Formation et parcours professionnel

Formation et parcours professionnel

Formation et parcours professionnel

Ph.D. Sciences de l’environnement, UQAM, Québec, 1992
Maîtrise de Sciences physiques de la Terre, Université Paris VII, France, 1987
Licence de Sciences physiques de la Terre, Université Paris VII, France, 1987
Diplôme d’études approfondies (Géomorphologie et dynamique des milieux physiques), Université Paris VII, France, 1986
Maîtrise de géographie, Université de Paris-Sorbonne, France, 1984
Licence de géographie, Université de Paris-Sorbonne, France, 1983
B.Sc. Géographie physique, Université de Montréal, Québec, 1982

 

Ma formation a débuté à l'Université de Montréal, où j'ai fait un baccalauréat en géographie physique avant de poursuivre mes études à l'Université de Paris IV, en licence puis en maîtrise de géographie. Mon mémoire de maîtrise, réalisé sous la co-direction des professeurs Jean-Jacques Dufaure et Jean-Pierre Peulvast, s'intitule « ».

Après une pause d'un an pendant laquelle j'ai enseigné au Cégep de Granby, j'ai entrepris un DEA de géomorphologie et dynamique des milieux physiques tout en amorçant une licence puis une maîtrise de sciences physiques de la Terre à l'Université de Paris VII. Mon doctorat, portant sur l'interprétation géologique et géomorphologique du manteau d'altération d'un secteur de la Blue Ridge de Virginie, a été réalisé sous la direction de Mireille Bouchard, à l'UQAM, avec la collaboration de Philippe Ildefonse, qui m'a alors accueilli au Laboratoire de pédologie de l'Université de Paris VII et m'a aussi donné accès au Laboratoire de Minéralogie-Cristallographie de l'Université de Paris VI. Ma thèse s'intitulait « L'évolution des versants de la Blue Ridge et du Piedmont de la Virginie centrale, E.U.A. : quelques enseignements tirés de l'étude du manteau d'altération ».

À la suite de mon arrivée à Moncton, j'ai appliqué pendant quelques années mes connaissances des processus de l'altération météorique à l'étude des altérites de Gaspésie et des Maritimes, puis à celle de l'impact des coupes forestières sur les habitats aquatiques dans un petit bassin versant du centre du Nouveau-Brunswick, tout en amorçant un programme de recherche entièrement nouveau pour moi: l'étude de la dynamique côtière dans le golfe du Saint-Laurent constitue désormais mon champ de recherche.