour la troupe.

Cette année encore, la Revue Acadienne lance un extrait radiophonique et un vidéoclip pour accompagner le spectacle. « J’aurais jamais pensé » est une chanson signée par Samuel Chiasson sur une musique de George Belliveau. Elle raconte la grande aventure de la Revue Acadienne de même que les événements qui ont évolué devant les yeux des humoristes et inspiré le groupe depuis ses débuts. Le vidéoclip de la chanson peut être visionné sur le nouveau site Internet de la troupe à www.revueacadienne.com

Les billets sont en vente dans le réseau de la billetterie du Grand Moncton au coût de 15 $ pour les étudiants et 25 $ pour les autres, frais de service en sus. Les personnes intéressées peuvent aussi les obtenir par téléphone au 858-4554 ou encore au 1-800-363-8336.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9947
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Bernard Valcourt
Bernard Valcourt sera la personnalité du 16e bien-cuit de la Fondation Saint-Louis-Maillet
Bernard Valcourt, député fédéral de Madawaska-Restigouche, ministre d’État de l’Agence de promotion économique du Canada atlantique et de la Francophonie, est la personnalité choisie du 16e bien-cuit de la Fondation Saint-Louis-Maillet (FSLM), qui se tiendra le samedi 25 février à compter de 18 heures à la cafétéria de l’école secondaire Cité des jeunes A.-M.-Sormany d’Edmundston. Cette grande activité de collecte de fonds attire chaque année plus de 400 personnes.

L’équipe de rôtisseurs est composée des filles de M. Valcourt, Annie et Édith Valcourt; de sa sœur, Martine Coulombe, ministre provinciale de l’Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail; de Madeleine Dubé, ministre provinciale de la Santé; et de l’avocat Maurice Bourque. Marc Babineau agira comme maitre de cérémonie.

Cette soirée est organisée au profit de la Fondation Saint-Louis-Maillet qui veut ainsi amasser des fonds servant principalement à aider financièrement les étudiants et étudiantes du campus d'Edmundston de l'Université de Moncton.

Bernard Valcourt a été élu une première fois à la Chambre des communes en 1984 puis réélu en 1988. Il a été nommé secrétaire parlementaire du ministre du Revenu national et du ministre d’État (Sciences et Technologie) en 1984. De 1984 à 1993, il a successivement été ministre d’État (Petites entreprises et Tourisme), ministre d’État (Affaires indiennes et du Nord canadien), ministre de la Consommation et des Affaires commerciales, ministre des Pêches et Océans, ministre de l’Emploi et de l’Immigration, et ministre désigné des Ressources humaines et du Travail.

En 1995, Bernard Valcourt a été élu à l'Assemblée législative du Nouveau-Brunswick à titre de député d'Edmundston jusqu'en 1999. Il a été chef de l'Opposition officielle de la province de 1995 à 1997.

Il a été réélu à la Chambre des communes en 2011 en tant que député de Madawaska-Restigouche. Et le 18 mai, il a été nommé ministre d’État de l’Agence de promotion économique du Canada atlantique et de la Francophonie.

Avocat de formation, M. Valcourt a pratiqué le droit à Edmundston où il réside toujours.
Les billets sont en vente au coût de 70 $ (reçu pour usage fiscal de 40 $) auprès des membres du conseil d'administration de la Fondation, au secrétariat du campus d'Edmundston, à la boutique « Chez les petits » du Centre commercial Brunswick d'Edmundston et au bureau de la Fondation, au 506-737-5000.

Depuis 24 ans, la Fondation Saint-Louis-Maillet a pour objectif d'aider financièrement les étudiants et étudiantes et de contribuer au développement du campus d’Edmundston. Elle a distribué plus d'un million de dollars en bourses d’études et pour réaliser des projets stratégiques.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9949
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Christian Gaudet
Incident Christian Gaudet : l'appel du Service de l'activité physique et sportive de l’Université de Moncton ne sera pas entendu
La demande d’appel du Service de l’activité physique et sportive de l’Université de Moncton concernant la durée de la sanction infligée au joueur des Tommies de St. Thomas University, Chris Van Laren, ne sera pas entendue. L’incident en cause a eu lieu le 5 novembre dernier lors d’un match de hockey masculin de Sport universitaire de l’Atlantique à l’aréna J.-Louis-Lévesque du campus de Moncton.

Dans une récente décision, le Comité d’appel de SUA indique que les règlements régissant l’organisme ne lui permettent pas d'entendre l'appel de l’Université de Moncton dans ce cas. Le manuel de SUA indique qu’un athlète ou une institution peut en appeler d’une sanction pour l’un de ses étudiants/athlètes seulement. Van Laren, qui a fait la mise en échec contre le joueur des Aigles Bleus Christian Gaudet, étudie à St. Thomas University.

Il ne pouvait jouer avant le vendredi 6 janvier, étant absent pendant six matches de la saison ordinaire et de rencontres hors-concours de son équipe pendant la période des Fêtes.

« Nous sommes déçus qu’un règlement nous empêche de faire appel dans cette situation, mentionne Marc Boudreau, directeur de l’activité physique et sportive. Notre objectif était d'établir un précédent dans le cas des coups portés à la tête. Sport universitaire de l’Atlantique a décidé à sa rencontre de mai dernier de sévir davantage contre les coups intentionnels à la tête et il est effectivement important de décourager ce genre d'incidents dans l'avenir. Le SUA regroupe des étudiants-étudiantes/athlètes qui ont leurs études comme première responsabilité. Ils et elles peuvent manquer des cours après avoir subi une commotion cérébrale, ce qui peut nuire à leur année universitaire. »

« Nous ferons parvenir une lettre au Comité de direction de SUA pour demander une révision des statuts et règlements de l’organisme qui pourrait permettre à une institution de faire appel d’une sanction à un étudiant d’une autre université dans des cas d’incidents sérieux », ajoute-t-il.

M. Boudreau indique également que l'entraîneur des Aigles Bleus, Serge Bourgeois, soulèvera la question lors de la rencontre annuelle de ses pairs ce printemps.

Renseignements : Marc Boudreau, au 858-3773.
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L’ICRML publie une étude portant sur l’offre de services de santé en français en contexte francophone minoritaire
Une équipe de chercheurs composée d’Éric Forgues, de l’Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques logé au campus de Moncton, Boniface Bahi, de l’Université de l’Alberta, et Jacques Michaud, de l’Université Laurentienne, a réalisé une analyse des facteurs favorisant l’offre de services de santé en français dans des établissements de santé à majorité anglophone au Nouveau-Brunswick (Réseau de santé Horizon), en Nouvelle-Écosse (Hôpital régional de Yarmouth), en Ontario (Hôpital régional de Sudbury) et au Manitoba (Hôpital St-Boniface).

Cette étude a été rendue possible grâce au soutien financier du secrétariat national du Consortium national de formation en santé et du ministère de la Santé du Nouveau-Brunswick.

Le résumé de l’étude et le rapport complet sont disponibles sur le site Web de l’ICRML à l’adresse ci-dessous.
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9929
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Dans la photo, Adeline Vasquez-Parra, à droite, est accompagnée d’Isabelle McKee-Allain, directrice de l’Institut d’études acadiennes, et Maurice Basque, conseiller scientifique à l’IEA.
IEA : le destin américain des déportés acadiens en Nouvelle-Angleterre
À l’invitation de l’Institut d’études acadiennes de l’Université de Moncton, Adeline Vasquez-Parra, doctorante en histoire et en études canadiennes à l’Université Libre de Bruxelles, a prononcé une conférence, intitulée « Les déportés acadiens en Nouvelle-Angleterre, un destin américain : 1755-1766 », au campus de Moncton.

Cette conférence était basée sur l’exil forcé des Acadiens dans la colonie du Massachusetts à la suite du Grand Dérangement en 1755 et plus particulièrement sur leur accueil par les autorités et la population. Mme Vasquez-Parra a fait état de la vision de la société puritaine au travers de la presse et des dénominations linguistiques utilisées à leur encontre : Cet exode nous apporte-t-il une première approche de la perception des Anglo-américains vis-à-vis de l’immigration?

La conférencière s’est aussi attardée sur le discours juridicopolitique et sur l’intégration des Acadiens à la société coloniale anglaise afin d’y singulariser les attitudes et le langage utilisé dans la désignation du groupe.

Adeline Vasquez-Parra possède la maitrise de lettres de l’Université d’Artois (Arras, France) et est actuellement doctorante en histoire et en études canadiennes à l’Université libre de Bruxelles, en Belgique. Elle a enseigné en études françaises au St. Norbert College à De Père, au Wisconsin. Ses recherches portent sur les questions identitaires chez les minorités francophones, notamment acadiennes d’Amérique du Nord. Elle a fait plusieurs séjours de recherche aux universités de Moncton et Laval notamment grâce à deux bourses doctorales du Conseil international d’études canadiennes.

Ses publications sont parues dans les revues Mosaïque, Signes, Discours et Sociétés et Espaces, Temps.

Renseignements : 858-4726.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9921
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Louise Côté, directrice des programmes HEC Montréal; Sylvia I. Ponce, directrice des diplômes de 2e cycle HEC Montréal; Michel Patry, directeur HEC Montréal; Neil Boucher, vice-recteur à l’enseignement et à la recherche de l’Université de Moncton; Sébastien Deschênes, directeur du Département de comptabilité à la Faculté d’administration de l’U de M; et Gaston LeBlanc, doyen de la Faculté d’administration de l’U de M.
Entente de principe entre la Faculté d’administration et les HEC-Montréal pour la formation en français des futurs comptables agréés au Nouveau-Brunswick
La Faculté d’administration de l’Université de Moncton a signé le 2 décembre une entente de principe avec les HEC Montréal pour la formation des futurs comptables agréés (CA) francophones du Nouveau-Brunswick.

Cette entente permettra aux étudiantes et étudiants du baccalauréat en administration des affaires avec concentration en comptabilité de poursuivre leurs études aux HEC et à l’Université de Moncton en préparation à l’examen d’agrément national (EFU) de l’Institut des comptables agréés. Il s’agit d’un progrès important qui augmentera sensiblement l’accès aux francophones à cette profession.

Un certain nombre d’étudiants et étudiantes auront aussi l’occasion par après de poursuivre leurs études de maîtrise et de doctorat en comptabilité aux HEC. Une particularité de l’entente est qu’elle vise la délocalisation de la formation des HEC à l’Université de Moncton après quelques années. Rappelons que dans la situation actuelle, les étudiantes et étudiants devaient soit étudier un an en anglais auprès de l’Atlantic School of Chartered Accountancy (ASCA) ou s’exiler au Québec pour suivre un programme de 2e cycle en comptabilité financière.

Le Nouveau-Brunswick comptait 1 081 comptables agréés au 31 mars 2010. De ce nombre, 92 pour cent se déclaraient anglophones et seulement 8 pour cent francophones. Une enquête auprès des membres a révélé que la rémunération moyenne était de 125 234 $. L’Université de Moncton compte environ 35 diplômés en comptabilité chaque année. L’entente est de nature à faciliter l’accès à cette profession pour les francophones.

Renseignements : Sébastien Deschênes, au 858-4230.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9971
Alain Patoine présente ses travaux portant sur la santé des bassins versants côtiers au congrès annuel de la Société canadienne de limnologie
Cette année, le congrès de la Société canadienne de limnologie (SCL) a eu lieu à Moncton et Alain Patoine, professeur au programme de baccalauréat en gestion intégrée des zones côtières au campus de Shippagan y a présenté ses travaux portant sur les bassins versants côtiers (un bassin versant représente tout le territoire qui achemine les eaux de pluie vers un plan d’eau).

Grâce au programme d’échantillonnage des estuaires de la Péninsule acadienne qu’il a entrepris en 2010, M. Patoine peut aujourd’hui entreprendre une évaluation des facteurs naturels et humains qui contribuent au maintien de la santé des écosystèmes côtiers. En dépit de problèmes de pollution causés par le déversement d’eaux usagées dans les cours d’eau, les estuaires de la Péninsule sont plutôt en bon état. Du moins, quand on les compare à ce qui prévaut dans certaines régions des États-Unis et d’Europe où les bassins versants ont été presqu’entièrement convertis en champs agricoles et où les ressources aquatiques sont dégradées.

Le professeur Patoine cherche à savoir quel degré de développement territorial peut soutenir les écosystèmes côtiers du Nouveau-Brunswick sans que cela n’entraîne une dégradation des ressources aquatiques. Par exemple, des épisodes d’algues toxiques sont observés aussi bien dans la Péninsule acadienne qu’ailleurs dans le monde. Le problème est qu’on ne connaît pas les causes de ces épisodes. Il semblerait que des phénomènes naturels (conditions météorologiques, taille et forme des bassins versants) et humains (activités d’exploitation des ressources, déversement d’eaux usagées) soient en jeu.

Pour l’instant, les travaux du professeur Patoine indiquent que la qualité chimique des eaux est comparable entre les différents estuaires à l’étude malgré des activités agricoles qui peuvent être deux fois plus importantes sur un bassin versant que sur un autre.

À terme, ce programme de recherche aidera à adapter les activités territoriales en fonction de la résistance des bassins versants face aux facteurs naturels et humains.

Créée en 1977, la Société canadienne de limnologie regroupe une centaine de chercheurs dont les travaux contribuent à une meilleure compréhension du fonctionnement des lacs et des zones côtières. Le congrès annuel de la SCL alterne entre l’ouest, le centre et l’est du pays.

Renseignements : http://www.uwindsor.ca/glier/ccffr/2012-call-for-papers
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9972
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, assises : Odette Gould, Suzanne Dupuis-Blanchard et Lita Villalon; debout : Majella Simard et Jean-Luc Bélanger (AAFANB). Absences dans la photo : Sophie Éthier et Anne Leis.
Manon Jolicoeur souhaite amener de jeunes hockeyeurs à découvrir le plaisir de la lecture
Doctorante en éducation et chargée de cours à l’Université de Moncton, Manon Jolicoeur est au coeur du projet « Lire, ça compte », un programme qui vise à amener les jeunes à découvrir le plaisir de la lecture par l’entremise de leur sport préféré. Ce programme fait aussi l’objet des recherches doctorales de Mme Jolicoeur.

L’idée de faire la promotion de la lecture chez les jeunes joueurs de hockey est née de l’entraîneur Shane Doiron, ancien joueur de la Ligue de hockey junior majeure du Québec et ancien joueur des Aigles Bleus. Dès 2008 et de sa propre initiative, Shane ajoute des pratiques de lecture à son entraînement sportif. En 2009, il s’associe à Manon Jolicoeur, alors étudiante à la maîtrise en éducation à l’Université de Moncton. Depuis ce temps et en collaboration, ils peaufinent le projet dans le but qu’un nombre grandissant de jeunes découvrent que… lire, ça compte!

Chaque semaine, des hockeyeurs participent à un cercle de lecture au sein de leur équipe. Ils se réunissent en sous-groupes après une séance d’entrainement pour discuter d’une lecture commune, souvent portant sur le hockey. Lecteur engagé, l’entraîneur fait la promotion des livres et du plaisir de les découvrir. Les pères des jeunes sont également invités à participer aux discussions. Le tout se déroule dans une atmosphère détendue et dans un vestiaire.

Alors que le projet a commencé en 2008 avec la participation de l’équipe de Shane Doiron, cette année, trois équipes de la province sont des adeptes de « Lire, ça compte ». De plus, ce programme innovateur a attiré l’attention de plusieurs médias régionaux et nationaux qui en ont parlé dans leurs chroniques.

« Les résultats des évaluations à grande échelle démontrent que la lecture représente un grand défi pour les élèves francophones de la région et que ce sont les garçons qui réussissent le moins bien, explique Manon Jolicoeur. C’est préoccupant car il existe un lien étroit entre les compétences en lecture et la réussite scolaire et, plus largement, l’inclusion sociale. L’insuccès des garçons en lecture entrave non seulement leur développement mais également celui de notre communauté. Ainsi, une initiative comme « Lire, ça compte » est tout à fait pertinente et mérite d’être étudiée. »
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9927
Mariève Provost et Kristine Labrie profitent pleinement de leur séjour à Vienne
Deux anciennes joueuses des Aigles Bleues de l'Université de Moncton au hockey vivent toute une expérience cette saison en jouant avec les Flyers de Vienne.

L'ancienne capitaine Kristine Labrie et l'as compteuse Mariève Provost sont en Autriche depuis la fin août pour y rester jusqu'en mars où elles jouent avec les Flyers de la Ligue Elite Women Hockey League d'Europe. Il y a six équipes au sein de ce circuit, les Flyers, Bratislava, Salzburg, Pantera (Minsk), les Pays-Bas et une deuxième équipe de Vienne, les Sabres qui sont au premier rang.

Les Flyers ont remporté le championnat l'an dernier et se retrouvent au 5e rang du classement avec trois victoires et sept revers cette saison. Provost est la troisième meilleure marqueuse du circuit avec 12 buts et deux aides pour 14 points. Elle a obtenu sept punitions mineures, cinq buts en avantage numérique et trois buts gagnants. Elle est à moins 2. Labrie est 13e au classement avec cinq buts et cinq aides pour dix points. Elle a trois punitions mineures, deux buts en avantage numérique et un en désavantage numérique.

Labrie joue comme ailier lors des parties hebdomadaires de son équipe en plus de s'entraîner deux à quatre fois par semaine. « J'aime beaucoup et tout va super bien, dit-elle. Même si mes statistiques sont plus ou moins bonnes en ce moment, je joue aussi bien défensivement qu'à l'offensive. »

« Le calibre de notre ligue est plus ou moins fort. Il y a des filles qui jouent très bien alors que d'autres sont plus faibles. La ville de Vienne est superbe. C'est très beau et je dois ajouter que toutes les villes que nous visitons sont très intéressantes et les gens accueillants. »

Lors de son séjour, Labrie offre des cours privés de français à des jeunes. Pour le temps des Fêtes, elle était de retour à Saint-Quentin.

Mariève Provost joue au centre et rappelle que la saison connaît des hauts et des bas. « Nous avons fait match nul contre les deuxième et troisième équipes pour perdre en tir de barrage, dit-elle. Nous nous entraînons parfois avec des filles âgées de 15 à 20 ans qui veulent s'améliorer. La plupart sont des débutantes et c'est notre façon d'aider les plus jeunes. »

« Individuellement, nous n'avons pas une autre ailier qui peut jouer avec Labrie et moi et c'est plus difficile de peaufiner des jeux, ajoute-t-elle. La pression est forte et on ne peut se permettre de connaitre une mauvaise partie. »

Provost indique que le calibre est excellent. Les deux jouent au sein d’unités spéciales et le temps disponible sur la glace n'est pas un souci. Selon Provost, il y a un certain manque de planification organisationnelle; elle donne cet exemple d'une fin de semaine à Minsk qui a été annulée à cause d'un manque de visas. Coté hockey, elle n'apprécie guère que les organisateurs font deux équipes, les meilleures jouent sur une alors que l'autre doit se contenter des autres joueuses.

« C'est un peu le même principe ici. Nous avons deux équipes à Vienne et la plupart des bonnes joueuses jouent avec les Sabres en raison d'une meilleure organisation et d'un meilleur budget », poursuit Provost.

Pendant son séjour, elle a eu la chance de voyager dans plusieurs grandes villes d'Europe. Son coup de coeur jusqu'à présent est la Belgique, le chocolat, la bonne bière, la joie de vivre des gens et le paysage en général. « Je vais possiblement rendre visite à Yvan Busque (ancien des Aigles Bleus) à Graz, en Autriche », pense-t-elle.

Provost est restée en Europe pendant les Fêtes pour visiter d’autres villes.
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Marie-Michelle Poirier et Dean Ouellet sont les athlètes de la semaine
Le Service de l’activité physique et sportive a choisi Marie-Michelle Poirier, de New Richmond, et Dean Ouellet, d’Edmundston, comme athlètes Antonio’s Pizza de la semaine pour la période du 2 au 8 janvier à l'Université de Moncton.

La hockeyeuse Marie-Michelle Poirier a fourni l’énergie nécessaire pour le retour en compétition samedi avec deux buts et une aide dans une victoire en prolongation de 4 à 3 des Aigles Bleues aux dépens des Tigers de Dalhousie University. Son rendement sur la glace a été excellent tout au long de la rencontre. Elle est étudiante en science infirmière.

Le hockeyeur Dean Ouellet a de nouveau mené les siens en fin de semaine grâce à son jeu exemplaire sur la glace lors de la victoire de 5 à 1 des Aigles Bleus samedi contre les Tigers de Dalhousie University et lors du revers de 5 à 2 vendredi face aux Axemen d’Acadia University.

Il a marqué un but et obtenu deux aides samedi et a ajouté deux mentions d’assistance vendredi soir. Il a joué régulièrement et au sein des unités spéciales. Il est étudiant en administration des affaires.

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La photo nous fait voir une partie des gens qui étaient présents à cette activité annuelle.
Patinage avec les Aigles à l'aréna J.-Louis-Lévesque
Plus de 300 personnes ont assisté le 10 décembre au patinage annuel de Noël des Aigles Bleues/Bleus de l'Université de Moncton à l'aréna J.-Louis-Lévesque.

Les étudiants/athlètes des équipes sportives du campus de Moncton étaient présents pour rencontrer les jeunes et les moins jeunes dans le Nid des Aigles.

La mascotte Super Bleu et le Père Noël étaient également de la partie.
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